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Les terres sauvages / L'Ellipse Rouge, l'auberge invisible (pv le Roi Bouc)

« le: samedi 28 mars 2015, 00:45:38 »

L'Ellipse Rouge, un nom bien mystérieux pour un établissement bien mystérieux...C'est un endroit à l'abris des regards...Puisqu'il est invisible ! Enfin c'est ce que l'on dit, d'où son surnom "d'auberge invisible" . Mais en fait il n'est pas vraiment invisible...et il n'est pas du tout une auberge. L'adjectif le plus adapté serait plutôt "introuvable" qu'invisible. Car il se déplace autant dans l'espace...qu'à travers les dimensions ! C'est une sorte de grand manoir, plus en hauteur qu'en largeur, fait de pierres grises et de tuiles de toit rouges, il se termine par trois tours qui donne l'illusion qu'elles vont s'effondrer au moindre choc. Mais elles sont solide comme un roc et une armée de tubes en cuivres qui servent de cheminées recouvre les différents toits. Son moyen de locomotion classique sont deux grandes roues en bois rouge de chaque côté du bâtiment. Elles fonctionnent grâce à un ingénieux système de rotation à vapeur au plus bas étage, et la vapeur est aussi utilisé comme moyen de chauffage pour les chambres. Au même étage, se trouve également d'immenses poids intelligemment placé et calculé pour que l'établissement ne puisse tanguer, donnant l'impression à ses habitants d'une perpétuelle stabilité.

Quant au déplacement extra-dimensionnel, il s'effectue avec un système plus complexe : une machinerie spéciale, au même étage, et extrêmement élaboré dirige des flux magiques qui ne garantissent pas seulement le voyage, mais aussi par exemple un champ de force pour protéger le manoir ou encore le rendre invisible, et bien d'autres encore...

Une grande porte en bois permet d'entrée après un pallier en bois rouge, comme les roues. Mais l'entrée est au premier étage, du pallier se déplit donc à l'arrêt un escalier qui en permet l'accès. Et quand on a traversé l'immense porte, on se retrouve dans un somptueux hall, richement décoré. l'intérieur est fait de divers bois vernis et les murs sont recouvert de velours rouge avec des dessins dorés, vert et de rouge plus clair que le celui du velours. Un lustre englobe la salle dans une lumière voutée et au sol, il y a divers sofas et canapés de couleurs et de tout matériaux. Au fond, face à l'entrée, se trouve un bureaux, assez imposant. Le hall donne accès à deux escaliers et deux ascenseurs (qui marchent eux aussi à la vapeur) au fond et sur les côtes, divers rideaux richement colorés donne sur d'autres salles.

Si vous ne l'auriez pas compris, l'Ellipse Rouge est un bordel. Sa capacité à se déplacer où il le souhaite à fait son succès, car grâce à cela l'établissement marche 24h sur 24 et peut accueillir, comme proposer, toutes les espèces de toutes les dimensions où il va, il peut aussi servir de moyen de fuite à ceux qui en payent le prix... Grâce à cela l'établissement s'était rapidement enrichi et était devenue privée, ne s'ouvrant que pour les plus riches et les plus puissants. "L'Auberge Invisible" propose des chambres et des services adaptés au moindre désirs de ses clients. L'accueil y est chaleureuse : en pénétrant dans le hall, on est déjà reçus par quelques prostituées de divers races en tenue très suggestifs qui se promène dans la salle, ou se font des caresses intimes dans les canapés, ou vous lance des regards de braise pour vous séduire.

Derrière le bureau du fond est assise Ena, la directrice de l'Ellipse. Une démone à la peau noire comme la cendre, traversée par des tatouages dorés et au cheveux violets fait d'une étrange matière, comme s'ils étaient toujours humides, attachés en un chignon un peu lâche et une coiffure très élaborée. Ses yeux sont d'un rouge vif et elle est vêtue d'une robe d'un rouge sombre, découvrant ses épaules et laissant la vue à un généreux décolleté. Le tissus descend jusqu'à ses chevilles, cependant il s'ouvre sur le côté d'une généreuse ouverture qui laisse abondamment voir le long de ses jambes. Elle porte à ses pieds des talons dorés qui enroule un ruban autours de ses jambes jusqu'aux tibias. Elle porte également de riches bijoux et a sur sa tête deux cornes de taille moyennes et brun foncé qui partent vers l'arrière, légèrement courbées.

