Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Kuronobu Yllina

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Sujets - Kuronobu Yllina

Pages: [1]
1
Centre-ville de Seikusu / Stalker ?!? [Pv Naisho Yujima]
« le: mercredi 03 février 2016, 19:26:27 »
" Non mais tu te moque de moi, toi ! C'est quoi ce nombre ?
- Mon numéro dans la liste de classe. Tu m'as bien demandé mon numéro, non ? "


Yllina était occupée avec un pseudo-dragueur, alors qu'elle se promenait en ville. Le jeune homme, cliché typique du dragueur à la recherche de filles faciles, cheveux coiffés au gel et costume de marque, l'avait abordée. Il l'avait baratinée, comme quoi il la trouvait belle, lui proposait tout un tas de choses excitantes (selon lui du moins) et mettait en avant ses ressources financières. la "belle" avait peu de patience pour se genre d'individus, aussi quand il lui avait demandé son numéro, elle lui avait joué un tour à sa façon.

" Ton numéro de portable, gourdasse ! Quand on demande le numéro de quelqu'un, c'est son numéro de portable !
- Pas forcément. Les gens ont plusieurs numéros. Numéro de banque, d'assurance, de maison, et il y en a bien d'autres... Si tu ne précises pas quel numéro, comment veux-tu que je comprenne ? "


Yllina dans toute sa splendeur. Un esprit vif et une langue acérée, pour des réparties cinglantes. L'homme s'énerva, d'autant plus que l'altercation avait attiré l'attention des passants alentour, et l'hilarité provoquée par la réplique d'Yllina l'avait tourné en ridicule. Il tenta bien d'attraper la jeune femme, poussé par la colère, mais elle s'y attendait. Elle attrapa le poignet de son agresseur au vol et tira dessus, amenant ainsi l'homme à terre. Puis Yllina lui tordit le bras, pas assez pour lui infliger une blessure, mais suffisamment pour lui causer une bonne douleur, histoire qu'il comprenne.
La jeune femme laissa l'homme en plan ainsi, sortant du cercle des spectateurs, accompagnée de quelques félicitations de la part des filles, pendant que les hommes se moquaient du malheureux. Encore que "malheureux" n'était pas le bon terme, après tout il l'avait un peu cherché.

2
Place publique / Toujours regarder où l'on va, sinon... [PV Ahri]
« le: lundi 18 janvier 2016, 19:33:59 »
" Oui grand-père je vais bien, non grand-père je n'ai pas de soucis, non grand-père je ne suis pas malade, non grand-père personne ne me cause d'ennuis, oui grand-père l'ai des bonnes notes... "

La litanie des "oui/non" continua ainsi tout le long du trajet emprunté par Yllina pour aller du bahut aux dortoirs. Qu'est-ce que son grand-père pouvait être lourd parfois ! D'accord, elle était sa petite fille, il l'avait élevée quand ses parents étaient occupés, lui avait enseigné les arts martiaux... Mais tout de même, il s'inquiétait beaucoup trop. Elle était grande et responsable tout de même ! Il n'avait pas besoin de la couver autant. Surtout qu'il niait surcouver sa petite-fille... Cette blague.
Quand Yllina put enfin éteindre son portable, elle était déjà arrivée devant la porte de sa cambre. Elle souffla. Si seulement ce genre de conversation n'arrivait pas toutes les semaines... La jeune fille imagina le moment où elle apprendrait à son grand-père qu'elle s'est trouvée un homme... Non, connaissant son aïeul, mieux valait ne pas imaginer sa réaction. Il serait bien fichu d'aller chercher son katana et le brandir sous la gorge du prétendant... Quelle plaie...
Yllina fouilla dans son sac à la recherche de ses clés pour ouvrir sa porte. Elle y entra en poussant un nouveau soupir, la tête basse et les yeux à moitié fermés, le regard perdu dans la contemplation du parquet. C'est ainsi qu'elle ne vit pas qu'au milieu de sa chambre une faille s'était ouverte. Un disque parfait, aux bords crépitants d'énergie, qui flottait à 5 centimètres du sol, et qui était assez large pour qu'une personne puisse le traverser sans se baisser. Au travers, on pouvait voir une pièce plongée dans la pénombre, la seule lumière qui éclairait les meubles au style résolument ancien était celle projetée au travers de la faille. Yllina avança dans sa chambre, droit vers le portail, et ne leva les yeux que trop tard, pour constater l'inévitable.

