Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Bando

Pages: [1] 2 3 ... 10
1
Quelle superbe vue…
Et que de délicieuses sensations que celles-là, en prime. Montée sur ma verge comme si elle s’adonnait là à un rodéo de tous les diables, Tenshi n’en finissait pas de me surprendre, me prouvent minute après minute comme elle était vraiment, vraiment… vraiment bonne au pieu, en plus d’être incroyablement bonne.

Ses gros nibards à l’air comme ça, sa robe de mariée, qui un jour avait dû symboliser sa pureté, lui donnait maintenant de vraies allures de pute en manque. Ses porte-jarretelles la rendaient formidablement sexy, mais difficile de se retirer de la tête cette impression qu’elle pouvait donner à bondir comme ça sur ma bite, la langue pendante en hurlant son plaisir sur tous les toits, à en briser les vitres alors qu’elle se la mettait bien dans le cul.

C’était clairement la meilleure sodomie de ma vie et j’avais pas envie que ça s’arrête. J’avais déjà été merveilleusement surpris qu’elle vienne se coller ma bite de cheval dans le cul, mais qu’elle la prenne toute entière comme elle l’avait fait… voilà qui avait ouvert la voie à des sensations que jamais je n’avais connues.

Alors, pour bien en profiter, je plaquais parfois mes grosses mains sur ses fesses pour plus qu’elle ne bouge. J’ondulais le bassin seulement, lui donnais de petits à-coups, mais passais de longues secondes comme ça, à profiter d’être tout entier en elle, à complètement lui labourer le jardin de derrière. Jardin dans lequel je planterai bien quelques-unes de mes graines, avant de garder ce qui reste pour tenter de la féconder.

Sans doute m’étais-je pris au jeu, en devinant que le fait de tromper son mari devait l’exciter. Un court instant pendant que je l’enculais comme un forcené, j’avais ainsi fini par me demander si ça l’exciterait, que j’lui fasse un môme, que le pauvre Itake élèverait pour moi.
Bien sûr, je ne pensais pas vraiment toutes ces choses… le pauvre, mais quand même, je finissais par me convaincre que cela pourrait être une idée qui exciterait la pulpeuse rouquine.

Aussi me mis-je à sourire quand elle me dit qu’il était fort probable qu’elle me laisse la baiser plus souvent. L’idée de devenir l’amant régulier d’une telle femme me plaisait… et la possibilité de lui faire des mômes dans le dos de son mari m’amusait un peu aussi.

« Haa… haaaa… mmh. MMMH… parfait. Parfait. J’veux t’entendre me le dire. Dis-moi que tu veux devenir ma salope. Qu’à partir de maintenant… t-tu… tu ES ma salope. HMMM ! »

Je ponctuais chacun de mes mots de gros et violents coups de butoirs que j’assénais à ses grosses fesses puis finis par m’arrêter, en sentant sa petite main se poser sur mes couilles, qu’elle ne pouvait non plus attraper entièrement à pleine.

Me mordillant les lèvres, je la regardais danser lascivement tout contre mon bas ventre, mon large pilier de chair vissé dans son cul, jusque quarante centimètres plus haut. J’admirais la façon qu’elle avait de pincer son téton en couinant et… je ne pus m’empêcher de me redresser pour enfin aller chercher son second téton, que je gobais à pleine bouche.

Depuis que je l’avais vue la première fois, voilà un truc que j’avais toujours rêvé de faire… lui téter les nichons.

Mon plaisir fut malheureusement de courte durée puisque, très vite, elle dut se relever, se mettre bien debout, pour extirper mon chibre tout entier de ses belles fesses, afin qu’il aille enfin côtoyer sa petite chatte trempée.

Je me cramponne encore très fort à la chair large de son cul rebondi et soupire d’aise quand elle m’enfonce en elle d’une traite. Mon gigantesque gland entre d’un coup d’un seul en contact avec son utérus… si bien, que j’eus peur un bref instant de lâcher la sauce aussi vite, tétanisé par la vague de chaleur qui m’envahit soudain.

« OOH ! »

Mais alors qu’elle se rallonge tout contre moi, je la sens peiner dans ses mouvements, à ne m’enfoncer qu’à peine pour pouvoir m’aider à changer facilement de trou, alors qu’elle fourre ma queue un coup devant, un coup derrière… Je gémis comme un taré, mais dois bien avouer que cette position n’a rien de pratique vu la taille de mon engin.

« Aah… j’adore ta chatte, aussi. A-attends… »

Alors que je me redresse à nouveau, je m’extirpe un moment de son derrière et la pousse sur le côté, que nous puissions changer de position. Rapidement je me lève, sors du lit, et viens attraper l’oreiller de son mari pour le lui tendre.

« Penche-toi, et mords là-dedans. »

Debout face au lit conjugal, j’attendais que Tenshi prenne position, gratifiant mon sexe de quelques caresses pour le maintenir au garde-à-vous, prêt à la défoncer comme un foutu marteau-piqueur.

« C’est un jour safe ? J’ai très envie de te mettre enceinte… »

2
Qui donc aurait pu prédire que, en acceptant l’invitation à dîner d’Itake ce soir, je me serais retrouvé dans pareille position, sur le point d’enculer sa propre femme, à même ce lit censé, pourtant, symboliser leur union ?

Celle avec qui ce pauvre homme avait décidé de faire sa vie était une véritable chaudasse et, excusez-moi du peu, malheureusement pour lui, passer à côté d’une partie de jambes en l’air avec pareille créature aurait relevé de l’hérésie… purement et simplement.

En ce qui me concerne en tout cas, Tenshi cochait tout de mes critères en matière de charme et de beauté. Et je ne parle même pas de ses courbes que, même sous ses vêtements, aucun homme n’aurait pu imaginer.

Ma queue au garde-à-vous devant elle, comme pour témoigner de cela, je l’observe avec ce même sourire en coin que j’arbore depuis un moment.  Je soupire quand elle se frotte, l’écoute attentivement… toutes ces histoires qu’elle me narre la font de plus en plus passer pour la plus grosse des salopes… mais pour une raison qui m’échappe, je m’en fous bien. Au contraire, ça ne fait même qu’attiser mon envie d’elle.

J’aurais payé cher pour être à la place de ce prêtre, le jour de leur mariage. Après tant d’efforts pour tenir son vœu d’abstinence, je n’osais imaginer le pied qu’il avait dû prendre en se lâchant dans cette sulfureuse bonnasse tout juste mariée…

« Hm ? Combien ils étaient… ? En même temps ? »

Mais si j’étais curieux de savoir combien d’hommes l’avaient fourrée pendant sa lune de miel, je ne pus avoir de réponse si tôt. Pour une raison bien simple, notre petit jeu marquait un temps de pause…

Agitant mon gros gland tout contre ses deux petits orifices, l’inondant même de sa mouille d’un simple geste, Tenshi finit par redresser les fesses bien haut… prête à s’empaler sur moi.

J’avais eu beau le désirer très fort, je n’aurais jamais imaginé que la belle aurait guidé mon machin, assurément bien trop gros, tout contre sa minuscule rondelle. Pas à sec.
Ou en tout cas, je n’aurais pas cru qu’elle puisse attaquer les hostilités ainsi… en commençant par ça. Elle qui mouillait tellement, j’avais pensé la faire jouir au moins une ou deux fois avant d’essayer d’aborder, sérieusement cette fois, le sujet.

Mais non.
Comme si elle avait lu dans mes pensées, c’est l’équivalent d’une belle grosse gouttière que la salope s’enfila dans le derrière.

« Hmm… ngh… »

Surpris, je me cramponna fermement dans sa chair, en la sentant se servir de mon gigantesque engin pour pousser la porte de son petit trou. J’étais bien trop large… et elle trop serrée…
C’était bon, mais aussi effrayant.

« Ha putain… c-c’est… c’est ton cul ? Tu la veux dans l’cul ? »

Les dents fermement serrées, les doigts enfoncés dans ses fesses, je contractais les jambes et l’aidais comme je le pouvais en réhaussant mon bassin. Comme une foreuse en pleine excavation, j’explosais son gros derrière en y appliquant force et pression, prêt à la lui mettre aussi profond qu’elle semblait elle aussi le vouloir…

Me chevauchant telle une reine, en position d’Andromaque, elle écartait avec une aise déconcertante les parois de ce petit anus, qu’un coup mal donné aurait tout aussi bien pu pulvériser et… sans que je ne sus dire comment elle avait fait… je finis par le sentir : elle m’avait avalé tout entier.

Je sentis d’abord sa raie embrasser mes couilles… puis sans cesser de hurler comme une désespérée, elle s’était mise à bouger, à imprimer en elle les contours de mon pénis, avant… enfin, de sautiller, se servant de moi comme d’un gode bien rigide, enfoncé bien profond dans ses fesses.

La tête enfoncée dans l’oreiller d’Itake, comme ma bite l’était dans le cul de sa femme, je me remis à mordre mes lèvres avec force. Je caressais son gros cul… et me mis à accompagner ses mouvements.

