Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Arillé

Pages: [1]
1
Place publique / Une perle pour un harem [PV - Tinuviel]
« le: jeudi 07 janvier 2016, 00:07:31 »
Le marché de Nexus était une place qui était noire de monde du matin au crépuscule, pour peu que l’on ait une bourse bien remplie, on pouvait tout s’offrir, tout avait un prix et tout le monde, nobles comme petites gens se rassemblaient pour commercer. Légumes, charrettes, armes, œuvres d’art, biens de contrebande, vêtements, bonbons multicolores, tout ici avait un prix. Mais ce qui faisait la réputation de ce marché était les ventes d’esclaves. Il y en avait pour tous les gouts, et pour se démarquer, il fallait proposer des biens d’exception. C’était le cas du harem « La Rose Pourpre», établissement d’exception qui avait la réputation de vendre les femmes les plus belles de Terra. La gérante de cet établissement, madame Sachère  était justement en train de présenter ses produits. Cette femme ayant près de la quarantaine avait une certaine prestance, par sa manière de parler et de se mouvoir.

« Et si vous voulez bien me suivre madame Lastrim, voici une autre esclave qui pourrait éventuellement vous convenir. »

Arillé eu le cœur qui se mit à battre la chamade. Elle prit une grande inspiration en surveillant la porte du boudoir dans lequel elle était exposée. C’était une pièce richement décorée, comme le reste du harem. Un véritable palais qui montrait que les affaires allaient pour le mieux dans cet établissement. A l’intérieur se trouvait deux fauteuils qui faisaient face à une banquette, séparés par une table basse et Arillé, nue à l’exception d’un collier et d’un maquillage très léger. Soudain la porte s’ouvrit et l’esclave offrit son plus beau sourire après avoir tressailli, attendant que les deux femmes s’approchent et s’installent pour les saluer par un doux.

« Bonjour maîtresses »

Sans se faire prier Arillé rampa jusqu’aux pieds de Tinuviel et les embrassa avant d’embrasser ceux de Sachère sans interruption.

« Je vous prierai de m’excuser si jamais vous éprouvez une gêne à voir une elfe, je comprendrai parfaitement. »

Elle fit signe à Arillé d’arrêter et celle-ci se redressa, restant à genoux. Son regard était fixé sur Tinuviel, et elle ne pouvait s’empêcher de lui sourire. Elle était à la fois intriguée de voir une autre elfe pour la première fois de sa vie et captivée par sa beauté, encore quelques instant et elle allait tomber amoureuse devant cette acheteuse potentiel au physique divin.

« Vous comprendrez, de par ses origines qui la rendent immortelle, que son prix est plus élevé que nos autres esclaves. Mais je dois avouer qu’elle est l’une de nos plus belles pièces. Bien entendu vous pouvez l’examiner de plus près. »

Aussitôt dit, aussitôt fait. Arillé se redressa doucement avec grâce et se mit devant Tinuviel, qui pouvait l’examiner sous toutes les coutures, sans aucune restriction (dans la limite du raisonnable).

« Je me permets d’ajouter qu’elle est toujours vierge, mais nous l’avons éduqué pour combler le moindre de vos désirs, comme le reste de nos pensionnaires. »

2
"Goodbye my sweetheart, Hello Vietnam!"

Vous l'aurez peut-être compris, mais je dois vous quitter. Mais promis! Ca ne durera qu'une semaine!


Vacances!

