Sujets

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Les alentours de la ville / Rencontre du cybertype

« le: mercredi 11 mai 2016, 02:12:33 »

_Ce soir là, une traînée de lumière avait illuminé le ciel nocturne de Seikusu en se mêlant aux étoiles et était presque passée inaperçue avant de s'écraser dans la baie du port de la ville dans une zone heureusement déserte à cette heure-çi. Le choc aquatique avait fait jaillir un geyser qui était lourdement retombé, s'écrasant sur les quais dans une pluie épaisse. Seuls quelques chats errants avaient assisté à la scène, fuyant les poubelles avant d'y revenir timidement lorsque le calme habituel des docks fut retombé. Rien de vivant ne s'extraya du projectile, et pour cause : il n'y avait rien dans ce petit vaisseau monoplace enfoncé dans la vase qui ne soit organique. La seule chose qui s'extirpa de l'eau était purement artificielle et déploya sa silhouette humanoïde au carénage blanc et bleu fluo.

_LV-4.26 se tenait là, son regard cybernétique évaluant l'architecture des bâtiments, traquant la moindre présence d'être vivant, établissant un chemin rapide et sûr pour définir ses déplacements. Pour débuter, son programme de base (rappelons que 26 était encore un modèle directement sorti de son usine et ne différait en rien des autres modèles de sa série de production) lui ordonnait de trouver un abri ainsi qu'une proie pour prévoir le rechargement de ses batteries, bien que celles-çi furent encore pleinement opérationnelles.
D'un bond, le mannequin mécanique se retrouva sur le premier toit venu et entama sa course, continuant de scanner avec une précision diabolique l'ensemble de l'environnement qui défilait tout autour de lui, son cerveau enregistrant en détail tout ce qu'il croisait.

_Au bout d'une vingtaine de minutes, l'androïde se retrouva sur les toits des premiers quartiers périphériques de la ville. Ses bonds impressionnants continuaient de le porter à travers les kilomètres. Alors que sa "randonnée" se faisait sans mal, LV-4.26 fut alerté d'un danger. Un engin motorisé le poursuivait visiblement, suivant son tracé depuis quelques temps. Tournant la tête tout en analysant les données qui tombaient sans s'arrêter, 26 découvrit que la machine était montée par un être organique que le robot détermina être de sexe féminin. Ce n'était pas tant un problème, mais son protocole lui signifiait qu'être ainsi poursuivi pourrait en devenir un. Les êtres qui peuplaient cette planète pouvaient avoir acquis un niveau de technologie capable de mettre à mal un membre de la série LV-4 et donc de saborder sa mission. Ça, c'était inacceptable. Et il fallait que 26 suive son programme, qui lui intimait de trouver une cachette en premier lieu... En bref, cette femme était un danger potentiel. Un message s'afficha quelque part dans un coin de la tête du cyborg, qui préféra attendre de voir ce que l'inconnue ferait avant de passer lui-même à l'action.

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Territoire de Tekhos / Hard landing - PV

« le: mardi 22 juillet 2014, 19:20:12 »

Ca aurait put tomber sur n’importe qui et finalement, ça en vint à tomber sur n’importe quoi. Sur un Tanker formien, en l’occurrence. La bête était massive : plus de quinze mètres de haut et plutôt rapide pour le poids qu’on pouvait lui supposer. Son blindage naturel (une chitine d’un nouveau genre, aussi flexible que solide) ne l’alourdissait nullement lors de ses déplacements, facilités d’ailleurs par la toute petite paire d’ailes battantes qui propulsaient la bête lors de ses sauts et autres mouvements. Ses pattes étaient de véritables pals d’acier qui s’enfonçaient facilement dans la roche et ses mandibules pouvaient déchiqueter l’acier de char d’assaut tekhan modèle Gannon (ce qui, convenez-en, était tout de même impressionnant même au vu de l’âge de ces engins). Les armes principales du tanker étaient ses redoutables griffes antérieures semblables à de grandes faux allongées et effilées qui pouvaient faucher même des armures de combat et qui s’étaient avérées très rapide à l’action, elles aussi. En bref, le tanker était une belle saloperie. Néanmoins, il présentait quelques singularités notables : en outre d’appartenir à une espèce inconnues des registres tekhans, la bête n’avait porté aucun intérêt aux femmes qui avaient croisé sa route. Le tanker avait détruit, tué et ravagé sans seulement tenter de féconder au moins une fois. Intriguant. Autant que le fait qu’il évoluait parfaitement seul et sans ordres discernables puisque les 4 jours qui avaient suivis son apparition s’étaient déroulés sur un chaos certes dommageable mais en aucune façon réellement stratégique. Et les annexiens se perdaient rarement en choses inutiles, pour ne pas dire jamais.

