Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Maya Da Silva

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1
Les landes dévastées / Le Grand Voyage [Shad Hoshisora]
« le: dimanche 28 décembre 2014, 21:17:49 »
« Ruines d’une maison abandonnée à la périphérie de Seikusu – 06 : 00 PM »


Vêtu d’un légging taille haute en cuir de haute qualité noir, d’un gilet sans manche Jaguar et d’une belle paire de botte sans talon blanc, je rentre chez moi tranquillement après ce long moment de détente dans la première boite de nuit Japonnaise que j’ai choisie au pif. Fallait bien commencer par quelque chose pour passer de bons moments à Seikusu ! Mais faut croire que le seul et unique night-club qui me plait se trouve en pleine périphérie de la ville et sachant que je ne peux prendre un bus et encore de moto pour me ramener chez moi, je suis obligé de me taper tout le trajet du retour à pied. Y a pas à dire, c’est vraiment pénible à la fin…. Il m’arrive de temps en temps de raccourcir le délai par un bond sprint hypersonique pour limiter le chemin du retour de quelques secondes, mais il est encore trop tôt pour le faire, bien qu’il fasse déjà nuit. Je préfère effectuer cette manœuvre qu’à partir de minuit généralement. En attendant, je sors mon cellulaire de ma poche et tapoter le numéro de téléphone aux membres de ma famille nombreuse composant le vaste clan familial auquel j’appartiens. Ce n’est pas la distance qui va mettre à terme à nos relations familiales plus solides que le béton armée !

Mais alors que le claquement de mes bottes résonne dans ce  quartier en apparence tranquille que je traverse comme raccourcie afin d’arriver plus rapidement dans mon loft situer à l’étage d’au-dessus de mon restaurant, un son étrange détourne mon regard du chemin pour se coller sur ma gauche, devant cette maison japonaise moderne aux murs décrépie et qui semble être à vendre au vue de la pancarte accrocher tout près de l’entrée du portail. Je ne sais pas comment l’expliquer, mais cela ne ressemble pas à des ultrasons ou infrasons que j’ai l’habitude d’entendre d’un appareil électronique, pourtant je sais de quoi je parle. Non, on dirait plutôt un mélange bizarre et un poil foireux entre le vrombissement et le grésillement qui n’est pas très agréable à entendre. Sauf qu’apparemment le passant derrière moi, un homme d’affaire empoignant une malette de bureau dans son poing droit, ne semble pas prêter attention au bruit.

-   Monsieur ?
-   Euh…. oui mademoiselle ?
-   Vous n’entendez pas comme un son désagréable venir de cette maison ?
-   Non, pas vraiment, vous avez du confondre avec autre chose peut être…..
-   Mouais…. Vous avez raison…..

Je mime de ne plus prêter attention à l’endroit et de reprendre route jusqu’à ce que l’individu prend la rue au fond à droite. A ce moment-là, je rebrousse chemin et me dirige devant l’entrée de l’habitat pour y plaquer mon oreille contre. Il n’y a personne, aucun bruit de respiration, mais l’étrange son lui s’y trouve toujours. Mais il y a autre chose….. sniff sniff…… je renifle une forte odeur qui me perturbe : celle du sang.
Je tourne la poignée de la porte qui n’est pas verrouillée, faisant fasse à un intérieur plongé dans le noir absolue. Je glisse une main sur les murs pour repérer un bouton permettant d’allumer la lumière. Je finis par vite en trouver une sur le côté. Les lampes s’allument faiblement et ce que je découvre sous mes yeux me fait plaquer une main choquée contre ma bouche, les yeux écarquillée d’effroi.

Du sang….. une épaisse trainée de sang carmin souille le couloir d’entrée de la maison !

Je pénètre quand même la maison tout en fermant la porte derrière moi. L’odeur sanguine n’est que plus imprégnant. Je m’accroupie devant la flaque pour y poser un doigt et palper la texture. Le sang est encore frais, cela ne fait donc pas longtemps que la ou les victimes ont été massacrées, plus précisément dans les deux heures et demie pour être exacte. Mais le plus intrigant dans cette scène ce sont ces traces de griffures et de pattes d’animal imprimées sur les murs comme le sol de la maison, en plus du plafond. En m’enfonçant plus loin je découvre des pièces saccagées, des meubles renversés, des ustensiles trainant par ci par là ainsi que traces d’affrontements féroces.

-   * Bon sang, qu’est-ce qui a bien put se passer……*

C’est sorti toute seule en Portugais. Ce n’est pas possible !! Comment les voisins d’en face et d’a côtés n’ont pas appelé les flics pour qu’ils inspectent les lieux et placent des banderoles de polices à l’entrée !? Sont tous sourds dans ce quartier ou ils s’été pas la quand c’est arrivé !? Marchant à pas de loup et ne montrant aucun signe de respiration, je me déplace vers la trainée de sang sur la grosse flaque conduisant vers ce qui semble être la cave de la maison. Puis déballant les marches unes par unes, le son dérangeant n’est pas seulement plus fort : la cave est éclairée par la lumière émise par…… et bien…. Une sorte de portail ovale au fond de la pièce. Pour le coup je suis sur le cul, mais littéralement ! C’est la première fois que je vois un tel phénomène. Mille questions se posent dans mon esprit perturbé par cette anomalie. Chose sûr, la trainée s’arrête devant le portail, cela veut donc dire que la « chose » qui a embarquer le corps de ses victimes se trouve de l’autre côté. J’ignore ce qu’il y a là-bas et m’intrigue au plus haut point. Vais-je me retrouver dans l’espace ? Dans la quatrième dimension ? Je sais que je ne crains rien de par ma nature particulière….. N’empêche que dans ce cas de figure ici présent je commence à ressentir un doute. Toutefois je ne peux résister à la tentation de découvrir ce qui se trouve de l’autre côté. Tout d’abord, je plonge une main au travers de la faille dimensionnelle pour voir si je risque pas de perdre un membre, ou que celui-ci se fasse congeler ou carboniser par une énergie quelconque ou autre chose de louche.