« Haan… mmh oui, oui… oh. T’aimes ça, te faire enculer ? »

Lui souriant à pleines dents, les genoux fléchis, je me mis en position et…

« Qu’est-ce que tu dis de ça ? »

… sans crier gare, je m’activais d’un coup, agitant mon bassin tel un taureau en rut pour lui pilonner les fesses violemment.
Ma queue la forant comme un marteau-piqueur, je ne pus dès lors m’empêcher de grogner, de gémir avec force, tandis que je labourais ce trou si serré…

Parti comme c’était, deux options s’offraient à nous :
L’un de nous finirait par se faire mal, ou bien… la soirée promettait à Tenshi plus d’un orgasme anal.

« Oh putain oui… OUI ! Putain qu’est-ce que j’l’aime ton gros cul… Mmmh. Mh. MMMMH »

3
Fin de journée… ou presque.
C’est l’heure du dernier cours de la journée pour les élèves de la classe de Taro, dix-neuf ans, enfin arrivé jusqu’en terminale après cinq ans dans ce même lycée. Si tous frémissent d’avance à l’idée d’affronter les récits souvent barbants de Tama sensei -dernier rempart avant un week-end bien mérité-, notre grand dadais, lui, les redoute plus que quiconque.

La raison est bien simple : au tirage de l’élève le plus malchanceux de tous, tout le désigne grand gagnant. Si Tama sensei est réputé pour être un homme sévère et un poil trop pointilleux en ce qui concerne son barème de notation, Taro, lui, a eu la chance de l’avoir pour professeur d’Histoire ces cinq dernières années… même malgré ses redoublements. Comme quoi, la poisse attire sans doute la poisse.

Vainqueur à la loterie de la génétique, ce grand gaillard aura au moins su prouver à tout le monde la véracité de cet adage qui veut que « l’on ne peut être bon partout ».

Grand bonhomme d’un mètre quatre-vingt cinq au moins, s’il n’est pas vraiment un mec que l’on pourrait qualifier de populaire, tout le monde ici voit quand même en lui un sportif né. Enfin, faut pas se leurrer non plus, le fait qu’il soit plus vieux et plus grand a sans doute pas mal aidé pour ce qui est de sa sélection au sein de l’équipe de baseball cette année encore. Il est grand, il court vite… et frappe plus fort que la moyenne. Mine de rien, c’est un sacré atout.

Et Taro lui, il aime bien ça le baseball.
Au moins parce qu’on l’engueule pas quand il joue. Puis, parce que ça lui permet de passer un peu de temps avec d’autres garçons de son âge, ce qu’il ne fait pas souvent en dehors des cours. En bref, le baseball, c’est un bon exutoire.

Enfin… c’en est un. Ça, c’est s’il continue à jouer.

Plus discret qu’à l’accoutumée, Taro n’a pas l’air bien aujourd’hui et cela n’a rien à voir avec le fait qu’il ait du mal à suivre le cours de Tama sensei. Ayant passé la journée à regarder par-dessus son épaule comme si il avait vu un fantôme, le garçon semble attendre, sur le qui-vive… et pour cause : alors qu’il devait remettre hier l’argent de son inscription pour l’année au club de baseball, le jeune homme a finalement décidé de faire tout autrement.

Las d’entendre toutes ces histoires que racontent filles et garçons dans les couloirs, à propos de la jolie Eunyee -l’étudiante Coréenne venue étudier ici depuis quelques mois-, Taro, qui s’était épris d’elle, de son tempérament comme de sa beauté, s’était décidé à prouver aux autres qu’ils avaient tort sur toute la ligne et que tout ce que l’on racontait à son propos n’était qu’un tissu de mensonges.

N’ayant pas osé lui en parler directement, parce qu’il n’aurait simplement jamais pu faire une chose pareille, celui-ci s’était mis en tête de déposer quelques billets dans son casier puis de la suivre une fois les cours terminés, pour voir ce qu’elle pourrait bien faire de l’argent. Innocemment, il avait même pensé qu’elle se dépêcherait d’aller remettre l’enveloppe aux objets trouvés…

Il n’avait toutefois absolument pas réfléchi au fait que, sur ce morceau de papier destiné à l’administration du club de baseball, figurait son nom, écrit en grosses capitales. Aussi bête que cela puisse paraître, ce détail lui avait échappé.

Lorsqu’il avait fini par s’en souvenir, il était bien trop tard.

Aussi, quand cette jeune fille qu’il avait tant peur de croiser finit par faire irruption dans la classe -alors qu’il ne l’avait pas vue de la journée-, Taro tourna la tête, en priant pour qu’elle ne le remarque pas. Son nom sortit de ses jolies lèvres maquillées, pour la toute première fois… et donc il sursauta.

Eunyee prit la place qui se trouvait juste devant lui… et Taro passa l’heure qui suivit à paniquer, priant encore pour qu’elle ne se retourne pas. Contrairement à d’habitude, il n’osa même pas la regarder, alors même qu’il l’avait bien remarqué, elle portait aujourd’hui ce pull qu’il préférait et qui lui faisait un décolleté absooooolument vertigineux.

Préparant son départ en avance, il ramassa ses affaires pas loin de dix minutes avant la sonnerie et, quand la cloche se mit à tinter, il se leva d’un bond, prêt à détaler, sans même regarder la jeune fille. Il avait bien trop peur qu’elle pense de lui qu’il était de ceux à colporter ces rumeurs à son sujet et ne pensait plus qu’à fuir…

Même si… une petite part de lui aurait aimé que ce soit vrai.

Mais, alors qu’il venait de se lever, la petite brune se tourna justement pour l’interrompre. Mal à l’aise, Taro s’arrêta. C’était bien la première fois qu’elle lui adressait vraiment la parole, seul à seul du moins… et, s’imaginant bien de quoi elle pourrait vouloir discuter, le pauvre appréhendait comme jamais, les joues virant au rouge.

« A-ah… euh… Eu-Eunyee, salut. Vraiment ? »

Déglutissant timidement, le garçon tira la chaise juste à côté d’elle et s’assit, sans oser soutenir son regard. Portant son regard loin, vers l’extérieur de la salle, il continua.

« Tu… voulais recopier le début du cours, c’est ça ? Tu devrais peut-être demander à Saya, ou à Fumiko, tu sais. Mes notes sont pas super, alors… »

4
Je n’arrive plus bien à savoir lequel de nous deux est le pire, dans cette histoire. À dire vrai, je crois surtout que Tenshi et moi nous entraînons l’un l’autre… elle est une femme au foyer insatisfaite, pleine d’imagination et d’envie et moi, moi je rêve tellement d’elle que je la voudrais dans toutes les positions et les situations possibles.

Assurément, nos petits jeux prennent très vite une tournure plus dépravée que réellement coquine.
Mais moi, j’ai tellement envie de me la faire que ça me va très bien, de jouer à ce petit jeu là avec elle.

Alors que je suis dans son dos, qu’elle se remet à se frotter à moi, indécemment, j’écarquille les yeux, mais ne sait vraiment dire si elle dit ça pour m’exciter, ou bien si ce qu’elle dit là est vrai. Sérieusement, je disais ça pour plaisanter. Le prêtre qui les avaient marié l’avait vraiment sauté le jour même de leurs noces ?

« Oh. Sérieux ? T’es pas croyable… Un homme de foi. »

Secouant la tête, l’air amusé, je me laisse mener une fois de plus et suis l’énorme popotin de cette belle salope jusque dans cette chambre qui n’est ni plus ni moins que celle qu’elle partage avec « l’homme de sa vie ». Sans plus une once de honte, je mate comme elle roule si bien du cul, en m’assurant que sa robe ne retombe pas. Je la colle bien de près, pour que mon membre vigoureux reste en place, presque avalé dans sa raie avec laquelle elle s’est remise à m’astiquer…

Sur le chemin, je me défais de ma chemise, que je jette dans l’escalier, sans trop faire attention.

« Je parie qu’il a adoré ça… Et… tu t’es fait les invités, aussi ? »

Je lui souris.

Alors qu’elle me fait enfin entrer au coeur de la chambre conjugale et qu’elle me pousse contre le lit, j’observe ces nombreux portraits du couple et manque presque de retenir un ricanement. Le pauvre Itake. Si il savait…

Je souris de plus belle en entendant un « clic », caractéristique d’une prise de vue que l’on lance depuis un téléphone. Le même que tout à l’heure.

Me mettant à mon aise, je baisse vite mon pantalon, le laissant à mi-genoux, puis la laisse me monter. Je frémis en sentant ses deux gros seins frôler mon torse, meurs d’envie de l’attraper pour fourrer ma grosse queue dans son antre chaude… mais me laisse faire.

Puis elle se tourne, me donne son cul en ligne de mire.
J’avais envie de la prendre en levrette… mais voilà qui fera l’affaire pour le moment, le suspens avait assez duré, je voulais la sauter. Laissons là mener la danse un peu… puisque son mari ne serait pas rentré de sitôt, j’aurai tout le temps de la pilonner violemment plus tard.

