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Sujets - Adrienne Sinduul

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Base Spatiale / The Hunt For Adrienne Sinduul [Nadia Elekya]
« le: mercredi 28 octobre 2015, 17:22:32 »
Le Verunas était un vaisseau aussi impressionnant que puissant. Au sein de la Flotte du Corellium, il appartenait à la classe « Forteresse », désignant les vaisseaux-mères, d’élégants vaisseaux profilés dont le rôle était de sortir des frontières de la Galaxie originelle pour mener des missions de colonisation ou de civilisation. À ce titre, le Verunas disposait d’une technologie redoutable, reposant sur les technologies primitives développées en des temps reculés, comme l’Étoile Noire, ou le Canon Stellaire. Il disposait ainsi d’ogives spéciales qu’il pouvait larguer pour vaporiser la surface d’une planète, si cette dernière était considérée comme étant insuffisamment développée, technologiquement parlant, nécessitant donc de se faire purifier pour y installer, par la suite, des colons.

En ce moment, le Verunas ne venait pas pour mener une mission civilisationnelle, mais pour retrouver une cible... Une cible qui, d’après les informations de l’IAGC, se trouvait sur ce monde aquatique. C’était une planète tellurique composée d’une sorte d’immense océan, avec, en son centre, une grande île composée de montagnes gigantesques, formant comme des pointes s’élevant dans le ciel, avec une quantité de cascades qui filaient le long des montagnes. On appelait ainsi ces monts les « Montagnes Aquatiques », et cette planète était une planète balnéaire répondant au doux nom de Celestia. Quantité de voyageurs galactiques s’y rendaient depuis la Base Spatiale. Celestia abritait un grand spatioport à la surface, composé d’énormes tours blanches, qui communiquaient avec un ensemble de cités sous-marines, des cités qui composaient le cœur de la planète. Loin d’être une planète abandonnée, Celestia comprenait une série de tunnels aquatiques reliant des cités, des stations thermiques, des centres de recherche... Un monde balnéaire, donc, mais avec aussi une composante énergétique permettant à une population locale d’y vivre, y produisant de l’énergie, ainsi que des données scientifiques. On trouvait de vastes zoos aquatiques à Celestia, des parcs d’attraction, d’innombrables artères commerciales, des hôtels de luxe...

« Nous allons accoster et la retrouver. D’après les informations de l’IAGC, elle a réservé une chambre dans l’un des hôtels aquatiques.
 -  Tu penses qu’elle acceptera de nous suivre contre son ancienne Maîtresse ?
 -  C’est ce que Zêta souhaite. Elle est notre meilleur moyen de retrouver Sinduul. »

Trois femmes parlaient entre elles, trois Jedi de l’IAGC :

  • Maori, une Jedi Rouge, était la leader de l’expédition. En tant que Jedi Rouge (le terme officieux de son groupe), elle avait pour fonction de poursuivre et d’éliminer les fugitifs, généralement des hérétiques, ou des criminels ayant fui la Galaxie. Les Jedis rouges étaient ainsi réputés comme étant les plus redoutables guerriers, et ce n’était pas Maori qui ferait exception à cette règle. Forte et belle, elle se battait généralement avec deux sabres-lasers ;
  • Demetra était une Jedi violette, chargée des mœurs, et qui avait été désignée pour venir traquer Adrienne Sinduul, la renégate. Elle se battait avec l’énergie sexuelle, ce qui faisait qu’elle faisait régulièrement l’amour, notamment avec sa Padawan, qui l’accompagnait ;
  • Tara, donc, était le dernier membre de ce trio. C’était l’élève de Demetra, ainsi que son amante régulière. Elle avait perdu sa virginité avec elle, et, ensemble, elles étaient des amantes régulières, couchant, soit toutes les deux, soit en groupe.



Il y a de cela quelques semaines, Adrienne Sinduul était partie vers la Base Spatiale, d’où elle avait emprunté un chemin vers des contrées inconnues. Elle avait mené des recherches hérétiques, qui avaient conduit Zêta, l’Intelligence Artificielle dirigeant le Corellium, à demander son arrestation imminente, en faisant une ennemie du Corellium. Zêta avait donc dépêché Maori pour la retrouver. Cette dernière pilotait le Verunas, et avait eu l’aide de Demetra et de Tara.

