Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Cynhaa

Pages: [1]
1
L'Art / Envie de partager.
« le: dimanche 14 juin 2015, 14:56:21 »
J'avais envie de partager mon dernier dessin alors voilà. Et peut être d'autre par la suite ici aussi.

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Réédite no 01 : Premier Test/Essai à l Ordinateur :

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Réédite no 02 : Nouveau Dessin que je n ai pu poster avant.

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2
J ai mal... très mal. J'ouvre les yeux et suis éblouit par le soleil.
*Que c'est-il passé? ha oui... je suis tombé avec l'autre salopard... hmmm? on dirait qu'il a bien amortit ma chute. Depuis combien de temps suis je ici? Surement peu si les autres ne m'ont pas encore rattrapé... Ces hommes et cette filles? Qui cela pouvaient ils être? Aie... Je ferais mieux de me dépêcher.*
je me lève difficilement me tenant les côtes d'une main et ramasse ce que je peux trouver, ramassant le sabre avec le quel j ai occit celui que j avais emporté dans la chute avec moi et prend soins de le déposséder de quelque une de ses affaires et panse mes blessures tant bien que mal avec quelque tissus arracher aux vêtements du macchabée.

J'entends du bruit. *Merde! Mes poursuivants!?* Je me cache dans une faille de la paroie rocheuse et vois effectivement l'autre gusse, accompagné par de nouveaux renforts, ainsi que la jeune femme qui il faut le dire n'avait pas l air en bon état.
*Si seulement je pouvais faire quelque chose...*
mais rien, je ne peux qu attendre qu'il parte mémorisant bien le visage de la jeune femme qui me dit quelque chose mais quoi?

Quand il s’éloigne je quitte l'endroit et marchant une heure et demi environs tout en m’appuyant à l aide du bâton de mon ancien poursuivant, ma vue faiblit. Soudainement le décore change la transition se faisant d’ailleurs assez brusquement. Face à moi se dévoile les couleurs d'un désert. C'est fou comment d un coté il peu y avoir une verdure luxuriante et de l'autre un tombeau de sable. Je suis désorienté et mal en point. Je m'adosse à un rocher me faisant de l ombre, le soleil dans le dos face a l océan de poussière jaune et bois quelque gorgé d'eau m'assoupissant gagné par la fatigue.
*Quand je serais reposé et que le soleil sera bas alors seulement je tenterais d avançais de toute façon ai je le choix derrière moi ce trouve ceux que je dois fuir.*
Je m'endors lentement, la douleur est bien présente mais je tente de l ignorer quand j entend alors

Il ne doit plus être loin nous avons retourné presque tout le coin.

*Quoi les voila encore!? c'est pas vrai! ... ma seul solution est ... le désert...* Je me lève et sans chercher à comprendre commence à m y diriger. *Promis un jour j'aiderais cette femme... je ne sais pas pourquoi mais je la retrouverais*. Le soleil est de plomb... et cela fais maintenant une heure que j avance il ne doit même pas encore être midi. je rationne mes deux gourde n ayant pas le choix si je veux tenir le plus longtemps possible. *bordel un désert quoi...* Je ne peux même pas me dire qu'en marchant droit et en contournant les arbres une fois par la gauche et une fois par la droite je pourrais en sortir... *et cette douleur aux côtes...* je marche ainsi aussi loin que je peux tentant de retrouner vers la terre et finit par m'écrouler de fatigue. non pas que le soleil est entrain de m'achevé, mais juste de fatigue... je tire tent bien que mal mon haut pour recouvrir ma tête et la protéger du soleil.
*Est ce ainsi que tu vas finir? sérieusement? après tout cela? Tiens... voilà que je me parle à moi même maintenant... Et le pire dans tout cela c'est que tu n'as  même pas peur de mourir... est ce dût à la fatigue?* ma vison se floute ...

3
Vous nous quittez déjà ? / Inutilité latente
« le: dimanche 07 décembre 2014, 01:54:51 »
Bon rien à dire pour un personnage qui n avait rien à faire sur un forum qui avait surement beaucoup à proposé et à offrir, mais don je n ai rien su exploité, depuis le début j ai clairement tout foiré, mon écriture ne m aidant clairement pas, je n'ai juste pas sue tirer mon épingle du jeu et c est le cas de le dire car le RP est avant tout un jeu et un forum RP un bac à sable (!?). Blague à part, j aurais aimé trouver et partager des échanges ludiques et pas faires de mon passage sur le forum un gros fail.
Je souhaite donc une bonne continuation aux autres membres joueurs, joueuses, comme staffeurs et staffeuses.

4
Cela fait déjà 3 ou 4 mois déjà depuis ma chute de la cascade. Je n ai toujours pas retrouvé les zones d'ombre de ma mémoire. En revanche je me suis très bien habitué à vivre en extérieur depuis que cette terranide bleue m'a sauvé; entre chasse, pèche et monstre de bas étage en tout genre, j'ai eu de quoi m’entraîner et assimiler quelque pouvoirs de base, je ne parle pas de chose très puissant mais relativement utile comme une simple boule de feu pas vraiment puissante mais extrêmement chaude, cela n'est pas plus mal pour un début de remise en forme dans le but d'assouvir mon désire de vengeance.

En ce début de journée aussi pourri que les précédentes, depuis quatre jours que la chaleur s'est abattue dans le coin, je suis pour la première fois depuis ma liberté retrouvée, aller au marché d'un petit village du nom de Teldanir, je suis tombé dessus par hasard en allant voir les alentour.
Ce village est peu connue car pas très grand, et reculé, principalement agricole. Les maisons sont en bois de pins et de chênes, et dans un style typiquement extrême-oriental. Il est donc resté très traditionnel, leurs spécialités sont les plantes, principalement les herbes médicinales, c est d’ailleurs pour cela que je suis ici, avec cette chaleur j'ai réussi à attraper un coup de chaud et suis tombé malade.

Me voilà au centre du village et le magasin de l'apothicaire se trouve devant moi. Une bâtisse de taille moyenne une lanterne en papier turquoise de chaque coté de la porte dégageant des odeurs d'encens et dessus est inscrit « Apothicaire », j'entre donc.
Un jeune homme au traits elfique, a l'apparence d'une vingtaine d'années humaine, dans les 1m75 les cheveux blancs au yeux complètement noirs, allongé dans un fauteuil rouge, un haut blanc a demi enfilé et portant un bandage autour de la poitrine me regarde à travers une fumée d'opium.

J'entame alors la conversation tout en le saluant d'un signe de tête:
-Bonjour.
-Bonjour, que puis-je pour vous? me répondit il.
-Je viens vous voir car avec cette vague de chaleur soudaine, j ai réussi à être malade, j'ai du coup mal a la tête et le nez qui coule, et ça ne veut pas partir, et je me sens fiévreux.
-Je reviens.

Il part et 10 minutes peu être plus tard il revient:
-Tenez, cela devrait vous soulager le temps de retrouver la forme.
-Qu'est ce donc?
-Du thé dans l enveloppe verte; dans l enveloppe marqué d un 1 ce trouve une plante a mettre dans l infusion de votre thé pour les maux de tête, et dans l enveloppe marquer d'un 2 pour votre nez qui coule une plante dont vous pouvait respirer les vapeurs tout un chiffon ça aidera aussi a faire tomber la fièvre, cela devrait vous aider et vous remettre sur pied dans les trois prochains jours. Pour finir, cela fera 35 pièce.

Je lui donne alors ce que je lui doit, utilisant l'argent des chasseurs d'esclave que j'avais pris soin de garder de coté, puis ajoute:
-Que vous est il arrivé au torse ?
-En ce moment un Griffon vie dans les environs, il niche non loin. Tendis que je faisais une récolte de racine d'efferalgan je suis tombé dessus. J'ai eu de la chance de m en sortir. L'opium est pour la douleur. Faite attention en rentrant chez vous si vous n’êtes pas du coin.
-Je vous remercie, prenez soins de vous. Bonne journée.
-Bonne journée à vous aussi.