Et, si c’était possible malgré mes mensurations… j’en profiterais également pour la sodomiser, histoire de la faire hurler comme il faut.

Mes mains revenant se poser sur son énorme boule, je tapotais dessus pour le regarder rebondir un peu, m’en amuser… avant de pousser délicatement dessus d’une main, tandis que je tenais, de l’autre, mon énorme dard, qui ne demandait plus qu’à entrer.

« Un cul pareil pour un seul homme… c’est une offense. Viens là t’faire pardonner… j’veux t’entendre le crier ce soir, tu es une pute. Et pour ça… tu vas avoir c’que tu mérites. Tu vas me raconter toutes ces fois où un autre que ton mari t’a prise… me dire pour quelle raison tu l’as fait… et je te récompenserai pour ça… »

5
Mené jusqu’au bout de mon extase par les vifs assauts de la belle conjointe infidèle, je peine à me retenir d’hurler comme un damné. Ses énormes obus frottent, m’astiquent furieusement tandis que sa langue joue sans jamais s’interrompre son ballet d’enfer tout contre mon gland.

Incapable de bouger sous le poids de ces deux gros seins si chauds, à me faire frictionner ainsi la queue, j’ai la sensation de n’être plus rien d’autre qu’une grosse glace dévorée avec gourmandise, un chaud après-midi d’été. S’enchaînent de très vulgaires bruits de succion, salaces, crevant le stupre et la débauche, auxquels se joignent mes marmonnements, ces gémissements d’extase pure que je dissimule si mal sous une main.

Tenshi sent que je viens. Elle sait que mon orgasme approche, mais ne joue aucunement avec moi. Elle ne cherche pas à retenir ce moment fatidique. Non, bien au contraire : elle en joue, et s’active plus encore.

Mon sexe palpite, tressaute et en finit secoué dans tous les sens telle une véritable lance à incendie, quand sortent enfin ces si épais jets de mon foutre qui ne tardent pas à lui recouvrir la gueule. Ça tire dans tous les sens, et ce sans s’arrêter une seule fois, durant de très longues secondes. Son nez, ses lèvres, ses yeux… je lui éjacule jusque dans les cheveux et tout coule avec hâte jusque sur ses deux gros seins, comme s’il s’agissait d’une crème bien épaisse, faite pour sa peau. Ses belles petites joues gonflent et se garnissent de belles rondeurs quand je les lui remplis… mais il y en a bien trop, quand bien même elle avale une quantité déjà bien impressionnante de ma sauce blanche.

En plus d’être dévastateur, cet orgasme a ça pour lui qu’il offre une véritable vision de paradis. Vision que la petite perverse ne manque pas de capturer en vidéo avec son téléphone portable, en plus de ça… Quel merveilleux souvenir que celui-ci. Ce n’était pas tout à fait le moment, mais il faudra que je pense à lui en demander une copie, un peu plus tard. Ça pour un cumshot, c’était dantesque. Revoir ça au ralenti promettait d’être trèèèèèès intéressant…

Vidé un grand coup, de ces pulsions obscènes qui m’animaient, je reprends mon souffle, en me délectant de cette vision également sortie tout droit d’un porno que j’ai de Tenshi, le maquillage abimé par mon jus. Je lui souris, satisfait et amusé, la queue toujours dressée alors que ce portrait que j’ai d’elle m’excite au plus haut point. J’ai faim d’elle et ne compte pas m’arrêter là…

Quand d’un coup je sursaute, en entendant la voix d’Itake émaner de l’étage du dessous. J’entends grincer le bois de l’escalier menant jusqu’au grenier… il approche. Il est juste là !
Pris d’une soudaine panique, je manque de tomber à plat, livide, en entendant Tenshi répondre à son mari qui nous cherche que nous sommes là, tous les deux. Son assurance et sa franchise me surprennent et je la regarde avec de grands yeux. Quand bien même elle lui ment, elle vient de révéler à Itake notre position exacte… et il se pourrait bien qu’il nous rejoigne dans l’instant. Quelle horreur. À quoi joue t-elle ? Avait-elle envie de pousser le vice jusque-là ? Avait-elle envie qu’Itake nous surprenne ?

« T-Tenshi ? »

Mais à peine ai-je le temps d’avoir peur que ces pensées s’évaporent, éclatant telle une bulle au-dessus de ma tête. Resté en bas, Itake s’excuse platement de devoir nous abandonner. Son travail passant avant tout -avant Tenshi visiblement, devait-elle se dire-, le voilà qui doit remettre à plus tard notre soirée ensemble, pour passer la nuit à son cabinet.

Silencieusement, je souffle, alors que la pression redescend.
Je ne peux m’empêcher d’avoir une pensée émue pour cette splendide jeune femme que son mari délaisse ainsi… mais vu comme elle a décidé de pallier à ce problème, je ne peux non plus empêcher un sourire de se dessiner sur mes lèvres.

Nous avons la maison toute entière pour nous, toute la nuit… et n’aurons plus, DU TOUT, besoin de nous retenir. Et ça, vu comme nos préliminaires ont échauffés nos esprits, c’est une très bonne nouvelle. En remerciement pour ses bons traitements, j’avais déjà en tête de lui donner le meilleur de moi-même. Je savais désormais que j’allais pouvoir le faire sans me priver, et la faire hurler à la mort, ma bite plantée si profondément dans son cul que celui qui arriverait à la retirer de là se ferait appeler « Roi Arthur ».

Alors que nous restons un moment sans bouger, à tendre l’oreille pour nous assurer qu’Itake est bien parti, je ne peux qu’appréhender la suite avec un brin d’impatience. Mon imagination fait parfaitement le travail, aidée par la vue que j’ai sur ces belles courbes et mon sexe reste raide, bien au garde-à-vous pour sa nouvelle maîtresse, qui semble tant aimer lui donner des caresses.

« Hm hmmm… J’en ai très envie. »

À sa demande, je l’attends, alors qu’elle disparaît quelques minutes.
J’ignore ce qu’elle fait, mais maintenant que je commence à cerner un peu son penchant pour le cul, je me fais sage et patient, la bite gonflée à bloc.

« Putain… »

Mais quand bien même j’aurais dû m’y attendre, la voir apparaître dans l’encadrement de la porte, vêtue de sa robe de mariée, celle dans laquelle elle a jurée fidélité à son mari, ses deux énormes pastèques à l’air, couvertes de mon sperme, me fait écarquiller les yeux.
Mon sexe fait même un bond, comme s’il avait encore gagné du volume face à un truc pareil.

Lentement, je me lève, sans jamais la quitter des yeux, et je m’approche d’elle. Me mordant la lèvre inférieure sous le coup de l’excitation, je la fait se retourner pour bien la regarder sous toutes les coutures, et viens remonter sa robe sur l’arrière, pour attraper son gros cul d’une main ferme, le faisant claquer.

Un véritable bubble butt, pour les connaisseurs. On voit pas ça si souvent.

« Je l’adore, tu veux dire. Waw. C’est là-dedans que tu lui a dit oui ? Raconte-moi, j’suis sûr que tu t’es pas tapé que lui, ce jour-là. Tu l’as fait avec qui, son témoin ? Ses amis ? »

Malaxant sa grosse fesse, je viens de nouveau coller mon chibre tout contre sa raie, la poussant à avancer vers le couloir de l’étage.

« Et si… on allait rejouer tout ça dans sa chambre ? Tu pourrais mettre ton téléphone dans un coin et me parler un peu de ce jour-là, de lui, pendant que j’encule sa femme, comme si c’était le jour de son mariage… »

Lui donnant une nouvelle fessée, je continue, sans doute un peu trop pris dans mon délire. M’approchant de son oreille, je murmure :

« … si tu penses pouvoir l’encaisser dans l’cul, bien sûr. Après manger, pour le dessert… »

6
Comment se faisait-il que ce joli brin de femme, semblant d’apparence  si bien sous tous rapports et marié depuis si longtemps, puisse être finalement si experte de la chose, quand son époux demeurait si souvent aux absents ?

Profitant pleinement de la meilleure pipe de ma vie, que me taillait sans aucune honte la femme d’Itake, qui travaillait quelques mètres plus bas, j’en finissais par me demander quel pouvait bien être le secret de ma plantureuse voisine. Avait-elle eu une carrière dans le porno, ou quelque chose comme ça ? Ce n’était plus seulement une question d’avoir ou non des amants… Tenshi, elle, était une véritable machine en matière de sexe.

Je ne l’avais pas encore baisée que je le savais déjà : en plus d’être foutrement bonne, c’était sûrement aussi un super coup.

Sans plus jamais se retenir, elle se déchaînait même, me parlant crûment, sans doute bien consciente que cela m’excitait. Je n’avais pas arrêté une seule seconde de durcir alors qu’elle me bouffait les couilles comme une pro payée pour ça. Sa technique était impeccable… bandante et plus que plaisante.