L’espèce de gros pou n’était pas inarrêtable pour autant. Une escouade bien entraînée aurait très largement suffit à lui faire la peau –pardon, la chitine- sans trop de dommages avec un peu de matériel et un minimum d’organisation. Et Tekhos avait d’ailleurs envoyé un bataillon combattre l’emmerdeur venu d’une Ruche non-répertoriée quand le ciel se mit à tomber en petits morceaux sur le village déserté où le Tanker avait visiblement décidé de s’installer.
Ca avait commencé par un grand flash lumineux, suivi d’une petite explosion qui avait libéré une myriade de projectiles enflammés qui s’étaient écrasés sur le sol à une vitesse folle, certains arrachant même d’impressionnants cratères à la carapace du Tanker qui s’était mit à striduler férocement sous la douleur et la probable colère. Si il avait put, le formien se serait mit à tout dévaster. Seulement, un élément bien plus gros le percuta de plein fouet et explosa sa partie haute dans une violence inouïe, le choc projetant des lambeaux de chair et de carapace à travers l’ensemble du village, garnissant le tout d’une immonde marée d’un vert muqueux et écœurant qui devait figurer le sang de la bête.
Ce qui en restait s’écrasa lourdement à terre et fit un peu trembler le sol, tandis qu’un cratère se dessinait à une trentaine de mètres du cadavre secoué de spasmes nerveux.

De forme ovoïdale, la zone d’impact faisait suite à une tranchée creusée dans la terre et le macadam, qui partait des restes éventrés du tanker. La fumée se dissipait progressivement du trou, suffisamment pour laisser apparaitre ce qui restait du fuselage d’un appareil spatial de conception totalement inconnue. Le corps céleste artificiel ne ressemble plus à grand-chose et on pouvait légitimement estimer que toute vie y était morte quand quelques vérins se mirent à gémir et l’acier à grincer. Un pan de ce qui était un vaisseau s’ouvrit après de longues secondes et son occupant en sortit enfin, dégageant les débris pour pouvoir s’exposer à l’air libre.

De respirer, LV4.26 n’avait pas besoin –il n’avait pas de poumons. La machine à l’aspect masculin et au revêtement immaculé analysa plutôt la composition de l’air en mimant une inspiration profonde et adapta sa mécanique à ce que ses captèrent retranscrirent dans son cerveau vierge. Ceci fait, l’être artificiel ouvrit la bouche. Une sorte de tentacule annelée et mécanique en sorti, l’extrémité ovale s’ouvrant pour laisser apparaitre une myriades de détecteurs phosphorescents qui bipèrent sur un rythme lent tandis que l’appendice effilé remuait lentement dans l’air. Quand il se tourna vers le cadavre du Tanker, le tentacule se mit à bipper avec une intensité redoublée avant de repartir dans la gorge du robot qui prit la direction des restes formiens d’un pas parfaitement mécanique, voire un peu malhabile.
Remontant le cratère pour avaler les mètres qui le séparait de la carcasse de la bête formienne, 26 arriva à sa hauteur et s’arrêta. Sa main passa sur son ventre et fit un cercle, langage universel pour désigner la faim.

Alors surgit de nouveau le tentacule guttural, qui se rua vers les organes encore chauds du Tanker pour s’y ficher profondément avant de commencer un phénomène d’aspiration qui distendit un peu les anneaux qui s’avérèrent assez clair pour laisser voir la matière spongieuse filer vers le corps du robot. Tranquillement, 26 se mit à faire un festin de l’ADN formien, premier contact qu’il prenait de Terra.