Je lui tourne le dos, et pousse la porte, l'air chaud caresse mon visage, et l opium faisant effet m'a migraine à disparu pour l'instant. En revanche j ai du mal à tenir debout. Je pars donc laissant le village, je retourne en direction de la grotte que j'ai fait mienne, il est à peu près 9h cela fait maintenant 20 minutes que j'ai quitté le village et j'ai un peu le temps pour rentrer à l'heure et me faire a manger... De toute façon je suis seul depuis ma rencontre avec cette terranide, et personne ne m'attend nul part. Enfin, bien que c'est ce que je me dit, j'ai comme le pressentiment que c'est faux, mais je ne sais pourquoi... Enfin inutile de  m'embrouiller l'esprit avec... je suis subitement interrompu dans mes pensées.

« GYIIIAAAA! » un cri d'aigle se fait entendre suivi de battement d'ailes, une ombre me survole, tendis que je lève la tête pour vois et observe cet être au corps de lion, aux ailes et à la tête d'aigle blanches, ses pattes avant se terminant par des serres... Il fait des cercles dans le ciel au dessus de moi. Est ce moi qu'il a vue ou quelque chose d'autre? Dans tout les cas je ne veux pas le savoir et un seul mot d'ordre dans ma tête courir. Courir oui! Mais cela fait seulement 25 minutes que je suis parti environ, et les effets de l'opium n'ont pas encore finit.

Je cours tant bien que mal me cacher dans des massifs et des buissons, le bruit de ses cris et des battements ailes se rapprochent, là c est sur, c'est moi le gibier, et je ne suis pas en posture pour l affronter. Et le voici se poser à une trentaine de mètres devant moi, observant de ses yeux perçant les environs. Mon cœur bat accélérant, les effets de l'opium continuant de me relaxer, j'ai du mal a me dire de bouger et courir, soudain un bruit se fait entendre dans les broussailles ou je suis, un lapin n'ayant pas trouvé mieux comme endroit, je redresse la tète et vois le volatile fixant ma direction, il m'a repéré, je n'ai pas le temps de réfléchir.

Je quitte avec hâte ma cachette qui n'en est plus une et cours. Je ne regarde pas derrière moi, et entends la bête s’élancer a ma poursuite, les branches les feuille et les massifs craquant sous son passage, heureusement les arbres dans cette forêt dense le ralentisse, je m'écorche sur des branche abîme, manquant de faire tomber mon paquet que je range entre mon vêtement et mon torse. Je part dans aucune direction favorable, ni en direction du village, ni en direction de mon habitat naturel... combien de temps vais-je tenir, je tends ma main et lance une boule de feu.

« GYAAAAAA! » son hurlement accompagné des crépitement de flamme se font entendre, je l'ai touché, me retournant pour voir cela ne dure pas longtemps, ses yeux colériques et belliqueux m'observe, tendis que son visage a roussi. Je lui en relance une avant de reprendre ma course effrénée, mais apparemment lui aussi et il me rattrape mal grès tout, le voilà plus qu'à moins de 4 mètres. Je dégaine, et me retourne, le menaçant de mon arme pointée vers lui, tendis que de ma main gauche je prépare une autre boule de feu que je m'appète à lui lancé avant de foncer sur lui tout en préparant une nouvelle boule de feu.

Il évite ma première attaque et bloque ma lame de son bec, tendis que je lui colle la boule de feu se trouvant dans la main contre son jabot. Cela lui fait apparemment de l'effet puisque il m'arrache le katana des mains le lançant au loin. Je n'attend pas de temps et cours vers mon arme, la saisis, me retourne, et voilà l'instant d'après la bête ailée sur moi, ses serres m’enveloppant les bras, et soudain, je ne touche plus le sol... A peine le temps de comprendre ce qu'il se passe et me voilà dans de beaux drap, à plusieurs mètres du sol toujours visible cela étant dit... Il n'y a pas un bruit au moins on se sent bien enfin cela serait mieux si se piaf n'avait pas décider de me faire sien.

Je ne peux rien faire ou je vais m'écraser, enfin jusqu'à ce que quelque chose attire mon attention, un bruit d eau, peu être un torrent ou une rivière. Un cours d eau suffisamment large pour ne pas le louper, de plus on c'est rapproché de la terre, et je reconnais l'endroit... Quand j'y pense je me retrouver a voler dans la direction de mon habitat et on passe au dessus de la rivière se jetant en cascade non loin de mon lieu de vie. je n'ai plus qu'a prier pour ne pas me louper, de plus mes coude sont libres de mouvements. Je plie donc mes bras et de mon arme lui entaille la patte droite et de ma main gauche lui lance une boule de feu sur sa patte gauche, je tombe et tendis que je chute, un étrange portail s'ouvre en dessous trois mètre sous moi.

Je passe le portail dans ma chute et m'écrase sur quelque chose de dur, sonné sur le coup, j’attends de retrouver mes esprits avant de me lever 7 minutes plus tard. Je me questionne alors de savoir où je suis. Des Bâtiments de partout et surtout que je n'ai jamais vue. Je suis au sommet de l'un d'eux.
Je regarde autour de moi,il fait nuit, des lumière éclairante de partout cette cité géante. Mais par tout les diables où ai-je atterri?  En regardant derrière moi je vois comme un gros cagibi avec une porte, je vais pour l'ouvrir, elle est fermé évidement.

Une grille entoure ce toit, sûrement pour éviter de pouvoir tomber. Mais d'où je suis je vois un balcon en dessous. Il n'y a rien que je puisse lancer pour faire du bruit, alors je tente de forcer la porte en donnant un coup de pied dedans et rien à faire. Je ne voulais pas en venir à cela mais je ne trouve d autre solution que de me servir de ma boule de feu pour faire sauter les gonds, en espérant qu'elle soit suffisamment chaude pour cela, je fais donc une boule de feu au bout de mon doigt, condensant sa taille habituelle pour augmenter sa chaleur plutôt que ça zone d'effet, et commence en me dirigeant vers elle pour attaquer les gonds.

5
Le coin du chalant / Demande de RP [réédité x1]
« le: vendredi 10 octobre 2014, 20:11:28 »
Tout est dans le titre, le RP de mon coté se passera a la suite de celui ci à peine commencé *facepalm* [Abandonné donc caduc]. Ouvert à toutes propositions n'incluant pas le fait de devenir un esclave.

6
Le coin du chalant / trame Cynhaa, "Se reconstruire" [réédité x1]
« le: vendredi 12 septembre 2014, 02:07:52 »
Sujet du topic : Social et/ou Hentai et/ou combat

Nombre de participants=>hmmm 2 ou 3 et/ou plus intervention de PNJ si combat il y a.

Qualité de post=> j essais en moyenne de faire une page à une page et demi d open office.

Trame :

Quelque jours après avoir rencontré Alice Cyan [Abandonné]:
- Cynhaa se retrouve à devoir reconstruire sa vie, il ne peut retourner chez lui après avoir tuer ses propres parents eux même esclavagiste (ça il s en souvient).
-Il a toujours besoin de retrouver sa mémoire, et veut réussir à libérer le plus de personne réduites à l'état d'esclave.

Lieux : N'importe ou sauf Nexus .

