Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Hiroko

Pages: [1]
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Le parc et son sous-bois / Re : Fait un voeu... [PV mon génie]
« le: mardi 20 novembre 2018, 11:35:20 »
Je vous jure que j'avais eu du mal, au début, à croire que ce genre de truc puisse m'arriver. C'est vrai quoi, je n'étais qu'une lycéenne qui s'amusait en se faisant plaisir en direct contre des thunes, un genre de salope moderne quoi. Et voilà qu'en faisant mon sport, genre le truc que je faisais tous les jours ou presque, je tombais sur une lampe à un endroit où je passais fréquemment. Déjà rien que ces coïncidences, ça aurait dû me mettre la puce à l'oreille, m'intriguer, et me pousser à passer mon chemin. Mais NON ! L'adolescente que j'étais avait retrouvée son âme enfantine en voulant se prendre pour Aladdin, ce héros de dessin animé qui frottait la lampe et fit apparaître son pote le génie. Et devinez ce que j'ai fait. Bah oui, j'ai frotté la lampe. Et devinez ce qu'il s'est passé. UN GENIE EST SORTI DE LA LAMPE ! Si, je vous jure, il s'appelle Krishna et c'est mon génie. J'ai le droit à six voeux, qui sont bien sûr réglementés, mais imaginez comment je suis contente ! Je reste cependant assez calme, préférant écouter avec attention sa réponse à ma question. Il m'apprit alors que c'était impossible pour moi de le délivrer par un voeu, et qu'il était "condamné" à être mon esclave. Je ne comprenais pas encore pourquoi je ne pouvais pas souhaiter sa liberté, mais j'en étais déçue. J'aurais bien voulu le sortir définitivement de sa lampe, le retirer de sa condition d'esclave. Après tout, personne ne méritait d'être esclavagé ainsi. Il termina alors en explicitant bien le fait qu'il ne pouvait pas s'empêcher d'exaucer mes voeux, mais que je ne pouvais cependant pas le libérer grâce à un de ceux-ci. Je fis alors une légère moue de déception, j'aurais bien voulu pouvoir l'aider. Je posais alors doucement ma main sur sa tête, avec une grande gentillesse, avant de reprendre la parole à sa suite :

Alors premièrement, je t'ai demandé de me tutoyer, s'il-te-plaît. Ensuite, mon premier voeu est que tu puisse vivre tout le temps hors de ta lampe tout en restant mon esclave.
Ma liberté ne viendra seulement  à votre mort ou  que une relation amoureuse forte se tisse entre nous. Je ne pense pas que cela soit possible. Je vous trouve absolument charmante mais je ne pense que vous pouvez avoir ce genre d'attirances envers moi.


J'étais sûre de moi, pour mon voeu. Le principe de ne pas pouvoir le libérer de sa condition d'esclave était respecté, mais il quittait simplement sa lampe. Je la saisit d'ailleurs, avant de commencer à marcher tranquillement. J'avais été surprise d'apprendre ce qu'il fallait pour qu'il soit libre, et surtout le fait qu'il me trouve "absolument charmante". Et puis, il ignorait tout de mes attirances, d'abord ! Je continuais de marcher en attrapant la main du génie pour l'entraîner avec moi. Puis je demandais :

Il existe d'autres génies ? Ou es-tu le seul ?

Je dois avouer que cela m'intriguait. Et, finalement, avec un petit sourire, je vins murmurer à son oreille :

Tu ne sais pas quelles sont mes attirances, mon cher Krishna, alors n'en parle pas.

Mes lèvres effleurèrent légèrement les siennes, sans pour autant l'embrasser.

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Blabla / Re : C'est ki ki à dit quoi et où ?
« le: jeudi 15 novembre 2018, 17:24:40 »
Allez, moi aussi je me lance dans le sujet pour le remonter avec une citation super connue :

Pas d'chance... Crotte de nez

J'ai pas eu la patience de lire les 26 pages donc j'espère qu'elle a pas été déjà dite

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Le parc et son sous-bois / Re : Fait un voeu... [PV mon génie]
« le: jeudi 15 novembre 2018, 14:14:09 »
Très bien! Je suis ravie de te rencontrer ! Tu as le droit à six voeux, bien sûrs il y a quelque règle à respecter. Déjà je suis un génie du feu donc évite de d’invoquer prés ou dans de l’eau. C’est nocif pour moi. Je hais tuer donc ne me demande pas cela, interdiction de remonter dans le temps et de forcer une relation avec une autre personne. Tu as tout ton temps pour faire tes voeux et tant que tout tes voeux ne sont pas exaucer personne d’autre ne peut m’invoquer.

J'avais écouté tout ce qu'il avait à me dire, avec une attention toute particulière. Il m'apprenait des choses, j'ignorais que j'avais le droit à six voeux et non trois, et qu'il était à moi même si quelqu'un d'autre tombait sur sa lampe. En parlant de ça, je commençais à me dire que ce ne devait pas être très confortable de vivre dans une lampe. C'était petit, et puis si elle était secouée, est-ce-que tout à l'intérieur tombait ? Est-ce-qu'il avait aménagé un genre de maison dedans ? J'aurais bien voulu visiter, si ça se trouve il avait son chez-lui dedans avec tout plein d'objets tout petits ! J'esquissais un nouveau sourire en y pensant, amusée par cette situation. L'étudiante que j'étais allait pouvoir avoir six voeux pour améliorer sa vie, c'était pas génial ça ? Je soufflais doucement, avant de m'éloigner un peu de l'étang, comme il m'avait apprit qu'il était un génie de feu. Je ne voulais pas lui faire de mal, tout de même ! Je penchais ensuite légèrement la tête, posant une question qui m'avait traversé l'esprit :

Et si je fais le voeu de te libérer, sans avoir utilisé tous mes voeux, est-ce-que tu exauce quand même les autres voeux ou pas ?

Je me demandais si je pouvais lui rendre sa liberté, sans pour autant perdre tous mes voeux.

4
Je faisais de mon mieux, essayant d'exciter mon professeur. C'était désormais mon but, je savais que si j'arrivais à le rendre bien dur, alors tous les gens qui regarderaient mon show seraient excités aussi, et ce serait parfait. Je savais que ce serait difficile, je n'avais jamais fait ce genre de choses, alors satisfaire un homme était compliqué. Mais j'essayais, je parlais de moi. Mais cela ne sembla pas convainquant, parce qu'il reprit son stylo pour écrire, alors que je donnais toujours du mien. Je lisais alors ses instructions :

Citer
Parle de manière plus naturelle. Regarde-moi quand tu parles, pas la caméra.
Décris ce que tu fais, la verge que tu as dans les mains, comment tu aimerais la sucer.
Et concentre-toi dessus, arrête de te caresser pour l'instant.

