Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Eris

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Sujets - Eris

Pages: [1]
1
Le quartier de la Toussaint / Colère ça rime avec... ( pv )
« le: mercredi 21 septembre 2011, 02:19:36 »
Les mortels, humains ou terranides, étaient d'un ennui... Mortel. Une chose était certaine, ils portaient excellemment bien leur nom. Du tartare, Eris les observait, insignifiantes petites fourmis dont les vies ne tenaient qu'à un fil, qu'elle se plaisait et complaisait à couper chaque fois que cela la chantait. Il ne fallait pas grand chose. Prendre l'apparence d'untel et avoir un geste, même non significatif, pour la femme d'un autre suffisait à nourrir ses pulsions et fantasmes, et le reste de son imagination débridée ainsi que le désir de fuir sa petite vie insipide de mère mariée faisaient le reste... Oui, la plèbe était d'une simplicité enfantine à manipuler. Quant à la grande échelle, ce pouvait être du grand art, tout comme ce pouvait être des flops, quoi qu'à constater le chaos dans lequel s'enfonçait le monde actuel, Eris était plutôt fière d'elle. Chaque nouvelle guérilla ou querelle lui faisait gagner en puissance. Aphrodite prenait celle des amants, Eris prenait celle des ennemi, tout comme son frère, car quel était le comble de la discorde et du chaos? La guerre... Beaucoup y trouvaient leur content.

Écartant d'un souffle les nuages obscurcissant sa vue de Seikusu, la déesse s'accouda sur le monde et le toisa de toute sa puissance, du fin fond du tartare, antre bien aimée où ses monstres en tous genres pouvaient évoluer à leur guise, où les spectres des armées et palais détruits par les différents humains venaient agrandir son musée personnel. Sirotant un cocktail, elle poussa un soupir. N'y aurait-il donc rien pour la divertir, en ce jour morne et triste de désœuvrement? Et puis, cédant à une impulsion, elle leva les yeux au ciel et délaissa son tartare pour se matérialiser dans le monde des mortels. Elle se rendrait mieux compte de l'état des choses en étant plongée avec la faune locale. Délaissant son apparence originelle, trop imposante pour les simples esprits qu'étaient les terriens, elle fonça la couleur de ses cheveux ainsi que celle de sa peau, pour devenir une belle blonde, à la peau pâle cependant, et ses orbites vides se retrouvèrent bientôt pleines de deux iris d'un bleu iridescent. Connaissant les critères de beauté de ce monde et s'estimant, elle-même, en toute modestie, bien assez faite pour ces mécréants, elle ne changea rien d'autre dans sa plastique. En vêtements, elle avait opté pour un jean très moulant, des bottes à talon, et un débardeur avec un cache-coeur. Le résultat lui sembla satisfaisant, car au moment de passer à son niveau, un cycliste la dévisageait tellement qu'il finit par tomber, un poteau s'étant dressé malencontreusement en travers de sa route.

- J'adore me transformer...

Avait alors murmuré la déesse, avant de passer son chemin dans l'indifférence la plus totale. Elle finit par laisser ses pas la guider jusqu'au centre commercial, temple des disputes de couples, et plus encore. Affichant un sourire conquérant, la déesse s'installa posément à un café, commanda la première chose qui lui passait sous la main, un café froid apparemment, et se concentra sur les passants. Elle délia ses doigts, arborant un petit sourire malsain, et, telle une chef d'orchestre, commença son morceau. D'untel, elle brisa les hanses des sacs, faisant se répandre partout les condiments. Les premiers cris de colère furent poussés, et elle s'en régala. D'untel, à une caisse bondée, elle fit ne pas fonctionner un code barre. La colère se répandit comme une traînée de poudre, du client à ceux le suivant. Ce genre d'incident fonctionnant tellement bien, Eris pianota distraitement dans le vide, faisant buguer toutes les caisses. Tous les clients se mirent alors à geindre, trépigner et crier, s'énervant mutuellement les uns les autres. Pendant ce temps, la déesse éructait.

Elle poursuivit. D'untel, elle renversa le café sur la fille qu'il cherchait à séduire, tachant le haut de cachemire, faisant beugler l'ancienne future conquête comme une truie. Ici et là, Eris dispensait les graines de la colère, ce qui électrisa l'atmosphère, et bientôt, elle n'eut plus besoin de rien, les choses s'enchaînaient d'elles-mêmes tellement les gens étaient de mauvaise humeur. Aux premières loges, la petite blonde souriait d'un air innocent tout en sirotant son café. Irait-elle jusqu'à déclencher une émeute? A voir l'état des gens derrière les caisses, toujours or service, elle pronostiquerait que oui...

