Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lexie Calbury

Pages: [1] 2
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Blabla / Re : [Jeu] Le cadavre exquis
« le: vendredi 20 avril 2018, 13:39:07 »
Il était une fois dans la contrée de l'horreur, une petite fille en pleurs sur son vélo, pourchassée par des taureaux et des pingouins roses ! Il y avait aussi un grand plat de spaghettis géants dans la pub loto diffusée sur un panneau publicitaire au milieu du désert. Quand tout à coup, un vieux polochon mouillé accompagné d'un vieux mystérieux surgirent devant la petite fille qui tombe de son vélo vert qui finit sa vie. Le polochon se mit alors à luire et le kangourou sautait toujours plus haut jusqu'à manger des haricots magiques qui étaient tendres comme le zizi de Kongz.

- Bigre ! S'exclama le lecteur en lisant cette histoire.

En effet, tout le monde sait que Kongz et la petite fille du roi burgonde et de Bernadette Chirac partagent bien plus qu'une relation hautement pédagogique, puisqu'ils sont copropriétaires d'un club de strip-tease mais aussi de boule lyonnaise, à ne pas confondre avec de la mayonnaise. Quand tout à coup, le terrible ketchup qui s'avérait être en réalité du sang de règle car il s'était trompé de vocation, voulant devenir branleur de dindons, éclaboussa un groupe de scouts qui passait par là.

Les scouts moururent noyés dans la gueule béante d'un Sarlacc constipé à force de manger des petites filles pour embêter les fans de lolis. Et c'est alors que Jean-Claude Van Damme dans son superbe caleçon vert, définitivement aware de la situation actuelle, qui n'est autre que la division par 0, s'élança dans un somptueux coup de pied aérien, avant d'être finalement arrêté en plein vole par Bob Lennon !

-"C'est un avion !" s'exclama la petite fille du début de notre histoire.

-"C'est une saucisse" lui répondit le polochon.

-"Mais non ! C'est un binturong !"

Une énorme tornade apparut alors au loin et commença à arracher tout ce bordel ambiant. C'est alors que la tempête traçait son chemin, laissant une terre dévastée sur son passage, jusqu'au camion de l'émission "C'est pas sorcier". En effet Fred et Jamy font boire Marcel alors qu'il conduit en faisant klaxonner le camion, puis en lançant le générique de l'émission consacrée aux effets de la drogue.

"Saperlipopette !" s’écria la princesse en voyant le camion lui foncer droit dessus.

C'est alors que le polochon rédempteur intervint en servant une bière belge à la princesse. Le camion l'écrasa pour permettre au roi d'asseoir sa domination sur le Discord de la résistance anti-monarchique qui voulait sa tête. Comme quoi Discord c'est le mal.

Pendant ce temps, à la Tour Karine, le JDG s'enflammait sur un énième jeu pourri et la plomberie se mit à chanter de la k-pop javanaise à travers la tuyauterie, ce qui fait remonter les coccinelles de chez Volkswagen conduites par des singes certifiés compatible avec les normes d'émission de particules fines du merveilleux pays de mère noël et de ses rennes qui Ⅎ∩ʎN.

"Mais tout ça n'a aucun sens !"

"Moi j'en ai cinq, de sens."

"Et moi je sens l'essence !?"

Mais point de ces billevesées, revenons donc à notre petite fille, qui, juchée sur sa bicyclette, verte, qui avait fini dans un terrible carambolage. À croire que Théo menait une rébellion contre les deux-roues et la grammaire hongrois, tout en driftant façon "Fast & Furious" sur la queue d'un dragon de Sylvandell. Une épée à la main, une capote dans la poche, il était prêt à sauter le pas et devenir auteur de chanson paillarde !

Mais j'ai beau chercher une rime riche à sodomite, seule Magdalena connaît la recette du riz au lait chocolaté, un mets légendaire aux pouvoirs cosmiques. Il m'en fallait absolument pour charger le cartable de la légende du mont Blanc à la crème. Cependant, la routourne tourne et les fraises ne sont pas des fruits mais un concentré de mauvaise comédie et de grossesses non désirées. À croire que c'est normal de passer du coq à l'âne sans transition !

Pendant un instant les chips de crevettes ont pensé faire grève pour prendre en otage la serviette de M. Poubelle, l'inventeur de la poubelle dans laquelle on trouve des trésors et de la bière des trolls, voleurs de slips de leur état et mondialement reconnus pour leur hygiène exécrable. C'était très satisfaisant de pouvoir écrire n'importe quoi dans une dictée de la Chèvre de M. Seguin !

-"Et merde !" s'exclame monsieur le président. "Une bite en pot, ça n'a pas de sens ! "

-"Osef !" lui répond le ministre de la Magie du pays imaginaire.

Ce fut le début de la 3ème guerre mondiale entre Poutine, torse poil sur une licorne lunaire et Trump avec son brushing et un menu super size big mac et foie gras. Macron quant à lui fête le centenaire de son ex avec une omelette au fromage multicolore. C'est avec beaucoup de plaisir que le professeur Chen fit irruption durant le discours du professeur Tournesol sur la physique des particules quantiques à l'ouest d'une conserve de haricots à la tomate

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Centre-ville de Seikusu / Re : A tale of knots and ropes (ft. Zack Arias)
« le: vendredi 20 avril 2018, 01:57:02 »
Mon live se passe plutôt bien dans l'ensemble. Je ne remarque pas trop de vagues dans le tchat malgré ce type qui essaie d'attirer l'attention sur lui, ou je ne sais quoi d'autre. C'est quand même un peu flippant, mais ça fait partie du métier. Pour moi, ce type était juste un troll. Il se manifeste d'ailleurs aux yeux de tous, le salaud. Cette fois-ci, son message ne peut pas passer inaperçu. Il apparaît en plein stream, et je suis la première à le voir. Comment réagir ? Apparemment, il ne faut pas accorder trop de crédit aux trolls. Moi, j'ai une autre façon de voir les autres. Se montrer violente, ou savage pour utiliser le terme en vogue, c'est la meilleure solution à mes yeux. Je le remercie tout de même en adressant mon baiser habituel à la caméra et décide de lui répondre immédiatement après.

» Ce qui va changer, c'est ton fantasme, mon grand. Je vais te faire découvrir un monde qui te fera oublier tes lolis. Un monde de véritable adulte.

Après cela, je laisse le tchat continuer mon travail. Les plus fanatiques vont simplement prendre parti pour moi et trouver des arguments pour enfoncer le pauvre petit. Avec un don aussi minable et son envie de troll mon tchat, il l'a mérité. Mais visiblement, c'est pas suffisant. Il revient à la charge et continue de sortir des trucs sans queue ni tête. Quoi ? Qu'est-ce qu'il voulait dire par son dernier message ? Il allait me faire le coup de la commande de pizzas à mon nom pour faire son intéressant ? Remarque, je préfère pas. Ca voudrait dire qu'il a trouvé où j'habite, et j'en ai pas vraiment envie. Il a l'air légèrement instable.

» Merci pour tes dons, mon amour, mais j'ai passé l'âge des creepypastas. Si tu comptes venir me voir, grandis un peu et viens me kidnapper, parce que c'est le seul moyen pour toi de le faire avec moi.~

Loin de me douter de tout ce qui se passe dans l'ombre, je dis ça sur le ton de la plaisanterie. Je veux lui faire comprendre que ses gamineries ne m'amusent pas tout en sauvant les apparences aux yeux de mon public. Jusque là, ça semble marcher plutôt bien. J'ai toujours la foule de mon côté. En même temps, qui peuvent-ils choisir entre un troll suspect et leur magnifique idole en train de prendre la pose devant la caméra ? C'est même pas une confrontation, il n'a aucune chance depuis le début, ce malheureux. Mais bon. Je dois avouer que sa persistance me fait douter un instant. Un vrai troll aurait compris qu'il n'avait plus rien à faire ici après s'être fait démonter par le tchat. Mais lui, il est encore là, tout content. Je commence à m'inquiéter un peu, bien que je m'efforce de ne pas le montrer. Je suis humaine, et lorsque mon imagination commence à me jouer des tours, j'entre en état de panique. Je baisse volontairement le son du jeu, histoire de pouvoir entendre le moindre bruit dans mon appartement. Je justifie ça de façon toujours aussi habile, d'ailleurs.

