Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Lise Peterson

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One Shot / Une sale soirée [Pv M. Sanderson]
« le: jeudi 06 octobre 2016, 15:14:17 »
C'était une maison familiale comme on en voyait tant. Sans doute légèrement plus isolée que la moyenne, elle compensait cette localisation défavorable par une piscine de bonne taille qui faisait la joie de ses habitants et indiquait clairement qu'ils étaient particulièrement aisés, si la veranda n'avait pas suffit à épater le chaland.

Margot n'avait jamais aimé cette baraque et les nombreuses heures à se prélasser sur un transat au bord de sa piscine de luxe dans son gigantesque jardin n'avait pas suffit à la convaincre de se satisfaire de son bonheur. Jeune femme de bonne famille, elle n'avait pas hésité à quitter son Angleterre natale lorsqu'un homme d'affaire japonais lui avait demandé sa main. C'était un gentleman tout ce qu'il y avait de plus charmant, attentionné et généreux. Elle n'avait guère tardé à succomber à son chame et avait accepté d'emménager dans cette luxueuse demeure qui ne lui convenait pourtant guère. Margot était née et avait toujours vécu en ville. Ne pas avoir une demeid douzaine de boutiques à portée de talon la mettait mal à l'aise, sans parler de l'absence totale de vis à vis et de ce sentiment d'abandon lorsqu'elle restait seule. Bien vite, elle avait compris que ce serait son quotidien. Son mari était riche, mais absent. Ses affaires l'appellaient souvent des semaines entières loin du domicile familiale et elle se retrouvait abandonnée, malheureuse et dépitée des années durant. Puis étaient venus les enfants, une fille et un garçon, tout aussi sublimes que leur maman et la solitude s'était estompée. Bien sûr, elle n'élevait pas sa progéniture elle même et se réservait les bons côtés tandis qu'une nounou s'occupait de leur changer les couches et de calmer les pleurs. Les enfants grandissant, Margot avait continué de jouer le jeu, souriant à son mari en rêvant d'évasion, faisant bonne figure aux réceptions et s'ennuyant ferme. Des années d'ennuis dans cette maison qu'elle haïssait, avec cet homme qu'elle détestait, à se complaire dans un luxe qui l'empêchait de devenir folle. Les années n'avaient eut guère d'emprise sur elle, tant elle s'employait à parfaire son physique. Des heures de course à pied (dans ces alentours éternellement déserts, maudite campagne!), de gymnastique, sans oublier quelque passages chez un chirurgien plus que compétent, avaient contribué à gommer le passage des ans. A trente sept ans, Margot en faisait vingt cinq. Menue et dépourvue des formes généreuses des bimbos stupides qui garnissaient généralement le bras de riches hommes d'affaires, elle possédait néammoins une garde robe d'un goût exquis et d'une facture qui suffisait à faire tourner les têtes. C'était un domaine où elle écrasait la concurrence sans aucune difficulté, et d'ailleurs sa seule occupation depuis bien longtemps.

Et en cette soirée paisible, elle n'avait jamais autant maudit cette demeure isolée. Tout avait commencé lorsqu'elle avait entendu le portail grincer. Un rapide coup d'oeil à la fenêtre l'avait informée qu'il ne s'agissait pas de son mari qui rentrait plus tôt que prévu (comme cette fois où il avait manqué de la surprendre avec le jeune et fringuant jardinier) mais plutôt d'individus qui devaient avoir oublié les clés, puisqu'ils passaient par dessus l'énorme porte métallique. Elle s'était alors jetée hors de sa chambre, oubliant sa robe de chambre et ne portant guère que sa nuisette préférée, avait tambouriné à la porte de ses enfants. Kathie et Steve étaient sortis en trombe, davantage agacés par le vacarme de leur mère qu'inquiets de ses motivations. Les jumeaux, aussi blonds que leur mère était brune, avaient ensuite haussé un sourcil devant le déshabillé sexy de leur génitrice avant de se mettre à sérieusement paniquer lorsqu'elle les alerta. Par chance, Margot, sous ses couverts d'épouse surperficielle, avait de la ressource et se mit à donner ses ordres de sa voix de commandement, celle qu'elle réservait aux prestataires et aux ouvriers qui venaient parfois satisfaire ses caprices d'épouse entretenue.