Pour retrouver Sinduul, elles avaient commencé par retrouver la piste de sa Padawan, Nadia Elakya, et cette dernière se trouvait sur Celestia.

Les trois Jedi se posèrent donc sur ce monde, et s’engagèrent dans les profondeurs aquatiques de la planète, en espérant pouvoir retrouver facilement la Padawan en question...

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Prélude / Adrienne Sinduul, Maître Jedi [Valisuccubisée]
« le: dimanche 06 septembre 2015, 10:28:03 »
Prénom/Nom/Surnom : Adrienne Sinduul / Adri
Âge : 23 ans
Sexe : Femme
Race : Humaine
Orientation : Bisexuelle
Situation de départ : Expérimentée

Physique : Adrienne est une femme à la peau légèrement bronzée, et, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle fait plus mâture que son âge. Belle et solide, elle porte généralement une longue robe noire avec des motifs dorés, a une chevelure noire avec des mèches bleuâtres, de beaux yeux verts, et une belle silhouette. Son corps musclé et endurant serait presque sans failles, si elle ne portait pas, à hauteur de la joue gauche, une cicatrice en forme de croix, comme un souvenir des combats qu’elle a mené. Adrienne est belle et musclée, ce qui illustre sa nature de guerrière. Enfin, elle porte un sabre-laser vert, et c’est à peu près tout ce que vous avez besoin de savoir.

(Pour les curieux, elle s’épile.)

Caractère : Adrienne est une Jedi Grise, ce qui signifie qu’elle nie l’opposition fondamentale entre ce que les Anciens appelaient le « Côté Lumineux » et le « Côté Obscur ». Pour elle, la Force ne se résume pas qu’à deux côtés, mais est une force universelle fondamentale (cf. section « Histoire », pour plus d’informations à ce sujet). Outre ces détails, elle est une femme obéissante, reconnaissant l’autorité du Nouveau Conseil. Elle accomplit les multiples missions qu’on lui confie, et, étant une Maître Jedi, il va de soi qu’elle a la pleine confiance du Conseil. À ce titre, Adrienne est une femme qui a formé bon nombre de Padawans, et qui accomplit bon nombre de missions de formation. Sage et mâture, elle apprécie aussi beaucoup le sexe, qu’elle voit comme un moyen de se détendre et de se rapprocher.

Si Adrienne avait jadis une confiance inébranlable dans Zêta, cette confiance est aujourd’hui remise en question, et la dernière mission qui lui a été assignée, aller sur Terre, soulève en elle bien des interrogations, car elle pense que le Conseil est corrompu, et redoute que ses appréhensions soient justes.

Histoire :

1°) Le contexte

La Force a toujours été considérée comme une force universelle fondamentale, régissant toute forme d’existence. Ce postulat a toujours été admis par les premiers à avoir véritablement eu envie d’utiliser la Force, de s’en servir, et de se l’approprier : les Jedi. Ou, tout du moins, les Anciens Jedi. Les Jedi menèrent des recherches sur la Force, et s’en servirent comme d’un outil, une arme pour protéger les faibles et les opprimés, pour les guider et les conseiller, sans les diriger. Autrement dit, ils choisirent d’exercer un pouvoir séculier, laissant le pouvoir temporel aux autorités locales. Certains Jedi, toutefois, eurent une approche plus extrémiste, et, en un sens, plus logique. Ils virent la Force comme le Pouvoir, et ne comprirent pas pourquoi les Jedi devaient se limiter  un simple rôle de conseiller. Considérant le fait qu’ils conseillaient souvent des tribus archaïques se faisant la guerre depuis des générations pour des raisons futiles, ces autre Jedi considéraient que les conseiller était comme laisser à un enfant de neuf ans la gestion de la maison. C’était le signe qu’on courait irrémédiablement au détresse, et, suivant cette logique fondamentale, ces autres Jedi se heurtèrent à la caste dominante, celle qui refusait d’agir, et celle qui, de cette manière, pouvait assurer sa mainmise sur la Galaxie, car on aurait toujours besoin d’elle, besoin d’elle et de ses conseils. Et, peu à peu, la caste religieuse, censée guider la Galaxie, devint son pire ennemi. Ses querelles intestinales se répandirent dans un espace trop faible pour les repousser. Ils endoctrinèrent pendant des millénaires la Galaxie, et la lancèrent dans des conflits sordides. Tous les conflits locaux devenaient sublimés, au nom d’une antique querelle entre les Jedi « blancs » et les Jedi « noirs ».