Rien. A part une chaleur agréable, rien de dangereux. Bien, dans ce cas j’y entre ! Je passe donc au travers de la faille, me retrouvant brusquement et à ma grande surprise en plein milieu d’une lande déserte, aride, frapper de plein fouet par un soleil orangée aux contraste rouge. Ou comment passé de la nuit au jour. Je balaye les environs autour de moi, baladant mes yeux analysant les vastes pics rocheux, collines et montagnes secs. Je ne m’attendais à tout…. sauf ça. Suis-je dans une dimension parallèle ? Dans une autre planète ? Je l’ignore, mais je compte bien le découvrir. En commenaçant d’abord par explorer cette ré…….

Viiuoum !!

Merde, le portail !!! Il….. Il s’est refermée !

-   FAIT CHIER !!!

C’est l’cas de l’dire ! Me voilà prisonnière a toute jamais dans ce monde dont je ne connais ni d’Adam ni d’Eve ! Je crache un juron bien gras avant de grommeler toute seule, me grattant le dessus du crane tout hésitant entre rester ici en espérant que le portail se rouvre une nouvelle fois, ou bien explorer ce monde inconnue où il est probable de je ne puisse plus jamais revoir la terre……
Un nouveau bruit me sort de ma torpeur. Au nord-Est de ma position, à environ cent mètres de distance. Est-ce la bête immonde ? Difficile de le savoir.

2
Le coin du chalant / Les épopées de Maya
« le: vendredi 26 décembre 2014, 20:38:05 »

Vous aurez ci-dessous des trames qui, une fois réserver, ne pourront pas être refaite. Néanmoins, de nouvelles trames naitront à mesure que l’histoire de mon personnage évoluera (et lui aussi) qui déboucheront plus tard à d’autres plus ou moins épic en fonction de comment les trames précédentes se dérouleront. En effet, je suis très déterminée à rédiger une épopée de mon perso dont la fin est encore indéterminée. Certaines trames exigeront aux joueur un bon niveau de rp, d’autres un peu moins et le restes qui seront juste là pour la détente. Bref, pour plus d’information sur Maya, cliquer sur son nom ci-dessus. Sans plus attendre, voici les Trames !


_________________________________

En cours

TRAME I :
Sujet du topic : Combat puis Social et peut-être du Hentai.
Nombre de participant : 1
Qualité de post : Un peu plus de ligne que la moyenne, pas plus.
Contexte : Maya pose ses premiers pas sur Terra et plus précisément dans une grotte situer dans les landes dévastées. Elle ignore pour le moment où elle se trouve et décide alors de quitter cette grotte pour explorer ces terres inconnues….. Jusqu’à ce qu’elle perçoit l’odeur d’une présence. Serez-vous un amie ? Un ennemi ? Vue les os et crânes qui trainent dans les partages, ce n’est pas le genre d’endroit où il fait bon vivre pour le commun des mortel…...

TRAME II :
Sujet du topic : Social, accompagnement
Nombre de participant : 1
Qualité de post : Moyen
Contexte : Sur terra, le yens n’est pas une monnaie ayant une bonne valeurs. Donc inutile de penser à reconvertir des yens en crédits ou autre monnaie exotiques appartenant à se monde. Alors pour ce faire, elle se lance temporairement dans le mercenariat en proposant les services qu’elle offre en échange d’une somme sonnante et trébuchante : Principalement de la Protection rapprocher. Mais des services respectant une certaine éthique morale importante, donc les meurtres de sang froids de familles et innocents ne sont pas autorisé dans ses contrats. Et gare à celui ou celle qui ne respecte pas cette règle inscrite en or massif………  

Disponible

TRAME II : Libre
Sujet du topic : Combat violent et épique (ou simple combat), Social
Nombre de participant : de 1 à 2 personnes (3 exceptionnellement si grosse activité )
Qualité de post : Moyen
Contexte : Maya Da Silva..... un nom très connue dans l'univers sombre des esclavagistes depuis bientôt un an. " La femme aux 3 milliards de pièces d'or". On ne compte même plus le nombre de chasseurs d'esclaves qui se sont lancé dans sa traque sans jamais revenir vivant. Esclavagistes orcs, démons, archidiables, mages de guerres, elfes noirs, barbares du nord, géants, ogres, demi-dieux.... tous mordent les pissenlits six pieds sous terres. Sur les cinquante célèbres chasseurs d’esclaves connue pour leurs puissance et leurs efficacité sur tout Terra, il n'en reste plus que cinq, dont leurs survie tient essentiellement sur leur refus de ne pas succomber à la prime astronomique et se rabattre sur un "gibier" moins dangeureux. Aujourd'hui, la prime n'est vue que comme un attrape-couillon qu'on brandit à des chasseur d'esclaves rivaux trop con, ou trop téméraire, pour risquer leurs vies en allant traquer Maya. A moins que vous ne soyez pas comme vos prédécesseurs.
Que vous avez une autre approche plus efficace, en plus d'être original......
Ou bien vous vous sentez sûr de votre coups en vous unissant avec plusieurs chasseur d'esclaves puissants et, qu'ensemble, vous reussisiez le coup.
Sachant que celui qui réussirait l'exploit de capturer Maya et la ramener vivante. Non seulement il toucherait la prime..... mais il gagnerait un respect digne d'un dieu suprême. Et peut être bien plus encore !

