Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Klaus

Pages: [1] 2 3 ... 7
1
Sous son offre d'aider son peuple à résister face aux humains, Klaus eut droit à un refus, un refus poli néanmoins, venant hocher la tête sous ses mots, venant ajouter durant leur marche.

" Si jamais vous changez d'avis, mon aide sera toujours votre."

Et une parole de Kroxigor était sacrée, les promesses étaient, dans leur religion, étroitement surveillée par leur déesse et son fils, pouvant déshonorer et maudire s'ils ne la tenaient pas. Par la suite de cette conversation, ils étaient arrivés à leur point de repos, en tout cas, c'est ce qu'il venait de comprendre sous ses mots, demandant alors la raison pour laquelle elle ne l'emmenait pas à son village.

Et la raison était des plus valables et des plus simples, impossible pour lui d'y aller et de s'y reposer sans causer des troubles dans leur village, et puis, il était bien trop grand pour eux et leurs habitations. Il hochait donc simplement la tête sous ses mots, comprenant tout à fait.

" Cet endroit sera parfait alors."

Dit-il en tournant son regard vers l'étang, observant les environs, prenant une grande bouffée d'air pour en humer les odeurs qui lui donneraient des informations sur son environnement. Son torse bombé par son inspiration, il put entendre la Crazille se mettre à siffler, puis, un oiseau apparut pour venir se poser sur son bras. Klaus l'observa un instant sous son lot de couleurs des plus vives, puis les observa, surpris, de les voir converser. Klaus, lu,i ne comprenait pas du tout ce qu'il pouvait lui dire, mais au moins, il eut droit à un résumé de leur conversation après cela.

D'autre Crazilles allait venir leur apporter de quoi passer la nuit, peut être y aurait il des anciens de leur peuple qui voudrait le rencontrer, sachant leur lien avec le sien et le fait que cela faisait longtemps qu'ils ne s'étaient pas rencontré. Klaus allait devoir se faire présentable se disait-il. Alors, sans plus tardé, il se dirigea vers l'étang. Il fallut une bonne dizaine de ses pas de géant pour qu'il n'y ait plus que sa tête, dépassant de l'eau, avant qu'il ne décide de disparaître sous celle-ci. Quelques secondes s'écoulèrent avant qu'il ne remonte, grognant légèrement tandis que ses paupières étaient fermées. Cela faisait longtemps qu'il ne s'était pas baigné et cela lui faisait un bien fou, ses écailles et sa peau réclamant un peu d'humidité depuis si longtemps. Il se frotta un peu sous l'eau pour se débarrasser des pellicules de kératines mortes qui pouvait rester sur lui, que ce soit dans son dos, sur ses bras ou sur son torse, puis ressorti de là sous une grande ondulation de l'étang lorsque sa masse en sortie.

Il se mit ensuite à vérifier ses ornements, que ce soient les bijoux en or ornant son bras gauche, son collier ou sa ceinture que les os et crânes de ses ennemies passé, un crâne de cobra géant du désert, celui qui lui avait valu son nom, ornait le centre de son collier, faisant la taille d'un crâne de tigre, tandis qu'à côté, plus petit, se trouvaient des crânes humains. Se trouvant maintenant présentables, les couleurs de ses écailles vivifiaient par son bain, il se mit à regarder autour de lui à nouveau pour chercher du bois pour faire un feu. Des souches ornaient le sol par endroit, mais elles étaient trop pourries, alors son regard se porta sur les arbres se tenant debout autour de lui. Il avait cherché une odeur en particulier, l'odeur de la maladie et de la mort, pour trouver l'arbre approprié qu'il pourrait abattre pour faire un feu. On pouvait facilement le voir chercher, sa gueule dressé plus haut que d'habitude, ses narines tressautant, son torse gonflant et se dégonflant par à-coups sec, emplissant peu ses poumons, mais qui suffirait à faire respirer une dizaine d'humains si ce n'est plus.

