Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Marzia De Luca

Pages: [1]
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Centre-ville de Seikusu / La grande salsiccia [pv Nicole Miller]
« le: vendredi 26 août 2022, 17:14:43 »
Le vendredi soir, c’est toujours compliqué. Les gens viennent manger en masse, et bien qu’ils aient largement le temps de passer la soirée autour d’un bon repas seul ou en famille, messieurs dames se paient le luxe d’être pressés, exigeants...insupportables, quoi. A chaque fois, je dois me contenir pour ne pas leur dire que non, Monique, ce n’est pas parce que tes linguine ont cinq minutes de retard que tu vas crever de faim, qu’il y a douze clients avant toi qui, eux, savent prendre leur mal en patience et que j’en ai rien à foutre si tu ne reviens plus manger chez moi, des habitués j’en ai assez pour ne pas m’encombrer de vieilles aigries dont la simple présence me donne des poussées d’urticaire. Bref, vous l’aurez deviné, je viens de passer une soirée compliquée, et même si la salle est désormais vide, elle est loin d’être terminée. Car oui, en plus de ça, l’un de mes livreurs a eu la super idée de se taper avec un client sous coke et est actuellement au commissariat le plus proche après avoir essayé de lui enfoncer sa Calzone entre les fesses.
Dans la fraîcheur relative de la nuit, sur mon fier Vespa aux couleurs du drapeau italien, je file nourrir les plus fines bouches de Seikusu à la vitesse de...pas de l’éclair, en tout cas, mais je fais de mon mieux. Après une quattro formaggi livrée chez un japonais au regard lubrique que même moi je n’ai pas osé allumer, et trois pizzas délivrées dans une sorte de manoir dans lequel je me suis perdu près d’un quart d’heure, la dernière devrait être moins folklorique. Une pepperoni avec extra saucisse (je ne juge pas, mais franchement, les goûts et les couleurs) pour une certaine Signora Miller pour dans dix minutes. Et j’ai un peu d’avance.
Une lumière légère filtre par le carreau de la porte d’entrée, et je décèle une silhouette floue qui régit lorsque mon doigt presse la sonnette. Floue, certes, mais pas assez pour cacher la féminité qui s’en dégage et s’exacerbe lorsqu’elle s’approche. Une poitrine qui semble généreuse, une taille qui paraît fine, autant dire que je risque de me rincer l’œil et peut-être même tenter une approche. Après tout, c’est la dernière cliente de la journée, et j’ai laissé mon inélégant casque sur la selle de mon scooter, ne gardant que ma robe et rien en dessous. J’entends enfin la clé tourner dans le barillet puis le grincement de la porte qui s’ouvre.


- Buongiorno signora Miller, Marzia du restaurant Venezia, j’ai une pizza pepperoni avec…

Les mots s’éteignent dans ma bouche alors que mes yeux parcourent le corps de ma cliente de haut en bas. Elle est magnifique, avec un corps de déesse qui m’aurait même rendue jalouse durant mes jeunes années, des seins si ronds et fermes qu’ils paraissent presque être faux, à peine cachés par le crop-top qui n’arrive pas à les recouvrir totalement, un ventre plat aux abdos légèrement dessinés, mais surtout, SURTOUT, cette énorme forme qui se dessine dans un boxer au tissu tendu à l’extrême, menaçant de craquer à tout moment, épousant deux bourses toutes rondes et une queue aussi épaisse que longue. Et le pire, c’est qu’elle a l’air totalement flaccide, ce qui laisse rêveuse quand à sa potentielle taille une fois érigée.

- ...avec extra saucisse…

Mon regard ne peut quitter ce paquet qui me saute aux yeux. Mes canines se referment sur ma lèvre inférieure, alors que je sens déjà le niagara affluer entre mes cuisses. Quand enfin j’arrive à rompre le contact visuel avec le monstre, c’est un sourire satisfait que je vois sur le visage de ma cliente, et ce n’est pas grâce à la qualité de ma cuisine, pour le moment.

2
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: vendredi 05 août 2022, 18:09:39 »
Et dix !
Que la prochaine personne a poster en profite bien

3
Prélude / Re : Une redneck au japon - Lilly [Anéa]
« le: vendredi 05 août 2022, 07:07:38 »
Bonsoir, un Spritz s'il vous plaît  :-*

4
Prélude / Re : Netsui, succube locale
« le: mercredi 03 août 2022, 08:32:23 »
Bienvenue, jolie créature  ::)

5
Le coin du chalant / Buongiorno
« le: mardi 02 août 2022, 23:22:13 »
Benvenuto a casa (je suis passée par Google Trad)

Petit résumé rapide : Marzia est une quadragénaire active, gérante d'un restaurant italien, ancien mannequin avec un corps à se damner, une sexualité débridée et un penchant très prononcé par la séduction.

Quelques idées qui pourraient vous intéresser.

~ Votre personnage vient se restaurer dans l'établissement de Marzia, mais hélas, il n'a pas de quoi payer. Entre faire la plonge pour la soirée ou tenter de rentrer dans les bonnes grâces de la patronne, il va devoir choisir.

~ Marzia organise parfois des cours de cuisine, et votre personnage en aurait bien besoin. Ca pourrait favoriser le rapprochement...

~ Zut ! En plus d'être un restaurant, le Venezia peut aussi vous livrer à domicile, hélas le livreur est absent. Marzia va devoir s'en charger, et se rendre elle-même chez ses clients...

~ En tant qu'ancienne mannequin plutôt reconnue, votre personnage pourrait reconnaître Marzia. S'ensuivrait un jeu de séduction qui pourrait aboutir à quelque chose de plus...charnel...


