Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Lanfear

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Sujets - Lanfear

Pages: [1]
1
Le coin du chalant / One Shot.
« le: vendredi 21 septembre 2012, 02:01:20 »
Bon, juste comme ça, comme j'avais envie de faire un DC mais que c'est mal, j'ai trouvé l'idée de faire un Oneshot.

http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=9508.0 -> Voilà, a vous. Ce peut être à plusieurs, ou juste à deux. Mais j'ai une préférence pour les hommes. ;D

2
One Shot / Six Feet Under ~ La vie après la mort ?
« le: vendredi 21 septembre 2012, 01:59:58 »
Bon, pour pallier à mon envie de DC, j'vais plutôt faire un OneShot.



Voici Wendy, une jeune duchesse.

Vous pouvez être l'un des compagnons de James (voir plus bas), un acheteur, un libérateur... Bref, n'importe quoi. Mais je préférerais un homme plutôt qu'une femme. Comme ça sera sûrement hentai... Je ne suis pas à l'aise avec l'amour saphique, à l'écrit.



Un royaume, quelque part sur Terra.

Wendy était la seule héritière du domaine d'Elle Dorado, la célèbre duchesse connue pour son goût prononcé des jeunes hommes. Pas qu'au figuré, d'ailleurs. Wendy n'a ni frère, ni soeur. Son père a fini aux cuisines. Non pas en tant que marmiton, mais en tant que plat. Sa mère s'était régalée, dit-on. Mais Wendy n'avait pas assisté au banquet. Elle était dégoûtée des manières de sa mère. Elle ne supportait pas l'idée de manger son prochain. Et pourtant, Elle avait beau essayer de la convaincre, lui disant qu'en mangeant les hommes on acquiert la force et la vigueur inhérente à ceux-ci, Wendy n'avait jamais cédé. Pas un jour ne passait sans qu'elle ne maudisse sa mère.

Et un jour, ça porta ses fruits. La terrible Elle Dorado mourut, étouffée avec un bout de viande qui passait de travers. Wendy fut alors élevée au rang de Duchesse, et le pays souffla. Plus de disparitions de jeunes gens, plus de "banquet" forcés... Wendy était une bonne suzeraine. Aimable, avenante, polie, généreuse... Tout le contraire de sa mère. Pourtant, physiquement, elle était son portrait craché. De sa chevelure corbeau qui lui descendait jusqu'aux omoplates à son teint pâle, en passant par ses lèvres grenat, sa poitrine généreuse, sa taille fine et ses yeux d'un bleu si clair qu'ils en paraissaient blanc.

Un jour, pourtant, la paix du Duché fut rompue. Un clan Barbare venu du Nord raya chaque village de la carte, les incendiant et massacrant les populations. Ils arrivèrent très vite jusqu'au château où résidait la belle Wendy. Les soldats, prit au dépourvus, se firent massacrer aussi. Leur tête reposèrent sur des piques, entourant l'enceinte du château. Et Wendy... La pauvre petite fut capturée par le chef. Forcée de voir le supplice des quelques survivants. Forcée de regarder à longueur de temps les têtes fichées sur des piques. Violée. Fouettée. Frappée. Violée encore.

Un mois de ce traitement la rendit aussi inerte qu'une poupée. Elle subissait en silence. Les larmes ne coulaient plus. Son corps était fourbu et pleins de plaies. Un jour, pourtant, les tortures cessèrent. Elle fut soignée. Son dos, qui n'était que plaies ouvertes, guérit. Il n'y avait plus que des cicatrices sur sa peau d'albâtre. Amenée devant le chef barbare, elle ne broncha pas. Elle vit la lame s'approcher de sa gorge, étincelant dans la lueur des chandelles, mais elle ne bougea pas d'un poil. Plantant son regard dans celui du chef, elle se laissa égorger par le soldat derrière elle en se montrant inaccessible. Froide. Elle partait presque gagnante... Le noir s'abattit devant ses paupières, et son corps inerte flancha, tombant au sol.