TRAME III : Libre
Sujet du topic : combat rapide + social.
Nombre de participant : une personne
Qualité de post : Moyen
Contexte : De retour sur Terre, alors que reprends son métier de gérante-cuisinière dans son restaurant Brésilien. Sa cousine, âgée de 32 ans, vient lui rendre visite. Accompagné de sa nièce. Pendant une nuit d'hiver, alors que la cousine de Maya va faire du shopping et laisse sa fille aux mains de sa cousine, Maya Perçoit qu'une présence inquiétante s'est infiltré dans le restaurant. Dans la pièce où se trouve sa nièce. Présence bienveillante ou malveillante ?

3
Les alentours de la ville / Une commande spécial [Tinuviel Lastrim]
« le: vendredi 26 décembre 2014, 15:18:02 »
-   Ça vous fera 2000 yens le repas monsieur……. Merci ! Tenez, une carte fidélité pour le 1001 saveurs. Au bout du dixième repas, ce dernier est gratuit. Au revoir !

Et ça faut un client de plus satisfait de la qualité irréprochable de mes plats servie dans ce restaurant de cinq cent mètres carrées financer depuis tout juste hier, en sifflant 90 % de mes économies faite quand je bossais encore dans l’ancien restaurant de luxe où je bossais, à Rio de Janeiro. Aujourd’hui je suis toute enthousiaste, le sourire aux lèvres presque en permanence. Contrairement à mon ancien lieu de travail, je peux enfin exprimer l’entièreté absolue de toute ma créativité culinaire sans me soucier de l’avis d’aucun supérieur autre que moi et moi seule. De plus, ça a beau être un restaurant populaire, il se démarque largement des autres pour son côté exotiques couplée avec l’originalité des offres et cadeaux offert par la maison. Par exemple, le client qui vient tout juste de quitter le 1001 saveurs a reçu cette carte fidélité en plus d’une pâtisserie « fait maison » gratuit. Ils sont rares les restaurants en ville proposant une carte fidélité et encore moins d’offrir un gâteau succulent en plus. C’est d’ailleurs l’une des bonnes raisons qui fait que la boutique marche bien, rien qu’en voyant le nombre important de table prises par la clientèle et le capharnaüm de la plèbe, avec une ambiance animer par une music de variété Brésilienne cracher par les petites enceintes accrochées sur les murs.
Quant au nombre de salariés engagé est de l’ordre de 1 : un métissé afro-japonnais qui n’a pas eu la chance d’être pris ailleurs que j’ai contacté pour le prendre en tant que caissier, après avoir reçu son cv et sa lettre de motivation par mail. Et ce n’est tout, pas d’autres employés de plus et c’est amplement suffisant. Faux savoir que j’arrive sans problème à gérer aussi bien la préparation des plats et alterner rapidement vers la gestion de la caisse enregistreuse comme ce que je suis en train de faire actuellement, sachant que j’ai ouïe et l’odorat fine pour entendre les client venir vers le comptoir. Mais pour le moment, j’alterne également le rôle de serveuse temporairement, du fait que mon salarié ne n’est toujours pas pointé ce matin. J’espère qu’il aura un motif plus justifiable que celui du réveil qui a sonné trop tard, car ca ne sera pas suffisant pour moi.

Je matte l’horloge mural affichant une heure et demi de l’après-midi pour garder la notion du temps. C’est dingue ce que le temps peut vite passer ! En même temps sa explique aussi pourquoi il commence à y avoir de moins en moins de monde soudainement, les clients retournent bosser et la majorités des clients restant sont soit des retraités ou bien des lycéens faisant l’école buissonnière en allant trainer ici. La plupart sont des garçons. Est-ce le rapport qualité-prix de mes plats qui les intéresse ou bien la tenue légère que je porte sous mon tablier de cuisinière ? Mhuum…. Je serais pour la deuxième hypothèse mais peu importe, tant qu’ils me font gagner de l’argent cela ne me dérange pas. Et vu que pour le moment, le rythme des commandes à fortement diminuer, je peux en profiter pour aller me détendre à l’arrière-boutique en allant me délecter des effluves suaves d’un bon cigare estampillé Montecristo que je sors du paquet posé sur une table de chevet situer dans le salon de mon loft à l’étage supérieur auquel je me trouve déjà. J’allume le bout du cigare avec la flamme de mon Zippo sortir de ma poche puis tirant une puissante latte sifflant plus du tiers de l’épais bâton de tabac, me délectant de l’odeur puissante et acre du panache de fumée épaisse dans ma bouche avant de recracher le tout dans un rond de fumée onduleux. On dit que le cigare et l’apanache du sexe masculin, que cela n’est pas un plaisir que peut aimer une femme du fait que c’est trop puissant pour leurs pauvres organismes fragiles et qu’elles doivent se contenter de la cigarette. Ça peut paraitre vrai en apparence, mais dans la réalité c’est tout autre et cela ne se résume pas qu’à moi, loin de là.

Pour ce qui est de mon objectif principal, ça attendra. Elle a peut-être une importance capitale, mais je sais la mettre de côté pour profiter pleinement de la vie, le tout en ayant une vie normale. Ou presque…… 

4
Les alentours de la ville / L'agence touriste [Tryzox]
« le: jeudi 25 décembre 2014, 22:46:53 »
VrrRRRRRRRRRRAAAAAAAAANNNNG…….BROUUM !!!