Il y en aurait sûrement d’autres : ses capteurs avaient indiqué de nombreuses traces ADN différentes lors de sa recherche. Le robot s’y rendrait plus tard pour les collecter, son programme de base le poussant d’abord à trouver son carburant élémentaire.

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Le coin du chalant / Do robots dream about electric sheeps ?

« le: mercredi 21 mai 2014, 22:43:38 »

L'idée est simple, le personnage aussi. Le développement lui, l'est peut-être un peu moins.

LV-4 est un robot doté d'un cerveau humain vierge de toute expérience, de tout vécu. Ne résident dans son esprit que des programmes dits "de base" lui servant à faire marcher son corps. Pour couronner le tout, l'Artificiel dérive pour l'heure dans l'espace et rien ne le pousse vraiment à atterrir.. Sauf vous, par le biais de votre envie de jouer avec lui. Car 26 commencera ses aventures lors de son premier RP, qui déterminera donc

- Le monde et l'endroit sur ce dernier
- Les premières esquisses de son égo
- Ses premiers contacts avec des "indigènes" et qui basera un peu sa façon de voir le monde

Vous serez le point de départ d'un personnage qui n'a finalement aucune histoire propre et surtout absolument aucun caractère défini. Comme si vous vous retrouviez parent de ce jouet de luxe, il prendra exemple sur vous et construira son moi en se basant sur ce que vous lui montrerez et lui ferez vivre, lui ferez comprendre. Vous êtes un parangon de vertu ? 26 deviendra très probablement une "personne" bonne et juste. Vous êtes un putain d'enfoiré ? 26 s'orientera côté obscur de la Force. C'est bien sûr un peu plus fin dans les faits, mais l'idée est là. Vous la comprenez et elle vous intéresse ? Parfait ! Vous êtes qualifié(e) ! Il y a beaucoup à faire avec 26, si tant est que vous ayez la patience de supporter un jeu qui sera -dans ses premiers temps- peut-être peu enrichissant pour votre personnage.

Bien sûr, rien ne vous liera à 26 si vous ne le désirez pas. Sachez que votre personnage, en revanche, aura une certaine importance pour lui. Ainsi, j'ai quelques petites exigences.

- Si, dans les faits, vous pouvez être n'importe qui ou quoi, je me baserais quand même sur ce que je peux lire de vous sur le forum. Ainsi, je vous refuserai peut-être.

- J'aimerai assez un personnage (n'importe lequel, nature et sexe important peu, encore une fois !) qui puisse exploiter un peu 26 dans le sens où il aura vraiment quelque chose à lui apporter côté mentalité et comportement. Tant que c'est riche, quoi !

- Dans l'absolu, je refuse les super hackers / mécanos / robots super-avancés / assimilés. Je ne veux pas (pour l'instant du moins) confronter 26 à des petits génies touche-à-tout de peur que cela ne sape à la base mon rp. Néanmoins, je ne suis pas contre l'idée de me faire convaincre, mais vous partirez d'office avec un malus.

Le reste, comme la trame, le lieu et l'âge du capitaine, se décideront avec le joueur choisi. Merci de poster à la suite, au moins pour me prévenir d'un éventuel MP !

En espérant que ça ne vous fera pas trop peur

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Prélude / LV-4.26 [Valimuté]

« le: mercredi 21 mai 2014, 19:04:59 »

▲ SERIES ::  LV-4
▲ SERIAL NUMBER :: .26
▲ BASIC BODY GENDER TYPE :: ♂
▲ SKELETON :: elysium
▲ SKIN :: polymorphic polymer
▲ ENGINE :: corellia core
▲ FUEL :: dna

[...]

▲ CORTEX TYPE :: cyborged fake-human brain
▲ I.A LEVEL :: high
▲ MEMORY :: Ø
▲ UNLOCKED FEELINGS :: Ø

[...]