Tout se passa en un battement de cils. Au moment où Yllina réalisa ce qui se passait devant elle, son pied commençait déjà à franchir le portail. L'étudiante aux cheveux pales ne put annuler son geste, car malheureusement si de son coté de la faille le portail flottait à 5 centimètres du sol, de l'autre coté, dans cette pièces inconnue, il était à 10 centimètres du sol. Yllina rata donc la "marche" et bascula en avant, atterrissant les fesses en l'air de l'autre coté de la faille. Un éventuel observateur aurait ainsi pu profiter du fait que la jupette de son uniforme se soit rabattue sur le dos de la jeune fille, dévoilant une petite pièce de lingerie fine très sophistiquée.
Yllina se redressa, un peu sonnée, et observa son nouvel environnement. Elle ne distinguait que les formes floues de meubles anciens, comme on en voit chez les antiquaires, baignés d'une lumière déclinante. Déclinante ? Elle se retourna vivement et constata que le portail se refermait à vue d'oeil ! L'étudiante se précipita mais, le temps qu'elle arrive au niveau de la faille, son diamètre avait tellement diminué qu'elle ne pouvait plus passer que le bras. Puis il se referma complétement dans un dernier crépitement, laissant la jeune fille dans le noir.

Yllina inspira un bon coup. Surtout, ne pas céder à la panique. Heureusement, elle avait réussi à conserver son sac pendant sa chute, et dans lequel elle avait son portable. À tatons, le jeune fille retrouva l'appareil électronique. Un coup d'oeil sur l'écran coupa court à ses velléités : aucun réseau disponible. Bon, au moins l'engin lui procurerait un minimum de lumière... Yllina en avait vu assez de la pièce pour estimer à peu près où se trouvaient les meubles, aussi elle entreprit de se remettre debout. Malheureusement, elle n'avait pas vu l'étagère au dessus de sa tête, aussi son crâne lui apprit la douloureuse vérité. Surprise et chancelante, l'étudiante tenta de se rattraper en agrippant un mobilier proche. Sa main trouva un buffet où s'appuyer, mais butta dans quelque-chose. Yllina fut ainsi récompensée du son de porcelaine brisée que fait un vase quand il fait une chute. Et mince...

3
Dortoirs et douches / Pour le meilleur et pour le pire !! [PV ~ Kei]
« le: lundi 28 avril 2014, 00:13:06 »
Yllina et Kei, nouvelles amies, gagnaient le bâtiment des dortoirs. Les deux copines avaient allègrement séché la dernière heure de cours et l'avaient passé sur le toit du lycée, à discuter, plaisanter, et dans le cas d'Yllina à taquiner Kei. Maintenant venait l'heure de regagner chacune sa chambre. Enfin, étant donné qu'elles logeaient dans le même bâtiment, théoriquement elles avaient jusqu'au couvre-feu pour passer du temps ensemble. Et de toute façon Kei devait passer dans la chambre d'Yllina pour y recopier l'emploi du temps. Chemin faisant, elles discutaient de banalités. Le plan était simple : Kei passait dans sa chambre poser son sac, puis allait chez Yllina. Ce que cette dernière ne précisa pas, c'est qu'elle comptait bien jouer un tour à Kei quand elle serait à sa merci dans sa chambre ! Mise à part qu'elle accompagnait Kei à sa chambre, pour éviter qu'elle ne prépare un piège à l'avance. Kei apprenait vite, si elle de méfiait déjà de son amie... Même si c'est à raison.

Alors que Kei se dirigeait vers la chambre qui lui avait été attribuée, Yllina nota qu'elle était au même étage que la sienne. Mais elle n'en dit rien, gardant la surprise. Ce fut néanmoins elle qui fut surprise en voyant Kei s'arrêter devant ce qui était la porte de la chambre d'Yllina. Mince alors, elles étaient colocataires !

