Ville-Etat de Nexus / Esclavage et chaines, une lycéenne sur Terra [Raphtalia]
« le: dimanche 16 juin 2019, 16:07:23 »Voila comment elle s'était retrouvée à fouler les pavets de pierres dans sa tenue typiquement gothique, ses yeux d'un bleu intense et froids entourés d'un filet de maquillage noir encre. Quand ce n'était pas la beauté de sa peau claire et lisse ou de ses lèvres pulpeuses généreusement mises par un rouge à lèvres, l'attention était tout de même attirée sur elle comme une étrangère lointaine. Le style vestimentaires n'arrangeait pas cette sensation de décalage. Corsets, bottines à talons, boucles d'oreilles anneaux en acier et jupe moulante... C'était loin de la tenue liée à ce monde médiévale, d'avantage lorsqu'elle se grillait une cigarette.
- C'est ici, comme promis choisis celle que tu désires, c'est à mes frais. Mais n'oublies pas notre arrangement tu devras me fournir sinon, ce sera toi la marchandise.
Leona haussa juste les épaules pour montrer à quel point elle se fichait de ce détail, l'homme lui avait promis en échange de ce boulot une esclave rien qu'à elle, une vraie de vraie... Une liberté troqué aux mains d'une personne contre de la monnaie ! Alors bien évidemment qu'elle tiendrait parole, elle n'en avait strictement rien à faire de kidnapper des humains pour le compte de cette homme, et de les envoyer ici pour la vente. Elle était si excité à cette idée qu'elle ne tenait même pas en place. D'ailleurs, vu la nature de ce monde, autant en profiter pleinement et choisir une créatures plutôt qu'une simple humaine, ça lui offrirait deux nouveautés d'un seul coup.
- Oh ce sont des vraies oreilles de... de quoi au juste ? C'est un espèce de chien ? Je comprends mieux pourquoi les créatures comme elle sont vendues en esclavage, qu'est-ce qu'ils pourraient faire d'autres.
Sur ces mots blessants, Leona souffle la dernière bouffée de sa cigarette à travers la cage de la terranide, avant d'en écraser cruellement le mégot sous le talon. Elle la désigne du bout du doigt d'un geste clair : c'est elle que je veux. On lui ouvre donc la cage, l'homme qui l'avait amené ici toujours satisfait de voir à quel point Leona était une humaine dépourvue de compassion, il ne doutait pas de faire affaire avec elle, qu'il s'agissait là d'un bon investissement.
- Et je peux lui faire absolument ce que je veux ? Vraiment tout ce que je veux ? J'espère que votre machin est solide alors, j'ai la mauvaise manie de casser mes jouets...
Comme une simple marchandise, rien qu'une vulgaire pièce d'étalage, Leona touche touche l'hybride sous toutes ses courbes pour jauger de son état physique.... mais aussi de ses réactions. Cuises, fesses,et surtout les seins qu'elle presse à diverses reprises pour en admirer le moelleux.
VENDEUR : Vous avez bon gout mademoiselle, elle s'appelle Raphtalia et son ancien possesseur a du la ven...
- Qu'est-ce que ça peut me faire tout ça. Mettez lui plutôt une laisse, on va voir ce qu'elle a dans le ventre. Quant à toi petite chose, je suis ta maitresse désormais, alors témoigne moi le respect que tu me dois, agenouille toi à mes pieds et fait donc briller ses bottines... c'est à ça que ta langue sert non ?