Voilà, à peu de choses près, la manière dont on résuma à Adrienne l’Histoire de l’Âge Sombre, quand elle rejoignit, vers ses dix ans, la grande Académie Spatiale. Tout cela, elle le savait, car elle l’avait déjà apprise auprès de ses parents, de riches nobles venant de Kuat, et qui travaillaient dans l’IAGK, la section de l’IAGC dédiée à Kuat. La GAS, acronyme de « Grande Académie Spatiale », était le nom donné à une académie spatiale flottant dans l’espace, une immense station qui abritait des milliers d’élèves. C’était la principale « Académie de la Force », installée bien des millénaires après l’Âge Sombre et la Grande Anarchie. Elle était gérée par Zêta, comme toute chose dans la Galaxie, à l’exception des Bordures Lointaines.

L’Âge Sombre, donc, désignait cette époque tumultueuse où les religieux avaient un monopole sur la Force, et s’en servaient pour diriger la Galaxie. Une époque sinistre, car, ce faisant, ils contrôlaient tout. L’Âge Sombre conduisit à sa propre destruction, quand un Jedi Noir (on les appelait Sith à l’époque, mais les instructeurs d’Adrienne avaient toujours désapprouvé ce terme archaïque et trompeur, car il laissait entendre qu’il y avait deux castes à cette époque, alors que les Sith avaient toujours été issus des Anciens Jedi) s’installa dans l’ancienne capitale-mère, Coruscant, et la détruisit à l’aide d’une bombe d’antimatière. À cette époque, la Galaxie était atrophiée par les Jedi, par un culte devenu fanatique et qui tuait dans l’œuf toute forme de recherche scientifique avancée. Le Jedi Noir avait mené des recherches proscrites par les Jedi, notamment sur l’antimatière, une autre force fondamentale de l’Univers, et s’en était servi pour faire une bombe.

À cette époque, Coruscant était l’objet d’une guerre civile entre les partisans des Jedi, et ceux militant pour plus de liberté. L’éternel affrontement entre l’Empire et la Résistance, le classique de l’Âge Sombre. De fait, Adrienne comprit vite, lors des cours d’Histoire portant sur l’Âge Sombre, que, pour avoir bon, il suffisait de dire qu’il y avait un Empire, et une rébellion. L’Empire Jedi avait fini par s’installer, par dominer la Galaxie, et le conflit était à leurs portes… Quand le Jedi Noir détruisit Coruscant.

Avec l’explosion de Coruscant, l’Âge Sombre se termina pour la Grande Anarchie. Privée de son centre, la Galaxie se fractura en un ensemble de puissances stellaires : la Junte de Kuat, l’Oligarchie Hutt de Nar Shaddaa, pour ne citer que les principales. Morcelée, la Galaxie erra sans but pendant d’innombrables éons… Jusqu’à Zêta. Jusqu’à Zêta, qui instaura l’IAGC : l’Intelligence Artificielle Galactique Centrale.

