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Messages - Lola Anon

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Centre-ville de Seikusu / Re : Aperçu de ce monde [PV : Lola]
« le: dimanche 30 juin 2019, 19:57:00 »
Alors que la séduisante héritière s’apprêtait à apostropher le pauvre ère qu’elle aurait au bout du fil, et poussa un cri de surprise en sentant l’épaisse poigne de l’homme la plaquer brutalement contre le mur. Sous l’impact, elle laissa échapper le téléphone que le dominant jeta plus loin sur la moquette, hors de sa portée. Elle tut toutefois lâcher le seul objet susceptible de l’aider des yeux, car son agresseur avait raffermi sa prise sur ses cheveux, la forçant à rester dans la même position cambrée et humiliante qu’elle avait inconsciemment prise une seconde plus tôt. Elle se débattit tant bien que mal, sans succès. L’homme était bien plus costaud qu’il ne le laissait paraitre, et il y avait de forte chance pour que Lola ne soit pas au bout de ses surprises.

« Lâchez moi espèce de porc ! Je ne vous autorise pas à me toucher ! Vous n’êtes rien de plus qu’un animal indigne de me servir ! » Vociférait la jeune femme.

Pourtant, rien n’y faisait, et son corps parfait semblait une offrande pour celui qu’elle ignorait être un démon. Les murmures de l’homme à son oreille qui la rabaissait plus bas que terre la firent frissonner de dégoût. Elle n’avait pas encore vraiment conscience d’être à totalement à sa merci, et il faudrait surement bien des leçons brutales pour la réduire à l’état d’esclave. Un travail qui en valait cependant la chandelle vu la perfection de son corps, et surtout vu son impertinence. Ses cuisse s’ouvrirent brutalement au geste de l’homme, lui offrant une vue particulièrement attirante. Parfaitement rasée, la jeune femme semblait presque s’être préparée pour ce moment.

« Lâchez m-AAAH ! » Hurla la jeune femme, les yeux écarquillés par la douleur de la violente fessée qu’elle venait de recevoir.

Sa peau tendre, lisse et douce avait presque instantanément tourné au rouge, et sa colère s’amplifia davantage. Il mettait ses mains sans vergogne là où personne n’avait jamais osé mettre les mains. La jeune héritière allait lui faire amèrement regretter de l’avoir humiliée, elle s’en faisait la promesse. S’il sondait son âme, il verrait le nombre d’immondices que Lola avait fait subir à des camarades de classe qui avaient simplement eut le malheur de la bousculer. Elle n’était pas seulement arrogante, mais elle prenait les autres pour des êtres inférieurs et était capable d’aller jusqu’à faire torturer sexuellement l’une de ses jeunes camarade par des hommes qu’elle avait engagés, car la malheureuse  avait eu le malheur de la taquiner. Sans doute que, cette fois, le vent était en train de tourner. Mais Lola n’en avait pas le moins du monde conscience.

« Vous n’avez pas idée de ce que je vais vous faire subir… »

2
Centre-ville de Seikusu / Re : Aperçu de ce monde [PV : Lola]
« le: vendredi 28 juin 2019, 15:58:47 »
La jeune femme, surprise, fut brutalement décollée du sol, sa serviette ne mettant qu’un instant à se défaire pour tomber sur le sol. Sous le choc, elle mit quelques secondes à réagir. Un homme était entré chez elle et avait réussit à l’empoigner en quelques instants, l’empêchant d’accéder au téléphone. Comment pouvait-il être aussi rapide ? La situation se résuma dans l’esprit de la jeune femme. Premier point, son portable était cassé. Son code d’accès personnel changeant toutes les heures par sécurité, et lui étant envoyé par SMS, elle ne pouvait donc pas s’en servir pour prendre la fuite. Deuxièmement, elle ne savait pas où était sa carte d’accès, la première étant en la possession de l’homme qui la maintenait immobile. Le troisième point, et non des moindres, était qu’elle était désormais totalement nue, son magnifique corps à la vue d’un homme qu’elle considérait comme un être inférieur. Sa seule porte de sortie était le téléphone blanc situé à côté de l’ascenseur. Le service d’étage répondait à ses caprices 24h sur 24h, mais il était le dernier moyen qu’elle avait de s’échapper.

Ne supportant pas de voir l’homme se repaitre le regard sur ses formes divines, Lola vit alors rouge. Ne s’imaginant pas à qui elle avait à faire, elle se débattit en envoyant une solide claque sur la joue de l’homme, en profitant pour se dégager et courir vers le téléphone, arrivant pratiquement à le décrocher. Il faudrait surement de solides punitions pour faire d’elle une simple esclave docile. Ce qu’elle ne savait pas, c’était qu’elle était parfaitement détestée par le personnel de l’hôtel et que, si ce dernier se rendait compte de ce qu’il se passait, il viendrait surement plus en aide à l’homme en lui fournissant absolument tout ce qu’il désirerait pour s’amuser avec elle.

En attendant, Lola avait décroché le téléphone, sans se rendre compte que sa position légèrement cambrée vers l’avant mettait en valeur sa croupe qui donnerait envie à n’importe qui de s’y glisser sans retenue, ou du moins de s’amuser avec. Trop occupée par sa colère, la jeune femme ne s’en rendait pas compte, pendant déjà à comment elle allait faire payer au centuple l’homme qui se trouvait derrière elle. Sans tourner les yeux vers lui, elle lui lança.

« J’espère que vous avez un bon avocat, parce que je m’arrangerais pour détruire votre misérable vie d’insecte dès que je serais sortie… »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Aperçu de ce monde [PV : Lola]
« le: vendredi 28 juin 2019, 00:52:19 »
Lola avait rapidement laissé tomber tous ses vêtements sur le sol de la salle de bain, et profitez désormais d’une douche bien méritée. L’eau ruisselait sur le corps parfait de l’arrogante héritière, calmant ses muscles enflammés par sa course. Savourant pleinement la caresse du jet qui faisait office de massage, la jeune femme prolongea longuement son passage. Elle aimait faire du sport pour deux choses. La première était d’entretenir son corps. Consciente de ses charmes, Lola faisait tout pour les exploiter au maximum. La deuxième était pour le réconfort que lui procurais ce genre de moments, et elle savourait ce doux moment de repos avec un plaisir non dissimulé. Après tout, elle était chez elle.

Mais la jeune héritière n’avait pas le moins du monde conscience qu’entre temps, quelqu’un s’était introduit dans son appartement à l’aide de la clef qu’elle avait faite tomber, la rendant complètement vulnérable d’un seul geste. Premièrement parce que la jeune femme ne savait absolument pas où était son double, et deuxièmement parce qu’elle ne se doutait absolument pas de ce qui l’attendait. Elle sorti donc de sa douche en sifflotant légèrement, ne prenant pas le temps de se rhabiller et enfilant simplement une serviette courte qu’elle noua juste au-dessus de ses seins. Cette dernière couvrait à peine la totalité des fesses de Lola, dévoilant ses longues jambes entièrement nues.

Agissant comme si elle était seule, la jeune femme ne remarqua pas le bar ouvert dans la cuisine et se dirigea vers la baie vitrée pour fermer les volets. Alors qu’elle s’avançait vers les vitres, elle remarqua brusquement un reflet inconnu dans ces dernières. Lola se retourna en sursautant pour se retrouver face à l’homme qu’elle avait bousculé un peu plus tôt. Se rendant compte de sa tenue, la fureur grandit aussi vite que la honte. Un homme tel que lui qui pouvait se délecter les yeux de son corps… L’idée même la dégoutait. Elle se mit alors à hurler.

« Non mais ça ne va pas ?! Qu’est-ce que vous faites ici ?! Vous allez le payer cher, espèce de porc ! »

Elle se dirigea alors d’un pas décidé vers son portable, souhaitant rapidement prévenir les autorités de l’hôtel pour que l’homme soit mis dehors avec le minimum de délicatesse. Elle parvint jusqu’à la table de la cuisine ou il était déposé, mais étouffa un juron en voyant qu’il était déchargé. Dans un geste de rage, elle l’envoya valser au sol, et le précieux appareil en fut lourdement endommagé. Qu’importe, elle en rachèterait un le lendemain, mais, pour l’heure, il lui fallait se débarrasser de la vermine.