Elle s'attendait à cesser d'exister. Elle ne pensait pas mériter le paradis que convoitait toujours sa mère. Elle ne pensait pas non plus mériter l'enfer. Mais elle pensait se trouver au purgatoire, pour toujours. Peut-être était-ce cela, d'ailleurs. Elle ouvrit les yeux sur un désert. Tâtonnant, elle se rendit compte qu'elle était habillée de sa robe fétiche. Celle qu'elle portait lorsqu'elle est devenue duchesse. Une robe sombre, dont les bordures étaient de fils d'or. Un saphir marquait le centre du décolleté. Une ceinture soulignait sa taille fine, et le tissus fluide retombait ensuite sur ses jambes. A ses pieds, des petites ballerines dorées.

Elle se leva et toussa. Elle cracha du sang. Passant une main sur sa gorge, elle se rendit compte qu'il y avait toujours une fine entaille. Sa gorge tranchée était partiellement guérie. Un bourrelet de chair se forma sous ses doigts, formant une cicatrice qui devait être hideuse. Des traces de sang maculaient sa gorge. Elle tenta de parler, mais elle n'émit que quelques croassements désagréables et douloureux.

Au loin, une vieille dame arriva.

- Du calme, petite ! S'exclama-t-elle. Tu viens juste de ressusciter. Les dieux, là-haut, ont sans doute jugé que tu étais digne de prendre un nouveau départ. Ne parle pas tout de suite, ta gorge est à peine cicatrisée en surface, et presque pas en profondeur. Suis-moi.

Étrangement, Wendy faisait confiance à la vieille. Du haut de ses dix-neuf ans, elle respectait l'ancienne. Docilement, elle suivit la femme jusqu'à une masure un peu délabrée mais coquette.

- Tu viens du monde d'en-haut toi. Pauvre petite. La cruauté des hommes m'étonnera toujours. assieds-toi.

Wendy se posa sur une chaise, légèrement, un peu nerveuse.

- Je suis Marisa. J'accompagne toutes les nouvelles âmes au début de leur nouvelle vie.

La vieille remua une louche dans un chaudron, remonta un peu de la soupe qui y cuisait, goûta, et rajouta des épices.

- Tu dois savoir qu'il y a plusieurs mondes.

Elle se mit alors à les énumérer, levant un doigt pour chaque.

- Le monde des dieux, le plus haut. Aucun mortel n'y accède, sauf s'il est élu par l'un des dieux. Ensuite, il y a le monde des anges. Ces personnes pures qui obéissent aux dieux et qui possèdent des ailes. Il y a aussi les âmes des humaines les meilleurs, une fois qu'ils se sont réincarnés suffisamment pour laver leur âme ou la souiller tout à fait. Puis il y a ton monde. Celui des hommes. Aucune créature n'y habite. Ensuite, il y a ce monde-ci, où se réincarnent les plus valeureux et pures des humains. Mais on y trouve aussi des anges, qui peuvent aller sur n'importe quel monde, des démons, qui sont l'opposé des anges, et des créatures rares, mythologiques ou bien monstrueuses et toute plus étranges les unes que les autres. Après, il y a le monde des créatures. C'est de là que viennent celles que tu verras ici. Puis il y a le monde des démons, et enfin ce qu'on appelle également l'Enfer. Mais là n'y vivent que ceux qui prônent le mal, les êtres maléfiques durant leur vie humaine, etc... C'est aussi de là que viennent les démon, engendrés par le dieu et la déesse les plus maléfiques qui soient.

Hagarde, Wendy essaya d'assimiler ces nouvelles données sans tourner de l'oeil. Le goût du sang, métallique contre son palais, la dégoûtait. Et la surprise, l'incrédulité l'habitait face à ce que lui révélait Marisa. Elle toussa encore une fois, une douleur vive transperçant sa gorge. Une quinte de toux la prit alors, et elle cru s'étouffer. Mais Marisa l'étendit sur le dos et lui fit avaler de l'eau fraîche.

- Bois. C'est un fortifiant. Ça va guérir ta gorge. Et tu vas pouvoir dormir un peu. A ton réveil, tu garderas toujours cette cicatrice, et une voix rauque. Mais tu pourras parler.

Effectivement. Peu de temps après avoir ingéré la potion, elle perdit connaissance et sombra dans un sommeil sans rêve tandis que son corps se guérissait.