Il finit par trouver ce qu'il cherchait, marchant vers un arbre encore vert, mais qui empestait la maladie. Ses pas lourds s'arrêtèrent devant lui, l'observant, voyant son apparence toujours verte, toujours vivante, mais rongée de l'intérieur, il posa une main sur son écorce avant de tourner sa tête vers Marmelade.

" Cet arbre est très malade, souhaite-t-il continuer à vivre jusqu'au bout ou veut-il que l'on abrège sa mort lente en nous offrant son corps ?"

Il le demandait sincèrement, il savait très bien le lien profond qu'avait les crazilles avec la nature, alors s'il y avait bien quelqu'un qui pouvait lui indiquer le souhait de l'arbre, c'était eux. Quelle que soit la réponse qu'elle lui donnerait, il la respecterait, soi en l’abattant sous sa demande, soi en le laissant tranquille et allant chercher plus loin du bois mort.

2
Klaus écoutait et hochait respectueusement la tête sous les paroles de la crazille, venant la suivre. Tant de nouveautés, tant d'inconnue, d'épreuve et de solitude, cela lui faisait du bien de découvrir des gens qu'il connaissait.

Il suivit donc Marmelade sans broncher, venant à lui demander comment allait le peuple des forêt, voulant prendre de leur nouvelle, pour quand il retrouverait sont peuple, il pourrait le leur transmettre. Malheureusement, la réponse n'était pas des plus agréable à entendre, car eux aussi devaient faire face à la cupidité des humains, le faisant légèrement grogner de mécontentement, un son que peu de gens peuvent entendre, mais que l'ouïe des crazilles pouvait facilement capter.

" Mon cœur pleure de savoir cela, vos yeux sont très jolie, mais seulement sur vos visages, et, comme votre vie, n'appartiennent qu'à vous."

Les kroxigor aussi trouvaient que les yeux des crazilles étaient fascinant, mais en même temps, tout ce qui composait le peuple de la forêt les fascinait, proche de leur vision du monde, leur corps si expressif en total opposé à celui des Kroxigor. Klaus pouvait sentir qu'elle n'allait pas très bien, il avait pu observer les humains, dont les visages sont assez proches de ceux des crazilles, et le visage de Marmelade lui paraissait faux, voir forcé.

C'est alors qu'après pas mal de marche, il l'entendit lui dire qu'ils arriveraient bientôt à leur destination, hochant la tête, préférant ne pas l'embêter avec ce qu'il pensait. Une question importante arriva durant cette conversation, une question qu'il n'avait jamais pensée ou qu'il ne s'était jamais posée. Et si tout était détruit chez lui, et si tout était rasé. Continuant de marcher, il y réfléchissait un instant, puis, dit simplement

" Si village détruit et plus personne sur place, je les retrouverais et je reconstruirais avec eux, mais je pris la déesse pour que ce ne soit pas le cas."

C'était ce qu'il souhaitait. Il n'était pas matérialiste et pas stupide, il savait que tout pouvait être reconstruit, leurs habitations étaient simple et rustique contrairement à celle des humains, donc la tache ne serait pas dur. Par contre, si la grotte d'Ankhti était détruite, là, ce serait très grave à ses yeux. Une nouvelle question tomba et là, il fut de nouveau surpris, venant à tourner sa tête vers elle, ses paupières clignant un instant en pensant à sa question. Un léger son guttural se fit entendre, entrecoupé, laissant penser à un rire, car oui, cela l'amusait un peu.

" Rare sont les humains qui ne souhaitent que parler au peuple d'écailles. Chaque ville que j'ai tenté de traverser ne m'a accueilli que par l'acier et le fer. Quelques humains étaient gentils, mais trop rares pour m'aider."

Il regarda son poignet à cet instant, un collier en or encore accroché à lui qui lui avait été donné par l'une de ces rares personnes à l'avoir aidé. Il regardait ensuite de nouveau Marmelade, et, s'il avait eu des traits physiques comme les siens, elle aurait pu le voir sourire. Il n'était pas en colère sous ses pensées, mais plutôt amusé et rassuré que, le peuple des forêts, les crazilles, soit tout de même un peu mieux loti que les siens.