Idée:

- "Rencontrer une ou des personne/s qui a/ont les mêmes idées que lui sur l esclavagisme", ou "un/des esclave/s qu'il tentera de libérer",
- ou bien "une ou des personne/s qu'ils l aidera/ont à éclairer les zones d ombre de sa mémoire" .
- Cela peut aussi être "une rencontre qui le mènera à se ranger au coté de quelqu'un momentanément ou durablement du moment que sa lui apporte quelque chose".
- Ou "Une rencontre qui lui apportera quelque points de repères dans sa vie, ou pourra lui indiquer une/des personne/s plus à même/s de pouvoir l'aider"

Autres possibilités faites m'en part [voir ce topic] :).

7
*Pense en s'éveillant*: Du bruit...? De l'eau... De la pluie...? J'ouvre avec difficulté les yeux, ayant du mal à retrouver mes esprits, voyant flou. Ma vue revient à la normale, je peux voir la cascade qui s'écrase depuis de hautes falaises sur les rochers se dressant comme pour mordre la trombe d'eau. Je me dis alors "Hmmm ma tête!" en effet celle-ci est assaillie par une violente douleur, je n'y pense déjà plus tendis que je tente de me lever, un poids me bloquant sur le moment. Voyant ce qui me recouvre, je pense alors: "Un cadavre? ha oui... je me souviens. C'est l'un des deux hommes. Que me voulaient ils?... Et cette fille... Je me demande ce qu'elle va devenir... Qui étaient-ils?". Je pousse alors le cadavre qui me recouvre et prend le katana qui le traverse de part en part... Il me dit quelque chose. Je l'avais dans les mains avant d'emporter le type avec moi du haut de la falaise tout en lui portant une estocade.

Pensant que de toute façon ce n'est pas en restant ici que cela avancera quoi que ce soit, je me lève tout en rengainant l'arme au fourreau se trouvant sur ma hanche gauche. Je constate qu'il fait nuit, pas le meilleur moment de la journée pour être rassuré, et je n'ai aucune idée de l'endroit où je me trouve. Pourtant j'ai l'impression d'être arrivé jusque là par ma propre volonté ou presque. Je me souviens alors "Ha oui! J'ai tué père et mère. Non! J'ai tué deux raclures de la société... Bon je dois trouver de quoi manger, je dois reprendre des forces, puis m'abriter pour la nuit.". Je fouille le corps inerte et trouve une bourse remplie de quelques pièces, me disant que ça fera l'affaire pour plus tard on ne sait jamais. Je trouve aussi sur lui un couteau long d'environ trente-cinq centimètre au dos de la lame cranté, jamais je n'en avais vue un comme ça, ceci aussi peut être utile; et tien! Une trousse de secours, je ne dis pas non. Je range le tout et me voilà parti.

Bizarrement je me sens en colère... en pensant à c'est deux connards de géniteurs... et leurs pauvres victimes... Pourquoi pensais à eux... Ils ne sont plus. Mais non! Quelques choses décidément ne collent pas. Je n'étais pas du genre à tenter de les fuir ou à leur résister... *grommelant* "hmmmm maudits soient-ils." . Alors j'avance, plus loin une grande bar de fer... Oui celui de l'autre type. Je suis la rivière, n'ayant de toute façon pas d'autre choix... vingt minutes passent et je suis définitivement paumé au milieu de nul part. *grrrroooonnnnrrrr* et en plus j'ai faim...". Je leurs ferais payer à tous, je les tuerai l'un après l'autre, un à un; ça sera long mais tous je leurs ferai regretter. Tien mais j'y pense!" pensais-je, je sors le couteau et l'attache au bâton à l'aide de bout de bandage trouvé dans la trousse de secours; c'est rustique mais je pense que ça m'aidera. Me voilà en pleine nuit à pêcher le poisson... Evidement je ne suis pas vraiment bon.

Je ne sais pourquoi, je me mets alors à réfléchir: "Don... Don... En effet il m'est pratique mais... Pourquoi je ne peux pas me souvenir de ceux que j'ai peux être appris avec? ... Huuuunnnn! *soupirant* Je fatigue, et ces poissons, j'ai du mal à les voir dans le noir."... En plus de cela j'ai mal partout, à me demander comment j'ai pu survivre à une telle chute. C'est surtout mon ventre qui fait mal. Je regarde autour de moi, et mise à part les deux falaises constituant deux murs de part et d'autre de la rivière bordé de sentiers naturels je n'aperçois rien d'autre. Pourtant je sais bien que la nature, "elle!", m'observe; et ce de n'importe où, et partout à la fois, de façon indéterminable. Je dois me trouver un coin où m'abriter pour la nuit.

Je reprends mon chemin... mon harpon de fortune aussi utile qu'une barre à mine, pensant : "Et puis c'est quoi cette barre aussi lourde en guise de bâton de combat... elle doit faire dans les six kilos bon poids.". Tout en marchant je passe devant un renfoncement d'une des falaises et entre... C'est étroit mais je vois de l'autre coté un élargissement. Je m'y glisse, c'est assez grand pour accueil trois ou quatre personnes. Ajoutez à la fatigue le fait que j'ai froid. Je suis tremblant cela va sans dire, et pour couronner le tout il se met à pleuvoir. J'espère qu'aucun animal décidera d'élire résidence ici pour cette nuit...

Je me mets contre une des parois brunes, m'assoupissant, bien trop fatigué pour rester éveillé, mais bien trop conscient de la situation pour me laisser emporter par le sommeil. Le niveau de l'eau dehors commence à monter, je le vois à travers l’étroite et unique entrée. Malgré le bruit menaçant de le rivière grondante je suis rassuré, cela dissuadera sûrement les animaux de ne pas approcher pour ne pas être emportés. Enfin je l'espère, me raccrochant à cet espoir pour me reposer un peu plus sereinement...

8
Prélude / Cynhaa ou "Une Mémoire Quasie Absolue !" [Valimuté]
« le: mardi 26 août 2014, 05:01:00 »
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PERSONNAGE JOUEUR
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Nom/Prénom/Surnom : A abandonné son nom de famille/Cynhaa/Le plagieur perfectionniste.

Âge : 24 ans

Sexe : Homme

Race : E.S.P.er

Orientation sexuelle : hétérosexuel

Description physique : Cynhaa est un jeune homme taillant dans les 1m85 pour environ 70 kilos, avec une barbe de trois jours marron, les cheveux marron longs coiffés en arrière tombant jusqu'aux reins, qu'ils soit attachés ou non, généralement en queue de cheval. Il a un regard patibulaire, et froid , son sourire adoucissant le tableau, vous pouvez même y lire une expression de peine et de solitude. Il est vêtu d'un ensemble blanc hakama et keigoki, dont il laisse le haut ouvert de façon à n'enfiler que le coté droit, laissant voir une musculature finement ciselée, taillée pour le combat, permettant de joindre vitesse, force, dextérité, et précision. Le tout lui donne une apparence laissant croire à un âge plus avancé. Il est chaussé d'une paire de Geta le grandissant d'autant plus, et porte un Katana à la Saya Noir et à la Saego bleu nuit qu'il porte à sa hanche gauche .

Caractère : Cynhaa est partiellement amnésique, il ne sait d’où cela vient. Il a l'impression que quelqu'un ou quelque chose d'important lui a été enlevé. Un sentiment de rancœur, de haine, de désespoir, de vengeance vit en lui, seul moteur de ses vagabondages. Le résultat fait de lui quelqu'un de distant, froid, prudent envers les gens et peu serviable à moins que cela ne lui rapporte quelque chose. Il n’hésitera pas à se salir les mains. Il a horreur de l'esclavagisme mais est prêt à jouer les vendus et à aider les esclavagistes… pour peu que ces derniers soient prêt à lui donner des informations, ou le rémunérer… et ce qu'il ne leur dira pas: les faire payer de leur vie au bout du compte, afin de libérer les esclaves quand il est en position de le faire. Il a l'impression que cela est lié à sa mémoire disparue.
Bien que taillé pour le combat il ne sait pas se battre sans son don, car sans lui il manierait une épée avec la même efficacité qu'un cure-dents. non pas comme ça non.

