Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Futaba Aoi

Pages: [1]
1
Le policier était tout ouï sur la demande de la demoiselle, venant à se mettre  réfléchir sur la procédure à prendre pour être cette amie ou cette attachée de presse. Il se disait qu’être amie d’une personne comme elle pouvait être à la fois un atout qu’un inconvénient, l’attaché de presse était une posture plus distante. Dans le premier cas, le policier serait certainement la cible de possible kidnappeur, afin de pouvoir faire pression sur sa cliente. Dans le second cas, sa cliente était nettement plus exposée, d’autant que Futaba risquait de ne pas avoir les droits sur la gestion de l’argent en cas de rançon.  Le fait de payer la dépense d’un tel rôle était certainement une bonne chose pour l’homme, qui n’allait pas devoir recalculer ce soir son compte en banque. 

Il fut légèrement surprit de voir que Sandy ne cédait pas à la tentation, mais n’en voulait absolument pas à cette dernier, tout le monde pouvait faire un choix et il n’y en avait aucun de mauvais dans ce cas de figure présent.  Son rire ne laissait pas indifférent le policier, qui se disait que cette femme était certainement habituée à vivre dans un cocon protecteur, mais il s’agissait d’un jugement purement personnel, qui n’allait pas entraver son boulot.

Futaba saisit le contrat imprimé.

Le policier vint à faire bouger son regard, lisant le contrat assez rapidement, une aptitude qu’il avait pris dans la relecture de ses rapports de police ou celle de ses camarades, afin de déceler les petites fautes ou encore les incohérences. Il ne constatait aucun changement dans les termes du contrat, ce qui était un bon signe. Il reposait le bout de papier, ayant oublié l’espace d’un instant qu’il allait devoir vivre avec Sandy. Cette constations vint à rougir un peu ses pommettes, mais il ne se laissait pas abattre par ce détail, il n’allait pas mourir de vivre un temps avec une jeune femme, le plus difficile étant certainement l’écart de mode de vie, Futaba était très ordonné et soigné dans son espace de vie. Il devrait faire avec l’organisation particulière de la demoiselle.  D’autant que el délais n’étais pas long, deux semaines.

Il fut tellement concentré sur le contrat que l’information que sa cliente travaillait dans les  vidéos adultes parvint enfin à son cerveau.  Il eut un rire nerveux. 

- Je dois avouer ne pas m’y connaître dans votre métier.


Très vite il reprit cet air angélique et pur. 

- Rassurez-vous, ce ne sont pas quelques difficultés qui vont m’empêcher de faire mon travail comme il se doit. Concernant mon rôle … vos propositions sont intéressantes. Mais, me faire passer pour une amie serait certainement une meilleure option, tant sur le fait de vous accompagner tout le temps que sur l’exposition d’un possible danger. Si des personnes tentent de vous nuire, ils préfèrent largement s’attaquer à une de vos amies qu’à un attaché de presse, en générale les personnes proches et sans connaissances importante sont des cibles de choix, les personnes pensent généralement qu’une amie est sans pouvoir et sans force, contrairement à une attachée de presse qui peut avoir des contacts influents.

Futaba regardait Sandy.

- Vous pourriez me décrire le genre de personne que vous aimez comme amies ? Cela inclurait aussi les professions, les goûts, le style vestimentaire, la chevelure, etc. . Cela me permettrait de construire un personnage crédible aux yeux des autres. Si l’écart est trop perceptible, on se doutera que je suis votre garde du corps. Plus vous êtes précis, plus le déguisement paraîtra vrai.


2
Futaba ne fut nullement dérangé par le fait que sa cliente s’attendait certainement à une personne plus virile et puissante. Il enregistrait le fit qu’elle était européenne, pouvant mettre un nom sur l’archétype de la demoiselle, même s’il se posait des réserves, car l’origine du pays ne voulait pas forcément dire que sa cliente était européenne de sang. Le policier profitait de la petite interruption de parole, pour prendre une gorgée du jus de fruit, restant à l’écoute de la jolie jeune femme.  Le fait de voyage beaucoup voulait certainement dire que sa cliente ne resterait pas forcément très longtemps, mais cela n’en dérangeait pas l’homme plus que ça.  Il vint à capter une expression étrange, supposant que Sandy devait réfléchir à bien des choses, avant qu’elle ne vienne à faire une proposition des plus étonnantes, pas si étonnantes que ça vu que, visiblement, il y avait déjà eu un cas similaire, même s’il s’agissait visiblement d’une femme pour Sharon Stone, un nom qui ne disait pas grand-chose au policier. Futaba n’était pas très people et gardait ce sourire confiant. 