Elle s'éveilla deux jours plus tard. Elle cracha quelques mots, et s'efforça de continuer jusqu'à pouvoir parler sans que sa gorge ne lui fasse mal. Ça tiraillait toujours un peu, mais elle put dire son nom à la vieille.

Pendant quelques mois, elle vécut avec Marisa, l'aidant à recueillir les nouveaux arrivants. Auprès de certains, elle apprit à se défendre. Auprès d'autres, elle apprit que le Tyran qui l'avait faite tuée était mort, ayant trébuché sur un clou et s'étant cassé le cou dans les latrines.

Elle s'habitua tout à fait à ce monde étrange. Elle était sereine. Presque heureuse. Les cauchemars qui hantaient ses nuits, souvenirs de sa captivité et de ses tortures, s'espacèrent pour finir par ne plus la tourmenter.

Mais sa seconde vie idyllique prit un autre tournant quand Marisa ne s'éveilla pas un matin. Tristement, Wendy lui offrit un bûcher funéraire. Elle souhaita de toutes ses forces que la bonne vieille dame ait fini par rejoindre les anges et les dieux. Un matin, une jeune femme se présenta à elle. Envoyée pour prendre la suite de Marisa. Wendy décida alors qu'il était temps de partir. Il y avait d'autres cités plus loin. Elle allait tenter sa chance. Auprès de Marisa, elle avait apprit la science des herbes, des poisons. Elle s'était bien améliorée en self-défense, et savait lire et écrire à la perfection.

Armée d'une dague, d'un ballot de robes, d'une carte, d'une bourse contenant quelques pièces d'or et d'un arc avec un carquois plein de flèches (cadeau d'un archer qui avait séjourné ici peu de temps auparavant), elle fit ses adieux à la remplaçante de Marisa et prit la route.

Le chemin jusqu'à la prochaine cité était en terre. Elle gagna la cité en quelques décades. Là, elle prit une chambre dans une auberge, et demanda à aider l'apothicaire du coin qui était plutôt âgé. Elle démontra son savoir, et gagna ainsi le poste.

Tout aurait pu être parfait. Elle s'était liée avec une jeune femme exubérante, avait une légère inclination pour un guerrier de la cité, et s'était fait de formidables contacts. Elle avait été désignée comme héritière de la boutique de l'apothicaire. Tout allait pour le mieux. Mais un jour, sa meilleure amie disparu. La jeune femme exubérante, Anthéa, avait été enlevée en revenant de la cité voisine où vivait ses parents.

Pour la première fois de sa vie, Wendy n'eut aucun doute quant à ce qu'il fallait faire. Prévenant James, le guerrier pour qui elle ressentait peut-être plus que de l'amitié, elle partit à sa rechercher. James tint à venir avec elle, ainsi que quelques uns de ses confrères. Elle accepta.

Ils suivirent les preuves et les témoignages de l'enlèvement de son amie jusqu'à un territoire qui ressemblait à un désert de sable chaud. Des centaines de grottes le parcouraient. Il fallait à présent retrouver Anthéa parmi toutes ces cavernes.

Il fut décidé qu'ils s'arrêteraient à la taverne avant de commencer leur périple dans le désert. Wendy, qui ne buvait jamais d'alcool, se laissa tenter pour une fois, pour apaiser son angoisse. La boisson lui monta vite à la tête. Elle se sentit très vite mal. Mais quand elle s'en ouvrit à James, celui-là la laissa pantoise. Il n'était plus le gentil guerrier qu'elle connaissait. Il profita même de son état d'ivresse pour lui expliquer qu'Anthéa avait déjà été vendue comme esclave aux peuples d'au-delà du désert. Ils l'avaient attirée ici pour faire croire qu'elle avait disparu en chemin, ainsi personne ne la chercherait dans la cité.

Elle a perdu conscience, après cette révélation. Quand elle se réveilla de nouveau, Wendy était ligotée. Sa robe était déchirée. Elle avait mal au ventre. Les rustres avaient profité d'elle alors qu'elle était inconsciente.

Décidément, Wendy n'avait pas de chance. Même après la mort, elle était encore une victime de la cruauté des hommes...