Mes doigts quittèrent avec regret mon intimité brûlante. Je devenais soudain rouge, pas à cause de l'excitation mais à cause d'une gêne. Pourquoi j'étais gênée ? Je n'en savais rien. Peut-être que c'était le fait de tenir entre mes mains la longue verge de mon professeur, qui prenait peu à peu de la dureté et de la longueur. Peut-être que c'était de devoir me rabaisser à ça devant un être que je considérais comme supérieur. En fait, les réponses étaient variées, et je ne savais pas vraiment laquelle était la bonne. En tous cas, il fallait que je sois encore meilleure pour réussir à atteindre mon objectif, et je comptais bien essayer de tout faire pour y parvenir. Mes mains continuaient leur manège sur son sexe, j'y allais à présent avec les deux mains, venant de temps en temps suçoter tout doucement son bout rose. Je voulais qu'il finisse par s'abandonner à moi, se vider sur moi, ou même dans ma bouche, mais je me disais que ce serait bien lion d'arriver. Prenant alors sur moi, je laissais une main glisser sur ses bourses pour venir les palper, les malaxer. C'est vrai que, bien souvent, on les oubliait, et c'était pourtant un endroit très plaisant pour les hommes. J'avais lu ça sur internet, les sites étaient assez bien informés. J'avais l'impression d'être une véritable salope, d'être intéressée par la bite et uniquement ça. Et c'était pas loin de la vérité, en plus. Venant alors fixer mon professeur dans le blanc des yeux, je murmurais :

Elle est tellement grosse..... Je pourrais m'en occuper toute la journée.....

Je posais de nouveau ma langue dessus, le léchant avec délice.

Hmmm.....

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Le parc et son sous-bois / Re : Fait un voeu... [PV mon génie]
« le: mercredi 14 novembre 2018, 14:33:39 »
J'avais décidé de jouer à l'enfant crédule, comme pour revenir à cette époque où j'étais encore jeune et innocente. L'époque où je n'avais pas besoin d'exposer mon intimité entière sur le net, surtout pour payer mes études et tout ce qui les entourait. Cette époque où je pensais que les filles naissaient dans les roses, et les garçons dans les choux. Surtout dans les choux de bruxelles, c'était impossible qu'un chou au goût aussi répugnant soit fait pour être mangé. Et puis j'avais appris la vraie vie, celle où tu galère si t'a pas une thune et où tu es prêt à tout pour en avoir. Certes, j'aurais pu travailler, mais mes horaires de cours ne m'auraient jamais permis de payer suffisamment tout ce dont j'avais besoin. Alors qu'en me montrant en train de prendre du plaisir sur internet, les gens donnaient pour me voir, pour me féliciter, certains allaient même jusqu'à payer parce qu'ils avaient réussi à éjaculer rien qu'en me voyant prendre du plaisir toute seule. C'était bien payé, du coup, j'arrivais à vivre sans avoir à me plaindre. Mais il arrivait que j'ai des moments de nostalgie en repensant au passé. Mais c'était derrière moi, aujourd'hui j'avais besoin de ça pour pouvoir survivre. Alors ma manche frotta sur le métal légèrement noir, tout en me disant que j'étais bien bête de faire ça. C'est ce que je croyais jusqu'à ce qu'un génie ne sorte de la lampe. Je vous jure, un vrai génie, avec le nuage de fumée et tout ! Je sursautais, et manquais de faire tomber la lampe. Mais je la tenais bien fermement, les yeux grands ouverts en voyant ce génie devant moi. J'étais en plein rêve, c'était certain ! A moins que le surnaturel n'existe vraiment, après tout, rien n'était impossible... C'est ce que je pensais, sans vraiment le formuler en public. Je croyais au surnaturel, mais si je le disais, j'allais encore plus être jugée. Il prit la parole :

Bonjour, Ma nouvelle maîtresse, Je me nomme Krishna Valefor.

Je compris ce que ça voulait dire. J'étais comme Aladdin avec son copain bleu, en fait j'avais vraiment droit à trois voeux avant qu'il ne change de mains. C'était mon génie personnel, en fait ? Forcément, ma première idée fut d'avoir envie de lui demander de faire en sorte que je ne manque jamais d'argent. Je pourrais ainsi arrêter les shows, et être normale. Mais j'éloignais cette idée, je ne devais pas penser ainsi. Il fallait que je réfléchisse soigneusement à mes voeux, ils étaient sacrés et impossible de les annuler. Mais pour le moment, j'esquissais un sourire amical vers lui en répondant doucement :

Bonjour ! Je m'appelle Hiroko, et je voudrais que tu m'appelle ainsi, ce sera sûrement plus naturel. Et puis, il n'est pas nécessaire de me vouvoyer.

Je voulais qu'il règne entre nous un climat amical.

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Le parc et son sous-bois / Fait un voeu... [PV mon génie]
« le: mardi 13 novembre 2018, 14:44:29 »
Le froid me frappa au visage. Il faisait encore nuit, ou du moins le jour n'était pas encore levé. On pouvait distinguer quelques formes, éclairées par les lampadaires des rues. Je portais sur moi un t-shirt court, ainsi qu'un jogging assez moulant. On devinait les formes de ma petite culotte, mais je m'en fichais. De toute façon, vu que je montrais ce qu'il y avait dessous sur le net, rien ne me faisait peur. Je passais mon bras dans la petite pochette qui porterait mon téléphone, mettant un écouteur dans mon oreille droite. La musique de rock commença alors, et je me mis à courir. En petites foulées, sans trop me presser, ce n'était qu'un simple entretien corporel. Je faisais un jogging par semaine, parfois plus, afin de garder la ligne. C'était important de ne pas ressembler à un boudin lorsque je m'envoyais en l'air toute seule devant ma caméra, cela cassait l'envie. Alors je restais fine, je faisais ce que je pouvais pour ne pas prendre trop de poids. Mes pas frappaient tranquillement le sol, alors que je traversais la route sans me faire percuter par une bagnole. La musique continuait, changeant totalement de genre. D'une musique rock’n’roll, je passais à de la musique pop. Plus joyeuse, plus rythmée, cela me permit de me caser sur un seul rythme. Je respirais aussi dans ce même rythme, calant mes pas sur la musique. Je me dirigeais vers le parc, qui était assez grand pour que je puisse profiter d'un bon footing sans devoir faire demi-tour. Je passais les grilles d'entrée, remarquant bien les regards des hommes sur mon fessier rebondit. Mais je ne dis rien, préférant aller en direction du petit lac qui se trouvait dans une partie lointaine du parc. J'aimais cet endroit parce qu'il n'y avait presque jamais personne, donc j'étais tranquille. Je connaissais le chemin par coeur, tandis qu'une nouvelle chanson commençait.