- Cela reste une éventualité. Même si je serais  l’écoute de ses arrangements. Mon emploi le plus long consistait à me faire passer pour une femme dans les transports en commun pour arrêter les malfrats. Aussi, cela ne me dérange pas de me faire passer pour une femme, il me faudra juste adapter la position de mon arme de fonction selon le style de tenue portée, ce qui n’est pas une chose bien difficile avec un peu d’imagination.

Le policier voyait le regard de la cliente et vint à tendre la main vers le holster, sortant l’arme de son fourreau, avant de retirer la sécurité, retirer le chargeur, puis faire sortir la balle qui était dans le canon. Futaba avait appris dans sa formation que cela permettait de gagner les quelques secondes qui faisait un flic vivant ou mort. Il ne remit pas le chargeur et vint à reposer l’arme sur la table. Le policier voulait laisser  la cliente sentir le poids de cette arme et comprenne que si cela ressemblait à un jouet, le poids ramenait à la réalité.

-  Vous ne risquez rien à le touchez en l’état.

Futaba aurait certainement été sermonné s’il était encore de services, mais son action était tant pour combler la curiosité de sa cliente que pour la familiariser avec une arme, ainsi elle serait moins prompte à agir par peur, ce qui pourrait rendre difficile sa tache de garde du corps. Il attendait patiemment qu’elle pose des questions, étant tout de même calé sur le sujet du maniement de l’arme, mais il ne laisserait jamais Sandy tirer avec son arme chargée. D’un côté il aurait des ennuis, de l’autre ce n’était pas à elle d’endosser la responsabilité de blesser ou tuer autrui, mais lui, même s’il n’avait jamais tué quelqu’un, son manque de précision lui sauvant d’une épreuve qui pouvait briser une carrière.


3
Futaba se mit à hocher de la tête, gratifiant Sandy d'un sourire radieux. Il avait bien entendu que la demoiselle souhaitait être considéré comme son âge physique le supposait. Il ne donnait pas plus de dix-huit ans à la jolie femme, venant à entrer suffisamment, afin que la propriétaire des lieux puisse refermer la porte. Il en profita pour retirer ses chaussures, se disant qu'il allait faire sans chausson, afin de ne pas abîmer et salir inutilement cette moquette avec ses chaussures de ville.  Il se mit à observer le petit salon, c'était, pour lui, un véritable champ de bataille, des vêtements pas ci, des sextoys par là. Il eut une petite rougeur en se disant que sa cliente était soit clairement indifférente à son espace de vie, soit très ouverte concernant la chose. Cependant, ce n'était pas à Futaba de juger le mode de vie de Sandy, tant que cela ne nuisait pas à son travail. La demoiselle se permit d'ailleurs de s'excuser, ce que le policier répondit en premier lieu par un petit geste de la main, visant à la rassurer.

- N'ayez crainte, je ne suis pas regardant sur votre espace de vie, d'une part cela serait irrespectueux, d'autre part c'est votre choix, non le mien.  Concernant la boisson, je souhaiterais une boisson non-alcoolisée.

Il se permettait d’observer un peu la chambre d’hôtel, venant à défaire son holster, pour le déposer sur la table basse. L’arme était de toute manière rendue inoffensive, ayant la sécurité dessus. Il ne souhaitait pas parler avec la demoiselle et que cette dernière ne se sente menacée par l’arme. Il attendit sagement, venant à dire d’une voix douce et ambiguë, signe qu’il avait poussé assez loin sa féminité.

- Je dois vous avouer que je ne m’attendais pas à avoir une personne aussi jeune, ce n’est pas pour vous vexer que je dis cela. Si je peux m’avancer, vous n’êtes pas du pays, je me trompe ? 

4
Futaba vit la demoiselle ouvrir la porte, bien que percevant la petite lumière venant du Judas, On pensait souvent à tort que cela estompait sa présence, mais rien que la différence de luminosité sur ce petit cercle suffisait  savoir s’il y avait une personne derrière la porte. Le policier ne pouvait pas en vouloir à cette cliente, mais il ajoutait dans un compteur mental, le nombre de fois où elle serait tuée, afin d’estimer si Sandy était du genre prudente ou non.  Le fait d’ouvrir la porte n’était pas une mauvaise chose en soi, Futaba faisant tout de même attention à comment la jeune femme se positionnait, si elle se mettait clairement à découvert ou savait limiter le nombre de prise d’un possible agresseur.  Il avait une certaine expérience avec les violeurs dans les transports en commun qui le maîtrisait en usant de toutes les faiblesses qu’une femme avait.  Il  joignait ses mans devant lui et se mit à courber délicatement le buste. 