Histoire :
*Une petite lueur bleu glace pulsante écrit à l'aide d'une plume d'oie dans un journal à la couverture en cuir foncé bleuté. D’ailleurs vous vous demandez comment elle tient sa plume sachant qu'elle n'a pas de main, et bien tout narrateur que je suis, ne pourrais vous le dire. Vous pouvez alors voir ce qu'elle écrit, tandis qu'un vieux gramophone joue une musique plaine de puissance et chargé de colère .

« Je me nomme Cynhaa et actuellement je suis entre nul part et partout... je suis perdu. *respiration lourde de fatigue, tout en regardant autour de lui* … Vous voulez savoir pourquoi?

Je viens de Nexus. J'étais le fils d'un couple d'esclavagistes cruels... et pas qu'avec les esclaves fraîchement capturés dont ils brisaient en premier tout espoir et volonté afin de les rendre plus dociles pour leurs futurs maîtres…
Je devais prendre la suite mais cela ne m’intéressait guère quand je voyais le mal que cela provoquait aux personnes soumises. Bref mes parents donc, me répétaient sans cesse : «Fais des efforts! Apprends à avoir le sens des affaires! Un jour ça sera à ton tour!». Jusqu'au jour où l'on découvrit que j’étais un E.S.Per. Là, les ennuis ont commencés.
Vous imaginez bien, un fils E.S.P.er, pour des parents sans la moindre once de scrupule… Il suffit de bien entraîner le pouvoir du rejeton et puis son avenir est tout trouvé, de la même façon que la fortune des géniteurs.

Tiens, parlons en de mon pouvoir, la découvert s'est faite vers mes 16 ans et demi. Depuis ce jour, je ne vois plus ceux qui étaient mes amis, toujours enfermé à domicile. Je suis un copieur. Pas un simple copieur, je peux analyser, mémoriser, assimiler tout dons, compétences, capacités *pense : appelez cela comme bon vous semble* que je vois à l’œuvre. Que ce soit artistique : peinture, sculpture, instrument; surnaturel : que ce soit occulte, magique ou chimique; ou physique : j'entends par physique que ce soit athlétique ou martial. Pour ce qui est des dons surnaturels, la nature n'est pas limitée aux dons des E.S.P.ers, le pouvoir de morphisme d'un Terranide peux être la cible de mon don de copie, comme toutes autres sources. Puis une fois cela fait, je peux redéployer à volonté n'importe quelles assimilations faites avec une efficacité supérieur à l'original.
Ce pouvoir cependant reste limité à un apprentissage unique par jour : une artistique, une surnaturelle et une physique, pas plus.
La fatigue en fin de journée s'en fait d'autant plus ressentir que les capacités assimilées sont d'un niveau élevé, mais aussi par le nombre que j'en ai assimilé parmi mes trois possibilités journalières. Il m'es déjà arrivé de comater pendant trois ou quatre jours parce que mes parents, si on peut encore appeler cela des parents, voulaient que j'apprenne certaines choses trop éprouvantes à assimiler pour le niveau que j'avais.
Pratique direz vous… pas tant que cela.
Au cas où on ce demande si je peux en mourir la réponse est oui. Bien que toute la fatigue de l'utilisation des répliques soit amoindrie par l'amélioration qu'en fait mon don d'assimilation, et donc moins importante que les originaux, on reste tous soumis à ses propres limites.
On ne peut courir plus que ce que notre corps peut supporter, à moins d’être prêt à avoir le cœur qui lâche. On ne peut battre un gladiateur plusieurs fois champion d'arène sans s'être grandement entraîné, à moins de vouloir se suicider mais pas de sa propre main. On ne peut battre un record de plongée en profondeur sans avoir renforcé ses capacités pulmonaires, à moins d'être prêt à en payer le prix fort.
Pour ma part, je décrirais cela par deux conséquences. Premièrement le cerveau qui lâcherait sur le coup, et si jamais il tenait, ça serait la fatigue due à l’épuisement de l'effet retour subit instantanément en fin de journée qui pourrait m'être létal. Sans compter la fatigue que procure l'utilisation des copies assimilées, qui bien qu'avec un meilleur rendement que l'original se cumule à cela.
Ce don a aussi un autre défaut, vous le saurez bien assez tôt.

Mais recentrons nous sur mon histoire. Pourquoi ne pas parler de la cruauté de mes parents, conséquences menant au fait que je suis perdu?
Alors que je venais de passer la barre des 24 ans depuis environ deux mois, lors d'une journée comme les autres, un nouvel arrivage d’esclave passa devant moi mené par trois chasseurs d'esclave, très bons partenaires commerciaux de mes parents, qui vive avec nous a chaque fois qu'ils ramènent des prises en attendant que ces dernières soient vendus. Le plus proche des trois chasseurs, prénommé Hans (PNJ) me salua, un sourire mauvais en coin. J'entendis mes parents en fairent venir deux mais je ne compris qu'un seul prénom celui de « Noche » (se prononce a l'espagnol «Noché»). Les autres furent emmenés par les deux autres chasseurs d'esclave, dans une autre salle en attendant. Hans resta là à discuter affaires avec mon Père.

Un colosse de deux mètres, balafré, un œil crevé avec deux oreilles de loup perçant sa chevelure noire, et une queue de la même couleur, son torse nu laissant paraître d'innombrables cicatrices se tenait devant moi.
Possédant sans doute les mêmes attributs animaliers, vue les quelques traits de ressemblance avec le monstre qui me regardait, sans mauvais jeu de mots, d'un œil méprisant, le second ou plutôt la seconde était une fille un peu plus jeune que moi dans les 19 ans, sans nul doute Noche (PNJ).
La peau basanée, les yeux couleur saphir, ses cheveux coiffés mi-long aux pointes rebelles noires cachant ses oreilles, portant une veste longue bleu nuit à ceinturon noir tombant à mi-cuisse, un col haut ouvert jusqu'à la poitrine, caché par un foulard rouge qu'elle portait noué autour de son cou délicat, et chaussée d'une paire de bottes montantes rejoignant presque le bas de sa veste ne laissant voir que peu de cuisse qui pourtant laissait croire à de belles jambes longues qui bien que charnue semblait être gracieuse.
Malgré tout, on pouvait lui attribuer tout de même un joli corps svelte aux formes élégantes, sans pour autant avoir une poitrine opulente.
Bien que ferrée, elle marchait avec élégance et à pas feutrés, seul les cliquetis des liens s'étant fait entendre quand elle était arrivée.

Alors que je l'admirais, ma mère dit au colosse : «bats et tue mon fils. Si tu y arrive, toi et ta fille, serez libre ». Alors il se changea en un loup, le plus grand que je n'avais jamais encore vue, il devait sûrement y en avoir des plus monstrueux mais ce fut la première fois que j'en vis un de ce gabarit, ma mère se tourna vers moi et me dit «si tu veux vivre tu sais ce qu'il te reste à faire!».
En effet. Je le savais fort bien… sans aucun mal. J'avais appris tout un tas de compétences et sorts grâce à mon don. Je pouvais en faire ce que bon me semblait, mais ce qui intéresse mes parents est que j'acquières sa forme et le vaincs avec.