Le seul autre moyen de communication avec l’extérieur était le téléphone prévu à cet effet, qu’elle n’allumait qu’en de très rares occasions. S’y dirigeant alors, la jeune femme n’avait pas conscience de dévoiler sa seule porte de sortie à l’intrus.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Aperçu de ce monde [PV : Lola]
« le: mercredi 26 juin 2019, 15:25:42 »
La jeune héritière avait profité du début de soirée et de la chaleur qui redescendait progressivement pour partir faire un petit jogging. Mais affublée de ses vêtements de sport, la jeune femme était particulièrement séduisante. Son legging dessinait parfaitement son corps, tout comme le faisait la brassière qui soutenait sa poitrine. Lola détestait quand il y avait trop de monde, surtout lorsqu’elle faisait ses entrainement physiques quotidiens. Elle détestait fondamentalement se mélanger à la plèbe, mais se refusait souvent à simplement rester dans la salle de sport richement équipée de la résidence. Partir à cette heure lui permettait donc de prendre un grand bol d’air frais sans avoir à supporter la présence de ceux qu’elle considérait comme des êtres inférieurs, et qui la reluquaient sans vergogne.

Faisant alors son tour dans les quartiers riche de la ville, la jeune femme jugea après avoir transpiré suffisamment qu’il était désormais temps pour elle de rentrer à l’hôtel qui l’accueillait. Car la jeune héritière ne faisait pas les choses à moitié, et vivait durant sa scolarité dans la suite située au dernier étage de l’établissement. Seule logement à cet étage, l’endroit était parfaitement insonorisé et surtout particulièrement sécurisé, pouvant se transformer en véritable bunker impénétrable. Mais, au-delà de ces aspect, l’appartement possédait également une magnifique baie vitrée donnant sur la ville. Personne n’aurait pu s’offrir un tel endroit si ce n’était l’héritière d’une des familles les plus puissantes sur terre.

Pressée de retrouver sa douche, Lola bouscula un homme qui semblait observer les lieux avec une attention particulière, manquant de le faire tomber. Elle lui jeta un regard assassin, avant de lui lancer.

« Faites attention où vous marchez, vermine. » Siffla-t-elle sur un ton hautain.

Sans plus s’occuper de lui, elle prit l’ascenseur pour le dernier étage, inconsciente du fait que l’impact avait laissé tomber l’une des deux seules cartes d’accès existantes pour permettre à l’ascenseur de se rendre à son étage.  Lorsqu’elle s’en rendit compte, il était trop tard. Heureusement, la jeune femme avait également un code personnel pour se genre d’urgence, connu par elle seule. La deuxième et dernière carte était elle dans son appartement, et lui servirait le temps de changer si cela s’avérait nécessaire. Après tout, peut être l’avait elle simplement oubliée…

A peine rentrée dans son appartement, ces divagations quittèrent son esprit. Lola, se sentant en sécurité, se déshabilla pour prendre une longue douche, ignorant le fait que sa vraie carte d’accès était en réalité tombée au pied de l’homme qu’elle avait insulté.

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Base Spatiale / Re : Servante prométeuse ou simple jouet ? [Pv Lola]
« le: dimanche 20 janvier 2019, 18:04:24 »
Lola n'avait pas passé une particulièrement bonne journée, car, aujourd'hui, elle avait du rester en retrait. En effet, elle suivait un groupe auquel appartenir était particulièrement intéressant pour ses projets et, pour ça, il fallait qu'elle laisse pour l'instant au placard son arrogance pour laisser faire les autres. La position sociale du petit groupe était particulièrement importante, et, visiblement, ces derniers semblaient vouloir en profiter le plus possible. L'après-midi avait donc été dédiée à une activité qui, au départ, n'intéressait pas vraiment la jeune héritière. Elle avait donc était témoin de la torture sexuelle d'une jeune lycéenne à peine arrivée, ses nouveaux amis étant visiblement très imaginatifs. Lola avait beau être une dominante de nature, ses rêves, eux, contredisaient sa réalité. Le spectacle l'avait donc sensiblement dérangée même si, lorsque Mélanie, la chef du petit groupe, lui avait demandé de se débarrasser de la victime encore haletante, l'étudiante avait plutôt apprécié le moment où elle avait attachée la pauvre seconde et l'avait bâillonnée, la regardant avec dédain en lui annonçant que son avenir ne serait désormais construit que de ce genre de moment. Car, le plus simple avait été de vendre cette victime comme esclave, et Lola s'était bien sur arrangée pour lui trouver les pires propriétaires possibles.

Pourtant, cette volonté de détruire trahissait ses propres envies, même si ces dernières étaient encore bien inconscientes. Ses rêves la mettaient en scène de manières pire encore, alors qu'il lui semblait passer des heures à subir des traitements encore plus violents et sadiques durant ces séances oniriques. Elle tachait toutefois de l'ignorer car il était hors de question de céder à ce genre de pulsions ignobles. Elle était une héritière, l'une des plus puissantes qui soit, et elle ne finirait pas comme la pauvre étudiante qu'elle avait revendu plus tôt en ignorant ses supplications et ses cris.

Absorbée dans ses pensées alors qu'elle marchait en compagnie du groupe, elle manqua de percuter une femme habillée d'une manière particulière, sortie tout droit d'une série de science fiction. Alors que ses "amis" commençaient à ricaner, elle se retourna, furieuse, vers la femme en question.

"Alors la geek, tu peux pas regarder où tu vas ?"

6
La jeune héritière était totalement à la merci de la vampire, et, coup après coup, elle commençait doucement à vraiment ne plus savoir quoi faire. Les bravades dont elle était d'ordinaire si fière avaient tourné court, car la dominante ne lui laissait désormais plus l'occasion d'en placer une, abattant son fouet sans relâche et mordant ainsi la peau du physique parfait de l'étudiante. Les mensurations de Lola avaient de quoi rendre rêveur n'importe quel homme ou femme et, si elle s'était souvent servi de sa beauté et de son charme pour manipuler son monde, elle n'aurait sans doute jamais imaginé que ce "pouvoir" se retournerait contre elle. Car actuellement, elle était bien loin des standards de gloire auxquels elle prétendait fièrement. Attachée, nue, et surtout filmée par d'innombrables portables et par une caméra prévu pour cet effet, la belle jeune femme ne pouvait que constater sa sombre descente. Car désormais, si les preuves et le contenu de tout ce cinéma était toujours effaçable, il le resterait beaucoup moins si l'évènement était diffusé en direct. Si Lola avait été parfaitement honnête, elle se serait surement prise au jeu. Car, caché derrière une puissante barrière d'assurance, la jeune femme était effectivement faite pour ce genre de vie et ce genre de traitement. Comme un fantasme inavouable et tabou auquel même elle n'avait pas accès, et qu'il faudrait surement des mois d'intense traitement pour mettre à jour. Malgré ses grands airs, Lola n'était en réalité qu'une soumise disposée à subir les traitements les plus sévères pour le bon plaisir de ses possesseurs. Celle de l'instant, Mélinda, semblait l'avoir compris. Mais il était encore trop tôt pour que la jeune femme ne révèle qui elle était vraiment. Les fesses rougies par les coups de fouet, Lola haletait pour reprendre son souffle, ses yeux s'agrandissant de surprise à la vue d'une tête relativement connue.

"Sochiya-sensei? Mais...-"

Elle fut rapidement coupée par le geste de la professeur. Car si l'espace d'un instant la lycéenne avait espéré que cette dernière ne mette fin à son calvaire, la professeur semblait en réalité totalement appartenir au groupe et en être l'une des actrices principales. Dans son dos, Mélinda en profitait pour se coller à elle, sensation qui n'aurait surement pas été désagréable sans la brutale crainte de ce qui était en train de se passer. Car Lola, toujours maintenue sévèrement par ses liens, ne pouvait se soustraire à l'arrivée de l'une des seringues promises par la dominante. Elle ne pouvait pas connaitre son contenu, mais, vu le début, il ne serait sans doute bon en rien pour elle, ou du moins, pour ce qu'elle pensait être. Après tout, la dominante avait clairement parlé de l'humilier, ce qu'elle faisait déjà avec brio. Mais Lola sentait que ça n'était que le début, et qu'elle n'était pas au bout de ses peines. Se débattant tant bien que mal, elle lança.