" Le peuple d'écaille est et sera toujours amis avec vous. Si vous avez besoin d'aide, nous sommes là. Je suis là et je serais honoré de vous aider."

S'il pouvait les aider contre les humains, les aider à se protéger d'eux, il le ferait sans hésiter, il en était de son devoir à ses yeux. Un peu plus tard, ils arrivèrent à une petite clairière, un étang s'y trouvant presque en son centre, entouré de pas mal de végétation. L'air y était doux, laissant le kroxigor y prendre une grande bouffée, se grandissant sous se geste avant de se tourner et de regarder Marmelade, la tête penché d'interrogation.

" Nous n'allons donc pas à votre village ? "

3
Prélude / Re : La Grande Duchesse Eleanor vi Luciem! Sonnez les trompettes!
« le: dimanche 17 décembre 2023, 19:40:40 »
Bienvenue !

4
Le coin du chalant / Re : Un brin de lumière
« le: lundi 11 décembre 2023, 15:42:30 »
Bonjour Princesse !

Je serais interessé pour un rp si cela te dit aussi, que ce soit avec mon personnage principal ou avec un autre en one shot.

5
Prélude / Re : Princesse de lumière [Belphy Mueller]
« le: vendredi 08 décembre 2023, 15:53:44 »
Bienvenue princesse !

6
Klaus la suivi du regard se déplaçait dans l'arbre, descendant à son rythme. Il observait ses gestes gracieux, voyant bien la facilité et l'agilité qu'elle avait dans ses mouvements. Un bourdonnement étrange lui vint de sa part lorsqu'elle fut enfin devant lui.

Cela attirait la curiosité du Kroxigor, car il n'avait jamais vraiment été en face de Crazilles, ils les avaient seulement entendu parler et échanger avec ses frères et sœurs qui étaient dévoué au marchandage et à la diplomatie. Il avait appris leur coutume comme tous les autres, grâce à la Chaman du village.

Il put l'entendre reprendre dans sa langue natale, venant donc apprendre comment elle s'appelait. Il se mit à hocher la tête en l'écoutant, venant y graver son nom dans sa mémoire. Marmelade. C'était un nom tres particulier à ses yeux, un nom compliqué à prononcer pour les Kroxigor, mais il y ferait bien attention par respect pour elle et pour son peuple, car tout Kroxigor représente son clan, alors il ne devait pas faillir à garder l'entente de leurs deux peuples intacte.

Il observait ensuite les changements physiques de Marmelade, que ce soient ses oreilles qui jouaient en taille ou encore ses yeux changeant de couleur. Là, il se souvenait de ce que la Chaman leur avait dit " Le rose pour la joie et l'amitié." Et savait donc que le moment était à l'échange et aux rencontres plutôt qu'au combat et aux tensions.

Par la suite, il put l'entendre lui souhaiter la bienvenue, ce qui le fit de nouveau s'incliner en respect et en remerciement.

" Je te remercie, je remercie le peuple des forêts et le foret pour leur gentillesse. Mon voyage est encore long, alors j'accepte votre invitation avec plaisir."

Dit-il dans sa langue. Alors une question qui fut tout à fait naturelle d'entendre de sa part, qu'elle était son périple ? Que faisait-il ici ? Retournait-il chez lui ? Il se mit à hocher la tête d'approbation en l'écoutant, car c'était bel et bien son souhait de rentrer chez lui, de se reposer un peu sur ce long chemin, mais il avait bien d'autre chose à faire avant de pouvoir y arriver.

" Rentrer chez moi est la fin de mon épreuve, retrouver mon peuple sont les pierres qui ornent ce chemin. Les peaux fragiles ont attaqué mon clan est nous ont séparé, enchaîné et vendu. Par Ankhti, je me dois de les retrouver et les aider."