2
Les contrées du Chaos / Claquera, claquera pas?... [PV]
« le: mercredi 03 novembre 2010, 17:41:35 »
Guerre n'était plus pour elle. Elle l'avait répudié. Pourquoi? Parce qu'il avait osé l'embrasser sans lui demander son avis au préalable. Quel genre de créature peut donc se montrer aussi suicidaire? Eris n'était pas réputée pour son instabilité émotionnelle pour rien... Il avait eu de la chance qu'elle ne le tue point séance tenante, mais qu'elle se contente de le libérer de la charge qui lui incombait, à savoir, guerroyer en son nom. C'était triste, mine de rien. A présent qu'ils n'oeuvraient plus de concert, Eris aux commandes et Guerre faisant office de jambes, la vie était d'une morosité...
Les humains comme les terranides l'ennuyaient profondément. Quant aux autres Dieux de l'Olympe, elle ne voyait en eux que des tirs au flanc tout juste bons à cuver le vin de Dyonisos, se complaire dans leur oisiveté, ou encore s'adonner à des pratiques sexuelles... Certes, c'est agréable. Mais... On ne peut tout de même pas passer son temps à ne faire que ça? Si? Apparemment, certains des divins semblaient persuadés que oui. Grand bien leur fasse. La déesse de la Discorde préférait se stimuler autrement. Elle préférait éveiller ses sens d'une façon beaucoup plus... Efficace, avant de les satisfaire. Elle voulait pouvoir ressentir l'adrénaline couler dans ses veines. Ou, si elle ne pouvait atteindre ce niveau, au moins stimuler son intérêt, d'une façon ou d'une autre.

La déesse du Chaos remplissait sa charge à merveille, à la perfection comme disaient ses frères et soeurs. Elle était chaotique dans ses relations, dans sa façon d'agir et de se comporter, et bien entendu dans son style de vie. Anarchique, anachronique, l'envers devient l'avant et l'avant devient l'envers, le haut devient le bas, et vice versa. Qui recherche la stabilité ne saurait jamais trouver son bonheur avec Eris, mais quiconque cherche une femme toujours renouvelée, avec plus de personnalités qu'une centaine de schyzophrènes et plus de reliefs que toutes les chaînes montagneuses du globe serait comblé. Elle n'est jamais la même, jamais. La seule chose perpétuelle chez elle est l'ennuit.

Ennuit dû à la désertion, enfin à la trahison, de son homme de main favori. Soit, qu'il en soit ainsi. Elle se trouverait un nouveau jouet. C'est pour cette raison qu'elle arpentait les contrées du chaos terranides, car c'est en cet endroit qu'elle risquait le plus de trouver son bonheur. Elle ne voulait pas d'humain ou d'esper, trop chétifs, trop vite passés et cassés. Elle voulait un jouet robuste et intéressant, un défi à relever, qu'elle ne pourrait aisément contraindre et qui l'amuserait autant qu'il l'obligerait à le détester... En un mot comme en cent, elle était à la recherche d'une créature susceptible de susciter chez elle des sentiments. Mais pas n'importe lesquels. Elle ne voulait pas d'amour, de tendresse ou encore de l'apaisement... Non, elle voulait de la colère, de la passion, de la haine, de la fougue! Elle voulait quelque chose d'intense, de prenant! Comme c'était difficile à trouver...

Lasse d'arpenter bois et chemin sans trouver sa perle de lunatisme, la déesse décida d'interrompre ses recherches l'espace d'un instant. Elle troqua donc son corps impalpable de fumée pour son originel, aux orbites vides et à la chevelure incomparable et unique. En cela cependant, elle était redondante. Ses formes étaient toujours aussi voluptueuses, et toujours mises en valeur par des vêtements qui n'en étaient pas vraiment. Corset de cuir et cape de velours, rouge à l'intérieure et noir à l'extérieur, ainsi que bottes à talons, elle aimait particulièrement se donner le style de la dominatrice qu'elle était et souhaitait être reconnue telle quelle. Une fois solide, elle profita de la forêt pour tester ses propres connaissances en matière de plantes et quant à leurs utilités. Elle n'en oubliait pas pour autant le but premier de sa présence dans les bois et restait à l'affût d'un signe de vie intéressant, quoiqu'elle commençait fortement à se dire que finalement, aucune créature, pas d'avantage sur le plan de Terra que sur Terre, ne valait le déplacement...

3
Olympe / Faire naître l'ordre dans le Chaos? (PV Apollon)
« le: mardi 07 septembre 2010, 18:49:38 »
"Debout mes trésors..."