"Qu'Est-ce que c'est ?! Non ! Vous n'avez pas intêret à -.."

Elle ne put finir ses mots que l'enseignante avait déjà planté l'aiguille dans son cou, propulsant la totalité du contenu de la seringue dans son organisme. Son corps se mit alors à trembler alors qu'une sensation étrange naissait dans son bas ventre, et alors que tous ses rêves de soumissions les plus lubriques lui reviennent à l'esprit. Car si Lola n'assumait pas sa vraie nature, son inconscient se déchainait désormais presque chaque nuit, la mettant dans des positions plus humiliantes à chaque fois. Le rêve était généralement si réaliste que la jeune femme se réveillait toujours trempée de sueur, alors que son "moi" onirique finissait généralement attaché dans une cave, totalement dévasté par des individus diversifiés, plus rarement par de vulgaires animaux, la situation résultant toujours d'heures et d'heures de torture et de pénétrations violentes. Sauf que là, ce n'était plus la même chose. Un rêve passait encore, même si la jeune femme en était honteuse, mais, cette fois, tout était réel, et, si jamais elle ne s'en sortait pas très vite, c'était sa vie entière qui ressemblerait au plus vicieux de ses rêves.

"Qu-qu'Est-ce que vous avez fait...?"

La réponse était évidente, mais la Lycéenne n'était plus en mesure de réfléchir. L'aphrodisiaque l'empêchait de raisonner, et, pourtant, il fallait qu'elle trouve un moyen de s'en sortir. Cependant, sa concentration fut vite happée par l'arrivée de deux jeunes femmes qui, sur l'ordre de Mélinda, se ruèrent sur elle pour dévorer ses seins avec avidité, arrachant des cris à la jeune héritière. Cette dernière ne s'interrogea que trop tard sur l'absence de Melinda d'ordinaire blottie contre elle, puis un coup de fouet la rappela à l'ordre. Précise, Mélinda avait reprit ses coups sans toucher ses deux acolytes qui s'occupaient de la poitrine de Lola. L'aphrodisiaque révélait peu à peu que l'excitation de Lola venait autant de ses seins malaxés et dévorés par les deux jeunes femmes que par les coups de fouets qui s'abattaient sur elle. Au fond d'elle même, Lola avait hâte de passer à la suite, pour voir si la dominante serait aussi sévère que tout ce qu'elle avait déjà pu subir lors de ses rêves lubriques. Mais pour l'heure, Lola était simplement occupée à se perdre entre la douleur et le plaisir, incapable de répondre ou d'insulter qui que ce soit.

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Gymnase en plein air et piscine / Re : Ta place est à genoux (PV Lola Anon)
« le: mercredi 09 janvier 2019, 17:47:48 »

Lola se faisait littéralement détruire l'intérieur par la créature, totalement incapable de comprendre ce qui était en train de se passer. Elle n'était désormais plus qu'un vidoir et un défouloir pour un monstre dont elle ne connaissait même pas l'origine, et son anus, son intimité et sa gorge étaient pris d'assaut de la manière la plus féroce qui soit. Pourtant, son esprit refusait de lâcher prise. Si c'était sans doute par arrogance, ce seul fait ne faisait qu'accentuer la torture de la belle étudiante, car elle ne pouvait pas perdre conscience pour mettre fin à son calvaire. Son corps, lui, se resserrait dès qu'un membre sortait de l'un de ses orifices, semblant presque créé pour lui faire endurer le pire des calvaires. Elle ne pouvait donc s'accommoder de la taille des membres qui la pénétraient et jouissaient en elle, ce qui permettait à ses tortionnaire de la faire souffrir d'un tourment sans fin, et ce sans qu'elle ne puisse ni s'y souscrire en s'évanouissant, ni en espérant que ses chairs écartées ne prennent définitivement cette ampleur pour diminuer la douleur qu'elle ressentait. Et même si une humaine normale aurait sans doute pu espérer une délivrance dans une mort d'épuisement, la créature et son aphrodisiaques semblaient maintenir un niveau d'énergie suffisant pout qu'un désagrément pareil ne puisse pas survenir. Elle était donc vouée à se faire détruire et labourer au bon vouloir du dieu, et, si ce seul fait aurait pu être suffisant à la mettre en colère, elle était bien trop occupée à souffrir en pleine conscience des saillies brutales et incessantes de la créature.

Pourtant, un mal de tête survint bientôt, et, quelques instant plus tard, la jeune femme se retrouva au sol devant trois colosses aux membres démoniaquement épais, et le calvaire s'arrêta l'espace d'un instant. Encore légèrement perdue, Lola ne parvint pas à suivre tout ce que l'homme disait, mais hocha la tête. Elle était prête à tout pour que tout redevienne comme avant, et se faire prendre par trois géants humains ne pouvait pas être pire que les tentacules du sans-visage. Elle laissa donc l'homme enfoncer son énorme membre dans sa bouche, puis délicatement dans sa gorge. Si ce dernier bloquait partiellement la respiration de l'héritière, elle n'avait cette fois pas à se plaindre de la brutalité. Mais elle ne put voir que les deux hommes derrière elle avaient eux aussi envie de participer. Bien vite, la jeune femme fut de nouveau empalée par les énormes membres nervurés, et dans son fondement, et dans son intimité. Si les sexes étaient aussi durs que de la pierre et bien plus gros et grand que tous ceux qu'elle avait pu voir, leurs vas et viens étaient eux plus doux, et, rapidement, couplé à la douleur, Lola se retrouva en état d'extase, se laissant totalement prendre par les trois individus "normaux". La douleur semblait être devenue une sorte d'addiction, et un puissant aphrodisiaque naturel pour l'arrogante héritière. Elle se laissa donc baiser avec plaisir, acceptant même, lorsqu'elle n'avait pas un membre dans la bouche pour la faire taire, d'échanger un langoureux baiser avec un inconnu. La taille du membre de ce dernier semblait avoir également considérablement augmenté et en taille, et en vitesse, mais ce ne fut que lorsque le dieu dissipa le mirage que Lola se rendit compte de la duperie. Elle était toujours saillie par la créature, du moins, son fondement l'était toujours, et le dieu avait décidé de reprendre sa besogne. Lola écarquilla les yeux d'horreurs, mais, avant qu'elle n'ait eu le temps de répondre, la créature avait de nouveau enfoncé ses tentacules jusqu'au fond de sa gorge, transformant ses cris en gargouillis.

"Grbll....GRbll !!!!"

Mais rapidement, la jouissance prit le dessus. Les membres de la créatures qui l'empêchaient d'avoir ses orgasmes étaient sortis de son intimité, délivrant alors dans une immense douleur pour l'étudiante un plaisir infini. Cette dernière jouissait sans discontinuer, sévèrement saillie par le dieu et son serviteur monstrueux, sans arriver à se contrôler.

8

Les vociférations de l'héritière n'avaient pas eu un grand effet, et le fouet s'était de nouveau abattu, venant zébrer son autre fesse d'un trait rouge, et arrachant au passage un nouveau cri de douleur à la jeune femme. Elle enrageait, se sentant totalement impuissante et humiliée. Si la moindre personne de son clan la voyait dans cette position, elle aurait tôt fait de se faire marcher dessus par tous ses cousins et cousines qui rêvaient de prendre sa place. Ces derniers étaient peu scrupuleux, et Lola ne leur avait jamais fait de cadeau, bien au contraire. Il était donc facile de s'imaginer ce qu'il adviendrait d'elle si jamais quelqu'un découvrait qu'elle se laissait punir de manière aussi dégradante par la première venue. Il fallait qu'elle se sorte de là. Mélinda prenait son temps, appréciant d'avoir sa proie totalement impuissante devant elle. Mais Lola ne se sentait pas comme une proie, et gardait pour l'instant le silence, réfléchissant à tout ce qu'elle pouvait faire pour se sortir de cette situation. Elle savait pouvoir endurer - ou du moins, elle se refusait à croire qu'elle pouvait en réalité aimer ça - et Mélinda était seule pour le moment. Ce qui voulait dire qu'elle n'avait aucun témoin digne de ce nom. Encore un peu, et Lola savait qu'elle aurait une ouverture.

