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Les terres sauvages / Rencontre avec ma petite soeur [Saune Isley]

« le: jeudi 16 mai 2019, 18:12:20 »

C'est par là. Je le sens... je me rapproche.

Depuis que j'avais quitté ma forêt natale pour aller vivre sur Terre avec ma maman, je n'y étais jamais revenue. Il faut dire que ma vie sur Terre avait largement de quoi me distraire : ma maman, tata Harley, mes amies du lycée, l'exploration de mes pouvoirs... Je n'avais jamais ressenti le besoin de venir m'isoler ici, dans cette portion de nature si sauvage qu'aucun humain ne l'avait déformée. Mais je n'avais jamais coupé complètement les liens avec cet endroit. Grâce à mes pouvoirs d'Alraune, je continuais de rester à l'affût de ce qui se passait dans la forêt, guettant le moindre brin d'herbe grâce à ma connexion au Green. Et il y a peu de temps, j'avais perçu quelque chose de bizarre. Une sorte de vibration générale de toutes les formes de vie végétales de la forêt, si forte que même les animaux l'avaient sentie. Mais ensuite, cette vibration se transforma en un battement régulier, et chaque vibration se ressentait à travers toute la forêt. Impossible d'ignorer une telle puissance, il fallait que j'aille voir de quoi il s'agissait. Je me fis donc excuser au lycée et je partis sur Terra pour découvrir l'origine de ces battements terrestres.

J'aurais voulu que maman m'accompagne, mais elle était en déplacement et impossible à joindre. J'allais donc devoir gérer cela toute seule. Une fois dans la forêt, je marchai à travers les arbres en suivant les pulsations pour tenter d'en trouver l'origine. Plus je m'approchais, plus les battements devenaient puissants, et plus je me sentais nerveuse. Ce n'était pas de la peur, juste de l'appréhension. Je me demandais bien sur quoi j'allais pouvoir tomber pour que ce soit aussi puissant. Cependant, je ressentais aussi un doux frisson de plaisir, comme si mon corps savait inconsciemment à quoi j'allais faire face.

Après une demi-heure d'errance dans les bois, je finis par trouver ce que je recherchais, et j'eus du mal à en croire mes yeux. Là, devant moi, il y avait une chrysalide d'Alraune. Elle était vibrante d'énergie, visiblement toute proche de l'éclosion, il y avait du mouvement à l'intérieur.

« Ouah... c'est incroyable. »

J'avançai précautionneusement jusqu'à la chrysalide, et je posai ma main dessus pour sentir la vie battre à l'intérieur. Mais dès que j'entrai en contact avec elle, des images commencèrent à me parvenir. L'hôte du cocon semblait vouloir me parler, et elle me fit voir tout le début de sa vie. Je vis mon cocon se reformer, un nouvel embryon apparaître dedans, puis je le vis grandir en apprenant comme je l'avais fait. Mais elle bénéficiait aussi d'un lien avec moi qui lui avait permis de voir l'intégralité de ma vie à travers mes yeux. Elle avait beaucoup appris en m'observant de la sorte, et maintenant elle était impatiente de sortir. Je lâchai la chrysalide et tombai à genoux devant elle en réalisant ce qui était en train de se passer.

« Une sœur... j'ai une petite sœur. »

Moi qui croyais que je ne pourrais jamais être plus heureuse qu'en ayant une maman, je sentis un océan de joie inconditionnelle m'envahir. J'avais envie de rire, de pleurer et de crier, et tout ça en même temps. Mais à la place, je posai mes deux mains sur le cocon chaud et tressautant de vie, tentant d'appeler ma sœur à l'intérieur.

« Tu m'entends. Tu es là ? Si tu m'entends, fais moi un signe. »

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Centre-ville de Seikusu / L'empoisonneuse et la folle, nouvelle génération [Hairi Kanzaki]

« le: mercredi 11 mai 2016, 20:56:26 »

Après des semaines de démarches administratives en tout genre, maman avait enfin réussi à m'inscrire au lycée Mishima en tant que 1ère année. Même si j'avais déjà toutes les connaissances que je pourrais apprendre dans cet établissement, ou presque, il était important, selon elle, que je vive ma vie sur Terre comme n'importe quelle autre jeune fille, en attendant que mes pouvoirs soient complètement éveillés et que je ne devienne une gardienne de la nature, une enfant de la grande déesse Gaïa.