Délicieuse et chantante, la voix d'Eris s'éleva dans le Tartare, horriblement doucereuse, annonciatrice de désastres... Elle était si suave et pourtant si claire... Un enchantement pour qui l'écoute. Et pourtant si terrible... Car assurément, chaque fois qu'elle s'élève, c'est que la déesse prépare un mauvais coup... Et en l'occurrence... Ses créatures célestes quittèrent l'immobilité de leur refuge pour se mouvoir aux côtés de leur déesse. Kraken et scorpion géant, guêpe, serpent et autres monstres peuplaient ses écuries.

"La vie est si belle..."

Un sourire narquois étira les lèvres charnues de la belliqueuse divinité, toujours friande de plus massacre, plus de confusion, plus de... Chaos.

"Approchez, regardez... C'est un jour nouveau, et le monde des mortels est en paix..."

Presque attendrie, elle invita ses monstres à contempler avec elle un globe terrestre, lui permettant d'observer simultanément les terranides et les terriens. Les uns allaient et venaient, se battaient pour certains contre des monstres, vendaient des esclaves... Quant aux humains, ils grouillaient contre une fourmilière dans laquelle Eris mourrait d'envie de donner un coup de pied. Son sourire s'étira.

"Mais pas pour longtemps... Leur vie ne tient qu'à un fil, et si je le coupe, le monde sombrera dans le chaos... Un extraordinaire chaos..."


Enchantée par cette perspective, elle se sentait au bord de l'euphorie. Écartant les nuages qui l'empêchaient de voir ses futures victimes, elle glissa sa main dans ses cheveux et en enroula un autour de son index, se l'arrachant sans un instant d'hésitation. Le laissant se perdre sur la terre, elle la regarda trembler lorsqu'il entra en contact avec elle, sur toute sa longueur, ce qui la fit rire aux éclats. La fourmilière venait d'être dérangée, et le rire de la déesse s'éleva dans tout le Tartare. Mise en joie par son petit désastre matinal, qui ne serait que le premier d'une longue lignée, elle s'évapora et quitta son Tartare adoré pour admirer de plus près l'effet de ses actes. Du sommet de l'Olympe.

Ses cheveux diaphanes battant la mesure de son pas alors que, féline, elle passait les portes du domaine de Zeus, elle vint s'assoir négligemment auprès de cette ouverture, semblable à celle qu'elle avait dans son Royaume mais vue de beaucoup plus près. Comme précédemment, son rire s'éleva en Olympe. Eris avait frappé.

4
Le coin du chalant / A la recherche des Dieux perdus...
« le: lundi 06 septembre 2010, 21:35:27 »
J'aimerai jouer, sans idée de trame pré-établie, avec un Dieu ou une Déesse pour commencer étant donné que, ne vous en déplaise, les mortels m'ennuient profondément n'ont pas le moindre intérêt à mes yeux :) Sauf si je peux briser leur vie en mille morceaux  ::)

5
Prélude / Eris, Déesse de la discorde et du Chaos (Valithée)
« le: lundi 06 septembre 2010, 13:29:29 »
Nom/Prenom/Surnom : Eris

Age : Aussi âgée que son frère jumeau, Ares le bien nommé

Sexe : Femelle

Race : Déesse

Orientation sexuelle: Sans préjugés

Description physique : Etant déesse, Eris peut prendre n'importe quelle forme, se changer en tout et n'importe quoi, et étant relativement facétieuse, son don de polymorphie lui sert beaucoup. Néanmoins, sa forme originelle a de quoi faire froid dans le dos. Elle ne l'utilise qu'en espace clos, pour ses frères et soeurs divins par exemple, et jamais pour les mortels. C'est une grande femme, au corps bien évidemment sculptural, dotés de fesses rondes et fermes, d'une poitrine à se damner, de jambes interminables et de toute la panoplie de ce genre d'attributs superficiels. A savoir également qu'en dehors des cils, cheveux et sourcils, elle est complètement imberbe. Sa peau a une teinte bleutée, violacée pour certains, est douce et dépourvue de toute trace, marque, grain de beauté, boutons... Ou tout autre chose disgracieuse. Quant à ses signes distinctifs, c'est le moins qu'on puisse dire les concernant. Ils sont inimitables. Ses cheveux sont blancs, si blancs qu'on les croirait trempés dans des nuages, sa bouche charnue et plus rouge encore que le flux vital et ses yeux... Dénués d'orbites. Il est déconseillé pour les mortels de la fixer directement dans les yeux, car à l'instar de la dame blanche, ils ont le don d'attirer sur les curieux des malédictions dont ils ne pourraient plus jamais se défaire. On peut donc dire qu'Eris a tout pour elle physiquement, pour peu que l'on affectionne les tenues de cuir particulièrement indécentes et les couleurs de peaux "originales".