3
Le quartier de la Toussaint / Une elfe pour la Toussaint [pv: The xXx Gang]
« le: mercredi 30 octobre 2013, 18:05:03 »
    Encore une magnifique journée qui s’annonçait pour Arillë. Le soleil illuminait la sombre cité d’Ashnard et particulièrement les jardins d’Arillë, qui suite à l’approche de l’automne prenait une teinte cuivrée. C’est avec cette vue que l’elfe s’adonnait à un de ses passe-temps favori  dans sa chambre, seule, avec une lumière douce, comme ses draps. Ce passe-temps commun à nombre de personne était celui de la sieste ; oui, Arillë adore dormir, cela lui changeait de ses séances intimes avec ses partenaires et esclaves. Après avoir piqué un léger roupillon, l’elfe se leva pour la deuxième fois de la journée. L’intérieur de la maison était étrangement calme. Il n’y avait pas un bruit, si ce n’est l’elfe qui trainait des pieds pour atteindre la cuisine. Un verre de lait plus tard, la propriétaire aux oreilles pointues décida d’enfiler une tenue descente et de quitter sa robe de chambre pour aller flâner devant les boutiques que seuls les plus riches pouvaient fréquenter.
   En sortant de chez elle, Arillë vit Svinnah gronder Luna. En effet l’esclave elfique rassemblait tant bien que mal les feuilles mortes alors que la Neko passait son temps à sauter dans les tas et à éparpiller les feuilles aux quatre coins du jardin. Une situation qu’Arillë trouva de « mignonne » et qui la fit sourire avant de commencer son périple dans les beaux quartiers d’Ashnard.
    Au programme de son expédition : une pédicure et une manucure, un passage chez le coiffeur, un peu de lèche vitrine devant tout et rien, un passage dans l’une des librairies pour remplir sa bibliothèque de livres qu’elle n’ouvrira probablement jamais, et regarder les nouveaux articles dans diverses boutiques dites adultes, ou pour dresser ses esclaves. Enfin, la dernière étape était de passer jeter un bref coup d’œil au marché aux esclaves, qui sait, peut-être y aurait-il une fille qui pourrait lui donner envie de dépenser encore un peu d’argent. L’inconvénient pour rejoindre le marché aux esclaves était qu’il fallait marcher un bon moment. Si bien que l’elfe décida de prendre un raccourcit par un dédale de petites ruelles. L’elfe n’avait rien à craindre, les quartiers mal famés étaient à l’opposé de la ville.

    Au bout de quelques minutes à s’aventurer dans les boyaux de la ville, l’elfe déboucha sur une sorte de boulevard étrange. Les pavés de la ville avaient laissé place à une sorte de roche uniforme poreuse et les maisons étaient bien hautes, si hautes qu’elles cachaient le soleil. L’odeur aussi était différente. Elle rappelait vaguement les bas-fonds de Nexus. Au loin, elle entendait un bruit sourd, un vrombissement distant quelque fois entrecoupé par un hurlement strident et régulier, avec de grands flash lumineux quand le monstre passa devant Arillë. Légèrement affolée et inquiété par ce changement brutal, elle prit une direction opposée, s’éloignant de l’avenue animée. Etonnamment, la rue qu’elle descendait était bien vide, et plus elle s’engouffrait dans ce lieu sombre plus il semblait se dégrader. Arillë n’entendait maintenant plus rien, si ce n’est ses talons qui claquaient contre le sol ou un chien errant qui aboyait au loin.
   L’elfe se retournait régulièrement, se demandant où diable pouvait-elle être. Elle s’approcha devant une grande vitre en hauteur qui émettait une faible lumière qui l’intriga sur le coup. Elle portait une inscription étrange et seul un japonais pouvait lire : « McDonald à 5 minutes » ventant le nouveau burger que la firme proposait en édition limitée et suivit d’une direction lui disant de tourner à droite. Cet endroit ne plaisait pas du tout à l’elfe qui cherchait à sortir d’ici au plus vite. Elle n’avait ni armes, et était habillée, maquillée et coiffée pour être mise en valeur, ce qui la poussa à suivre la direction indiquée et à errer encore un peu.
   Elle passa timidement dans la rue indiquée par le panneau avant de voir une silhouette se déplacer dans la direction d’Arillë et sur le même trottoir qu’elle. Le cœur de l’elfe battait la chamade, était-ce un malfrat ? Un  violeur ? Un psychopathe qui allait égorger l’elfe dans cet endroit sinistre ? A priori, la personne avait une silhouette de femme, ce qui rassura légèrement l’elfe qui continuait de s’approcher d’elle. Elle pouvait aisément distinguer que la passante avait une queue de félin et des oreilles de chat. « Une Néko » pensa Arillë. Elle fit un petit signe pour l’interpellé suivit d’un « Excusez-moi ? ». L’elfe se rapprocha en accélérant le pas.

« Excusez-moi ? Je me suis égarée, comment puis-je faire pour rejoindre les hauteurs de la ville je vous prie ? Je ne connais pas cette partie d’Ashnard. Je suis encore désolée.»

    En s’approchant de l’inconnue, Arillë affichait un petit sourire amicale, ne se doutant pas un instant de l’éventuelle dangerosité de la personne qui était face à elle.