Mon premier jour fut une source de multiples inquiétudes pour moi. Dès le matin, les ennuis commencèrent avec mon uniforme. Je n'étais toujours pas habituée au fait de porter des vêtements, leur préférant de loin l'élégance et le confort de ma nudité, mais je ne pouvais décemment pas sortir dans la rue sans rien sur le dos. Du moins, pas si je voulais m'intégrer parmi les humains. Je fus donc obligée de mettre une culotte et un soutien-gorge avant d'enfiler mon uniforme. C'est là que maman s'aperçut que la jupe de mon uniforme avait été taillée un peu trop court, et qu'elle avait sous-estimé l'espace à réserver à ma poitrine. Du coup, il suffisait du moindre coup de vent pour que le haut se serre contre mes seins et que le bas dévoile ma culotte. Personnellement, ça ne me faisait ni chaud ni froid car je ne comprenais pas la portée sociologique du port de vêtements, mais Ivy me mit en garde de faire très attention si jamais le vent se levait ; garder les mains sur ma jupe pour qu'elle ne s'envole pas, et éviter de me tenir face à la brise.

Le deuxième problème arriva lors de ma présentation devant toute la classe. Plongée dans l'inconnu de plein fouet, je m'embrouillai plusieurs fois et j'hésitai en parlant. Et pire encore, une rafale de vent s'engouffra par une fenêtre mal fermée, et ma culotte se retrouva à la vue de tous pendant deux secondes. Comme meilleure impression, on faisait mieux. Heureusement, à l'heure de la pause-déjeuner, un groupe d'élèves de la classe, composé de deux filles et un garçon, vinrent me voir pour me proposer de manger avec eux. J'acceptai la proposition avec plaisir, heureuse de voir que mon discours tremblotant et mon exposition involontaire ne m'avait pas condamnée pour le reste de l'année. Nous échangeâmes des portions de nos repas respectifs, nous discutâmes de sujets divers et variés, je faisais de mon mieux pour donner l'illusion que j'étais une adolescente ordinaire, et ça passait plutôt bien. Durant le reste de la journée, j'eus droit à quelques moqueries à cause de mon introduction, mais rien qui pouvait m'atteindre. Et si jamais ça allait trop loin, je savais comment y mettre un frein grâce à mes pouvoirs.

Le troisième et dernier problème eut lieu à la sortie des cours quand, manquant de vigilance, je percutai une élève au détour d'un couloir. Embarrassée, je me dépêchai de l'aider à se relever mais, alors que je m'attendais à l'entendre s'énerver, elle resta assez amicale, même enjouée. Elle marcha avec moi durant une partie du chemin du retour, ma parlant comme si nous nous connaissions depuis des années. J'enviais son aisance dans la communication et son comportement joyeux. Elle me donna même son nom : Hairi Kanzaki. Et ainsi, une rencontre qui aurait pu se finir en prise de bec forma ce qui pourrait être le début d'une amitié. Mais les choses se complexifièrent le lendemain quand, arrivant aux toilettes en prenant bien garde de ne pas avoir été suivi par un garçon entreprenant qui, sous prétexte qu'il a vu ma culotte la veille, pouvait croire qu'il avait une chance avec moi, je tombai sur Hairi en train de serrer ses mains autour de la gorge d'une autre fille. J'essayai de l'en empêcher par la seule force de mes bars, mais elle s'avéra plus coriace que je le pensai, et je dus faire appel à mes pouvoirs pour la calmer en lui injectant un tranquillisant végétal dans les veines. Tandis que je regardai son corps évanoui, je ne pouvais pas croire que c'était bien la fille avec qui j'avais parlé la veille. Il fallait que je comprenne. Préférant écouter mon instinct plutôt que mon bon sens, j'utilisai mes phéromones pour m'assurer que la fille agressée ne se souvienne de rien, et j'amenai Hairi à l'infirmerie avant de repartir aux toilettes pour faire ce que j'étais venue faire un peu plus tôt parce que, mine de rien, ça urgeait.