» Petits réglages, mes amours. Je vais faire en sorte que vous m'entendiez mieux.~

Rapidement, je jette un oeil aux quatres coins de ma chambre. Rien. Je soupire discrètement. Pourquoi je m'inquiète, au juste ? Comment est-ce que quelqu'un pouvait être ici ? Je l'aurais remarqué, quand même ! Mais je ne peux pas m'empêcher d'y repenser, c'est plus fort que moi. Et le moindre de ses messages ne m'aide pas à me détendre, au contraire. À ce stade là, mes viewers devaient se douter de quelque chose. Je dois encore une fois sauver les apparences.

Je décide de surjouer le tout. Je respire de plus en plus fort, je me focalise de moins en moins sur le tchat et le jeu pour regarder autour de moi et lâche des petits indices comme "il y a des bruits bizarres" à l'audio. Et d'un coup, je tourne subitement la tête vers la droite, là où était située la porte de ma chambre mais que les viewers ne pouvaient pas apercevoir. Je retire mon casque, le jette subitement et bondis de ma chaise pour me laisser tomber vers l'arrière en criant. J'ai pas fait de théâtre, mais j'espère que le tout est assez crédible. De toute façon, c'était pas une composante nécessaire pour que mon plan réussisse. Je laisse ensuite quelques secondes passer et je crie de nouveau.

» N'APPROCHE PAS ! NON ! AU SECOURS !

De là où je suis, je peux pas voir les réactions de tchat, mais ça devait être à mourir de rire. Mais finalement, je me relève, passe devant la caméra, m'arrête et me retourne vers l'objectif en posant une main sur mon bureau pour m'y appuyer. Par réflexes, je mets en avant mon décolleté et je souris.

» Vous y avez cru ? Vous voyez ? Ce type est un troll. Il n'y a rien qui puisse nous déranger, mes amours.

Je me rassois aussitôt et souffle un grand coup. Mine de rien, cette comédie m'a aidé à me détendre. Je suis beaucoup moins stressée qu'avant et peux à présent me concentrer sur mon live, même si l'abruti continue son cirque.

3
Centre-ville de Seikusu / Re : Meet me IRL (ft. Clad Oyio)
« le: vendredi 20 avril 2018, 01:22:08 »
Sans hésiter, je le laisse jouer avec ma poitrine. Je lui ai offerte et les attentions qu'il m'accordait me font particulièrement du bien, à l'heure actuelle. Je me mords la lèvre inférieure alors que ma vision devient un instant trouble. Je sens mes bras faiblir, au point que je me laisse presque tomber sur Clad. Je me retiens cependant au dernier moment bien qu'avec beaucoup de difficulté. En plus d'être soumise par le plaisir que me procurent les gestes de mon nouvel amant, je me sens tout aussi soumise par ses mots et accepte mon rôle sans discuter. Quelle chance j'ai. Ses désirs correspondent parfaitement aux miens, de quoi me rendre plus productive. Je n'avais même pas à simuler, j'adorais cette situation.

» Et qu'est-ce que l'esclave devrait faire pour satisfaire son maître ?~

Son ordre, simple, parvient aussitôt à mes oreilles. Il me voulait nue. Totalement. Je n'ai aucune objection à ça. Je souris un instant puis me crispe sous la surprise quand je sens un de ses doigts me pénétrer. Je laisse fuiter un bref couinement, signe de ma faiblesse actuelle, et m'exécute sans perdre de temps. En moins de cinq secondes, je fais glisser ma robe le long de mes jambes et la pousse par terre avec l'un de mes pieds. Je reviens rapidement au dessus de lui, impatiente, et me fais capturer dans la seconde. Je ne résiste pas plus que ça, bien que j'aime avoir l'impression d'être forcée de cette façon. Je réponds au langoureux baiser que Clad m'offre mais de façon totalement maladroite. La poigne qu'il exerce sur mes cheveux me fait légèrement mal, mais de la bonne façon et juste à la bonne intensité, juste assez pour que je ne puisse pas lui refuser ce contact.

Il insiste alors sur mon appartenance. Je hoche légèrement la tête, docile, et frissonne lorsqu'il laisse mon antre chaud et humide au profit d'une caverne toute aussi chaude, mais encore plus contractée et sèche. Heureusement, mes propres fluides avaient suffisamment lubrifié ses doigts pour qu'il puisse s'y aventurer aisément. Je frémis à ce nouveau contact, mais aussi aux mots qu'il me murmure à l'oreille.

» Oui, maître Clad. Mon maître, mon seul, mon vrai !

Avec toutes ces mises en bouche, j'ai sérieusement envie de lui, de plus. Je veux qu'il me possède intégralement, qu'il m'utilise à souhait. Mon corps entier bouillonne, mes orifices se contractent et se décontractent frénétiquement, ne demandant qu'à être comblés. Je veux y parvenir coûte que coûte. Pour ça, je pose mes mains sur son torse, reviens rapidement l'embrasser et descends discrètement une des dites mains à sa ceinture, laquelle je détache avant de m'attaquer au bouton et à la fermeture de son pantalon que j'abaisse alors le plus possible. Son caleçon ne tarde pas à suivre. Dans toute ma gourmandise et ma perversité, je colle mon organe trempé au sien sans pour autant entamer le moindre acte de pénétration. Il est le maître, il choisit si j'ai le droit à un tel honneur. Et pour le mériter, je devais le motiver.

Je me jette à mon tour sur l'une de ses oreilles après avoir pensé mes mots, écrase volontairement ma poitrine contre son torse et ondule quelque peu mon bassin pour jouer avec son membre à l'éveil.

» Et si votre esclave n'est qu'une salope en manque, est-ce que ça changerait quelque chose aux traitements de faveur auxquels elle a le droit ?

Au diable la dignité. Être dégradée, c'est juste beaucoup trop excitant pour que je passe à côté. Je le veux supérieur sur tous les plans. Et pour ça, je me plie au moindre de ses caprices et prends quelques initiatives pour l'encourager. J'abandonne son oreille, bouge légèrement mon bassin vers l'arrière pour lui indiquer que j'allais m'abaisser et le fais aussitôt qu'il me le permet. Je couvre son buste de baisers et de caresses au cours de ma progression et descends jusqu'à placer mon visage en face de la queue de mon maître. Je la replace et l'empoigne d'une main, puis j'en embrasse brièvement le gland.

» Est-ce que je peux m'occuper de nettoyer mon maître ? Ma mouille l'a sali, alors...

Je lappe une première fois la verge de tout son long et récolte au passage les propres fluides que j'ai laissé ici. Je lève les yeux pour l'observer, attentive à ses réactions, et profite de ma position pour goûter directement à son organe.

4
Centre-ville de Seikusu / A tale of knots and ropes (ft. Zack Arias)
« le: jeudi 19 avril 2018, 13:59:32 »
Quelle journée de merde. Il fait pas suffisamment beau pour sortir, même s'il ne pleut pas, j'ai reçu aucune commande photographique durant la nuit, et on est dimanche. Oui, ce dernier détail a son importance, juste parce que je voulais moi aussi mon jour de repos. Sauf que ce jour sacro-saint, connu pour permettre de se remettre de ses émotions, c'est aussi celui qui me rapport le plus d'argent quand je lance un stream, tout simplement parce que plus de gens sont disponibles pour y assister, et donc plus de vaches à lait pour me faire des dons. C'est pas vraiment le genre d'occasion que j'ai envie de rater, pour le coup.