- Voilà, c'est ma chambre. Le temps de poser mon sac et saluer ma coloc si elle est là, et on file dans ta chambre pour cet emploi du temps, ok ?

Yllina acquiesça. Elle avait réussi à dissimuler son expression de surprise à temps, ne vendant pas la mèche à Kei. Celle-ci ouvrit la porte et entra.
Pour une chambre de dortoir, la pièce était de bonne taille. On entrait par un vestibule, dont le mur de droite était orné d'une porte donnant sur une petite pièce sanitaire : évier et toilette, plus quelques rangements et une glace. À gauche, une penderie permettait d'y laisser chaussures et manteaux. Puis on arrivait dans la chambre à proprement parler. Le mobilier n'avait rien d'extravagant, mais Mishima avait des moyens, et ça de voyait. Un imposant bureau faisait l'angle au fond à gauche et revenait vers la penderie, il était assez vaste pour y faire travailler trois personnes sans qu'elles ne se gênent, alors deux... Et bien évidemment, des rangements en tout genre : tiroirs sous le bureau, casiers sur la table, étagères au dessus. En continuant, le mur du fond était percé d'une grande fenêtre, encadrée par des rideaux. Quand on est une fille, on aime ne pas être matée quand on de change, merci ! Presque au pied de la fenêtre on trouvait un premier lit, puis en longeant le mur de droite on trouvait un deuxième lit, identique au premier. Ceux-ci étaient de taille honorable, et entre les deux se trouvait une table de chevet commune. Enfin, le mur qui revenait au vestibule en longeant le lit avait été aménagé en un vaste placard-penderie.
Yllina n'était pas un modèle d'ordre, aussi quelques unes de ses affaires trainaient à droite et à gauche, heureusement il n'y avait rien de gênant ou de compromettant. En revanche, n'ayant eu de colocataire elle avait phagocyté presque tout l'espace disponible, comme en témoignait l'etalement sur le bureau ou le pull posé sur le lit du placard, la demoiselle ayant choisi de dormir dans le lit coté fenêtre. Kei jeta un coup d'oeil circulaire, avant de poser son sac dans un coin.

- On dirait que ma coloc n'est pas là... Je devrai peut-être l'attendre et me présenter.
- T'en fais pas pour ta coloc, elle est déjà là.


Impériale, Yllina traversa la pièce, posa son sac sur le bureau, et s'assit sur son lit. Puis elle fixa Kei, attendant de voir si elle allait percuter, et au bout de combien de temps.

4
Yllina poussa la porte qui menait au toit du lycée, et la maintint ouverte pour sa nouvelle amie Kei. La demoiselle aux cheveux blancs avait sa connaissance à peine deux heures plus tôt, quand la jeune fille s'était présentée en cours d'EPS comme nouvelle étudiante. Rapidement prise pour cible par Setsuna-la-pouffe, qui voyait en elle une victime idéale, elle fut également repérée par Yllina, qui se rapprocha d'elle pour faire sortir de cette carapace l'esprit combatif étouffé de Kei. Les résultats furent très satisfaisants, Kri prenant sa revanche sur Setsuna et lui faisant mordre la poussière dans un match de judo, le sport où la pouffe se vantait justement d'être la meilleure.
L'amitié entre Kei et Yllina, suite à ces événements, avait donc grimpé en flèche et c'était bras dessus bras dessous que les deux filles avaient décidé de sécher la dernière heure de cours de la journée pour la passer sur le toit.

" Alors, Kei, tu en penses quoi ? Vue panoramique et personne pour nous déranger, c'est l'idéal non ? "

Yllina s'avança sur le toit, tournant sur elle-même les bras écartés. L'air était doux, une agréable brise faisait voler les cheveux, la luminosité de cette fin d'après midi était claire sans être éblouissante... Oui, vraiment, l'endroit idéal pour sécher un cours ennuyeux et se poser tranquillement.

