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L'Art / Chronique d'une esclave Terranide
« le: samedi 06 août 2011, 16:02:37 »
J'ai écris une petite histoire, une parmi d'autre que j'aimerais écrire et qui raconteraient les aventures et mauvaise surprise d'une esclave terranide. Je préfère vous prévenir, il y a des passages assez hentai ^^. D'autant plus que j'ai utilisé un vocabulaire parfois un peu cru, pour mettre en valeur le fait que l'histoire n'est pas vraiment tendre 
Enfin voila, j'espère que ça ne plaira pas qu'à moi, et si vous avez la moindre remarques ou critiques, n'hésitez pas ^^
Merci, et bonne lecture =)
Oh, avant d'entamer, je vous présente le maître (c'est l'homme a droite
), Lelouuuuuuch *•*
Ainsi que son animal de compagnie ^^
Mais n'oublions pas l'héroïne de l'histoire
Je me rappelais de mon premier jour, celui où il m'avait acheté au vendeur d'esclave. Marchant entre les cages ou était "entreposés" mes semblables, il jeta son dévolu sur moi, et demanda au vendeur si nous pouvions avoir un peu d'intimité. Il me libera et indiqua une salle présente pas loin, ou nous pourrions être tranquille. Je le suivit sagement, mes années de servitude m'avait appris que l'indiscipline apporte plus de problème qu'autre chose. Fermant la porte a clef, il se dirigea ensuite vers moi, descendit légèrement son pantalon et me présenta son membre encore mou. Il me dit alors d'une voix calme et autoritaire :
« Alors, qu'est ce que tu attends ? »
« Désolée, je m'en occupe tout de suite. »
Devinant qu'il voulait que je m'en occupe, je m'agenouillai face a lui et me mit a la lécher, tandis qu'elle commençait a se redresser. J'étais assez étonnée, son visage ne laissait paraitre aucune émotion, affichait un air impassible, aussi neutre que s'il dormait. Enfin, ce n'était pas très important, j'avais une tache a accomplir. Je continuais a lécher sensuellement sa verge, concentrant mon attention sur son gland. Sans prévenir, il me tira assez fort les cheveux. J'en ai poussé un cri, et il en profita pour glisser sa verge dans ma bouche, m'obligeant a lui donner une fellation. J'acceptai sans broncher son désir, je commençais a le sucer doucement, mais il me tenait toujours la tête par les cheveux, qu'il se mit a agiter afin d'imposer son propre rythme. Il allait assez vite, avec des mouvements amples, faisait glisser mes lèvres tout le long de son membre. Je commençais a avoir mal, il me tirait un peu trop fort les cheveux, c'était désagréable mais ce n'était rien comparé a la suite. En plus de diriger ma tête, il se mit a donner de brusque coup de hanche, laissant ainsi sa verge aller profondément jusque dans ma gorge. J'étouffais a chacun de ses aller retour, reprenant mon inspiration a chaque fois, j'avais les larmes aux yeux. Ce manège dura quelque minutes, qui me parurent interminable, et il termina la séance en retirant subitement sa verge de ma bouche, libérant sa semence chaude sur mon visage. Je ne bronchais toujours pas. J'avais connu de bien pire sévices, et celui-ci était supportable. Il n'était pas difficile de comprendre qu'il aimait dominer, et il sembla satisfait de mon attitude obéissante et soumise. Preuve en est qu'il m'acheta ensuite, et depuis je vivais avec lui dans sa demeure. Cela faisait presque 4 mois, maintenant.
Je secouai la tête, chassant ces pensées. Je n'allais pas gâcher l'un de mes rare moment de temps libre a ressasser mon passée. Je me trouvais dans ma chambre, petite et mal éclairée, jouant avec une petite poupée sale dont les bras étaient déchirées. Mais je m'en contentais, c'était la seule occupation que j'avais. Un homme grand et musclé débarqua sans frapper dans ma chambre, me disant d'un ton sec que mon maître voulait me voir. Il me prit par le bras, me le broyant presque, et me traina jusqu'à lui. Qu'est ce qu'il me voulait ? J'espère que je n'aurais pas d'ennui... Je paniquais un peu. Il me jeta littéralement dans la pièce où mon maitre se trouvais. Il était assis sur son "trône", charismatique, me dévisageant sans un bruit. Il brisa le silence :
« N'aurais tu pas oublier quelque chose ? »
Le ton qu'il prit me glaçait le sang. Il n'avait pas du tout l'air de plaisanter. Je fit non de la tête, terrifiée. Je ne voyais pas de quoi il parlait, mais j'espère que je ne l'avais pas trop mécontenté. Je ne voulais pas qu'il me punisse ! Il fit un signe de tête au garde, qui alla ensuite chercher son animal de compagnie. Une créature mi-homme mi-loup, au pelage d'un bleu métallique luisant, étonnement bien musclée. C'était un peu le chouchou du maître. Je me souvint alors de ce dont il me parlait ! Chaque soir avant de dormir, je devais me rendre dans la chambre du loup, et lui masser le dos pendant une vingtaine de minutes, mais hier j'étais trop épuisée et j'ai dut oublier. Voyant l'expression de mon visage, il ajouta
« Je voix que tu t'en souviens, maintenant .. Malheureusement, il n'a pas été très content .. Pas du tout même .. Et, il aimerait bien un petit dédommagement, vois-tu »
Un dédommagement ? Comment ça ? Il donna un signe de tête au loup, lui donnant l'autorisation de le réclamer.
