Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Maya Da Silva

Pages: [1] 2 3 ... 5
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Base Spatiale / Re : Alliance fatale [PV Maya]
« le: mardi 29 décembre 2015, 23:10:01 »
Ariman me déballe tout ce qu’il y a à savoir sur ma mission. Notre mission, devrais-je dire. J’écoute attentivement tout ce que j’ai à savoir sur la planète cloaque qui n’est d’autres qu’une « planète-décharge » vieilles depuis des milliers d’années. Planète-décharge….. Je n’imagine même pas la gueule que doit avoir cette planète. J’ignore même s’il doit rester encore des natifs originaires de ce monde. Soit ils sont morts, soit ils ont fuie leurs monde pour un autre, ou bien ils ont du s’adapter mais encore faut -il que ce soit possible. Mais apparemment, Cloaque étaient peu habités à l’origine. Par contre, pas de précision sur combien d’effectifs au juste. Des Jawas ? Connait pas. Surtout quand j’apprends de la bouche d’Ariman qu’en plus d’être l’une des planètes les plus dégueulasses de la galaxie, les millénaires de « pseudo-terraforming » ont rendues les intempéries invivables. En gros : pluies acides corrosives, airs polluée à cents pourcents voir même à mille pourcent. Bref, pas le genre d’endroit où j’aimerais passer les vacances.
Parce qu’en plus de cela il existe des systèmes d’écoulements et de canalisations inconnues à ce jour !? Ça en dit vraiment long sur la date où ce monde a eu pour rôle de décharge planétaire. Je suppose que rechercher des pièces de rechanges dans ce monde représente certainement une chasse au trésor à elle seule. Une mine d’or pour des pilleurs d’antiquités à revendre aux marchés intergalactique. Ce qui se fait d’ailleurs ! Avec du recyclage en prime. D’ailleurs, mon client ajoute que c’est l’une des principales sources de revenus des cartels Hunt en payant pirates et mercenaires pour récupérer des objets de grandes valeurs nicher là-bas, ainsi que des « artefacts technologiques » qui semble être d’une valeur inestimable. Ce qui veut dire que nous allons marcher sur leurs plates-bandes pour ainsi dire. Ça laisse présager peut être un risque d’avoir ma tête mise à prix par ces fameux cartels et me faire courser par tous les chasseurs de primes dans toute cette galaxie lointaine où je me trouve. Et peut-être même au-delà.

En d’autres termes : il va m’arriver des bricoles pas chouettes. Mais j’accepte ce risque, ainsi que les conséquences qui vont en découler……

Pour ce qui est de notre but central, cela consiste en gros à dénicher un de ces fameux artefacts technologiques avant qu’il ne tombe entre les mains d’un certain Dhazak, mais pas n’importe lequel. Un objet provenant directement du monde d’Ariman comme étant un ordinateur astronagation. Donc, une simple mission de récupération. Ça va, je devrais pouvoir gérer ça. Je pense que le plus dure sera de faire gaffe à ne pas être pris en sandwish entre ce Dhazak et ces Rak’gol durant nos recherches. Bon, à vrai dire ils sont surtout trop occupés à se bouffer le pif entre eux, sauf qu’ils ont négocié une trêve temporaire. Ce qui veut dire que ce n’est qu’une question de temps avant qu’il s’entredéchire à nouveau. Avec une pincée de bole on n’aura pas à les affronter. Du moins, trop occupée à se battre pour prêter attention sur nous. Après, ce n’est qu’une hypothèse…….

Je vide mon verre pile au moment où Ariman cesse de converser. Drôle de timing ! De mon côté j’ai rien d’autre à répondre à part un haussement d’épaule suivit du tintement de mon verre que je repose tranquillement. Avant de claquer gentiment des mains et d’esquisser un sourire enthousiaste.

-   Parfait ! On peut y aller ?


En effet, je n'ai nulle question à lui poser vue que je sais tout ce que j'ai à savoir. Je pourrais bien lui demander l'utilité de l'objet de ses désirs, si c'est une arme ou bien un moyen pour lui de rejoindre sa planète natal, mais je n'y vois pas d’intérêt.