Je me lève donc de mon lit, je le refais (puisqu'il se trouve dans l'axe de la caméra lorsque je stream, ouvre une fenêtre en grand pour aérer ma chambre. Je n'ai jamais craint quoi que ce soit, j'étais en hauteur après tout. Après cela, je me rends dans la salle de bain, retire mes sous-vêtements de nuit et passe sous la douche. Une bonne douche fraîche pour me réveiller et me tonifier dès le matin. L'avantage, si je la faisais maintenant, c'était que mes cheveux auront largement le temps de sécher avant que je ne lance mon live. Bref. Je sors de la douche, toute fraîche, et laisse un moment l'eau ruisseler le long de mon corps nu tout en me regardant dans mon grand miroir. J'adore y passer un peu de temps, juste pour me faire la réflexion quotidienne que j'étais quand même bien foutue. Je reste comme ça pendant à peu près dix minutes. J'aime pas vraiment m'essuyer comme tout le monde, ça me donne l'impression de torturer ma peau. Moi, des airs de princesse ? Ca m'arrive.

Je sors ensuite de la salle de bain et traverse les couloirs, toujours nue. Plus je m'approche de la chambre et plus je me fais la réflexion qu'il faisait froid, sûrement parce que je l'ai aérée pendant trop longtemps. Et que je ne porte rien, bien sûr. Une fois dans mon lieu de vie principal, je me rue sur la fenêtre que je ferme et balaie la pièce du regard. À droite ? À gauche ? C'était laquelle, ma penderie à sous-vêtements ? Je bug un long moment et me dirige finalement vers la droite. J'ouvre une porte coulissante derrière laquelle se trouve un grand placard qui me sert de penderie. C'était suffisamment spacieux pour y cacher trois cadavres sans devoir les empiler bêtement. Dommage que je ne sois pas une tueuse en série. Quoi qu'il en soit, j'attrape un ensemble plutôt provocateur de couleur rouge, à dentelle omniprésente, qui couvre uniquement ce qu'il faut et est bien plus transparent qu'opaque aux autres endroits. Le soutien-gorge semble d'ailleurs recouvert d'un espèce de voile tout aussi transparent et également rouge, lui donnant un style très oriental. Il en va de même pour la culotte, bien que son voile à elle ne protège que les flancs en ondulant sur mes courbes, et non l'avant ou l'arrière. Mais pourquoi porter quelque chose d'aussi provocateur si mes viewers n'en profitaient pas pleinement ? Pour nourrir leur appétit sexuel et laisser leur imagination fonctionner. Je m'y connais. C'est bien plus ravageur que de se montrer nue. Ca les rend totalement fous.

Par dessus ça, je choisis de ne porter qu'un t-shirt noir plutôt court qui me découvre le ventre et une épaule. Ce n'était pas contre la politique de la plateforme de streaming et j'en profitais pleinement. Pour le bas, j'attrape une jupe plissée rouge, courte et à carreaux. J'équipe le tour et écarte les mille et un cintres pour découvrir un miroir planqué au fond de la penderie. Comme d'habitude, je m'y observe un long moment.

» Si je pouvais me dédoubler, je serais ma propre salope. C'est fou.

Je rigole dans mon coin et fais glisser la porte dans l'autre sens, fermant ainsi la penderie. Je vais allumer le pc pour le faire chauffer et décide de traîner un moment sur les réseaux sociaux, au moins le temps que mes cheveux sèchent un peu. En passant sur mon Twitter, je remarque un certain nombre de messages privés. Je soupire et râle en les ouvrant. C'est encore ce fan anonyme. Un type qui me fait chier depuis à peu près deux semaines. Son alias Twitter n'a même pas de sens logique, ce n'est qu'une série aléatoire de chiffres et de lettres. Il s'est pris pour un hacker ? Bref. Comme une bonne poire, je décide quand même de lire ses messages. Peut-être que c'est un schizo, qu'il s'excusera. Ou même qu'il laissera un indice pour que je puisse le faire enfermer, genre une adresse. Mais non, rien. Il me donne des petits noms plus pervers les uns que les autres, il me raconte à quelle fréquence il se masturbe sur mes nudes... Dire que j'aurais pu en fantasmer. Si seulement il avait envoyé une photo de lui pour me prouver qu'il était plutôt bien foutu. Mais non. Dans ma tête, c'est juste un quinquagénaire frustré par sa femme ménopausée qui n'a plus envie de rien. Et le pire dans cette histoire, c'est que je nourrissais son fantasme. Il me demande certaines photos de temps en temps, et je les lui fournis, juste parce qu'il y met le prix. Il semble avoir pas mal d'argent. C'est d'ailleurs étonnant qu'il n'ait rien demandé aujourd'hui, presque suspect.

Mais bon ! Je ferme finalement mon Twitter après une bonne heure et constate que mes cheveux sont à présent dans un état décent. Je bouge dix petites minutes pour aller me maquiller et reviens devant mon pc pour lancer mon live. En même pas cinq minutes, une grande partie de ma communauté s'est déjà rassemblée, et le tchat s'extasie sur ma tenue qui en révèle un peu sans rentrer dans l'obscène. Les premiers dons arrivent. J'accepte chacun d'entre eux avec plaisir, remercie mes viewers et lance un jeu au hasard, sans rien planifier. Je suis le contenu, on s'en fout du jeu.

Je regarde de nouveau le tchat et j'y remarque la présence d'un pseudo perturbateur. Tiens, c'est pas le même pseudo que le type de Twitter ? Qu'est-ce qu'il me veut, cette fois ? Il arrête pas de dire que quelque chose de spécial va se passer pendant le live. Hein ? Il a fumé quoi ? Je retiens un soupir et décide de ne pas lui prêter attention. C'est qu'un malade.

5
Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« le: jeudi 19 avril 2018, 03:53:06 »
Children Of Bodom - Trashed, Lost & Strungout

Pour rester ("presque" :D) dans la même thématique que mon VDD.

6
Blabla / Re : [Jeu] Le cadavre exquis
« le: jeudi 19 avril 2018, 03:35:39 »
Il était une fois dans la contrée de l'horreur, une petite fille en pleurs sur son vélo, pourchassée par des taureaux et des pingouins roses ! Il y avait aussi un grand plat de spaghettis géants dans la pub loto diffusée sur un panneau publicitaire au milieu du désert. Quand tout à coup, un vieux polochon mouillé accompagné d'un vieux mystérieux surgirent devant la petite fille qui tombe de son vélo vert qui finit sa vie. Le polochon se mit alors à luire et le kangourou sautait toujours plus haut jusqu'à manger des haricots magiques qui étaient tendres comme le zizi de Kongz.

- Bigre ! S'exclama le lecteur en lisant cette histoire.

En effet, tout le monde sait que Kongz et la petite fille du roi burgonde et de Bernadette Chirac partagent bien plus qu'une relation hautement pédagogique, puisqu'ils sont copropriétaires d'un club de strip-tease mais aussi de boule lyonnaise, à ne pas confondre avec de la mayonnaise. Quand tout à coup, le terrible ketchup qui s'avérait être en réalité du sang de règle car il s'était trompé de vocation, voulant devenir branleur de dindons, éclaboussa un groupe de scouts qui passait par là.