Durant les semaines qui suivirent, je faisais tout ce que je pouvais pour me rapprocher d'Hairi, mais je sentais bien qu'une distance s'était installée entre nous depuis cet incident. Malgré tout, ça ne nous empêchait pas de devenir peu à peu amies. J'appris à la connaître plus en détails, en particulier sur ses troubles psychologiques. Elle pouvait changer de comportement du tout au tout en un éclair, et son traitement ne faisait presque pas d'effet. C'était à la fois une fille gentille, passionnée et ouverte au contact humain, et une furie imprévisible, violente et sourde à toute parole. Je comprenais bien qu'on puisse être rebutée au premier abord par un tel comportement, mais je voulais vraiment devenir l'amie de cette jeune fille, peu importe ce qu'il me faudrait braver. D'abord parce que sa gentillesse lors de mon premier jour au lycée avait apaisé mon esprit de tout ce qui m'était arrivé, et aussi parce qu'elle me rappelait un peu ma tata Harley, une amie proche de ma maman. Avec un peu de temps, peut-être pourrions nous devenir la nouvelle génération ce duo légendaire. Hairi et moi devenions peu à peu inséparables, même si je ne lui avais pas révélé ma nature d'Alraune. On s'amusait ensemble, on étudiait ensemble, elle me faisait découvrir ce qu'était la vie d'une adolescente humaine ordinaire, et je l'aidai à gérer ses crises en lui offrant mon amitié, mon épaule et mon oreille. Nous étions des amies comme on en voit rarement.

Un soir, alors que je rentrai à la maison après avoir passé le début de la soirée chez une autre amie, courant sous la pluie pour arriver au plus vite, quel ne fut pas ma surprise de tomber sur Hairi, trempée et visiblement énervée, même si elle semblait se calmer rien qu'en me voyant.

« Hairi-chan ? Est ce que ça va ? Pourquoi tu n'as pas de parapluie ? Tu vas attraper froid. »

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Plus disponibles / [PRIS]Kanzaki Hairi, la ''Harley Quinn Jr''

« le: mercredi 09 mars 2016, 19:57:22 »

Kanzaki  Hairi

(Cliquez sur l'image pour avoir la version complète)

A part les détails notés ici, vous êtes totalement libre dans l'écriture de la fiche

Informations essentielles

• Nom : Kanzaki
• Prénom : Hairi
• Race : Humaine
• Âge : A vous de voir. Mais dans l'idéal, il faudrait qu'elle soit plus âgée que Kyli, donc 16 ou plus
• Sexe : Femme, évidemment
• Orientation sexuelle : Lesbienne ou bisexuelle
• Expérience sexuelle : Aucune. Elle est aussi vierge que la neige est blanche

Physique

Tout dépendra de l'avatar que vous choisirez si vous ne prenez pas celui proposé

Caractère

Hairi souffre de pulsions incontrôlées qui la poussent à sortir le soir dans les rues, armée de sa batte de base-ball, pour défoncer le crâne de tous ceux qu'elle croise. Si elle ne prend pas ses médicaments, ses crises peuvent arriver n'importe quand. Durant ses périodes de lucidité, elle est gentille, joueuse, taquine et très amicale.

Histoire

Ce que vous voulez. Tenez juste compte du fait que Hairi rencontre Kyli au lycée, donc il faut au moins que votre histoire aille jusqu'à l'entrée d'Hairi au lycée

Relations

• Kyli

Tout comme Poison Ivy et Harley Quinn, Kyli et Hairi sont un duo haut en couleurs. Grâce à ses pouvoirs, Kyli sait retenir les mauvais instincts de Hairi, et Hairi apporte dans la vie de Kyli une bonne dose de fun. De plus, les filles savent se faire plaisir intimement en utilisant bien les pouvoirs de l'alraune. Et bien entendu, elles sont amies comme pas deux.


Autres

Les couleurs préférées de Hairi sont le rouge et le bleu

Je vous invite à aller voir la fiche de Harleen Quinzeel si vous voulez mieux cerner le comportement recherché pour ce personnage. Attention, il ne devra pas être exactement le même, il faut juste reprendre les grandes lignes.