Je ne vous cache pas que j'éprouvais toujours le même dégoût.
Pourquoi me direz vous n'ai je pas fuis ou autre? On en vient à l'autre défaut de mon don ou plutôt de sa faiblesse. Le problème viens de Hans, lui aussi est un E.S.P.er, si mon don est de pouvoir apprendre les compétences des autres en les perfectionnant, la sienne lui permet d'altérer la mémoire des personnes afin d'en modifier les souvenirs pour qu'il soit dans l'erreur mais ne pourra pas lui en créer de nouveau, en outre il peut enfouir des pensées, les verrouiller afin qu'une personne ne puisse plus y accéder; mais il ne peut pas faire disparaître les compétences des autres, juste bloquer l'accès aux connaissances permettant de les utiliser, aussi il ne peut toucher à l'instinct de survie, et cela marche de façon permanente sur lui même, restructurant sa mémoire si besoin est afin de s'auto-protéger de toutes tentatives d'intrusions dans sa mémoire.
Voyez vous le problème? Je ne peux apprendre une compétence de ce genre, ça reviendrait à ce que paradoxalement le remède soit aussi le poison. Et qui plus est un bretteur hors-paire, face a lui tout ce que je suis se résumant à ma capacité d'assimilation améliorée, le simple fait de me le verrouiller reviens à me faire perdre toute défense.

Enfin je m'égare … donc je suis face à ce molosse m'arrivant à hauteur de nombril, une envie de me tuer dans son œil au regard haineux. Mon Père me retira mes bracelets remplis d obsidienne tout en ajoutant : - Hans peux-tu surveiller qu'aucuns ne tente de s'enfuir? A la grande surprise du loup géant et celle de sa fille, je revêtis la même forme que lui. Une copie conforme, mais statistiquement bien meilleur.
Le mauvais moment passé, après m'avoir passé les bracelets mon Père me convia à regagner ma chambre,  tandis qu'il resta avec ma mère, Hans et Noche . Tout en montant les escaliers je jetais un regard noir sur le tableau qui se présenta : ma mère tenait le visage de la jeune Terranide dont la veste fut retirée, et je pus apercevoir son corps sublime, une couleur de peau foncée mielleuse, des seins comme je les imaginais non pas explosifs mais plutôt modestes sans pour autant être trop petits aux bouts desquels pointais deux tétons à croquer. Puis j'entendis dire :
- Oui cette petite fera l'affaire. J'imagine qu'elle est vierge?
Hans répondit : -Vous me connaissez bien depuis se temps *un sourire en coin*.
Je finis de monter les marches et je restais écouter du haut de l'escalier :
- Quand à mon fils, il sera bientôt vendable d'ici deux ou trois mois, le problème c'est qu'il est devenu beaucoup trop fort pour ne pouvoir se balader sans obsidienne, et sa réelle valeur ne vient que de son don, de plus une fois dehors il n’hésitera pas a tuer, le seul pouvant le contenir que je connaisse c'est vous. Je suis bloqué, pourtant il pourrait faire un bon garde du corps ou un excellent esclave à tout faire. Bien évidement mon cher Hans si vous voulez augmenter vos fin de mois, vous pourriez lui trouver des acheteurs intéressés par des personnes qui ont du tempérament.
- Cela ne me gênera pas d'alourdir ma bourse mais ça va être difficile de trouver un intéressé.
- Nihihi. Enfin selon notre accord habituel vous resterez surveiller les esclaves, mais mettez vous à l'aise, vous connaissez la maison.
- Bien évidement.
Le soir même alors que je fermais les yeux pour dormir, j'entendis du bruit :
- Voix A: Où est-elle?
- Voix B: Je ne sais pas elle à réussi a disparaître.
- Voix De Hans : - Il faut la retrouver, il se peut qu'elle s'en prenne à Cynhaa.
Je pensais alors : «Et tu penses vraiment que c'est juste du domaine de la possibilité? Quand une possibilité à 1 000 000 chances sur 1 000 000 de se réaliser on appelle ça une certitude ». La seconde qui suivit une ombre noire se trouvais au dessus de moi. Deux perles bleues me regardaient, une gueule bavante au sourire édenté qui criait vengeance, un couteau dans la bouche.
Je murmurais posément alors : - Tiens tu es enfin la?
Elle reprit forme Humaine, prenant le couteau dans ses mains, des larmes perlaient sur ses joues et elle rétorqua d'un: Fermes la!
Précipitamment je plaqua ma main sur sa bouche, esquivant un coup de couteau réactionnaire auquel je m'attendais qui passa près de ma joue gauche pour aller se planter dans l'oreiller : - Tu devrais faire moins de bruit si tu ne veux pas que l'on te trouve.
Des bruits de course dans les escalier se firent entendre.
Hans toquant a la porte : - Hééé le gagne pain avec qui je me ferais les couilles en or! Ouvre la porte!
Je répondit : - De un! Ne vend pas l' E.S.P.er avant qu'il ne soit dressé, et me concernant c'est loin d’être le cas.  De deux, Ta gueule! Les gens normaux dorment à cette heure ci.
- Ha oui? Et c'était quoi ce cri!?
- J'ai fait un cauchemar!
-Ha oué!?
- Oué! J'ai vue ta tête dans mon rêve et le pire c'est quand elle la ouverte. Comme toi maintenant... Sauf que j'ai pas besoin de te voir pour te demander de la fermer mais juste à gueuler à travers la porte.
- Espèce de… Je te jure si tu ouvre pas demain je te saigne.
- Me saigner et faire perdre la qualité de la marchandise?
- Ok tu verras demain!
- C'est ça. C'est ça.
Hans partit, je pus alors m'occuper de la visiteuse nocturne :
- Tu n'es pas obligé de me croire mais je suis désolé pour ton Père. C’était lui ou moi. Tu as le droit de me détester et me haïr, je me hais suffisamment déjà moi même. Mais me tuer ne changera rien.
J'enlevais alors ma main de sa bouche, elle repris son souffle, retira le couteau de l’oreiller, s'enleva d'au dessus de moi et s'exprima d'une voie chaude pleine de peine tandis qu'elle fondait en larme à genoux sur le lit à coté de moi :
- Pourquoi …?
- Je ne peux pas te répondre. C'est comme ça, il aurait pu refuser ce combat, accepter sa vie d'esclave, mais il ne voulait sûrement pas que toi tu en sois une, lui dis-je tout en contemplant le plafond dans la position dans laquelle elle m'avait laissé en s'ôtant de moi tandis qu'elle continuait de pleurer. Mais que dirais tu si je te proposais de trouver un moyen de fuir? Je resterais avec toi jusque à ce que tu trouves des tiens avec qui tu seras en sécurité. Malheureusement avec ces bracelets je ne peux rien faire. Le hic est qu'il faut la clef de mes brassards, et je ne sais pas ou ils la cachent. Mais bon, dors ça te portera conseil, de plus ils surveilleront la maison toute la nuit tu ne pourra pas aller bien loin pour ce soir.
Je me suis levé et poussa de la paume de la main pour qu'elle s'allonge sur son dos, puis lui tira les draps par dessus elle continua à sangloter pendant quinze minutes puis s'endormit d'épuisement. Quand à moi je ne pus fermer l'œil de la nuit. J'avais attrapé le coup de foudre pour cette jeune femme qui contrairement à moi avait eu plus de couilles et d'audace à risquer sa vie juste pour tenter de tuer une personne dont elle voulait se débarrasser. Me passant la main sur la joue puis regardant ma main je pensais alors : "Tiens? Du sang …"

*Le gramophone continuant, changeant de piste, cette fois une musique annonciateur de danger face au quel on veut se rebeller et le défier.*