▲ BODY SPECIFICITIES ::
La série LV-4 est conçue sur un modèle physique de type humanoïde considéré comme étant le corps mâle idéal dans ses proportions physionomique. Les unités de cette série  possèdent donc une taille d'un mètre quatre-vingt dix et une silhouette correspond à une musculature de type athlétique. Les parties renforcées [blindage blanc sur une partie des membres, du torse, de la partie plébienne et de l'ensemble de la tête] renferment les générateurs de polymères polymorphiques qui permettent de sculpter l'apparence extérieure du LV-4 tandis que le reste de l'anatomie visible [parties bleutées] est constituée principalement des muscles artificiels animant l'ensemble de la mécanique tout en permettant l'acheminement de l'énergie depuis le noyau Corellia, qui pompe les fluides d'ADN modifiés par le système après acquisition pour garantir la pérennité du modèle.

L'apparence basique du LV-4 est standard; ainsi aucun des numéros de la série ne se différencie des autres de par son aspect extérieur. Cela est valable pour le visage, moulé sur une apparence générique sans spécificité particulière. Bien qu'il puisse -par un truchement extrèmement performant de jeux musculaires incroyablement minutieux- reproduire absolument n'importe quel comportement facial, il reste commun à tous les produits de la série et pourrait être qualifié d'"agréable".

Il est à noter que l'apparence de base du LV-4 peut évoluer par un ensemble de mouvements mécaniques et de ré-agencement de ses spécificités par l'utilisation de nano-machines : le corps de l'androïde est capable d'agencer ses parties internes et externes pour subvenir à ses besoins et s'adapter à son environnement. Cela est justifié, par exemple, lorsque le modèle doit receuillir les quantités d'ADN nécéssaires à son fonctionnement. Pour parler en termes simples, le LV-4 est capable de se transformer.

▲ MIND SPECIFICITIES ::
Les modèles présentés ici étant vierges de toute interaction avec le monde les entourant et conçus de façons à partir de 0, il est impossible de parler de personnalité. Les LV-4 sont des machines dont les programmes intégrés sont nombreux mais ne sauraient être interprétés (dans leur intérêt premier comme dans les faits) de façon à définir une psyché. Leurs premières actions seront ainsi dictées par des lignes de codes, qui les informeront des nécessités indispensables à leur survies et sur la façon d'y contribuer. On ne peut guère voir là-dedans autre chose qu'un automatisme primaire, comme c'est le cas pour n'importe quelle machine et ce quel que soit son degré de sophistication.

Bien que les LV-4 ne possèdent pas d'égo, tout leur intérêt réside dans le fait qu'ils peuvent, en accumulant de l'expérience, en acquérir un et se construire au contact d'autres êtres une personnalité bien définie. Équipée d'un cerveau humain issu de clonage, la série LV-4 peut penser et agir selon des standards "organiques" et apprendre de son vécu. Ses limites psychiques, logiquement celles d'un être humain normal, sont améliorées et définies par les puces cybernétiques intégrées à son cortex et qui assurent la liaison entre la mécanique et la partie vivante. Les LV-4 sont étudiés pour observer l'influence de l'environnement sur la construction d'un être, mais connaissent quelques défauts : il devient parfois difficile pour le modèle numéroté de savoir ce qu'il est vraiment. Un homme dans un corps de robot, ou un robot avec une pauvre partie organique. Cependant, ces constats sont considérés comme nécessaires pour l'évolution de leurs constructeurs.

Le numéro 26 n'est donc en rien différent des autres et ne présente pour l'heure absolument aucune spécificité mental et morale, puisqu'il n'est pas encore sorti de sa capsule de voyage.

[...]

▲ BACKGROUND ::

La série des LV-4 est conçue sur un ordre d'idée différent des précédents produits estampillés LV et sorti des usines Styggia. En effet, les séries 0 à 3 étaient soit d'ordre militaire soit scientifiques, mais la démarche adoptée pour la 4 est considérée comme davantage philosophique. Equipé d'un cerveau organique issu d'un corps humain obtenu par clonage, le modèle 4 (dont le cortex est couplé à un complexe de puces cybernétiques pour assurer les fonctions mécaniques et robotiques sans intervention neuronale directe) est capable de finir par penser par lui-même ainsi que de faire évoluer sa conscience de façon tout à fait indépendante, sans intervention d'IA intégrée ou de directive humaine. Ainsi devient-il possible d'observer la construction d'un esprit raisonné et pensant selon les composantes jalonnant son environnement. Pour certains, il s'agit également de savoir si le "Mal" est une donnée uniquement morale ou si au contraire elle est présente dans le code génétique humain.