Sur son corps massif, on pouvait bien y voir les marques de ce périple qu'il avait commencé depuis des années. Les kroxigor sont des créatures guerrières, robustes et territoriales, mais ils n'attaquent jamais sans une bonne raison. Sut ses écailles on pouvait parfois y voir les marques de ses confrontations avec les humains, mais c'est la corde qui lui servait de collier qui en faisant le plus la preuve. Ornait de morceau d'or sculpté dans le style Kroxigor, ou pouvait y voir avec des crânes d'adversaire que Klaus avait affronté et comme tout Kroxigor, leur présence comme bijoux sur lui montrait qu'ils avaient été de grand guerrier et qu'ils les respectaient pour cela.

Son regard calme se posa de nouveau sur Marmelade, venant lui ajouter.

" Comment va le peuple des Forêts ? "

car oui, si sont peuple n'étaient pas encore libre, il étaient de son devoir de savoir l'état de leurs alliés pour en parler avec eux lorsqu'ils les retrouveraient.

7
L'odeur était de plus en plus forte, il pouvait le sentir, presque même le toucher, mais pour le moment, il n'arrivait toujours pas à se souvenir de qui ou de quoi cela pouvait-il venir. Ses pas continuaient de l'enfoncer dans cette forêt éloignée de tout, sentant la fraîcheur du sol sous ses pattes. Petit à petit, Klaus se mit à ralentir, venant à respirer avec plus de force en sentant qu'il y avait un changement dans le sens des odeurs. Pour que cela bouge ainsi, il se dit que c'était donc le fruit d'une créature et se mit donc à ouvrir grand les yeux pour en trouver la direction.

POC !

Fut le bruit que fit la noix tombant sur le bout de son museau, venant regarder ce que cela était. Une noix donc se dit-il, mais cette noix était imprégnée de l'odeur qu'il cherchait, le faisant se redresser, avide de savoir de se savoir si proche du but

POC !

Fut le nouveau bruit qui se fit entendre sur son museau, venant à chercher autour de lui, mais surtout au-dessus de lui, parmi tous ces branchages, cherchant ce qui lui lançait ces noix. C'est là qu'il se redressa fièrement, comme à la fois surpris et empli de joie, des mots de son peuple, des mots familier, des mots qui composait son prénom. Il avait bien entendu à la voix que ce n'était pas un Kroxigor, mais ce n'était pas grave, c'était un signe, un chemin, une joie que de se savoir sur la bonne direction de sa recherche, réentendre sa langue prononcée par d'autre après tant d'années.

Et c'est donc là qu'il put l'apercevoir, un humanoïde, accroché aux branches d'un arbre le surplombant, une peau blanche, des tatouage plein de couleur, une tenue végétale. C'est en la voyant qu'il vint à se souvenir d'où il se rappelait de cette odeur. Cela remontait à quand il était tout jeune, à peine sorti de la grotte d'Ankhti, des gens comme elle était passé à sa tribu pour marchander avec eux, se rappelant ensuite les avoir vu à d'autre reprise. Mais le plus important dans tout cela, c'est qu'il se souvenait de ce que son peuple pensait d'eux, et ils en pensaient du bien, ils en pensaient que leur vision du monde était proche.

Klaus vint donc s'exclamer d'une voix puissante de joie.

" Kekotol !!!" *

C'était un moment désignant le peuple de marmelade dans sa langue. Sur ce mot, il en revint ensuite à ses bonnes manières, venant poser sa main sur son cœur avant de se pencher doucement pour la saluer comme il se devait chez lui pour des personnes respecté, mais surtout lorsqu'il n'était pas chez lui. Par la suite, il l'entendit reprendre la parole, cette fois dans la langue commune. Klaus ne pouvait pas lui en vouloir, il avait très bien compris que son peuple était rare, donc il comprenait qu'elle ne parle que très peu sa langue, d'ailleurs s'était son cas aussi pour la sienne.

Il hocha négativement sa grande tête sous sa question pertinente, car il se savait très bien à mille lieus de chez lui, et cela, depuis longtemps, alors, il lui répondit.