Les scouts moururent noyés dans la gueule béante d'un Sarlacc constipé à force de manger des petites filles pour embêter les fans de lolis. Et c'est alors que Jean-Claude Van Damme dans son superbe caleçon vert, définitivement aware de la situation actuelle, qui n'est autre que la division par 0, s'élança dans un somptueux coup de pied aérien, avant d'être finalement arrêté en plein vole par Bob Lennon !

-"C'est un avion !" s'exclama la petite fille du début de notre histoire.

-"C'est une saucisse" lui répondit le polochon.

-"Mais non ! C'est un binturong !"

Une énorme tornade apparut alors au loin et commença à arracher tout ce bordel ambiant. C'est alors que la tempête traçait son chemin, laissant une terre dévastée sur son passage, jusqu'au camion de l'émission "C'est pas sorcier". En effet Fred et Jamy font boire Marcel alors qu'il conduit en faisant klaxonner le camion, puis en lançant le générique de l'émission consacrée aux effets de la drogue.

"Saperlipopette !" s’écria la princesse en voyant le camion lui foncer droit dessus.

C'est alors que le polochon rédempteur intervint en servant une bière belge à la princesse. Le camion l'écrasa pour permettre au roi d'asseoir sa domination sur le Discord de la résistance anti-monarchique qui voulait sa tête. Comme quoi Discord c'est le mal.

Pendant ce temps, à la Tour Karine, le JDG s'enflammait sur un énième jeu pourri et la plomberie se mit à chanter de la k-pop javanaise à travers la tuyauterie, ce qui fait remonter les coccinelles de chez Volkswagen conduites par des singes certifiés compatible avec les normes d'émission de particules fines du merveilleux pays de mère noël et de ses rennes qui Ⅎ∩ʎN.

"Mais tout ça n'a aucun sens !"

"Moi j'en ai cinq, de sens."

"Et moi je sens l'essence !?"

Mais point de ces billevesées, revenons donc à notre petite fille, qui, juchée sur sa bicyclette, verte, qui avait fini dans un terrible carambolage. À croire que Théo menait une rébellion contre les deux-roues et la grammaire hongrois, tout en driftant façon "Fast & Furious" sur la queue d'un dragon de Sylvandell. Une épée à la main, une capote dans la poche, il était prêt à sauter le pas et devenir auteur de chanson paillarde !

Mais j'ai beau chercher une rime riche à sodomite, seule Magdalena connaît la recette du riz au lait chocolaté, un mets légendaire aux pouvoirs cosmiques. Il m'en fallait absolument pour charger le cartable de la légende du mont Blanc à la crème. Cependant, la routourne tourne et les fraises ne sont pas des fruits mais un concentré de mauvaise comédie et de grossesses non désirées. À croire que c'est normal de passer du coq à l'âne sans transition !

Pendant un instant les chips de crevettes ont pensé faire grève pour prendre en otage la serviette de M. Poubelle, l'inventeur de la poubelle dans laquelle on trouve des trésors et de la bière des trolls, voleurs de slips de leur état et mondialement reconnus pour leur hygiène exécrable. C'était très satisfaisant de pouvoir écrire n'importe quoi dans une dictée de la Chèvre de M. Seguin !

-"Et merde !" s'exclame monsieur le président. "Une bite en pot, ça n'a pas de sens ! "

-"Osef !" lui répond le ministre de la Magie du pays imaginaire.

Ce fut le début de la 3ème guerre mondiale entre Poutine, torse poil sur une licorne lunaire et Trump avec son brushing et un menu super size big mac et foie gras. Macron quant à lui fête le centenaire de son ex avec une omelette au fromage multicolore. C'est avec beaucoup de plaisir que le professeur Chen fit irruption

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Les alentours de la ville / Re : Beckoned by the sea (ft. Lyli)
« le: jeudi 19 avril 2018, 03:27:14 »
Alors que je suis fière d'être au dessus, d'avoir l'impression ou peut-être juste l'illusion de dominer, je sens sa main m'agripper les cheveux. Peu après, on se roulait déjà dans le sable. Au final, c'est elle qui se retrouve au dessus, sans même que je ne puisse rassembler les forces nécessaires pour la renverser. Et je ne lui révélerai sans doute jamais ça, mais la voir me surplomber ainsi me fait de l'effet. Pas qu'un peu, même. Je ne prends même plus la peine de cacher ma poitrine, je lui offre sur un plateau d'argent et la laisse jouer avec. Je ne retiens même pas mes petits couinements, ni même pour petit gémissement arraché par ses douces lèvres créant un contraste horriblement excitant avec les gestes de sa main.

J'arrive à peine à me concentrer sur la scène, je reste quasiment immobile. C'est sans doute ce qui a trahi mon inexpérience avec les femmes puisque je l'entends alors me poser la question. Je ne sais pas vraiment si j'ai rougi à cet instant, mais j'ai senti quelques chaleurs me monter au visage. C'était sans doute le cas. Je me mords la lèvre, cherche mes mots et décide au final de relever une main et de l'abattre sur une des fesses de ma partenaire.

» T...tais-toi !

Erreur tactique. Je n'ai aucun contrôle, je suis celle qui peine à parler. Et bientôt, je sens quelque chose me caresser de façon terriblement intime. J'adore ça. Visiblement, je ne suis pas la seule puisque mon dalleux de photographe ne peut même plus s'empêcher de se caresser devant nous. J'ai même pas la force de l'engueuler. Rester intelligible tout en subissant les caresses de mon amante et des vagues, sans parler des coups de massue psychologiques que ses mots m'ingligent, c'est pas vraiment la chose la plus facile du monde. Je sens même mon corps se contracter de temps à autre. Mes jambes s'agitent, mes pieds creusent le sable. Les marques laissées, bien qu'importantes, sont rapidement effacées par les avancées et retours de l'écume.

Je plonge mon regard dans celui de ma partenaire, honteuse, et dissimule ma gêne derrière une fierté mal placée. Une saleté de tsundere, voilà ce que je suis. Je baisse les yeux et trouve une prise pour mes mains en la présence de ses fesses et m'y accroche avec fermeté. Je m'interroge alors sur ce qui me ferait craquer dans ce genre de situation et en viens rapidement à la conclusion que je devais moi aussi la caresser. Je tends mon index droit que je faufile ensuite entre ses cuisses et mets également à titiller son entrejambe. À cause de la position, mes gestes ne sont pas aussi entreprenants que ceux de ma belle partenaire mais n'en sont pas moins remplis de bonne volonté. Je suis plus petite, j'ai les bras plus court, mais je fais tout de même de mon mieux pour atteindre son intimité. Frustrée, je claque une nouvelle fois son fessier pour l'inciter à se hausser un peu. Je veux accompagner cette frappe de quelques mots mais me retrouve bien vite embarrassée par mon processus de lubrification naturelle. Au lieu de m'affirmer, je me retrouve donc à réclamer comme une gentille petite soumise.

» J...j'ai besoin de quelque chose en moi. N'ose même pas me faire attendre !

Je me mords la langue et l'observe longuement. Je n'ai toujours pas envie de m'excuser auprès d'elle, mais je lui cède mon corps. N'est-ce pas là une défaite humiliante ? J'avais l'impression d'être menée en bateau, d'avoir joué exactement les cartes qu'elle voulait que je joue. Et cette simple idée ne me rend que plus docile entre ses mains, sans pour autant que je ne cesse de prétendre avoir ma fierté.

» Alors ? Tu veux pas que je te supplie, quand même ?

8
Centre-ville de Seikusu / Re : Meet me IRL (ft. Clad Oyio)
« le: jeudi 19 avril 2018, 02:43:21 »
Je frémis au moindre contact avec lui. J'arrive pas vraiment à cacher un certain manque, c'est plus dur que prévu. En même temps, je n'ai pas eu l'occasion de réellement le faire depuis des semaines, la dernière fois ayant été avec mon propre photographe. Malgré ma popularité, j'entretiens pas vraiment de contact avec les autres et me contente de vivre ma vie de pseudo salope virtuelle. Quand j'ai un peu de temps, j'ai plutôt l'habitude de me toucher, ou à la limite de varier les plaisirs avec quelques jouets. Mais recevoir quelques attentions de la part de véritables mains, c'était définitivement mieux.