Le lendemain je descendis avec elle.
Hans s'exclama :- HAAAA! tu es la petite traînée! Tu nous à fais te chercher toute la nuit durant.
Moi : - TU PEUX NOUS LAISSER OUI!?Y A PAS EU MORT D'HOMME QUE JE SACHE.
- Cynhaa comment parle tu a Hans!?
- Toi le vieu mets la en veilleuse. Lib …
Un coup de poing de la part de Hans me vola dans l’estomac :
- Tu sais!? Je n'ai pas besoin de ton père pour te la faire fermer. D’ailler pour hier soir, elle était bien avec toi non!? Ça s'entait la chienne! Elle était comment? Hein!? Je suis sur que maintenant tes parents n y verront aucun mal si je m'en sert. après tout je me doit de vérifier la marchandise que je leur refourgue.
Je tombai dans le coma puis me réveilla trois heure plus tard.
Tout en ouvrant doucement les yeux je vis ma mère tenant Noche nue à coté d'elle : - Vous deux avez de la chance que sa fleur soit intacte. Alors quelle commencait à faire serpenter une de ses mains entre les cuisses de Noche.
- Je t'emmerdes …
- Tu disais? Non en faite je me moque de tes provocations. En revanche Hans se fera plaisir de te casser, mais ne t’inquiète pas, il ne te tuera pas, on a besoin de toi vivant. Par ailleurs depuis quand as tu autant pris en assurance? Ça ne te ressemble pas; dis moi ce n est tout de même pas à cause d'elle!? et elle se mit a lui caresser son clitoris tout en lui tirant les cheuveux.
- haa. Hnnn … Noche commençait à trembler, sûrement était-elle sensible. Je fronçais les yeux plein de colère et d'impuissance.
-Mon dieu que tu es pathétique. Puis souris la poussant a terre : - toi! va t'habiller! Mais pour l'instant... Relevant les yeux de Noché a quatre pattes par terre afin de me regarder, elle lui piétina le fessier d'un de ses escarpins vermillons qu'elle portait aux pieds et me dit : - Et toi Cynhaa, si elle te plaît tant, je vais êtres te faire une fleure. Tu aura le droit d'être avec elle tout les soirs, complotez tant que vous voudrez, cela me sera d'autant plus satisfaisant quand vous devrait vous dire au revoir, mais si tu veux qu'elle reste en vie, sa virginité devra rester ne jamais lui être prise … et je vérifiais cela scrupuleusement.
- Mère! Je vous jure que nous te jouerons les filles de l'air et tu ne comprendra rien.
- Hahahaha! C'est beau tu as le droit de rêver. Dans deux mois et demi tu partiras. On a trouvé des personnes qui voulez bien de toi pour des combats de gladiateur.

Deux semaines et demi passèrent, alors qu'ils tentèrent de faire céder la Terranide. Nous nous rapprochâmes de peut, mais elle restait distante après tout j'avais tué son Père. Et Comme je le lui avait promis, nous réussîmes deux semaine et demi plus tard à nous échapper, en réussissant à tromper la vigilance des trois Chasseurs d'esclaves et en tuant mes parrents pour leur dérober la clef de mes brassards fraîchement rechargé en obsidienne, avant qu'il ne la cache pour la nuit.
Bien évidement Hans et les deux autres chasseurs d'esclaves se lancèrent à notre poursuite.

Elle voulait rejoindre un lieu apparemment connu seulement des Terranides, me disant que moi je ne pourrais plus la suivre à partir d un certain moment.
Trois semaine s'etait écoulé, tendis que nous avancions, l'un des deux Chasseur d'esclave autre que Hans étant parti devant en éclaireur nous rattrapa. Je le broyas entre deux rochés, une de mes nombreuses acquisitions grasse à mon don m’aillant permis de manier les éléments lié à la terre. Seulement ça laisse des traces, et il fallut donc reprendre immédiatement notre routes en doublant de vitesse.
Un jour elle me demanda de faire un détour, j acquiesça à ça raquette, chose que je n'aurais pas du faire :
- Nous ne sommes pas loin de la où mon père les avaient caché.
- De quoi parles tu?
- Tu verras.
Arrivé sur place je vis un tas de ruine au milieu d un bois au loin un bruit de cascade se faisant entendre :
- Où sommes nous? Questionnais-je Noche .
- A un ancien village de Terranides. C'est la que j ai vecu avant qu'il ne soit détruit pour nous capturer.
Alors elle se dirigeât près de ce qui semblé être un reste de cheminé et en sortit un long coffré. En l ouvrant je vis un ensemble blanc et par dessus un long Katana à la Saya noir ornée d une Saego bleu nuit. ainsi qu'une paire de Geta. Elle se tourna vers moi et me dis :
- Tiens ils sont pour toi. Ça appartenait à son meilleur ami  qui est mort pour lui donner une occasion de fuir des chasseurs d'esclaves, ils devraient bien t'aller. De plus tes vêtements sentent le fauve et ça me pique le nez.
Je me dépêchais de me changer derrière un mur en ruine. Puis revins.
- Tu sais que tu es plutôt pas mal en faite? Dit-elle un sourire en coin.
Je me mis à rougir et dit : - nous devrions passé la nuit ici il, le soleil est déjà bien bas.»

La nuit tomba, il faisait légèrement frais voir un peu froid. Je nous créai un abri grasse mon assimilation du contrôle de la terre, et nous nous y installions. Nous nous étions couché dos à dos à environs quatre mètres l un de l autre; je me demandais bien ce qu'elle pouvait penser en se moment, si une fois arrivé à la destination qu'elle escomptait atteindre je ne la reverrai plus... et j’espérais que chaque jour dur plus longtemps, ou que ce voyage ne finisse jamais. Je lançai un œil derrière moi et la vie entrain de me regardait allongé sur le ventre. Me sentant mal je me retournai rapidement, et trois seconde après l'entendis dire : j'ai froid.
Ne pouvant faire de feu pour ne pas signaler notre position je me leva, retira mon haut et la recouvrit. Retournant me couché quelque chose me saisisse la cheville. Je regardais alors et compris, ses yeux miroiter le désir me demandant de rester à côté d'elle, tendis que sa veste qui normalement assez refermé caché ses formes aidé de son écharpe; là lui dénudée l’épaule de telle sorte que je pouvais voir se dévoiler timidement sa poitrine. Elle me fit dos se recroquevillant sur elle même un peu honteuse. Je m’allongeai alors la couvrant et la serrant d un de mes bras, et elle se détendis, tressaillante dans un sursaut de surprise tout en posant sa douce main sur mon bras. Je lui murmurais : - Reste avec moi, tu es la seule grâce à qui j’eus le courage de m'enfuir. Elle se retourna me regarda, un air partagé et indécis; devait-elle rester avec le meurtrier de son père ou quitter celui qui l'avait aidé à sortir de l'esclavagisme et était prêt à tout pour elle.

*Le disque continuant sa course frénétique sur la machine et lui laisse vous jouer un nouvel air calme , emprunt d'un brin de romantisme et de tendresse.*

