Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Lizzie Carter

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1
"Tût ! Tût ! Tût ! Tût ! Tût ! Tût ..."
"Grumph ..."
"Tût ! Tût ! Tût ! Tût ! Tût ! Tût ..."
"Je veux dormir ... On est Samedi en plus ..."

Enfin le week-end et ce foutu réveil que j'étais persuadée d'avoir éteint qui me réveille à six heures piles. La journée commençait déjà mal et elle ne s'est pas améliorée lorsque j'ai aperçue une enveloppe blanche au pied du lit. Ah non ! Non non non et non ! Je n'allais pas me pourrir la grasse matinée en lisant le prochain truc dégueulasse que j'allais devoir faire. Moi je dors là et le sommeil c'est important, donc je verrais ça à midi ! Et encore après manger pour ne pas me couper l’appétit ! Pensais-je. Je me suis donc courageusement enfouie la tête sous les draps pour replonger dans cet état merveilleux qu'est le sommeil, pour ne plus penser à rien. Mais voila, le problème c'est que maintenant que j'avais vu l'enveloppe je voulais savoir à quoi m'attendre. Livrée à un intense combat intérieur pendant au moins cinq minutes, je me suis alternativement dis à moi-même : "Je veux dormir encore un peu, mais d'un autre côté je veux savoir. Non ! Je vais me gâcher la journée avec cette enveloppe, je l'ouvrirais plus tard ! Mais d'un autre côté il faudrait mieux que je me prépare pour ça ... NOOON DOOORMIIIIIR !!! Je hais cette enveloppe, que cette enveloppe aille en enfer. Non, je ne veux pas l'ouvrir, je n'en ai pas envie du tout ! Oh et puis merde, allons-y ..." :

Scratch ! Scratch ! Scratch ! (bruit d'enveloppe qu'on ouvre)
"Alors ! Chère Lizzie bla bla bla ... Sans intérêt. Valian ... Vampire ? Quartier de la Toussaint, ok. Bla bla bla, apprend à aller à l'essentiel bordel ! Ah voila ! Alors objectif demander des modifications corporelles ... Mouais. Piercings aux tétons, ouais bon ça c'est pas vraiment une surprise, je m'attendais à un truc comme ça un jour ou l'autre. Transformer l'intérieur de ma bouche en zone érogène ... Sérieusement ? Et si je ne suis pas d'accord je vais me faire foutre ? Heu non, je ne devrais pas dire ça moi ... Alors la suite ... Anus élastique et plus sensible, bah voyons, quitte à me transformer en phénomène de foire autant faire les choses bien ! Et le dernier, greffe d'un pénis rétractable ... Heu ... Je retourne dormir ..."

Naïvement j’espérais qu'en retournant à mon lit j'allais me réveiller dans le monde réel et constater l'absence d'enveloppe. Mais mes pouvoirs magiques endormis n'étaient pas encore assez puissants pour modifier la réalité ... Et surtout, plus important, je n'avais pas de pouvoirs magiques de toute façon. J'ai quand même relue deux ou trois trente fois la lettre, histoire d'être bien sûre de ce que j'allais devenir dans un futur trop proche. Et malheureusement il n'y avait pas d'erreur ou d'interprétation avantageuse de la lettre pour sauver mes fesses au propre comme au figuré. J'ai posé la lettre et j'ai regardé s'il y avait autre chose dans l'enveloppe. Il y avait trois schémas qui montraient précisément les améliorations souhaitées : Un qui montrait un pénis sans testicules sortant d'un vagin, avec une annotation "20cm en érection". Un autre qui montrait des vues intérieures d'une bouche et d'une gorge, avec les tracés des nouveaux nerfs, particulièrement concentrés dans la langue. Et enfin le dernier schéma, ok un anus avec le tracé des nerfs et ... 10cm de diamètre pour la dilatation maximale ?! C'est plus une petite amélioration perverse là ! On veut transformer mon cul en garage ou quoi ? Bon au moins il avait prévu l'argent, mon argent de poche était pour l'instant épargné par ces délires. Inutile de dire que je n'avais pas spécialement envie d'y aller tout de suite, j'avais besoin de faire le deuil de trois parties de mon corps avant de devenir un monstre. Du coup j'ai attendu, attendu, attendu, jusqu'à ne plus avoir le choix et j'ai dis aux Yamadas que j'allais dormir chez une amie ce soir. Parce que connaissant l'autre taré aux enveloppes je ne risquais de repartir directement après les transformations, il avait surement prévu une sorte de test histoire de bien enfoncer le clou, si je peux me permettre cette horrible blague.