4
Dictature d'Ashnard / Le Démonia, boutique et centre de jeux [PV: Lust]
« le: lundi 16 septembre 2013, 17:22:43 »
Ashnard n’est pas réputé pour être une puissance économique, il est vrai. Pourtant, il existe de nombreuses boutiques, dont, certaines, réservés à l’habillement des esclaves. L’une d’entre elle a su tirer son épingle du jeu, Le Démonia. Avec un nom pareil, vous vous doutez que le gérant, n’est pas un simple mortel, ou plutôt, une mortelle, puisque la boutique est tenue par une succube. Les prix des divers articles ne sont pas à la portée de toutes les bourses,  et quand on ressort de ce lieu richement décoré, ces dernières sont bien vides. Mais ce n’est pas avec seulement la vente d’articles coquins hors de prix que la tenancière arrive à garder la tête hors de l’eau. La boutique possède un escalier, menant à un club particulier où seuls les clients les plus fidèles et les plus fortunés peuvent y entrer. N’imaginez pas un lieu glauque et mal entretenu, la descente de cet escalier est déjà une attraction, où dorures et escalier de marbre noir se rencontrent. Enfin au niveau inférieur, un guichet, vous proposant deux entrées, l’une pour les maîtres et l’autre pour les soumis. Si vous ne l’avez pas encore compris, ce club de jeux, est un club SM, où l’on peut facilement s’amuser avec un partenaire d’un soir. Si c’est votre première entrée, vous avez un règlement à signer avant de vous voir remettre votre insigne de membre de ce club.


Bienvenue au centre de récréation du Démonia,
 Voici le règlement intérieur de ce magnifique centre de jeux.

     1 )   Merci de garder ce lieu secret, vous pouvez y amener votre amant(e) si vous le désirez, mais ce lieu est réservé à l’élite. Vous êtes l’élite.
    
     2 ) a )   Si c’est votre première soirée au Démonia, en tant que maître (esse), vous devez participer à une vente aux enchères et faire un achat.
    
     2 ) b )   Si c’est votre première soirée au Démonia, en tant qu’esclave, merci d’indiquer lors de votre préparation votre orientation sexuelle, vous serez « vendu » auprès des maîtres et maîtresses présent(e)s dans la salle.
    
     3 )   Pour tout achat, merci d’utiliser les « jetons D », vous pouvez échanger votre argent auprès de l’accueil. Cet argent est aussi utile pour les « paris sportifs ».
    
     4 )   Maîtres et Maîtresses, merci de respecter l’orientation sexuels des esclaves. Vous pouvez cependant les fouetter librement s’ils sont en libre-service.


     5 )   Pour faire participer votre esclave du soir à une de nos épreuves sportifs (course hippique, lutte, etc…), merci de le faire le plus tôt possible et de régler d’avance votre mise. Si vous gagnez, vous remportez le double de votre mise. (Merci de garder le ticket jusqu’à règlement, aucun payement ne sera accordé si vous perdez votre ticket. Merci de jeter votre ticket dans une poubelle.)

     6 )   Si vous souhaitez utiliser une de nos salles intimes, assurez-vous qu’elle soit libre et indiquez que vous l’utilisez avec l’un des panneaux fournit.

     7 )   Merci de ne pas embêter les serveurs de l’établissement, ce ne sont pas des esclaves, et nous ne les payons pas pour copuler avec vous, les esclaves sont fait pour ça.

     8 )   Merci d’apporter d’avance votre tenue, vous pouvez à tout instant remonter à la boutique pour faire des achats. Bien que la boutique ferme à 21h, un personnel discret sera présent jusqu’à 6h du matin pour vous aider lors de vos achats.

     9 )   Tous les jouets et jeux dans le club sont libres d’accès, merci de vous adresser à un serveur pour trouver votre taille si vous désirez faire du « ponyplay ».

    10 )   Si vous souhaitez tuer votre esclave, merci de vous adresser à la gérante, afin d’être sûr que tout est dans le but de réaliser un fantasme et non de simplement déguiser un meurtre. Ce genre de fantasme se réalisera sous l’œil de la direction. Merci de ne pas réaliser de sacrifices pour une divinité. Ce lieu est laïc, mais vous pouvez montrer toute appartenance à un culte.