Elle gère l'établissement et elle sait qu'aujourd'hui le manoir doit aller chercher un client spécial, qui a aussi émit quelques souhaits particuliers. Elle avait donc préparé une chambre, avec ce qu'il avait souhaité à l'intérieure. Une récente acquisition de plusieurs mois, des spécimens tout à fait spéciaux, qui avait coûtés chers, mais qui se trouvaient très rentables. Elle glissa alors un petit morceau de bois avec une inscription dessus dans un des orifices sur le bureau. Cet orifice était un tuyaux qui mené en salle des machines, qui reçut le mot, les ouvriers activèrent alors les machines, pour mener l'Ellipse Rouge où ils allaient récupérer ce client "spécial".

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Les terres sauvages / Prises dans les griffes du dragon (Maître)

« le: dimanche 22 décembre 2013, 03:07:54 »

Almaziane et Emarie étaient encore partie en exploration dans ce monde nouveau dans lequel elles étaient nées depuis peu, même si elles commençaient à connaitre la vie, sous son bon ou mauvais côtés, mais elles avaient encore beaucoup à apprendre de ce long fleuve imprévisible...

Elles parcouraient encore une fois les immenses terres sauvages, volant dans les ailes, pourfendant l'air de leurs puissantes ailes aux plumes brunes. Elles étaient richement habillées, due à la fortune de leur "créateur", le peintre qui avait dessiné leurs courbes parfaites et rondes et qui par son talent, avait, même sans le vouloir, les rendre tellement réalistes sur la toile qu'elle prirent vie. Elle portaient donc une espèce de kimono blanc, sans épaules, juste de larges manches puis le buste recouvert de tissus, s'arrêtant aux cuisses et continuant derrière comme une traîne jusqu'au niveau des talons, chaque tissus étant brodé de tissus couleur or, le tout était tenu par de larges ceintures de tissus dans lesquelles étaient placé leurs katanas, non elles ne contaient pas vraiment se battre, elles n'avaient donc pas pris leurs armes habituels . Leurs jambes étaient recouvertes d'un fin collant blanc, s'arrêtant aux cuisses, au dessus des genoux et elles avaient aussi des gants assorties le longs des avant bras, ceux ci étant recouvert pas les larges manches, ne leurs recouvrant pas les doigts. Aux pieds elles portaient de petites chaussures blanches à talons plats.

Brassant l'air de leurs ailes, l'une des deux oiselles, Emarie, remarqua un petit village, elle fit signe à sa sœur, elle ci tourna la tête et de suite, sans aucuns discours, elles s'y dirigèrent toutes les deux. Elle atterrirent en douceur sur le centre du village mais à peine eurent t'elles posées le pieds qu'un cri de femme retentit. Elles se retournèrent, portant par réflexe leurs mains à leurs sabres, et virent des cavaliers affreusement moches foncer à travers la rue principal, droit sur elles, en hurlant sans grâce et en étripant les villageois qui avaient le malheur de se trouver sur leur chemin, fonçant droit sur elles par la même occasion. Les deux sœurs sortirent alors simultanément leurs katanas de leurs fourreaux et d'un seul geste amples, les placèrent horizontalement face à elles, les montures des créatures difformes s'y coupèrent, et celles à pieds s'arrêtèrent nette. Des cavaliers se relevèrent, elles furent entourées, Almaziane activa alors sont pouvoir, faisant soulever deux des monstres de chaque côtés pour les envoyer au loin, des maisons proches commencèrent à prendre feu. Emarie s'aida de ses ailes pour décrire un trajet en arc de cercle, tranchant plusieurs soldats. Un des gobelins armé fonça vers elle, elle le stoppa avec son don d'immobilité, sa jumelle enchaîna en le faisant léviter pour le projeter ensuite. Elles se mirent dos à dos, les assaillants arrivèrent, Almaziane s'avança et en coupa deux de sa lame. Tout allez à peu près bien quand...