Et nan, ce n’est point le bruit d’un avion à réaction mais bien moi traversant la mer en courrant sur l’eau avec la vitesse d’un avion de chasse, s’approchant dangereusement de la côté Est du Japon, interrompant ma course avec autant de discrétion que la météorite qui s’est scratchée dans une ville en Sibérie il y a pas si longtemps qu’ça. Résultat des courses, elle laisse derrière elle un long sillon de sables d’un mètre de profondeur pour dix de long avec un nuage de poussière flotter dans l’air. Heureusement, pour ne pas rameuter tous les forces de l’ordre et les médias du pays, j’ai eu l’idée de choisir cette zone côtière bien éloignée de la ville avec aucun témoin gênant dans les parages pour crier au monstre.
Ou pas…… vu que même cette zone vide de présence humaine en apparence été habité par un vieux pécheur Hermite sapé d’une salopette et un chapeau de paille aussi usés que leur porteur que je viens interrompre sa sieste pénard de la journée en le faisant chuter de son transat ayant connue des jours meilleurs. Ses insultes en japonais confirment bien que je me trouve belle et bien au pays du soleil levant. D’ailleurs, avant même qu’il n’est le temps d’apercevoir l’origine de son réveil salvateur la Brésilienne disparut aussitôt dans la forêt avec sa vitesse surhumaine. Car oui, avant de quitté mon pays natal j’ai pensé tout d’abord à savoir lire, parler et écrire couramment la langue nippone. Compte tenu de mes capacités d’apprentissage et de mémorisation démentielle, il m’a fallu que de quelques semaines seulement pour parler cette langue par cœur. Par contre, je ne pourrais pas dire autant pour l’accent japonais que je ne tiens pas trop à cœur, ce qui explique bien pourquoi je parle toujours avec mon accent brésilienne assez prononcé. Peu importe, ce n’est pas un problème en soi ! Et si la populace locale n’aime pas ça j’aurais qu’à tous les envoyer boulet autant qu’ils sont. Et ils vont certainement devoir s’y faire, parce que je compte bien rester ici aussi longtemps qu’il le faut pour que je puisse trouver les réponses à mes questions. Ceux pour quoi je suis venue ici.

Continuant de zigzaguer entre les arbres, buissons et rochers défilant devant moi à une vitesse irréaliste, je finis par m’arrêter net devant l’autoroute animée par la circulation bouchée de voitures, camions et bus. Ou comment passer du calme maritime et forestier aux pollutions sonores de la vie urbaine en quelques secondes. Je jette un œil sur les panneaux de circulations indiquant les différentes villes de l’île. Cool, Seikusu est sur la liste ! 5 kilomètres à faire !? C’est bien ma veine. En principe ça ne m’aurait pas gêné s’il n’y avait pas tant de témoins oculaires, surtout que je ne passe pas trop inaperçue avec mon sac de voyage taille XXL sur le dos et ma tenue pour le moins suggestive se résumant à une version sexy de la touriste lambda : mini short en jeans, t-shirt court noir avec une paire de lunette de soleil aux montures rose et des baskets. Tenue vestimentaire pas très approprié pour la saison hivernale présente, mais il n’y a même pas un quart d’heure je me trouvais dans un pays où il fait très chaud et humide tous les ans. Ô et puis zut, je vais rejoindre la ville en marchant ! Ça va être beaucoup plus long que d’habitude, je suis d’accord, néanmoins je préfère ça que de cacher mon identité H24 du regard des gens.

6 heures plus tard, je pénètre enfin la ville de Seikusu ! Finalement ce fut plus court que prévue. Peut-être est-ce le fait que je marche vite et que je ne ressens ni fatigue ? Oui c’est pas faux. Comme quoi ce don mystérieux à que du bon, quoique…. Si on excepte le fait que je ne peux ni porter de chaussure à talon, de ne pas pouvoir prendre de transport publique et les ponts en bois.
Tandis que je me fonds plus ou moins parmi les passants, je contemple la ville de mes yeux de jeune touriste lambda avec enthousiasme sur les buildings, magasins et alentours de la ville. En effet c’est vraiment pas mal comme ville. Elle a un aspect plus moderne que Rio de Janeiro. Manque plus qu’à trouver une agence touristique dans les parages. Encore faut t’il que j’en trouve une……
J’interpelle un passant au hasard. Un vieux monsieur soixantenaire pour être exact. A part me dévisager et dire « euuuh…. Non, désolé » rien qui puisse m’aiguiller. Peut-être ce garçon qui doit avoir mon âge ! Et bah nan lui c’est pire, il me jette un vent. Bonjour l’hospitalité des japonais envers les étrangers. Je sais que parler japonais avec l’accent latine doit pas être agréable à entendre mais quand même. MERDE quand même !

Je sors d’une poche de mon short le papier reçu par celui ou celle qui me l’a envoyé il y a un mois de cela, que je regarde pensivement. C’est étrange….. pourquoi n’y a-t-il pas de lieu de rendez-vous ou encore d’énigme quelconque pour m’aiguiller ? A part le fait de se rendre à Seikusu, rien. C’est limite si ce ne serait pas un trôle de mauvais gout. Pourtant elle ne porte pas la moindre odeur olfactive humaine ou animale, alors que l’encre est loin d’être vieille. On dirait que la personne veut que je me débrouille toute seule à le trouver dans son jeu de cache-cache à la noix. Quoqu’il en soit, je compte bien en avoir le cœur net et si cela devient une perte de temps….. Autant rentrer au Brésil et au diable l’origine de ma véritable nature. Je finis par ranger le papier où je l’ai sortir puis continuer mes recherches. En commençant par trouver une agence de tourisme.

5
Prélude / Une super mutante sauvage apparait [Validémonisée avec Mention]
« le: mercredi 24 décembre 2014, 22:12:28 »
Nom/Prenom/Surnom : Maya Da Silva

Âge : 25 ans d’âge

Sexe : Femelle

Race : Mutante (ou E.S.P.E.R si vous préférer)

Orientation sexuelle : Hétérosexuelle de base, mais il n’est pas impossible qu’elle devient bi.