Arillë était une habituée de ce lieu, et ici elle était connue sous le nom de « Lua ». Et comme les autres fois, elle était au guichet des esclaves du soir.  Elle portait une tenue quelconque, tenant dans sa main un sac où se trouvait sa future tenue. Elle allait être le lot n°12, et être « vendu » au marché du club, sans savoir à qui. L’elfe se dirigea donc vers un couloir, arrivant dans une grande salle avec des vestiaires. Parmi les clients, une quinzaine de nékos, chargés de chouchouter les faux esclaves et de les aider. Elles ne comprenaient pas vraiment pourquoi des gens libres venaient ici pour jouer aux esclaves, mais elles obéissaient. Tout le monde passait par le même programme dans cette salle décoré à la mode de l’antiquité. Lavement, un bon bain, pédicure, manucure, séance de coiffure et maquillage. Les clients pouvaient s’ils le voulaient se faire piercing ou un tatouage, ou directement passer à l’habillage. On posa sur Arillë, qui pour l’occasion avait une queue de cheval, des brassards et des chevillières en cuir, avec un anneau afin de l’attacher ou non. Puis, elle enfila un soutien-gorge et une culotte en cuir et avec des chaines, ces dernières étant parallèles et à un centimètre d’écart, ne cachaient pas grand-chose. Fidèle à son habitude, elle portait des chaussures à talons. Enfin, on mit un collier où trônait fièrement « esclave », et un bâillon.

Elle regardait l’estrade, où se trouvait un homme, grand et musclé, muscles saillants et, il faut le dire, plutôt bien membré. La salle avait une décoration digne, certes d’un club de strip-tease, mais qu’attendez-vous d’un endroit pareil ? De plus, les salles privées ont des décorations diverses, pour assouvir tout type de fantasmes, allant du basique donjon, à la salle de classe. De nombreuses tables se trouvaient dans la salle, face à l’estrade. On pouvait boire et manger dans cet endroit et le club était assez grand pour accueillir une petite cinquantaine de personnes, et propose de quoi dormir.  Derrière l’estrade, une petite arène, où les esclaves pouvaient faire une lutte particulière. Le but du jeu ? Soumettre son adversaire par une prise de soumission et le forcer à abandonner, ou pénétrer son anus avec un gode ceinture, ou son sexe. Il n’y avait pas de combat mixte, d’ailleurs, aucune épreuve sportive ne proposait des compétitions mixtes. Mais on pouvait s’arranger entre maîtres pour enfreindre les règles. Pour en revenir à la vente en cours, l’esclave masculin devait faire fantasmer les demoiselles, puis une fois qu’on finit de le montrer sous tous ses angles, l’employé chargé d’animer les ventes se mit à le présenter.

« Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, je vous présente notre magnifique lot n°11. Malheureusement pour les représentantes de la gente féminine, cet esclave recherche un maître, prêt à l’éduquer. Ou éventuellement, une créature aussi membrée que notre charmant jeune homme ! Mais vous aurez l’occasion de faire plus ample connaissance quand il sera à vos pieds ! Commençons l’enchère avec 100 jetons ! »

L’Assemblée, constituée majoritairement de femmes était déçue. Les prix n’étaient pas extraordinaires, puisque le but était d’avoir une créature à ses pieds pour la soirée, et s’il était doué aux épreuves, il pouvait amortir l’achat du maître facilement. Il fut vendu pour 350 jetons à un homme du même gabarit. On tira alors sur la laisse de l’elfe et elle se mit en marche, on avait attaché ses poignets dans son dos et suivait la néko qui la mena sur l’estrade.

« Et voici notre lot n°12. Regardez la bien messieurs, car vous ne l’aurez pas. En effet, la douce créature cherche une femme prête à la dresser. Et n’hésitez pas à employer la manière forte, c’est une habituée, et à ce que l’on m’a dit, c’est une petite salope ! Une beauté pareille, qui serait prête à me faire changer de bord…  L’enchère, pour une elfe pareille, est à 200 jetons »

Arillë était flattée, elle était vendu le double que cet Apollon. Elle regardait l’assemblée. Il y avait de charmantes demoiselle, dont une, avec des cheveux rougeoyant. Rien qu’à la voir, l’elfe était excitée, et son visage tournait rapidement au rose. Elle mordait la boule rouge de son bâillon d’excitation et battait doucement des cils. Lui faisant comme elle pouvait de l’œil.