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Base Spatiale / Re : Alliance fatale [PV Maya]
« le: mardi 29 décembre 2015, 16:49:01 »
C’est au tour de mon client d’ouvrir la parole. Et sans surprise, il s’est renseigné sur moi et mes capacités surhumaines, mais également sur toute une tirade comme quoi il serait mal vue des barons de ces « cartels » que deux êtres aux pouvoirs destructeurs foutent leurs bordels et mettent sens dessus dessous les zones sous leurs contrôles. Cette remarque m’étonne un peu car je ne vois pas pourquoi nous devrions nous affronter alors que nous sommes là uniquement dans le but d’échanger un service contre rémunération. Ce serait stupide ! Mais en fin de compte je parle trop vite, puisqu’il mentionne un simple exemple de circonstance qui se produirait si l’on venait à semer la zizanie.
En tout cas il s’estime avoir suffisamment de vécue pour m’informer qu’il existe des êtres bien plus redoutable que lui et moi réunie. Ce dont je ne doute nullement. Moi-même j’ai eu mon lot d’expérience et de situations où je m’étais sentie impuissante face à des personnes ayant utilisé un de mes points faibles pour me capturer, m’acheter puis me livré en pâture face à des créatures monstrueuse. Comme ce Thunderdome de Neron dont j’ai pu m’en réchapper par je ne sais quel miracle. Je croyais n’en jamais ressortir. Alors oui, il est préférable que notre conversation se déroule dans les meilleures conditions et que des compromis soient faits.

Je reprends une nouvelle lampé d’alcool tout en hochant positivement pour lui montrer que je suie bien la conversation, puis reposant tranquillement le verre et de glisser une main dans mes cheveux pour dégager des mèches un peu gênante. Habitude typiquement féminine. Nouvelle révélation :  Ariman est l’antithèse total de ma mentalité. Bien que l’habit ne fasse pas le moine, comme on dit, cette maxime ne s’applique pas forcément à tous. Du coup, je ne suis guère étonner de l’apprendre. Suis-je mal à l’aise ? Un peu, certes et c’est bien normal, mais encore une fois je m’attendais bien à ce que croise tôt ou tard des monstres dans ce métier de mercenaire en intérim. Je ne suis pas né de la dernière pluie pour savoir dans quoi j’allais m’embourber. J’apprends un peu davantage sur lui comme étant un homme ayant contracté un étrange virus, baptisé Oblitérator, qui l’aurait transformée en une espèce de monstre fait de chair et de métal assemblée chaotiquement. Ce qui explique mieux pourquoi cette accoutrement sur lui.
Néanmoins, l’homme en face de moi reste très clean en ayant une mission pour moi respectant clairement toute les conditions. Et c’est tout ce qui compte pour moi. Le reste, ça ne regarde que lui. Ainsi donc, il va me suivre tout au long de sa mission ? Je vois….. une mission d’escorte. J’ignore jusqu’où il est puissant mais pour avoir tant besoin de moi  c’est que le danger qui plane sur cette mission est à prendre au sérieux. Même pour moi. Mais en contrepartie, la récompense qu’il m’offre est à la hauteur des risques encourus, avec indemnité pour le déplacement en bonus. Cela me semble être une bonne affaire.

Je prends quand même un moment de réflexion en prenant un air pensif pendant une demi-minute, histoire de voir si cela en vaut quand même la chandelle. Mes mésaventures m’ont quand même apprise à me montrer plus prudente. Depuis que j’ai fouler Terra pour la première fois, il m’est arrivé tant d’emmerdes dont une petite poignée m’ont mise dans des situations où je pouvais vraiment perdre la vie. Il est loin le temps de l’insouciance où je pouvais me vanter d’être considéré comme étant la femme la plus puissante de la terre (selon mon propre avis).

Je relève mon regard vers Ariman pour hocher la tête positivement, une nouvelle fois. Ma décision est prise…..

-   J’accepte votre mission. On peut commencer maintenant si vous le désirez.

Simple est concret.

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Base Spatiale / Re : Alliance fatale [PV Maya]
« le: mardi 29 décembre 2015, 00:21:06 »
Alors que je m’apprête à quitter ce lieu insalubre pour finalement abandonner mon rendez-vous, pensant que le message venant juste du lascar de tout à l’heure ayant utilisé un faux nom pour m’attirer dans son piège, je tombe nez à nez avec ce qui semble être…. Et bien…. Une sorte de crâne cybernétique lévitant dans les airs. Muni d’un voyant rouge à l’orbite droite et un haut-parleur en guise de mâchoire. On dirait bien que ce drone doit certainement provenir du vrai Ariman, étant donné qu’il demande si je suis bien Maya. J’hoche positivement la tête.

-    En personne.