« Haa… hin hin ? Une fois suffira carrément pas… c’est sûr. J’veux que tu enfiles ta robe de mariée… Te sauter à la place d’Itake. Et je m’arrêterai pas avant que t’en aies assez. »

Me faisant bien comprendre comme elle était déterminée à me faire jouir, ma formidable suceuse ralentit la cadence, l’air lubrique, pour me faire de nouveau profiter de sa prodigieuse poitrine.
Ses deux gros nibards enserrant ma queue comme dans un étau, alors même que celle-ci commençait à palpiter, je me rassois bien, me mets à l’aise. Je la fixe du regard, m’arrête parfois sur son reflet, vu de dos, dans le miroir… je bande comme c’est pas permis, à en avoir mal…

« oooh… putain c’qu’ils sont gros. J’suis sûr que ça te plaît, ça. Tu dois adorer faire bander les mecs, dans ces décolletés que tu mets tous les jours. Savoir qu’ils ont tous envie de toi… »

Les mains de Tenshi se serrent sur ses seins, raffermissant son merveilleux étau. J’y joins les miennes, pour enfin découvrir de mes mains la douceur et tout le poids de ces grosses mamelles terriblement bandantes.

M’y cramponnant bien fort, j’entame de premiers mais déjà ultimes va-et-vient en sautillant depuis ma position. Je baise ses gros seins avec force et vigueur, tout en imposant mon énorme gland tout contre sa petite bouche délicate mais experte. Je m’enflamme, ramone comme un forcené…

« C’est c’que tu veux, h…hein ? Ouvre grand, g-goûte moi ça ! »

Pris de violents spasmes, chacun de mes muscles se contractent soudainement. Mes soupirs deviennent des râles, et mes gestes se font chaotiques… mes bourses palpitent, mon sexe gonfle…

Et tel un geyser, j’explose.
Long et très épais, le premier jet de ma semence manque d’atteindre le plafond du grenier, mais retombe finalement telle une douche jusque dans les cheveux de cette si belle femme infidèle.

Une bonne dizaine d’autres suit aussitôt, tout aussi puissants, en direction de son visage, tapissant de foutre ses deux énormes seins…

7
« HAAN ! »

Celui-ci, je ne parviens à le contenir alors que, les yeux clos, je sens ma bite se faire avaler toute entière dans la délicieuse petite bouche de Tenshi, aspirée de tout son long jusque dans sa gorge.

Du fait de ses bien trop impressionnantes, mon engin n’avait jusqu’ici jamais subi pareil traitement et de fait, de telles sensations m’étaient totalement inconnues. Quel merveilleux supplice que celui-là…
Imprimant en un anneau cinabre la marque de son rouge à lèvres jusque contre mon pubis et mes couilles, c’était là presque quarante centimètres d’un pénis bien dodu que la délicate Tenshi venait d’engloutir, comme si ces chiffres n’étaient pour elle pas un problème.

Comme si son désir et sa gourmandise naturelle annihilaient tout effort, la voilà qui s’activait à grand bruit, me bouffant la queue comme un vulgaire aspirateur, comme une trayeuse cherchant à drainer jusqu’à la dernière goutte de ma chaude semence.

Les lèvres closes, scellées pour ne pas me mettre à gueuler, je m’agrippais au cuir du canapé, tendais les jambes et me raidissais, me retenant au possible, sans jamais en oublier de profiter de toute l’intensité de ces sensations. J’étais aux anges.

« C’que t’es douée… Merde. »

Mais si bien que je met du coeur à l’ouvrage pour rester concentré, le bruit des derniers boutons de son chemisier qu’elle ouvre soudain me ramène à la réalité. J’ai toujours eu trop envie de les voir pour manquer un spectacle pareil.

Je rouvre alors les yeux et contemple ses deux gigantesques seins, qu’elle fait retomber lourdement devant moi.
Ces énormes monts de chair sur lesquels j’avais tant fantasmé me frôlent puis… après de nouvelles embrassades, enserrent mon mât pour lui fournir le plus beau des écrins. Une envie soudaine me vient d’immortaliser cet instant par une photo, mais je n’ose pas. Je me fais au moins la promesse d’enregistrer cette formidable vision dans mon esprit, pour ne jamais l’oublier.

« Haa… t-tu vas m’faire jouir si tu continues comme ça. C’est trop… hmmm… »

J’ai beau insinuer par là que je veux ralentir un peu le jeu, pour ne pas lui crépir la face de mon foutre dans l’instant, un petit regret se fait toutefois sentir, dès lors que ma queue quitte ses gros seins, la seconde suivante.
Ils sont si beaux, si gros… Je meurs d’envie de nous filmer, pendant que j’éjacule dessus.

Mais bien vite elle se plie encore, baisse la tête pour gober mes boules entre ses lèvres.
L’une de ses mains s’active toutefois toujours, glissant, frottant mon vît comme on armerait un fusil à pompe. Lubrique et vorace, elle ne s’arrête pas un seul instant. On croirait regarder un porno.
Seulement là, il n’y a pas de cut, ni de prises… tout se fait en une fois. Je peine à me retenir.

Mes gémissements se multiplient.
Je me contorsionne un peu et attrape ses cheveux entre mes doigts pour la prendre en queue de cheval.
Je la guide, la force à ralentir un peu alors qu’elle léchouille toujours ma grosse lance bien dure.

Je suis sur le point de lui en mettre plein la face.
Ce n’est qu’une question de secondes maintenant.

8
Je crois bien que j’avais fini par faire plus que seulement accepter l’idée de cocufier monsieur Kazama, mon voisin. Brûlant de désir, celle-ci avait rapidement fait son chemin dans ma tête… et me plaisait désormais.

Comme je n’avais pas manqué de fantasmer sur sa femme durant des mois, alors qu’il m’était parfois arrivé de la surprendre en petite tenue depuis ma fenêtre, on ne pourrait dire que mon désir pour Tenshi datait d’hier. En fait, ce qui se jouait maintenant entre elle et moi n’était finalement rien d’autre que le point culminant de ces mois passés à envier son corps.

Et le fait qu’elle s’offre à moi ainsi ne me rendait que plus fou d’elle, alors qu’elle me laissait enfin l’occasion d’exploser en elle.

Avec un déhanché pareil, j’aurais pu la suivre où elle voulait… et lui faire tout ce qu’elle me demanderait de lui faire.
Et c’est d’ailleurs ce que je fis.

Mené comme à la baguette, et impatient, je la suivis sans broncher quand elle me dit penser à un endroit où laisser libre cours à sa grosse envie de bite. Derrière elle, tiré par le col de ma chemise, je grimpais marche après marche les escaliers nous menant à l’étage, sans jamais arrêter, ne serait-ce qu’un peu, de gratifier son gros cul de mes caresses.

Il m’obnubilait vraiment et j’avais hâte de le faire mien. Ou plutôt, de le voler à Itake.
Je n’en revenais toujours pas, d’ailleurs : comment un type tel que lui avait bien pu se dégoter une fille pareille ? Pire encore : comment pouvait-il la délaisser ?

Un vrai mystère.

Lui adressant un air joueur, presque de défi, je me laisse pousser sur le large canapé, qui trône dans cette espèce de grenier que nous avions rejoint discrètement, en gloussant comme des mômes sur le point de faire une bêtise.

Je soupire d’aise en me laissant monter dessus, tandis qu’elle fait voler son string je ne sais où dans la pièce, d’un geste habile. Je la serre tout contre moi quand elle se colle, se frotte, reprend possession de son cul entre mes mains baladeuses…

« Ce soir, ton mari : c’est moi. »

Gourmand, je m’apprête à déposer un baiser sur l’un de ses gros seins, qui menace de se faire la malle de son haut provocant… mais Tenshi ne m’en laisse pas le temps.
Rapidement, avide, elle glisse tout contre moi et tombe à genoux entre mes jambes, face au canapé. La boucle de ma ceinture saute plus vite encore, ses dents se posent sur l’élastique de mon pantalon.

« Ooouh… ouais… »

Sa langue passe sur les contours de ma grosse bosse, puis, avec une dextérité digne d’une professionnelle du métier, elle la découvre doucement, à la seule force de sa petite bouche fardée de rouge à lèvres.

Après un énième coup sec, mon engin s’extirpe enfin d’un bond de sa prison de tissu. Dressée sur plus d’une trentaine de centimètres, l’épaisse colonne bondit, toute raide, pour frapper d’un petit coup le visage de la rouquine. Enfin libéré, je soupire…

« Haaa… putain. Alors ? Qu’est-ce que tu en penses ? Le repas de ce soir. Est-ce que sa saucisse convient à Madame ? »

Lui assénant un nouveau sourire taquin, j’écarte bien les jambes pour lui laisser tout le loisir de s’amuser avec moi comme j’ai pu le faire avec elle dans la cuisine.