À ces réponses qu'il m'offre, je ne peux pas m'empêcher de sourire. Je me redresse volontairement de tout mon long pour me grandir et replace ma poitrine juste en face de son visage, puisqu'il semblait tant l'affectionner. Je me cambre cependant aussi vite lorsque je sens quelque chose m'effleurer l'anus. Je me mords la lèvre inférieur et étouffe un petit couinement de surprise, sans pour autant réprimer mon sourire. Je cache cette expression satisfaite derrière le shot qu'il m'offre et le descends cul-sec. Je finis tout juste d'avaler le liquide qui me brûle à présent l'oesophage et sens cette fois-ci quelque chose en moi, mais qui s'aventure par derrière. C'en est trop pour moi. J'ouvre soudainement la bouche et émets un long soupir. Ma poitrine se lève et s'abaisse rapidement, en synchronisation avec ma respiration rythmée et bien cadencée.

» Ca dépend de l'inconnu dont il est question... Mais tu ne sais pas à quel point je peux agir comme une salope, quand j'ai faim.

Mes derniers semblants d'inhibitions s'envolent avec l'alcool. Je plaque mon buste contre Clad, ferme les yeux et régule davantage ma respiration. Je laisse mes muscles se décontracter et le laisse faire son affaire avec son doigt. Mon corps y a déjà réagi en conséquence. L'excitation me fait tourner la tête, ces stimulations poussent mes tétons à durcir et à former deux belles protubérances parfaitement visibles sur ma robe, et ma fleur intime s'en retrouve naturellement lubrifiée. Même si je le voulais, c'était maintenant impossible de faire demi-tour. De toute manière, je préfère de loin continuer tout ça.

J'attrape Clad par les épaules, l'invite à se coucher sur le canapé et me positionne ensuite au-dessus de lui, à quatre pattes. Depuis cette position, les pans de ma robe se relèvent naturellement et laissent un accès libre et total sur mes deux orifices inférieurs. Je n'en deviens pourtant pas passive et glisse une main sous son pantalon pour me saisir de son membre en érection, même au travers de son sous-vêtement. Je rends mon étreinte ferme et commence à mimer de légers mouvements de masturbation pour l'échauffer un peu. Je me laisse alors tomber partiellement sur lui et viens à nouveau lui susurrer quelques mots à l'oreille.

» Pourquoi cette question ? Tu veux que je le fasse ? Mais dans tous les cas, tu y as mis le prix, j'exaucerai le moindre de tes caprices. Ne limite pas ton imagination à une pipe.~

Je me redresse quelque peu et place mes mains dans mon dos, laissant ainsi son membre à l'abandon pour un moment. Je délie les lacets de ma robe avec adresse et la laisse doucement chuter le long de mes bras, puis de mes hanches. Elle était désormais pendue à ma taille, alors que j'avais le buste totalement à découvert. Je me rabaisse et laisse la gravité faire son office, offrant à l'homme ma poitrine dont il rêvait tant.

» Dis-toi juste que je t'appartiens et peux t'offrir tout ce qu'une petite amie te refuserait par éthique. Je peux être ta chose, tu peux devenir la mienne. J'ai un corps entier à disposition, juste là pour répondre à tes fétichismes les plus inavoués.~

9
Centre-ville de Seikusu / Re : Meet me IRL (ft. Clad Oyio)
« le: mercredi 18 avril 2018, 17:11:59 »
La réponse que Clad donne me fait sourire. Je le savais. C'était une comportement prévisible et je blâmais personne pour ça. J'adore plaire et je m'en cache pas. C'est le genre de détail qui donne l'impression d'avoir du pouvoir sur les autres. Et comme tout le monde le sait, le pouvoir génère de l'argent, chose que j'adore. Mais pour l'heure, je devais admettre avoir envie d'autre chose. Je suis jeune, lui aussi. Je lui plais, il me plait également. Et en plus de ça, ça faisait un moment que je l'ai pas fait. Un très long moment, puisque je n'avais pas l'habitude de rencontrer mes fans en personne. Par contre, répondre à ce genre de questions était pour moi un jeu d'enfant.

Je bois une nouvelle gorgée, en préparation de mon tour suivant, et le laisse caresser ma peau. Ce simple contact m'arrache un court frisson. Je sens mon corps réagir en conséquence. Si jamais il approche sa main d'un certain endroit, il se pourrait que je le laisse totalement faire.

» Je serais rentrée, oui. Je l'aurais flatté, oui. Mais je l'aurais laissé accomplir ses fantasmes en restant passive, alors qu'avec toi... Je peux me montrer plus entreprenante.

J'attrape sa main, je la retire délicatement de mon genoux et je profite du fait qu'on aille s'asseoir pour passer une jambe au dessus de lui, le chevaucher littéralement et me poser sur ses genoux, tout en lui faisant face. Je redresse quelque peu mon buste pour placer ma poitrine non loin de son visage, ayant remarqué quelques regards posés dessus avant cela. Je place mes bras sur ses épaules et croise mes mains derrière sa tête.

» À moi. Qu'est-ce que tu aurais envie de me faire ? Ne réponds pas "l'amour", ce serait trop simple. Je veux des actions précises.

À ce moment, je me penche davantage vers lui, lui permettant d'être plus proche de ma poitrine que jamais, et porte mes lèvres maquillées d'un rouge passion à l'une de ses oreilles. Je respire chaudement contre, je prends mon temps pour parler, j'articule le moindre mot et je susurre mes paroles, toutes plus suggestives les unes que les autres.

» Parce que moi, j'ai faim. Je n'ai pas de limite. Je peux t'offrir n'importe quelle partie de mon corps, te laisser jouer avec, ou même te faire plaisir sur une initiative personnelle.~

J'embrasse doucement le sommet de son oreille. Je descends doucement mes lèvres et les porte à son lobe que j'embrasse également, avant de plonger dans son cou que je marque déjà de mon rouge à lèvres. Cela n'a en réalité qu'un seul but, soit le distraire suffisamment pour ne pas qu'il remarque l'absence de l'une de mes mains derrière sa tête. Je la fais doucement serpenter contre moi et pose enfin mes doigts sur ce que je voulais atteindre depuis le début : son entrejambe. J'y sens une bosse, évidemment. Cette réaction m'arrache un sourire alors que je remonte mes lèvres pour venir les écraser contre celles de Clad. Dans un même temps, je caresse le membre en érection au travers de tous ces habits. Peu après, je romps le baiser et m'éloigne doucement de lui.

» Alors ? Qu'est-ce que tu aimerais me faire ?~

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Centre-ville de Seikusu / Re : Meet me IRL (ft. Clad Oyio)
« le: mercredi 18 avril 2018, 14:02:12 »
Quelques instants plus tard, je reçois ma réponse. Je prends note des requêtes de mon contact sans pouvoir m'empêcher de me faire la réflexion qu'il devait probablement aimer aller droit au but. Je ne devais pas porter de sous-vêtements, après tout, sans doute pour qu'il ait aisément accès à ce qui l'intéressait. Je souris derrière mon écran et synchronise toutes les données de mon compte à mon smartphone, histoire d'avoir le plan sur moi en toutes circonstances. Par la même occasion, je remarque qu'il est aussi à Seikusu, et pas dans n'importe quel quartier. Il est riche. J'ai ferré un gros poisson, et je m'en réjouis énormément.