Description physique : Niveau beauté et charme physique, Maya ne manque pratiquement de rien. Si bien qu’on se demande si son gène mutant n’aurait pas favorisé à enjoliver ses formes en plus de sa croissance. Elle laisse une bonne image qu’elle laisse derrière elle ; celle d’une femme souriante, gentille, aimant rire et croquant la vie à pleine bouchée quand l’occasion s’en présente. Mais également d’une demoiselle qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et qui ne met pas longtemps à longtemps à le faire savoir pour ceux qui la côtoient régulièrement, en plus d’être une femme au caractère trempé. On a devant la une Maya arborant un corps respirant la féminité pure et dure, dégageant un doux pardum d’exotisme au travers de sa douce peau mate de Brésilienne métissé trahissant ses origines Amazonienne. Sous ses vêtements on peut apercevoir de magnifiques tatouages sur ses bras représentant des motifs floraux. Un autre sur sa jambe droite est un tatouage aztec et le dernier une petite croix chrétienne sur le côté gauche du ventre. Disposant d’une silhouettes en sablier parfaitement épurées avec un buste où une jolie pair de seins généreux s’y greffe, accompagner de hanches évasées laissant derrière elles des fesses rebondies et volumineuse faites pour qu’on ne quitte pas des yeux ces magnifiques armes de séductions massives que nos mains galopeuses meurent d’envie de palper ces parties irrésistibles. Se terminant part des jambes fuselées se déplaçant avec une démarche lui faisant rouler du cul par un balancement dans ce qui a de plus sensuel. On n’a presque oublié de mentionner ses bras proportionnels à ses formes opulentes, ni trop filiforme, ni trop gros, un juste milieu plus que favorisant. Au bout, des mains finissant par des doigts fins pourvus d’ongles longs. On pourrait presque ne pas faire attention à son poids avoisinant la tonne résultant de la densification extrême de son corps, ce qu’on a du mal à croire avec son mètre soixante-cinq. Pourtant, le fait de sentir ses muscles aussi durs que du béton armée nous donne l’impression que son poids démentiel soit faux. Cela dit, il faut reconnaître que cela peut se montrer handicapant dans certains aspects minimes de sa vie quotidienne. Comme le fait de n’pas pouvoir porter des chaussures à talon sans éclater ces deniers par son poids anormalement élevée.
Un cou fin supportant une tête et une mâchoire arrondie pour un visage aux traits adoucis lui donnant une bouille juvénile qu’on aimerait caresser sans jamais s’arrêter. Mais c’est rien en comparaison de ses lèvres pulpeuses transpirant la luxure torride où un arrière fout de fraise se sent à force de lécher des sucettes qu’elle porte fréquemment dans sa bouche. Filtrant Uue voix chaude et douce teinté d’un fort accent brésilien vite repérable. Un nez épaté dont l’arrête nasale remonte entre une paire d’yeux de velours d’une couleur noisette clair avec de longs cils arborant le bord de ses paupières. Par-dessus lesquelles se trouvent deux cils fins légèrement recourbés lui donnant un certain charisme naturel. Suivit d’une longue chevelure d’ébène luisante pourvue d’une frange sur le devant de son front, pour ensuite venir cascader juste au-dessus de ses jolies fesses. Dissimulant un dos charnu aux reliefs mouvants accompagnés d’une cambrure naturellement courbée. Pour finir, ses longues mèches sur le côté cachent des oreilles collées aux lobes percées par des boucles d’oreilles en or qui pendent timidement.  