5
" Bien, miss Kuronobu, votre dossier me semble parfaitement en ordre. Bienvenue à Mishima, j'espère que votre scolarité sera exemplaire. Une élève arrivera bientôt pour vous faire visiter les bâtiments, n'hésitez pas à lui poser toutes les questions qui pourraient vous venir à l'esprit sur la vie ici. "

Yllina s'inclina, salluant la directrice, et attendit que celle qui avait été désignée arrive.
La demoiselle avait choisit d'aller étudier loin de son domicile. Pourquoi ? Simplement par désir d'indépendance. L'envie de prendre un peu de distance avec ses parents, de vivre par elle-même, et non tenue par la main par papa et maman. Ses parents n'avaient pas vraiment fait opposition à son idée, après tout ils se doutaient bien qu'un jour ou l'autre Yllina allait quitter la maison.
Dans le calme, La demoiselle et ses parents avaient regardé les différentes options, avant de fixer leur choix sur le lycée Mishima de la préfetcture de Seikusu. Le lycée jouissait d'une bonne réputation, permettait la poursuite d'études supérieures, offrait bon nombre d'infrastructures, et affichait une interminable liste de clubs et associations d'élèves. Bref, un très bon lycée, à tout point de vue. La ville de Seikusu en elle-même semblait prometteuse, avec la seule ombre du quartier de la Toussaint... Les Kuronobu firent jurer à leur fille de ne jamais s'aventurer là-bas, même pour rigoler.

Le jour du départ fut marqué par un événement assez comique. Le Grand-Père d'Yllina, qui jusque-là c'était fermement opposé à ce que sa petite-fille chérie (il ne l'avait pas dit tel quel, mais on l'avait senti dans son ton) parte dans une ville inconnue alors qu'il y avait toute sa famille ici, débarqua habillé en civil. Lorsqu'il fut questionné, il répondit, tout en détournant le regard, qu'il s'était souvenu qu'un vieil ami à lui habitait justement Seikusu, et que puisque sa petite-fille semblait décidée à partir, il allait en profiter pour lui rendre une petite visite. Yllina de son coté riait sous cape, son grand-père assumait si mal d'être devenu un papy-gateau !

La demoiselle allait poursuivre le fil de ses pensées quand trois coups discrêts furent donnés à la porte. Surement l'élève attendue....

6
Salles de cours et bibliothèque / Cours de casse [PV ~ Ariel]
« le: mardi 25 mars 2014, 10:19:31 »
" La question n'est pas de savoir comment, le fait est que tu as enfreins les règles, Kuronobu !
- Mais laquelle, justement ? Je ne me rappelle pas avoir fait quelque-chose de répréhensible... "


Yllina était en grande convestation avec Hinari Kyoko, la présidente du comité disciplinaire. Un tout petit bout de femme brune, qui physiquement tenait plus de la collégienne que de la lycéenne. Hinari est typiquement la fille qui devait jouer le policier dans la cour de récréation à l'école élémentaire. Un grand sens des règles et du devoir, et une volonté féroce de les faire respecter partout où elle passe. Etant opposée en tout point à Yllina, la présidente menait donc une vendetta personnelle à son encontre, avec un acharnement digne d'un pitbull. Certainsen riaient sous cape, affirmant qu'en réalité Hinari était une tsundere, et que sa vraie motivation pour s'acharner ainsi sans relache était l'amour. Oui, la rumeur voulait qu'Hinari Kyoko soit lesbienne et amoureuse d'Yllina. Il va sans dire que la principale intéressée démentait bec et ongles de tels propos...

" L'utilisation du téléphone portable est interdite dans la bibliothèque ! Je t'ai vu faire, ne nie pas !
- Ah, le portable... Oui, je m'en suis servi pour envoyer un message écrit, en prenant soin de le mettre en fonction silencieuse.
- Donc tu avoues ! Cette fois, tu ne couperas pas à ...
- Mais, à aucun moment mon portable n'a sonné, vibré, ou émit le moindre bruit. Ayant respecté le calme de la bibliothèque, je ne vois pas pourquoi je devrais recevoir une sanction.
- Ne joue pas encore une fois sur les mots, Kuronobu ! "Portables Interdits", c'est noté en gras partout !
- Décidément tu prends vraiment tout au pied de la lettre, Kyoko. Les portables qui sont interdits sont ceux qui font du bruit. Dans une bibliothèque, la règle est d'observer et respecter le calme et le silence des lieux. C'est téléphoner ou faire sonner son portable qui est interdit. Ou alors, serais-tu jalouse à ce point que j'envoie des messages à mon petit ami ? "
[/color]

Cette dernière répartie était fausse, bien évidemment, mais la pique eut l'effet escompté. Rouge de colère, Hinari Kyoko bafouilla une réponse totallement déstructurée où se mellaient menaces et déni, avant de tourner les talons et quitter la salle. Yllina souffla et retourna s'assoir, remarquant alors que l'altercation qu'elle venait d'avoir avait eu un témoin attentif...