J'ai de la chance ! On est pas si éloignés, au contraire. Attends-toi à ce que j'arrive sous peu. À toute ! ♥

À ce compte-là, peu importe s'il est un peu plus âgé ou loin d'être un Apollon. Je n'ai qu'à penser à tout l'argent que je me suis fait, et aussi à un beau mec. Je lui ferai croire qu'il baise bien, qu'il me fait grimper au rideau, qu'il m'excite... Bref ! Tout ce qu'un homme voudrait entendre. Mais pour le moment, je dois répondre à ses exigences vestimentaires. Je me lève, je vais fouiller dans ma penderie et y dégote une robe de soie noire à lacets dans le dos, avec un joli décolleté, sans manches et, bien sûr, qui ne m'arrive qu'au sommet des cuisses en se terminant par une forme plus volumineuse et ondulée, un peu comme une robe de l'ère classique mais en bien plus court. Comme prévu, je ne m'encombre pas du moindre sous-vêtement. À cette simple tenue, j'ajoute quelques artifices pour me mettre en valeur. Un choker noir en dentelle, du vernis aussi éclatant que mon rouge à lèvres et une paire de stilettos noirs et ouverts. Cette fois-ci, pas de collants. Je voulais que mes jambes soient mises en valeur.

Je passe ensuite quelques minutes devant le miroir pour me recoiffer, puis me saisis d'un long manteau de fausse fourrure que j'enfile et quitte mon grand appartement. Je suis alors le chemin indiqué par le GPS de mon smartphone, tout en passant près des bâtiments pour éviter de trop me faire arroser par la pluie, mais finis inévitablement trempée. Tant pis. Je lui emprunterai sa salle de bain.

Après quelques minutes de marche et quelques autres minutes de transports en commun, dans lequel je subis d'ailleurs tout un tas de regards, je passe à l'étape finale, soit toujours plus de marche. Et j'arrive finalement à destination, trempée. Je sens l'eau de pluie ruisseler sur mes jambes nues, j'ai le souffle un peu court à cause de la marche rendue plus qu'épuisante à cause de mes talons hauts. Peu importe. Je sonne, il m'ouvre. Je rentre dans le grand immeuble, me perds éventuellement en contemplations, et me laisse transporter jusqu'au bon étage par l'ascenseur. Je range mon portable dans une des poches de mon manteau, je frappe à la bonne porte et attends qu'on m'ouvre. C'est évidemment le cas. On ne refuse pas ma bonne compagnie. Et pour mon plus grand plaisir, le type que je découvre n'est pas un vieil avocat en misère sexuelle ou je ne sais quoi. C'était un type plutôt pas mal, qui avait son style mais qui rentrait bien dans mes goûts malgré tout. Et il est jeune ! Et riche. Un partenaire de choix. J'avais pu m'en douter grâce à son Twitter, effectivement, mais c'était quand même facile de se créer une fausse identité. J'étais restée méfiante. Mais voilà que je ne suis pas déçue, au final !

» Lexie, mais tu le sais déjà. Et je te remercie pour l'accueil ! Pour le moment, je vais me contenter d'emprunter ta salle de bain. Je suis trempée, mais pas encore dans le sens que tu voudrais.~

Petit clin d'oeil. Je rentre à l'intérieur et me dis, une nouvelle fois, que j'avais effectivement ferré un gros poisson. Je le laisse m'indiquer la salle de bain puis me débarasse de mon manteau pour dévoiler la robe qu'il m'a demandé de porter. Bon. J'ai les jambes et les cheveux trempés, mais ce n'est pas grave. Peut-être qu'il aimait ça. Quoi qu'il en soit, je me dirige vers la salle de bain tout en marchant volontairement comme ces pimbêches de top model, histoire d'attirer un peu le regard du jeune homme sur moi. Je fais néanmoins mine d'y être indifférente et l'abandonne un instant pour aller prendre une douche rapide, bien que j'aurais aimé profiter davantage de sa salle de bain. Je ne voulais pas non plus le faire attendre. Après quoi, je me rhabille mais laisse cependant mes talons de côté pour pouvoir m'approcher de l'homme avec la plus grande des discrétions. Une fois dans son dos, j'encercle sa taille de mes bras et remonte une main le long de son buste, sans prendre la peine  de m'aventurer en dessous de sa chemise. Pour le moment.

» Je suis prête. Et tu sais, même si je vais effectivement boire un peu, tu n'as pas besoin que je sois bourrée pour me séduire.

Je suis pleinement dans mon rôle, je me surprends moi-même. Je rigole doucement pendant quelques secondes tout en laissant ma main baladeuse caresser son torse.

» Ce que je veux dire par là, c'est que tu me plais. Mais buvons. Et si tu es d'accord, pourquoi ne pas jouer à un petit jeu ? Pour chaque gorgée d'alcool ingérée, une question plutôt déplacée peut être posée à l'autre.

Avant même d'attendre sa réponse, je passe devant lui, me saisis d'un shot vide que je remplis de vodka et ingère le contenu sans broncher. Enfin... c'était quand même fort. Je me lèche les lèvres, jette un regard à Clad et souris. Par expérience, je savais que certains hommes aimaient les femmes entreprenantes plutôt que passives. Est-ce que c'était aussi son genre ? J'allais bientôt le savoir.

» Je commence : est-ce que tu t'es déjà touché à en pensant à moi ?~

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Les alentours de la ville / Re : Beckoned by the sea (ft. Lyli)
« le: mercredi 18 avril 2018, 11:38:49 »
» Malentendu, ouais ouais. Blah. Blah.

Je suis insupportable. D'un côté, c'est ce qui fait mon charme. Mais dans la situation actuelle, je devais la faire chier à un point pas possible. Et tant mieux. Je le veux. Je veux lui faire payer pour tout ce qu'elle a dit. Ses mots résonnent encore dans ma tête. J'ai l'impression d'être un clou, un pauvre clou sur lequel elle frappe, elle le marteau. Rien que d'y repenser, ça m'empêche de me concentrer sur ce qu'elle dit. J'entends des mots, mais je cherche pas à les distinguer correctement ni même à en comprendre le sens. Je suis de nouveau en colère. En conséquence, ma réaction aux regards appuyés de mon photographes a été des plus brutales. Un nouveau majeur en l'air, un ramassis d'insultes incompréhensibles et un regard noir. Ce dernier ne le reste d'ailleurs pas longtemps. Par accident, ou non, je roule des yeux vers la tarée qui me montre maintenant sa poitrine. Quoi ? Elle veut me faire complexer, maintenant ? Je vais la tuer. Non. J'ai même plus envie. À la place, je regarde fixement les formes de cette adorable sociopathe. Je les imagine contre moi. Dans mes mains. Dans ma bouche. Attendez, quoi ? Y'a pas un problème là ? À quoi je pense, exactement ?

» Ben quoi ? Qu'est-ce que tu vas faire, maintenant ? Me montrer ton cul ?

Je la laisse faire. Je ne bouge pas, ne je ne fuis pas. Pourquoi ? À la place de tout ça, je la suis du regard et la laisse se poser tranquillement sur le place. Bordel. J'ai envie de m'approcher. J'ai envie de la toucher. Pourtant, elle m'a rien fait, on est d'accord ? Alors pourquoi est-ce que je la désire, même après tout ce qu'elle a pu me dire d'horrible ? Après qu'elle ait manqué de me noyer ? J'arrive pas à l'expliquer. Je le ressens juste, en étant impuissante contre ça. Puis, sans même y réfléchir une fois de plus, j'avance. Je sors de l'eau et fige mon regard sur elle. Je n'arrive pas à m'en détacher. Je n'arrive même plus à rassembler les forces nécessaires pour l'insulter à nouveau. À la place, je me vois en train de considérer son offre. Sérieux ? Pourquoi ? Je sais pas.