- La ou je vais tu ne pourras venir je t'ai dit. Tu ne seras pas le bien venu.
- Alors n'y vas pas. Je saurais nous protéger... je trouverais un moyen de nous débarrasser de Hans.
Je l'embrasse langoureusement. Pour moi le temps venait de s’arrêter. Elle avait les yeux qui brillent, une larme roula le long de sa joue et elle eu un léger sourire; puis me rendis le baisé, ses lèvres avaient un goût sucrée, pour elle aussi le temps venait de s’arrêter. J'éprouvais une envie irrésistible d'aller plus loin et tendis qu'elle se plaqua contre moi, passant ses mains sur mon torse,
je la ramenai au sol, puis dégrafai son ceinturon, sa veste se retira presque d'elle même, la dénudant ; tendis qu'elle me détacher mon nouvel ensemble blanc. Nous n'étions pas plus expérimenté l'un que l'autre, et ne savions que faire, je suivais alors mes propres envies. Passant mes mains autour de son cou, je les descendis le long de ses bras, puis les ramenais a sa poitrine. Je me mis à les peloter, tout en stimulant ses tétons qui se mettent alors à pointé : "-hmmmmm...niihiii..." quelques petits gémissements retenus s'échappèrent. L'instant d'après tout en lui léchant les seins, je  fis parcourir une main sur son ventre à plusieurs reprises, la caressant du bout des doigts. Sa respiration se faisait alors plus saccadée, et je redescendais jusque à son bas ventre. Là, sa respiration ralentit, se stabilisant. Je redressais ma tète son visage figé avais un teint rosé, et lui caressa l'entre jambe . D'autre gémissements sortirent de sa bouche, tendis qu elle se cambra brusquement , et dit essoufflé :
-Si… s'il te plaît... huuunnn... huuunnnn *bruits de respiration* soit doux…
Elle détourna le regard un peu honteuse, son teint passant du rose au rouge. Mon membre saillant se raidit rien qu'à ses mots...
«- D'accord… pour moi aussi... c'est la première fois...» lui répondais-je comme seule acceptation à sa demande .
Je me mis au dessus d'elle, tendis qu'elle écartait timidement les jambes et posais mon gland contre les lèvres de son sexe brun, suintant une quantité astronomique de cyprine . Elle tressaillit de nouveau au premier contact, me regarda du coin de l’œil, de la peur… mélanger à de la confiance se lisait sur son visage mal grès notre différent.
-Es tu prêtes ? demandais-je.
Elle posa sa main sur mes fesses et commença à appuyer légèrement , faisant entrer le grand qui se retrouva collé a son hymen. Sa respiration se fit profonde et lente, la sueur perlée le long de son corps, tendis qu'elle haletait. Enfin fut venu le moment, je forçais son hymen, dabord le deforment tendis qu elle gazouillait de petits bruit douleur son visage crispé, tendis qu'elle se tortillait. Puis sa virginité disparut, dans un grincement aiguë de douleur qui laissa place a un long silence, un peu de sang coula, tendis que ses yeux révulsés et que son corps convulsait; tirant la langue et haletante. Je marquais une pose, et demandais :
-Comment te sent tu ?
En guise de raiponce elle m'entoura de ses bras, et vint m'embrasser langoureusement, et passionnément tout en fermant les yeux.
Je commençais alors à faire de léger vas et viens en elle, qui commença a m'agripper me griffant de ses ongles pointus. Elle me dit entre deux embrassades :
-tu peux… aller plus… vite... *halètement* … tu me fais... me sentir bien… … ...*
Je m’exécutais, accélérant le mouvement, l'entourant de mes bras tendis que l'on s'embrassait. Son vagin était serré comme refusant de me laisser en sortir. Elle se courbait, frémissait, ondulait sous mes coups de reins, et plus elle se tortillait de plaisir et plus j'accélérais. Elle Gazouillait, gémissait, criait avec retenue dans un concerto de bonheur.
Jetais bien, mon corps étais chaud tout comme le sien, mon pénis brûlant en elle et elle autour de moi... Nos corps entre mêlés ne faisant qu'un ne voulant se séparer, chercher a combler le plaisir de l'autre par des caresses, embrassades et léchouilles. Mais, comme toute bonne choses ont une fin, nos corps et nos esprits arrivèrent a bout et dans un ultime sursaut, nous jouissons tout les deux, tendis que son corps se contractait, se cambrant, son intimité se resserrait autour de mon pénis qui laissait s’échapper toute le semence qu'il retenait, inondant dans un grand flot blanc son intimité jusque a en déborder ; Nous accompagnons cela d'un cri orgasmique retentissant dans notre abri de fortune. Nous nous écroulions elle au sol, et moi sur elle, la câlinant du peut de force qu'il me restait, avant de nous endormir.

*Une autre piste . Des mots comme "envie de vivre" , "rester avec l’être aimé", et "tragédie" vous viendrons peut été en tête ainsi. *

« Une voix s'éleva, une voix qui ne m avait pas manqué : -Et vous vous en allez où comme çà?
- Enfuis toi! Criais-je à Noche qui ne se fit pas prier, prenant sa forme de louve et détalant comme un lapin.
-Voyons! Voyons! Soit raisonnable Cynhaa. Tu ne pense pas pouvoir m’empêcher de vous attraper? Tu as tué tes parents, je ne suis plus obligé de partager ta prime de vente avec eux. Allé, suis moi, et je ne te ferais pas trop mal … enfin pas assez pour que cela te soit fatal.

D'un geste de main, il brida mon Don. Je me mis à courir dans la direction où s’était enfuit Noche . Puis deux minutes plus tard, je l'entendis crier de façon quasi inaudible caché par le brui de la cascade qui se faisait bien plus fort. J’accourus dans sa direction. Noche été au sol sous sa forme humaine, la botte de Hans lui écrasant le visage et à coté le chasseur numéro trois.
- On fait quoi maintenant? Hein Cynhaa!?
Je dégainais alors le Katana : -  Retire ton pieds!
 - si non quoi? Je tournai alors la tête vers l'autre chasseur qui sortie un long Bâton de Bõ jutsu en acier et dis : - Tu as peux être battu l'un d'entre nous mais la tu n'as plus rien. Tout ce que tu savais faire as était endigués par Hans, ce n'est plus qu un long couteau que tu agiteras dans tout les sens. Reviens, on ne fera pas de mal à la femelle.
- Je me dois de refuser, je lui ai promis de la sortir de là. Hans dis alors : - Haa ce n est que ca.
L instant d'après je me demandé qui était la fille sous le pied de l’inconnu, ni ne savait qui été la troisième personne à la matraque en acier. Je ne savais qu'une chose, il m'en voulait, et la fille au sol je devais la sauver. Je fondis droit devant en direction de la chute d'eau et eu le souffle coupé. Le bâton en acier dans le plexus, je ne portas par mon attention sur cela et continua d'avancer emportant avec moi l'homme à la matraque, dans le vide  où se jetait la chute d'eau, tout en lui enfonçant la lame dans les côtes. »

* La petite lumière bleu pulsante avance vers vous tendis que la musique change de nouveau* :
- HE!!? Ça va oui!? Ce n'est pas bien de lire les mémoire des gents. Quoi? Moi? Qui je suis? Je suis Cynhaa ou plutôt sa part de conscience dont il n'a plus accès ….  [/b]
*marquant une pose la lumière bleu devien blanche presque morbide puis s'exclame*
HO MON DIEU! JE SUIS DEVENU UNE PART DE SON INCONSCIENCE!

*Tousse* Bref  j’écris mes mémoires … ou plutôt les siennes, ou … enfin vous voyez quoi. Ce qui explique pourquoi vous avez pu lire des souvenirs dont lui même ne pouvait faire mansion.
Alors vous serait un allié, voir un ami!? Ou bien au contraire un ennemi? Enfin bref nous verrons bien moi même ne suis pas devin, mais laissez moi reprendre le cours de mon travail, et si vous voulez rester ne me déranger pas.

*reprenant ses écrits vous restez le temps qu'il termine sa page *

« Maintenant vous savez pourquoi actuellement je ne sais pas où  je suis.  j ai froid, je suis trempé, le choque de la chute a redonné accès à l'utilisation de mon don, en revanche je ne me souviens pas d’aucune compétence que j'ai pu assimilé avec. Je me souviens de mon nom et de mon prénom et de mes parents que j ai tué à fin de fuir. Le cadavre d un homme à coté de moi, j'ai la sensation que l'on ma retirait quelque chose d'important je ne sais pas quoi ou qui. J'ai une haine envers les esclavagiste et les chasseur d'esclave. Je ferais tout pour les emmerder, et retrouver ce qui me manque. »

*Puis vous vous éloignez comprenant que s’était les dernière ligne, et qu une nouvelle page de ca vie est sur le point de commencer, peut être en ferez vous partie.*

Situation de départ :Plus puceau,  ne l'a fait qu'une fois et éprouve le besoin de tenir a quelqu’un ne pouvant se souvenir de sa nuit avec Noche. Cependant sont temporairement pourrait lui faire prendre les devant, voir même jouer de fantasy.