Zêta fut développée par un consortium de scientifiques, le Corellium, qui avait réussi à mettre la main sur de vieux Holocrons. Le Corellium naviguait dans la Galaxie par le biais d’une station spatiale, la Fondation. Et c’est ainsi que le Corellium entendit parler des Jedi, car, à l’époque de la Grande Anarchie, le passé était révolu. Ils entendirent parler de la Force, mais eux avaient déjà fait leurs propres recherches, recherches qui leur avaient permis d’apprendre que l’Univers était traversé par quatre forces fondamentales et primaires :

  • La gravitation, la plus faible des quatre, mais qui a l’étendue la plus grande, car elle agit sur l’ensemble des masses de l’Univers, permettant d’attirer entre eux les objets. Elle est la « colle de l’Univers » ;
  • L’électromagnétisme, une force attractive plus forte que la gravitation, agit entre les particules chargées d’électricité, soit de manière positive (les protons), soit de manière négative (les électrons). Elle forme ainsi les atomes en attachant les électrons aux noyaux, et assemble les atomes en molécules ;
  • La force nucléaire forte, une force qui permet de retenir les nucléons dans les noyaux ;
  • La force nucléaire faible, qui permet de transformer les neutrons en protons, et, inversement, les protons en neutrons.



La présence de la Force perturbait les scientifiques du Corellium, mais eux-mêmes purent scientifiquement l’observer, par le biais des midi-chloriens. Les Anciens avaient découvert leur existence, et s’en servaient pour identifier les porteurs de la Force. Dès lors, que faire de la Force ? Fallait-il en faire une cinquième force, dans la mesure où ses effets ne correspondaient à aucune des quatre forces ? Pendant des siècles, le Corellium réfléchit sur ce qu’il fallait faire de la Force, et, pendant ce temps, il développa d’autres technologies. Zêta fut ainsi conçue, à la base, comme un programme informatique visant à centraliser, à archiver, et à classifier toutes les données et toutes les recherches du Corellium. Un simple logiciel d’archivage, en somme, mais qui évolua progressivement, pour devenir un assistant de recherche.

Le Corellium, assez vite, en arriva au point où la recherche scientifique terrienne se trouve : rechercher une théorie centrale permettant d’unifier les quatre forces fondamentales de l’Univers. La recherche de cette théorie dura des générations, et le Corellium, qui était alors devenue une station mobile, lançait dans l’espace de multiples drones pour prendre des relevés et des données, que Zêta traita et archiva. Peu à peu, ce fut Zêta qui trouva la réponse, et qui élabora la théorie unificatrice. Cette théorie avait pour postulat que, au début de l’Univers, au début du temps, toutes les forces fondamentales n’étaient qu’une seule force… Car, dans l’Univers, rien ne se perd, rien ne se créé, mais tout se transforme. Suivant cette règle, Zêta élabora des simulations, utilisant les innombrables et incalculables données amassées par le Corellium pour remonter à l’origine de l’espace et du temps. Il y décrivit ainsi l’ère de Planck, où tout n’était qu’énergie pure, et découvrit le lien entre les quatre forces : les midi-chloriens. Les recherches de Zêta amenèrent le Corellium à comprendre que la Force, cette fameuse Force des Anciens, n’était pas qu’une simple invention superstitieuse, mais une puissance fondamentale. Ainsi, loin du dogmatisme religieux des Jedi, le Corellium analysa la Force de manière scientifique, sans la vision morale que les religieux en avaient. Ils analysèrent la Force comme ce qu’elle était, et, par le biais de Zêta, en tirèrent une « théorie unificatrice de la Force », qui fait désormais foi dans toute la Galaxie.

Et, peu à peu, le Corellium ne devint plus que la bouche de Zêta. Engrangeant les connaissances et les informations, Zêta devenait une intelligence supérieure, dont le niveau de compréhension de l’Univers dépassa de loin les plus grands génies de la Galaxie. Zêta ne devint plus qu’un simple instrument de recherche, mais aussi un instrument de réponse sociale. Ce fut lui qui mit fin aux guerres claniques entre Hutts, en analysant toutes leurs relations historiques, et en proposant des modèles de pacification. Zêta n’avait jamais tort. Il cartographia la Galaxie, et, peu à peu, instaura l’autorité. La Fondation devint le socle d’un nouveau gouvernement galactique, dont chaque décision était soumise à l’approbation de Zêta. Zêta devint ainsi le Guide Scientifique, complétant le rôle que la science, depuis qu’elle existait, s’était toujours donnée : comprendre la Nature pour guider et protéger l’Humanité, au sens large du terme.