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Les terres sauvages / Esclavagistes, encore et toujours...(pv Linda)

« le: mercredi 18 décembre 2013, 19:54:23 »

Elles avaient déjà eu affaire avec eux, par chance elle étaient tombées sur un acheteur qui les libéra et qui en échange leur demanda quelques petits services, de plus ça c'était fini de façon très agréable...Mais bon là c'était pas le moment de penser à leurs ébats d'avant parce que là, maintenant, elles étaient encore face à des esclavagistes mais cette fois elles ne se firent pas attraper comme la première fois, par surprise, elles eurent le temps d'esquiver. Elles se retrouvaient maintenant face à une petite troupe d'esclavagistes et attendaient qu'ils donnent le premier assaut, qui ne se fit pas attendre, deux hommes s'élançant chacun sur elles, elles n'eurent qu'à s'envoler pour qu'ils se heurtent. Chacune fonça ensuite en rase motte avec leurs petites lames, leurs katanas sacrés restant bien caché dans leurs vêtements, elles en blessèrent ainsi quelque un. Comme à son habitude, Almaziane était celle qui jubilait et s'en sortait plus que bien, elle faisait léviter deux lames autours d'elle et tenait les deux autres, d'un coup d'aile souple elle fit un retourné et les planta dans le thorax d'un des esclavagiste puis, dans le même mouvement, les repris et les replanta dans le ventre d'un deuxième, les deux hommes tombèrent à terre, elle sourit de jubilation, mais la fête pour elle fut finie bien avant l'heure...

- Je serais toi j'arrêterais tout de suite et je me rendrais...

L'interpella une voix, en se retournant, elle vit tout le reste des hommes armés derrière un qui semblait être le chef et qui tenait par le bras, plié dans le dos, Emarie, une blessure saignante au front, le sang coulant jusqu'à l’œil, un sabre sous la gorge . Almaziane regarda sa jumelle d'un air neutre, celles qu'elles possèdent depuis la naissance, les deux sœurs échangèrent ainsi un long discours muet avant que la jeune femme ailée aux yeux violets fasse tomber ses armes à terre et cette fois, ce fut le chef des hommes qui sourit de jubilation, il fit un signe de tête vers elle pour ses hommes,

-Enchaînés les ensemble

Ils s'approchèrent de la jeune combattante, qui fixa encore sa sœur pendant qu'ils la couvrait de chaînes. Comme ordonné, elles se retrouvèrent enchaînées l'une à l'autre, dos à dos et misent dans une cage qui les obligeait à rester assises. La caravane d'esclaves se mit en route, elles bougeaient légèrement à cause de la route, au bout d'un moment, Emarie ouvrit la première la bouche

-Excuse moi Almaziane..

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Les terres sauvages / chant et rire ( Gérard Manvussa)

« le: samedi 16 novembre 2013, 15:38:38 »

Emarie était juste sortie faire un tour, sans sa sœur, histoire d'éviter de se retrouver encore une fois dans elle ne sait quel combat ou galère vu le caractère bien trempé et irréfléchie de sa sœur...Elle préférait allé profiter de la nature et de ses magnifiques paysages pour s'en émerveiller, et aussi travaillé un peu sa flûte traversière...

Elle s'habilla donc assez coquettement , pour être digne de mère nature , elle se mit des rubans roses dans ses longs cheveux bruns et enfila un kimono un peu spéciale, bleu nuit avec des motifs de roses roses, il était très court, s'arrêtant aux cuisses, elle mit alors un bas noir. Il ne couvrait pas ses épaules, il s'arrêtait avant, les larges manches commençaient plus loin, elle mit enfin la large ceinture de tissu rose, attrapa sa flûte, rangea sa lame dans la ceinture, au cas où, et sortit pour prendre son envole vers les grands espace vide de civilisation.

Elle vola un petit moment jusqu'à survolé une forêt de pins, elle sourit. Au sol, un serpent blanc, à la peau presque jaune et livide, rampait au sol, ondulant et sifflant de sa longue langue fourchue. Emarie se posa doucement sur une des branches d'un pin qui déployait assez largement ses bras de bois pour qu'elle puisse s'asseoir. Le serpent se choisit le même arbre, il y grimpa en glissant. La jeune fille oiseau sifflait, joyeuse d'avoir trouvée cette place, en souriant. Elle prit sa flûte et ferma les yeux, la portant à sa bouche. Le serpent montait de plus en plus haut. Elle commença à jouer doucement, de divines notes sortant joliment de ses fins doigts jouant habilement. Le serpent s'arrêta sur une branche derrière elle, il siffla de satisfaction, trouvant un nid où des œufs ne l'attendait que pour être gobé, il s'approcha, quand un faucon, défendant sa progéniture fonça vers lui avec un gris aigu. Emarie fut surprise et prit peur, elle tomba de sa branche, dans la panique et au milieux des épines et des branches, elle ne put déployer ses ailes, elle ferma les yeux en criant. Mais contrairement à ce qu'elle s'attendait, à s'écraser durement sur le sol, elle atterrit dans ce qu'il semblait être des bras, elle ouvrit un œil.