Celui-ci se précipita vers moi, et me colla une gifle qui me fit perdre l'équilibre, avant de venir s'appuyer sur mes épaules, me faisant tomber lourdement sur le dos. J'avais eu assez mal, mais je n'y pensait même plus, j'étais trop effrayée pour ça. Et puis, je savais qu'il était capable de pire, bien pire. Il me renifla le cou, descendant jusque ma poitrine, qu'il pressa avec son museau, comme pour tâter leurs fermeté, tandis que ma respiration se faisait plus haletante. Je remarquais que son entrejambe était gonflé d'excitation. Wahou, il avait vraiment des dimension hors norme
. Il devait être long d'une trentaine de cm, peut être un peu moins, pour une épaisseur de 7 ou 8 cm. Aussi droit qu'une lance, sous lequel ballotait une bourse tout aussi imposante, il était surmonté d'un gland presque conique, était d'une couleur rose clair tirant sur le beige, et parsemé d'un réseau de nervure violette en relief. Je paniquais un peu, beaucoup en réalité, il n'avait tout de meme pas l'intention de me violer ? La simple idée de recevoir en moi un telle monstre me donnait des vertiges.
Le loup ne tarda pas à mettre les choses aux clairs. D'un geste brutal, il déchira la bas de ma jupette en lambeau, dévoilant ma culotte rayée. Je ne voulais pas, non, non ! Je plaçais mes mains sur celle-ci, plus par réflexe que pour l'en empêcher réellement. S'il s'était mît en tête de me violer, il le ferait, que pouvais-je faire avec mon corps frêle, face a une telle bête ? J'etais horrifiée. Il me prit par le col et me souleva d'une main, me regardant dans les yeux. Ils étaient, ..sauvages, mauvais, effrayant. Il se mît a me mordre le cou, mais doucement, comme pour me mettre en garde, que me débattre était inutile. Mais suffisamment fort pour me faire mal, ses crocs pointu pressant contre ma gorge. Je déglutis difficilement. J'étais a sa merci.
Il me lâcha au sol sans ménagement, je me retrouvais a quatre pattes, face a mon maître. Ce dernier observait tout depuis le début, assis sur son trône, impassible, son pouce et son index formant un 'L' tenait ses joues. Je le regardai, implorante, mais il ne réagit même pas. Il est vrai que mon maître n'a aucun état d'âme. Je baissai la tête, j'etais prise au piège et rien ne pouvais me sortir de la. Mes cheveux tombés cachait mon visage, les empêchant de voir mes chaudes larmes qui coulait sur mes joues. C'était injuste ! Je sentis sa patte velue se poser sur mon épaule, tandis qu'une deuxième venait déchirer ma culotte. Avant que je n'ai eu le temps de faire quoi que ce soit je sentis sa verge massive venir brutalement en moi, m'arrachant un cri de surprise, et de douleur. Mes bras avaient eu du mal a tenir le choc, et mon vagin était beaucoup trop dilaté par sa verge qu'il m'imposait.
Je pleurais. Un peu de honte, mais surtout de frustration. Ce n'était pas la première fois que l'on m'humiliait, loin de la, et j'ai déjà eu l'occasion de faire de mauvaise rencontre, duquel l'on finissait par abuser de moi. Mais rien, rien au monde ne pourra soulager ma peine, de ne plus pouvoir être libre de mes actes. Je m'étais résignée a devenir l'esclave servile que l'on voulait que je sois, c'était une question de survie, mais, parfois, je sentais au fond de moi que je n'en pouvais plus de toute cette servitude, de tout ces moments ou je n'etais ni plus ni moins qu'un jouet à leurs yeux. Un nouveau coup de rein interrompit mes pensée, suivit d'un autre, il accélérait la cadence, tandis que je lâchais des gémissements incontrôlables. Il me pénétrait profondément, jusqu'au bout. A l'étroit dans mon intimité il hurlait, comme le font si bien les loups, sans doute de plaisir. "Tu m'en vois ravie si je suis a ton goût." pensai-je, ironique.