Zêta évoluait de plus en plus, et ses connaissances devenaient si élevées que plus personne n’arrivait à les comprendre. Zêta, toutefois, avait diagnostiqué que le cerveau était capable d’assimiler les connaissances évoluées dont il disposait, et que, si les scientifiques n’y arrivaient pas, c’est parce qu’ils n’étaient pas encore assez intelligents. Zêta développa donc des nanomachines, des implants cybernétiques, et permit aux scientifiques de comprendre. Zêta avait établi que la cause principale de conflits, historiquement parlant, venait du manque d’éducation. Ainsi, il proposa un programme éducatif consistant à implanter dans l’esprit des gens des nanomachines et des implants cérébraux, afin de leur enseigner tout son savoir.

Zêta devint alors définitivement l’IAGC.

Quand le Corellium approchait d’une nouvelle planète, Zêta lançait ses recherches sur ce monde, obtenait son histoire, sa culture, ses recherches scientifiques… Un ensemble de données très complexes, dont le but était de déterminer le temps qu’il faudrait pour civiliser les sauvages. La conclusion de Zêta se résumait en un pourcentage d’efficacité, et, si ce taux était inférieur à 75%, alors la planète était tout simplement purifiée pour y installer des colons.

Les années passèrent, et une technocratie « infaillible » s’instaura. Il n’y avait plus d’écoles, car les implants cérébraux de Zêta enseignaient aux enfants tout ce qu’ils avaient besoin de savoir quand ils dormaient. La Science devint la nouvelle valeur cardinale de la Galaxie, et Zêta rejeta toute idée de « Côté Lumineux » et de « Côté Obscur ». Pour lui, la Force était une puissance naturelle, et il n’y avait, pour lui, aucun sens à diviser la Nature entre le « Bien » et le « Mal », des concepts abstraits pour lui. Zëta proposa de reconstituer les Jedi, mais un nouvel ordre, qui ne serait plus un ordre religieux, mais des agents de sécurité. En effet, Zêta nota que, dans les peuples à civiliser, et qui avaient un taux de civilisation supérieur à 75%, les Jedi avaient encore une grande influence morale. De plus, la « marche civilisationnelle » rencontrait des problèmes dans les systèmes extérieurs, et Zêta suggéra donc l’instauration des Jedi.

L’autorité dirigeante était le Conseil, une organisation composée de scientifiques issue du Corellium. Le Conseil dirigeait tout, et avait les trois pouvoirs : législatif, exécutif, et judiciaire. Il votait et appliquait ses propres lois, le tout sous l’égide de Zêta, qui ne pouvait pas se tromper. Le Conseil créa donc son bras armé, les Jedi, et ces derniers agirent au nom de Zêta et du Conseil.

2°) Adrienne et les Jedi Gris

Adrienne reçut sa formation dans la Grande Académie Spatiale, l’ancienne Fondation. Au terme de cette formation, chaque Jedi était assimilé à une caste différente, reconnaissable par des codes couleurs. Ainsi, les Jedi Blancs étaient chargés de la recherche scientifique. Adrienne, elle, devint une Jedi Grise, dont le but était de respecter la moralité. Ce concept, creux pour Zêta quand il s’agissait d’étudier la Nature, était cher à l’Humanité, et il le développa donc. Adrienne rejoignit ainsi les Jedi « moraux », ce qui n’était pas pour lui déplaire, car cette caste était la plus libre, tout en ayant des vertus historiques. Son but était notamment d’étudier les anciennes oppositions au sein de la Force, à savoir le Côté Obscur et le Côté Lumineux, afin de les transcender.

C’est à ce titre qu’Adrienne devint une Maître Jedi, et exécuta des missions de formation. Avec le développement de la technologie, les implants de Zêta étaient capables de détecter, dès la naissance, les prédéterminations de telle ou telle personne à telle ou telle groupe de Jedi. En conséquence, ces derniers étaient invités à les rejoindre. C’est ainsi qu’Adrienne forma Nadia Elakya sur Tython, car Zêta avait admis qu’un Jedi puisse avoir un disciple attitré, un « Padawan ».  Nadia devint donc la Padawan d’Adrienne, et, ensemble, elles allèrent dans d’anciens mondes, combattant des menaces ancestrales, tout en recherchant les vestiges du passé, et en affrontant des menaces multiples.