Je laissais le son m'envahir, m'arrêtant près de l'eau pour faire quelques étirements. J'étais prête à courir encore une petite heure, j'étais très endurante. Cependant, dans les herbes un peu plus loin, quelque chose attira mon oeil. Un objet brillait parmi les brins d'herbe, et attisa ma curiosité. Je sais que j'allais avoir l'air d'une pie, ces oiseaux noirs et blancs qui était irrémédiablement attiré par tous les objets brillants qu'elle voyait. C'était un peu mon cas, je m'approchais alors de l'endroit où ce fameux quelque chose brillait. J'enlevais l'écouteur de mon oreille, venant me baisser. Mon jogging moula encore plus mes fesses, mais je n'avais même pas la tête à penser à ça. Mes doigts s'étirèrent pour saisir par la hanse une petite lampe. Comme celle qu'on voit dans le dessin animé Aladdin, si vous voyez le genre. Le type de lampe qui renfermait toujours un génie, dans toutes les histoires pour enfants. J'eus un sourire à cette pensée, c'est comme si j'étais une princesse qui allait pouvoir avoir ses trois voeux avant que le génie ne change de maître. Comme pour jouer un petit jeu, je frottais la manche de mon haut sur le côté de la lampe, sans me douter une seule seconde de ce qui allait se passer...

7
J'essayais de bien faire, pour ma première fois avec un partenaire. J'avais vraiment envie de faire plaisir au public, mais surtout à mon cher professeur. Alors je caressais proprement le tissu, essayant de le faire durcir davantage. Je le sentais sous mes doigts, il n'était pas encore bien dur. Et pourtant, la taille de la bosse pouvait porter à confusion. Je continuais alors, vu qu'il ne me disait rien. J'avoue que j'aurais bien voulu être guidée, d'autant plus qu'il avait pris un bloc-note et un stylo. C'était pour écrire son compte-rendu ou bien... ? J'eus rapidement ma réponse, puisque quelques secondes après que j'ai commencé à m'atteler à la tâche, il saisit son crayon. Je continuais, me concentrant pour ne pas laisser mes yeux vagabonder sur la feuille. Je devais surtout rester attentive au public, et non pas à ce qu'écrivait Solis-sensei. La tension, la chaleur avait commencé à monter, tant et si bien que je déboutonnais un peu plus ma chemise. Mon soutien-gorge, blanc en dentelle, fit alors son apparition. Je sentais bien que j'allais finir par craquer et poser mes yeux sur le stylo qui s'agitait. Et en plus, le professeur ne disait rien. Je ne comprenais pas pourquoi il restait aussi silencieux, aussi insensible. Ce que je faisais devait être nul... Une once de déception passa dans mes yeux, mais je le cachais à la caméra. Finalement, le crayon se reposa sur la table, et mon professeur leva le bloc-note pour que je puisse voir ce qu'il avait écrit. Bon, ce n'était pas son compte-rendu de ce que j'étais en train de lui faire. Je laissais mes yeux papillonner sur le papier, mine de rien :

Citer
Suce et lèche ma tige jusqu'à rendre le tissu assez humide pour que cela se voit.

Je compris alors qu'il allait commencer à me guider. Cela me rassura d'un seul coup, je me sentais moins seule. Alors je sortis ma langue, petit bout de chair rose, avant de le passer sur son caleçon. Je le léchais, comme il me l'avait ordonné, venant parfois approcher ma bouche du tissu pour aspirer une de ses boules, la savourant à travers le fin tissu. Je n'hésitais pas à baver un peu plus que nécessaire, rendant le tissu humide en quelques minutes. Il semblait plutôt content, si j'en jugeais au plaisir qui se trahissait sur son visage. Je laissais ma langue passer sur le tissu, appuyant légèrement dessus pour augmenter l'effet de bosse. Mes deux mains étaient posées sur ses cuisses, et j'ignorais si cela se voyait à l'écran. Je ne pensais plus qu'à une chose : donner le plus de plaisir possible à mon professeur. J'étais concentrée et en même temps je faisais ça comme si c'était devenu tout à fait naturel. Alors que, je le rappelle, c'était la première fois que je faisais ce genre de choses. J'entendis très bien le stylo passer de nouveau sur la feuille, mais cela ne me déconcentra pas de mes objectifs. Je laissais mon visage entre ses jambes, venant une nouvelle fois aspirer un testicule de Solis-sensei. Finalement, le petit bruit de la feuille en papier me fit relever tout doucement le visage, pendant que je poussais un léger soupir de désir. Je lisais rapidement ce qu'il avait noté sur sa feuille :

Citer
Pose mon sexe sur ton visage quelques secondes avant de le lécher et le sucer.
Et n'oublie pas de parler à la caméra de temps en temps pour garder le public concentré.

J'obéissais sagement. J'étais comme une poupée entre ses mains, je ne mesurais pas à quel point je le laissais tirer les ficelles de cette vidéo. Je libérais alors sa verge, encore molle, de sa prison de tissu. Je voulais jouer avec, pendant toute la vidéo, et c'est bien ce que j'allais faire. Elle me parut énorme, elle mesurait bien une vingtaine de centimètres. Dès qu'elle fut sortie de son cocon, je vins glisser mon visage contre celle-ci, appréciant la chaleur qu'elle dégageait. Et cette odeur de luxure... C'était tellement pervers de penser ça, mais j'adorais l'odeur qui régnait autour de moi. Cette pure odeur de baise, de sexe, la base de toute vie. Je la laissais quelques secondes sur mon visage, prenant un air angélique, avant de laisser mes lèvres aller s'apposer sur la base pour l'embrasser. Je soupirais, laissant alors une main disparaître sous ma jupe. Je me sentais humide, voire trempée, et j'avais cet irrésistible besoin de me satisfaire. J'enfonçais alors deux doigts en moi, gémissant comme une grosse cochonne. Ma langue alla ensuite s'abandonner au niveau des deux balles qui pendaient sous son sexe. Je les léchais, y apposant ma bave sans aucune gêne. Cette odeur de sexe m'excitait de plus en plus, et mes doigts remuant en moi augmentaient ce besoin de baise. Une bonne baise bien forte, se faire culbuter dans un coin... Ma main droite caressait la belle bite de mon professeur, avec vigueur. Il ne fallait rien laisser au hasard, alors que je me mettais à gémir de plus en plus fort, de plus en plus souvent. J'étais devenue une vraie petite pute, mais j'aimais ça. Mes doigts continuaient de danser en moi, pendant que je relevais doucement mon regard vers lui. Un regard empli de luxure, sans doute, et je n'hésitais pas une seule seconde pour laisser échapper quelques mots, entre deux léchouilles :

Regardez-moi cette chienne en chaleur...