On s'enferme dans ma chambre. Steve, tu appelle la police, tout de suite. Kathie, tu m'aide à pousser la commode devant la porte. Vite !

Ni une ni deux, ils filèrent dans la gigantesque chambre parentale au centre de laquelle trônait un lit à baldaquin somptueux, dans lequel elle dormait si souvent seule. Le cœur battant la chamade, Margot n'en menait pas large, mais elle ne perdrait certainement pas la face devant ses enfants. Refusant de céder à la petite voix qui la suppliait de se recroqueviller dans un coin et d'attendre que les méchants s'en aillent, elle s'arc bouta sur la commode. Avec quarante kilos pour un mètre soixante, la jolie brune n'était guère une force de la nature et le meuble refusa de bouger d'un poil. Ce fut alors qu'elle se souvint, horrifiée, que le coffre fort était AUSSI dans sa chambre, derrière ce grand tableau qu'elle détestait. Puis elle entendit les bégaiement affolés de son fils qui ne parvenait pas à retrouver son portable dans le capharnaüm de sa table de nuit et elle se dit que la soirée prenait une tournure absolument dramatique.

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Dortoirs et douches / Nouvelle arrivée ! [Pv Leona]
« le: mercredi 21 septembre 2016, 00:14:40 »
La valise de Lise était trois fois trop lourde pour la malheureuse. C'est que depuis son sombre séjour dans un lieu tenu secret, elle avait découvert une vie toute autre, riches en possibilités. Qu'il s'agisse des rencontres avec des individus bien plus délurés que les très strictes sœurs du Sanctuaire, des innombrables activités dont elle n'avait osé soupçonner l'existence ou de manière générale, la vie à cent à l'heure qui semblait régir le mode "normal", Lise n'avait cessé d'aller de surprises en émerveillement. Puis elle avait découvert les magasins, en particulier de fringues, et s'était adonné à ce que l'on ne pourrait définir autrement qu'une orgie de dépenses sans limites. En d'autres termes, en quelques semaines, la blonde sculpturale avait accumulé suffisamment de vêtements pour rattraper le temps perdu et vivre quelques vies sans jamais remettre le même ensemble. Qu'importait, elle s'amusait VRAIMENT. Et tant pis si cela impliquait de trainer un bagage qui faisait facilement son poids dans les couloirs du bâtiment, à la recherche de la chambre qui lui avait été attribuée.

S'attirant tous les regards, de celles qui jalousaient sa chevelure d'or ou de ceux qui se perdaient dans son généreux décolleté, la demoiselle n'avait pas prêté attention aux gens qu'elle croisait, trop pressée de pouvoir enfin se débarrasser de son dressing ambulant. Claquant de ses talons hors normes, dépassant la plèbe dans ce qui aurait presque été un défilé de mode si elle n'avait pas eut le bras lesté par son encombrante valise rouge vif, Lise parvint enfin à la porte au numéro adéquat. Coquette, elle s'assura d'une main experte que sa coiffure était absolument parfaite. Elle portait un débardeur blanc dont nous avons déjà mentionné qu'il était indécemment échancré et une longue jupe noire qui ondulait à chacun de ses pas. Après avoir discrètement vérifié que l'énorme mandrin qui battait contre ses jambes nues restait sagement dissimulé, résistant à l'impulsion subite de le presser entre ses ongles effilés pour sentir cette fière virilité palpiter, perpétuellement suppliante d'être vidée, Lise toussota. La porte ne lui répondit guère et elle se résigna à cogner d'une main aux bagues innombrables contre le bois avant d'ouvrir au bout de quelques secondes. Et pour la première fois, sa voix aux accents enchanteurs, mélodieuse harmonie de notes parfaites, résonna dans le bâtiment.