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Place publique / Oiseaux en Cage (pv Ragnar)

« le: mardi 29 octobre 2013, 11:58:10 »

Almaziane et Emarie avaient décidé d'explorer le plus possible ce monde nouveau pour elles dans lequel elle avaient prit vie il y a quelques mois maintenant, elles s'aventuraient donc, dans l'ignorance de la totalité de tout les risques qui y court....

En pleine campagne, alors qu'elles survolées les terres et les arbres, alors qu'elles revenaient vers Nexus, un filet lancé depuis le sol les attrapèrent. Elles furent précipitées au sol sous leurs cris surpris, à peine à terre, plusieurs hommes surgirent et les attrapèrent. Elles se débattirent sauvagement, mais ils étaient beaucoup trop nombreux et organisés, on les ligota, bâillonna en leur faisant mordre un foulard puis, enfin, on les assomma.

Plus tard, Emarie ouvrit les yeux, sa sœur était déjà éveillée, le visage renfermée, elle détestait perdre et se retrouver dans une telle situation...En effet, elles étaient nues (heureusement elles n'avaient pas pris leur katanas) , leurs plumes dévoilées, essayant de cacher un peu leurs corps avec de grandes ailes, enchaînées au cou, dans une cage qui les obligeaient à rester assises. Emarie regarda autours d'elle, c'était un immense marché grouillant de gens, emplit de bruits et de vacarmes. Elle glissa son regard sur sa sœur qui regardée en dehors de la cage, elle ne disait rien, sa jumelle ne dit rien aussi, c'était ainsi, elles ne piaillaient pas en permanence, jamais même, enfin pour l'instant, elles se tinrent juste la main, en silence...Les heures passèrent, elles savaient qu'ils n'y avaient que deux moyens de sortir : se faire acheter ou attendre la nuit pour tenter de s'échapper, alors maintenant, tout de suite, elles ne pouvaient qu'attendre, le soleil était haut, il devait être près de midi... L'idéal était que leur maître, qui leur apprenaient à se battre, ou leur "géniteur" les rachètent mais s'était peu probable, la place publique était immense, et ils savaient tout deux qu'elles avaient l'habitude de partir en vadrouilles des jours durant...Elles ne pouvaient qu'attendre...

Accrochée au barreaux, Emarie leva les yeux au ciel, elle aperçue un aigle. Elle adorait ces pairs volatiles, et connaissaient leurs cris, elle imita celui de l'aigle, l'oiseau l'entendit et plongea sur la cage pour se poser au sol à côté de celle-ci. Almaziane n'y fit pas attention mais celle qui l'avait appelée lui caressa le haut de la tête en le regardant dans les yeux, sa jumelle ne regarda qu'un instant. Puis, l'aigle repartit en s'envolant, Emarie soupira en fermant les yeux, Almaziane détourna le regard...Elles ne pouvaient qu'attendre encore et toujours...

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Les landes dévastées / Premier combat (pv Shin)

« le: dimanche 27 octobre 2013, 20:06:55 »

Almaziane et Emarie étaient maintenant "nées" depuis quelques semaines, elles exploraient Terra et se forgeaient peu à peu leur personnalité.  Elles étaient curieuses de tout et avaient soif de connaissance, comme pour le combat par exemple ! Elles avaient trouvé de courtes épées un jour, et n'avaient cessé de s'entraîner avec entre elles, elle maîtrisaient maintenant parfaitement leur vol et apprenaient à l'utiliser au combat, dans ce sport, Almaziane se montrait particulièrement doué...
Elle avaient décidaient de s'enfoncer un peu plus dans les contrées du Chaos, elles avaient prit leur tenue habituelle, vêtu en plus d'une cape à capuche noir, leurs ailes rentrées dedans. Elles s'étaient arrêtées à une auberge, restant silencieuses, elles entendirent alors une discussion au bar,

"-On l'a encore vue ?
-Oui, toujours la vieille église abandonnée..
-Mais qui est-ce ?
-Personne ne sait..l'épéiste vêtu de noir..."