La vampire s'était d'ailleurs déjà lassée de ses coups, ou, du moins, c'est ce que pensais la jeune héritière. Toujours attachée, elle poussa un léger de surprise en sentant la main douce mais ferme de sa tutrice caresser sans scrupule ses fesses parfaitement formées. Elle sentit la main remonter au niveau de son dos, puis détacher son soutient gorge qui tomba au sol, dévoilant une poitrine ferme et généreuse, surtout pour une étudiante de son âge. Frustrée, Lola se débattit un peu plus.

"Vous n'avez pas le droit ! " Répondit-elle aux propos alarmant de la dominante.

Mais elle se tût rapidement, ses yeux s'écarquillant d'horreur en découvrant l'endroit, et en prenant conscience de la situation. Elle s'était lourdement trompée. Mélinda n'était pas seule, et toujours particulièrement bien entourée. Mais le plus alarmant, c'était tous les objectifs des Smartphones tournés vers la belle héritière, qui ne rataient rien de la scène, mais surtout la caméra reliée à l'ordinateur qui se trouvait pile en face d'elle. La jeune femme blémit, Mélinda n'allait tout de même pas oser... Se débattant davantage, la jeune femme se vit tout de même retirer la dernière pièce de tissu protégeant sa pudeur et son honneur, se retrouvant totalement nue devant les caméras. Elle poussa un cri en sentant la main de Mélinda la caresser quelques instant, trouvant une intimité parfaitement épilée. La caméra ne devait rien avoir raté du spectacle, accentuant davantage la détresse de la jeune femme. Elle se débattait comme une diablesse, en vain.

Phrase après phrase, Mélinda dévoila alors ses plans, comme une cascade de mauvaises nouvelles pour l'arrogante héritière. Son esprit était encore trop combattif pour céder totalement à la détresse, et son arrogance encore trop présente pour ne serait-ce que considérer qu'elle puisse devenir le jouet de l'assemblée dans les prochaines minutes, et ce même si c'était effectivement ce qui semblait doucement mais surement se profiler.

"Tu es totalement folle..." Lança-t-elle, jetant un regard un inquiet aux seringues disposées devant elle.

Elle essaya alors de suivre du regard la jeune femme qui se plaçait dans son dos, n'en étant donc rapidement plus capable, et elle écouta alors les humiliantes règles de la vampire, qui voulait la forcer à la faire rapidement obtempérer. Mais c'était bien mal la connaitre, que de croire qu'elle se soumettrait si vite.

"Tu peux toujours rêver... Je vais te-AAAAAH !" Un brutal cri de douleur la coupa dans sa phrase, le fouet s'étant violemment abattu sur son dos une fraction de seconde plus tôt. La douleur était vive, mais la punition pas assez sévère pour avoir raison de son arrogance.

"Espèce de salope ! Je vais te-AAHH!"

A chaque fois que Lola parlait, le fouet s'abattait durement sur sa peau, lui arrachant des cris de douleurs. Mais a chaque fois, elle refusait d'obtempérer, menaçant et insultant copieusement sa tortionnaire qui s'en donnait à cœur joie

9
Lola venait sans le vouloir de donner le point faible de sa stratégie. En effet, la riche héritière ne pouvait faire parler ses relations que dans la mesure où elle y avait accès, ce qui n’était pas le cas dans ce bar bondé de monde. Mais elle était confiante, car personne n’avait jamais osé lever la main sur elle. Si Mélinda tentait de l’impressionner, elle était néanmoins persuadée que la femme qui lui faisait face bluffait. Pour la jeune étudiante, il ne pouvait pas en être autrement, ce qui justifiait son comportement confiant. Car si Lola avait était moins arrogante, elle aurait surement compris que les choses ne se passaient pas ici comme dans son petit monde. Ici, la tutrice pouvait parfaitement décidé de la séquestrer tout en usant de sa position pour empêcher que quiconque ne le découvre. Mais ça, la jeune héritière semblait totalement l’avoir oublié, persuadée d’avoir gagné.

Elle regarda donc avec suffisance Mélinda se lever, pensant qu’elle allait prendre la poudre d’escampette après les paroles humiliantes qu’elle venait de lui lancer,  et ne vit donc pas partir la colossale gifle qu’elle lui infligea. Lola tomba à la renverse en poussant un cri de douleur et de surprise, mais, avant qu’elle n’ai pu se relever, la « meute » de sa Tutrice s’était jetée sur elle, l’immobilisant au sol. Les mains des lycéens et lycéennes couraient sur la peau nue de ses jambes pour les maintenir fermement contre le carrelage, alors que la jeune héritière se débattait comme une vraie diablesse. Mais elle ne pouvait rien faire. Ils étaient bien trop nombreux, et, avant qu’elle n’ait pu répliquer autre chose que menaces et insultes, elle se retrouva avec une cagoule qui obstruait totalement sa vue, ainsi qu’avec un collier qui venait de drastiquement rabaisser sa condition. Lola ne pouvait pas le croire, et était très loin d’avoir jeté l’éponge. Elle ne voyait désormais plus rien, et sentait juste la foule s’agiter autour d’elle. Elle s’apprêtait à lancer une dernière insulte, mais son souffle fut brutalement coupé par un pied qui coupait peu à peu sa respiration. Lola comprit rapidement qu’il s’agissait de Mélinda en entendant son discours, ne parvenant toujours pas à croire que sa tutrice osait traiter l’héritière Anon de cette manière. Son égo l’empêchait de comprendre la colossale correction qu’elle s’apprêtait à subir, totalement à la merci des soins brutaux de la dominante. Elle qui n’avait encore jamais considéré le sexe comme attrayant risquait fort d’expérimenter ses plus affreux sévices.

Alors qu’elle peinait à reprendre sa respiration, elle sentit le collier autour de son cou comme se resserrer, avant de comprendre que l’objet était lui aussi censé commencer son supplice. Alors qu’elle avait commencé à résister, refusant de se laisser traiter comme une vulgaire chienne, les pics s’étaient légèrement enfoncés dans sa nuque. Pas assez pour la blesser, mais particulièrement douloureux. Elle dut rapidement se résoudre à suivre la femme qui la dominait. Mais alors que Lola se relevait, elle fut brutalement ramenée au sol par un humiliant coup de pied dans les fesses. En entendant scander la foule, Lola comprit à quoi s’attendait la dominatrice. Contrainte d’obéir, et malgré tout dans une colère noire, elle se mit à quatre patte et suivit aveuglément la propriétaire de la laisse, se promettant de lui faire payer au centuple ce qu’elle lui faisait subir.

Mais ce serait sans doute pour plus tard. Après un petit parcours, la laisse changea de mains. Elle ne comprit pas vraiment ce qui se passait mais fut soudain soulevée dans les airs. De cruelles menottes en acier vinrent mordre ses poignet, et la gravité fit le reste, suspendant la jeune femme par les deux bras à une attaque qu’elle ne voyait pas encore. Elle sentit également un acier s’en prendre à ses chevilles, alors qu’elle gigottait en menaçant toujours les esclaves de Mélinda. Ces derniers la déshabillèrent, dévoilant son superbe corps et ses sous-vêtements de grande qualité, laissant toujours la cagoule sur sa tête. Quelques instants plus tard, alors que Lola pensait se retrouver seule, sa cagoule fut brutalement retirée. S’habituant de nouveau à la faible lumière, la jeune femme put apercevoir Mélinda dans une nouvelle tenue qui convenait parfaitement à son nouveau rôle de tortionnaire, et qui aurait du mettre la puce à l’oreille de Lola sur ce qui l’attendait réellement durant les prochaines heures, voir les prochains jours. La jeune femme remarqua alors qu’elle se trouvait dans une sorte de sale sombre, les mains menottées à un simple crochet de boucher. Tout le reste n’était qu’obscurité, et, en dernier lieu, elle put finalement observer le fouet que tenait Mélinda. Lola s’apprêtait à lancer une nouvelle insulte, mais fut prise de court par la dominatrice.

