Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Léo

Pages: [1]
1
Vous nous quittez déjà ? / Absence
« le: jeudi 02 octobre 2014, 20:43:06 »
J'étais déjà assez occupé ces derniers jours et c'est parti pour durer encore quelques temps. Donc j'annonce que je vais être absent, probablement jusqu'à la semaine prochaine.  :)

Voila, voila.

Oups, trompé de compte, tant pi.

2
Dictature d'Ashnard / Baisse les yeux ! [Pv Mélinda]
« le: vendredi 19 septembre 2014, 15:37:47 »
Je dormais paisiblement, blotti contre Sofia, ma femelle qui était enceinte de notre quatrième enfant. Collé contre son dos, ma main posée sur sa hanche, ne me doutant pas que bientôt j'allais me retrouver à des kilomètres d'ici. C'est à ces heures matinales que les marchands venus des quatre coins de Terra prennent les esclaves pour les emmener loin d'ici. Ainsi ils n'opposaient presque aucune résistance, brutalement sortis de leur sommeil pour être immédiatement parqués dans de grandes cages montées sur des essieux. Trois hommes sont entrés dans notre cage, me soulevant par les bras tandis que le dernier me ceinturait les jambes. Je m'étais retrouvé enfermé dans la cage de transport avant même d'avoir compris quoi que ce soit, affublé d'un collier métallique duquel partait une chaîne qui me retenait comme une vulgaire bête. Ce que je pouvais détester être traité de la sorte, comme ce que je n'étais pas. Je me suis étiré en baillant à m'en décrocher la mâchoire, nu comme un ver à l'exception du bandeau frontal qui ne me quittait jamais. Le chargement s'est poursuivi pendant quelques minutes, jusqu'à ce qu'un marchand richement vêtu donne le signal du départ du convoi. Des hommes armés chevauchaient à côté des cages, prêts à défendre les marchands ou à abattre les esclaves qui tenteraient de fuir. La liberté n'était pas pour aujourd'hui et probablement pas pour demain non plus. Nous avons voyagé toute la journée et toute la nuit, vers une destination inconnue, sûrement pour y être vendus.

Je m'étais endormis dans la cage, pensant pouvoir récupérer de ma dernière nuit écourtée, sous-estimant dangereusement le niveau de connardise de nos geôliers.

"DEBOUTS BANDE DE SACS À FOUTRE !!! ALLER, ALLER, ALLER !!! ON SE REVEILLE MES SALOPES !!!"

Sensible à la délicate et poétique incitation au réveil de mon hôte, je me suis mis à grogner. Emmerder les honnêtes gens en les sortant brutalement de leur rêverie était une sale attitude, pourvu qu'elle ne devienne jamais une habitude. J'aurais bien, cédant à une impulsion compréhensible, qualifié cet infâme trou du cul de connard ou d'enculé. Mais je n'avais pas spécialement envie qu'on fasse un exemple de mon cas en public si tôt le matin, plus tard le fouet viendrait mieux ce serait.

"Connard …"

Grommela courageusement un jeune chiot avant de se manger une énorme baffe dans la joue. Enfin un esclave avec des couilles, dommage que sa maman ai oublié son cerveau à la conception, ça lui aurait plus servi. Quoi que je n'étais pas à l'abri, j'étais rarement le dernier à sortir des conneries dans ce genre de situation. Bref, big up pour le canidé malgré toute l'aversion que j'ai pour son espèce.

À l'arrière de chaque collier se trouvait une petite boucle métallique. Les marchands s'en servirent pour attacher la chaîne de chaque esclave au collier de celui qui était devant eux, formant une belle chaîne, humaine. À-À-À la queue-leu-leu ! On fit marcher le tout dans les rues jusqu'à une grande place noire de monde, au centre de celle-ci il y avait une petite estrade où les esclaves étaient présentés un par un pour être vendus. Beaucoup étaient anxieux ou déprimés, moi cette situation m'excitait, pas au sens sexuel du terme. Avoir un tel public pour moi tout seul, même seulement quelques secondes, il ne fallait pas que je me foire. Je devais leur en mettre plein la vue, afin de décourager les dominatrices du dimanche et de faire mouiller les petites soumises refoulées. Mon attitude allait fortement contribuer à me mettre entre les mains d'une propriétaire manipulable, hors de question de laisser passer cette occasion. Les esclaves se succédaient à l'estrade, tous plus minables les uns que les autres. On leur demandait de donner envie aux acheteurs de les prendre en parlant dans un micro et ils s’exécutaient tous comme de petites salopes ou se taisaient. Certains courageux refusaient de se soumettre et envoyaient le vendeur et la foule se faire voir mais, ils étaient peu et sévèrement punis.