Ma récompense ne tarde pas… et m’arrache un nouveau soupir.
Sa belle langue défile longuement le long de ma grosse veine, et marque mon sexe de son rouge, comme de sa salive.
Plus impressionnant encore : la belle parvient même à ouvrir la bouche assez grand pour y loger mon gland, pourtant si large.

Le poing serré, je manque de mordre dedans pour me retenir de gémir bruyamment. La sensation est délicieuse, et bien trop rare pour moi, quand la majeure partie de mes partenaires n’arrive pas à en faire tant.

Alors qu’elle se met à pomper sa grosse friandise, je la regarde droit dans les yeux, tentant toujours de couvrir mes soupirs.

« ooh… merde. MMmmh… mmh, j’adore ça. Putain. Ce soir j’te pète le cul, toi, tu vas voir. »

Quelle femme.
Manquerait plus qu’elle avale.

9
Dévoilant ses surprenantes intentions de façon si soudaine, la douce et aimante femme au foyer que je pensais pourtant connaître -au moins un peu- se révélait d’un coup d’un seul plus entreprenante et… très portée sur la chose.

M’étais-je à peine approché qu’elle m’attrapait sur le col pour m’offrir un baiser envieux et langoureux, passionné. Se trémoussant ainsi, le cul à l’air, quémandant presque mon attention, j’en venais à penser qu’elle n’était pas seulement excitée à l’idée de coucher avec un autre homme que son mari, mais qu’elle l’était surtout à l’idée de le faire en sachant qu’il se trouvait à côté.

C’était une idée terrible… et j’aurais pu ne pas en être fier… mais face à ces airs qu’elle prenait pour m’aguicher, face à ce gros cul qu’elle me tendait comme une offrande, je n’aurais su faire comme si de rien n’était.

Le pantalon tendu tel un chapiteau, je résistais cependant à ma furieuse envie de me défaire de ma ceinture pour lui présenter mon énorme gourdin. Cela, j’avais bien trop envie de la laisser faire… trépignant déjà intérieurement à l’idée de la sentir me prendre entre ses doigts, pour me gâter de quelques commentaires sans doute salaces à propos de mes mensurations plus monstrueuses que généreuses.

Préférant faire monter la pression, maintenant que je m’étais résolu à profiter d’elle et ce malgré le caractère adultérin de notre relation, je restais ainsi, bien sage, même avec ces tiraillements qui tenaillaient mon bas-ventre palpitant. La tête enfoncée dans sa belle raie du cul, les mains enfoncées dans sa chair si tendre, je pétrissais ses grosses fesses, les baisais sans retenue en les embrassant de partout.

Je couvrais son postérieur de toute mon attention, lui faisait profiter de toute mon envie, que je lui témoignais au biais de ma bouche aventureuse.

« Mmmh… Mh… je vais te bouffer le cul. »

Faisant de Tenshi le plat principal du dîner de ce soir, comme elle venait elle-même de me le demander, je laissais ma langue chatouiller sa petite chatte étroite, garnissais sa fine toison rousse de grands coups de langue  et la couvrais déjà de salive.
La dévorant littéralement, je me délectais du goût de son petit sexe, forçais pour plonger ma langue entre ses chairs alors que je l’ouvrais de deux de mes doigts, dont je me servais pour la pénétrer lentement.

Je me régalais.

« Je vais prendre bien soin de toi… Madame Kazama. »

Alors qu’elle écartait bien grand les jambes pour faciliter ma quête de son plaisir, je me plaisais à l’entendre couvrir de premiers gémissements, m’en satisfaisais bien et en finissais même plus excité encore.

Motivé par tous ces petits bruits coquins, comme par sa surabondance de mouille, la rendant déjà si chaude et accueillante, je redoublais d’efforts, entamait en elle des va-et-vient toujours plus rapides et intenses du bout de deux de mes gros doigts… puis trois, en astiquant son clitoris avec le pouce.

Je devrais me méfier, alors que son homme est là, juste à côté, mais je n’y parviens pas, trop emporté que je suis quand elle s’adresse à moi comme ça…

« Elle est plus grosse que la sienne, tu crois ? »

Bien que j’étais convaincu d’avoir déjà ma réponse, j’avais bien envie de jouer à ce petit jeu avec elle, puisqu’il semblait l’exciter.

Finissant par me relever, mes doigts toujours en elle, je ralentissais toutefois, essoufflé à force de la bouffer ainsi et préoccupé par l’énorme saucisse qui tressautait d’envie dans mon pantalon en lin.

« Tu penses qu’on peut retourner sur le canapé ou… dans la chambre, pour vérifier ça ensemble ? J’ai très envie que tu me fasses du bien aussi. »

J’ignorais bien quelle était la pièce de la maison dans laquelle nous pourrions être le plus « tranquilles » et loin du bureau d’Itake. Peut-être devrions-nous rester ici, pour l’entendre si jamais il finissait par remonter. Peut-être devrions-nous aussi éviter de totalement nous dévêtir, s’il venait à nous rejoindre en hâte… mais j’avais quand même furieusement envie de me taper sa femme. Je voulais voir ses seins, les sucer… Je voulais qu’on se tripote, qu’elle me caresse la queue.

Attrapant l’une de ses mains, je l’attirais avec moi vers le salon, pour que l’on continue à jouer.


10
Puisqu’elle devait passer le plus clair de son temps seule dans cette grande maison, tandis que son mari était toujours par monts et par vaux, je n’aurais pas été surpris d’apprendre que la sublime Tenshi Kazama avait un amant, ou deux. Belle comme elle était, pour ne pas choisir un autre adjectif moins flatteur, elle n’aurait eu, c’est sûr, aucun mal à se trouver quelqu’un.

Je ne m’attendais cependant pas à ce que ce quelqu’un puisse être moi et encore moins alors que son mari n’était qu’à quelques mètres de là. Qu’elle puisse se sentir délaissée en l’absence de son mari est une chose… vouloir le tromper alors qu’il est à côté, c’en est une autre. Tenshi n’était donc pas seulement une femme délaissée : elle était également insatisfaite.

« Mmmmh… »

Venant de m’annoncer très clairement ce dont elle avait envie là maintenant, la belle rousse s’était d’un coup faite pressante et très directe. S’étendant en avant comme l’aurait fait un félin, avec grâce, mais sans aucune pudeur toutefois, elle en venait à écraser son buste tout contre le comptoir de la cuisine… et se mettait à onduler des hanches.

Son cul appuyant fort contre mes hanches, elle frottait ma grosse bite tout contre sa raie. Bien vite, elle fit remonter sa jupe, découvrant le bas de son corps comme pour rendre plus explicite sa requête… des fois qu’il reste comme un doute. Voilà un spectacle inattendu… mais bigrement torride.

Incapable de bouger, je jetait des coups d’œil à droite à gauche, priant pour que son mari ne remonte pas de son bureau pour nous surprendre dans une telle position.

« Oh… j-je… waw. Je pense pas qu’on devrait… »

C’était la réponse la plus attendue, la plus normale qui soit dans une situation comme celle-ci, avais-je supposé. Seulement, quand bien même je venais de prononcer ces mots, il restait dur… très dur, de résister à une telle proposition. La vue que m’offrait Tenshi sur son corps était sans pareille… à couper le souffle… et à réveiller les morts.

Ainsi frictionné entre ses deux grosses fesses moelleuses et chaudes, il ne fallut évidemment pas longtemps à mon sexe pour se mettre à raidir et à gonfler, jusqu’à doubler de volume.

À l’étroit dans mon pantalon, tout contre son gros cul, j’aurais eu du mal à lui faire croire qu’elle ne m’intéressait pas.
La situation était tellement… bizarre, tellement soudaine, qu’il me fallut tenter de détendre cette atmosphère si chargée, en cherchant à blaguer.

« Cela dit… si c’est comme ça, alors je vous offrirai des fleurs plus souvent. »

Je lui adressais un sourire amusé alors qu’elle s’était tournée vers moi, sexy et soumise, ne demandant qu’à se faire sauter par derrière sur ce comptoir… mais ce n’était pas pour autant comme si je me refusais à elle. Je crois bien que j’avais envie de le faire, parce ç’aurait été la bonne chose à faire sans doute… mais à la voir comme ça… comment ne pas sauter sur pareille occasion ?

Bandant comme un taureau sous mon pantalon, la queue posée sur son gros cul jusque dans le milieu de son dos, je me mis à me frotter à elle à mon tour, tamponnant ses fesses en douceur, comme pour mimer la levrette qu’elle devait espérer.

Arquant le dos, je me penchais au-dessus d’elle, une main sur le comptoir, et dégageait une mèche de son oreille pour murmurer.

« J’en ai très envie aussi. Mais… et votre mari ? »

Déposant un baiser dans son cou, je me mis à y souffler chaudement, alors que j’imposais plus encore ma massive érection tout contre son gros postérieur. Je venais je crois, d’accepter ses avances, mais le plus dur restait encore à venir… nous retenir assez pour ne pas éveiller les soupçons d’Itake qui travaillait en bas.