Pour plus de détails, n'hésitez pas à poster ici ou à m'envoyer un MP.

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Les terres sauvages / L'incendie des désirs [Salama]

« le: lundi 07 septembre 2015, 21:48:41 »

Être une alraune possède un tas d'avantages : j'ai des pouvoirs extraordinaires, comme l'émission de phéromones ou la communication avec les plantes, j'appartiens à l'espèce la plus proche de la nature d'un point de vue biologique et je peux assouvir pratiquement toutes mes envies physiques sans trop de problèmes. Cependant, ces pouvoirs entraînent aussi certains devoirs auxquels je ne peux pas me soustraire, peu importe les conditions ou les événements. Quand la nature m'appelle, je dois lui répondre.

Cette journée avait très bien commencée. Après quelques bisous de ma maman pour me réveiller et un bon petit-déjeuner, nous partîmes toutes les deux pour le lycée. Pendant qu'elle donnait ses cours, moi je m'occupais de son jardin et de son laboratoire : j'arrosais ses plantes, je surveillais ses spécimens et, quand j'avais un peu de temps libre, je me livrais à mes propres tests sur mes pouvoirs que je découvrais un peu plus chaque jour. Mais mon bonheur fut cruellement interrompu au milieu de la journée, vers l'heure du déjeuner, quand je sentis comme un déchirement dans mon cœur qui me faisait atrocement souffrir. Ma maman me trouva recroquevillée sur le sol du jardin, en train de pleurer et de me tordre de douleur. Je ne savais pas ce qui m'arrivait, alors elle me demanda de lui décrire ce que je ressentais. Et quand j'eus fini de parler, elle comprit tout de suite. Et comme la douleur ne voulait pas s'en aller, elle m'injecta un calmant d'origine végétal qu'elle combina à une bonne dose d'amour maternel. Je retrouvai mon calme en à peine une minute.

Ivy m'expliqua que ce que je ressentais était un transfert émotionnel de la nature en train de souffrir, une sorte d'appel à l'aide à l'intention des alraunes. Puisque les fleurs et les arbres ne pouvaient pas crier, alors je criais pour eux. Et d'après la douleur que je ressentais encore, ça devait vraiment être grave. Je pouvais même percevoir d'où l'appel venait : une petite forêt près de l'endroit ou j'étais venue au monde. Il fallait que je me rende là-bas pour stopper le problème, réparer les dégâts et guérir les blessés et il fallait que je le fasse tout de suite, mais je ne me sentais pas le courage de partir pour une telle épreuve sans ma maman. Heureusement pour moi, elle était prête à tout pour la nature, qu'elle soit ici ou sur Terra, et accepta de m'accompagner pour voir comment je m'en sortais pour guérir la forêt. Il lui fallut juste utiliser ses pouvoirs de méta-humaine pour endormir la méfiance du proviseur du lycée et ses élèves, ensuite nous partîmes toutes les deux en direction du portail vers Terra qui allait nous amener à l'entrée de la forêt qui m'a vue naître. La zone en danger ne sera pas très loin.

Une fois sur Terra, je laissai mon instinct d'alraune me guider jusqu'à la zone sinistrée, dont je pouvais encore entendre les supplications. Et quand nous y arrivâmes enfin, le spectacle était tout simplement horrible à voir : un incendie avait ravagé les bois, détruisant la moindre parcelle de verdure et tuant de nombreux animaux sur son passage. Et le feu n'était pas encore éteint. Je pouvais sentir les feuilles crépiter et tomber en cendre sur le sol noir et mort. Je souffrais le martyr, c'est pourquoi Ivy décida qu'il fallait nous répartir les tâches : pendant qu'elle allait éteindre le feu, je devais faire renaître la nature partout où l'incendie était passé.

« Mais maman, c'est dangereux d'aller là bas. »

Elle me répondit qu'elle ne craignait rien, que ce n'était pas la première fois qu'elle maîtrisait un feu de forêt. Et alors qu'elle partait pour s'enfoncer dans la forêt, j’attrapai son bras.