Finalement ce fut mon tour de monter sur l'estrade pour être acheté, je savais déjà ce que j'allais faire et je savais déjà que j'allais morfler pour ça. Je suis monté tranquillement sur l'estrade, savourant ce moment de gloire à venir, me délectant de l'attention que la foule me portait. J'étais parfaitement détendu, ni soumis, ni prostré, ni rebelle, juste détendu. J'ai pris le micro en main, restant quelques secondes sans parler, temps que j'ai mis à profit pour toiser la foule. Menton haut, sourire carnassier, mes yeux fixant les femmes en contrebas avec envie et sans la moindre once de respect. Puis j'ai simplement dit d'un ton autoritaire :

"Toutes à quatre pattes et faites la queue pour venir embrasser mes couilles."

Joignant le geste à la parole j'ai empoigné mon membre viril pour le soulever, pointant de l'index de ma main libre mes testicules qui n'attendaient que leurs jolies lèvres. C'était vulgaire, concis et méprisant, exactement ce qu'il me fallait pour faire mouiller les petites pucelles de l'assemblée. J'ai entendu le bâton du marchand fendre l'air et j'ai fermé les yeux, attendant qu'il me heurte en serrant les dents, hors de questions de crier.

"Humphhh …"

Je n'ai pas crié, juste gémit, mais qu'est-ce que j'ai eu mal. Le bâton m'avait littéralement fauché le genou, me faisant tomber à quatre pattes. Immédiatement après j'ai senti plusieurs coups de bâton me chatouiller le dos mais, je ne regrettais pas. Au moins je l'avais sortie ma connerie maintenant. J'ai également noté dans un coin de mon esprit que "genou = point faible", cela faisait parti de ces choses utiles à savoir, juste au cas où. Maintenant il ne me restait plus qu'à attendre pour voir s'il y avait une petite masochiste friquée dans la foule pour me prendre. Et jolie si possible.

3
Le coin du chalant / Graouh !
« le: vendredi 19 septembre 2014, 00:10:34 »
1) Léo est encore en cage, attendant d'être acheté par une maîtresse. La plupart des terranides sont soit dociles, soit déprimés ou paniqués, voire furieux. Le calme, l'impassibilité de Léo vous trouble, ce n'est pas une attitude commune ici bas et le chaton vous intéresse. Toutefois attention, au moindre signe de faiblesse il prendra le dessus sur vous et les rôles pourraient bien s'inverser. [Social/Hentai]

2) Et pour l'instant seulement ça, car j'attends qu'on me le libère avant d'aller plus loin.

4
Prélude / Petit esclave et grands projets. [Valimuté]
« le: mardi 16 septembre 2014, 17:15:37 »
Prénom : Léo
Âge : 20 ans
Sexe : Mâle
Race : Terranide chat ou lion.
Orientation sexuelle : Hétéro
Situation de départ : Quelques expériences en tant qu'esclave.