Résolu à prendre du plaisir, mais à en donner surtout, l’une de mes mains vint enfin se poser sur le cul de Tenshi, l’attrapant fermement.

Comme si je venais de mettre la main sur l’un des plus beaux trésors que compte cette planète, je me mis à masser langoureusement sa grosse fesse, traçant de grands cercles dessus, la pétrissant avec envie.

« S’il ne vous satisfait pas comme il faut… alors je vais le faire. Assumer la charge de ses devoirs conjugaux… à la place de votre mari. »

Penché plus encore, je déposais mes lèvres au coin de siennes, puis m’écarta à peine pour me mettre à genoux derrière elle, le visage face à cet énorme cul que la plantureuse femme au foyer ondulait toujours.

« Votre cul est parfait… »

Humant la douce odeur de fraise émanant d’entre ses cuisses, j’en vins à me mordre les lèvres d’envie.

Attrapant son gros cul, j’enfonçais ma tête contre sa raie et me mettais à couvrir son postérieur de baisers, de coups de langues envieux.

Et, tirant doucement sur la ficelle de son string, je découvrais enfin son sexe. Sortant ma langue de ma bouche, je lui assénais alors une grande léchouille du bas vers le haut… puis recommençais, m’apprêtant à brouter sa belle petite chatte.

11
Ayant réussi à esquiver le regard inquisiteur de monsieur Kazama -à qui je donnerai bien raison d’être aussi jaloux-, je me satisfais amplement de ce sourire que m’offre sa femme à la vue des fleurs que je lui tend. Je ne m’attendais à rien en retour de ce cadeau toutefois, j’avoue avoir été traversé par un bien drôle sentiment en la sachant touchée par mon attention.

Puisque je savais son mari souvent absent, je me doutais bien que Tenshi devait parfois se sentir délaissée. Aussi, quand bien même je ne cherchais pas le moins du monde à faire de la concurrence à Itake, je me trouvais bien content d’être celui de nous deux à lui faire plaisir ce soir.

Par-dessus la table, elle m’adressa un baiser chaleureux, plus appuyé encore que le précédent, même si elle n’eût pas à se coller à moi cette fois… et fut bien vite remise à sa place par son mari, qui lui jeta un regard fermé et autoritaire.

Elle se recula et je fis vite de même pour ne pas froisser mon hôte, me rasseyant dans le canapé.

« Ça me fait plaisir. Je suis content qu’elles vous plaisent. J’avais pensé trouver quelque chose pour décorer votre maison mais… comme je n’étais pas entré jusqu’ici, je ne savais pas trop ce qui s’accorderait bien à vos murs ou… ou bien ce qui pourrait vous manquer ici. »

Reprenant cette conversation qu’il cherchait encore à monopoliser là où elle s’était arrêtée, le maître de maison sembla vite s’emporter, comme à son habitude dès lors qu’il se mettait à parler de son métier. Son air autoritaire disparut en un éclair, remplacé par son habituelle passion. Perdu dans ses pensées alors qu’il m’expliquait des choses que j’avais encore bien du mal à comprendre, je crois bien qu’il ne prêta pas la moindre attention à ce que j’eus sous les yeux les secondes qui suivirent.

Je ne crois pas non plus qu’il remarqua que je ne le regardais plus lui… mais le cul de sa femme. Je me mordis fort les lèvres pour ne rien dire, ni même pousser un soupir.

À moins d’un mètre de moi, face au petit meuble qui collait au bout du canapé sur lequel j’étais assis, se tenait Tenshi, à genoux, en train de farfouiller à la recherche d’un vase dans lequel mettre ses roses. Ses fesses, bien trop larges pour une si petite jupe, et dans une telle position surtout, débordaient par le bas du petit vêtement… pour le plus grand plaisir d’yeux curieux tels que les miens.

J’ignorais quelle intense pratique sportive l’avait façonnée ainsi, mais merde : quel beau cul ! Quel énooooooorme boule ! De partout, la belle miss Kazama semblait taillée comme une déesse. Appuyé sur ces talons aiguilles qui rendaient la jeune femme plus sexy encore, son pétard dodu et rebondi à souhait ondulait très légèrement de gauche à droite, en un léger mouvement de balancier dû à l’intensité de ces recherches qu’elle menait. Putain qu’elle était bonne dans son petit string…

Ça va sans dire, j’eus bien du mal à reprendre le fil de la conversation après ça.
Me tournant vers Itake, je me contenta d’acquiescer, comme si j’avais tout écouté et compris de ce qu’il avait bien pu me dire pendant que je reluquais sa femme, avant qu’elle ne nous quitte pour rejoindre la cuisine.

Le téléphone du mari se mettant à sonner, je me fis tout petit dès lors que j’entendis le ton monter. Monsieur Kazama parlait boulot et n’avait vraiment pas l’air content… Discrètement, j’observais alors Tenshi, affairée par-dessus le comptoir et attendais patiemment, un peu gêné.

Bien vite, l’air plus furieux qu’agacé, l’avocat raccroche pour nous annoncer, à sa femme comme à moi, qu’il doit prendre congé et s’absenter un moment, pour travailler… encore. Précipitamment, je me lève.

« Je vous en prie, ce n’est pas grave. On peut remettre ça à un autre jour si vous voulez ? Ça ne me gêne pas. »

M’invitant à rester malgré tout, vu le mal que sa femme s’est donnée pour tout préparer, Itake m’adresse une nouvelle tape amicale sur l’épaule, avant de prendre la direction des escaliers menant à son grand bureau, installé au sous-sol.

Alors que me voilà debout, seul, en plein milieu du salon, j’acquiesce et obtempère sans problème quand la belle madame Kazama m’appelle pour me demander de l’aide en cuisine.

« Oui, bien sûr, avec plaisir. J’arrive. »

Adressant un nouveau sourire à la jeune femme, je me décide à la rejoindre, sans manquer de la reluquer un peu, tandis qu’elle se cambre si bien, sur le côté de ce comptoir, qui délimite la cuisine ouverte de la partie salon.

Je rentre mon ventre, pour passer entre elle et le mur dans mon dos… mais elle recule. Je baisse les yeux et contemple alors son gros cul, qui bouge et rebondit doucement tout en tamponnant mon bas ventre.

Me voilà coincé entre elle et le mur, à sentir cette grosse bosse molle, qui court de mon pubis jusqu’à mi-cuisse, écarter ses fesses dodues pour que la forme de mon sexe s’imprime dans sa raie. Ce n’est pas non plus comme si elle s’appuyait vraiment tout contre moi… mais c’est déjà bien pour m’empêcher de bouger.

Si je me déplaçais, elle pourrait penser que je cherche délibérément à me frotter à elle.
Évidemment que ça me fait envie. Mais quand même !

Raclant ma gorge doucement, pour que ne pas que cela sorte de la cuisine, je tente de rentrer mon ventre encore un peu.

« Pardon. Il va juste falloir que je passe… »

Et ce serait bien que je passe vite, avant de me mettre à bander comme un âne.

12
Je suppose qu’Itake m’attendait de pied ferme. Aussitôt avais-je appuyé sur la sonnette que monsieur Kazama en personne était venu m’ouvrir, visiblement très heureux de me revoir après des semaines passées à l’étranger.

Heureux également, je lui adressais bien sûr un sourire franc, mais allez savoir pourquoi, je demeurais un peu déçu. Pour je ne sais quelle raison, je crois bien que c’est sa femme que je m’attendais à voir sur le seuil de cette porte. Dans la journée, je m’étais même perdu un moment à me demander comment elle serait habillée ce soir.

Cette petite mais ridicule déception m’étant passée, je ne manquais pas de remettre à mon voisin la bouteille de scotch que j’avais achetée pour lui, tant pour le remercier de son invitation que pour m’avoir prêté ce livre, que je m’empressais également de lui rendre.

Je me débarrassais rapidement de mes chaussures et de mon veston de costume, pour prendre la suite de mon hôte, seulement vêtu désormais que d’une chemise de soie sombre et d’un pantalon de tissu fin, de couleur blanc, retenu solidement sur mes hanches par une ceinture de cuir ornée d’une belle boucle en argent, mais sous lequel je ne portais rien, puisqu’il m’était impossible de trouver un dessous « à ma taille ». Je m’étais évidemment douté que l’on pourrait aisément voir à travers mais ne m’en étais pas vraiment inquiété. Il faudrait pour cela de sacrés jeux de lumières et de mauvais concours de circonstances tout de même.

Suivant monsieur Kazama jusqu’au salon, je détaille de mes yeux ces pièces et ensembles de pièces que l’on traverse, sans lui cacher un seul instant comme je suis impressionné. J’étais allé dans son bureau une fois, mais jusqu’ici, jamais n’avais-je eu l’occasion de faire le tour du propriétaire. Si d’extérieur le petit pavillon ne payait pas de mine, force est de constater que l’intérieur, lui, était richement décoré… et avec goût de surcroît. Tenshi devait passer des heures et des heures à tout bien astiquer chaque jour, il n’y avait pas la moindre poussière nulle part.