- Bonjour Madame Sandy, je suis votre garde du corps.

Doucement, l'ancien flic vint à sortir de la poche de sa veste sa carte d’identité, pour la présenter à la cliente. Anticipant une potentielle envie que Sandy s’excuse ou se rattrape, il se mit à dire aimablement. 

- Vous n’avez pas à vous excuser pour votre erreur, j’y suis habitué. Vous devriez faire attention quand vous regardez dans le judas, une personne malintentionnée peut savoir si vous regardez ou non, je vous conseille de mettre quelques choses pour empêcher la lumière de votre chambre de passer dans l’œillère de la porte.

Futaba attendait que la cliente digère un peu le fait qu’il n’allait pas avoir une armoire à glace comme garde du corps, mais un homme androgyne. Le policier avait son arme sous la veste, qu’il laissait volontairement ouvert, afin de ne pas trop souligner son corps et montrer qu’il avait une arme sur lui.  Parlons justement de la tenue. Elle était assez modeste, un pantalon et une veste bleu égyptien, avec une ceinture en cuire noire, une chemise blanche, ne portant pas de cravate et une paire de chaussure de ville en cuire noire. 

- Souhaitez-vous que nous continuons cette conversation à l’intérieur ? Vous devez certainement avoir de nombreuses questions à me poser.

 

5
Futaba avait renouvelé son annonce, tant dans les journaux que dans les sites professionnels, prévu à cet effet. Mais après avoir eu un petit travail d’appoint en tant que professeur remplaçant, il n’avait pas reçu de nouvelles missions.  Il avait encore quelques mois de versement, mais n’aimait l’idée de devoir être sur la corde rêche par la suite. Aussi ne fut-il qu’étonné en ayant un mail le lendemain matin.

Il était à la fois surprit et intrigué, il s’agissait d’une réponse venant d’une personne qui lui disait vaguement quelques chose. L’ancien policier n’avait pas perdu sa vieille habitude d’enquêter sur les personnes et comprit rapidement, en lisant le contenu du message, qu’il allait devoir assurer la protection d’une jeune femme. Il allait la considérer comme une femme et non une demoiselle, après si la commanditaire préférait se faire rajeunir, il prendrait en compte cette décision. Il se rendit compte que plusieurs choses, tout d’abord, la somme proposé était acceptable, sans doute la jeune actrice n’était pas à la première embauche et savait le prix que valait une garde rapprochée. Pour Futaba, il n’avait pas l’idée du prix que coûterait une telle mission, d’autant qu’il n’y avait pas d’intermédiaire, Sandy l’avait directement contacté. La somme était assez importante, par rapport à son ancien travail, quoi de plus étonnant, vu qu’il devait prendre le risque de se prendre une balle s’il devait y avoir une agression à main armée.

Il mit bien la matinée entière pour réfléchir à tout ce que cela allait impliquer. Débuter une carrière de garde du corps allait faire beaucoup parler de lui, il allait attirer l’attention et il pouvait très bien ne plus pouvoir se sortir de se métier aisément. D’un autre côté avec ce job, il allait certainement pouvoir subvenir à ses besoin pendant deux mois, trois s’il était économe.  Il prit la décision finale d’accepter, demandant à avoir un acompte, pour pouvoir s’équiper en conséquence. Il reçut le virement quelques heures après signature électronique du contrat, permettant d’aller voir un marchand d’arme dans les bas-fond de Seikusu, faire une demande en règle auprès de la police pour porter une arme et pouvoir l’utiliser dans le cadre de sa nouvelle activité, présentant le contrat et l’arme acheté pour être enregistré. Connaissant les procédures, il put finir très rapidement la paperasse.  

Il fallut encore attendre deux jours pour être en règle, venant à envoyer le mail à la personne pour signaler qu’il prenait ses fonctions le matin même, recevant l’adresse où logeait elle logeait. Il fit une première inspection autour de l’hôtel et vint à se présenter au réceptionniste, qui le prit pour une femme.  Il vint à excuser l’erreur que le jeune homme avait fait en pensant qu’il était une femme et put avoir la chambre de Sandy, montant par les escaliers, pour tester cette voie et faire du repérage.