5
Place publique / Dispute un jour de marché [PV: Ahri]
« le: dimanche 08 septembre 2013, 20:29:08 »
Il faisait beau ! Les oiseaux chantaient ! Les gens étaient souriant en ce début d’après-midi plus qu’ensoleillé. Pourtant il y avait bien une personne qui ne souriait pas. Une elfe pour être précis. Une elfe qui visiblement n’appréciait pas la cité de Nexus, dans laquelle elle déambulait. Arillë était en ville pour une raison précise, acquérir une nouvelle esclave docile qui ne broncherait pas à la servir et à accomplir le moindre de ses désirs. Afin de ne pas attirer l’attention des gardes, elle s’était habillée à la mode locale, mais restait relativement sexy. Elle avait aussi décidée de laisser ses armes chez elle. Un choix qui l’angoissait car elle avait toujours peur que Luna ne tombe sur son pistolet et ne blesse quelqu’un, pensant jouer.

Arillë avait beau ne pas porter Nexus dans son cœur, elle saluait néanmoins le large choix d’esclave que la cité proposait sur son marché aillant cependant une prédominance pour les esclaves sexuelles, en majorité, les humaines et les nékos. L’elfe n’arrivait pas à trouver son bonheur, les nékos n’étaient généralement plus que des sacs à foutres à l’esprit brisé, prête à servir dans n’importe quel bordel de bas étage, et aucune humaine ne tapait dans l’œil de l’elfe. Elle faillit trouver son bonheur, avec une succube qui était vendue. A peine eut-elle le temps de donner un prix que l’offre de l’elfe fut écrasée et il lui était impossible de concurrencer. Enervée, Arillë alla voir ailleurs, décidée à trouver une esclave relativement exotique. Elle faillit jeter son dévolue sur une terranide lapine, avant d’apprendre que la lapine n’était qu’un lapin avec une carotte entre les cuisses. Dire qu’elle faillit mettre une fortune dans cet esclave la répugnait.
 
Plus les heures avançaient, et plus Arillë grinçait des dents. Elle fit une halte dans une brasserie le temps de soulager son estomac, ainsi que sa bourse. « Coucher avec la meilleure prostituée de la ville aurait été moins cher » songea-t-elle. L’Elfe reprit sa quête de trouver une créature digne d’être promenée en laisse. Soudain, les dieux avaient été bon avec Arillë, elle entendit, un esclavagiste qui vendait une elfe noire, dressée, vierge et pour un prix médiocre. Arillë porta son regard sur la drow et tomba sur le charme. Aussitôt elle se précipita vers l’estrade afin d’hurler son offre.

« 100 pièces de platines et 60pièces d’or ! »

Comme elle s’en doutait, la bataille allait être rude, et on se pressait autour de l’estrade pour voir la dite créature. L’offre d’Arillë fut dépassée, et alors que les offres ralentissaient, l’elfe allait faire une offre pour être sûre de rafler la mise. Quand soudain, quelqu’un la bouscula d’un violent coup d’épaule. L’elfe trébucha et se releva pour faire son offre.
« Adjugé vendu à l’homme au haut de forme ! Bravo monsieur, je vous invite à récupérer votre lot ! »
Hurlait l’esclavagiste qui se frottait les mains. Pour ce qui est d’Arillë, elle regarda en direction de la personne qui l’avait fait chuter en fendant la foule. Elle fixait une femme, rien qu’en la regardant de dos on pouvait deviner qu’elle était d’une grande beauté. Arillë s’en fichait, elle était responsable de ce qui venait de se passer. En réalité, c’était un homme bien pressé et qui jugea bon de semer les gardes en fendant la foule. Ahri dû surement prendre la place de quelqu’un pour regarder l’esclave qui allait être vendue. Pour l’elfe, elle allait lui faire regretter un acte qu’elle n’avait pas commis. Elle la poussa violement.

« C’est à cause d’une putain comme toi que j’ai perdu ce lot ? Sac à foutre ! Tu devrais t’excuser et implorer mon pardon devant un être qui t’est supérieur ! »

Ordonna-t-elle à Ahri. La demoiselle sembla vouloir se justifier, mais Arillë, qui était au bord de la crise de nerf ne lui laissa pas l’occasion, lui coupant tout simplement la parole.