La colère de Lola grandissait encore. Personne ne l’avait jamais humiliée, personne ne l’avait jamais vue dans un si simple apparat, et la femme qu’elle considérait comme largement inférieure se tenait désormais devant elle, prête à la punir comme un véritable animal. Lola attendit qu’elle finisse pour répondre.

« Espèce de-… » Commença-t-elle, avant de changer drastiquement de ton lorsqu’elle vit le fouet se lever. « …- NON ATT-AAAAAAH ! » Finit-elle en poussant un violent cri de douleur.

Le fouet s’était abattu sur ses fesses parfaites, brulant brutalement sa peau. Et Lola ne pouvait absolument rien faire, solidement harnachée. Elle faisait désormais une proie facile. Sa colère se déversa alors.

«  Tu ne sais pas ce que tu viens de faire… Je vais te faire payer ça au centuple, et, bientôt, tu me supplieras de t’épargner. Crois-moi… »

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Territoire de Tekhos / Re : Des ruines pleines de surprises. ♥ [Pv Lola Anon]
« le: mercredi 02 janvier 2019, 16:01:50 »
Lola avait décidé elle-même de prendre des petites vacances, et, pourtant, elle s’ennuyait ferme. Il fallait dire que la jeune femme avait absolument toujours eu tout ce qu’elle désirait, ce qui n’était sensiblement pas vraiment amusant. Ces notes étaient, comme toujours, excellentes, même si elle était très loin de se donner à fond. Les études étaient une formalité lassante et barbante, et devoir trainer avec une bande d’étudiants bien moins intelligents qu’elle la répugnait au plus haut point. Au début, elle avait cru vouloir se retrouver seule dans son atelier, à essayer de plancher sur un nouveau composant particulièrement complexe, mais il s’était vite avéré que ce n’était pas réellement ce dont elle avait vraiment besoin, ni envie. L’inspiration tardait à venir, tout comme l’éclair de génie qu’elle espérait avoir, et elle avait abandonné. On lui avait souvent parler de vieilles ruines d’après-guerre, aux abords de sa ville, même si on lui avait aussi toujours défendu de s’y rendre seule. Mais une escorte était ce qui rendait aussi souvent le voyage morose et sans intérêt, d’autant que, pas une fois durant ses voyages la jeune femme n’avait été en danger. Cela voulait bien dire que les hommes et gardes qui les accompagnaient généralement n’étaient pas vraiment utiles, et que les lieux n’étaient pas si dangereux que ça. 

Bien décidée à explorer pour la première fois l’extérieur de l’enceinte de sa ville, sans être accompagnée. La sensation était grisante, même si la demoiselle n’avait pour seule défense qu’une arme de poing d’assez bonne facture. Equipée d’une combinaison de survie de dernière génération, qui moulait plutôt bien son corps de jeune adulte, Lola s’éclipsa discrètement, et parvint sans grand mal à se retrouver à l’extérieur des murs de la cité. Elle respira alors un grand bol d’air frais au gout de liberté, puis consulta sa carte. Bien, elle ne devait être qu’à une ou deux heures au maximum de l’emplacement des ruines, et serait sans doute rentrée avant même que quiconque ne remarque son absence. Sur le trajet, elle fut confortée dans son idée. Rien ne sembla réellement lui vouloir du mal, et, même pas essoufflée, elle arriva finalement en vue du fameux lieu qu’elle recherchait. Elle n’avait pas eu tort, voyager seule était bien plus stimulant, pour un risque qui n’était finalement pas si important.

Elle commença alors à se balader. Les ruines étaient empreintes d’une mystérieuse atmosphère. Certaines pièces étaient dans de meilleurs états que d’autres, et suscitaient davantage la curiosité de la jeune ingénieure. Il fallait avouer que la jeune femme était bien loin d’être une aventurière chevronnée, ni même un archéologue de renom. Aussi, ses yeux étaient davantage fascinés par ce qui ressortait le plus de ces rues antiques. Et ce qui ressortait le plus était généralement le moins abimé, ou le moins abimé. Elle s’engagea ainsi dans une rue qui dénotait par rapport aux autres, un sourire presque naïf aux lèvres. Le lieu semblait différent de tous les gravas qu’elle avait gravis jusqu’à présent, et il était presque à se demander si l’endroit avait bien été détruit au même moment que tout le reste. De bonne humeur, la jeune femme avançait donc sans une once d’inquiétude, loin de se douter de comment allait réellement finir sa journée…

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Lola ne comprit que trop tard qu’elle avait commis une erreur, même si elle ne savait pas encore bien laquelle. Le sourire de la jeune femme assise en face d’elle alors qu’elle venait de la traiter comme une moins que rien ne laissait rien présager de bon. L’instinct de Lola semblait s’être effectivement trompé, et lui dictait à présent de se lever immédiatement et de sortir du bar, mais l’arrogance de la jeune héritière ne semblait, lui, pas connaitre de limite. Fuir était un aveux de faiblesse, et il était hors de question pour la jeune femme de s’abaisser à ce genre de pratique. Elle n’était pas n’importe qui, et n’allait pas fuir devant n’importe qui. Elle plongea alors ses yeux dans ceux de la femme assise en face d’elle, alors que cette dernière avait prit la parole. Une fois de plus, Lola fut déstabilisée. Qui aurait cru qu’elle puisse à ce point parler de manière crue et agressive, comme si elle était absolument persuadée de sa situation dominante. L’orgueil de Lola l’empêchait pour l’instant de se rappeler que c’était elle qui avait choisi le lieu et que, au vu de la tournure des évènements, elle ne l’avait sans doute pas fait pour simplement le plaisir de boire un café en se rinçant l’œil.

Si la jeune femme avait vu ce qui se passait dans son dos, elle aurait sans doute compris que son monde était sur le point de basculer. Après tout, la jeune femme avait beau être arrogante, elle jouissait également d’un corps de rêve qui faisait envie à bon nombre de ses pairs. Si la femme qui lui faisait face l’ordonnait, la foule qui s’amassait dans son dos ne se ferait surement pas prier pour profiter allègrement de l’héritière. Mais pour l’heure, c’était davantage la colère qui se lisait dans les yeux de la jeune héritière. Personne n’avait jamais osé lui parler sur ce ton, et elle ne prenait pas son interlocutrice pour autre chose qu’une simple étudiante un peu zélée et indigne de son intérêt. Cette dernière avait osé l’insulter, et Lola n’allait pas laisser ce fait rester impuni. Ce fut alors au tour de la jeune héritière de sourire, et de répondre à sa « tutrice ».

« Alors écoute moi b-… ! » Se coupa-t-elle soudainement.

Une puissante poigne venait de se saisir de ses épaules, la maintenant fermement sur son siège. Elle ne pouvait pas vraiment tourner autre chose que la tête, et ne pouvait ainsi qu’apercevoir une montagne de muscle à moitié nue fermement campée derrière elle, lui coupant toute retraite. Mais elle put également comprendre que la plupart des employés et des clients du bar avaient cessé leur conversation, et s’étaient massés dans son dos et sur les côtés. Ils paraissaient désormais bien plus nombreux, et la jeune femme jeta un regard interrogateur et légèrement inquiet à son interlocutrice, commençant doucement à comprendre, avant de reprendre une consistance plus agressive. Mais elle n’eut pas le temps de réagir que les paroles de l’homme confirmèrent ses craintes. Un esclave… Des dents brusquement plus affutées… Non, la jeune femme qui lui faisait face était très loin d’être une simple élève zélée, mais plutôt une prédatrice qui venait de refermer son piège sur sa proie. Le lycée avait une certaine réputation, et Lola comprenait peu à peu pourquoi. Melinda était du même acabit que Léona, et il était hors de question pour une héritière aussi réputée que Lola de devenir une vulgaire esclave. Arrogante, la jeune femme avait confiance en sa verve, et se croyait capable de déstabiliser n’importe qui suffisamment pour le mettre à ses pieds.