La suite confirme bien mes propos lorsqu’il m’informe qu’Ariman m’attends. Enfin, ce n’est pas trop tôt ! Il me conduisit vers une alcoves où une ombre massif se tenait assise sur le côté, à travers le rideau en tissu délabré. Et lorsque je m’y faufilant, c’est pour faire face à un homme assez atypique. Oui, je suis à des années lumières de mon monde Natal, je sais bien. Mais disons que pour cette personne, semble être un humain vêtu d’une armure ou d’un exosquelette massif. Dissimulé par une bure noir munie d’une capuche. En tout cas il est un poil plus impressionnant que l’autre. Il n’est pas loin de prendre les trois quarts d’espace de l’alcôve. C’est à ce demandé comment sa chaise puisse tenir son poids qui doit certainement avoisiner la tonne. Je ne ferais pas de commentaire sur son regards qui n’a vraiment rien de rassurant, ou encore de sa peau livide tout juste visible par le peu de luminosité traversant l’espace restreint. Mais passons…..
N’empêche que malgré tout, il sait se montrer courtois et accueillant en me présentant ses mondanités. Le tout en m’invitant à m’installer. Ce que je fais sur-le-champ, Toutefois je fais gaffe a ce que je ne brise pas le banc par mon poids frisant la tonne. Ouf…. Ca va, à part des grincements un peu inquiétant, l’objet semble supporter plus ou moins ma masse. Remarque, on est dans un établissement accueillant toutes sortes d’aliens dont certains doivent peser lourds.

-   Ô ne vous en faites pas, j’ai connus bien pire comme situations. Ça, ce n’étais juste qu’un petit malentendu. Par contre, je vais être franche en vous disant que j’ai eu de gros soucis pour trouver le moyen de rejoindre cette planète. J’ai bien cru que je n’y serais jamais arrivé. C’est également mon tout premier voyage spatial de ma vie, alors comprenait bien que ça me fait bizarre d’être sur une planète extra-terrestre.

Et pour pas me montrer impolie en refusant le verre d’alcool offert par mon client, j’accepte poliment son offre généreuse d’un « bien sur » courtois. Je jette un œil rapide sur la bouteille avant de remplir mon verre d’une liqueur oscillant entre le brun et l’orange, en plus de dégager une odeur assez particulière. Une odeur vachement puissante, mais plutôt agréable à sentir si l’on met de côté le chatouillement des narines. J’avale une bonne lampé qui vide un bon quart du verre de la taille d’un verre long. Mhuuum, pas mauvais ! Je sais pas ce qu’il y a dedans mais faut reconnaître que c’est vachement bon. J’aurais bien aimé connaître le nom de ce breuvage, mais c’est écris dans une langue incompréhensibles pour moi. Faudrait un jour que je trouve des livres d’apprentissages de langues extraterrestres. Surtout qu’avec ma super mémoire photographique je n’aurais pas de soucie pour apprendre vite et bien.
 
-   Bref ! Maintenant que nous sommes réunies ici, on va enfin pouvoir  parler affaire. A commencer par ce que vous attendez de moi ? Je suis à votre écoute.

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Base Spatiale / Re : Alliance fatale [PV Maya]
« le: dimanche 27 décembre 2015, 20:33:35 »
Plus le temps passe, plus je me demande ce que je peux bien faire là…..

Finalement, parmi toute cette masse de lascars, quatre humanoïdes se lèvent à l’unisson et se rapprochent de moi. Des espèces de chiens reptiliens humanoïdes pourvues de mains à trois doigts et de pattes à trois doigts en guise de pieds. Tous armées jusqu’aux dents avec leurs armes énergétiques et blanches. Surtout le plus imposant de tous qui ressemble à un tank vivant avec son espèce d’exosquelette qui lui permet de manier cette sulfateuse menaçante sur sa main droite. Sans parler de son armure de protection qui pourraient le protéger de tout un assaut des forces antigangs Brésiliens. Ah ouais quand même….. J’avoue qu’il n’a pas une gueule de porte bonheur celui-là. Mais il en faut bien plus pour m’impressionner. Et je le montre bien en restant stoïque, bras croisé sous ma poitrine et le regard fixe dans le blanc de ses yeux reptiliens.

-   C’est vous Ariman ?
-   Lui-même, ma jolie !
-   Vous auriez pu faire l’effort de me donner des indications pour que je puisse mieux vous reconnaître…..
-   Ah ! Autant pour moi, héhé. Simple oublie.
-   Enfin Bref parlons affaire. Que voulez-vous que je fasse pour vous ?
-   Un service particulier…. Mais qui est judicieux qu’on en parle dans un coin plus tranquille *fait un signe de la tête sur le côté en direction des toilettes*. Ça grouille trop de monde en ce moment.
-    Okay.