3
Ville-Etat de Nexus / Lanfear et son nouvel ami. (M'sieur l'Vagabond)
« le: samedi 05 mai 2012, 00:26:26 »
Après des péripéties qui seront évoquées dans d'autres aventures, Lanfear, toujours avec son fameux "costume", tout de cuir fait, avait atterri à l'asile psychiatrique de Seikusu. Elle refusait qu'on lui retire sa combinaison, la couvrant bien peu avec des bordures en forme de toiles d'araignées. Et à vrai dire, les calmants ne la maintenait pas assez longtemps inconsciente pour la lui retirer. Les flics se sont donc contentés de la déposer aux mains des psychiatres et des infirmiers avant de s'en laver les mains. C'était une folle furieuse pour eux, une dangereuse criminelle. Les infirmiers lui ont donc fait revêtir la tenue des internés par-dessus sa combinaison, la rendant déjà plus décente.

Tous les jours, enfermée dans une pièce sans fenêtre, on venait la voir, l'interroger. Mais la belle ne supportait plus la captivité depuis sa libération impromptue quelques semaines plus tôt. Elle chérissait son indépendance, et manquait de tuer chacun des infirmiers qui venait la voir. Comme Kyô l'avait dit, il fallait qu'elle soit elle-même. Que personne ne lui dicte ce qu'elle devait faire. Elle devait être forte et libre. Elle rejetait toute compassion ou autres sentiments factices que lui montrait les psychiatres. Elle cherchait à les égorger avec une cuillère en plastique, à les énucléer, à les mordre et à déchirer des lambeaux de chair. Elle devenait folle à rester enfermée. Les jours passaient, Lanfear ne tenait plus en place. Elle manquait de s'échapper à chaque fois lorsque la porte de sa cellule s'ouvrait, bousculant le visiteur pour se faufiler par la sortie.

Un jour, ayant marre de ce petit jeu, l'un des infirmiers lui injecta un calmant -même si au lieu des deux heures ça ne faisait effet que deux minutes- et en profita pour lui faire enfiler la camisole de force (ça serait cool comme ça  :P) et l'attacher à une chaise. Les bras croisés sous sa poitrine, la faisant ressortir un peu plus, Lanfear cria lorsqu'elle se réveilla. Elle sautilla avec sa chaise, écrasant au passage le pied de son visiteur. Elle gronda, sourdement. Le félin en elle s'agitait aussi. Elle cracha à la figure du psychiatre qui la suivait, et balança ses pieds dans son tibia. Mais elle ne pouvait faire grand chose d'autre, sinon mordre la main qui lui donnait à manger ou recracher l'eau et les médicaments.

Elle ne s'épuisait pas à lutter, après deux semaines enfermée. Elle épuisait plutôt ses tourmenteurs. La vision de ces tenues blanches lui rappelait les scientifiques. Elle ne les haïssait que plus fort. Elle se mit à penser à Kyô également. Le dieu était un point fixe dans son univers, mais il n'était pas là à présent. Il avait plus important à faire, et la blondinette psychopathe devait s'en sortir sans sa divine aide.

4
Vous nous quittez déjà ? / Lanfear vous aime !
« le: vendredi 23 décembre 2011, 01:21:02 »
Hellooooo !

I'm soooo sorry.

Hem pardon. J'suis vraaaaaiment désolée. Au départ, j'comptais pas m'absenter si longtemps. A peine deux-trois jours. J'suis allée à Londres. Mais avec une amie, on a trouvé un suuuuuper boulot pour quelques semaines, et du coup, bah j'ai zappé le forum.

Kyô, j'te réponds dans la nuit ! \o/

Bisous à tous !

5
Vous nous quittez déjà ? / Lanfear revient.
« le: samedi 17 septembre 2011, 14:16:35 »
Juste pour prévenir qu'en raisons de soucis techniques, j'étais dans l'impossibilité de me connecter. Mais m'revoilà.
J'te réponds dans la journée Kyô :)

6
Prélude / Lanfear, la folie du projet Inferno. [Valiplantée]
« le: samedi 13 août 2011, 02:31:47 »






Et voilà, l'humble présentation de Lanfear. En espérant qu'elle vous ait été agréable à lire, et qu'il n'y ait pas trop de fautes.

Pages: [1]