Je n'arrêtais pas, je gémissais en espérant que cela ne s'arrête jamais. Oui, je voulais continuer de m'occuper de lui, mais aussi qu'il s'occupe de moi. Pour le moment, je me contentais de mes doigts, espérant recevoir une récompense après.

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Bien, donne-moi un instant.

La jeune femme que j'étais était très sage, et légèrement angoissée. C'est vrai, je n'avais pas l'habitude de ce genre de choses parce que c'était bien la première fois que je le faisais. Enfin, que je le faisais sur un membre en chair, et pas sur un morceau en plastique. Et cela me foutait un peu le trac, il faut se l'avouer. L'enseignant retourna chercher, dans la même mallette que l'ordinateur, un caméscope. Je ne voyais pas le nom de la marque, mais je compris bien vite que c'était du haut-de-gamme. Je ne pouvais pas m'en offrir un aussi performant, même si le mien avait une qualité assez bonne pour donner des détails bien excitants sur ma partie intime. Je le vis l'allumer, et c'est avec calme que je l'écoutais prendre la parole :

Tu n'es pas une débutante, mais autant revoir certaines choses. Les gens qui regardent ce genre de vidéos aiment que la femme qui y apparaît parle. Pas au point de le faire trop, mais une petite présentation, un coucou, des explications sur ce que tu vas faire de manière coquine et taquine par exemple. Sombrer dans la vulgarité n'est pas intéressant, sauf si le contenu qui sera proposé est hard. Prendre la température de la situation et agir en conséquence est une règle de base.

Il attrapa une chaise, l'emmenant avec lui pour se reposer là où il se tenait avant d'aller chercher le caméscope. Je continuais de l'observer, mes grands yeux émeraudes ne cessant de dévisager mon professeur. Je le regardais s'asseoir, fermant volontairement les jambes. Cherchait-il à me compliquer un peu la tâche ? Je ne savais pas vraiment, mais j'en déduisis rapidement que oui. Mes cuisses fermées, je continuais d'attendre que les choses sérieuses commencent. Après tout, mon professeur voulait m'aider mais il était normal que je prenne bien le temps de lui faire plaisir, de lui procurer du bien aussi. Je réfléchissais déjà à comment faire, alors qu'il me donna de nouvelles instructions. Il fallait que je parle à la caméra en restant debout, en m'approchant, et même une fois à genoux devant lui si je trouvais cela aguicheur. Puis je devrais prendre les choses en main, et réussir à faire en sorte qu'il me balance tout son jus. J'esquissais un léger sourire, je donnerais tout ce que j'avais pour lui faire du bien. Il continua de parler, en me prévenant d'une certaine particularité : il pouvait éjaculer deux à trois fois plus que la normale. Cela m'impressionna, mais lorsqu'il évoqua le fait de m'en mettre sur le visage, je n'opposais aucune réaction. S'il voulait couvrir tout mon corps de son sperme chaud et gluant, alors qu'il en soit ainsi ! J'eus un petit sourire amusé quand il rappela qu'il n'était là que pour encadrer, et que j'étais parfaitement libre de refuser. Comme si j'allais refuser, sérieusement ! Je fs alors un léger signe de tête à mon professeur, lui faisant ainsi comprendre qu'il pouvait allumer la caméra. Il le comprit, et je vis alors la petite lumière rouge s'allumer. Je pris alors un visage sensuel, m'approchant de lui avec grâce. Tout en m'avançant, je me mis à parler d'une voix suave :

Bonjour... Aujourd'hui, cette vidéo va être un peu particulière... Comme vous pouvez le voir, j'ai avec moi un partenaire, dont je vais gentiment prendre soin...

Je m'abaissais au niveau de son pantalon, mes mains se baladant sur le tissu. J'étais un peu anxieuse, mais je le cachais. Mes doigts habiles vinrent retirer le bouton du pantalon de mon professeur, avant d'abaisser la fermeture éclair. Cela produisit un joli "zip !" et je fis un petit sourire amusé. Tout en regardant la caméra, bien entendu, et en leur donnant une belle vue sur mon décolleté. Mes yeux papillonèrent alors sur le sous-vêtements de Solis-sensei, que je me mis doucement à caresser. Il était déjà dur, ce qui me facilita assez la tâche. Je m'amusais donc à le caresser au-dessus du tissu, guettant ses réactions. Est-ce-que c'était bien, ou mal ? Est-ce-que j'arrivais à lui procurer des sensations ou pas ? Je ne savais pas, je me questionnais l'espace de deux petits secondes avant de venir laisser mes lèvres glisser sur son sous-vêtement. Je cherchais d'abord à exciter le public, en faisant languir cette belle verge qui m'attendait sous le tissu. Mais je devais aussi penser au plaisir de mon professeur, qui n'apprécierait sûrement pas d'être manipulé trop rapidement.

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Depuis que j'avais pénétré dans la pièce, je me sentais légèrement plus à l'aise. Pas de cours après, pas d'élèves gênants pouvant observer ce qu'on faisait, puisque les portes des salles d'étude ne comportaient pas de vitre. Alors j'étais plus à l'aise, même si je savais que la conversation allait tourner autour de mes vidéos pornographiques. Car c'est ce que je faisais, je mettais en scène mon propre corps pour exciter des personnes, mais aussi m'exciter, et payer ainsi mes frais d'inscription et tout ce qui s'y rattachait. Alors je prenais mes aises, posant mon fessier sur une des tables, tout en écoutant mon professeur s'adresser à moi :

Oui, je pense que nous devons avoir une sérieuse conversation sur ce que tu m'as dis plus tôt. Je ne suis nullement en droit de te dire quoi faire de ton corps. Tu es assez grande et intelligente pour savoir ce que tu fais... en général. Ton erreur t'a coûté cher car je pense que beaucoup de personnes sont désormais au courant de ce que tu fais. Les jeunes ne sont pas crédules en plus d'être précoces en consommant beaucoup de contenu pornographique dès le début de l'adolescence.