Je me contente de le suivre  jusqu’aux latrines. Lui ainsi que ces larbins derrière moi, dont l’un d’eux ferme la porte derrière lui.

-   Tu m’as vraiment pris pour une cruche en croyant me faire croire que t’es Ariman ?
-   Héhéhéhé ! Bravo ma jolie…. Mais c’est pas un peu tard pour le dire ? Surtout venant d’une demoiselle aussi moulé du cul comme toi qui vient sur Nal Hutta comme ça, sans armes ni personne pour l’accompagné ?

L’un de ses péon attrape mes bras pour tenter de m’immobilisé, tandis que ses potes ricanant baisser leurs frocs pour exposer leurs protubérances imposants, puis se rapprochant lentement de moi.

-   Tu tombe a point nommé, trésor. On commençait à être en manque après des mois de pillages sans voir une femelle aussi belle que toi.
-   Tu veux savoir pourquoi j’ai joué le jeu en te suivant dans ces chiottes dégueulasses ?
-   Non, raconte ?
-   C’est très simple……

*SHLAARK*
WHOUAAAAAAH !!!!

Un geste sec de mes bras, après avoir saisie les siens avec mes bras, à suffit pour lui démembrer ses membres supérieurs. Sous les yeux perturbés et écarquillé de ses collègues.

-   Pour m’occuper de vous en toute tranquillité.

Sans leurs laisser le temps de réagir, ainsi que pour faire propre, j’use de mes capacités suprahumaine qui freeze le temps autour de moi. Du moins, par mes yeux. Je décapite le démembré d’un revers de la main, pour aussitôt m’avancer rapidement vers les deux larbins pour leurs faires explosé la tête en prenant la leurs dans chaque mains puis les faisant entrechoquer entre eux comme on casse des œufs pour faire une omelette. Pour ensuite me placer à moins d’un mètre du chef de bande. Le tout en une fraction en moins d’un tiers de seconde. Tout a été instantanée pour lui, créant un sursaut de panique et un reculons de deux pas. Moi, pendant ce temps, je m’approche d’un évier au hasard et ouvrir le robinet pour me laver mes mains souillés d’hémoglobines devant un alien affolé et tremblotant, regardant frénétiquement de gauche à droite ses camarades morts avec une respiration saccadée.

-   P…par le joyau de Gardulla… Mais t’es quoi au juste !!?

Sans même prendre la peine de lui répondre, je me contente de l’ignorer et de m’essuyer sur mon T-shirt plutôt que sur la serviette sombre qui semble avoir vécue des jours meilleurs. Je marche vers la porte de sortie, puis m’arrête net contre……

*Clak !*

Non, ce n’est pas le déverrouillage de la porte, mais l’arme lourde du chien reptilien que je lui ai arraché spontanément après m’être déplacé instantanément près de lui, croyant pouvoir me tuer en me tirant par derrière. Ce dernier tombe sur le cul, tout près de pissotières rongées par la crasse et les champignons, paniquant de plus belle en faisant perler son front de sueurs froides abondantes quand il contemple son arme se faire broyer aisément par les doigts de ma main droite comme du papier. Réduisant sa sulfateuse futuriste en une vulgaire boule de ferraille. Boule qui vient de lui former un trou béant dans sa tête après lui avoir jeté sur la figure d’une pichenette.
Voilà une chose de faite. Je peux maintenant sortir tranquillement des WC et reprendre mes recherches. Pour certains, c’est la stupeur total de me voir revenir intacts.

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Base Spatiale / Re : Alliance fatale [PV Maya]
« le: dimanche 27 décembre 2015, 01:47:50 »

Le mercenariat…… 
Je n’aurais jamais cru me lancer un jour dans cette aventure…..