Caractère : Eris est à l'image de son physique lorsqu'elle prend la peine de paraître. Inconstante, impalpable en grande partie, égale à de la fumée, qui prendrait consistance uniquement quand elle l'aurait décidé. Ses cheveux volent autour d'elle, à la manière d'une simple fumée d'encens, et c'est pareil pour son humour. Noir, glauque, méchant... Mais loin d'être bête. Eris est une déesse à la remarquable intelligence, elle l'est bien plus que son frère en vérité, beaucoup plus patiente, beaucoup plus sournoise... Elle sème des graines qui noircissent les coeurs et alors, son frère n'a en définitive que le rôle de l'étincelle qui met le feu aux poudres... C'est elle qui agence, elle qui prépare le terrain. Evidemment, il n'y a qu'elle pour prendre un tel plaisir, se jouer des humains si prévisibles! On glorifie Ares d'avoir déclenché la guerre de Troie, mais c'est faux! On la lui doit à ELLE et uniquement à elle! Eris, déesse de la discorde et du Chaos! Et personne d'autre... La guerre de Troie n'est qu'une conséquence de sa colère vis à vis de l'ingratitude des humains! C'est ELLE qui a jeté la pomme d'or de la discorde, elle à qui l'ont doit le choix difficile de Pâris... Et oui, c'est bien elle qui a tiré les ficelles de cette guerre sanglante. Parce que sans elle, son frère ne serait capable de rien... Pauvre créature. La guerre est belle, mais sans le feu de la discorde, les graines de la haine, le désespoir qui entraîne le monde vers le chaos, elle n'est rien de plus que quelques gugus qui s'amusent avec des épées... La vraie stratège, c'est bien elle. Aussi, il faut toujours se méfier lorsqu'elle apparaît, toujours... Car assurément, les conséquences seraient désastreuses. Quant aux plaisirs de la chairs, elle n'y prend plus goût. Les hommes et mortels et autres l'ont blasée, sa libido est en sommeil. Elle ne déteste pas, mais encore faut-il être capable de réveiller son désir ce qui est loin d'être aisé. Il est aussi déconseillé de faillir à cette tâche si on se risque à tenter. Eris n'est pas du genre conciliante.

Histoire : La vie d'Eris est celle d'une déesse ordinaire. Enfin, presque... D'une déesse crainte et respectée dans le panthéon, voire même évitée.
Soeur jumelle d'Ares, elle peut très bien voir son art s'exprimer sans lui, tandis que le contraire n'est absolument pas possible. Essayer de faire s'entre-tuer deux peuplades sans susciter la haine et la discorde relève en effet du mythe. De ce fait, elle a toujours préparé le terrain à son ingrat de frère, à qui l'on a toujours attribué les lauriers de SES victoires, ce qui l'a toujours laissée très amer vis à vis de ce dernier. Elle le pardonne néanmoins puisque son oeuvre à lui assure son bonheur à elle. Elle aime le chaos, normal pour la déesse le personnifiant, et quoi de mieux qu'une guerre totale pour cela? Rien. Ou presque. Les guerres manquent cruellement de subtilité à son humble avis, Eris préfère beaucoup tout ce qui précède. Quoiqu'il en soit, elle s'est toujours acquittée de sa tâche avec talent et zèle, au détriment des pauvres mortels. Dont elle se moque éperdument bien évidemment. Elle est la mère de nombreux enfants, qu'elle a bien évidemment conçu seule. N'ayant aucune confiance dans le genre masculin, elle trouvait plus fiable de ne pas leur demander de contribution. De son sang naquirent les fils et les filles de la discorde et du Chaos, ses protégés, qu'elle envoie bien évidemment servir ses intérêts. Ils sont nombreux, on trouve par exemple Ponos (la peine), Léthé (l'Oubli), Limos (la Faim), Phonoi et Makkahai (le Meurtre et le Combat), Dysnomia et Até (l'anarchie et le désastre)... Et de nombreux autres, Eris n'ayant pas chômé. Bien sûr, elle adore sa progéniture et ils le lui rendent bien. Ensemble, ils sèment le chaos sur les pauvres mortels, et rien ni personne n'est à l'abri de la sournoiserie de la déesse de la Discorde...

Situation de départ : Très expérimentée assurément, mais n'exerce pas ses talents sans une bonne raison

Autres : Omnisciente, omnipotente, omniprésente... Déesse quoi.  ::)

Comment avez vous connu le forum: Google

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous?Si oui lesquels: Non

Pages: [1]