« Silence ! Chienne ! Putain de bas-étage ! Vas vendre ton herpes vaginale ailleurs ! », Arillë cracha sur Ahri, au niveau de son cou. « Tes parents devaient être jumeau pour que tu sois assez conne pour chercher à te faire corriger par une elfe ! Sous-être ! Tu es la reine des salopes ! Je sens l’odeur du foutre sortir de ta sale gueule de chienne d’ici ! »

6
Les terres sauvages / Visite de courtoisie et tasses de thé [PV: Sheogorath]
« le: samedi 07 septembre 2013, 19:15:09 »
Arillë voyageait depuis maintenant quatre jours et il fallait le dire, elle en avait plus que marre de rester assise à voir le paysage défiler sous ses yeux. Pour lui tenir compagnie dans son carrosse, Arillë avait pris Svinah avec elle, laissant Luna s’occuper de la maison. L’esclave aux oreilles pointues s’ennuyait elle aussi et afin de trouver le temps moins long, Svinah était chargée de faire plaisir à sa maîtresse par une série de jeux. Et le jeu qui plaisait le plus à Arillë était de fesser  son esclave de plus en plus fort, cette dernière n’ayant pas le droit de crier. Au bout d'un nombre défini de fessés, et si l’esclave avait été sage, Arillë la récompensait en lui donnant le droit de donner un ordre à sa maîtresse. En revanche, si elle lui désobéissait, Arillë ajoutait à l’esclave un piercing à un certain endroit. Pour l’heure, Svinah avait été relativement obéissante : sa langue, le coin droit de sa lèvre inférieur et le bout de ses seins étaient ornés chacun d’un morceau de métal. Lors de leur dernière partie, l’esclave avait honorée sa part du contrat et Arillë fut obligée de lustrer les bottes de cuir de son esclave avec sa langue, ce qui dans le fond ne lui déplaisait pas.

« Cela reste entre nous, compris ? »

« Bien sûr maîtresse, insistez sur le bout du talon…, souffla-t-elle, Ça m’excite de vous voir ainsi et dans cette tenue. »

« C’est pour faire plaisir à notre hôte, et surtout, ne refuse aucune de ses avances. Si tu lui laisse une bonne impression, tu auras droit à une délicieuse surprise pendant le voyage du retour. »

***

Quelques heures plus tard, les deux femmes arrivèrent aux pieds du château de Dementia. Svinah se tenait très près de sa maîtresse, intimidée par les quelques sujets plus ou moins loufoques qui regardaient le couple de femmes. Arillë, bien qu’étant sa première visite sur ces terres ne semblait pas du tout impressionnée. Elles faisaient face au château de Sheogorath, attendant qu’on les invites à rejoindre le demi-dieu. Pendant que le cochet déchargeait les valises d’Arillë, qui avait emporté encore une fois trop d’affaires, l’elfe se dégourdissait les jambes suivit de près par Svinah, qui commençait à se sentir mal à l’aise dans sa tenue de soubrette plus que légère. Enfin, un petit homme ridiculement petit avec un chapeau bicolore ridiculement grand vint à la rencontre des invités du seigneur des lieux.

« Etes-vous la putain qu’attend sa Démence ? » beugla-t-il sur Svinah qui sursauta de peur, ce qui eut pour effet de faire rire doucement Arillë.

« Non, ce n’est que ma putain, Svinah tira doucement la langue vers Arillë qui sourit à sa propre plaisanterie. Dites au seigneur Sheogorath qu’Arillë Nerast est ici. »

« Oui vous êtes bien la putain qu’attendait Le Fol. »
 
Cette réponse eu pour effet de blaser Arillë, qui adoptait maintenant une mine aussi lasse que lors de son voyage. En revanche, Svinah ne pouvait se retenir d’afficher un grand sourire. Sourire qui s’effaça quand sa maîtresse lui donna une claque sur sa croupe dénudée. Les deux elfes suivirent alors le petit homme dans un long dédale de couloirs, avant de se rendre compte qu’elles tournaient en rond dans le même couloir pendant trois bonnes minutes. Le guide improvisé ouvra finalement une porte à la fin de son « cours » loufoque sur la création improbable du château, et du comté. Enfin, elles arrivèrent dans une salle où siégeait le demi-dieu.