« Tu crois que tu m’impressionnes avec ta petite troupe que tu exhibe fièrement ? Tu sais qui je suis, et tu sais très bien que tu ne peux absolument pas lever la main sur moi, ou me faire quoi que ce soit sans le payer au centuple. Donc, déjà, ordonne à ton chien d’ôter ses sales pattes de mon épaule. J’ai absolument le pouvoir de vous faire à tous subir n’importe quel traitement dès que j’aurais un pied en dehors de ce lieu, et je compte bien y réfléchir. Il serait donc dommage de me mettre en colère, non ? »

Le sourire était faussement enjoué et amical, laissant penser qu’effectivement, la jeune femme avait de quoi mettre son plan à exécution.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Un brutal premier jour [Adrian]
« le: mercredi 02 janvier 2019, 14:42:42 »
Lola n’en revenait pas que son premier jour commence ainsi. Jamais on ne l’avait traitée de la sorte, et jamais elle n’aurait imaginé que la moindre personne ne puisse avoir ce genre de fantasme avec son corps. Elle se jugeait tellement au-dessus des autres que se retrouver à genou devant un vulgaire professeur était une position des plus humiliantes. Ce dernier avait réussit à la berner en quelques secondes et se voyait désormais se faire offrir une fellation par l’une des plus riches et des plus puissantes élèves de l’école. Et Lola ne pouvait pas y croire, même si elle continuait de sucer avec énergie le membre de son professeur principal. Il lui fallait trouver une idée, mais la situation semblait s’envenimer. L’homme la filmait désormais en train de lui pomper avidement la bite, ce qui rendait désormais impossible toute accusation ou calomnie sur une éventuelle nature forcée de la relation. Lola n’était pas dupe, et avait souvent vu, dans ses premières années de lycée, des filles prises dans ce genre de positions. Elle savait également que dans ce monde impitoyable, ces dernières finissaient un jour ou l’autre brutalement attachées dans les toilettes du lycées, et laissées à l’usage pour tous les autres étudiants. Et ce n’était pas une condition dont on revenait un jour. Cependant, Lola se savait – ou se pensait, tout du moins – plus maligne que ces jeunes femme naïves. Elle devait supporter ce discours on ne peut plus humiliant pour trouver une solution, tout en taisant le fait qu’inconsciemment, les mots de l’homme l’excitaient un peu plus.

Mais Lola était trop fière et arrogante pour le remarquer. Tout en continuant son office, elle dardait sur lui un regard rebelle bien opposé à une quelconque idée de soumission, lui faisant comprendre qu’il était loin d’avoir gagné, et qu’elle allait le briser à son tour. Elle avala cependant sa pré semence avec dégout, comme l’aurait fait une élève appliquée et studieuse. Bien que ce ne fut que sa première fois avec le membre d’un homme en bouche, la jeune femme était douée dans tout ce qu’elle entreprenait, alors pourquoi, à termes, ne pourrait-elle pas faire une parfaite esclave sexuelle ? Après avoir laissé passer quelques minutes à s’occuper du professeur, elle retira un instant le membre de sa bouche.

« Vous vous croyez malin… Nous verrons tous les deux comment cette affaire finira. » Dit-elle, hautaine. « Comment un ridicule fonctionnaire comme vous pourrait ne serait-ce qu’espérer faire saliver une lycéenne telle que moi ? Alors profitez bien de votre petit film, parce que vous le regretterez bien assez tôt… »

La lycéenne reprit alors son office, pressée d’en finir pour trouver une solution. Le professeur allait devoir retourner en classe, et il ne pourrait pas la garder ici ou continuer de profiter de la situation. Dès lors qu’ils sortiraient, Lola irait directement mettre son plan à éxécution. Qu’importe qu’elle ait du avaler sa semence, personne n’en saurait jamais rien, et il paierait son affront au centuple.

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Gymnase en plein air et piscine / Re : Ta place est à genoux (PV Lola Anon)
« le: mercredi 02 janvier 2019, 14:17:23 »
Dire que Lola se faisait détruire était un doux euphémisme. L’arrogante héritière servait désormais de vulgaire réservoir et de jouet pour un dieu. En quelques heures tout son monde s’était écroulé, même si elle était encore bien trop fière pour ne serait-ce que le concevoir. Elle ne l’avait pas encore compris, mais son futur ne serait que torture obscènes et visuelles, sous la coupe de Nae ou bien encore du dieu qu’elle avait provoqué. Mais pour le moment, elle n’était que dans l’instant, ne parvenant même pas avoir la lucidité nécessaire pour se demander ou se dire qu’elle risquait de tomber enceinte au vu du nombre d’éjaculations que sa précieuse intimité avait déjà subie. En un sens, l’endurance colossale et l’élasticité du corps de Lola laissaient à penser que la jeune femme au destin glorieux été née pour servir de jouet et d’amusement à ce genre de personnes. Elle ne serait jamais une servante fidèle comme sa psychopathe de rivale, et cette dernière l’avait bien compris. Lola était parfaite, elle était le parfait petit jouet avec qui elle pourrait jouer avec son maitre. L’héritière continuait de crier vainement, se faisant puissamment labourer, avant que l’énorme membre du dieu ne vienne la faire taire en s’enfonçant brutalement dans sa bouche. Mais elle n’eut aucun répit, l’homme reprenant alors de puissants vas et viens et baisant sa bouche comme s’il s’agissait d’un vulgaire trou. Il sortit simplement pour éjaculer sur elle, Lola étant à peine consciente.

La belle héritière crut alors son supplice terminé, mais il n’en était rien. Une croix rendue inconfortable par de nombreux pics fut exhibée à sa vue et, en un rien de temps, elle y fut attachée. Les pics n’étaient pas vraiment blessants, mais la douleur ravivait l’esprit de la jeune femme. Elle n’était pas dans un rêve, et était désormais incapable de s’évanouir ou de s’endormir. Elle ne comprit pas le nom que cria l’homme, mais écarquilla les yeux lorsqu’elle vit arriver l’immense et immonde créature. Les métamorphes l’avaient puissamment saillie, mais n’étaient rien en comparaison de ce qui l’attendait désormais. Alors que l’homme tournait les talons, elle tenta une dernière fois de le supplier.

« Non ! Attendez ! Ne me laissez pas ! »

Mais il était bien trop tard, et il était temps pour le monstre de profiter de sa nouvelle amante. Un nouvel enfer commença alors pour l’héritière. Alors qu’elle se débattait comme une diablesse, le mastodonte perfora son fondement et son intimité avec ses énormes tentacules. Un seul cri s’échappa de la douce bouche de la belle étudiante, avant qu’un autre membre ne vint la faire terre en s’enfonçant dans sa bouche et sa gorge. La créature semblait apprécier son nouveau jouet, la saillissant brutalement alors que la jeune femme semblait soudain ravivée en énergie, sans doute par le puissant aphrodisiaque qui malmenait son corps en fusion. La douleur mêlée au plaisir était intense, mais Lola semblait incapable de jouir. Les membres de la créature grossissaient, et auraient du l’étouffer, mais elle semblait conçue pour s’amuser avec ses victimes. Lola, en proie à une extase et à une douleur indicible, se tordait dans tous les sens pour faire évoluer son calvaire d’une manière ou d’une autre. La puissance des à-coups de la créature eut tôt fait de faire céder ses liens, et la jeune femme se retrouva totalement à la merci du monstre, qui la manipula alors comme il le souhaitait. Jouant avec la souplesse de sa victime, la créature put mettre davantage en évidence ses orifices pour y enfoncer de nouveau tentacules. Lola se crut partir, mais son bourreau semblait visiblement savoir y faire pour empêcher ses victimes de s’évanouir ou de mourir à cause du plaisir ou de la douleur. Elle ne put donc rien faire d’autre que de continuer de hurler sans pouvoir jouir, tout en voyant son ventre élastique gonfler tant la quantité de semence que la créature lui déversait était importante.