« Fais attention s'il te plaît. »

Ma maman me sourit, puis embrassa délicatement mes lèvres avant de partir pour aller calmer le feu. Je la regardai s'éloigner jusqu'à la perdre de vue puis je m'attelai à ma tâche.

Usant de mes pouvoirs d'alraune, j'appelais la vie qui se cachait encore sous terre et qui flottait dans les airs. Car même en proie au feu, une forêt peut toujours renaître de ses cendres si on lui donne un petit coup de main. Je vis les fleurs s'ouvrir à nouveau, les arbres retrouver leurs feuilles et leur écorce, l'herbe repousser pour me chatouiller les doigts de pied. Et à mesure que la forêt reprenait vie, je revivais avec elle. Je m'étais même mise toute nue pour pouvoir me rouler dans l'herbe verte et rire du bonheur que je ressentais. Être obligée de porter des vêtements en permanence était l'une des trois choses que je détestais le plus sur Terre, j'étais donc très contente de pouvoir me livrer au naturisme sur Terra. Autour de moi, je voyais les animaux et les autres habitants de la forêt s'attrouper pour me voir jouer. Je crus même apercevoir des fées.

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Le coin du chalant / Jeune alraune, le monde t'appartient

« le: vendredi 05 juin 2015, 08:41:08 »

Bonjour,

Je suis ici pour les RP, alors faisons du RP. Je peux vous proposer les trames suivantes :

1) Vous voulez faire découvrir le monde à Kyli, que ce soit les environnements ou... autre chose.

2) Vous vous en prenez à une forêt, et Kyli vient vous punir.

3) Vous voyez Kyli guérir une forêt, puis vous venez la voir d'un peu plus près.

Mais je reste bien sur ouverte aux autres propositions.

Merci beaucoup.

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Plus disponibles / [PRIS] Saune, la soeur de Kyli

« le: samedi 09 mai 2015, 20:39:38 »

SAUNE

Avatars proposés

Mon préféré:

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Un autre :

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Très joli, bien qu'il manque de couleurs :

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Un plus mignon :

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Libre à vous d'en chercher un autre.


État civil

• Nom proposé : Saune ==> Vous avez le droit de changer le nom s'il ne vous convient pas ;
  
• Titre proposé : Petite soeur de Kyli (de moins d'un an) ;
  
• Âge : 15 ans ==> Saune a subi une croissance spéciale. Pour avoir plus de détails, allez voir dans la fiche de Kyli ;
  
• Sexe : Féminin ==> Libre à vous d'en faire une hermaphrodite ou non ;
  
• Orientation sexuelle souhaitée : Lesbienne ou Bisexuelle ==> Saune devra nécessairement être au moins lesbienne, mais vous pouvez tout à fait la voir comme bisexuelle ;
  
• Expérience sexuelle souhaitée : totalement vierge ;
  
• Groupe : Créature ==> Une Alraune est nécessairement une créature ;
  
• Pouvoirs et capacités : Pouvoirs classiques d’une Alraune, soit une certaine empathie avec la Nature, un certain contrôle sur cette dernière, la capacité d’émettre des phéromones, etc... À vous de voir !

Relation(s) avec les autres personnages

• Kyli : Kyli est la soeur aînée de Saune. Même si elles n'ont pas partagée la même chrysalide et ne se sont pas encore rencontrées, elles partagent un lien émotionnel très fort, apparu durant leur croissance.
  
  
• Poison Ivy : Saune a été crée à partir du fluide intime de Pamela. Cette dernière la voit donc comme sa propre fille. Elle se considère comme responsable d'elle, et aura en charge de l'éduquer pour qu'elle découvre tout ce que la chrysalide ne lui a pas appris.