7
Ouf, la fin des cours, enfin. Yllina venait de passer les deux heures les plus pénibles de sa journée, en raison d'un prof particulièrement à cheval sur les principes. Nishino-Sensei, professeur de mathématiques de son état, tenait à ce que chaque élève fasse preuve d'attention pendant son cours. Il y tenait tellement qu'il passait de longs moments à scruter la salle à l'affut de ceux dont l'attention baissait, pour ensuite passer de tout aussi longs moments à leur faire la morale. Yllina et lui avaient eu d'interminables argumentaires pour savoir si la jeune fille, souvent dissipée mais aux bons résultats, devait être rapellée à l'ordre pour son attitude peu studieuse. Jusqu'à là, Yllina avait toujours eu le dernier mot, ainsi qu'un profond ressentiment de la part de Nishino. Chaque cours était donc l'occasion d'un concours de force entre le professeur et l'élève, au grand ravissement de la classe.

La belle traversait donc les couloirs, ayant hate de pouvoir aller se relaxer dans un bon bain et oublier Nishino, quand en passant devant une salle vide quelque-chose accrocha son regard. Yllina s'arreta et regarda dans la classe vide ce qui avait capté son attention.
Une fille était assise, seule à une table, un ordinateur portable allumé et un casque sur les oreilles. C'était ses cheveux, blancs argentés, qui avaient attiré l'oeil d'Yllina. La demoiselle s'étonnait de voir une autre fille ayant des cheveux semblables aux siense un signe ? En tout cas cette demoiselle ne donnait pas de signes de départ imminent. Elle continait de pianoter sur son clavier, semblant indifférente à tout ce qui pouvait se passer autour d'elle. Peut-être n'avait-elle pas entendu la cloche sonner, avec son casque ? Yllina décida d'aller la prévenir, et en profiter pour faire un peu connaissance, sait-on jamais...

" Toc-Toc ! Les cours sont terminés, tu n'as pas entendu la cloche ? Ou alors, tu ne profiterais pas de l'absence d'élèves et des professeurs, par hasard ? "

Yllina avait dit ça sur le ton de la plaisanterie, pour autant elle savait parfaitement que beaucoup d'élèves restaient après la sonnerie de fin de journée, profitant de l'absence d'autorité pour se livrer à tout un tas d'activités, parfois à la morale douteuse...

8
Le coin du chalant / Nouvelle élève à Mishima...
« le: dimanche 23 mars 2014, 17:09:26 »
Bonjour à tous !

Comme vous vous en doutez, ce post est là pour recruter des personnes qui seraient intéressées par un RP avec la belle et redoutable Yllina. J'accepte tout le monde, du moment qu'il y a un minimum de raison logique à la rencontre :)

Trame n°1 :
Yllina arrive à Seikusu/Mishima, et aimerait bien que quelqu'un lui fasse découvrir la ville/le lycée. L'occasion pour vous de tenter votre chance avec la demoiselle, mais attention, les roses ont des épines !

Trame n°2 :
Yllina dépasse les bornes, et vous essayez de lui rappeler la limite. L'occasion pour vous de constater qu'il n'est pas facile du tout d'argumenter avec la belle...
Variante : Yllina prend votre défense alors que l'on vous accusait, et contre toute attente réussit à avoir gain de cause. Acte désintéressé ou avait-elle une raison cachée ?

Trame n°3 :
Yllina vous a tapé dans l'oeil, et vous prenez votre courage à deux mains et allez la séduire. Bizarrement, plus vous vous sentez rapidement comme une marionnette... Juste une impression ?