» Je... Ok. Mais t'as pas intérêt de tenter quoi que ce soit de bizarre, sinon je t'enfonce la tête dans le sable...

Des mots vides de sens. C'était comme si je ne ressentais plus la moindre colère envers elle. Au lieu de ça, j'avais envie de contact. D'ailleurs, mes yeux restent rivés sur sa poitrine. Je lève une main et fais signe au photographe de revenir. Cet abruti était resté dans l'eau. Il suit mes instructions et reprend son travail comme si de rien n'était. Moi, je m'agenouille sur le sable, j'attrape les poignets de l'autre athlétique garce et les tire doucement vers moi. J'y vais pas fort, je montre que je lui veux pas de mal. Étrangement, d'ailleurs. Je m'en sers alors pour la coucher sur le dos. Je passe une jambe au dessus d'elle et la pose de l'autre côté, m'agenouillant à nouveau. Mais cette fois-ci, je m'assois sur le bassin de ma partenaire et m'abaisse tout doucement jusqu'à ce que ma poitrine s'écrase contre la sienne, bien plus opulente. J'ordonne à mon employé de s'approcher et de centrer le plan sur ce contact. Et moi, j'ai le coeur qui bat. Vite. Je ressens aucun sentiment pour cette pouffe, loin de là, mais elle m'attire. J'arrive presque plus à me contrôler.

» Bouge pas. Il paraît que c'est compliqué de faire un focus parfait.

Mouais. Mon photographe, à défaut d'être très futé, c'est un pro. Et il a du bon matos. Un focus, c'est qu'une formalité pour lui. Mais j'avais ressenti le besoin de me donner ce faux air autoritaire et de trouver une excuse pour pouvoir rester plus longtemps contre elle. Et pour la dernière photo de cette série, je lui laisse pas le temps de m'enfoncer encore plus. Avant qu'elle ne se foute de ma gueule pour être devenue si docile en un instant, je l'embrasse. Littéralement. J'y vais pas à moitié. Je ferme les yeux, je vais chercher sa langue et l'entraîne dans une valse. Et à ce moment, c'est comme si j'avais accompli quelque chose. Je me sens complète et heureuse. En raisonnant logiquement, je parviens à déterminer que c'était faux, qu'il n'y a pas de raisons pour que j'agisse comme ça. Et je pouvais réfléchir. J'étais donc pas droguée. Alors pourquoi ? Pourquoi est-ce que, maintenant, mon esprit se laisse aller et l'imagine elle, en train de me faire subir tout ce dont j'ai rêvé ?

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Prélude / Re : Vous prendrez bien un peu de "love"?
« le: mercredi 18 avril 2018, 00:30:56 »
(Re)Bienvenue, sweetie !
"Ne consommez pas de drogue", qu'ils disent. Je suis tentée.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Meet me IRL (ft. Clad Oyio)
« le: mercredi 18 avril 2018, 00:26:21 »
Je m'amuse. Ce pseudo concours que j'ai crée, j'en connais l'issue. J'ai les sommes sous les yeux et je vois très bien que les autres sont encore très loin d'égaler ce fameux Exes. Je continue pourtant de jouer la comédie, presque sûre que quelqu'un va chercher à se démarquer et essayer de le détrôner. Et justement, quelques petits fourbes montaient discrètement. J'étais littéralement submergée par les dons, à ne même plus savoir où donner de la tête. Accorder de l'attention à chaque donateur serait juste beaucoup trop long. À la place de ça, je décide donc de me focaliser sur les plus gros donateurs. En plus, ça les plaçait sur l'avant de la scène et en faisait des cibles à dépasser, aux yeux des autres. Pile ce que je voulais.

» Pour en revenir à mes fesses, il ne reste que deux minutes pour que l'un de vous remporte l'occasion de les voir de plus près !

Petit clin d'oeil, sourire enjôleur, mise en avant de poitrine. En plus, cette dernière était davantage mise en avant depuis que j'ai retiré mon soutien-gorge. Certains s'amusent même à réagir à chaque fois qu'ils croient apercevoir un téton. Je sais pas vraiment si c'est vrai mais qu'à cela ne tienne. Ca les tenait davantage en haleine ! Mais pour l'heure, ils s'occupaient presque d'eux-mêmes, bien trop concentrés sur la petite course pour le gros lot. Dire que la plupart d'entre eux n'avaient littéralement aucune chance. C'était drôle. Et finalement, l'heure fatidique s'approche à grands pas. Quelques secondes avant, je reçois le don final, celui qui cloue le tchat entier. Cet argent, c'est... c'est merveilleux. C'est quatre fois le salaire de mon connard de père. En une seule et unique fois. Bon, ok. Le site va me taxer un peu, mais à ce compte-là, c'était juste ridicule. Son commentaire était effectivement approprié : j'étais à lui. Entièrement.

» Je suis désolée de vous l'annoncer, mes amours, mais Exes est le grand gagnant. Je ne vous oublierai pas pour autant, mais sachez que pour le moment... J'ai un vainqueur à honorer.~

Je fais bien sûr en sorte d'insister sur les dernières syllabes afin de souligner tout ce que nous pourrions faire pendant ce laps de temps. Après quoi, j'arrête mon live sur cette note positive, sans oublier d'embrasser virtuellement tout le monde et de leur offrir une dernière vue plus qu'agréable. J'adresse aussi un dernier mot à un mon héros.

» Quant à toi Exes, donne-moi ton Twitter. On en reparle en DM.~

Je coupe ensuite la caméra, le son et ferme le moindre logiciel de capture. Je prends note du Twitter du vainqueur et l'y contacte immédiatement après m'être changée pour me sentir un peu plus à l'aise. J'allume quelques lumières, emporte ma caméra pour la poser sur un trépied, près de mon lit et m'y allonge. J'y pose tout naturellement, comme si j'avais fait ça toute ma vie, et relève quelque peu pour mon t-shirt tout en abaissant à moitié ma jupe. Bien sûr, je ne porte pas le moindre sous-vêtement. Je m'assure de poser suffisamment longtemps, histoire que ma caméra capture le plus d'images possibles, puis je vais les consulter directement sur mon pc. Parfait. Un petit coup de pause dans la vidéo, un recadrage, et voilà. Une photo improvisée. Bien évidemment, je la lie à mon premier message pour Exes.

Me revoilà, mon chou. Histoire que tu n'émettes pas de toute sur mon identité, voilà une petite photo prise à l'instant. Oui, je suis me suis mise un peu plus à l'aise. ♥
Bref ! Où est-ce que tu habites ? Tu comprendras que pour des raisons de confidentialité, je préfère venir à toi plutôt que tu ne viennes à moi. Je n'ai pas envie que tout le monde sache où j'habite ! Et bien sûr, si jamais tu as des envies particulières, je peux toujours apporter une tenue de ton choix.
J'ai hâte de recevoir ta réponse. Je t'embrasse, mon chou~

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Les alentours de la ville / Re : Beckoned by the sea (ft. Lyli)
« le: mardi 17 avril 2018, 22:40:59 »
Elle a voulu dire un truc, là ? Je suis persuadée qu'elle a vraiment voulu dire quelque chose, un truc qu'elle assumerait sans doute pas. J'ai bien remarqué qu'elle a changé de sujet, la saloperie ! Je réfléchis, je cherche comment est-ce que je pourrais en profiter qu'une quelconque façon que ce soit. Pour le moment, je trouve rien. Et elle, elle me provoque. Elle croit que je vais me dévoiler face à elle, après la façon dont elle m'a répondu ? Plutôt mourir ! C'est comme m'excuser. Jamais je le ferai. Pas pour elle, certainement pas.