Il me serrait un peu plus fort l'epaule, son autre main posée sur ma hanche, et prit un rythme de plus en plus effréné. Les frottements de sa verge sur ma paroi dilaté devenaient de plus en plus douloureux, et ses mouvement de va-et-vient faisait balloter ses bourses, qui claquaient douloureusement contre mon clitoris, rendant ses pénétrations de plus en plus éprouvantes. Heureusement qu'il me tenait, chacun de ses coups m'ébranlais, j'avais l'impression qu'il voulait m'envoyer a l'autre bout de la pièce ! Je l'entendais grogner de plaisir dans mon dos, pendant que moi je gémissait de douleur. Les larmes me montaient aux yeux, ça commençais a devenir insoutenable. Je n'avais même pas l'opportunité de me plaindre, je ne pouvais que subir, subir la volonté de mon violeur.
Je commençais a sangloter, larmoyante, hurlant ma douleur, mon intimité ramoné était en feu, mon clitoris malmené était douloureux, mais mon tortionnaire restait insensible a tout cela. Je ne désirais qu'une chose, c'était que ce supplice cesse, je n'en pouvais plus .. pitié .. Mes prières ont semblé avoir été entendu, car peu de temps après je sentis de longue et puissante salve de sperme inonder mon utérus, accompagnée par les grognements de satisfaction de la bête. Ce dernier se retira ensuite brutalement, tout en me poussant sans ménagement, me faisant m'effondrer sur le ventre. C'était fini, j'étais tellement soulagée ! Mais je ne tenais pas a crier victoire trop tôt, il pourrait très bien décider qu'il n'en avait pas encore terminé avec moi... Je l'entendis quitter la pièce, ses griffes cliquetant contre le carrelage froid sur lequel je reposais. J'étais étendue misérablement sur le sol, je ne bougeais plus, j'attendais, mon intimité encore endolori par le traitement qu'il venait de subir. J'entendis alors mon maître m'appeler, m'ordonnant de venir m'occuper de son membre viril. Je répondis, presque machinalement : « Oui, maître. »
Enfin voila, j'espère que ça ne plaira pas qu'à moi, et si vous avez la moindre remarques ou critiques, n'hésitez pas ^^
Merci, et bonne lecture =)
Oh, avant d'entamer, je vous présente le maître (c'est l'homme a droite
), Lelouuuuuuch *•*Ainsi que son animal de compagnie ^^
Mais n'oublions pas l'héroïne de l'histoire
Je me rappelais de mon premier jour, celui où il m'avait acheté au vendeur d'esclave. Marchant entre les cages ou était "entreposés" mes semblables, il jeta son dévolu sur moi, et demanda au vendeur si nous pouvions avoir un peu d'intimité. Il me libera et indiqua une salle présente pas loin, ou nous pourrions être tranquille. Je le suivit sagement, mes années de servitude m'avait appris que l'indiscipline apporte plus de problème qu'autre chose. Fermant la porte a clef, il se dirigea ensuite vers moi, descendit légèrement son pantalon et me présenta son membre encore mou. Il me dit alors d'une voix calme et autoritaire :
« Alors, qu'est ce que tu attends ? »
« Désolée, je m'en occupe tout de suite. »
Devinant qu'il voulait que je m'en occupe, je m'agenouillai face a lui et me mit a la lécher, tandis qu'elle commençait a se redresser. J'étais assez étonnée, son visage ne laissait paraitre aucune émotion, affichait un air impassible, aussi neutre que s'il dormait. Enfin, ce n'était pas très important, j'avais une tache a accomplir. Je continuais a lécher sensuellement sa verge, concentrant mon attention sur son gland. Sans prévenir, il me tira assez fort les cheveux. J'en ai poussé un cri, et il en profita pour glisser sa verge dans ma bouche, m'obligeant a lui donner une fellation. J'acceptai sans broncher son désir, je commençais a le sucer doucement, mais il me tenait toujours la tête par les cheveux, qu'il se mit a agiter afin d'imposer son propre rythme. Il allait assez vite, avec des mouvements amples, faisait glisser mes lèvres tout le long de son membre. Je commençais a avoir mal, il me tirait un peu trop fort les cheveux, c'était désagréable mais ce n'était rien comparé a la suite. En plus de diriger ma tête, il se mit a donner de brusque coup de hanche, laissant ainsi sa verge aller profondément jusque dans ma gorge. J'étouffais a chacun de ses aller retour, reprenant mon inspiration a chaque fois, j'avais les larmes aux yeux. Ce manège dura quelque minutes, qui me parurent interminable, et il termina la séance en retirant subitement sa verge de ma bouche, libérant sa semence chaude sur mon visage. Je ne bronchais toujours pas. J'avais connu de bien pire sévices, et celui-ci était supportable. Il n'était pas difficile de comprendre qu'il aimait dominer, et il sembla satisfait de mon attitude obéissante et soumise. Preuve en est qu'il m'acheta ensuite, et depuis je vivais avec lui dans sa demeure. Cela faisait presque 4 mois, maintenant.