Trame n°4 :
Vous avez une idée ?


Ma boite à MP est toujours ouverte, je vous dis à bientôt ;)

9
Prélude / Kuronobu Yllina : ange ou démone ? [Valimercenarisée !]
« le: dimanche 23 mars 2014, 03:25:04 »
Nom : Kuronobu
Prénom : Yllina
Age : 19 ans
Sexe : femme
Espèce : Humaine

Situation professionnelle : étudiante
Situation familiale : fille unique / célibataire
Adresse : Dortoirs des filles du lycée Mishima




Apparence physique :

Yllina n'est pas le genre de fille à laisser son entourage indifférent à sa présence. La demoiselle a en effet une silhouette haute et fine, agrémentée de délicieuses courbes. Elle n'est pas non plus très grande, juste quelques centimètres de plus que la moyenne, mais avec sa taille de guêpe cela accentue davantage sa silhouette. Ses longues jambes fuselées remontent sur des hanches évasées mais sans excès, assorties d'un fessier rebondi, puis un ventre plat, une poitrine bien fournie sans tomber dans la démesure, de fines épaules d'où partent des bras délicats, et enfin son charmant visage.

Parlant de celui-ci, Yllina arbore quelques particularités chromatiques. Ses long cheveux sont pale, si pale qu'on les croirait presque blanc, alors que ses yeux ont une teinte bleue tirant un peu sur le mauve. Associés à la pâleur de sa peau, on croirait presque qu'elle est irréelle. En dehors de ses points particuliers, Yllina est une jeune femme comme les autres. Ses cheveux sont laissés libres, tombant jusqu'à sa chute de reins, et forment une frange sur son front. Une unique mèche est coiffée en tresse, pour briser l'unicité de la coiffure.

Vestimentairement parlant, Yllina affectionne les bottes, les jupes et les vestes. Elle jouera davantage sur des paramètres tel la taille, la couleur, le style, plutôt que de changer pour un pantalon et un pull. Elle a également un petit vice caché, sous la forme d'un goût prononcé pour la lingerie fine, voire affirolante. En dehors de ça, elle a souvent des gants avec elle, pour la raison qui va suivre.

Bien qu'à voir ainsi, Yllina a tout de la fragile et innocente jeune fille, en réalité la belle est l'héritière d'une famille d'artistes martiaux, et en tant que tel elle fut formée par son grand-père à "l'art du bottage de train", comme elle se plaît à le dire. Il en résulte qu'elle est parfaitement capable de se défendre si on l'agresse, dans la mesure où elle n'a pas à faire face à un gang complet... mais elle peut gérer deux ou trois voyous sans trop de soucis.




Caractère :

Yllina a une psyché atypique, et se plaît à paraître opaque et déstabilisante pour son entourage.

La première chose à noter est l'intelligence de la demoiselle. Yllina est très intelligente, même si certains, ses professeurs en première ligne, diront qu'elle n'exploite pas correctement ses capacités. Ses notes sont loin d'être mauvaises, et la jeune fille se classe facilement dans le peloton de tête, mais au regard de ce qu'elle est capable de faire, on trouve parfois que c'est du gâchis...
Second point important, Yllina vit sa vie selon ses règles. Pour la demoiselle, vivre au jour le jour en profitant au maximum est comme une ligne de conduite, qu'elle met un point d'honneur à appliquer. En revanche, Yllina ne se laisse pas dicter sa vie, pas le moins du monde. Elle s'est faite une spécialité de tourner le sens d'une phrase à son avantage, jouant sur le sens des mots, les notions objectives et subjectives, les non-dits, l'évidence et l'incertain. Il en résulte qu'elle est à la fois une manipulatrice accomplie et une terrible négociatrice.

En revanche Yllina n'est pas mauvaise de nature, tant que l'on ne cherche pas à lui marcher sur les pieds. Elle est juste une fille qui se veut libre et indépendante, et ses manipulations n'ont que pour but de servir cet intérêt. Elle ne recherchera pas la domination pour le plaisir de se sentir supérieure, même si elle admet aimer être celle qui mène la danse. Yllina se voit plus comme un joueur d’échecs qui aurait plusieurs coups d'avance sur son adversaire que comme une personne dominatrice et qui en retirerait un plaisir sadique. Elle aime également prendre ses interlocuteurs à contre-pied, jouer de mystères et d'ombres sur ses pensées, voire brouiller les cartes.