Éléments biographiques

• Caractère proposé : Le même que Kyli  ;
  
• Biographie : Après la création de la chrysalide de Kyli, Lili et Raune ont décidé de faire un autre cadeau à Poison Ivy, ainsi qu'à sa future fille : une seconde fille. Étant soeurs, elles savaient à quel point ce genre de lien peut rapprocher et embellir la vie de deux personnes, surtout quand le lien vire à l'inceste, un concept qui n'est pas vu comme honteux ou contre nature par les Alraunes. Grâce à la semence particulièrement fertile de Pamela, une autre plante put être crée. C'est dans cette plante que grandit Saune. Dans cette plante, elle a appris le fonctionnement de la Nature, les différents types d’insectes qui existent, la faune, la flore... Elle a grandi dans ce monde, le temps s’écoulant différemment à l’intérieur de son cocon, par le biais d’un liquide spécial, magique, qui a sensiblement accéléré sa croissance, sans qu’elle ne s’en rende compte. Ainsi, si, dans le monde externe, une journée s’écoulait, pour elle, c’était presque deux semaines qui passaient. L'histoire de la jeune Alraune commence quand on vient la récupérer après son éclosion...

Annexes

• Fiche de Kyli ;
  
• Fiche de Poison Ivy ;
  
• Fiche de Lily & Raune ;
  
• Le RP entre Kyli et Ivy
  
• Le RP entre Ivy et Lily & Raune
  

Pour plus d'informations, n'hésitez pas à me contacter.

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Les terres sauvages / [FINI] Bienvenue au monde [Poison Ivy]

« le: dimanche 03 mai 2015, 00:54:14 »

Un jour, je me suis éveillée. J'avais l'impression d'avoir dormi, mais je n'avais aucun souvenir. J'étais seule, dans un endroit sombre et chaud, dans lequel aucun bruit ne parvenait. Je ne voyais rien, je ne sentais rien. Mais pourtant, je n'avais pas peur. Car, tout au fond de moi, je sentais une présence. Une présence apaisante, rassurante, qui me berçait et me calmait, même si elle n'était pas là physiquement. Elle était plus comme une étincelle, au loin, qui me guidait sur un chemin sinueux que je ne pouvais même pas voir. Et même si je n'avais aucune idée de ce qui m'arrivait, je savais que je pouvais me fier à cette lumière. Je le sentais au plus profond de moi.

Au début, je n'avais qu'une faible perception de ce qui m'entourait et de ce que j'étais. J'avançais, sans me poser de questions, en suivant aveuglément cette petite lumière qui brillait au loin. A bien y regarder, elle était moins ronde, moins parfaite. Elle avait un aspect plus informe. Mais ce n'était pas pour me déplaire. C'est là que j'avais commencé à sentir des choses dans ma tête. Des voix qui résonnaient, qui me parlaient, qui m'apprenaient des choses. Le mot qui revenait le plus était « Alraune ». Mais que signifiait ce mot ?

Encore après, je marchais toujours sur le même chemin. Je commençais à avoir la notion du temps et je comptais pour ne pas me perdre. Mais je ne m'ennuyais jamais. A chaque instant, j'apprenais un peu plus de choses. Et j'en sentais plus. Devant moi, la lumière prenait une forme à cinq extrémités : une ronde, et quatre longues en forme de tiges.

Au fil des jours, j'apprenais toujours plus. Je recevais le savoir des Alraunes, dont je savais à présent que j'étais l'une des enfants. J'apprenais sur les plantes, les animaux, l'univers... Que des choses que je découvrais pour la première fois de ma vie. J'apprenais également sur mon corps, le corps d'une fille... même si je ne savais pas ce que ce mot voulait vraiment dire, hormis que c'était un état biologique. Au milieu de ces informations, une image m'est apparue : celle d'un être vivant, de sexe féminin, que je connaissais pas, mais dont l'image me rassurait. Et, étrangement, elle me rappelait quelque chose que j'avais déjà vu.

Quand j'ai eu la possibilité de sentir mes extrémités, j'avais une certaine compréhension du monde et de mon corps. J'avais également compris pourquoi tout autour de moi était sombre et vide, alors que mes connaissances me montraient clairement que le monde était éclairé, vibrant et grouillant de vie : je vivais dans un espace protégé, coupé du monde, qui m'apportait nourriture et savoir tandis que je grandissais en lui. Après encore quelques temps, j'avais découvert que cet espace était une chrysalide, un cocon végétal dans lequel je baignais depuis que j'y avais été laissée par la femme qui m'avait enfantée, avec le soutien de deux de mes semblables. Ma mère... Ce mot vibrait dans mon cœur. Il me faisait tellement de bien.