Après être monté, il se mit devant la porte venant à toquer, venant à attendre que l’on ouvre ou demande qui il était pour se présenter.

6
Salles de cours et bibliothèque / Retour au banc de l'école.[PV Bunjiro Kobayachi]
« le: dimanche 31 décembre 2017, 13:49:25 »
Aoi avait reçu une réponse par courrier électronique. Il avait été reçu pour le poste de professeur remplaçant. Bien que n'ayant pas une formation adéquate, ses nombreuses année dans la police et de contact humain, au sens figuré bien évidement, il n'avait pas tout dit non plus à la personne en charge du recrutement, lui avait permit d'avoir ce travail.  Il ne savait pas encore quel serait la matière a enseigner. On lui avait suggéré dans le message d'avoir une allure présentable, ce que le jeune homme comptait faire, habitude d'être en tenue professionnelle ou propre lorsqu'il faisait une intervention dans les métros et les bus.  Il eut un premier rendez-vous dans la salle des professeurs pour avoir un complément d'intervention, autant dire qu'il se fit remarquer, avant même d'avoir son premier court, faisant apparaître des rumeurs sur une professeur remplaçante canon.  

L'ancien policier reçu donc les fameux cours à donner, travaillant la soirée un peu pour avoir de l'avance, se doutant que la première séance de cours serait surtout là pour poser des questions, se faire questionner, chercher à connaître les élèves.

Le lendemain matin, il dû résister à l'habitude de porter une jupe ou une robe, l'habitude d'être féminine quand il ne portait pas son uniforme.  Il prit le choix d'avoir une tenue similaire à sa première entrée dans le lycée à savoir un pantalon légèrement moulant, mais pas trop, une chemise blanche et une veste. Comme chaussure, il prit des chaussure de  ville avec de très petit talon, ne pouvant se défaire de la sensation d'avoir la plante de ses pieds pencher vers l'avant.  Il se mit un peu de baume à lèvre, histoire de toujours les maintenir protéger de la pollution extérieur, corrigeant aussi un poil disgracieux qui traînait sur son visage, avant de prendre une sacoche en cuir et aller au lycée.

Il vint à faire un signe de la main à tout ceux qui le souhaitait bonjour, ne pouvant que sourire quand on l'appelait madame ou mademoiselle. Il était trop gentil pour casser tout de suite leurs erreurs. Il passa par la salle ds professeur, afin d'avoir quelques informations en plus et se dirige vers la salle qu'il allait devoir gérer. Il eut un autre sourire entendant annoncer son arrivé, venant à se mettre devant la porte et ouvrir délicatement, réceptionnant au passage ce qui servait à effacer le tableau, geste adroit.   Toujours souriant, il prit la parole.

- Je vois que certaine chose ne changent pas d'un lieu à l'autre.  C'est n'est pas à un singe que vous apprendrez à faire la grimace.

Le "piège" avait été assez évidant, à cause de bon nombre de personne regardant au-dessus de la porte. S'il n'était pas à l'affût du moindre détail, il aurait été un bien piètre policier.  Il vint au bureau, restant debout, saisissant de quoi écrire. Mettant son nom et son prénom, avant de se présenter.  

- Je me nomme Futaba Aoi, je remplacerais votre professeur, le temps qu'il se rétablisse. Ma méthode risque de vous changer, je n'ai pas eu de formation pour être enseignant, mais je ne doute pas pouvoir vous apprendre quelques éléments. si vous avez des questions n'hésitez pas, hormis  certaines informations, j'ai tendance à répondre à tout.  

7
Le coin du chalant / Re : Futaba Aoi journal
« le: samedi 04 novembre 2017, 13:48:28 »
up

8
Prélude / Re : Futaba Aoi [Valicidé !]
« le: lundi 30 octobre 2017, 14:47:59 »
*Caresse timidement la tête la neko.* Quel jolie créature. *Donne un peu de poisson frais à la terranide.

9
Prélude / Re : Futaba Aoi [Valicidé !]
« le: dimanche 29 octobre 2017, 23:45:57 »
Merci.

Lucrezia :  Pourquoi regardez-vous en l'air ?