Autres :
   - Pouvoir nommé «Plus vrai que nature»: Don fonctionnant en quatre étape :
Premièrement : Visualisation de la mise en œuvre d'un Don peu importe la provenance que ça soit une personne une créature ou un objet, à l'exception de ceux du même type que Hans pouvant altéré la mémoire. La compétence peut être Artistique, Physique (Athlétique ou Martial) ou  Surnaturel (magie, autres dons ).
Deuxièmement il est analysé, pour dans un troisième temps être assimiler, puis au final le réutilisé avec un rendement de 120%, que ça soit la fatigue (20% moins éprouvant), la puissance (20%plus destructeur), la porté, le nombre de cible, la vitesse … tout est 20% avantagé.
Cependant il est limité à seulement une Physique, une athlétique, et un Don par jour.

Effet Kiss-Cool de son don : La fatigue en fin de journée dépend du nombre d’apprentissage qu'il a fait dans la journée, de leur niveau et pour finir des utilisations cumulées de toutes les compétences utilisés. La fatigue vient d un coup le soire entre 8h30 et 10H, peut le laissé complètement vulnérable si il à abusé dans la journée, voir lui être fatal.

Comme dans la description physique :

   - Vêtement : Un hakama et keigoki Blancs (habille de samurai), une paire de Geta (chaussures en bois sur élevées).
   -Armement : Un Katana à la Saya noire (fourreau) avec une Saego bleu nuit (Ficelle ornant la Saya).

Comment avez vous connu le forum : Vive la procrastination sur le net xD

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous? Si oui lesquels : Non du tout.




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PNJ No1
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*bon ça c est pour accompagné*

Nom : Pas assez connu pour avoir un nom.
Prénom : Noche
Surnom : Les yeux de Saphirs

Âge : 19 ans

Sexe : Femme

Race : Terranide

Orientation sexuelle : Elle ne sais jamais posé la question, mais est attirée par les hommes surtout Cynhaa, pour le reste de toute façon ce sont tous des animaux en rûte.

Description physique : Comme dis dans l'histoire de Cynhaa :
Mesure dans les 1m70 pour 60 Kilos
La peau basané, les yeux couleurs saphir, coiffé de cheveux mi long aux pointes rebelles noires cachant ses oreilles, portant une veste longue bleu nuit à ceinturon noir tombant à mi-cuisse, un colle haut ouvert jusqu'à la poitrine, cachée par un foulard rouge qu'elle portait noué autour de son cou délicat, et chaussée d'une paire de bottes montantes rejoignant presque le bas de sa veste ne laissant voir que peu de cuisse qui pourtant laissé croire à de belles belles jambes longues qui bien que charnue semblait être gracieuse.
Malgré tout, on pouvait lui attribuer tout de même un joli corps svelte aux formes élégantes, sans pour autant avoir une poitrine opulente.

Caractère : Un vrai mystère bien qu'elle n'est pas d'un tempérament Courageux elle sait se montrer quelque fois téméraire, mais elle préférera fuir que faire front. Généralement souriante et jovial; mais depuis qu'elle s'est faite capturé avec son père par Hans elle a perdu son sourire, pour laissé place à de la colère. Quand son père est mort et qu'elle n'a pu se résoudre à tuer Cynhaa dans sa chambre après ce qu'il lui a dit, la colère a été remplacée par la tristesse.
Elle aime les baignades dans les rivières, courir dans les plaines, la viande.
Elle croit Cynhaa mort de sa chute, mais aimerait qu'il soit  vivant.

Histoire : Noche est une Terranide qui vivait dans un village Terranide cachait dans une forêt des terres entourant Nexus . Lors d'un raide de chasseurs d'esclave, elle fit capturée ainsi que son père, par Hans et ses deux compères. La suite vous la connaissait déjà .

Situation de départ : très peu expérimenté , ne l'a fait que une fois avec Cynhaa.

Autres :

   -Pouvoir possibilité de se changer en Louve .

   -Vêtement : Sa veste bleue, ses bottes, et son écharpe rouge.

   -Arme : Aucune.




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PNJ No2
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Nom : De La Croix
Prénom : Hans
Surnom : Le Verrouilleur de Mémoire, La Bête Noir des Mages, L’abatteur d'E.S.P.ers, Le Traqueur de Terranide.
 
Âge : 34 ans

Sexe : Homme

Race : E.S.P.er

Orientation sexuelle : Tous ce qui a une paire de seins , un vagin et un cul . Les furrys et les futanaris comptent doubles.

Description physique :
Un mastodonte de 2m20 pour 120Kg Les cheveux châtain gris , un monsieur muscle tout ce qu il y a de plus beau. Il porte si non une armure lourde qui ne le gène même pas au vue sa carrure; elle est tout en écaille d'un dragon qu'il aurait lui même tué en lui faisant oublier comment respirer. Son épée serait fait avec l'os du dragon.

Caractère : Vous préfériez avoir pour voisin de palier : un néo-nazi écoutant des musiques hitlériennes de bon matin tout en trempant ses tartines dans le café; que ce type comme concierge. Honnêtement!? Il n'y a rien a garder. Misogyne, égoïste, dominateur, … Si quelque chose ou quelqu'un est cassé , usé ou ne lui sert plus a rien, il le jette… Oui ! Oui ! Vous savez la femme attaché lui servant de vide couille... AH ! Vous vous dites sûrement : « Bha tant mieux comme ça elle est libre ! » … Comme vous êtes mignons … quand je dis il jette , je veux dire qu il va la garder pour se défouler dessus afin de se calmer, même une fois la personne morte sous ses coups; enfin si elle est toujours vivante après le premier coups c est déjà un record en soit. Il est violant et bestial . Mais bien qu'il soit fou, on peut lui reconnaître une chose : « quand il s'agit de travaille et d'argent ; les affaires sont les affaires . On écoute d'abord, on aura tout le temps de frapper ensuite! » .
Une dernière chose : ne l’emmerder pas.

Histoire : Les esclaves sa payent bien. Alors si en plus vous avez La musculature proportionnelle a celle d'un grille mais sur un humain, que votre don vous permet de verrouiller les souvenirs des gents afin qu'ils n’accèdent plus a aucune connaissances c'est encore mieux. Maintenant quand vous êtes un jeune violenter par ses parents alcoolique et drogués au dernier degrés, qu'à l'age de seize ans vous pouvez déjà battre des personnes deux fois plus âgée , juste en leur bloquant la mémoire, c est PARFAIT ! Vous réunissez tout ce qui faut pour vous lancer dans la capture d'esclave. Voila en gros la vie de Hans … La légende du dragon constituant son armure ? Le dragon était juste un léger contre temps entre lui est des cibles a capturer ...

Situation de départ : … Un baiseur invétéré … ce mec est juste un putin de détraqué ce conformer a la société n'est qu'une façade pour quand même pouvoir vivre faire ses courses etc.

Autres :

   -Pouvoir : « Remix Mémoriel » : Permet de bloquer la mémoire d'une personne afin de lui  interdire l’accès a des informations innées ou acquises et ceux , que ce soit tout ou en partie de celle ci, attention cependant il ne peut pas changer une information , juste la bloquer ; petit exemple :
Question : Qu'avez vous vue ?

Réponce :
1- j'ai vue une voiture bleu !
2- J'ai vue une voiture .
3- Vue quoi...?

   -Vêtement : Ou sa peau de bête quand en ville , ou son armure en écailles de dragon bleutées

   -Arme : Son épée en os de Dragon .


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