" Je ne suis perdu. Mon épreuve de vie m'a mené ici."

Le destin, Ankhti, la chance ou encore les trois l'avait guidé jusqu'ici, alors il ne pouvait être que content, mais il reprit ensuite en penchant de nouveau la tête de respect.

" Mon nom est Kromcota vo Sharleko ou Klaus pour les petits peuples. Je suis content rencontrer peuple connu par le mien."

Klaus avait pu travailler sa langue commune pendant toutes ces années, réussissant à sortir certains sons qui sont de base compliquée pour les Kroxigor, mais en oubliait toujours quelques-uns. Il la regardait donc patiemment, attendant de savoir ce qu'elle aurait à dire, de savoir le nom de la personne qui apportait un vent frais dans le chemin de son épreuve de vie.

Kekotol = Peuple des forets

8
Klaus continuait inlassablement la recherche de son peuple. Cela lui avait pris des années, mais il avait cru trouver une trace le menant dans la bonne direction.

Cette direction était tout de même un long chemin dans les terres sauvage, le menant par delà les vallées, traversant des grottes plus ou moins adapté à sa taille, se servant des courant pour traverser un coin montagneux. Tout cela avait été son quotidien depuis un bon moment et que ce soit l'environnement ou la faune qui pouvait en vouloir à sa vie, il continuait son chemin, il le devait pour lui-même, il le devait pour son peuple, il le devait pour leur déesse.

C'est donc dans ce voyage et ce chemin tortueux qu'il se retrouva à entrer dans une forêt dense et vivante. La luminosité était basse, le feuillage épais des arbres laissant de fins sillons éclairer tout cet endroit, les odeurs étaient nombreuses, fleur, plante, arbres, animaux, il y avait de la vie ici et Klaus le sentait bien, il trouvait même cela agréable, avec tous les dangers et les zones inhospitalière qu'il avait traversé, cela lui faisait du bien.

C'est d'ailleurs pour cela que, maintenant bien enfoncé dans cette forêt, Klaus se mit à inspirer avec plus de force, reniflant un peu plus les odeurs autour de lui, car cela faisait très longtemps qu'il n'avait pas senti l'odeur des peaux fragiles, des humains et sa méfiance lui demandait de faire attention à cela. C'est donc bien droit qu'il prit de puissantes inspirations par à-coups, son regard tournant dans les bois, mais pas d'odeur d'humains, pas d'odeur de métal, de graisse et d'huile, de sueur humaine.

Mais pour autant, le Kroxigor fronça le regard, car dans tout ce qu'il sentait, il y avait un mélange d'odeurs qu'il avait l'impression de reconnaître, une odeur fleurie bien particulière qui lui faisait remonter des souvenirs de son enfance. Tournant son grand museau dans la bonne direction, il se mit donc de nouveau à marcher avec enthousiasme dans cette forêt pour y trouver les réponses à cette question. Qu'elle était ce souvenir ?

9
Prélude / Re : Marmelade
« le: samedi 18 novembre 2023, 17:04:06 »
Bienvenue à toi !

10
Prélude / Re : Thanasia - Vampire et malédictions célestes [Belphy Mueller]
« le: mardi 26 septembre 2023, 14:42:46 »
Bienvenue à toi !

11
Les terres sauvages / Un coup de main ne mange pas de pain [ PV Mel Lynn ]
« le: dimanche 02 juillet 2023, 13:11:27 »
Plusieurs années s'étaient écoulé, plusieurs années d'errance, de périple, de recherche constante a chercher son peuple, sans jamais s'arrêter, sans jamais renoncer.

Klaus avait dut traverser de nombreuses contrées, foret, montagne, lacs et rivière, sans jamais trouver la moindre trace des siens. Si déjà cela n'avait pas été de tout repos, il fallait ajouter en même temps toutes les personnes qui s'étaient misent sur son chemin, qui l'avaient enchaîné, qui l'avaient attaqué.