Je secouai la tête, chassant ces pensées. Je n'allais pas gâcher l'un de mes rare moment de temps libre a ressasser mon passée. Je me trouvais dans ma chambre, petite et mal éclairée, jouant avec une petite poupée sale dont les bras étaient déchirées. Mais je m'en contentais, c'était la seule occupation que j'avais. Un homme grand et musclé débarqua sans frapper dans ma chambre, me disant d'un ton sec que mon maître voulait me voir. Il me prit par le bras, me le broyant presque, et me traina jusqu'à lui. Qu'est ce qu'il me voulait ? J'espère que je n'aurais pas d'ennui... Je paniquais un peu. Il me jeta littéralement dans la pièce où mon maitre se trouvais. Il était assis sur son "trône", charismatique, me dévisageant sans un bruit. Il brisa le silence :
« N'aurais tu pas oublier quelque chose ? »
Le ton qu'il prit me glaçait le sang. Il n'avait pas du tout l'air de plaisanter. Je fit non de la tête, terrifiée. Je ne voyais pas de quoi il parlait, mais j'espère que je ne l'avais pas trop mécontenté. Je ne voulais pas qu'il me punisse ! Il fit un signe de tête au garde, qui alla ensuite chercher son animal de compagnie. Une créature mi-homme mi-loup, au pelage d'un bleu métallique luisant, étonnement bien musclée. C'était un peu le chouchou du maître. Je me souvint alors de ce dont il me parlait ! Chaque soir avant de dormir, je devais me rendre dans la chambre du loup, et lui masser le dos pendant une vingtaine de minutes, mais hier j'étais trop épuisée et j'ai dut oublier. Voyant l'expression de mon visage, il ajouta
« Je voix que tu t'en souviens, maintenant .. Malheureusement, il n'a pas été très content .. Pas du tout même .. Et, il aimerait bien un petit dédommagement, vois-tu »
Un dédommagement ? Comment ça ? Il donna un signe de tête au loup, lui donnant l'autorisation de le réclamer.
Celui-ci se précipita vers moi, et me colla une gifle qui me fit perdre l'équilibre, avant de venir s'appuyer sur mes épaules, me faisant tomber lourdement sur le dos. J'avais eu assez mal, mais je n'y pensait même plus, j'étais trop effrayée pour ça. Et puis, je savais qu'il était capable de pire, bien pire. Il me renifla le cou, descendant jusque ma poitrine, qu'il pressa avec son museau, comme pour tâter leurs fermeté, tandis que ma respiration se faisait plus haletante. Je remarquais que son entrejambe était gonflé d'excitation. Wahou, il avait vraiment des dimension hors norme
. Il devait être long d'une trentaine de cm, peut être un peu moins, pour une épaisseur de 7 ou 8 cm. Aussi droit qu'une lance, sous lequel ballotait une bourse tout aussi imposante, il était surmonté d'un gland presque conique, était d'une couleur rose clair tirant sur le beige, et parsemé d'un réseau de nervure violette en relief. Je paniquais un peu, beaucoup en réalité, il n'avait tout de meme pas l'intention de me violer ? La simple idée de recevoir en moi un telle monstre me donnait des vertiges. Le loup ne tarda pas à mettre les choses aux clairs. D'un geste brutal, il déchira la bas de ma jupette en lambeau, dévoilant ma culotte rayée. Je ne voulais pas, non, non ! Je plaçais mes mains sur celle-ci, plus par réflexe que pour l'en empêcher réellement. S'il s'était mît en tête de me violer, il le ferait, que pouvais-je faire avec mon corps frêle, face a une telle bête ? J'etais horrifiée. Il me prit par le col et me souleva d'une main, me regardant dans les yeux. Ils étaient, ..sauvages, mauvais, effrayant. Il se mît a me mordre le cou, mais doucement, comme pour me mettre en garde, que me débattre était inutile. Mais suffisamment fort pour me faire mal, ses crocs pointu pressant contre ma gorge. Je déglutis difficilement. J'étais a sa merci.