Je suis bien évidemment ouverte à toute proposition, si vous le désirez ~

6
Prélude / Toutes les saveurs de l'Italie [Vanéalidée !]
« le: jeudi 28 juillet 2022, 14:56:05 »
Linguine alla vongole pour la table sept, presto !

Un samedi soir comme un autre dans la ville de Seikusu, au restaurant Venezia. Les effluves d’origan se mêlent à celles des tomates fraîchement coupées, pelées, concassées, des aubergines ou encore de l’huile d’olive. A la tête du petit établissement, Marzia ne s’arrête jamais, sa longue robe aux couleurs chatoyantes virevoltant à sa suite alors qu’elle glisse de table en table, s’enquérant de la satisfaction de chacun de ses clients. Mais comment ne pas être satisfait, quand vous dégustez les meilleures saveurs de l’Italie, dans un décor typique et chaleureux, avec une serveuse au sourire ravageur et une patronne vous offrant régulièrement une vue plongeante sur son décolleté obscène ?
Sur les coups de vingt-deux heures, les derniers clients se pressent au comptoir, réglant leur note sous les grands yeux noisettes de la belle quadragénaire italienne rehaussés par un fin trait de khôl, tandis qu’Emilia, une grande serveuse à la chevelure décolorée, s’occupe de débarrasser les tables. Comme d’habitude, le dernier est un salaryman trentenaire, propre sur lui, sur lequel Marzia pose un regard blasé. « Encore ce soir, Tanjiro-san ? Votre note s’allonge chaque semaine, vous le savez bien. » D’un pas léger, elle contourne le comptoir, et le bout de ses doigts glisse entre les cuisses du client, caressant au passage ce paquet qu’elle commence à bien connaître. « Ca ira pour cette fois. Je vous rejoins dans l’arrière-boutique, attendez-moi... » Elle s’approche de la serveuse, pose sa main sur sa hanche, et dépose un tendre baiser dans son cou. « Tu peux rentrer à la maison dès que tu as terminé, tesora, tu as bien travaillé. Je te rejoins dès que j’ai fini avec monsieur. »

Gentlemen, a short view back to the past

Mars 1997, un petit studio photographique au coeur de la cité de Verone. Sous les flashs crépitants des appareils, un mannequin enchaîne les poses, vêtue d’un bikini des plus révélateurs. « C’est la jeune De Luca. Si celle-ci ne perce pas, je me coupe la main. » En effet, sous les yeux des créateurs et photographes les plus talentueux, la jeune adulte de tout juste 18 ans exhibe sans complexe sa plastique idéale et son aisance naturelle à poser. Alors qu’un assistant lui tend un nouveau maillot, l’italienne retire le précédent et le laisse tomber à ses pieds tandis que tous les regards se rivent sur elle. Elle les sent, les apprécie, les entretient en caressant naïvement sa poitrine parfaite avec une pointe d’érotisme savamment dosée. Un petit sourire faussement candide étire ses lèvres quand son regard croise celui d’une créatrice influente. Cette nuit, elle ne sera pas seule. Comme toutes les précédentes…
Les années passent, les shootings se succèdent, tout comme les défilés et les apparitions mondaines. Marzia a désormais acquis une notoriété non négligeable dans le milieu. Aux quatre coins du monde, elle écume les podiums, observée, admirée par tous. Son mètre soixante-quinze, son teint halé, son bonnet D naturel, ou encore son ventre plat ne laissent personne indifférent. Mais cette vie commence à la lasser. De ses nombreux voyages, elle a ramené tant de mémoires, dont certaines ne disparaîtront jamais. Dans un coin de sa tête, le Japon ne la quitte jamais. L’idée d’un petit restaurant dans lequel elle préparerait les plats de son enfance non plus. C’est décidé, elle fera ça quand elle se retirera du monde du mannequinat. Ce qui ne devrait plus trop tard.

Retour à la maison

Il paraît que la nuit, tous les chats sont gris. Sur le chemin entre le restaurant et la chaleur de sa maison, elle n’en croise aucun, au contraire des mâles en chaleur qui ne se gênent pas pour la mater avec insistance et la siffler dans son sillage. Oh, ça ne la dérange pas, au contraire. Se faire mater, c’est son quotidien depuis plus de vingt ans, et son changement de vie ne l’a pas empêchée de continuer ces jeux de séduction dont elle a toujours raffolé.
Une fois rentrée, la belle se déchausse, retire sa robe qu’elle dépose dans le panier à linge lorsqu’elle se rend dans la salle de bain pour se démaquiller. Le miroir lui renvoie le reflet de son visage doux encadré par une longue chevelure brune et de ses yeux noisettes pétillants. Une giclée d’eau chaude s’affaire à nettoyer ses lèvres pulpeuses du rouge qu’elle aime déposer dans le cou de ses nombreux ami(e)s.
Dans son dos, la silhouette d’Emilia s’approche, elle l’enlace par derrière, enfouit son visage dans ses cheveux qu’elle renifle longuement. « J’ai envie de toi, mama... » Marzia glousse, ses doigts se glissent entre ceux de son amante favorite pour remonter ses mains de son ventre jusqu’a ses seins. « Attends moi dans le lit, amore mia, je te rejoins vite. » La grande serveuse soupire, s’éloignant en gardant jusqu’au dernier moment contact avec la peau brûlante de sa patronne qui l’héberge depuis son arrivée au Japon, et qu’elle respecte autant qu’elle l’aime. « D’accord, mama, je t’attends. » Les phalanges expertes de l’italienne attachent sa chevelure en une queue de cheval haute, puis elle quitte la salle de bain pour se glisser sous les draps et trouver refuge entre les cuisses de son adorable employée. La nuit promet d’être longue…

Comment ai-je connu le forum ? Nouveau compte d’Automne et Alicia

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