Il quitta alors sa chaise, venant saisir son ordinateur. Il était rangé dans sa pochette, preuve que Solis-sensei prenait soin de ses affaires. Je le regardais, assez intriguée de ce qu'il allait en faire. Il ouvrit l'écran, alluma son ordinateur et je compris rapidement le but de la présence de cette machine quand il alla sur le site où je me produisais. J'avais honte de moi, mais je tapais mes identifiants et mon code quand il me le demanda. Il était un professeur, je n'avais pas d'autre choix que de lui obéir sagement. J'étais respectueuse de la hiérarchie, et je laissais ensuite libre accès à mon compte. Voir le professeur Solis éplucher mes vidéos, vérifier qu'il y avait uniquement moi dessus, dans toutes les positions, tenues et avec tous les sex-toys que je possédais, ça me mettait très mal à l'aise. J'étais devenue rouge écarlate, j'avais vraiment honte de mon comportement. Mais en même temps, j'y prenais du plaisir et c'était pour la bonne cause. Je reposais doucement mon regard sur lui lorsqu'il reprit la parole, mais cela me surprit. Il m'apprit donc que prendre du plaisir seule, même en ligne, allait vite devenir une gêne car c'était très limité, pouvant même me forcer à partir dans les extrêmes si j'étais seule. Je comprenais ce qu'il voulait dire, il faudrait sans doute que je me trouve un partenaire pour jouer. Non, c'est ce qu'il affirma ensuite qui me surprit venant de la part d'un professeur. Il semblait me proposer d'être ce fameux partenaire. Il exigeait seulement que son visage reste en dehors de la caméra, venant ensuite avancer ses arguments. Premièrement, il me laissait la totalité de ce que nous allions toucher.
Ensuite, il affirmait pouvoir m'apprendre des tas de trucs en rapport au sexe, et termina en m'apprenant qu'il pouvait me mettre en contact avec des autres partenaires et des lieux auxquels je ne pourrais pas accéder seule.

J'étais vraiment surprise de sa déclaration. Je ne comprenais pas pourquoi un professeur me proposait de devenir mon partenaire de sexe, pour me faire plus de sous, sans rien demander en échange. Enfin, c'est vrai que cela me plairait beaucoup de pouvoir toucher plus de sous, car mes économies augmenteraient de façon considérable, mais en même temps je me demandais pourquoi il me proposait ça. Solis-sensei me paraissait tellement détaché de ça, comme s'il se fichait de la réputation de ce lycée et n'était là que pour enseigner... Je penchais un peu la tête, réfléchissant au pour et au contre de ce qu'il me proposait. D'un côté, il avait raison sur tous ses arguments. J'allais gagner plus de sous, plus d'abonnés et pouvoir me laisser davantage aller. Et puis, je dois avouer que cela devait être plus amusant à deux. Mais de l'autre, cela me paraissait tellement insensé de le faire avec un professeur, et encore plus avec un professeur qui semblait être totalement insensible aux charmes et atouts des élèves. Mais je dois avouer qu'il avait déjà réussi à me convaincre, rien qu'avec les première phrases. Alors je posais mon regard sur lui, prenant une grande inspiration avant de l'écouter terminer de parler :

Nous pourrions faire un test dès maintenant si tel est ton souhait. Tout le monde est actuellement en classe et j'ai mon caméscope avec moi. Une simple scène de fellation pourrait donner envie à tes fans d'en voir plus par la suite. Tu pourras même leur demander ce qu'ils souhaitent que tu fasses pour eux après un certain temps.
La balle est dans ton camp...


Je ne cachais alors pas ma surprise. Il voulait qu'on fasse une petite démo, là, maintenant, dans une salle de classe ? J'étais vraiment sous le choc de sa proposition, le professeur était donc sensible à certains charmes ? Ou bien faisait-il cela uniquement pour m'aider ? Je l'ignorais, mais je savais que je devais prendre une décision. Puis que tout le lycée - ou presque - était au courant que c'était moi, je pouvais désormais montrer mon visage. Cela ne ferait qu'augmenter l'envie des hommes vis à vis de ce que je ferais, d'autant plus que j'avais un petit visage angélique parfois. Je rougis intensément, au comble de la gêne. Est-ce-que je devais accepter ou non ? Après tout, rien ne m'en empêchait vu que tout le monde avait cours à cette heure-là, sauf ma classe. Mais beaucoup d'entre eux étaient partis en ville, donc je pouvais être tranquille vis à vis de ça. Je m'approchais légèrement de lui, avant de croiser les bras et de répondre avec calme :

D'accord, faisons ça... Juste une fellation, ou vous en désirez davantage, Solis-sensei ?

Après tout, s'il m'aidait à augmenter ma cote de popularité sur le web, je pouvais bien me plier à quelques exigences.

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Il n'avait pas jeté un seul coup d'oeil sur ma petite culotte, il venait de m'impressionner. Beaucoup de mecs auraient louché sur mes sous-vêtements, mais Solis-sensei devait assumer son rôle de professeur. J'avais un peu peur de la suite, s'il me sanctionnait cela serait noté dans mon bulletin scolaire et ruinerait toutes mes chances d'atteindre les plus grandes écoles. C'est aussi pour ça que je faisais mes petits shows, j'économisais pour pouvoir faire des études supérieures. Je n'avais pas peur de lui, mais plutôt des conséquences que pouvaient avoir mes actes. Si j'avais été plus prudente, jamais personne n'aurait fait le lien entre les vidéos et moi, mais avec mon sac... J'avais été une godiche, une idiote, alors que je n'étais pas stupide. Mon professeur posa alors sa main droite sur son bureau, se levant avec lenteur. Vous savez, comme dans ces films américains où un professeur se lève de son bureau, avec un air très sinistre sur son visage, et que tous les élèves se mettent à avoir peur. Eh bien c'était ça, l'air sinistre et les élèves apeurés en moins. Mais je continuais de le regarder, alors qu'il contournait le meuble avec lenteur. Je le suivais des yeux, mes prunelles plantées dans les siennes. Je soutenais son regard, mais sans une once de défi. Non, je me contentais de le regarder dans les yeux avec un air de respect, et un sourire tendu s'afficha sur mon visage. Il se positionna ensuite en face de moi, avec un air très important. Droit dans ses bottes - enfin, dans ses chaussures, mais vous avez sans doute saisi l'idée - et les bras croisés, il me faisait un peu penser aux inspecteurs de police quand ils interrogeaient un criminel. Et donc, en l'occurrence, le coupable ici c'était moi. Je ne confiais pas cette idée à mon professeur, préférant l'écouter me parler plutôt que de raconter des âneries :