Le temps n'avait donc pas été tendre avec lui, mais il était toujours là, toujours vivant, continuant sa quête. Ses écailles avaient reçu quelques éraflures et cicatrice supplémentaire depuis la dernière fois qu'il était passée dans cette région et quelques crane de plus c'était ajouté à sa ceinture.

Il marchait donc dans les bois en direction de l'odeur de village la plus proche, là-bas, il pourrait sûrement trouver quelqu'un pour lui indiquer un marchand d'esclaves, ou il pourrait extirper des informations sur son peuple s'il en a.

Mais pour le moment, il n'y était pas encore et d'ailleurs, un bruit se fit entendre ou plutot plusieurs.

Le crâne du Kroxigor se tourna en direction du bruit, cherchant du regard ce qui le causait à travers la végétation, écartant des branches de devant son regard en continuant de marcher. Là, il tomba sur un chemin de terre, lui dégageant la vu dans deux directions, un d'elles menant au vacarme de sabots et aux cris humains qu'il pouvait entendre.

La mâchoire de Klaus claqua quelques coups, son torse se bomba d'une grande inspiration alors que ses poings se refermèrent un coup avant de se détendre. Il savait très bien ce qui allait sûrement se passer, car cela se passait presque toujours ainsi lorsqu'il tombait sur des peaux fragiles. De la peur dans le regard, une envie de le dominer, de le mettre à genoux et de l'exploiter, mais comme d'habitude, il ne leur donnerait pas ce plaisir si facilement.

Quelques dizaines de pas de plus, il put enfin voir pourquoi il y avait un tel vacarme. Plusieurs personnes avaient l'air de pourchasser une autre en fonçant droit dans sa direction. Comment cela allait se résoudre ? Klaus en avait une certaine idée, mais restait à l'affût de toute surprise.

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Les bas fonds / Re : Doux câlins pour un grand et gros héros [Klaus]
« le: jeudi 21 avril 2022, 01:00:12 »
Klaus se laissait aller complètement, un long bruit rauque sortant de sa gorge, tandis que son poing, accroché au box, continuait à broyer le bois, ainsi que son mandrin déversait son plaisir en elle. Sa semence ne cessait de la remplir pendant quelques seconde, gonflant à chaque salve son membre encore plus gros qu'il ne l'était déjà, ne laissant presque aucune place au fruit de leurs ébats pour être là.

Son souffle puissant se faisait sentir dans la pièce, venant frapper les murs et glissant sur le sol en faisant virevolter les quelques brins de paille qui n'étaient pas soit accroché les uns aux autres, soi qui ne collait pas à la peau transpirante de la jeune femme.

Sa main qui tenait le box ainsi que celle qui la tenait, elles se relâchèrent légèrement, reprenant plus contrôle de sa force et de sa présence. La grande Ankhti pouvait être fier de lui se dit-il, cette femelle, bien que petite, avait été sacrément résistante et il ne l'avait pas tué pendant leur accouplement, cela fera sûrement une bonne descendance pour le futur.

Sa tête se pencha ensuite vers elle, venant la sentir, se régalant de l'odeur de victoire que représentaient les hormones et la transpiration, ainsi que leur fluide corporel à ses yeux.

Sa grande langue vint ensuite lécher entièrement le visage de la jeune femme d'un coup, mais c'est alors qu'à ce moment-là, un crie parvint du fond de l'étable.

Relevant la tête, Il put voir une femme apeurer qui se mit rapidement à courir vers la sorti, ce qui lui signifiait qu'il allait devoir vite partir de la sans tarder s'ils ne voulaient pas que la garde ne les attrapes. Et c'est donc ce qu'il fit, se dégageant de la jeune femelle, il l'attrapa délicatement pour la placer sur ses épaules, ils seraient toujours plus rapides ainsi dans les rues de cet endroit pour fuir.

13
Klaus penchait la tête sur le côté, quoi qu'il dise, il avait bien l'impression, à la voix de la petite personne et à son comportement, que la communication n'était pas là.