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Gymnase en plein air et piscine / Re : Ta place est à genoux (PV Lola Anon)
« le: mercredi 19 décembre 2018, 14:26:08 »
L’intimité de la pauvre héritière était ravagée par les féroces molosses, et l’énorme verge canine plantée dans sa gorge l’empêchait partiellement de respirer. Elle voyait Nae se faire solidement prendre en jouissant régulièrement, alors qu’elle était simplement une saillie pour deux énormes chiens qui la labouraient sans pitié, la prenant pour un être inférieur à une femelle de leur propre race. Et Lola ne parvenait absolument plus à se débattre, forcée de se laisser totalement ravager par les puissants animaux. L’horreur d’imaginer qu’ils puissent la féconder comme une vulgaire chienne pouvait se lire sur son visage ou dans ses yeux. Non, ça ne pouvait pas être possible. C’était même scientifiquement impossible, elle le savait. Pourtant, alors que les sauvages membres continuaient de la défoncer, cette certitude était mise à mal, l’absence de réponse de l’être divin devenant rapidement particulièrement pesante. Les deux chiens la déchiraient littéralement alors que le dieu emplissait le fondement de la psychopathe d’une puissante semence avant de se retirer. Nae s’empressa, elle, de lécher le sol avec avidité pour finir de goutter au sperme de son maitre.

L’homme lui, semblait satisfait et vint arracher la verge de l’un de ses chiens de la gorge de l’arrogante héritière, qui toussa à de nombreuses reprises en reprenant un peu d’air. Mais toujours saillie par derrière, elle continua de crier en regardant le dieu avec une haine palpable. Elle n’était pas la soumise qu’il voyait en elle et comptait bien lui montrer. Mais, essoufflée, aucun mot ne sorti de sa gorge. Elle ne put alors qu’observer les deux immenses molosses changer de forme, gardant simplement leur épais membre toujours trempé de pré-semence, pour devenir deux mastodontes humanoïdes qui se tenaient désormais sur leurs deux pieds. Le chien-humain qui lui défonçait l’intimité et qui se trouvait derrière elle sorti son énorme membre de sa chatte au plus grand soulagement de la belle héritière. Cependant, il la lança à son collègue qui l’attrapa par les fesses. Elle se retrouvait ainsi plaquée au torse du métamorphe géant, les jambes écartées de chaque côté, et un curieux collier qui, en plus de rappeler sa condition de vulgaire chienne, reliait ses sensations à celles de Nae. La psychopathe semblait au septième ciel, et le mélange totalement opposé de ses envies perdait légèrement Lola. Mais elle n’eut pas le temps de se poser d’avantage de question. Alors qu’elle était plaquée contre le torse impressionnant du compagnon du dieu, la verge de ce dernier vint durement la pénétrer dans son intimité. Elle senti alors que ses griffes écartaient l’entrée de son fondement, que vint rapidement combler le deuxième mastodonte. La langue râpeuse et canine vint emplir sa bouche dans un baiser obscène alors que ses deux trous étaient violemment déchirés à nouveau. Elle pouvait ressentir le plaisir de Nae qui se faisait sauvagement déflorer par le dieu. Ou était-ce le sien ? Ravagée, la jeune héritière ne pouvait pas trouver de réponse, bloquée entre deux métamorphes bien décidés à la féconder le plus sauvagement possible.

Au bout de quelques minutes, les deux membres gonflèrent, déversant rapidement leur semence dans le corps parfait de la jeune héritière. Les immenses molosses humains l’avaient utilisé comme un branloire depuis le début de leur saillie, et semblaient finalement apaiser leur mouvement, enfonçant juste au maximum dans ses deux trous pour y déverser leur sperme odorant. La jeune femme hurlait, balancée entre horreur, douleur et plaisir, et resta empalée quelques secondes sur les deux métamorphes. Mais ces derniers, après avoir soufflé un instant, reprirent progressivement leur pénétration, recommençant à ravager la lycéenne. Ce cycle se perpétra à de nombreuses reprises, alors que la jeune femme comprenait peu à peu que les deux métamorphes ne pouvaient pas vraiment être rassasiés. Une heure plus tard, elle était toujours consciente et toujours plantée sur les deux colossales verges en mouvement qui venaient régulièrement la remplir de leur semence.

Nae, elle, semblait moins endurante que l’héritière. Elle aussi venait de se faire ravager pour son plus grand plaisir, mais avait d’avantage l’habitude de torturer patiemment ses victimes que de se faire ainsi laminer sexuellement. Non pas que l’expérience lui avait déplut, bien au contraire, mais elle était désormais à bout de force. Ce fut la seule satisfaction de Lola, qui, lorsqu’elle comprit l’utilité des colliers, écarquilla les yeux. Non, ce n’était pas vrai, elle ne pouvait pas aimer ça. La jeune femme refusait et refuserait longtemps de se rendre à l’évidence. Les métamorphes continuèrent leur besogne en attendant que leur maitre ne leur dise d’arrêter, empêchant Lola de davantage réfléchir. Pourtant, bien ancrée au fond d’elle se trouvait cette envie et cette excitation. Au fond, elle voulait que le dieu teste chacune de ses créatures sur elle. Elle voulait continuer à se faire déchirer dans de sauvages parties de plaisir avec les animaux surnaturels, et, très au fond, elle espérait que Nae avait raison et qu’elle serait séquestrée jusqu’à l’éternité. Car la belle héritière, inconsciemment, savait qu’elle ne serait jamais une esclave comme Nae. Nae était une servante dévouée et fidèle à son maitre, ainsi, elle était bien supérieure à Lola. Lola, elle, serait une fois brisée l’esclave qui continue d’être torturée, humiliée chaque jour. Si elle retournait sur terre un jour, en plus de servir de vidoir à  son dieu, elle voulait rester le jouet de Naé. Mais toutes ses envies étaient encore bien trop enfouies.

Grâce à son endurance exceptionnelle, la jeune héritière était, pour l’instant malgré elle, le parfait vidoir et le parfait sujet d’expérience. La flaque de semence canine sous son corps encore empalé était impressionnante. Sur l’ordre de leur maitre, les deux animaux sortirent avec brutalité de son intimité et de son fondement pour retourner dans leurs cages. Alors qu’elle pensait avoir finalement le temps de souffler, le dieu la nettoya rapidement avant d’accrocher ses poignets au barreau du lit. Son intimité en feu était bien plus sensible, et la pénétration fut à nouveau particulièrement difficile et arracha de nombreux cris à la jeune héritière qui se faisait à nouveau déchirer par l’être divin. Si ses cris résonnaient toujours dans la chambre, au moins, elle semblait trop choquée et épuisée pour l’insulter, c’était déjà ça…

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Gymnase en plein air et piscine / Re : Ta place est à genoux (PV Lola Anon)
« le: mercredi 19 décembre 2018, 11:44:57 »
Lola n'osait plus bouger, paralysée par la douleur, le plaisir, et la terreur. Elle était choquée d'entendre le discours de Naé car il était étonnant de justesse, la psychopathe connaissant visiblement particulièrement bien son métier. Car si Lola avait plus peur d'elle que du dieu, c'était parce qu'elle ne l'avait jamais vu à l’œuvre. Il l'avais déjà totalement dépucelée sans la moindre merci, mais Lola savait au fond d'elle qu'un tas d'hommes le pouvaient et le voulaient certainement aussi, mais Naé avait ce grain de folie qui la rendait parfaitement terrifiante, couplé au fait que la jeune héritière savait qu'elle ne s'arrêterait désormais plus de la torturer. Même lorsqu'elle aurait brisé l'arrogante jeune femme, Naé continuerait inlassablement à lui faire subir les pires supplices. La psychopathe dirigeait le plus sordide amour absolu qui soit sur la belle héritière qu'elle avait rêvé de posséder depuis le premier jour. Et elle y était finalement arrivée. Et voir l'amour de sa vie se faire détruire était sans doute ce qui excitait le plus la tortionnaire, discutant tranquillement avec son maitre, l'énorme gode toujours solidement planté dans l'anus de sa dulcinée. Elle le retira brutalement lorsque son maitre défit les liens retenant les jambes de la belle héritière, la forçant à se mettre à genou. Nae sourit en la voyant ainsi. Elle était parfaite. Elle ota alors le gag-ball de sa bouche lui infligeant une petite claque humiliante au passage, et contemplant ensuite le dieu y enfourner son membre trempé de vieille semence. Lola, de son côté, essayait de se libérer alors que l'homme utilisait sa bouche et sa gorge comme un véritable défouloir. Elle pensait y avoir échappé, mais il était à nouveau en train de la ravager. Nae se touchait en la voyant ainsi humiliée, jusqu'à ce que le dieu ne daigne enfin se soulager dans sa gorge, obligeant la jeune arrogante à tout avaler. Lola le fit à contrecoeur, mais ne rata pas une seule goutte de la semence divine, et, toujours accrochée par les liens, baissa simplement la tête pour se reposer.