Bonjour ! Je suis Lise Peterson, votre nouvelle colocataire !

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Le coin du chalant / A la découverte du lycée !
« le: lundi 19 septembre 2016, 23:11:56 »
Une bonne âme pour faire découvrir à Lise les us et coutumes du lycée/université ? En tant que futa nymphomane, perpétuellement en manque, je l'imagine bien incapable de se dissimuler très longtemps, qu'on la découvre à demie nue aux toilettes ou tentant vainement de dissimuler son excitation. Des idées, des envies ? La blondinette n'est guère difficile... J'espère bien que les personnages extérieurs au cercle scolaire trouveront un prétexte ou une raison d'y pénétrer si nécessaire. Dans le bâtiment s'entend, HEIN.

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Prélude / Fortement dotée ! Lise Peterson [Violidée ~♥]
« le: lundi 19 septembre 2016, 09:33:18 »
Identité : Lise Peterson
Âge : 17
Sexe : Futanari
Race : Humaine
Sexualité : Malléable

Expérience : Douloureuses

Description Physique :
Lise est une jeune fille qui ne laissera personne indifférent. Malgré des conditions de vie difficile, elle arbore une chevelure d'or soignée qui souligne un visage agréable réhaussé de grands yeux bleus à faire fondre le plus rude des cœurs de pierre. Ses lèvres sont pulpeuses, son nez bien dessiné. Sa poitrine est lourde et arrogante, oscillant entre le bonnet F et G, ses courbes dessinées d'une main de maître. Elle fait partie de ces organismes agaçants qui peuvent savourer des tonnes de sucrerie sans le moindre effet néfaste. Juchée sur des jambes de sauterelle qu'elle n'hésite pas à agrémenter de talons à donner le vertige à un alpiniste, elle culmine à un mètre quatre vingt, véritable phare de beauté. Bien évidemment, en dehors de ses attributs affolants, Lise est une poids plume chez laquelle on s'évertuera à chercher le moindre gramme de graisse. Indubitablement, cette charmante demoiselle est belle avec une forte tendance au sublime. Parfaitement consciente de son charme tout sauf innocent, elle n'hésitera jamais à se mettre en valeur au mépris de la pudeur, du bon goût et de l'élégance, justifiant ses tenues par une mauvaise foi absolue et une référence larmoyante à sa vie si difficile. Elle apprécie particulièrement les bijoux, pourvu qu'ils soient aussi voyants (et chers, mais nous y reviendront) que possible.

Oh et elle est pourvue d'un organe génital de type externe, de catégorie absolument massive. Avec un braquemart à donner des complexes à un démon de la luxure lorsqu'il est en érection, Lise est devenue une experte du camouflage et une afficionados des jupes longues, à son plus grand désespoir.

Caractère :
Éduquée, voire forgée à la dure, Lise est une adolescente charmante, délicieusement gentille et agréable. Elle n'hésite pas à croquer la vie à pleines dents pour rattraper le temps perdu et s'intéressera à tout le monde, sans arrières pensées, ravie de découvrir de nouvelles personnalités, de nouvelles histoires qui la fascinent. Elle peut en devenir agaçante, assommant les gens de son exubérance. Souvent soupçonnée d'être hypocrite, elle fera taire les rumeurs en aidant son prochain avec une réelle dévotion, une abnégation à tout épreuve. On devine aisément qu'elle a peur d'être seule et les plus fins limiers sauront déceler un désir sexuel assez impressionnant, sans pour autant se douter qu'ils sont encore loin de la réalité.