Quand on parle d’elle, d’ailleurs…

Je faillis sursauter, n’ayant pas vue la maîtresse de maison sortir de l’espace de cuisine ouverte pour nous rejoindre. Madame Kazama m’apparut ainsi d’un coup et je me tendis comme un fil, surpris que j’étais de la voir débouler comme ça. Et dans pareille tenue !
Je savais Itake très fier de sa femme et particulièrement confiant mais pas au point de la laisser m’accueillir avec un tel décolleté sans rien dire.

La belle et grande rousse avait quand même fait fort : une petite jupe noire, particulièrement courte, moulait ses larges hanches et, enfoncée sous celle-ci, Tenshi ne portait en guise de haut qu’un joli chemisier blanc… qu’elle n’avait toutefois pas fermé. Enfin, seul un ou deux boutons l’étaient, juste au-dessus de son ventre. Le reste du vêtement restait quant à lui grand ouvert, dévoilant plus qu’il n’en fallait de ces deux énormes lolos, d’une taille et d’une rondeur tout à fait inédites.

Puisque j’en voyais tant, en l’espace d’une seconde à peine, sachez qu’il paraissait tout aussi évident que l’hôtesse de maison ne portait rien non plus sous sa petite chemise.

Mes joues se fardant de rouge dès que je l’aperçus, je fis de mon mieux pour la regarder dans les yeux… et dans les yeux seulement, alors qu’elle s’approchait déjà d’un pas, le sourire aux lèvres.

« Oh… Madame Kazama, bonsoir. »

Et, sans me laisser un instant de répit, ma délicieuse voisine mariée s’empressa de presser son corps tout contre le mien pour glisser ses lèvres sur ma joue… tout comme elle l’avait déjà fait une fois, quatre mois auparavant.
À travers la soie de ma chemise, je pus sentir ses deux gros seins contre mon corps. Mon dieu ce qu’ils sont lourds…

C’est impressionnant… et, magnifique, du point de vue d’un amateur de belles poitrines tel que moi. Elle devait faire un bonnet G… ou même H, quelque chose comme ça. Je n’osais pas essayer de l’imaginer maintenant mais, wow… quel spectacle ce devait être.

« Wow. Vous… êtes ravissante ce soir. »

Me sentant attendu par Itake, son mari, je reprenais le fil de mes pensées aussi vite que je l’avais perdu et m’écartais de Tenshi pour suivre le couple jusqu’à l’endroit où nous devions prendre l’apéritif tous ensemble. Troublé, j’en avais même oublié d’offrir mon bouquet de roses à mon hôte de ce soir. C’est dire.

Cela ne m’empêcha évidemment pas de lui répondre alors que je prenais place face aux Kazama, sur ce grand canapé de cuir beige, devant leur grande table basse.

« (…) Mon mari n’arrête pas de me parler de vous. »

« Ah oui ? En bien j’espère. Oui, à vrai dire, ça fait un moment que je voulais vous inviter à dîner à la maison, avec la permission de votre mari bien sûr... pour que l'on puisse faire connaissance. Mais vous aviez l'air occupée, je ne voulais pas vous déranger. »

Esquissant un sourire, je me mettais à mon aise, les jambes grandes écartées, le dos vers l’arrière.
Réfléchissant un instant, je fis mine de compter sur mes doigts. C’est vrai que ça commençait à faire un moment que je vivais ici. Je ne m’en étais même pas rendu compte.

« Si je ne dis pas de bêtises, ça va bientôt faire cinq ans. Oui c’est ça, ça fera cinq ans cet été. Quand j’ai acheté la maison, le parc n’était pas aussi fréquenté qu’aujourd’hui. C’était très calme… j’avais l’impression d’avoir un jardin gigantesque pour moi tout seul. C’était sympa. »

Tenshi se pencha un tout petit peu vers l’avant pour me tendre un plat et je me servis en lui adressant un sourire…

« Merci. »

…avant de remarquer une fois de plus son décolleté béant… sa grosse poitrine tout simplement parfaite, qui ballotait au rythme de ses mouvements.

D’un mouvement vif, je me tournais vers monsieur Kazama, de peur qu’il pense que j’étais en train de mater son épouse.

« Haha, oui… oui je comprends. J’imagine aussi que ce n’est pas un métier facile. Ça ne doit pas être évident pour vous, au jour le jour. Au moins, vous pouvez être rassuré, c’est une formidable épouse que vous avez. Vous savez, je la vois souvent depuis ma fenêtre le matin. Même très tôt… tous les jours, elle s’occupe de tout. Enfin ça en a l’air. C’est quelqu’un de responsable en qui vous pouvez avoir confiance… ça saute aux yeux. »

M’étant peut-être un peu trop étendu sur le canapé, je remarquais alors comme il était facile de voir comme était grosse la bosse se dessinant sous mon pantalon de lin. Je n’avais pas le moindre début d’érection, non, toutefois, même ainsi, une si grosse chose dans un pantalon si fin… ça se voyait. Avec une vue pareille sur les lolos de Tenshi, il était fort probable que je finisse par me faire remarquer, si je restais ainsi…

Aussi, décidais-je de me redresser, croisant une jambe par-dessus l’autre.

Ma position ayant changé, je pus voir, une seconde à peine, entre les larges cuisses de celle qui me faisait face ce soir, sous sa si provocante mini-jupe noire… Une fois de plus, je me dépêcha de regarder ailleurs, mais cette seule seconde avait suffi. Pour l’avoir déjà vu pendre dehors, sur son fil à linge, je savais très bien quel string la sulfureuse bombe portait ce soir…

Ç’en était trop !
Une fois de plus, voilà que je me mis à rougir. J’eus peur que monsieur Kazama vienne me demander pourquoi.

Bien vite, je trouvais une parade pour expliquer ma gêne.
Me tournant sur ma droite, je me saisissais enfin du somptueux bouquet de roses que j’avais oublié d’offrir et le tendais à Tenshi, par-dessus la table.

« Oh, excusez-moi, j’ai failli oublier. Madame Kazama… c’est pour vous. J’espère qu’elles vous plairont. »

Le bouquet passant un bref instant à hauteur de ma tête, je pus respirer une courte seconde en sachant qu’Itake ne pourrait me voir, alors que la gravité attirait irrémédiablement mon regard sur les beaux et gros nibards de sa femme.

Bien sûr, je fis au mieux pour rester discret pour ne pas, non plus, me faire remarquer par l’intéressée elle-même.

Des roses rouges. Symbole de passion et de sensualité.
Je ne l’avais pas fait exprès, mais que voilà des fleurs qui lui convenaient bien…

13
Voilà enfin que le printemps revient. Il était temps.

Assis sur le large canapé du bow window (ou fenêtre arquée) au premier étage de chez moi, à moitié adossé tout contre la fenêtre, je lis un peu, comme je le fais tous les matins, très tôt, tout en sirotant mon café.

Comme souvent, mon regard se perd parfois ailleurs et je débranche totalement, l’espace de quelques secondes à peine, pour regarder dehors. Ainsi je remarque aujourd’hui que, s’il fait bien beau, et déjà chaud pour la saison, un petit vent se lève toutefois. De nombreux pétales colorés qui volent ça et là attirent mon regard et, curieux, je les suis, alors que les voilà qui défilent par-dessus la petite clôture de bois qui sépare mon jardin de celui des Kazama, mes voisins.

Sur leur fil à linge sont étendus chemises blanches, pantalons et vestes de costumes en grand nombre. Il n’y a pas de doute à avoir, Monsieur Kazama est rentré. Non pas que j’en doutais vraiment, puisque je suis invité à me joindre à lui pour le dîner de ce soir, mais on ne sait jamais. En grand ténor du barreau qu’il est, il est un homme occupé et ainsi, il nous est déjà arrivé de devoir reporter de telles entrevues.

Voilà bien un an, peut-être deux, que le couple s’est installé dans la grande maison jouxtant la mienne et pourtant, je ne l’ai croisé, lui, que bien peu souvent. De ce que j’en savais, son travail était tel qu’il lui fallait se déplacer à l’étranger fréquemment.

Nous nous étions entrevus une ou deux fois dehors, en sortant de nos maisons au même moment, par le plus grand des hasards, puis avions fini par nous recroiser, tout aussi hasardeusement, dans le grand parc bordant notre quartier alors que lui allait courir, très tôt le matin, avant de partir travailler. Cela étant arrivé plus d’une fois en un court laps de temps, j’avais fini par me joindre à lui et m’étais ainsi mis à courir quotidiennement, au moins pendant quelques semaines.

Comme il était d’un naturel a priori calme et tranquille et qu’il ne m’apparut jamais non plus comme antipathique, j’eus très vite fini par sympathiser avec Monsieur Kazama, quand bien même je ne l’avais pas vu très souvent. Puisqu’il était de bonne famille et de très bonne éducation, il était très cultivé et cela aidait. Nous discutions d’à peu près tout et rien, d’Art, de littérature, comme d’économie.