Il me lâcha au sol sans ménagement, je me retrouvais a quatre pattes, face a mon maître. Ce dernier observait tout depuis le début, assis sur son trône, impassible, son pouce et son index formant un 'L' tenait ses joues. Je le regardai, implorante, mais il ne réagit même pas. Il est vrai que mon maître n'a aucun état d'âme. Je baissai la tête, j'etais prise au piège et rien ne pouvais me sortir de la. Mes cheveux tombés cachait mon visage, les empêchant de voir mes chaudes larmes qui coulait sur mes joues. C'était injuste ! Je sentis sa patte velue se poser sur mon épaule, tandis qu'une deuxième venait déchirer ma culotte. Avant que je n'ai eu le temps de faire quoi que ce soit je sentis sa verge massive venir brutalement en moi, m'arrachant un cri de surprise, et de douleur. Mes bras avaient eu du mal a tenir le choc, et mon vagin était beaucoup trop dilaté par sa verge qu'il m'imposait.
Je pleurais. Un peu de honte, mais surtout de frustration. Ce n'était pas la première fois que l'on m'humiliait, loin de la, et j'ai déjà eu l'occasion de faire de mauvaise rencontre, duquel l'on finissait par abuser de moi. Mais rien, rien au monde ne pourra soulager ma peine, de ne plus pouvoir être libre de mes actes. Je m'étais résignée a devenir l'esclave servile que l'on voulait que je sois, c'était une question de survie, mais, parfois, je sentais au fond de moi que je n'en pouvais plus de toute cette servitude, de tout ces moments ou je n'etais ni plus ni moins qu'un jouet à leurs yeux. Un nouveau coup de rein interrompit mes pensée, suivit d'un autre, il accélérait la cadence, tandis que je lâchais des gémissements incontrôlables. Il me pénétrait profondément, jusqu'au bout. A l'étroit dans mon intimité il hurlait, comme le font si bien les loups, sans doute de plaisir. "Tu m'en vois ravie si je suis a ton goût." pensai-je, ironique.
Il me serrait un peu plus fort l'epaule, son autre main posée sur ma hanche, et prit un rythme de plus en plus effréné. Les frottements de sa verge sur ma paroi dilaté devenaient de plus en plus douloureux, et ses mouvement de va-et-vient faisait balloter ses bourses, qui claquaient douloureusement contre mon clitoris, rendant ses pénétrations de plus en plus éprouvantes. Heureusement qu'il me tenait, chacun de ses coups m'ébranlais, j'avais l'impression qu'il voulait m'envoyer a l'autre bout de la pièce ! Je l'entendais grogner de plaisir dans mon dos, pendant que moi je gémissait de douleur. Les larmes me montaient aux yeux, ça commençais a devenir insoutenable. Je n'avais même pas l'opportunité de me plaindre, je ne pouvais que subir, subir la volonté de mon violeur.
Je commençais a sangloter, larmoyante, hurlant ma douleur, mon intimité ramoné était en feu, mon clitoris malmené était douloureux, mais mon tortionnaire restait insensible a tout cela. Je ne désirais qu'une chose, c'était que ce supplice cesse, je n'en pouvais plus .. pitié .. Mes prières ont semblé avoir été entendu, car peu de temps après je sentis de longue et puissante salve de sperme inonder mon utérus, accompagnée par les grognements de satisfaction de la bête. Ce dernier se retira ensuite brutalement, tout en me poussant sans ménagement, me faisant m'effondrer sur le ventre. C'était fini, j'étais tellement soulagée ! Mais je ne tenais pas a crier victoire trop tôt, il pourrait très bien décider qu'il n'en avait pas encore terminé avec moi... Je l'entendis quitter la pièce, ses griffes cliquetant contre le carrelage froid sur lequel je reposais. J'étais étendue misérablement sur le sol, je ne bougeais plus, j'attendais, mon intimité encore endolori par le traitement qu'il venait de subir. J'entendis alors mon maître m'appeler, m'ordonnant de venir m'occuper de son membre viril. Je répondis, presque machinalement : « Oui, maître. »