Cependant, la saisissant par les cheveux comme une vulgaire chienne, le dieu défit ses liens et s'approcha de Nae, son paquet à la main. La jeune héritière se débattait toujours, et jeta un regard de haine à sa rivale qui, voulant contenter son maitre, se mit à puissamment le branler tout en lui jetant des petits regards soumis. Bien sûr, la psychopathe regrettait de ne pas avoir pu gouter la semence de son maitre, mais avait également hâte de voir comment ce dernier avait choisi de suivre ses conseils. Après tout, voir un dieu torturer une héritière humaine  jusqu'à la folie n'était pas un spectacle dont on pouvait profiter tous les jours. Collée à son nouveau maitre qui avait également sa rivale dans la main, elle se laissa avec surprise téléporter dans un monde qui n’était pas le sien. Lola découvrit avec un regard perdu le lieu dans lequel elle venait d’arriver, ne comprenant plus ce qui était en train de se passer. L’homme était donc un véritable dieu ? Était-ce seulement possible ? Et elle, avait-elle réellement commis l’erreur de ne pas le croire et de contester aussi ostensiblement son autorité ? Visiblement, car elle n’eut pas le temps de réfléchir que ce dernier ordonnait à Nae de l’amener dans une chambre particulière, ce que la psychopathe fit avec le plus grand des plaisirs. La belle et arrogante héritière se débattait faiblement, épuisée par les supplices qu’elle avait déjà subis. Elle était perdue, et, alors qu’elle pensait que la situation ne pouvait pas être pire, celle-ci empirait à nouveau, comme répondant à un inconscient instinct d’autodestruction. L’héritière allait se faire anéantir, et, si elle craignait davantage les tortures abjectes que Nae allait lui faire subir, elle commençait à appréhender les possibilités de l’être divin. Il l’avait déjà brutalement perforée et sodomisée à sec, et s’était longuement soulagé dans sa gorge. Mais un être humain aurait pu tout aussi bien le faire, et l’aurait surement fait un jour ou l’autre de toute façon, tant la jeune femme se pensait intouchable.

Alors que le dieu la laissait seule avec une Nae aux anges de pouvoir profiter un peu de la nouvelle esclave qui ne s’assumait pas, Lola fut trainée par cette dernière jusqu’au lieu-dit. Il s’agissait d’une sorte de chambre de luxure qui contenait de nombreux jouets inconnus destinés à humilier les éventuelles victimes de leur propriétaire. Avant qu’elle ne puisse réellement réagir, Lola se retrouva poing et pieds liés au milieu de la pièce, dans la même position que dans son appartement. Son corps parfait était lui mis en valeur, et Nae, une lueur folle dans le regard, s’approcha pour coller sa langue dans la bouche de l’héritière, échangeant un baiser salace avec sa future victime. Lola, elle, savait qu’elle ne pouvait pas rester là. Elle avait entendu les conseils de sa rivale à son tortionnaire, et se doutait que ce dernier devait avoir de nombreux plans derrière la tête. Il fallait s’enfuir, et elle allait profiter de ne plus être bâillonnée pour convaincre la tortionnaire de l’aider. Lorsqu’elle aurait réussit à s’échapper, elle s’arrangerait pour s’en débarrasser rapidement en la vendant comme elle l’avait fait pour la jeune fille innocente qu’elle avait capturé. Elle patienta alors que la dominante massait avec plaisir ses fesses tout en l’embrassant, et, lorsqu’elle se recula, Lola tenta sa chance.

« Nae, écoute moi. Je sais que tu ne me porte pas dans ton cœur, mais il va te faire subir la même chose… Je… » Lola dut s’interrompre alors que Nae fourrait ses doigts humidifiés par sa propre intimité dans sa bouche, l’obligeant à les lécher quelques instants. « Mais qu’est-ce que tu…- »

« Chhuuut… » L’interrompit la psychopathe. « Bien sur que je te porte dans mon cœur… Te torturer est devenue ma seule raison de vivre… Je ne pourrais jamais me passer de te voir te débattre et hurler tout en sachant que tu ne m’échapperas jamais… » Elle sembla frémir, avant de continuer. « Et imagine Lola. Peut être que ce monde n’est pas régit par les mêmes règles. Peut être qu’on ne vieillit pas ici, et que je te ferais subir les pires supplices pour l’éternité. Ce ne serait pas formidable ? Moi qui satisfait le maitre, et toi qui te fait torturer pendant des années sans jamais réussir à t’y habituer… »

Lola la regardait avec un air interloqué. Elle n’avait pas réfléchi à tout ça, et elle aurait surement du. Nae était encore plus perdue dans la démence qu’elle ne le pensait, et la jeune héritière commençait à comprendre qu’elle ne pourrait jamais lutter contre ça. La panique s’empara alors de nouveau d’elle.

« Tu es totalement folle… » Fit-elle, choquée. « Nae, tu ne vois pas qu’il va te trahir dès qu’il le pourr… Qu’est-ce que tu fais ?! » S’interrompit-elle, en voyant la dominante lui tourner le dos et récupérer un fouet. Elle jeta alors à la jeune héritière un regard plein de malice.

« NAE ! NON ! » Cria-t-elle en se débattant vainement, alors que la psychopathe se positionnait tranquillement dans son dos. « ARRETE ! S’IL TE PL…-AAAAAAH ! »

La jeune héritière poussa un cri de douleur en sentant le fouet violemment claquer ses fesses parfaites. Gloussant comme une démente, sa tortionnaire continua de longue minutes, lui arrachant des hurlements perçants qui résonnaient dans la salle de torture. Nae était visiblement dans son élément, mais, lorsque son maitre arriva enfin, elle s’arrêta docilement, ayant hâte de voir ce qu’il avait prévu pour briser l’arrogante héritière. Lola, elle, ne comprenait pas. Il était revenu avec deux petits chiots visiblement inoffensifs. Mais le visage des animaux changea brutalement. Les deux petits chiens se transformèrent en deux colossaux molosses aux membres inimaginables pour l’héritière. Elle n’eut pas le temps de supplier que le premier venait de défoncer sa jeune et délicate intimité, lui arrachant des hurlements de douleurs et de terreurs. Ces derniers furent rapidement étouffés par l’énorme membre du deuxième géant qui s’enfonça dans sa gorge sous ses yeux écarquillés, pour la prendre avec autant de sauvagerie que l’autre animal. Elle n’entendait que les râles des deux bêtes qui cherchaient simplement à se soulager et à la saillir, alors qu’elle sentait l’odeur de la verge du molosse qui s’occupait de sa gorge emplir ses narines. Elle se fit défoncer quelques minutes en proie à un désespoir absolu avant de remarque que Nae, elle, enchainait orgasme sur orgasme en étant prise contre le mur par son maitre. Alors que Lola hurlait, elle gémissait sa soumission.

« Maitre… Vous êtes trop bon… Je suis tellement.. Heureuse d’être vos servante… » Elle capta alors le regard désespéré de sa rivale saillie par deux animaux, et se tourna vers le dieu. « Maitre… Pensez vous que vos compagnons peuvent féconder une humaine ? Ou peut-être n’avez-vous jamais essayé… »

Son maitre avait parfaitement compris comment détruire peu à peu la lycéenne arrogante, et était curieuse de savoir si le dieu serait disposé à faire l’essai avec les éventuels animaux qu’il hébergeait sous son toit, ou s’il serait disposé à en faire venir de nouveau pour continuer ses expériences.

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