Je notais toutefois ceci : quand bien même Monsieur Kazama était un homme intelligent et renseigné sur de très nombreux sujets, les nouveautés, les plaisirs contemporains et tout ce qui touchait aux modes d’aujourd’hui semblaient hors de son domaine d’expertise.

J’en avais conclu qu’il ne devait pas sortir beaucoup, trop accaparé qu’il était par ce travail qui occupait tout son temps. S’il connaissait un peu la littérature classique par exemple, il ne savait cependant rien des romans, ou bien des films et acteurs du moment. Si il avait reconnu en moi quelqu’un capable de lui tenir la conversation, j’étais toutefois certain que jamais, ô grand jamais, il n’avait lu le moindre de mes livres. Je n’étais pas non plus sûr que ceux-ci l’auraient intéressé, d’ailleurs.

Au moins avait-il eu la gentillesse, quand je le lui avais demandé, d’éclairer ma lanterne sur quelques points épineux touchant au système juridique. Comme à mon habitude, je me souhaitais précis et pointilleux lors de l’écriture de l’un de mes livres et, fort heureusement pour moi, Monsieur Kazama accepta de prendre sur son précieux temps pour éclaircir avec moi ces points sur lesquels je butais alors.

Il y a trois ou quatre mois, en plein milieu de l’hiver, mon avocat de voisin m’avait ainsi invité, pour la toute première fois, à partager un verre avec lui, à son domicile. Nous nous étions alors installés dans son luxueux bureau et avions discuté pendant des heures, autour d’un scotch hors de prix, qu’il s’était fait une joie de partager avec moi. Animé d’une passion sans bornes alors que je ne cessais de l’interroger sur son domaine, l’expert ne tarda pas à m’ensevelir sous un flot d’informations dans lequel je faillis me noyer.

Pour m’aider un peu, il me prêta quelques-uns de ses lires, un exemplaire récent du code pénal, que je me promettais de lui rendre lors du dîner de ce soir.

Me levant un instant de mon canapé, j’allais chercher le dit exemplaire et m’en allais vite le poser dans l’entrée, juste à côté de la porte, avant de l’oublier. Ceci fait, je remontais aussitôt pour reprendre ma place, pour me remettre à lire.

Encore une fois, une baisse d’attention vint vite me cueillir. Observant les vêtements de Monsieur Kazama qui pendaient au vent, sur le fil à linge, je me remémorais un peu.

C’est lors de cette toute première visite que Monsieur Kazama me présenta Tenshi, son épouse. Bien sûr, je n’eus vraiment l’occasion de passer du temps en sa compagnie, puisque son mari et moi discutions dans son bureau mais… alors que nous nous adressions la parole pour la première fois -alors qu’elle était jusqu’ici restée très discrète, quand bien même nous vivions côte à côte-, sa présence ne put que me marquer… comme au fer rouge, pour ainsi dire.

Comment vous l’expliquer…
Puisqu’il m’était déjà arrivé de la croiser, je savais pertinemment que Monsieur Kazama était marié à une véritable beauté. J’avais remarqué comme ses courbes étaient affolantes, vertigineuses même mais… la voir de près, l’entendre et lui parler, ne serait-ce qu’un tout petit peu, m’avait fait un effet bien différent ce soir là.

Pour ne rien vous cacher, je m’étais mis à bander, quand elle était entrée dans la pièce pour nous saluer et pour se présenter à moi. J’avais eu du mal à la regarder droit dans les yeux et, lorsqu’elle vint s’approcher de moi pour embrasser ma joue, mon sang n’avait fait qu’un tour. Nous avions partagé un regard après que, j’en suis sûr, elle m’avait surpris en train de mater ses larges fesses alors qu’elle sortait pour nous laisser et… je suis presque aussi certain qu’elle avait compris, à mes gestes nerveux, qu’elle m’avait donnée une érection.

Gêné qu’on puisse penser de moi que je convoite la femme d’un autre, je n’avais pas tenté de venir à sa rencontre en l’absence de son mari. Ainsi, hormis les quelques politesses habituelles, elle et moi ne nous étions pas non plus adressé la parole depuis.

Et pourtant, sans avoir d’idée derrière la tête (enfin pas trop, j’évitais), il m’était souvent venu l’envie d’aller à sa rencontre. Parce que, pour le peu que nous nous étions parlé déjà, la jeune femme, d’à peu près mon âge, m’avait semblé très douce et sympathique, mais aussi parce qu’en plus d’habiter à deux pas de chez moi, je m’étais souvent demandé si celle-ci ne se sentait pas trop seule.

Alors oui, celle-ci semblait commander à tout va et les livreurs s’accumulaient à sa porte pour lui livrer des colis, presque chaque jour mais, en y repensant… en repensant à son mari, qui ne semblait pas aimer tant que ça sortir et s’amuser (et ça, seulement quand il n’était pas absent, en plus), voilà qu’il m’était arrivé de penser à la belle Madame Kazama. Je songeais plusieurs fois à l’inviter prendre un café, ne serait-ce que pour discuter un peu… mais à chaque fois, de peur que mes intentions soient mal interprétées, je m’étais ravisé.

Au moins gardions nous contact de vue, nous saluant d’un geste timide de la main quand nous nous apercevions. Dehors, ou depuis nos fenêtres.

Oserais-je même l’avouer ? Discrète la plupart du temps, Tenshi Kazama l’est un peu moins, quand son mari n’est pas là.
Exit les lessives en intérieur, les costumes et les cravates : quand Monsieur Kazama n’est pas là, sa femme s’en donne à coeur joie.

Évidemment, puisque notre lotissement est entouré de bois, personne ne voit rien, ou presque et seule ma maison partage un vis-à-vis avec celle du couple, mais sait-elle au moins que je les vois pendre moi, ses nuisettes, ses strings et ses guêpières de dentelle, quand elle les suspend juste sous ma fenêtre ? Voilà des dessous bien affriolants que je vois pendre là des mois durant mais qui, étrangement, disparaissent quand Monsieur Kazama est dans les parages.

Je n’accuserai personne et me tairais évidemment sur tout cela mais, se pourrait-il que la jeune femme au foyer le fasse exprès, par ennui ?
Tout comme j’avais remarqué que ses beaux dessous disparaissaient de ses lessives quotidiennes quand son mari était de retour pour quelques jours, j’avais également remarqué comme la jeune femme semblait passer plus de temps de ce côté de la maison, celui faisant face à mes fenêtres, quand son homme était absent.

Je fis évidemment semblant de rien à chaque fois que je l’eus croisée dehors pour lui dire bonjour, mais combien de fois, quand Monsieur Kazama n’était pas là, avais-je pu voir la sulfureuse rouquine astiquer le parquet, seulement vêtue d’un t-shirt et d’un string ? Ou bien faire la cuisine, couverte d’un tablier pour seul vêtement ?

Je m’étais bien retenu d’acheter une paire de jumelles pour la mater ces derniers mois mais, quand bien même cela n’était pas bien, je m’avouais, en tant qu’homme, et faible pour cela, qu’il m’était arrivé de m’en mordre les doigts de ne pas l’avoir fait.

Incapable de me concentrer, je ferme mon livre, puis m’éloigne de cette maudite fenêtre.



Le soir venu.
Il est à peine dix-neuf heures et les lampadaires bordant l’allée de maisons s’allument à peine.

Les bras chargés d’une bouteille de scotch haut de gamme achetée pour l’occasion et d’un large bouquet de roses rouges, que j’avais payées le prix fort en fin d’après-midi, je passais le petit portail de chez moi et ne faisais que quelques mètres à peine dans une direction, pour enfin passer celui de Monsieur et Madame Kazama.

Je n’avais bien sûr pas oublié l’exemplaire du code pénal qu’il fallait que je rende à son propriétaire, mais avais dû me résoudre à le mettre dans une poche du veston qui recouvrait ma chemise sombre.

Terminant tranquillement ma cigarette, le sourire aux lèvres, j’écrasais mon mégot dans l’élégant cendrier d’extérieur trônant près de la porte de la maison, puis me décida à appuyer sur la sonnette sans plus tarder.

Craignant de sentir trop fort la cigarette, je sortais de mon veston un petit flacon de parfum, et m’en aspergeais un peu le cou et les poignets. Je n’y pensais pas sur le moment, mais Madame Kazama m’avait beaucoup complimenté à son sujet, cette fois où elle m’avait fait la bise, dans le bureau de son mari. Je ne sais plus ce qu’elle m’avait dit exactement… mais je suis sûr que c’était quelque chose comme « attirant », ou bien « sexy ».

Tout cela ne me revenait pas sur l’instant, mais cela me reviendrait sans doute plus tard : Tenshi aimait beaucoup cette odeur. Vraiment beaucoup.

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Bon retour à toi  :)

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Prélude / Re : Femme au foyer Lubrique - TENSHI KAZAMA - (100%)
« le: jeudi 21 mars 2024, 17:48:17 »
Oh... Hum.

Bienvenue  ::)

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