« Devant vous gueuses, le grand, le magnifique, le joyeux-lurons, le fol, le dément, l’unique prince de la folie véritablement vraiment véritable, celui devant qui nous devons tous plier, non pas le genou mais la cheville, le comte Sheogorath ! » Il s’inclina et ajouta dans la foulée « Voici les putains que vous avez demandé, par contre, aucun signe de votre invitée elfique Arillë Nerast! »

 Il s’inclina encore une fois et sorti à reculons avant de claquer les portes. Arillë s’avança lentement, souriant avant de saluer Sheogorath en inclinant sa tête. Svinah pour sa part était derrière sa maîtresse, regardant ses pieds et à l’écoute du premier ordre donné.

« Sheogorath, cela fait une éternité et, à ce que je vois, pas une seule ride, comment vas-tu mon cher ? Cela fait une éternité ! Avant tout, cela ne te dérange pas si Svinah, mon esclave, reste parmi nous ? Tu verras, elle est délicieuse. »

A ces paroles, l’esclave était venue aux pieds de sa maîtresse, assise sur ses genoux. Elle gardait la tête baissée pour saluer le maître des lieux, ce qui n’empêchait pas Arillë de caresser ses cheveux blonds.

7
Le coin du chalant / Don't you want somebody to love~ ?
« le: jeudi 05 septembre 2013, 15:53:33 »
Don’t you need somebody to love?
Wouldn’t you want somebody to love?
You better find somebody to love!


Outre cet interlude musical, voici les quelques idées de trames avec ma personnage !

Hentai
-   Arillë cherche à s’amuser dans un Harem/Maison de passe, vous remarquez sa présence et lui proposez de quoi satisfaire ses envies. [En cours] - Une danse dans la loge privée du Trap's Day
-   Amie de longue date, vous invitez Arillë pour prendre un « Café chaud » (If you know what I mean)
-   Arrivée sur Terre depuis peu, vous découvrez rapidement que la demoiselle n’est pas humaine, vous pouvez tenter de la faire chanter (ce qui est déconseillé) ou de lui montrer comment ça se passe sur Terre (trame à fonction Sociale)
-   Autres, proposez-moi par MP. (Je ne mords pas)

Hentai/Combat
-   Une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise, c’est que votre tête à été mise à prix, la bonne, c’est que vous arrivez à déjouer votre assassinat et faites payer cela à l’Elfe. [En Cours] - La Chasseresse et la chassée
-   Arillë cherche à arrondir ses fins de mois, et se propose comme garde du corps, il se pourrait qu’elle accepte d’ouvrir ses cuisses contre un petit supplément.
-   Membre d’un groupe anti-esclavagistes, vous décidez d’attaquer une caravane importante, le hic, c’est qu’Arillë est déjà engagée par les esclavagistes pour protéger la cargaison.
-   Là encore si vous avez d’autres idées, n’hésitez pas à me les faire parvenir par MP. (Cette fois je mords.)

Social (pouvant basculer ou non sur du Hentaï)
-   Lors d’une de ses escapades, vous êtes sauvé par Arillë, elle décide de  vous suivre dans vos péripéties
-   Même chose, sauf que vous sauvez l’elfe, et vous devant la vie, elle vous suit.
-   Vous invitez Arillë à boire une tasse de thé, histoire de prendre des nouvelles. [En Cours] - Visite de courtoisie et tasses de thé
-   Vous avez une idée que je n’ai pas eue ? Vous êtes supérieur à mon brillant (ça reste à voir) esprit ? Un MP est toujours possible (même s’il est peu probable que j’y réponde… Puisque vous êtes MIEUX que moi !)

8
Prénom : Arillé
Âge : 20 ans
Sexe : Féminin
Race : Homo Sapiens Elvii, Elfe, Haute-Elfe  (Créature)
Orientation sexuelle : Lesbienne, ou du moins, ce qu’exige la personne qui la possède.  

Description physique : Arillé se caractérise par des cheveux fins, longs, et blonds comme les blés. Raides et brillants, ils semblent bien entretenus. Etant une esclave, Arillé se doit d’être belle et présentable à tout moment de la journée afin de satisfaire les désirs de ses propriétaires. Ayant conscience de ses atouts, l'elfe aime prendre soin de son corps, l'entretenant par des séances de massage ou par des bains de lait ou autres passages dans des instituts de beauté. Malgré sa silhouette svelte et jalousée par de nombreuses femmes, l'elfe possède des formes qu'elle aime mettre en valeur en portant des vêtements près du corps ou des corsets.