Non, je ne vais pas te sanctionner. Pourquoi je le ferais ? Tu es une élève studieuse, même l'une des meilleures de ma classe. Il y a également de fortes chances que tu continues même si on te l'interdit, je me trompe ? Je vais donc t'aider, comme promis. Les shows privés où te donnent du plaisir en solitaire ne sauront satisfaire qu'une tranche de personnes.
Cela peut sembler bizarre à entendre venant d'un enseignant. Sauf que beaucoup de tes camarades séduisent leurs professeurs pour avoir de meilleures notes. Cela ne fonctionnera pas sur moi... Je t'aiderai donc à mieux gagner ta vie en dehors des cours.
Et commence par descendre de ce bureau, j'ai un nouveau cours à donner dans cinq minutes. Retrouve-moi dans la salle d'étude n°2 dans une heure.


Il m'avait assez surprise, oui, mais c'est avec gentillesse que j'obéissais à son ordre. J'attrapais mon sac, avant de sortir de la salle, au comble de la perte. Je voyais dans les couloirs, les yeux qui se posaient sur moi. Ils avaient sans doute tous vue ma vidéo, j'étais jugée. Mais je m'en foutais, je marchais la tête haute. Leurs critiques et leurs pensées me passaient dessus sans m'atteindre, j'allais à la bibliothèque. J'avais un exposé à faire, et je comptais bien travailler dessus avec beaucoup de sérieux. Comme tous mes cours d'ailleurs, j'étais toujours investie dans mon travail et cela se ressentait dans mes notes. Alors je me penchais sur mon travail, mais mon esprit était ailleurs. Je me demandais ce que me voulait mon professeur, je ne comprenais pas pourquoi il voulait me voir. Et surtout, ses mots m'avaient surprise, tournant encore dans ma tête. Il voulait m'aider à mieux gagner ma vie en dehors des cours ? Qu'est-ce-que ça voulait dire ? Je n'en savais rien, j'avais un peu peur de ce qu'il voulait dire par là. Je surveillais l'heure avec beaucoup d'attention, regardant parfois ma montre deux ou trois fois dans la même minute. J'avais le trac de la suite, mais en même temps j'étais assez calme. Il ne me sanctionnerait pas, il voulait m'apporter son aide. Mais l'heure tournait, et je remballais rapidement mes affaires. Je mis mon sac sur mon dos, remettant en place mon serre-tête, avant de prendre la direction de la salle d'étude en question. Je n'angoissais plus autant qu'avant, de toute façon je n'avais pas le choix. J'arrivais devant la porte, à l'heure pile. Je toquais trois petits coups, avant d'entrer tranquillement. Je n'avais, effectivement, pas attendu son feu vert. Je posais mon sac dans l'entrée de la salle, refermant la porte, avant de m'avancer doucement en demandant :

Vous vouliez me voir ?

Les choses sérieuses commençaient.

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Je savais que le professeur voulait me parler. Sans doute suite à mon quasi retard en cours, ou bien parce que je n'avais pas été très concentrée aujourd'hui. Après tout, j'étais studieuse et volontaire, cela avait sans doute dû le surprendre que je ne sois pas aussi impliquée que d'habitude. Cela m'avait assez stressée, parce qu'il me semblait que c'était bien plus compliqué. Comme s'il avait deviné mon petit secret, une chose dont j'étais assez honteuse. Cela ne pouvait pas être une grande fierté de devoir se toucher sur le net pour pouvoir payer ses frais d'admission dans un lycée. Si ? Pas pour moi, je me sentais assez honteuse de ce que j'étais obligée de faire. Pas parce que j'avais honte de mon corps, loin de là. J'avais des courbes voluptueuses, un corps que beaucoup de femmes pouvaient envier, et un regard à rendre fou plus d'une personne. C'est vrai que mon regard émeraude pouvait devenir un atout en soirée, pour entraîner mes partenaires dans mes draps. Et puis, mes yeux trahissaient souvent ce que je ressentais, donc si je ne vous aimait pas, cela se voyait tout de suite. Mais pour le moment, je me trouvais face au bureau de mon professeur. Et j'étais vraiment très gênée de la situation. Il avait son téléphone en main, et rapidement je compris de quoi il voulait parler. Sur l'écran que je voyais, je reconnus mon mur, mes rideaux et, en bas, mon sac de cours. Le même que celui que je tenais en main. Quelle erreur... Mais surtout, on me voyait en train de me soulager grâce à un jouet, et je trouvais cela rapidement honteux. La vidéo était arrivée je ne sais comment aux yeux d'un professeur, comment allais je pouvoir me sortir de ce pétrin ? Je n'eus pas le temps d'y réfléchir parce qu'il prit alors la parole :

Hiroko, une de tes camarades est venue me voir ce matin pour me montrer ceci. Il s'agit bien de toi, n'est-ce pas ? On peut voir ton sac à la fin de la vidéo. Le même sac que tu tiens à la main en ce moment même. J'aimerais que tu m'expliques pourquoi tu fais ça. Ce n'est pas digne d'une jeune femme aussi intelligente et studieuse que toi. Si tu as des problèmes, tu sais que tu peux m'en parler. Si je peux t'aider, dis-le moi... Je ferai tout ce que je peux.