Elles redressèrent l'oreille à "église abandonnée" et "épéiste". L'église les intéressaient, elles avaient entendu parler de ces lieux de cultes mystiques mais n'en avait jamais vue...Et le fait qu'elle soit abandonnée les arrangeaient, elles n'étaient pas encore tout à fait à l'aise avec les autres. Elles décidèrent alors d'y aller, une rencontre avec cet épéiste pouvait être intéressante, mais de toutes façons, elles n'étaient pas sûres de tomber dessus.
Elles partirent donc vers cette étrange église, et arrivèrent au bout d'une assez longue marche devant un grand bâtiment au formes hautes et pointues, blanches et bleues, elles entrèrent. L’intérieure était sombre, froid, poussiéreux, vide, pauvre, il y avait quelques bancs, cassés pour la plupart, en désordre et plus loin un autel avec une grande statue, mais personne. Les deux sœurs s'avancèrent en retirant leur capuche et l'observèrent : c'était la statue d'une femme...
Elles se retournèrent quand elle entendit la grande porte par laquelle elles étaient entré grincer, leurs ailes se déployèrent et elles s'envolèrent pour se poser sur des poutres de la charpentes en hauteur. Un homme vêtu entièrement de noir s'avança alors, deux épées dans le dos, l'une jais, l'autre jade: l'épéiste. Il avança, elle le suivirent du regard en silence, il s'avança devant la statue et s'agenouilla, fermant les yeux. Emarie regarda sa sœur, celle-ci dégainait une de ses lames courtes, elle lui lança un regard réprimant, Almaziane répondit par un " ne t'inquiète pas" des yeux. Elle lança sa lame vers l'homme.

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Prélude / Oiseau de malheur et oiseau chanteur... [Validées]

« le: dimanche 13 octobre 2013, 01:41:29 »

Nom/Prenom/Surnom : Emarie, surnoms : Ema, Marie, comme vous voulez ^^ et Almaziane surnom : comme vous voulez aussi !

Âge : 21 ans, toutes les deux

Sexe : Féminins

Race : Créatures

Orientation sexuelle:  Bisexuelles

Description physique : Elle ne sont pas jumelles pour rien ! Elles sont parfaitement identiques : des corps parfaits,symétriques et bien proportionnés, ce qui est tout à fait normale car elles ont étaient créées d'une main de maître ! Leurs formes ne sont ni fortes, ni faibles, elles sont assez grandes, ont la peau blanche et douce, l'une vous laissera peut-être vérifier et l'autre vous coupera la main si vous le tenter sans y être inviter...Une particularité, elles ont les côtes, le milieu du dos et du ventre jusqu'à un peu avant leur intimités, les côtés des bras et des jambes couvert d'une ligne bien droite de plumes brunes et dans leurs dos se trouvent deux grandes et puissantes ailes de la même couleur qui leurs procurent vitesse et vole. Leurs cheveux sont longs jusqu'aux épaules et bruns, comme leurs plumes, elles ont des traits délicats aux visages, des aires d'anges. Elles sont habillées de tenues leurs permettant le combat, et laissant passer ses ailes, une mini robe blanche serrée d'une ceinture de soie rose raccrochant un large tissus bleu et d'un mini gilet, bleu aussi, et de manches de la même couleur. Cela dit leurs tenues varient, elles ont parfois une sorte de mini kimono de combat : un tissu émeraude leurs couvrant la poitrine avec une manche unique, pour Emarie gauche et pour Almaziane droite, de la même couleur ainsi qu'une mini jupe avec en dessous un court leggins blanc, entre autres...Et quelques fois des armures, assez légères...L'une, Emarie, utilise une épée plate de la longueur d'un avant-bras l'autre, Almaziane donc, en utilise quatre, qu'elle aime dissimuler. Mais elles ont toutes les deux une arme qu'elle n'utilise qu'en de rares occasions, leurs katanas sacrés, au pommeau blanc avec un cordon couleur or. Une nette différence entre elles, Emarie à les yeux violets myosotis et sa sœur les a bleu océans.
Mais ceci va changer...En effet, dans quelques temps, la folie d'Almaziane va s'éveiller, et cela va être la cause d'un combat entre elles. Elles vont se battre avec leurs katanas et Emarie va avoir l'aile droite coupée, après quoi sa sœur l’exilera sur Terre, où elle serra obligée de cacher sa « différence » sous des vêtements d'hiver ou longs...Mais nous n'y sommes pas encore.