» Euh, non ? Qu'est-ce qui tourne pas rond chez toi ? Va. Te. Faire. Foutre.

Et elle se permet de me toucher, en plus de ça. Non mais elle s'est prise pour qui ? Je me recule de nouveau et balaie sa main d'un geste de la mienne. Enfin, ça c'est que je pensais. Dans ma tête, les événements se seraient déroulés de cette façon. Mais à la place, elle garde une main derrière ma tête et me tire presque les cheveux pour être sûre que je ne bouge pas. Et là. Alors là. Mais qu'est-ce qu'elle fout, sérieux ? Une seconde plus tard, je me retrouve à l'embrasser. Ou c'est plutôt elle qui m'embrasse. C'est doux. J'ai beau la détester, c'est doux. Et en l'instant, l'envie de lui arracher la langue avec les dents venait de disparaître pour un instant. Un très court instant. Au beau milieu de cet échange, je sens quelque chose glisser subitement contre ma poitrine. Cette sensation m'arrache un gémissement soudain, au point de me faire rompre le baiser. Je baisse les yeux et frissonne avec que les vagues viennent caresser mes seins nus. Quoi ? Je veux me retourne, je veux voir qui est l'enfoiré qui a... Ha.

» Mais qu'est-ce que tu fous ? T'es plus assez payé, ça y est ?

Je regarde alors l'autre tarée. Qu'est-ce qu'elle a fait à mon photographe ? L'autre con semble totalement lobotomisé. Et mes soupçons sont confirmés quand il parle. Sérieux, il se soumet totalement ? Qu'est-ce que j'ai raté ? Elle a stoppé le temps pour aller le sucer et depuis, il est accro ? Si j'avais pas été terre-à-terre, j'aurais pu le penser réellement. Mais en tout cas, y'a rien qui justifie ce comportement. Et encore moins le fait qu'il me capture pour son plaisir personnel. Parce que oui, à mes yeux, c'était juste un prétexte pour qu'il puisse me toucher. C'est ça. Ce taré a développé un fantasme à force de me photographier et joue maintenant la comédie pour faire tout ce qu'il veut sans que je ne l'accuse.

» Putain mais... Lâche moi !

Je commence à m'agiter. Il me soule, lui aussi. Je donne des coups de coude et je frappe sa mâchoire avec ma paume. Il semble pas vraiment pas mal, contrairement à ce que je pensais, mais je parviens à me dégager et nager sur quelques mètres pour m'éloigner à nouveau. Mais cette fois-ci, j'ai bien l'intention de retourner sur le sable. J'ai remarqué à quel point l'autre pouffe est à l'aise dans l'eau. C'est pas très rassurant. Je dois me rapprocher progressivement de la plage et pas y aller d'un coup. Là, j'avais aucune chance. Et tant pis pour mon haut de maillot, il me restait des habits sur la plage.

» Vous savez quoi ? Allez baiser ensemble, vous serez bien contents ! Et comme ça, vous me foutez la paix, bande de sociopathes !

C'est ça. Je dois m'énerver encore plus. Comme ça, ma fuite paraîtra bien plus naturelle. C'est pas que cette folle commence à m'effrayer un peu mais... si. Totalement. Et d'ailleurs, je relève un de mes bras pour cacher ma poitrine à l'air. En réalité, je m'en fiche pas mal. Je veux juste paraître suffisamment effarouchée et vulnérable pour ne plus avoir affaire à elle. Enfin... ça, c'est mon désir, celui que j'aurais eu si j'avais pas eu une libido de fille frustrée qui se donne des apparences.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Meet me IRL (ft. Clad Oyio)
« le: mardi 17 avril 2018, 19:18:14 »
Et voilà la première question de mon beau diamant. Enfin, question... C'est vite dit. Je pose mes doigts sur mes lèvres, je les embrasse et fais un simple geste de la main pour envoyer un baiser à la caméra. Suite à quoi, je me retourne, dévoilant mon dos nu et barré au niveau des omoplates par mon soutien-gorge. Je remonte habilement mes mains dans mon dos et détache l'agrafe de celui-ci. Les deux bretelles tombent naturellement. Je me saisis de l'une d'entre elles et tire dessus. Bien évidemment, je gémis de façon expressément audible lorsque mon sous-vêtement racle méchamment ma poitrine. Après quoi, je jette le soutien-gorge vers l'arrière sans me soucier de son sort. Je n'ai maintenant plus rien pour me couvrir la poitrine, en dehors de la laine de ce pull-robe.

» Comme ça, boss ?~

Je me penche un peu vers l'avant, mettant mes formes en évidence pour satisfaire l'appétit du tchat et surtout celui de mon bienfaiteur.

» Pour tout ce que tu as donné, hum... On se rejoint en MP après le live, mon chou.

J'adresse un clin d'oeil coquin à la caméra et pose un oeil sur l'historique des donations. J'y calcule le montant exact de tout ce qu'il m'a donné. Il était largement dans les clous pour obtenir n'importe quelle photo, de quoi rendre fou de jalousie l'étudiant au budget limité ou le salarié au revenu modeste. Bref. Je ne passe pas trop de temps là-dessus et me remets à satisfaire l'intégralité du public. Un échange se crée. J'accumule de plus en plus d'argent juste en répondant à leurs questions, aussi déplacées soient-elles. Si j'ai un petit copain ? Non. Si je m'offre du plaisir solitaire ? Comme n'importe qui. Quel genre de sous-vêtements je porte ? Je leur montre simplement quelques exemples à la caméra. Par des gestes si simples, je me remplis les poches jusqu'à ne plus savoir quoi faire de mon argent. Et je venais justement de penser à un nouveau moyen de générer un maximum de profit, grâce à ce fameux Exes. Je me mords la lèvre inférieure et fais doucement descendre une main le long de mon buste, laquelle est doucement conduite à mon entre-jambe. Mais ça, personne ne le voyait. Tout se passait hors champ, mais j'espérais que c'était assez suggestif pour que tout le monde le remarque.

» Toujours là, Exes ? Et l'ensemble du tchat, bien sûr.

Je laisse mon expression se contracter de temps à autre alors que je me contente simplement de me caresser, sans même réellement me toucher comme la plupart étaient en train de l'imaginer.

» Pour une somme pareille, les transports et l'hôtel seraient entièrement remboursés.

J'attends quelques secondes et je regarde le tchat s'affoler, s'extasier, partir littéralement en live. Mon plan fonctionnait comme sur des roulettes.

» Mais je ne peux pas me cloner, j'en suis incapable. Désolée mes amours, mais ce forfait spécial n'ira qu'au plus méritant.~

Je n'ai même pas besoin d'en dire plus. Après cette annonce, les dons montent en flèche. Pour le moment, aucun n'égale tout ce qu'Exes a pu m'offrir, mais j'espérais qu'un autre individu se démarque pour qu'il se sente menacé et sorte le grand jeu. Mais avait-il réellement besoin d'être menacé pour ça ? Il pouvait très bien écraser la concurrence avec un gros coup. Et moi, je me contenterais de garder tout en félicitant l'heureux vainqueur. Mais ce serait trop simple. Par quelques clics, j'ajoute un compte à rebours sur mon layout. 600 secondes, soit un total de 10 minutes. Les plus malins donneront peu avant que le compte à rebours atteigne zéro, histoire de ne laisser aucune chance aux autres de saisir le bon montant et de l'offrir à temps. Avec ça, peut-être que mon favori se sentira sous pression. Bref. Je lance le fameux compte à rebours avec le sourire.

» Bien entendu, je suis une édition limitée. Je pourrais peut-être ne plus jamais ressortir en tant que lot... Ce serait dommage pour ceux n'ayant pas participé, n'est-ce pas ?

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