Cela le chagrinait un peu, essayant de réfléchir à comment faire. Les dessins étaient bien beaux, mais très simpliste pour réellement pouvoir communiquer, surtout que Klaus, lui, avait des mains bien trop grosses pour pouvoir dessiner sur des parchemins aussi petits.

Et elle avait vraiment l'air d'être tiraillé de ce qu'il en voyait, et pour être honnête, n'aimait pas la voir comme ça. Elle avait l'air en colère contre lui, comprenant que c'était parce qu'il ne voulait pas être aux ordres des peaux fragiles, mais il força son écoute pour essayer de la comprendre.

Quelques mots résonnaient bien dans ses oreilles, comprenant maîtresse, soldat, mourir et vivre. Il réfléchit un instant et se demandant le sens de cette phrase avant d'entendre la suite, retenant bien le mot échapper.

La, il y avait plusieurs hypothèses à tout ça, la première qui lui venait en tête, c'est qu'elle lui demandait de tuer tout le monde dans cet endroit maudit, la maîtresse et les gardes pour qu'eux puissent vivre et s'échapper. Mais si c'était réellement le cas, se dit-il, elle le lui aurait dit plus tôt, directement en face de leur geôlier pour régler tout ça rapidement et reprendre ce qui leur revenait de droit, leur liberté.

Puis, une deuxième hypothèse lui vint en tête, lui faisant comprendre pourquoi elle se prenait autant la tête. Elle voulait peut-être se faire discrète et était peut-être en danger si elle ne faisait pas ce que l'autre disait, le temps qu'elle ait un plan pour s'échapper.

Klaus ne voulait pas ruiner les espoirs de liberté d'Anouk et aussi, il ne voulait pas ternir la relation que sa tribu avait avec son peuple. Il devait donc mettre sa fierté et son honneur de côté un temps, pour le bien de son peuple, de celui de la petite personne aux oreilles longues et d'elle-même. En guise de geste pour lui montrer son accord, il vint s'asseoir lui aussi, puis, de l'index, vint faire glisser son dessin vers celui d'Anouk pour faire comprendre qu'il acceptait ce qu'elle voulait.

" Ik Eto Hotatoli ke Anouk. Ik Eto ke to." *

* "Je suis ami avec Anouk. Je suis avec toi."

14
Le temple Shinto / Re : Aux prières d'une nuit enneigée { Pv ~ Klaus }
« le: vendredi 17 septembre 2021, 03:02:03 »
Le feu protecteur continuait de crépiter, accompagnant les paroles du Kroxigor, quand, la première réponse qui lui fut donnée lui apparut forte étrange et ne lui répondait pas vraiment.

La seule chose qu'il pouvait se rendre compte à l'instant, c'est qu'elle était en train d'avoir beaucoup trop froid pour son état, car un éternuement n'ait jamais dû à rien, surtout sans soleil pour faire croire que cela viendrait de la lumière. Mais la suite en fut plus intéressante, complète et lui permis d'en apprendre beaucoup plus sur la prêtresse.

Elle n'était donc pas de cette contrée à l'origine et, dans ce pays si différent du sien, elle n'avait jamais pu accomplir sa tâche et rendre hommage au dieu de la façon d'ont elle était censé le faire. Maintenant, il comprenait bien cette tenue si proche de l'inexistence. C'était un symbole de sa foi, un outil pour communiquer avec son dieu et désormais, il se trouvait bête de lui avoir demandé de se changer pour ne pas avoir froid.

Rendre grâce aux créateurs pouvait être une épreuve très dure et là en était la preuve, ce qui lui faisait avoir d'autant plus de respect envers elle. Sur cette réflexion, il s'affessa un peu, venant s'incliner avec respect avant de lui répondre

" Je vous pris de m'excuser de ma demande indélicate, j'aurais dû deviner que votre tenue était en lien avec cela et n'aurait pas du manquer de respect envers votre rituel."