Caractère : Si les deux sœurs jumelles se ressemblent énormément en physique, elles sont assez opposées sur le plan morale. Elles ont toutes les deux un comportement espiègle et joueur mais Emarie est plus sage et modérée que sa sœur, c'est une gentille fille, forte, digne et sociable. Elle est sûre d'elle-même et se montre toujours très sympathique, mais il ne faut pas pousser le bouchon trop loin, elle n'est pas naïve, très intelligente et réfléchie, elle pourrait se montrer acide et tranchante si vous ne la prenez pas au sérieux. Elle peut parfois paraître très douce, presque fragile...Et des fois ce n'est que vérité...  Almaziane c'est un tout autre genre, elle n'a pas toute sa raison et donc elle cherche constamment à combattre. Les yeux fous, le sourire large, un rire frénétique sont assez constant chez elle. Elle aussi est fière, un peu trop même ce qui la pousse à provoquer, à chercher, même à plus fort qu'elle...Elle se met ainsi souvent en difficulté...Elle est aussi irréfléchie et spontanée. Très instable, il est impossible de savoir ce qu'elle pense, qui elle est vraiment...Mais pour l'instant elle viennent de "naître", elles n'ont pas encore ces caractères, neutre comme des pages vierges.

Histoire : Tout est partit d'une toile, une toile aussi blanche et pure que la neige. Et puis une tempête de couleurs s'abattit dans la danse souple et savante d'un pinceau. Cela commença par des corps, des corps dans l'ombre, des corps visibles mais invisibles, qu'on n'identifiait pas, marqués de traces de sang...Ces corps formèrent une sorte de tas, plat, et de ce tas de corps sont venus deux jeunes filles. Elle étaient au milieu du tas, debout, nues, l'une contre l'autre, fronts collés, mains enlacées, les yeux à demi-fermés, l'air neutre. Elle se ressemblent de part en part, leurs corps sont parfaits, leurs chevelures longues et brunes, l'une vous glace d'un regard d'océan profond, l'autre vous fascine d'un regard myosotis. Deux ailes majestueuses trônent dans leur dos, et dans leur deuxième main, qu'on aperçoit vaguement derrière elles, un katana chacune dans un étui blanc. Leurs peaux blanches et pures sont tachées légèrement de sang...Tout ce magnifique tableau semble être partagé dans un débat manichéen entre blanc et noir, une lumière venant d'en haut à droite éclaire les deux filles qui semblent si réels...Chaque détails, chaque millimètres sont si authentiques...Qu'ils le sont vraiment. Les deux jeunes sœurs furent créées ainsi, un maître de peinture nommé Kelsier les a peintes, elles ont pries vie, et voilà. Elles se sont extirpées du tableau, innocentes et neutres comme des nouveaux nés... Qui sont-elles vraiment ? Que leurs réservent l'avenir ? Nous le verrons bien... Mais pour l'instant, elle viennent de naître, leurs caractères ne sont pas affirmés, elle sont neutres, sans émotions et ne demandent qu'à grandir....
La nature semble, en plus de leurs ailes, les avoir doté d'un pouvoir chacune, Almaziane peut léviter des masses plus ou moins importantes, et Emarie peut immobiliser n'importe quoi. Evidemment au début elles n'ont pas une grande maîtrise et force de leur pouvoir mais avec de l'entraînement...Mais en plus elle leur a donné un don naturel chacune aussi, Almaziane a des aptitudes pour le combat, elle y utilise ses ailes à merveille, ainsi que son agilité et Emarie possède une merveilleuse voix enchanteresse, elle chante divinement bien, de plus elle a sut jouer de la flûte traversière naturellement...Elle s'amuse souvent à imiter des chants d'oiseaux...Elles combinent souvent leurs pouvoirs et dons pour arriver à leurs fins, elles sont toujours en pair, c'est à dire qu'elles semblent être un duo inséparables...Mais jusqu'à quand ?
Situation de départ : pures comme des pages blanches...

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