Hop là ! Me voila partie direction le quartier des cassos de la Toussaint ! Et à l'adresse indiquée, une sorte de vieux bar dégueulasse, j'ai demandé au propriétaire s'il connaissait un certain Valian. Lorsqu'il m'a répondu oui j'ai réalisé que je ne pouvais plus revenir en arrière là. Il m'a indiqué une petite salle au fond où celui que je recherchais se trouvait. J'ai frappé, je suis rentrée avant de refermer derrière moi et je me suis retrouvée face à un homme aux cheveux blancs et aux yeux rouges. Il avait une sorte de ... d'aura particulière, il ne ressemblait pas à quelqu'un de normal. En même temps quelqu'un qui était capable de modifier mon corps ainsi ne pouvait pas être normal de toute façon. Je lui ai nerveusement tendu les dessins en me forçant à sourire, bégayant un peu à cause du stress :

"B-Bonjour monsieur Valian. J-Je voudrais ce ... ça ... S'il vous plait ..."

Avec les horribles dessins que je venais de lui tendre il devait me prendre pour une allumée. En tout cas je n'avais pas le droit de lui parler de l'homme aux enveloppes quoi qu'il arrive. Il fallait lui dire que c'était mon idée, même si ça me répugnait.

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Les terres sauvages / Disparition inquiètante [La meute de Kraks]
« le: samedi 08 juin 2013, 14:17:27 »
Après avoir passé un peu de bon temps chez une amie, je rentrais chez moi. Mes parents insistaient toujours pour que je rentre avant 19h, les rues étaient dangereuses après cette heure. Personnellement je ne partageai pas leurs inquiétudes, autre chose de bien plus important me préoccupait. Cela faisait plusieurs jours que je n'avais pas reçu la moindre enveloppe. Je devrais en être heureuse mais, j'avais le pressentiment que le malade mental à l'origine de tout ça préparait quelque chose de particulier. En tout cas, la seule chose qui était sûre c'est qu'il ne m'avait pas oubliée et qu'il ferait bientôt parler de lui à nouveau. Mais je me m'attendais pas à ce que cela arrive au détour d'une ruelle sur le chemin de la maison. L'un des gigantesques homme-porcs qui lui servaient d'hommes de main fit son apparition face à moi. La créature mesurait plus de deux mètres de haut et sous sa graisse proéminente des muscles puissants capables de maitriser n'importe quel humain. Paniquée, je me suis retournée pour m'enfuir, percutant de plein fouet le ventre gras d'un deuxième homme-porc. Ils m'ont attrapée et je me suis retrouvée avec un linge imbibé de chloroforme sur le visage. J'ai bien tenté de résister, mais je n'ai rien pu faire tandis que je sombrais dans l'inconscience.

Je me suis réveillée au milieu de nul part, j'étais au milieu d'une grande plaine dont je ne voyais pas le bout, sans la moindre trace de civilisation. La seule chose qu'on m'avait laissée était une enveloppe rose, ainsi que mon uniforme scolaire que je portais la veille. Malgré un intense mal de tête, j'ai rapidement déchirée l'enveloppe pour pouvoir lire la lettre à l'intérieur :

"Lizzie Lizzie Lizzie ... Tu ne met vraiment aucune bonne volonté ma chère Lizzie ! Je suis très en colère ! Tu ne fais strictement aucun effort pour sauver ton âme de l’abstinence et de la morale. Mais ne t'inquiète pas Lizzie, je comprends tes peurs. C'est pour cela que j'ai fais en sorte que tu disparaisse. Maintenant que tes parents ne sont plus toujours derrière toi tu seras libre, libre de t’adonner à la luxure la plus bestiale à longueur de journée. Pour information tu te trouve dans un monde parallèle nommé Terra, il est très différent de la Terre que tu connais. C'est pour cela que je ne te donne aucune mission, ce monde se chargera naturellement de ton apprentissage. Que tu le veuille ou non. Et si tu es très sage je te laisserai peut être revoir la Terre un jour. N'oublie pas de détruire cette lettre après l'avoir lue, je serais très en colère si quelqu'un d'autre était au courant de nos affaires."

Sentant la panique monter, j'ai directement plongé ma main dans ma poche pour prendre mes médicaments, mais ils n'étaient pas là. Je devais absolument garder le contrôle de ma respiration pour ne pas avoir de problèmes, donc je me suis allongée dans l'herbe le temps de reprendre mon calme. J'étais donc perdue dans un monde parallèle, les lettres n'avaient jamais menti jusqu'à présent donc je partais du principe que c'était la vérité. La première chose à faire était de me déplacer pour trouver un village où je pourrais avoir des informations, de la nourriture et de l'eau. Ensuite trouver un moyen de rentrer, si on m'avait amenée ici c'est qu'il y avait forcément un moyen de voyager entre ces deux mondes. Ne voulant pas perdre de temps, j'ai immédiatement déchiré la lettre avant de me mettre en marche avec une boule au ventre. Je ne savais pas du tout sur quoi j'allai bien pouvoir tomber et la lettre disait "ce monde se chargera naturellement de ton apprentissage" ce qui n'augurait rien de bon.