Caractère : Marta est le genre de fille qui est très chevale a certaines valeurs et règles morales familial inculquées dans son enfance tels que la sincérité, la politesse, le sens des responsabilités et le sens de l’effort. Elle est croyante mais non pratiquante et sa conception de Dieu lui est propre qu’elle garde pour elle, différente des dogmes monothéistes. Une Déiste en quelque sorte.
Fonder une famille aimante est un projet à long terme que Marta souhaite réaliser plus que tout au monde. Malheureusement elle n’a pas encore trouvé le compagnon rassemblant le strict minimum pour être l’époux correspondant à ses attentes, sans tomber dans le mythe du Prince Charmant qu’elle n’y croit plus depuis belle lurettes. La majeure partie des hommes qui souhaitaient sortir avec elle était soit des montagnes de muscles sans cervelle, soit de potentiel proxénète pervers ou bien d’hommes trop moches pour être à son gout. En attendant, elle continue sa vie quotidienne tout en restant optimiste à l’avenir. Ça fait d’elle une femme presque inaccessible à conquérir, réservée. Chose est sure, celui qui atteindra cet exploit verra chez elle quelqu’un de confidente et amante. Le genre de femme ou l’on se sent faible et vulnérable et pourtant en parfaite sécurité dans ses bras aimants. L’une des rares personnes où l’on s’endort dans ses bras pour se réveiller le lendemain toujours enlacé avec elle. Qui sait remercier a son homme qu’il peut la rendre heureuse. Aucune phobie ne l’habite, pas même une arachnophobie. Elle qui a côtoyé de près des mygales très jeunes et qu’elle a caressée. C’est aussi une femme courtoise qui se montre douce et calme de nature en conversant avec autrui. Social, elle est à l’écoute des autres et se sent à l’aise dans n’importe quel sujet de conversation, qu’il soit politique, social ou d’un simple échange d’avis personnel. Une femme ouverte qui a su faire tomber les barrières dressées par l'éducation judéo-chrétienne et les tabous de la société. Nulle étroitesse d’esprit avec elle. On est loin du cliché de la garce bimbo qu’on les gens d’elle en raison de ses tenues suggestives.
Elle n’est pas non plus une bourrine qui fonce dans le tas en abordant des sujets ou questions brulante tout en se foutant que cela choque ou non la personne. Elle préfère se montrer discrète et y aller en douceur tout en restant honnête dans ses propos, avec un franc-parler personnel qui lui donne du charisme. Sans oublier un sens de l’humour légèrement impertinent sans être cassant. Fine d'esprit, jamais vulgaire, elle sait gagner la confiance de ses amis par son honnêteté. Sa beauté certes, mais aussi et surtout son intégrité. Maya est aussi quelqu’un de patiente, qui ne s’énerve pas pour un reproche ou une broutille, sauf si l’on tente de l’enquiquiner au bout d’un certain temps à coup de remarques machistes et lourdingues de camionneurs ivrogne et crasseux. En effet c’est une femme de caractère qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et sait remettre les gens à leurs places sans nécessairement passer par la case bagarre pour autant par un sens de la répartie pour le moins acerbe. Lorsque ça ne marche pas, ce qui arrive peu souvent en règle générale, donner une bonne correction s’impose et passe irrémédiablement par une castration des plus magistrales. Simple, efficace.
C’est surtout une femme insouciante de rire en plein air, doublée d’une joueuse dépourvue de complexes et bien dans sa peau qui aime les regards complices en jouant sur son corps, ses yeux, son décolleté ainsi que sa gestuelle à replacer une mèche qui la dérange ou à caresser une partie de son cou. Qui sait titiller en finesse sans passer dans le vulgaire pour son plus grands plaisir d’attirer l’attention de la gente masculine. La mutante est et reste une femme qui met un point clair sur le fait de vivre comme un être libre, indépendante et n’étant l’esclave de personne.
Malgré tout, notre chère Maya n’est pas exempte de défauts et il y a bien des choses à dires. Si d’habitude elle n’est pas revancharde, elle fait une exception à la règle lorsqu’on ose faire souffrir ses êtres chers. Dans cette situation elle est consumée par une colère sourde et aveugle où toute tentative de raisonnement est vaine, tant elle est possédée par un malstrom de folie furieuse. Dans les cas les plus extrêmes, elle peut même se montrer sadique envers ses ennemies en faisant en sorte de prolonger leurs agonies en jouant de la musique avec le son des os et osselet qu’elle brise. Cas exceptionnelle, sans être improbable pour autant. Toujours dans ce même défaut, il n’est pas rare non plus qu’elle cause dommages collatéraux et victimes innocentes derrière elle dans son excès de rage, avant de sombrer dans la culpabilité et les regrets une fois ses pulsions assouvies, calmées. Car c’est aussi une bornée têtue comme une bourrique. Une fois une idée en tête c’est presque impossible de la faire changer d’avis. Mais attendez, ce n’est pas tout. Elle peut se montrer égoïste sur les bornes où sa propre personne passe avant les autres, pour le simple motif de ne pas se mêlée a des affaires qui ne la regarde pas ou tout simplement ne pas s’attirer d’ennui, sauf dans certaines situations particulières avec les membres de sa famille tant que c’est justifiable. Râleuse, elle ne supporte pas qu’on la face changer ses habitudes et aura tendance à faire chier la personne qui s’obstinera à lui ôter ses habitudes, même mauvaises.

Histoire :

On n’peut pas dire que l’histoire de Maya a de quoi faire une épopée totalement épic à la superman. Bien au contraire, sa vie a été ce qu’il y a de plus banale au monde. Issue d’une famille Brésilienne vivant à deux pas de la forêt Amazonienne, Maya a grandi dans un petit village tellement paumé que même le pays ne savait pas qu’il existait sur son territoire. Mais c’était également et surtout le genre d’endroit où tout le monde connaissait tout le monde au point que les disputes du voisinage était rares et tenait plus à des broutilles vite réglé autour d’un qui pro quoi. A deux cents kilomètres de Manaus il se trouvait (le village). Le bled était composé exclusivement d’Indien d’Amazonie ayant mélangé modernité et vie traditionnelle. Parmi les valeurs traditionnelles on trouvait le matriarcat, la matrilinéarité, la matrifocale et les cellules familiales dites Avonculat. Maya n’aura jamais connue son père biologique qui n’avait pas une place importante au sein du village. Pourtant c’était peuplé d’au moins un bon millier de vies humaines. La seule chose qu’elle aura su de lui venant de sa mère c’est que c’était un Indien d’Amazonie et c’est tout. L’ongle maternel en revanche avait une place importante dans l’éducation familiale des enfants de leurs sœurs. Il y avait donc sa mère, son oncle et elle. Chose étonante, c’était la seule famille du clan familial auquel ils appartenaient où il avait un enfant unique. Les autres familles avaient au moins une bonne dizaine d’enfants et encore c’était le stricte minimum !

Mais ce qui différentier Maya de tous les enfants de son âge, soit 6 ans était ses capacités physiques hors pairs lui permettant d’effectuer des exploits qui impressionnaient tous les gamins et gamines du village. Le fait de labourer les terres à une vitesse affolante ou encore d’aider les membres de son clan à effectuer des tâches pénibles avec une efficacité équivalant à celle de milliers d’ouvriers. C’était un mystère étrange pour son père et son oncle de ce qu’avait leur fille et pourquoi elle n’était pas comme les autres. Mais d’un autre côté c’était pas une si mauvaise chose. Bien au contraire, c’était même vu comme un signe évident des dieux et de leur existence, ce qui n’empêchait pas malgré tout de se faire tirer les oreilles par sa mère pour les dégâts causées dans certaines zones du village en s’amusant à faire des ricochets avec des cailloux sur le sol qui devenait aussi létale que des boulets de canons. A la fin, le terrain avait des airs de tranchées des baïonnettes tellement il avait morflé, et encore elle n’était très loin d’être à fond dans ses lancées. C’est sans compter sur l’interdiction aux enfants de lui faire des câlins, sous peine de finir avec le cou broyer. Parce que oui, la pauvre Maya ne contrôlait pas totalement sa force monstrueuse à l’époque. Ce n’était pas très gaie faut l’avouer……