J'avais beau essayer de déceler quoi que ce soit dans sa voix, rien n'était anormal. Pas d'animosité, pas d'ironie, rien. Il était donc sincère en me proposant son aide ? Je n'arrivais pas à lui faire confiance, je restais très méfiante. Pourquoi cela ne le choquait il pas ? Pourquoi était-il en train d'essayer de comprendre les raisons de mes actes ? Je n'arrivais pas à trouver de réponse logique à tout ça. Avait-il éprouvé un certain plaisir en regardant cette vidéo ? Est-ce qu'il voulait en profiter ? Il n'en avait pas l'air pourtant... J'allais alors m'asseoir sur un bureau, croisant les jambes afin de lui permettre d'apercevoir les contours de ma culotte. Après tout, j'avais un joli corps, autant le montrer. J'avais pourtant une distance avec lui, laissant largement la place d'y passer un élève. J'avais envie de simplement partir, sans avoir à me justifier, mais je n'en avais pas le droit. J'avais beaucoup de respect pour mes supérieurs, et Solis-sensei était un de mes supérieurs. Alors je décidais simplement de laisser mon sac tomber au sol, honteuse de moi. J'avoue que je n'avais pas été maline en laissant ce fameux sac de cours visible à la caméra. Je me maudissais de ne pas avoir été plus prudente, je me faisais aussitôt la remarque d'être plus attentive la prochaine fois. Car oui, je ne comptais pas m'arrêter là. Du coup, une fois que j'avais montré un peu le genre de nana que j'étais, parce que oui j'aimais la luxure et je n'avais pas peur de le dire. Je voulais le tester, voir s'il était le genre de prof à détourner les yeux ou bien à les laisser traîner sous les vêtements que je portais. Et puis, de toute façon, tous les hommes étaient pareils, ils aimaient voir une petite culotte et s'imaginer ce qu'il y avait dessous. En soi, ce serait plus simple de l'imaginer si elle était mouillée, mais ce n'était pas encore le cas. Je répondis donc :

Oui c'est moi, vous n'avez pas besoin de ma confirmation. Cela vous plaît ? Je fais ça pour payer mes études, pour avoir un minimum de revenus pour vivre. Vous croyez que j'ai payé comment mon admission ? J'ai profité de ce que la Nature m'a donné pour me permettre d'atteindre mes objectifs.

Une idée me vint alors en tête, assez craintive :

Vous allez me sanctionner ?

J'espérais que non, cela serait noté dans mon bulletin scolaire.

12
Domicile d'Hiroko, dimanche 4 novembre, 21h07

Mes doigts touchèrent doucement la caméra, la positionnant correctement face à moi. Je savais exactement comment faire, comment la mettre pour que personne ne sache qui j'étais. Je la plaçais de la bonne façon, prenant le temps de montrer à mes fans mon magnifique décolleté brillant. J'avais mis une crème spéciale, qui donnait un air de sueur, comme si j'avais déjà très chaud. Ce qui, en soi, n'était pas loin de la vérité. J'avais déjà commencé à me toucher un peu, pour leur offrir le plaisir de voir ma vulve déjà toute humide. Cela faciliterait bien le travail. Je reculais alors, mes mains déjà à l'oeuvre sur ma poitrine, m'arrachant des petits soupirs de plaisir. Je savais exactement comment leur donner envie de moi, les hommes étaient bien tous les mêmes. Et les femmes encore plus perverses, alors un peu de luxure bien placées leur faisait un effet de dingue. En fond sonore, il y avait une petite musique calme, comme pour augmenter le désir de mes internautes. Je pointais sévèrement, et je m'abandonnais sur mon lit. Mon intimité dévoilée, mes doigts se mirent à tranquillement faire leur bonhomme de chemin, sans entrer dans mon corps. Je me caressais, gémissant comme une folle. J'exagérais parfois un peu, mais uniquement pour donner davantage envie aux personnes qui me regardaient. Je voyais leurs commentaires à l'écran, une grande partie me demandaient d'aller plus loin. Je plaçais alors correctement mes doigts, écartant devant eux mes lèvres intimes, mon autre main saisissant un gros chibre en plastique. Je le frottais à moi, tout en l'actionnant. Les vibrations contre mon intimité me firent alors gémir de plus belle, alors que les hommes en demandaient toujours plus. Finalement, j'introduisais le vibro en moi, me faisant du bien jusqu'à atteindre le septième ciel. Ce ne fut qu'après que je remarquais, dans un coin, mon sac de cours orné de mon prénom.

Lycée Mishima, lundi 5 novembre, 9h30

J'étais arrivée pile à l'heure à mon cours avec Solis-sensei. J'avais toujours été en avance, et là j'avais juste prétexté une panne de réveil pour qu'il me laisse tranquille. Il ne me croyait sûrement pas, mais je m'en fichais. J'étais une bonne élève, je faisais mes shows pour pouvoir payer mes frais d'inscription et tout ce qui touchait à la vie étudiante que je menais. Je m'asseyais donc à ma place, sortant mes affaires sans dire un seul mot. Quelque chose dans le regard de mon professeur m'étonnait, comme s'il savait que j'avais eu autre chose qu'une panne de réveil. Mais je ne dis rien, si cela se trouve, mon cerveau me jouait des tours. Je tentais de me raisonner, de me dire que c'était sûrement ça. Après tout, il ne pouvait pas savoir que, quelques heures auparavant, j'étais allongée sur mon lit en train de me faire du bien sur internet. Si ? Cette pensée me traversa l'esprit pendant tout le cours, et je n'arrivais pas à me concentrer. Cela devait se voir, car il m'intima de rester après le cours. Bon, l'avantage, c'est que je n'avais aucun cours après, donc je pourrais prendre le temps de discuter avec mon professeur. Mais je devais, avant ça, trouver une excuse valable expliquant le fait que je ne sois pas concentrée. Et impossible de prétexter une fatigue, parce que cela se lisait sur mon visage que je n'étais pas fatiguée. Je verrais bien, je trouverais une excuse sur le moment. La cloche sonna alors, et je me levais calmement. Rangeant mes affaires, je sentais le regard de mon professeur sur moi. Que me voulait-il ? Je l'ignorais, et je m'approchais de son bureau avec une grosse boule au ventre.

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Prélude / Re : Un humain normal ?
« le: mercredi 07 novembre 2018, 12:47:46 »
Bienvenueeeeeee !

J'exige un lien avec toi  :P

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Le coin du chalant / Une étudiante derrière un écran
« le: mardi 06 novembre 2018, 16:10:11 »
Bien le bonjour ! Je recherche des liens pour ma cochonne petite étudiante innocente et pure !

Partenaire particulier : Un autre élève, ou une autre personne, qui elle aussi s'amuse à se montrer derrière un écran, et qui voudrait échanger des expériences (ou plus) avec ma perso. Tout type de personnes acceptées, bien entendu.
Maître chanteur : Une personne, de préférence adulte, découvre que Hiroko fait des choses pas bien sur internet. Pour obtenir d'elle des séances privées de luxure, il/elle la fait chanter en la menaçant de dévoiler au monde entier qui elle est.
Un vrai ami : Une personne qui sait qui elle est, ce qu'elle fait et ne la juge pas. Il/elle l'accepte telle qu'elle est, même s'il leur arrive de dépasser un peu les bornes de l'amitié.