J'ai marché jusqu'à la tombée de la nuit, n'ayant trouvé aucun abris je me suis endormie dans l'herbe, puis le jour suivant j'ai à nouveau marché et ainsi de suite. Au final j'ai passé trois jours entiers à marcher sans relâche et à dormir à la belle étoile sans rien avaler. Alors lorsque j'ai vu cette petite ferme au loin je m'y suis précipitée sans réfléchir. J'ai frappé à la porte mais personne ne répondait, donc je suis entrée. La maison était totalement vide et il n'y avait plus de nourriture ou d'eau. Pourtant il y avait encore des vaches dans un enclos voisin, ainsi qu'un abreuvoir rempli récemment. L'idée m’écœurait mais je mourrais de soif, j'allai devoir boire dans l’abreuvoir des bêtes, je ne voyais pas d'autre source d'eau à proximité. Je suis entrée dans l’enclot, me suis mise à genoux dans la boue pour me pencher au dessus. L'eau puait, souillée par la bave des bovidés, mais après une grimace j'ai plongé mes mains dedans avant de la porter à ma bouche. J'ai bu tout ce que je pouvais boire, étanchant ma soif tant que cette eau était à disposition, il n'était pas dit que j'en retrouverai de sitôt. Puis je suis rentrée dans la petite ferme afin de m'abriter pour la nuit, je me refusais à tuer l'une des vaches pour manger, quelqu'un viendrait surement demain pour nourrir les bêtes et j'en profiterai pour renouer avec la civilisation.

3
Le moment que je redoutais tant était finalement arrivé. L'école était finie, les vacances d'été allaient commencer et il faudra occuper tout ce temps libre en plus. Nul doute que l'inconnu(e) qui m'envoyait ces lettres en profiterait pour me donner des missions encore plus dures et malsaines que d'habitude. Quand j'ai ouvert les yeux, il y avait bien la lettre rose habituelle et même si je n'avais aucune envie de la lire je n'avais pas le choix :

"Ma petite Lizzounette en sucre,

Aujourd'hui est un grand jour pour toi ! Ce soir tu pourras annoncer à tes parents que tu quitte la maison car tu auras un travail et un endroit où dormir ! Tu seras enfin débarrassée des gêneurs qui t'empêchent de devenir un bon animal de compagnie.

Ta mission sera de te faire embaucher dans un bar du quartier de la Toussaint, celui dirigé par Carmen De Solar. Tu devras obéir à ses ordres comme s'ils émanaient de moi et si tu ose lui désobéir je te réserve une punition exemplaire. Ah et, arrange toi pour qu'elle t'héberge aussi, sinon tu dormiras dehors, interdiction formelle de revenir chez tes parents quoi qu'il arrive.

Bonnes vacances ma petite chienne, je pense très fort à tes jolies fesses."


Je n'étais même plus surprise par ce genre de bouleversements, à vrai dire je m'attendais depuis un moment à ce que ce malade trouve un moyen de se débarrasser de mes parents. Et j'étais au moins soulagée qu'il ne leur fasse pas de mal. Résignée, j'ai annoncée à mes parents que j'avais trouvé un travail et un appartement. Ils étaient contents pour moi et naïfs comme ils sont, ils n'ont pas du tout trouvé que c'était étrange, quelque part c'était mieux comme ça. Je suis donc partie, officiellement à la rue depuis ce matin, avec seulement un sac contenant quelques affaires.

Mon ventre me faisait souffrir et j'avais du mal à respirer correctement, même avec mes médicaments. Je me demandais vraiment ce que j'allai devenir et je ne pouvais pas m'empêcher de penser que si ce bar en particulier avait été choisit ce n'était pas un hasard. Je me suis présentée dans le bar, j'étais particulièrement nerveuse et j'ai demandé à voir la patronne. Et lorsqu'elle est arrivée je lui ai simplement dis avec un sourire gêné :

"Bonjour madame, je m'appelle Lizzie et je voudrais travailler dans votre bar. Peu importe le poste, je m'adapterai mais, j'ai vraiment besoin de ce travail."