Sur ses mots, il la regarda un instant, la voyant avec cette expression totalement humaine. Il l'avait vu de nombreuse fois, mais n'en saisissait pas toujours le sens, certain gardé leur bouche fermé, d'autre montrait leurs dents. Pendant un temps, quand il voyait cela, il pensait à un signe de défis, ou de colère, mais rien ne collait jamais avec dans la posture que ces personnes arborées en faisant cela.

Sur ce, elle se remit à lui parler, lui disant qu'elle n'allait sûrement pas continuer ses prières désormais et qu'elle pouvait très bien chercher ses vêtements. Cela ne lui plaisait pas, il avait l'impression d'avoir interrompu cela, il avait l'impression d'être fautif, et donc que cela attirerait la colère de son dieu, peut être même d'ankhti.

" Je ... si je vous ai empêché de finir vos prières, j'espère que vous acceptiez mes excuses et je ne peux vous empêcher de reprendre si vous le devez."

Au moins, cela était dit et que les dieux lui en soit témoins, il ne l’empêchait pas d'accomplir sa tâche par sa volonté, mais par la force du destin ou de celle d'un dieu quelconque ayant choisi de l'envoyer ici pour une raison qui lui restait obscure pour le moment. Il l'a regardait donc se mettre à chercher, puis la vit s'arrêter d'un seul trait, comme figé. Klaus se mit donc à pencher la tête, se demandant ce qu'il y avait, puis, l'entendit dire qu'elle les avaient laissé dans la pièce d'à côté et apparemment elle ne se sentait pas vraiment d'aller les chercher dans cette obscurité. Il se dit à cet instant que cela ne serait que juste réparation que de l'aider à retrouver ses vêtements et de faire en sorte qu'elle soit en bonne santé, donc, sur cette pensée, il se releva du feu, commençant à marcher en direction de l'entrée, le planché craquant, souffrant sous ses pas avant d'entendre à nouveau la voix de la prêtresse cacher tout cela.


Klaus n'était pas très convaincu, l'entendant renoncer à trouver ses affaires, mais lui, n'en ferait rien et continua sa route. La température était tout de même très désagréable loin du feu, mais prit le temps qu'il lui fallait pour chercher dans l'entrée. De son regard aiguisé et de son odorat tout aussi affûté, il en scruta le moindre recoin, mais ne trouva rien. Trouvant cela étrange tout de même, il se mit à respirer un peu plus fort, cherchant alors l'odeur distinct de la prêtresse autour de lui.

Biensur, il y avait celle de ses traces de pas, puis celle d'Enothis elle même, mais un autre sillon de senteur l'attira de nouveau dans la pièce principal, le ramenant à l'intérieur avant de finir par trouver ce qu'il cherchait.

Un tas de vêtements trempé, glacé, commençant à se durcir sous l'effet du froid et au touché désagréable dans les mains du saurien. A cet instant, il se tourna vers elle, sans dire un mot, puis regarda de nouveau les vêtements. Il avait maintenant beaucoup de dettes envers elle et allait devoir faire beaucoup de choses pour réparer ses actions. Et c'est donc, toujours sans un mot, qu'il marcha de nouveau vers le feu, se plaçant encore en face d'elle, il s'assit tranquillement. Mais cette fois, penchant sa queue sur le côté, lui faisant faire un arc de cercle, il se mit à défroisser les affaires de la prêtresse, faisant tomber gèle et neige de cela. Quand tout fut déjà nettoyé de l'empreinte de l'hiver, il enfila les vêtements comme il le pouvait au bout de son appendice, puis la plaça au-dessus du feu, se mettant donc à les réchauffer eux aussi pour les faire sécher.

" Vous êtes digne de votre titre, vous êtes fort oui. Mais une question cours dans mon esprit. Pourquoi avoir rejoins un pays si froid et ..... est-ce que cet endroit est ainsi tout le temps ? " 

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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: vendredi 13 août 2021, 16:37:25 »
Pas tout neuf, mais je dix que je suis toujours aussi fort . A qui veux

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