Fortement décriée par ses détracteurs lors de sa création sur la planète Vash'nara, la collection des LV-4 fut taxée d'être une abomination mêlant trop étroitement une nature mécanique et une nature organique qui menacerait, à terme, l'humanité présente sur Vash'nara. Elle ne fut pourtant pas interdite ni détruite, mais limitée à seulement 30 exemplaires destinés à être empêchés d'utilisation. Personne ne voulait prendre le risque de faire évoluer une machine virtuellement illimitée dans son apprentissage et ses capacités d'adaptation, mais la compagnie Styggia avait assez d'influence pour garder effective sa série LV-4 en sommeil, eut égard à l'importance des fonds utilisés pour la création.

Lorsque les possibilités aérospatiale de Vash'nara connurent un blocage subséquent à la durée de vie des pilotes envoyés dans l'espace et à la médiocre qualité des appareils utilisés, on ressortit les LV-4 du placard pour qu'ils puissent servir d'explorateurs. Légèrement reconfigurés, les LV-4 devinrent une banque de données génétiques grâce à l'ADN qu'ils se devaient de recueillir originellement pour juste se "nourrir" et alimenter leurs circuits principaux ainsi que les fonctionnalités de leur cerveau. On augmenta leurs capacités de transformation afin qu'ils puissent utiliser d'autres mécaniques pour en agglomérer les parties et les utiliser soit pour des upgrades soit pour des réparations d'urgence que les nano-systèmes mettraient trop de temps à effectuer. Ceci fait, on lança l'ensemble de la série à travers les étoiles pour une mission de deux ans à bord de vaisseaux mono-place qui furent envoyés aux limites du système solaire entourant Vash'nara.

La destinée du numéro 26 fut légèrement différente de celle de ses pairs. Son véhicule se retrouva emporté par une anomalie spatiale alors qu'il croisait près du soleil éclairant Vash'nara et il se retrouva bientôt expulsé bien loin de son point d'origine, c'est à dire dans le système solaire de la Terre et de Terra...

[...]

▲ HABILITIES ::
 
          → La série LV-4 est capable de cannibaliser d'autres systèmes mécaniques afin de se perfectionner et se réparer. Toutefois, les LV refusent l'assimilation d'éventuelles IA extérieures, considérant qu'elles pourraient prendre le pas sur les capacités cognitives originales, sorte de parasitage du cerveau du LV-4 que les puces cybernétiques de ce dernier ne sauraient endiguer sur le moyen et long terme. Au vu du cerveau humanoïde de 26, il est toutefois impossible d'entièrement le parasiter mais un virus ou une intrusion finirait par l'handicaper fortement, entrant en conflit avec les programmes initiaux de 26.

          → 26 est capable de se recouvrir d'une peau artificielle fait en polymères polymorphiques. Il peut ainsi prendre absolument n'importe quelle apparence extérieure, le sexe important peu. Pour se faire le plus réaliste possible, 26 peut puiser dans les ADN qu'il a emmagasiné. Ainsi, le LV pourrait devenir le sosie de n'importe qui... Ou n'importe quoi, si tant est que son corps mécanique puisse à ce moment là se transformer afin de varier les critères anthropomorphiques.

          → 26 peut compter sur différents programmes très complets liés à la mécanique, le combat, la survie, la science, la chasse et bien d'autres encore.

          → Le LV est une "copie d'humain mécanisée" et son corps réagit comme tel : des nano-robots le réparent, des senseurs lui permettent d'éprouver des sensations liées aux sens (de là à dire qu'elles sont réelles, c'est autre chose... Mais peut-il faire la différence ou seulement comprendre ?). Pour seule "nourriture", 26 ingère de l'ADN sous différente forme : sang, cyprine et autres fluides peuvent ainsi le contenter. Bien entendu parce que nous sommes sur LGJ, le LV préfère les prélèvements intimes et peut se doter -entre autres- de tentacules mécanisées pour parvenir à ses fins. N'oublions pas qu'il peut changer sa structure à l'envie.

          → Pour seule arme basique, le LV-4.26 peut compter sur une lame laser contenue dans ses bras. Très efficace, elle est aussi extrêmement gourmande en énergie.