4
Le coin du chalant / Apprentie perverse
« le: vendredi 26 avril 2013, 11:07:08 »
Ah ah ! Merci à celui que j'ai vu lire ça sur le "qui est en ligne ?" du forum. Bien évidement ce message n’est plus du tout d'actualité. Pour les nouvelles trames merci d'aller voir par ici (même lien que dans ma signature) : http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=12178.msg262598#msg262598

5
Les alentours de la ville / Allo ? Maître ? [Pv Hiro]
« le: dimanche 20 mai 2012, 01:43:47 »
L'enveloppe que j'ai reçue hier m'a vraiment ... Comment dire ? Je me sentais vraiment bizarre, d'un côté j'avais du mal à réaliser ce qu'il se passait et d'un autre des centaines de questions se bousculaient dans ma tête. Qui était ce type ? À quel point pouvait il être dangereux ? Quelle sorte de pouvoirs avait il pour contrôler ce genre de monstres ? Qu'étaient ils exactement ? Qu'est ce qu'il allait m'arriver ? Pourquoi moi ? Je n'avais que des questions et aucune réponse, le seul truc que je savais c'est que la situation sentait mauvais et je ne voyais pas qui pourrait m'aider. La police ? Est ce qu'ils seraient capables de se battre contre des monstres ? Si seulement mes agresseurs étaient humains, la situation serait beaucoup plus simple. Ma famille ? Mes amis ? Mes profs ? Et s'il les tuaient avant de me "punir" comme cette Saya ? Peu importe dans quel sens je prenais le problème, j'avais deux choix : Devenir son jouet ou subir les punitions en me rebellant. En plus nous étions Vendredi, donc après les cours je m'étais retrouvée seule dans ma chambre à tout ressasser pendant des heures, à me torturer l'esprit avec ces histoires.

J'avais bien vu dans les yeux de mes parents qu'ils avaient remarqués que quelque chose n'allait pas mais, pour la première fois de ma vie je ne pouvais rien leur dire sans les mettre en danger. Donc je les aient évités au maximum, je ne sais pas comment ils l'ont pris, j'espère qu'ils ne pensent pas que c'est de leur faute ... J'ai eu beaucoup de mal à dormir cette nuit là, je me suis réveillée plusieurs fois en sursaut, en sueur, à court de souffle et les cauchemars se succédaient. Puis le matin est arrivé, je suis restée sous mes draps, n'osant pas regarder si une enveloppe était là ou pas, je ne voulais pas savoir et je ne voulais surtout la voir au pied du lit. J'ai soulevé les couvertures et mes yeux se sont directement posés sur l'enveloppe rose qui était posée au sol, après un moment de flottement je me suis à nouveau enterrée sous mes draps en pensant : *Mais dégage ! Je ne veux pas te lire, je veux pas savoir, je veux pas voir ce qu'il y a dedans ! Je veux pas, je veux pas, je veux pas ! Laissez moi tranquille ...* Puis je me suis rappelé du visage de Saya sur les photos, la première où elle criait, la seconde où elle pleurait et la dernière où elle avait complétement perdu la raison à force d'être punie par son bourreau et en me rappelant qu'elle en était morte.

On m'a toujours enseigné que tant qu'il y avait de la vie il y avait de l'espoir, j'ai donc fait le pari de m'en sortir plus tard en endurant maintenant mais, j'étais sûre de mourir si je résistais trop à cette personne. Je me suis assise sur le lit en regardant l'enveloppe, je suis restée un moment comme ça, parce que je voulais vraiment la cramer sans regarder le contenu. J'ai tendue une main tremblante vers elle avant de la prendre dans mes mains et de l'ouvrir, à l'intérieur se trouvais une lettre, un catalogue, un portable, un petit papier avec un numéro de téléphone et ... Une grosse liasse de billets ! Décidément l'homme ou la chose à laquelle j'avais affaire n'était pas n'importe qui et je me sentais tellement désemparée devant tout ce qui était fait pour me pousser vers le gouffre. Je me suis alors dis que de toute façon la situation était déjà catastrophique, donc autant lire cette putain de lettre pour me préparer à ce qui m'attendait :


"Ma mignonne petite Lizzie, tu es si adorable quand tu dors, on te violerai.

Enfin bref ! Avant d'être digne de mon corps de rêve tu as encore beaucoup à vivre et à apprendre ma petite Lizzie, tu es encore inexpérimentée et le démon de la morale t'enchaine ! Tu es prisonnière de ta pudeur, de ta décence et les démons essayent d'enfermer ta si belle âme dans cet ignoble carcan, le diable est en toi mais je te purifierai ma jolie petite Lizzie. Dieu tout puissant créa nos corps pour que nous baisions comme des animaux assoiffés de sexe, pour retrouver cette liberté tu devras réapprendre à être un animal. Et je connais une personne qui peut t'apprendre à le redevenir, alors je t'ai donné un portable et son numéro pour que tu le contacte, ainsi qu'un peu d'argent de poche pour te payer ses services. La moitié de la liasse devrait suffire à le payer, sert toi de l'autre moitié pour t'acheter des vêtements plus appropriés, je t'ai mis un bon catalogue dans l'enveloppe et ton dresseur choisira pour toi ! Sinoooooon ... PUNITION !!! C'est un crime absolument infâme que de cacher ton si joli petit corps avec ses horribles vêtements, c'est un BLASPHÈME !!! Ô Dieu des pervers pardonne cette enfant, elle ne sait pas ce qu'elle fait ... Ah et au fait, invente un prétexte pour que tes parents l'acceptent chez toi, je veux qu'il te dresse à la maison, c’est tellement plus drôle. Tu ne trouve pas ?