Histoire


J'ai grandi avec mon unique frère Max, dans un élevage d'esclaves terranides. Dès la naissance nous avons été séparés de nos parents et placés entre les mains de dresseurs impitoyables. Ils devaient nous inculquer une discipline stricte, nous apprendre à avoir peur de nos futurs maîtres ou maîtresses. En tant qu'aîné c'était à moi de veiller sur mon frère plus jeune, c'était aussi à moi de comprendre comment ce monde fonctionnait pour en exploiter les failles au mieux. J'ai vite compris qu'ici mieux valait ne pas faire de vagues, il fallait se fondre dans la foule des esclaves, être quelconque, banal, sans histoire. Devoir me retenir à longueur de temps a été la chose la plus difficile. Je peinais à contenir mes pulsions et si le sort de mon frère n'avait pas dépendu de moi j'aurais probablement fait le con. Mais voilà il était là, il ne pouvait compter que sur moi, c'était ma seule famille et mes seuls moments de joie dans cette prison. Le quotidien était rythmé par les cris et les humiliations publiques de ceux qui tenaient tête aux maîtres des lieux. Chaque petit manquement aux règles devait servir d'exemple pour tous les autres, car la peur de se retrouver à leur place un jour était la meilleure des chaînes, d'ailleurs les tentatives d'évasion étaient rares. C'était bien trop risqué et aucun d'entre nous ne connaissait le monde extérieur, nous étions tous nés en captivité. Oui, la peur et l'ignorance, c'était leurs deux armes favorites et l'aisance avec laquelle ils maîtrisaient autant d'esclaves à eux seuls m'avait toujours fasciné. Il y avait aussi le cas opposé, les esclaves qui jouaient le jeu et qui étaient récompensés en conséquence, j'étais dans ce cas.


Vers l'âge de 14 ans ma vie allait prendre un tournant inattendu. Je me baladais dans les allées du camp, commençant à m'intéresser au sexe opposé. Les belles esclaves ne manquaient pas ici et dès nos 15 ans il fallait se reproduire jusqu'à notre vente. Ainsi de 15 à 18 ans les esclaves avaient le devoir de donner au moins deux enfants par couple à l'élevage, les plus prolifiques arrivaient à en fournir quatre, voire beaucoup plus pour les espèces avec un temps de gestation plus court. En temps normal c'était les maîtres qui faisaient les couples, mais un esclave aussi bien noté que moi pouvait demander une faveur et choisir lui-même sa femelle. Encore fallait-il trouver la bonne. J'ai eu cette chance, croisant un jour par hasard le regard d'une superbe chatte hybride, ce fut le coup de foudre. Elle s'appelait Tara et nous avions tout deux rougis en même temps lorsque nos regards s'étaient croisés. Le soir-même elle emménageait avec mon petit-frère et moi dans notre cage, notre première fois à tous les deux, un moment magique. Elle est tombée enceinte, puis elle a donné naissance à notre premier enfant Tom, malheureusement l'accouchement s'est mal passé et Tara est devenue stérile.


Ainsi à l'âge de 16 ans on m'a présenté ma deuxième femelle, une chatte hybride aussi. J'étais autorisé à rester avec Tara, à la condition de faire au moins trois enfants à Sofia, la nouvelle venue. J'ai senti dès le départ que Sofia avait des sentiments pour moi, c'était une esclave très bien notée, donc elle avait dû me choisir comme j'avais choisi Tara. Malheureusement pour elle je n'avais plus de place dans mon cœur pour une autre et lorsqu'elle a compris que je ne lui ferais l'amour que tous les neuf mois pour lui remettre un bébé dans le ventre, elle s'est mis en tête que Tara devait disparaître. Rongée par la tristesse et la frustration, elle s'est emparée de Tom qui marchait à peine et s'est débrouillée pour qu'il rampe sous les barbelés pour sortir du camp. Ensuite, elle s'est précipitée à notre cage commune pour avertir Tara, espérant que son instinct maternel prendrait le pas sur sa raison et qu'elle ferait une bêtise, c'était le meilleur moyen de m'éloigner d'elle et de m'avoir pour elle seule. Comme tout plan foireux, ça ne s'est pas passé comme prévu, oui Tara a paniqué, oui elle a tenté de sortir du camp pour aller chercher notre enfant, mais elle n'arrivait pas à passer sous les barbelés. Un seul pouvait passer sous cette clôture et ramener notre fils, mon petit frère âgé de neuf ans qui était encore assez petit pour passer dessous. Il y est allé et attiré par le grabuge je suis arrivé sur place, ne comprenant rien à la situation. Mon fils et mon frère étaient dehors, l'agitation allait vite alerter les gardes, donc je me suis mis à creuser avec Tara, il fallait les rejoindre vite et s'évader pour de bon. Car ce que nous étions en train de faire ne pourra pas être caché et ne sera pas pardonné, c'était la fuite ou la punition, voire la mort.