J'approchais de ma date de maturité. Il ne me restait plus beaucoup de temps avant d'être prête à sortir de mon confortable cocon pour découvrir le monde. Devant moi, la lumière se faisait plus grande, plus intense et plus nette. Elle prenait une forme vivante, mouvante, une forme qui m'évoquait l'image de celle que je voyais à chaque fois que je fermais les yeux : une femme humaine, à la peau tantôt blanche et tantôt verte, une chevelure rousse comme le feu, les yeux verts, avec des formes féminines à baver d'envie, et vêtue de feuilles comme la plupart des Alraunes. Sauf qu'elle n'était pas Alraune. Elle était humaine. Je le savais. Mais je ne savais pas qui elle était, ni pourquoi son image me revenait aussi souvent. Autour de moi, je sentais que ma chrysalide vibrait. Elle envoyait un message à ma mère pour lui dire de venir, que j'allais bientôt éclore et que j'allais avoir besoin d'elle. Après tout, je ne connaissais rien du monde, hormis ce que j'en avais appris dans mon petit univers noir et chaud. Seule, je n'allais pas m'en sortir.

Ce fut finalement le jour tant attendu. Mon corps et mon esprit étaient prêts, la lumière était toute proche, je pouvais sentir le cœur du monde battre derrière son éclat. Mais je sentais aussi autre chose. La présence d'une personne de l'autre côté. Une personne que j'avais envie de rejoindre, car je savais qu'il n'y avait qu'une seule personne à pouvoir approcher aussi près de mon cocon sans que ce dernier ne l'éloigne. Sans hésiter plus longtemps, j'avais utilisé mes bras, qui tremblaient à cause du manque d'activité, pour toucher la lumière, qui avait une forme humaine, et c'est là qu'elle me submergea...

Je ne voyais plus rien. Puis, pour la première fois, des sons arrivèrent à mes oreilles. Puis des odeurs. Autour de moi, je sentais le fourmillement de la nature omniprésente. Les arbres, les insectes, je les entendais tous. Puis, peu à peu, mes yeux s'habituaient à la lumière. C'est là que j'ai compris que j'étais dans une forêt, remplie par la végétation qui avait poussée autour de la chrysalide pour la protéger. Puis j'ai fini par la voir. Là, devant moi, se tenait une femme. Il m'a fallu un peu de temps, mais j'ai fini par la reconnaître. C'était elle, la femme que j'avais vu dans mes rêves. Celle qui avait la forme de la lumière qui m'a guidée durant les ténèbres de ma croissance. Elle était là, à mes côtés, caressant mon visage et me parlant doucement. Moi j'étais là, complètement nue, recouverte de liquide amniotique. Je la regardais tout en savourant sa voix et ses caresses, qui étaient aussi douces pour moi que du coton. Je savais qui elle était. Et, instinctivement, mon premier mot fut pour elle.

« Maman... »

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Prélude / Fraichement sortie du cocon [Valilouvée !]

« le: samedi 02 mai 2015, 16:18:31 »

KYLI

(Cliquez sur l'image pour afficher la version complète)

Nom : Kyli

Race : Alraune

Âge : 15 ans

Sexe : Féminin

Orientation sexuelle : Bisexuelle, mais elle préfère clairement les femmes

Histoire : Il était une fois une humaine du nom de Poison Ivy, en communion avec la nature, qui avait croisé la route de deux Alraunes, nommées Lily et Raune. Cette humaine avait fait une forte impression auprès des Alraunes, et elles l'aimaient tellement qu'elles décidèrent de lui faire un cadeau : la possibilité de donner vie à un enfant Alraune. L'humaine accepta ce cadeau avec plaisir. Pendant plusieurs semaines, qui lui parurent durer bien plus longtemps, elle se retrouva dans une plante extraterrestre qui la fertilisa allègrement en la remplissant de semence artificielle alraune. Finalement, elle fut capable de donner naissance, non sans quelques souffrances physiques, à un embryon d'enfant alraune. Ce dernier resta dans la plante, tandis que sa mère en fut sortie. Elle alla reprendre sa vie tandis que l'enfant resta ici.