Mais ne t'inquiète pas Lizzie, Dieu t'aime et meurs d'envie de te pilonner les fesses, Dieu aime toutes les petites salopes de ce monde, toi compris. Je te sauverai et je te ramènerai sur le droit chemin, comme j'ai sauvé de centaines de brebis égarées en les purifiants de mon gros crucifix. Ta jolie fente sera purifiée par le saint fluide des milliers de fois, ainsi tu pourras échapper aux démons et ton âme sera sauvée des flammes de L'ENFER !!! Je prie avec toi pour la réussite de ta mission, que le seigneur te prenne en levrette mon enfant."


Ce mec ou cette femme ou cette chose était complétement folle à lier, je n'en revenais pas d'être tombée sur un malade pareil et je me sentais encore plus mal après avoir lue la lettre. Je n'arrivais plus à respirer, complétement paniquée et je me suis précipitée vers les médicaments qui étaient posés sur ma table de chevet. Mes mains tremblaient et ma vision se troublait à cause du manque d'air, j'ai réussir à ouvrir la boite mais elle m'échappa des mains et tout les cachets furent éparpillés au sol. A bout de nerf, je me suis surprise à sortir une insulte :

"Merde, merde, merde, merde et merde !"

Et je me suis jetée par terre pour ramasser lamentablement mes foutus médicaments et les avaler le plus vite possible. J'étais par terre, couchée sur le dos au milieu des cachets, le bras placé devant mes yeux et pendant que je reprenais mon souffle on pouvait voir des larmes couler sur mes joues. Je ne voulais pas appeler cette ordure, je ne voulais pas lire ces lettres de merde, je voulais juste me recoucher et oublier tout ça. Sans réfléchir j'ai pris le téléphone, j'ai fais le numéro et je me suis retrouvée avec quelqu'un au bout du fil et j'ai dis :

"J-je ... On m'a dit de vous appeler pour un ... Dressage ... Je vous payerai bien et mes parents ne doivent pas savoir, je leur dirai que vous êtes heu ... Un professeur pour m'aider à réviser. J-je ... Je veux que vous me dressiez comme un animal et que vous m'aidiez à devenir ... Différente ... Je vous donne l'adresse, je suis au ... A-au 24 rue Asekawa à Seikusu. Et dépêchez vous de venir que je sois quitte ..."

Puis j'ai raccroché immédiatement après avoir balancé mon texte sans interruption, je n'avais même pas pris la peine de dire "bonjour" et "au revoir", s'il voulait me punir pour cela après et bien tant pi. J'ai séché mes larmes et je me suis habillée avec mon uniforme scolaire, après tout un professeur à domicile restait un professeur et mes parents seraient plus convaincus s'ils me voyaient prendre la chose au sérieux de cette façon. Je suis donc allée les voir dans le salon et je me suis forcée à sourire pour leur dire :

"Papa, Maman, je ne voulais pas vous le dire mais ... Je ne suis plus satisfaites de mon travail à l'école et j'ai appelé un professeur particulier pour m'aider à réviser, il devrait arriver bientôt."

Mes parents parurent soulagés et me répondirent :

"Ah c'est juste l'école ! On voyait bien ta mère et moi que quelque chose n'allait pas et on avait peur que ce soit grave. Bien sûr ton professeur est le bienvenu à la maison, je vais aller préparer du thé pour le recevoir quand il arrivera."

De toute façon ils ne pouvaient pas m'aider, donc autant qu'ils croient que tout se passe bien pour moi, les inquiéter ne servirait à rien. Je suis remontée dans ma chambre en attendant, j’appréhendais énormément et je commençais à avoir une boule au niveau du ventre et des problèmes pour respirer. Je n'avais qu'une hâte, qu'il arrive, qu'il fasse son affaire et surtout qu'il se barre !

6
Prélude / Perverse malgré elle [Valimutée]
« le: vendredi 18 mai 2012, 12:23:11 »
Nom réel : Carter
Nom officiel : Suzuki