Les gardes sont vite arrivés comme prévu. J'ai été tiré en arrière et immobilisé au sol, Tara subissant le même sort tandis qu'un homme braquait le canon d'un fusil vers mon frère et mon enfant. Plusieurs tirs se sont fait entendre et les deux se sont effondrés sans vie. Ma femelle pleurait et j'étais anéanti, le seul enfant de Tara que j'aurais pu avoir était mort, mon unique frère aussi et vu la situation je ne la reverrais probablement jamais plus. Il ne me restait plus rien et la punition était encore à venir. Un des gardes s'est approché de moi, couteau sorti, puis il m'a plaqué au sol, agrippant mes cheveux pour m'empêcher de bouger la tête. "Max et Tom c'était bien leurs noms ? Oui, bien sûr que c'était ça, je vais t'offrir un souvenir d'eux sale petit fuyard." J'ai senti sa lame découper la peau de mon front, écrivant avec sa pointe "M T" pour Max et Tom, un moyen d'exposer ma faute aux yeux de tous. J'allais devoir vivre avec cette marque sur mon front, j'allais devoir la cacher, l'expliquer, en avoir honte, comme si leur perte n'était pas une punition suffisante. Tara a été embarquée et j'ai été reconduis auprès de Sofia. Elle avait eu ce qu'elle voulait finalement, elle m'avait pour elle seule, enfin en apparence seulement. Dans les faits j'ai longtemps été inconsolable, rejetant froidement ses avances, jusqu'à ce qu'elle demande un autre service aux dresseurs.


C'est après cette expérience que j'ai radicalement changé ma façon de voir les choses, Sofia avait demandé aux dresseurs de me montrer ce qu'était devenue Tara. J'ai été emmené dans une salle avec un miroir sans teint, histoire de pouvoir voir sans être vu, accompagné d'un dresseur qui semblait impatient de me montrer quelque chose. Puis j'ai vu Tara entrer dans la pièce surveillée, suivie d'un terranide cheval qui tenait une seringue dans sa main. Elle semblait différente, elle haletait et réclamait une piqûre. Piqûre de quoi ? Le terranide a souri avant de lui injecter le contenu de la seringue, il n'a fallu que quelques minutes avant qu'elle ne se mette à se tortiller lubriquement à ses pieds, réclamant son phallus. J'ai voulu détourner les yeux mais, le dresseur avec moi m'a rétorqué d'un ton menaçant : "Tu as intérêt à tout regarder, n'en perd pas une miette ou la punition de l'autre fois te paraîtra douce en comparaison de ce que je te ferais cette fois.". J'ai donc regardé Tara se faire baiser par un homme-cheval muni d'une verge de plus de 30cm, elle ne se souciait plus du tout de moi, totalement accroc à ses nouvelles habitudes. J'étais dégoûté, j'avais été inconsolable des mois entiers pendant que madame prenait son pied à se faire tringler par son poney. C'est alors que j'ai compris qu'il y avait deux types d'êtres vivants : les forts et les faibles. Je faisais partie des forts et Tara faisait partie des faibles, se soumettant sans honte, perdant toute dignité pour satisfaire ses désirs. Un fort ne pouvait que souffrir en s'attachant aux faibles, il convenait donc de les traiter comme ce qu'ils étaient en réalité : des animaux. Quand je suis rentré dans ma cage après avoir vu tout cela, j'ai agrippé Sofia et je l'ai baisée sauvagement contre la paroi de notre prison. En partie par vengeance, mais surtout parce que Sofia aussi n'était qu'un animal elle aussi et que si j'avais envie de me la faire j'avais juste à la prendre. Tout était devenu beaucoup plus simple tout à coup, plus de tristesse, plus de souffrance, mais une colère intense qui allait me servir de moteur pour la suite.