10
Le coin du chalant / Futaba Aoi journal
« le: dimanche 29 octobre 2017, 20:54:41 »
http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=20390.0

(Malgré l'avatar c'est un mec. Pour plus d'information je vous invite à lire la fiche avec le lien ci-dessus.)


Annonce postée au journal de Seikusu


A la recherche d'un travail, étant actuellement logé non loin du temple et en possession du permis voiture, ainsi que moto.

Possède le permis de port d'arme et possède les connaissances pratiques pour tenir une maison.

Expérience  professionnelle :

2005-2017 Service anti-Chikan à Kyoto

Merci de me contacter par mail ou par téléphone.  

11
Prélude / Re : Futaba Aoi [Valicidé !]
« le: dimanche 29 octobre 2017, 20:37:01 »
Merci

Alice : Tu dois confondre avec Futabu. :p

12
Prélude / Futaba Aoi [Valicidé !]
« le: dimanche 29 octobre 2017, 20:08:54 »
Commissariat
Service anti-Chikan
3 rue du Cerisier
Kyoto


Objet : Préavis de renvois

Bonjour,

Monsieur Aoi Futaba, par cette présente lettre, nous vous tenons informé que votre service sera supprimé, dans le cadre d’un coût trop important de votre service et des nombreuses plaintes reçue, avec la validation des dirigeants en charge des subventions auprès des forces de l’ordre, nous vous indiquons que votre poste sera donc supprimé d’ici trois mois à partir de la date d’émission de cette lettre.

Au vue de vos résultats de votre service, il a été décidé de vous octroyer le versement d’une compensation à votre poste, ceci pendant trois mois après la fin de votre activité au sein des forces de l’ordre, sur un montant égal à la moitié de votre salaire actuel, en tenant compte de votre ancienneté.  

Nous ne pouvons vous trouver un emploi similaire au sein de Kyoto et proposons de postuler dans une autre ville, votre expérience pouvant certainement aider les villes plus réduite et ayant une criminalité plus grande.

Compte-tenu de votre activité particulière à votre service, nous vous accordons la récupération de tout matériel vous appartenant, sauf armes de services et tenues officielle.  

Avec l’expression de nos salutations distinguées.  

Directeur du commissariat
Masasuke Zakura



********Physique ********

Aoi relisait cette lettre alors qu’une voix annonçait l’arrivé à la gare de Seikusu, venant donc à le replier pour le mettre dans un petit sac, il portait une chemise blanche, avec une cravate turquoise, une veste bleu bleuet et un pantalon dans les mêmes teintes. Malgré cette tenue assez masculine, il avait un visage très féminin.  Il mesurait un mètre soixante, pour un poids autour des cinquante kilogrammes, d’une apparence très fine, on le prenait très souvent pour une femme. Sa chevelure est naturelle, pas de perruque, les ayant fait pousser dans le cadre de son activité et était très fière d’avoir un faciès que certaine femmes envie.  Il a appris à manipuler la pince à épiler pour avoir des sourcils parfaitement épilés, il prend aussi soin de ses lèvres, qu’il protège régulièrement avec un baume nourrissant.  Il constatait un petit défaut, venant à sortir le miroir de poche pour corriger le tir immédiatement, se rendant compte du geste que plus tard en se rappelant qu’il n’était plus de service à Kyoto, ayant du mal à perdre avec les habitudes de son ancien travail.  

Il attendit que le train s’arrête pour se lever et prendre son bagage à roulette, venant à marcher de ses jambes fines, que le pantalon moulait légèrement. Il ne pouvait cependant par contrôler le mouvement de ses hanches et sa démarche féminine, trouvant difficile d’avoir la démarche des hommes.  Il massait sa succulente nuque, ayant passé tout de même longtemps en position assise, n’étant pas habitué à rester autant de temps les fesses sur un siège, fessier qui était tout de même bien formé et pouvant faire un effet ravageur dans une robé légèrement moulante.  

Il eut le droit à un « au revoir madame », venant à répondre d’un sourire qui dévoilait des dents blanches et soigneusement entretenue.

****************

Il prit la direction de l’agence immobilière, prenant les bus pour s’y rendre rapidement. La personne en charge du dossier se mit à douter des informations, du fait de la différence qu’il y avait, venant à relire oralement pour avoir des informations.

******** Identité ********

-Vous vous nommez Aoi Futaba, vous êtes un … homme, né de 17 octobre 1987 à Seikusu. C’est bien cela ?