Cette façade dissimule sa vraie personnalité de malheureuse paumée, désespérément à la recherche de ce dont elle a véritablement besoin, quelqu'un capable de la prendre en main. Loin d'être décérébrée, elle sait parfaitement qu'elle cherche à retrouver ses sensations d'antan, cette souffrance délicieuse qui l'amène au sommet du plaisir, cette sensation d'être un jouet pour un dominant qui la méprise et l'humilie perpétuellement. Un fin psychologue pourtant adepte des nuances a déclaré que Lise Peterson était une masochiste pathologique, sans espoir de rémission. Il n'a bien évidemment pas hésité à abuser des bonnes grâces de sa patiente après qu'elle lui ait décrit avec forces détails comment elle rendait ce genre de services aux gens du lycée, qui à son grand dépit, se contentaient bien souvent de se vider dans sa bouche, prenant leurs jambes à leurs cous quand elle les suppliait de lui faire mal. Quant à savoir s'il y a des limites à son désir de souffrance, c'est peu probable. Personne n'a jamais réussi à la satisfaire de ce côté là. Pour résumer, Lise est une nymphomane incapable de jouir sans souffrir la plupart du temps.

Histoire :
Lise Peterson, une fois qu'on décida de la nommer, était le fruit du démon. C'était la conclusion définitive d'une semaine d'examen du bambin par les très pieuses sœurs du Sanctuaire, l'énorme couvent dans lequel avait été retrouvé l'enfant. Portes closes et enceinte surveillée n'avaient pas empêché ce joli bébé d'être retrouvé au petit matin dans la Sainte Chapelle, provoquant force émois et prières avant que les très strictes sœurs s'intéressent au couffin. Bien évidemment, une gamine apparue dans la plus Sainte des enceintes n'avait guère de chance de s'en tirer. A supposer qu'elle eut été normale, elle aurait été sanctifiée, mais l'anormalité flagrante de l'enfant des cieux la condamna à une vie de souffrance.

A peine savait elle marcher et parler (et prier, tout de même!) qu'elle fut soumise aux plus savants supplices de ces demoiselles bénies des cieux, persuadées de trouver dans leurs ouvrages poussiéreux des méthodes radicales pour guérir cette envoyée des enfers, indubitablement débarquée pour répandre la mort et la luxure sur cette bonne vieille Terre. C'est qu'il fallait les voir enchainer les coups de martinets et les décoctions de racines, les nuits de prières et les psaumes douteux pour guérir l'enfant qui grandissait au sein de leur communauté coupée du monde. La belle grandissait, encaissant les privations et les supplices sans trop avoir son mot à dire. A sa puberté, bien évidemment, ce fut double ration de martinet et d'incantations, mais on la confina au cachot, au plus profond des caves, afin de limiter les dégâts.
A demie noyée dans des cuves entières d'eau bénite, son énorme chibre attaché sur une table pour s'y faire bastonner (parce que oui, au bout d'une grosse dizaine d'années, ces braves dames s'imaginaient faire reculer le démon avec un pied de chaise et une détermination sans faille), elle provoquait force hurlements lorsque ces adorables bigotes s'apercevaient du plaisir qu'elle y prenait. Soeur Marie Thérèse fut d'ailleurs aux premières loges pour recevoir en plein visage la preuve flagrante et gluante de son échec. Ses hurlements hantèrent à jamais les nuits du Sanctuaire et elle fut elle aussi internée, définitivement folle à lier, convertie par « la démone du stupre » comme elles en venaient à l'appeler. Ce fut monseigneur l'évêque qui mit fin à la mascarade et seize années de supplices. Après un long entretien seul avec Lise, dont il ressortit la soutane débraillée, la sueur au front et le rouge aux joues (preuve de son engagement spirituel, bien évidemment), ce très saint homme déclara à ces très saintes dames que le moment était venu d'oublier cette fâcheuse affaire, d'autant que la facture de triques sur les dix dernières années menaçait d'engloutir le budget annuel du Vatican. Lise Peterson fut immédiatement relâchée avec un billet d'avion et priée de foutre le camps aussi vite et aussi loin que possible, au diable si nécessaire. Elle ne se le fit pas dire deux fois et s'employa à rattraper son retard sur la vie, enchaînant orgies et partenaires des deux sexes dans une frénésie vorace. Jamais rassasiée, déçue des beaux parleurs et des jeunes coincées qui n'allaient guère plus loin qu'une timide fessée, elle poursuivit sa recherche inlassable en vivant de l'énorme indemnité offerte par l'Eglise pour son silence.

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