A l'intérieur de cette plante, qui agissait comme une chrysalide, nourrissant et protégeant cette petite créature fragile, l'enfant évoluait et grandissait comme un bébé dans le ventre de sa mère. Dans cette plante, il reçut la connaissance et les comportements génériques de son peuple, les Alraunes : la compassion envers la nature, son fonctionnement, le monde de la faune et de la flore et comment le défendre, que ce soit à Terra ou ailleurs, l'utilisation des phéromones... Et de part l'héritage de sa mère, transmis à travers l'ADN contenu dans ses fluides biologiques, elle reçut aussi des connaissances venant du monde natal de cette femme, la Terre, et certains de ses pouvoirs. Elle partageait également des souvenirs avec sa mère humaine et avec les deux alraunes qui avaient permis à cette dernière de l'enfanter.

Dans sa chrysalide, le temps s'écoulait bien plus vite que dans le monde autour d'elle. Ainsi, une journée à l'extérieur équivalait à presque deux semaines dans son cocon. Neuf jours après son incubation, son corps était déjà sexué : l'enfant était une petite fille. A partir de ce stade, la chrysalide commença à lui transmettre du savoir sur le corps féminin, mais simplement du savoir naturel sans aucune composante émotionnelle ou humaine.

Le processus de croissance continua ainsi pendant plusieurs mois, jusqu'à ce que la fille atteigne l'âge de quinze ans dans sa chrysalide. Son corps était celui d'une adolescente en pleine floraison, son esprit était rempli du savoir des Alraunes et des connaissances de sa mère sur le monde végétal, ses pouvoirs étaient une combinaison de ceux de tous les êtres ayant permis sa naissance. Elle n'attendait plus qu'une chose : que quelqu'un vienne la faire sortir de son cocon pour lui faire découvrir le monde au-delà de la théorie.

Description physique : Kyli possède tous les signes physiques caractéristiques d'une enfant Alraune : la peau couleur verte (vert pomme dans son cas), des fleurs dans les cheveux (des fleurs de lotus dans son cas), les cheveux verts et des feuilles en guise de vêtements. Elle mesure environ un mètre soixante, elle a le visage rond, les yeux d'une jolie couleur magenta, les joues toujours un peu rosies, un petit nez et une jolie bouche. Sa poitrine est très bien formée pour une fille de quinze ans, sans être trop grosse pour autant, de même que ses hanches et ses fesses, grâce à l'injection constante d'hormones de croissance à laquelle elle a eu droit dans son cocon. Ses bras et ses jambes sont élancés.

Elle est très peu vêtue, ne cachant que ses parties intimes avec des feuilles. Elle est plus à l'aise ainsi car elle est habituée à être nue.

Caractère : La personnalité de Kyli a été en partie influencée par ses origines. De par sa nature d'Alraune, elle possède une très forte empathie envers la nature et peut ressentir la souffrance des arbres et des animaux, qu'elle fait tout pour faire disparaître. Comme elle n'a jamais rien connu que l'intérieur de la plante dans laquelle elle a grandi, elle est très timide et très naïve. Son contact avec la nature l'a rendue très douce et très tactile.

Kyli n'est pas douée en relations humaines car elle n'a jamais connu personne du monde extérieur. Tout ce qu'elle sait de ce dernier se résume à ce que sa chrysalide lui a transmis durant sa croissance. De ce fait, elle a tout à apprendre.

Sa plus grande peur est de vivre dans un monde sans végétation car elle craint de perdre les seuls contacts agréables qu'elle possède avec le monde l'entourant.

Situation de départ : Vierge comme un bourgeon pas encore éclos

Autres : Kyli possède tous les pouvoirs classiques d'une Alraune : contrôle des plantes, émission de phéromones, communication avec la faune et la flore... L'héritage de sa mère lui a également conféré le pouvoir de faire pousser des plantes partout. Elle peut notamment utiliser ce pouvoir pour se créer un pénis végétal entre ses jambes.

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Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels :  Je végète sur cette réponse