Prénom réel : Lizzie
Prénom officiel : Aya

Âge : 19 ans
Sexe : Femme
Race : Humaine
Orientation sexuelle : N'importe quoi

Description physique : Lizzie … Heu non Aya ! Aya est une jeune fille à la peau blanche, plutôt petite du haut de ses 1m60 et fragile d'apparence. Fine et peu musclée, elle donne l'impression d'être très peu portée sur l'activité physique, même si ça risque de changer bientôt. Toujours souriante, elle s'assure d'avoir l'attitude la plus neutre et sympathique possible en public comme en privé. En fait, il n'est pas facile de savoir ce qu'elle pense tant qu'elle peut se cacher derrière son sourire. Mais sitôt le masque tombé on lit en elle comme dans un livre ouvert. Ses longs cheveux noirs sont toujours propres, biens coiffés et le bout de ses mèches est torsadé. Elle porte souvent un serre-tête noir pour bien mettre en avant les mèches qui pendent de chaque côté de son visage. Ses yeux sont bleus et son regard est vif, elle aime s'en servir pour déstabiliser les autres ou les charmer. Car quelqu'un qui est mal à l'aise ou sous le charme ne pose pas de questions gênantes et elle aime qu'on ne pose pas de questions gênantes. Sous son uniforme scolaire elle dissimule une poitrine généreuse. Elle n'aime d'ailleurs pas beaucoup les cours de sport, car elle y est forcée d'enfiler des vêtements plus moulants qui mettent ses formes en avant et attirent des regards qui l'indisposent. En dehors de l'école elle porte rarement des tenues moulantes, courtes ou décolletées, pour la même raison. Enfin tant qu'elle n'y est pas forcée en tout cas.

Caractère : C'est une fille patiente, elle ne se presse pas et se refuse à prendre des décisions dans l'urgence. Elle déteste prendre des risques à moins que ces derniers soient calculés et nécessaires. Lizzie est une lâche, si elle le peut elle évitera l'affrontement, contournera les difficultés plutôt que de les surmonter. Le petit problème avec cette attitude, c'est que lorsqu'elle se retrouve face à une situation qu'elle ne peut pas éviter elle reste souvent bloquée dessus. Puisqu'elle est lâche elle ne veut pas avoir d'ennemis, puisqu'elle ne veut pas avoir d'ennemis elle essaye de s'entendre avec tout le monde. Quitte à se retrouver parfois à ménager la chèvre et le chou. Elle n'a jamais été à l'aise dans les espaces clos, elle souffre de claustrophobie depuis toute petite et n'arrive pas à rester trop longtemps dans une petite pièce. De même elle ne supporte pas non plus d'être contrainte à quoi que ce soit. Elle ne se sent réellement bien que lorsqu'elle est totalement libre de ses mouvements, ce qui n'a jamais vraiment été le cas pour elle. En tout cas pas longtemps. Elle a été élevée comme une petite princesse et en a gardé une certaine arrogance. Elle accorde beaucoup d'importance à son image, aux yeux des autres elle doit être un modèle à suivre. Le fait de devoir suivre les ordres d'un pervers anonyme pourrait sérieusement salir cette image à laquelle elle tient tant et elle vit dans la peur qu'on découvre ses activités secrètes. Pour en rajouter encore une couche elle ment extrêmement mal, ses mensonges sont crédibles mais elle est tellement mal à l'aise lorsqu'elle ne dit pas la vérité qu'on lit facilement en elle.

Histoire : Beaucoup de gens pensent que naître dans une famille riche et puissante est une chance. Ces gens fantasment sur ce que serait, selon-eux, le quotidien des membres de ces familles. Et comme quasiment à chaque fois qu'on parle de ce qu'on ne connaît pas, ils se trompent. Certes nous sommes à l'abri des difficultés financières, mais notre vie ne nous appartient plus vraiment. Dès l'age de dix ans je savais déjà avec qui j'allais me marier, quand, où, quels amis j'aurais, quel surnom ils me donneraient. Je venais à peine d'arrêter de faire pipi au lit et je savais déjà tout de ma vie jusqu'à la retraite. Je connaissais mes futures études, ma future carrière, mes futurs loisirs, ce que je devais aimer ou ne pas aimer, etc. Cette vie n'était qu'un vulgaire scénario pré-écrit, modifié au besoin, mais globalement respecté. Mon seul rôle dans tout ça était de rester fidèle au script, de devenir une bonne petite actrice au quotidien. C'était la malédiction de notre famille, chaque génération était la victime d'une règle stupide mise en place par la génération précédente. La génération de mon père, par exemple, avait l'interdiction aux plaisirs, leur vie devait être dédiée au travail, au devoir. Une fois devenu chef de famille, ce dernier avait cru bon d'écrire des scénarios pour ses enfants, des scénarios dans lesquels ils auraient droit aux meilleures expériences de la vie à ses yeux. Il s'était cru d'une bonté sans égale et pensait rompre avec la tradition familiale ainsi, mais finalement il n'avait fait que refaire les mêmes erreurs sous une autre forme. Oh ce n'était pas un homme méchant, bien au contraire et c'était là toute l'ironie de la situation. Il aimait ses enfants plus que tout, mais transformait leurs vies en vulgaires scripts sans intérêt en étant persuadé que c'était la meilleure chose à faire. Honnêtement je n'ai jamais réussi à détester mon père, il avait toujours eu les meilleures intentions du monde, mais l'influence de cette famille sur moi était trop néfaste pour que j'accepte de rester bloquée dans ce « scénario parfait ». J'aime mon père, encore aujourd'hui, j'aime mes frères et sœurs, mes grands-parents, mes oncles et tantes, mes cousins et pourtant j'ai dû couper les ponts.