Caractère


L'émotion que Léo ressent le plus est la colère et ses dérivés (domination, agressivité, fierté, indignation, etc). Elle lui sert de moteur pour avancer dans la vie et est au service de ses folles ambitions. Après avoir perdu le peu qu'il avait, il a vécu de longs mois sans rien, seul au fond de sa cage à se torturer l'esprit, il se serait probablement laissé mourir ainsi s'il n'avait eu un électrochoc. Après n'avoir rien eu il veut maintenant tout avoir, il veut le pouvoir, l'argent, les filles, l'influence, tout, il veut tout ce que ce monde à de meilleur à lui offrir. Il ne supporte pas d'être un esclave alors qu'il s'estime intelligent et même supérieur en de nombreux points à ses maîtres. Il ne s'indigne pas contre l'esclavage, il s'indigne du fait de ne pas être, d'après lui, à la place qui lui conviendrait. Il méprise les faibles d'esprit, les assimilant volontiers à de vulgaires animaux de compagnie, il s'interdit donc toute faiblesse pour se distinguer d'eux. Il aime que chaque chose soit à sa place, ainsi il pourra sans problème prendre la défense d'un esclave qu'il estime fort, tout comme il pourra se montrer vicieux et dominateur avec un maître qui ne mérite pas son statut d'après ses critères. Il se passionnera pour la psychologie sitôt libre, il s’intéressera notamment aux techniques de manipulation, à la stratégie, aux subterfuges en tout genre et à tout ce qui pourra lui apporter un avantage tactique en général. Il est du genre à tiser lentement sa toile autour de sa victime, à s'assurer qu'il lui a coupé toute retraite potentielle avant de fondre sur cette dernière et de la dévorer sans la moindre pitié. Il aime les victoires totales, gagner ne lui suffi pas, il se sent obligé d'humilier sa proie, de lui infliger une blessure au niveau de son ego. Son credo est de ne laisser aucune chance à ses cibles, même la plus infime et de ne pas s'encombrer l'esprit avec des foutaises comme l'honneur ou la retenue. Autrefois il a été assez anxieux et raisonnable, mais face au bilan de ce que cette attitude lui avait apporté il a fait un trait dessus. Il fait tout pour ne plus être ni anxieux, ni raisonnable, afin de ne pas revivre la même chose. Et il a peur de l'eau, en partie parce qu'il ne sait pas nager.


Physique


Ses traits félins sont bien plus marqués que chez la plupart des terranides, ainsi son corps est recouvert de fourrure, il dispose d'une queue, sa tête est surplombée par deux grandes oreilles de chat et ce qui aurait dû être son nez ressemble davantage au museau d'un gros minou. Ceci-dit, son museau ressemble plus à celui d'un lion qu'à celui d'un chat, il ne sait pas s'il est un mélange des deux ou s'il est l'un ou l'autre, il n'a jamais trouvé de réponse à ce sujet. De carrure il est plutôt maigre et musclé, misant sur sa vitesse et sa souplesse plus que sur sa force physique, c'est un bon coureur, ainsi qu'un bon grimpeur et un nageur pitoyable. Sa fourrure est jaune et ses cheveux ont toujours poussé abondamment comme une sorte de crinière, signes supplémentaires qu'il aurait quelques gênes du maître de la savane en lui, bien que sa queue, par contre, soit clairement une queue de chat. Ses yeux sont verts, aux pupilles fendues, souvent masqués par sa chevelure qui descend sur son visage. Il a une cicatrice sur le front, un M et un T gravés au couteau, pour Max et Tom : son frère et son fils, qui ont été tués tandis qu'ils tentaient de s'enfuir du camp. Il a pris l'habitude de porter un bandeau bleu et flammes autour de sa tête, pour masquer cette cicatrice qui le nargue en lui rappelant un passé qu'il n'aime pas se remémorer. Il aime s'habiller avec des vêtements amples qui ne gêneront pas ses mouvements, car pour lui l'esthétique compte peu, il lui préfère l'efficacité. S'il y a une discipline dans laquelle il excelle, c'est dans celle qui consiste à cacher ce qu'on pense, il arbore donc en quasi-permanence un grand sourire, peu importe son ressenti réel.


Autres : Rien
Comment avez vous connu le forum : En cherchant un forum rp.
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels : Non

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