Dans sa scolarité se déroulant en ville, elle excellait dans tout à tel point qu’elle sauta de nombreuses classes et recevait des félicitations avec encouragement de ses profs pour faire de hautes études, au grand détriment de ses camarades vomissant leurs jalousies entre eux. Mais pour Maya, cela ne l’intéressait guère. Elle n’aimait pas l’école de base, du coup elle a vite arrêté l’école à peine son premier diplôme acquis à l’âge de 12 ans avant de continuer à vivre chez ses parents. Parce que ouais, si elle avait un diplôme, elle n’avait pas l’âge l’égale pour bosser. Et puis ce n’était pas ses parents qui allaient la forçait sachant ce dont elle est physiquement capable. Ce qui intéressait principalement la jeune donzelle était l’origine de ses pouvoirs dont elle ne savait pas grand-chose, pour ne pas dire rien là-dessus. Mais avant d’entamer cette quête personnelle, il fallait avant tout savoir maitriser ses capacités inhumaine afin d’éviter de causer des dommages collatéraux ou encore de rameuter tous les médias avec toutes les organisations mondiales tel que le S.H.I.E.L.D, Weapon X ou autres en prime. Heureusement que les derniers dégâts environnementaux ont été causé bien loin de la ville…..

Parallèlement à la maitrise de ses pouvoirs et à l’aide de son clan familial, elle préparait une formation de chef cuisinière dont elle a toujours rêvé de faire depuis toute petite. Elle s’y donnait de tout son cœur et niveau gastronomie s’était un cordon bleu chevronnée apte à vous faire des plats dont leur gout était une explosion de saveur exquise et presque divin. Si bien qu’à 16 ans, elle fit l’exception sur les hautes études en se préparant à devenir une chef cuisinière de renommée mondial en allant étudier dans une grande école de Gastronomie. Pour en ressortir à l’âge de 19 ans avec le diplôme en poche. Elle n’aura malheureusement pas eu la chance d’avoir de relation sexuelle avec le moindre partenaire. La raison ? Soit trop beauf, soit trop moche, soit trop con pour son gout. Quelques-uns trop obstiné de vouloir la pénétrer ont finalement réussie à pénétrer la stratosphère de la terre plus vite que la Team Rocket.
Elle retourne aussitôt dans son pays natal pour aller bosser dans un restaurant étoilé à Rio de Janeiro en tant que chef cuisinière prestigieuse. Restaurant où elle ne passera que 6 ans avant de poster sa lettre démission et quitter l’endroit sans plus attendre, à cause du bridage de sa créativité culinaire imposé par son boss ainsi que pour sa répulsion pour le luxe outrageux de l’endroit et la mentalité gerbant des clients. Ce n’est que quelques semaines plus tard qu’elle reçoit le courrier d’un anonyme qui savait où elle pourrait trouver les réponses à ses questions et qu’il savait son Nom comme son Prénom. Cette lettre lui informait qu’elle trouverait ce qu’elle cherche dans une ville appeler Seikusu, situé au Japon. Elle se méfiait beaucoup des étrangers, son père et son oncle lui ont bien fait entrer l’idée de ne jamais parler aux étrangers. Mais comme c’était une bourrique et que LA grande question qui l’obsédait avait une importance, elle traversa le pays puis l’océan pacifique en sprintant à une vitesse hypersonique : direction Seikusu.
    

Situation de départ : Grosse néophyte Over 9000.


Autres :

La mutation de Maya fait que son gène mutant soit un portail relié à une dimension parallèle remplie d’énergie auquel la mutante est alimentée par un flux d’énergie extra dimensionnelle de couleur jaune or en quantité illimitée. Invisible à l’ œil nu, non soumise aux lois physiques de notre univers et ne générant pas de chaleur. Ayant pour effet de nourrir ses cellules et ceux à l’échelle Submoléculaire, avec pour effet de fortifiée, stimulée et booster les caractéristiques de son corps tout comme son organisme, lui conférant des capacités physiques a même de tutoyer le semi-divin.  Elle demeure contenue dans le corps de Marta, n’ayant donc pas le moindre impact sur l’environnement. Il n’est pas impossible que le portail puisse s’agrandir par le biais d’un pouvoir capable d’amplifier son gène mutant ou par l’intervention d’une technologie très avancée, pour ainsi augmenter l’approvisionnement en énergie et provoquer par la suite une amplification de ses capacités physiques déjà immense. Chose importante à retenir : sa source d'énergie n'est pas à l'abri d'une tentative de prélèvement forcé de son énergie, un vol ou une absorption à travers une technologie hautement avancée et de quelqu’un à même d’influencer les dimensions parallèles ou influencer l’énergie psionnique.
 
Super-force :

Pour commencer, n’espérer pas un instant à voir en Maya une demoiselle en détresse. Sa force rivalise facilement avec celle de Hulk et Superman réunie tant elle est disproportionnée. En frappant le sol ou en tapant des mains avec puissance, elle peut générer de monstrueuses ondes de chocs dont la force équivaut à des explosions nucléaires dévastatrices. De sa force brute, elle peut faire des bonds dont les plus puissants peuvent la faire quitter la stratosphère et la faire rejoindre l’espace. Comme le fait de soulever facilement des gratte-ciels, des supertankers, des plates-formes pétroliers et portes-avions américains à elle seule. Pulvériser des flottes de cuirassées spatiales à mains nues. Et arrêter en pleine course des astéroïdes aussi imposant que la pyramide de gizeh (en gros, dans les 500 000 tonnes maximum). Pour le moment, sa force se limite à ça (et c'est plus que suffisant !).
    