Sans vouloir me jeter des fleurs j'ai toujours été une fille intelligente, j'ai su très tôt ce qu'allait être ma vie ici en Angleterre au sein de la grande et toute-puissante famille Carter. Aussi je me suis investie dans mon plan d'évasion à 200% dès le plus jeune âge. Parce qu'il était hors de question que j'accepte de n'avoir aucun contrôle sur mon propre destin et que je me soumette à la prochaine règle à la con du moment. Pendant de longs mois j'ai secrètement appris le japonais, le Japon était très loin et ce pays me plaisait bien. Comme beaucoup de jeunes de mon âge j'avais découvert ce pays via les animés nippons. Je me doutais bien que la vie de tous les jours là-bas ne devait pas être aussi idyllique que dans les mangas, mais ce serait un excellent endroit pour repartir de zéro. J'ai pensé à tout. La somme maximale que je pouvais emporter en liquide dans l'avion, faire les démarches pour le visa en veillant à recevoir les réponses à une autre adresse, dans quelles villes j'allais pouvoir aller, car il fallait mieux éviter des destinations trop faciles à deviner comme la capitale, etc. Tout avait été parfaitement pensé, dans les moindres détails, le scénario était parfait mais cette fois c'était mon propre scénario, pas celui qu'un autre voulait pour moi. Il ne me restait plus qu'à trouver un bon prétexte pour disparaître quelques jours, une de mes tantes vivait en France et juste après ma majorité j'ai demandé à mon père l'autorisation d'aller lui rendre visite. Il n'avait aucune raison de se méfier et comme ça restait au sein de la famille il n'avait aucune raison de s'y opposer non plus. J'avais vérifié les heures des vols et un vol pour Tokyo partait quelques minutes après du même aéroport, il me suffisait d'acheter mon billet sur place en priant pour qu'il y ait encore des sièges de libre. J'avais caché mon visa japonais dans le fond de mon sac, ainsi que la somme maximale autorisée en liquide lors d'un voyage vers le Japon et maintenant que j'étais majeure mes parents ne pourraient strictement rien faire pour m'en empêcher légalement. Dieu merci l'avion n'était pas plein, c'était la seule inconnue de mon plan, tout le reste était prévu.

J'ai donc décollé direction Tokyo. Dans quelques minutes l'autre avion allait arriver à Paris et ma famille comprendra que quelque chose ne tournait pas rond, il fallait faire vite et bien. Sitôt arrivée à Tokyo je me suis engouffrée dans un taxis direction Shinjuku, l'arrondissement de la capitale Japonaise où il y avait le plus d'étrangers et donc de faussaires. Je me suis rendue dans les quartiers où j'étais susceptible de croiser des Yakuzas, je n'étais pas très rassurée d'avoir affaire à eux, mais je voulais des papiers officiels japonais et changer de nom. Seul un excellent faussaire avec des contacts au gouvernement pour rendre ses faux officiels saurait me donner ce que je voulais et les Yakuzas étaient les mieux placés pour les connaître. Il a suffi de poser quelques questions à des passants ordinaires pour attirer l'attention de ceux que je recherchais dans les quartiers chauds. Contrairement à nos délinquants, les Yazukas ont un code d'honneur, ils se considèrent comme des hommes d'affaires et n'arnaquent pas leurs clients s'ils sont corrects avec eux. Je leur ai expliqué ma situation et on a discuté un petit moment. Ce que je voulais était cher, très cher, mais j'avais encore ma carte de crédit sur moi et un compte en Suisse plein à craquer. Ils m'ont expliqué qu'ils voulaient ma carte et mon code, qu'ils allaient s'en servir pour retirer eux-mêmes la somme en liquide et qu'ils se chargeaient de me loger quelques jours le temps de faire tous les papiers proprement. Je prenais un risque mais je leur ai fais confiance, j'ai été accueillie dans un hôtel banal sous un faux nom le temps de recevoir mes nouveaux papiers, puis ma carte m'a été rendue avec une petite somme en liquide, histoire que j'ai de quoi partir ailleurs. Si ma famille arrivait jusque ici, la dernière information à mon sujet qu'ils auraient c'était le retrait d'une grosse somme en liquide à Tokyo. J'ai pris le bus jusqu'à une petite ville à l'écart de Tokyo, choisie au pif. J'y ai trouvé un coin désert et j'y ai brûlé tout ce que j'avais pris avec moi en quittant l'Angleterre, mes papiers, ma carte de crédit, mes anciens vêtements, tout ce qui pouvait permettre de m'identifier d'une façon où d'une autre. Puis j'ai sorti une carte du Japon, j'ai fermé les yeux et j'ai mis mon doigts quelque part au hasard : Seikusu.