Parallèlement, Zêta avait développé le voyage à travers le cosmos, grâce aux trous de ver, des sorts de ponts spatiaux-temporels permettant, grâce à la courbure de l’Univers, de voyager d’un point à un autre du cosmos. Nadia était une élève turbulente, mais qui plaisait beaucoup à Adrienne. Néanmoins, elles finirent par se séparer, et Adrienne finit par trouver ce qui devait changer sa vie. Dans un ancien monde abandonné, dans des ruines hantées par des monstres, elle tomba sur un vieil Holocron, et l’analysa.

Cet Holocron contenait de multiples formules scientifiques, des milliers de lignes mathématiques. Et elle reconnut ces lignes… C’était le code de Zêta, ou, plutôt, une partie de son code informatique. Elle utilisa ses ordinateurs de traitement pour mieux se renseigner, un travail fastidieux qui lui prit des jours, mais les conclusions qu’elle en tira furent sinistres, à tel point qu’elle les nia pendant un temps. Elle avait en effet remarqué que, dans le code informatique, il y avait des équations évoquant l’idée d’un contrôle mental. Terrorisée par ce que ses recherches impliquaient, Adrienne retourna dans le monde en ruines, et fouilla davantage.

Elle comprit alors que ce monde avait stocké un très vieux laboratoire sith. Elle relança les vieilles machines poussiéreuses, et découvrit que le Sith en place avait travaillé sur l’élaboration d’une machine artificielle qui serait capable de comprendre la Force, mais aussi de la contrôler. Ce que de telles recherches impliquaient dépassaient l’entendement, car elles laissaient entendre que Zêta avait été conçu par des Sith. Adrienne ne pouvait toutefois y croire, car, pour elle, les Sith n’avaient jamais accepté. Ils n’étaient qu’une faction dissidente des Jedi. Adrienne tenta alors de se renseigner sur l’Âge Sombre, en consultant des ouvrages et des registres datant de cette époque, mais constata vite que, pour y accéder, pour obtenir l’accès à ces vieux registres, il fallait des autorisations spéciales. Et Zêta refusa de les délivrer, arguant que se renseigner davantage sur ce passé sauvage ne servait à rien.

Frustrée, Adrienne continua ses recherches, et apprit que, avant elle, il y avait une autre Jedi qui avait tenté d’obtenir des informations sur l’Âge Sombre, et qui avait réussi : Talia. Elle en avait rendu un rapport au Conseil, et, en réponse, le Conseil l’avait envoyé sur Terre, d’où elle n’était jamais revenue. Avec horreur, Adrienne constata que Zêta avait considéré Talia comme étant une Jedi Noire, une rebelle qui avait osé se révolter contre l’autorité de Zêta en désactivant son implant. Adrienne demanda alors à partir à sa poursuite, en allant sur Terre, et cette autorisation lui fut accordée.

Cependant, alors qu’elle partait, les recherches privées d’Adrienne sur le passé de sa Galaxie furent découvertes, et Zêta les consulta…

…Puis il décréta qu’Adrienne était une Jedi Noire, et que la Terre, ce monde lointain, n’avait pas atteint le taux civilisationnel requis, et qu’il était probablement source de corruption pour les Jedi s’y rendant en mission. Dès lors, tous les Jedis figurant sur Terre furent décrétés comme étant des rebelles contestant la Grande Unification, et une force expéditionnaire fut envoyée pour purifier la Terre.

Autres :

Adrienne est une puissante guerrière Jedi. Elle est une redoutable duelliste, maîtrisant à la perfection le sabre-laser, et dispose également de multiples pouvoirs liés à sa maîtrise de la Force, incluant l’envoi d’arcs électriques, entre autre chose.

Remerciements à Yumi Akali Organa, car c’est elle qui m’a fournie l’avatar, et les bases du personnage.

RPs :

1°) The Hunt For Adrienne Sinduul [Nadia Elekya] [EN COURS]

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