- Effectivement.

- Vous êtes actuellement célibataire et venez de quitter un poste de policier.

****************

La personne saisit la lettre.

- Hum … il y a le tampon. Le salaire est conséquent. Cela vous dérange si je passe un coup de fil pour vérifier auprès de votre ancien employeur.  

Aoi vint à l’inviter à le faire d’un geste souple du poignet.

- Vous devriez avoir du monde vu l’heure.

Il y eu le contrôle avant que la personne de l’agence revienne avec différentes annonces.  

- J’ai vu avec votre ancien patron et nous avons la confirmation. Vous désirez donc un appartement. Nous en avons plusieurs. Pour du 40m, comme demandé dans votre dossier, nous avons plusieurs proposition. Nous avons un logement libre au niveau du centre commercial, il est situé au-dessus d’un bar. Cela n’est certainement pas le plus calme, mais la proximité avec les commerces est intéressante. Ensuite, nous avons un logement près du parc, la circulation est assez dense en semaine, mais le week-end est assez calme.  Pour le dernier logement, il se situe près du temple, l’accès se fait cependant par les marche et non un autre chemin, le prix pour un logement loin de la circulation. Les trois logements sont aménagés et disponible maintenant, nous pouvons contrôler le logement choisit et vous fournir les clés dans l’heure.

Aoi fit mine de réfléchir.

- Je vais choisir le logement au niveau du temple, un peu de marche ne me fera pas de mal.

Les papiers se firent rapidement, ainsi que le contrôle du logement, Aoi finissant par avoir les clés et être seul. Il allait défaire ses bagages, quand son téléphone sonnait, décrochant et reconnaissant la voix de sa camarade de service, une femme naïve et aimant être à l’affut des moindres ragots. Il s’était très bien entendu avec elle.  Il passait presque plusieurs heures à l’écouter.

********Caractère********

Il écoutait sa binome dire que cela la manquait d’avoir une personne aussi calme et douce que lui. Aoi n’était pas le genre de policier à faire usage de la force, bien au contraire, il préférait essayer la méthode douce, on pouvait dire qu’il était le bon flic. Il n’aimait pas l’usage des armes létales, préférant de loin maîtriser les personnes et faire usage, en cas extrême, d’un pistolet-tazer.  Il eut une légère grimace quand sa camarade soulignait d’ailleurs son talent pour ne jamais toucher un point vital avec une arme à feu, même en le visant.  
Il était cependant triste de savoir que plus personne ne viendrait à le complimenter sur son thé, étant un véritable cordon-bleu au fourneau, tout comme une mère-poule envers les jeunes recrue.

Vint l’énième boutade sur le fait qu’Aoi ferait une parfaite mère au foyer, ce qu’il répondit par un rire cristallin. Son binôme savait que sa féminité posait de nombreux problèmes et il esquivait la question en disant que sa situation actuelle ne le dérangeait pas. Aoi n’avait pas envisagé cette évolution et s’adaptait. Il se rappelait de la figure des jeunes hommes qui arrivaient et pensait qu’il était une femme, ne comprenant pas pourquoi il avait son vestiaire attitré jusqu’à avoir le petit oiseau sous les yeux.  Envisager l’opération de la poitrine ou du sexe ne lui avait pas traversé l’esprit, il était policier et ne faisait qu’adapter sa façon d’être au travail qui lui était demandé.  

Mais comme son binôme le soulignant, la perte de douze ans d’habitude étaient très difficile à perdre du jour au lendemain et il se voyait mal couper ses cheveux, tenant beaucoup à cette apparence, bien que soupirant intérieurement en se disant qu’il allait avoir du mal à trouver un job dans sa ville natale, sans avoir à jouer sur son apparence.

Aoi fut contente d’apprendre que les autres membres de la brigade était derrière lui pour qu’il se reconvertisse sans soucis, cela lui faisait chaud au corps, étant du genre très sentimental. Il fut questionné, encore une fois sur son orientation sexuelle et le genre d’homme ou de femme qui lui plairait. Il répondit qu’il n’avait pas d’attirance pour un genre en particulier et qu’il aimerait bien se mettre en couple avec une personne pouvant le faire voyager, découvrir des choses qu’il n’a pas croisé pendant ses années de services. La discussion vint à virer sur ses connaissances en matière de sexe, le faisant rougir, ayant dû mettre son fessier à l’épreuve pour arrêter certains pervers.  Il n’avait que des connaissances dans le rapport forcé, refoulant le fait qu’il ait pris goût à ce genre de chose.  Un policier qui aime se faire maîtriser et humilier n’était pas une bonne chose à dire devant ses camarades de profession.