Suzuki Aya, née sous X à Tokyo, quitte la capitale à 18 ans pour s’installer à Seikusu. C'était ce que j'étais désormais, plus de Lizzie Carter et je n'avais jamais foutu les pieds en Angleterre de ma vie. Au départ j'ai erré à la recherche d'un toit et d'un travail, j'avais le physique d'une étrangère et aucune compétence, autant dire que ce n'était pas gagné. J'avais suffisamment d'argent pour m'acheter à manger et me loger à l’hôtel environ deux mois, mais au-delà ma situation risquait de devenir très compliquée. J'ai fais une liste de petits boulots où j'avais une chance d'être embauchée et j'ai commencé à chercher. Après environ deux semaines de recherches j'ai trouvé un petit restaurant familial où un serveur venait de partir. La patronne Yamada Chiyo y travaillait seule avec sa fille Hitomi et elles avaient besoin de bras supplémentaires. Après avoir un peu discuté avec elles du parcours que je m'étais inventée, elles m'ont proposé de venir m’installer chez elles, elles avaient une chambre de libre et j'y serais mieux qu'à l'hôtel. Les mois ont passés, je suis devenue très proche d'Hitomi et de sa mère, au point qu'elles me considèrent aujourd'hui comme un membre de la famille. Chiyo est devenue une seconde mère pour moi et Hitomi ma nouvelle petite sœur de trois ans ma cadette. Elle entrait au lycée l'année prochaine et comme je n'avais pas été à l'école pendant ce laps de temps on allait m'inscrire avec elle malgré mon age. Dès la rentrée j'ai donc découvert le lycée de Seikusu et je me suis retrouvée dans la même classe qu'Hitomi.

Cinq mois après la rentrée, j'ai trouvé une enveloppe blanche sans aucune indication dessus, elle était posée au pied de mon lit, j'ai donc pensé que c'était de la part de Chiyo ou d'Hitomi. Dedans il y avait une lettre :

« Bonjour Lizzie Carter, vous êtes maline mais vous manquez cruellement d'expérience. J'ai dû empêcher votre tante de prévenir votre famille pour que vous ayez le temps d'arriver à Tokyo. Puis j'ai dû négocier avec les Yakuzas pour qu'ils ne vous vendent pas au premier bordel venu, quoi que ça vous aurait appris deux ou trois choses. Ensuite il a fallu que j'efface avec soin toutes les traces que vous aviez laissé dans votre sillage. Et enfin que je propose à l'ancien serveur de votre restaurant un poste qu'il ne pouvait pas refuser pour vous y faire une place au chaud. J'espère que vous appréciez mes efforts à leur juste valeur. J'ai attendu que vous soyez bien installée dans votre nouvelle famille pour vous contacter, afin que nous puissions avoir un échange constructif.

Vous recevrez une enveloppe comme celle-ci de temps en temps, parfois tous les jours, parfois toutes les semaines. À l'intérieur vous trouverez des ordres à suivre, des accessoires, des documents, tout ce qui vous sera nécessaire pour la mener à bien. Puisque le scénario de votre père ne vous plaisait pas, vous allez maintenant suivre le mien à la lettre, sinon votre nouvelle famille en subira les conséquences. Mon plus ardent désir depuis que je vous ai croisé a été de vous voir échapper aux radars de votre famille. Maintenant que c'est chose faite, il faut que mes efforts soient récompensés. Vous allez donc devenir ce que je veux que vous deveniez : une parfaite petite salope, la pire catin de Seikusu, un vulgaire sac à foutre. Nous irons progressivement vers ce grand but ne vous inquiétez pas, puis viendra un jour où mes lettres se passeront de vouvoiement parce que vous n'en serez plus digne. J'attends ce jour avec impatience ma chère Lizzie.

Ah et personne ne doit jamais être mis au courant pour notre correspondance, brûlez les enveloppes et leur contenu sitôt la mission remplie, sauf indication contraire. Tout ce que vous faites en mission doit être fait de votre propre chef aux yeux des autres. Vous devrez tout assumer quoi qu'il arrive. Et n'essayez surtout pas de me tromper, j'ai des yeux et des oreilles partout. De plus je le prendrais extrêmement mal. »


Depuis ce jour je reçois des enveloppes de temps en temps, avec des ordres obscènes à l'intérieur. Le simple fait qu'il connaisse mon vrai nom me met dans une situation délicate et si je ne veux pas qu'il fasse de mal aux Yamada je n'ai pas d'autre choix que de lui obéir.

Situation de départ : Vierge et totalement inculte sur le sujet.

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