Super-resistance :

Les os, la peau, les muscles, tout ce qui constitue Marta s’est densifiée à tel point qu’elle possède une invulnérabilité presque absolue de toutes attaques conventionnelles. En plus d’être à même de résister à sa propre force, toutes mes armes à feux de tout calibre comme de toutes catégories, aux mêmes tires que les armes plasmiques et ioniques ne lui feront aucun effet, pas même une égratignure. Vous aurez beau lui envoyer une bombe atomique sur elle et suffisamment puissante pour détruire une planète, la seule chose qui aura été détruit seront ses vêtements, rien de plus. On peut également mentionner sa résistance incroyable à résister aux températures extrêmes. Elle peut se balader à poil au noyau du soleil ou dans une zone plonger dans le zéro absolue aussi longtemps qu’elle le veut, au même titre que de résister à la pression de ce même noyau. Ou encore celle d’encaisser des éclairs sans broncher. Seule des armes blanches fait dans de l’adamantium ou matériaux équivalent peuvent pénétrer sa chair et lui faire mal, tout comme les armes magiques. On peut également mentionner les armes soniques capable d'outrepasser sa résistance surhumaine et la neutraliser par la suite de manière simple et efficace.

Endurance illimitée :

Du fait que l’energie extra-dimensionnelle approvisionne constamment les cellules de Maya, Cette dernière est pour ainsi dire...... infatiguable. Dans le sens où elle peut maintenir des efforts colossaux indéfiniment, sans éprouver la moindre once de fatigue. Cela affecte également son organisme, puisqu’elle n’a plus à remplir la moindre fonction vitale telle que manger, boire, dormir, respirer et déféquer. Bien que dans le cas de respirer, elle ne peut plus communiquer oralement dans le vide spatial du fait qu’il n’y a pas d’air pour faire vibrer ses cordes vocales (et c’est bien logique). Pour finir, cela confère à notre beauté fatale une jeunesse éternelle qu’aucune force temporelle ne pourra altérer. Cela signifie par conséquent qu’elle dispose d’une énergie vitale illimitée.  

Régénération :

Comme si cela ne suffisait pas, cette énergie extra-dimensionnelle booste la capacité de régénération de ses cellules. Il ne faut pas une fraction de secondes pour régénérer des blessures béantes et profondes, moins d’une demi-minute pour reconstituer entièrement des membres organes détruits et autour de 1 minute pour reconstituer l’intégralité du corps de maya, tant qu’il reste une cellule neuronale intacte. C’est sans compter une immunité totale de n’importe quelles drogues, poisons et maladies connue ou inconnues.    

Super vitesse :

Maya peut se déplacer vite, TRES VITE….. En quelques secondes elle peut sprinter à une vitesse hypersonique comme élan de départ, pour que peu de temps après elle aille tellement vite qu’à pleine puissance sa vitesse de course atteint presque celle de la lumière (soit 290 000 km/h). A pleine vitesse, ses coups peuvent facilement générer des bangs supersoniques destructeurs capables d’infliger dégâts aux gens autour d’elle et endommager objets et construction d’ordinateurs par les vibrations de l'air. Le fait de produire des bourraques et autres raffales surpuissante en faisant tournoyer ses bras sur eux-mêmes est également à la portée de Maya. Couplée ça avec ses réflexes adaptées ainsi qu’une concentration intense, elle perçoit son environnement ralentir brusquement et devient quasi intouchable

Super sens :

On poursuit avec ses cinq sens affecter par la fortification démentielle, en commençant par une ouïe. Cette dernière est très sensible aux ultrasons comme aux infrasons, doté d’une très large spectre auditif. Dans une situation de calme absolu ou presque, elle peut entendre le bruit d’un pas de quelqu’un sur de longues distances. Car son ouïe est pour la plupart du temps pollué par l’ambiance sonore.
Un odorat apte à capter des odeurs présentes 24 heures après le passage d’un humain, animaux ou autre. Capable de distinguer une cible parmi un large panel d’odeurs et de la distinguer dans toutes situations que ce soit par décomposition les odeurs dans un spectre de couches successives, qui lui permettent de fragmenter un parfum global en une somme de senteurs distinctes. Mais elle demeure totalement dépendante de la trace laissée temporellement par les odeurs. En effet, disparaissant au fil du temps, elle reste dépendant de la présence d’une infime odeur sur les lieux. La plus infime senteur permet toutefois  à Maya de se lancer sur une piste. Néanmoins, fonctionnant en principe comme les plus grands chasseurs animaux, elle reste également dépendante du vent qui peut porter ou déporter les odeurs.
Une vision parfaite et adaptée pour voir aussi bien à plusieurs centaines de kilomètres tout comme pour observer à l’échelle microscopique par un effort de concentration.       

Super mémoire :

Toujours dans le domaine du cérébrale, Maya dispose d’une capacité de mémorisation des plus monstrueuse, à même de se souvenir avec une haute précision et de restituer la dite information dans une liste exhaustive de détails clarifiés qui lui sont rattachée. Sa mémoire est pour ainsi dire comme une gigantesque bibliothèque où tout est classé et trier, que Maya peut consulter afin de retirer ce dont elle a besoin dans une situation particulière. Toute information est prise en compte : sensation, livres, textes, photos, images, histoires. Ainsi, elle peut se souvenir avec exactitude de moments et événements qui se sont passé il y a de cela plusieurs décennies. Ça le serait un peu moins si l’ont comptait plusieurs siècles et encore beaucoup moins en millénaires, mais cela reste que théorique étant donnée qu’elle n’est pas vécue aussi longtemps.

Résistance télépathique :

Qui dit amplification des ondes cérébrales dit également augmentation des longueurs d’ondes psychique émise par son cerveau. Il en découle alors d’une protection redoutable contre toute tentative psychique/télépathique de quelqu’un ou de quelque chose contre elle : intrusion mental, contrôle psychique, lecture de pensée, illusions mentales et suggestions. Une défense psychique apte à contrer de puissants mentalistes et hypnotiseur.

 

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