Arillé possède un visage des plus charmants: des traits fins et délicats, des yeux en amande bleus, et une bouche pulpeuse. Si vous prêtez attention à ses oreilles, son nez ou ses lèvres, vous pourrez voir que l'elfe aime porter des piercings, afin d'embellir son visage en portant des anneaux d'or ou des pierres précieuses. Rien de vulgaire cependant, ces bijoux sont assez furtifs pour ne pas couvrir sa tête de métaux précieux. Mais peu importe la tenue que portera Arillé, vous pouvez être sur que vous allez vous apprécier l’avoir sous vos yeux, alors n'hésitez plus et offrez-vous cette esclave qui montrera a votre entourage votre réussite.

Caractère : Arillé est une esclave serviable, douce et toujours souriante. N’ayant connue que cette vie, elle semble avoir accepté le fait d’être un être inférieur aux yeux des personnes libres de Terra. Cependant elle semble avoir une certaine fierté à être une elfe, n’hésitant pas à partager ses connaissances sur son peuple, voir à exagérer un peu sur les histoires qu’elle a pu apprendre. Car oui, Arillé est une esclave instruite, sachant lire et écrire plusieurs langues, jouer trois instruments, maîtrisant le chant et plusieurs danses, allant de la danse de salon à des danses plus sensuelles.

L’elfe a développé au fil de sa croissance un comportement plutôt lubrique. Ne vous attendez pas à ce qu’elle vous harcèle en permanence pour avoir droit à une flatterie de votre part. Elle sera toujours disponible et presque toujours heureuse d’accomplir vos fantasmes. Oui, presque, car l’elfe a encore un libre-arbitre, elle n’est ni brisée, ni un vulgaire sac à foutre. Elle possède toujours sa personnalité, mais elle ne tentera pas de se rebeller contre ses maîtres, sauf si elle est en danger de mort, et si c’était le cas, ne vous attendez pas à une résistance farouche de sa part. Ce n’est qu’une demoiselle en détresse après tout, pas une guerrière.  


Histoire : Arillé est née esclave. Etant ce que les esclavagistes appellent une « pure-sang » elle fut vendue très tôt au harem de « La Rose pourpre » à Nexus. Un établissement renommé pour les créatures qui le peuple, ayant pour réputation de former et de vendre des esclaves belles, cultivées et dévouées à leurs maîtres. Ce qui expliquait le prix exorbitant qu’il fallait débourser pour en acquérir une. Malgré sa condition, Arillé eut une enfance heureuse pour une esclave. N’étant pas la seule jeune fille de son âge, elle put même se faire des amies entre deux enseignements de chants ou de culture générale.

Ayant atteint l’adolescence, Arillé reçu des cours plus… Intimes. En théorie pendant de nombreuses années à observer ses paires plus expérimentées. C’est aussi à cette époque qu’elle connut les joies des punitions générales. Pour une raison X ou Y les esclaves étaient souvent battues pour non seulement leurs rappeler leurs places, mais aussi pour les habituer à ce genre de sévices. C’était aussi l’occasion de s’adonner par la suite aux plaisirs de la chaire suite aux supplices passés. C’est ainsi que la première fois d’Arillé se fit lors d’une orgie avec les plus belles créatures qui peuplent Terra, une nuit qui hante encore les rêves de l’elfe.

La chenille devint enfin papillon, une esclave parfaitement éduquée, soumise, pouvant satisfaire le moindre de vos désirs et plus belle que ce que vous pouvez imaginer. Le jour de la vente approchait, une journée attendue par les propriétaires du harem car ils allaient enfin vendre une elfe. Une esclave théoriquement immortelle et qui restera belle et jeune pour la fin des temps. Arillé fut coiffée, maquillée, et habillée de façon à la rendre quasi parfaite. Peu importe ce qui allait arriver à l’elfe une fois vendue, aux yeux de La Rose pourpre, elle n’était qu’un bien à forte valeur ajoutée.

Situation de départ : Techniquement, elle est toujours vierge, mais elle a partagée ses nuits avec plusieurs femmes.

P.S: Je sais que c'est mauvais, mais excusez-moi... C'est mon premier personnage...
P.P.S: Non ce n'est pas une technique pour avoir des commentaires positifs
P.P.P.S: Ce ne sont pas les droïdes que vous cherchez.
P.P.P.P.S: Rainbow Dash is best pony

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