Au final, on en retire qu'Yllina est une personne aimant vivre davantage comme elle l'entend que selon les règles des autres. Manipulatrice, elle sait y faire quand il s'agit de déformer la réalité et les faits, puis en tirer parti, ou au contraire justifier ses actes. Prenez garde à ses mots, ils sont encore plus redoutables que ses coups de pied.




Histoire :

Que dire de la vie d'Yllina... La consonance peu japonaise de son prénom est le résultat d'un caprice de sa mère. Quand elle était jeune, Madame Kuronobu fut prise dans un terrible accident de circulation, et aurait pu perdre une partie de sa mobilité si une docteur du nom d'Irina Rivera, en échange au Japon, ne l'avait pas opérée avec brio. Infiniment reconnaissante envers celle qui l'avait sauvée, Madame Kuroboru s'était jurée que si elle avait une fille, elle hériterait de ce prénom en hommage à cette femme et cette docteur d'exception. La naissance de la jeune fille fut l'occasion de bon nombre de débats forts animés entre la mère, le père et le grand-père, jusqu'à ce que les questions d'honneur entrent en jeu, faisant pencher la balance en faveur de la mère.
Et ainsi fut-il, la jeune fille fut nommée Yllina, un nom orthographié de manière assez particulière, et rappelant vaguement le prénom d'origine, mais passons.

Toute jeune déjà, Yllina montra l'étendue de ses capacités, tant physiques que cérébrales, mettant le courage et la patience de ses parents à rude épreuve. Initialement le père d'Yllina avait prévenu son propre père : pas question que l'enfant grandisse dans l'environnement violent des arts martiaux ! Au final, Yllina fut confiée à son grand-père avec la bénédiction de ses parents, histoire de la canaliser et de pouvoir se reposer un peu. Tout le monde fut grandement satisfait de cet arrangement, le grand-père du potentiel de sa petite fille (il développera par la suite un grave syndrome du Papynou, chose qu'il nie encore aujourd'hui), les parents de voir leur fille s'épanouir sans les faire tourner en bourrique, et Yllina de faire plaisir à tout le monde.

Au collège, Yllina hérita d'une place dans le comité de discipline, recommandée par un de ses senpais qui l'avait vu un jour corriger un délinquant. On ne peut pas dire que son service fut exemplaire, la jeune fille jouant la carte de l'opportunisme en acceptant son poste, puis en usant de son autorité à des fins personnelles. Pour autant, elle parvenait toujours à tourner ce qu'on lui reprochait comme étant de l'abus de pouvoir comme étant de la légère extrapolation de l'exercice de ses fonctions. À la fin de ses années au collège, Yllina avait gagné une solide réputation de renarde rusée et de casse-bonbons en puissance (et pas qu'au figuré).

Cette réputation la suivie au lycée, ce qui freina les ardeurs des différents conseils voulant recruter une jeune élève prometteuse. Yllina n'en prit pas ombrage, et continua de mener son train de vie comme si de rien n'était. Elle fut rapidement le cauchemar de la salle des profs, de part sa capacité à outrepasser la ligne tout en prouvant par A+B que ce n'était pas le cas. Tout ces éléments, associés à son fort caractère, en firent une personnalité importante du lycée, attirant admiration et animosité en parts égales.

Du fait de son éveil rapide, conséquence de sa grande intelligence, Yllina a déjà plusieurs aventures à son actif. Ayant commencé assez tôt par rapport aux filles de son age, elle éprouve beaucoup de plaisir à initier les petits nouveaux/nouvelles à de nouveaux horizons, les emmenant faire la fête, en virée à droite ou à gauche, ou les entraînant dans sa chambre...
Yllina n'aspire qu'à vivre sa vie comme elle l'entend, écrivant ses propres règles si besoin, ou en tordant celles des autres pour les adapter à sa convenance. Ses années à Mishima s'annoncent mouvementées !

Pages: [1]