Je suis ouverte à toutes idées !

 :-*

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Prélude / Hiroko, étudiante particulière [Valikoyée]
« le: mardi 06 novembre 2018, 13:49:45 »
Identité : Hiroko
Âge : 18 ans
Sexe : Femelle
Race : ESPer
Sexualité : Je prends tout !

Physique :
CLAC ! Une bretelle de soutien-gorge claqua sur la peau pâle de la jeune femme, sans doute un jeune homme qui venait la taquiner. Ses yeux verts se plissèrent sous l’effet de la douleur, mais elle se laissa faire sans protester. Elle tourna légèrement la tête, ses longs cheveux roses venant masquer une partie de son faciès. On devinait cependant un nez fin et aquilin, et une bouche suffisamment pulpeuse pour en faire baver tous les mecs de son lycée. La demoiselle était penchée en avant, son décolleté laissant apercevoir une poitrine généreuse, et sa position donnait une splendide vue sur sa petite culotte blanche. Elle remonta alors son serre-tête cornu, ressemblant à une succube, avant de se redresser doucement. Sa main, fine et féminine, tenait entre ses doigts - bien manucurés - son stylo, qu’elle venait de ramasser. Elle lança une œillade autour d’elle, vérifiant que personne ne l’avait remarquée.

Caractère :
Elle réprima un léger frisson de plaisir. La si bonne odeur des cookies qui cuisaient dans le four lui donnait faim, elle qui était si gourmande. Elle adorait les pâtisseries, et elle aimait tout autant les faire. Mettre du temps à les préparer pour qu’elles deviennent, au final, de belles créations qui finissait par se faire croquer, c’était une grande fierté pour elle. Car oui, mademoiselle était fière de ce qu’elle faisait, et elle n’avait aucun honte à assumer toutes les parties de son être. Après tout, elle avait tout pour séduire : intelligente, belle et bonne cuisinière. Mais elle était aussi une sacré perverse, sous ses airs de sainte-nitouche. Elle avait toujours eu cette attirance, que ce soit envers les filles ou les mecs, pour les belles personnes. Elle les attirait dans son lit, leur volait quelques heures de plaisir ultime et ensuite s’en débarrassait. Enfin, pas toujours, puisqu’elle partageait souvent ses ébats solitaires sur le net… En même temps, fallait dire qu’elle était assez bonne, donc autant en faire profiter les autres. La sonnerie du four réveilla notre éternelle rêveuse, qui retira alors ses doigts de son antre humide, allant laver ses mains avant de sortir les cookies du four.

Histoire :
Tout commence dans un lieu où la débauche et la luxure sont les maîtres mots. On entend, de partout, des grossièretés et des gémissements, et une sale odeur de sexe empeste les tissus. Certains ont tellement reçu de saloperies qu’ils en sont tachés, mais cela n’empêche pas cette blonde à forte poitrine de se laisser tomber sur le lit, surplombée par un grand brun bien monté. Elle a l’habitude de se faire déchirer par des hommes bien membrés, et surtout de le faire devant tout le monde. Elle est une des femmes les plus actives, celle qui gagne le plus. Faut dire qu’avec un corps pareil, personne ne peut lui en vouloir.

Et à côté, il y a cette petite fille. Cette gamine, d’à peine un an, qui chiale dans son berceau improvisé. Mais il y a tellement de cris et d’orgasmes que personne ne l’entend. Personne ? Si. Il y a une femme, nouvelle dans cet endroit, qui entend ce petit cri de détresse. Qui vient la voir, la prend dans ses bras et la berce. La petite n’a pas sommeil, mais le réconfort qu’elle sent dans les bras de cette femme la font finalement se calmer. Et pendant ce temps, personne n’a remarqué l’acte de la jeune femme. Les autres sont tellement occupées à jouir que personne ne fait attention à la gamine, qui n’a pas sa place ici.

Alors c’est tout naturellement qu’elle va voir celle qui est la mère de l’enfant. Mais celle-ci la rabroue, lui disant alors que si elle aimait tant les gosses, elle n’avait qu’à la garder. Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde, vous vous en doutez, et c’est ainsi que la petite Hiroko sortit des bordels. Elle pouvait enfin avoir une vraie vie, loin de la luxure et des baises en public. La femme avait décidé d’écouter sa mère naturelle, et d’adopter officiellement la petite. Après tout, elle en avait le droit, puisque sa mère lui avait dit. Alors c’est ce qu’elle fit, et elle éleva elle-même la jeune fille.

Elle lui donna tout ce qu’elle pouvait. Amour, éducation, tout ce qu’elle-même n’avait pas pu recevoir de sa mère. Elle essaya de toujours se battre pour qu’elle ait ce qu’elle voulait, qu’elle fasse ce qui lui plaisait. La jeune fille savait qu’elle avait été adoptée, elle savait que sa mère se prostituait, mais jamais elle n’avait cherché à la retrouver. Pour lui dire quoi ? Que c’était une traînée, et qu’elle était heureuse avec sa mère adoptive ? Inutile, de toute façon elle ne la reconnaîtrait pas. Car la jeune femme, qui avait bien grandit, avait changé de look et de façon de se comporter.

Elle avait laissé ses cheveux pousser, et les avait teint en rose. Elle portait toujours son serre-tête orné de cornes de diablesse, et ne portait pratiquement que du rouge. Sa mère adoptive, elle, était décédée. C’était le déclencheur de tout, elle n’avait que 17 ans. Et voilà qu’elle perdait la seule personne qu’elle avait. Alors elle se débrouilla pour payer ses frais de scolarité, en partageant sur certains sites les ébats qu’elle avait seule. Et puis, elle commença à prendre goût au sexe sans lendemain, prenant toujours son pied. Hommes ou femmes, d’ailleurs, mais toujours à l’extérieur du lycée.

Ah oui, cette jeune fille… C’est moi.

Autre :
Mademoiselle manipule, avec brio, la température. Cela explique beaucoup de choses, y compris le fait qu’on ait parfois subitement envie de se mettre tout nu tellement la chaleur est suffocante. Elle pratique la danse, la zumba pour être plus précise, et le sport en chambre.

Comment avez-vous connu le forum?
Toujours DC d’Hisma, et je reconnais avoir pris connaissance du contenu du topic sur le traitement automatisé des données personnelles qui est fait par l’hébergeur de LGJ.

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