****************

Aoi vint à raccrocher, voyant l’heure défiler, contactant ses parents pour venir prendre un repas et donner des nouvelles.   Il fut assez bien accueillit, son père venant à légèrement grimacé en voyant l’aspect féminin de son fils, mais il comprenait le choix de sa progéniture pour exercer son métier.  Sa mère quant à elle vint à l’enlacer en le complimentant sur sa beauté, venant à le taquiner en disant qu’il était presque similaire à elle plus jeune.  Aoi le prit très bien.

********Histoire********
Ses parents avaient été toujours autour de lui. Il était enfant unique, ce qui explique que ses parents aient toujours été au petit soin, pour qu’il puisse faire les études qu’ils souhaitaient. Il avait toujours été entouré par les histoires édulcorées d’arrestation de « vilain méchant » par ses parents. L’enfant prit très vite le choix de suivre la voie de ses parents dans les services de l’ordre.  En grandissant, il apprit à se débrouiller, avoir des parents policiers n’était pas toujours de tout repos et il arrivait qu’il passer des nuits tout seul. C’est donc sur le tas, qu’il apprit à cuisiner, faire le linge, tout ce qui était nécessaire pour garder une maison en bonne état, faisant aussi des petits plats pour ses parents.

Il ne manquait de rien et comprenait que ses parents ne pouvaient pas forcément s’occuper tout le temps de lui et aussi arrêter les personnes enfreignant la loi. Il eut un collège et un lycée  assez calme, travaillant beaucoup, pour répondre aux attentes de ses parents. Il finit ses études à Kyoto, faisant un dossier et passant le concours afin d’intégrer les forces de l’ordre. Les circonstances se faisant, du fait d’un résultat assez hétéroclite, il vint à se trouver dans la brigade chargée des harcélement sexuel dans les transports en commun. Il avait à cette époque une chevelure plus courte, mais fit de son mieux pour appliquer la loi dans ses endroits propices aux attouchements. Les nombre de femme était très réduite et les statistiques faisaient que les interpelés étaient, principalement des hommes.

Aoi choisit donc, dans un premier temps, de se travestir, faisant passer les achats des perruques et des vêtements comme des frais  d’uniforme, avec l’autorisation de son patron, qui ne voyait pas trop en quoi cela changerais la donne.  Les résultats au bout d’un mois se firent sans appel, le nombre de délit se mit à baisser. Aoi fut bien évidement suivit par le psychologue du service, ayant dû donner son corps pour parvenir à arrêter certains malfrats. Pour l’aider dans sa tâche il fut mis en binôme avec une jeune demoiselle qui se mit en tête de lui tirer les vers du nez, essayant d’avoir des détails croustillant de sa bouche. Les autres binômes se mirent à regarder ce duo avec un sourire. L’apparence d’Aoi vint à se féminiser avec le temps, n’ayant plus besoin d’user de perruque, bien qu’étant tout de même mit à l’écart dans les vestiaires, les femmes ne désirant pas d’homme et les hommes voyant Aoi comme trop féminine.  Hormis cet endroit, il était très bien vu par son service, surtout quand il faisait son service de boissons chaudes.

Le revers de la médaille de ce service était que tout le monde avait la tendance à avoir le pied lourd sur l’accélérateur des voiture et trop léger sur le frein, Aoi étant certainement la seule personne à savoir piler, si bien que le service était surnommé la brigade « No Break » et détenait un record assez affolant de voiture malmenée voire inutilisable.

Les plaintes s’accumulant sur le service et le nombre de requêtes diminuant fortement, il fut décidé de dissoudre ce service afin d’économiser dans les réparations diverses. Ce qui nous amène au nouveau point de départ d’Aoi.

****************

Le repas du soir se passa sans soucis, venant à quitter ses parents et rentrer chez lui, non sans avoir quelques conducteurs étrangers qui se mirent à le siffler, le prenant pour une femme. Il put enfin vider ses bagages et se prendre une petite douche, avant d’aller dormir. Demain, il allait faire les annonces pour trouver un nouveau travail, même s’il ne savait pas encore s’il allait trouver un job à sa mesure.  On oublie par douze ans de services et de manie si rapidement.  

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