Je ne cesse de parcourir Terra, comme la terre, à la recherche des réponses à ces mêmes questions sur mon origine non-humaine, que seule mon Père biologique détient les réponses. Du moins, j’en suis persuadé. Hors, plus je remonte la piste de mon géniteur en remuant ciel et terre, plus il y a de zones d’ombres sur mon enquête. L’épisode de Nexus auprès de cette Lastrim en est un bon exemple. Ce qui m’oblige à devoir user d’autres moyens d’amplifier grandement l’efficacité de mes recherches. Et parmi l’un d’eux que je pourrais considérer comme étant le meilleur se résume en deux mots : l’argent.
Je n’ai jamais été une avare en quête de profits faciles et être une adepte du culte du veau d’or. A mes yeux cela a toujours été pour moi qu’un moyen pour parvenir à un, voire plusieurs buts. Du court au long terme en passant par le moyen. C’est bien connue : l’argent peut quasiment tout acheter, que ce soit des renseignements, des possessions, des services et j’en passe. Le mercenariat est l’une des activités qui, à côté de l’esclavagisme ainsi que du trafiques de drogues, permet d’engranger énormément d’argents faciles qui me sera d’une aide précieuse. Notamment pour payer des gens pour obtenir des renseignements bien plus facilement, mais également plus fiable. D’autres perspectives en tête comme l’acquisition d’un logement secondaire à Tekhos comme ailleurs avec une belle somme d’argent sur soi germent à l’esprit, mais pour l’instant je ne l’utiliserais que dans le but de récolter des informations. Si l’argent de fait pas forcément le bonheur de tout le monde, c’est tout le contraire pour certaines catégories de gens.

Néanmoins, en tant que femme de principes et de valeurs, j’ai tout de même fait en sorte de préciser les conditions exigeantes à mes clients, d’ordres moraux, s’ils veulent que j’accepte leurs demandes. Entre autre : interdictions formelles de tuer des innocents, de capturer des cibles pour être vendues en esclavages et autres trucs dégueulasses comme monstrueux. Des conditions qui ne sont pas aux gouts de la grande majorité des personnes recourant aux mercenaires, en plus de ne pas être bons pour ce genre de business. Mais qu’importe, je ferais avec ! Et si ça ne marche pas, tant pis, je trouverais un autre moyen. Ce n’est pas comme si je n’avais pas de plans de secours.

Voilà déjà trois mois que j’ai lancé mon affaire un peu partout sur Tekhos et Nexus.
Trois mois d’absence de demandes……

Je ne m’étais pas faite d’illusions en imposants mes règles. Je savais déjà qu’un début pareil allait mal commencer. Mais à ce point-là….. Honnêtement, non. Même le récapitulatif des prouesses phénoménales que je peux faire ne sait pas montrer convaincante. Tseuu…. Remarque, c’est peut être ça la cause de manque cruel de client. Ils doivent penser que je raconte des conneries justes pour faire vendre. Pas faux……
Et là, un beau jour, je reçois enfin ma première demande sur mon holopad bas de gamme. Dans mon petit studio futuriste, en plein centre de Tehkos, que j’ai loué temporairement. Par un certain Ariman. Une nouvelle qui m’a fait plaisir à savoir….. mais qui fut de courte durée. Le rendez-vous d’affaire est censé se tenir dans un bar situé sur une planète appelé « Nal Hutta » que je ne connaissais pas. Quelle chiotte !! Déjà que je connaissais à peine Tekhos et encore moins Ashnard, je devais carrément retrouver un client sur une autre planète ! Sachant que j’ai même pas 24 heures pour me demerder à connaître et rejoindre ce monde. Et que si je décline l’offre, je vais passer pour une dégonflée.
Heureusement que sur Tekhos, le voyage spatial est monnaie courante. N’empêche qu’Il m’aura fallu plus ou moins douze heures non-stop à me renseigner auprès du énième passant dans tout Tekhos pour : connaître l’emplacement du spatioport de la capital et croiser une pilote de vaisseaux Tekhane connaissant cette planète pour m’y déposer. Mais comme cela coute bonbon, c’est-à-dire un million de crédits (sachant que j’ignore combien ça équivaux en pièces d’or ou encore en dollars), j’ai dû me débrouiller à rassembler la somme le plus vite possible en participant à tous les combats en cages illégaux des bas-fonds de la Megalopole. Tous mes adversaires, hommes comme femmes, ont tous mangé le bitume à pleines dents. Un jeu d’enfants !  En seulement huit heures j’ai réunie les fonds suffisants. Sauf qu’à mon retour au spatioport, cette sale garce m’avait posé un lapin ! Rhaaa, j’étais à deux doigts de passer mes nerfs sur un mur que j’aurais démoli et qui m’aurait valu une arrestation pour dégradation. Et encore je n’connais même pas le code civique Tekhane…..

C’est vraiment de la veine que je suis tombée par hasard sur un autre pilote de vaisseau qui, non seulement connais la planète, mais qu’en plus il accepte de m’y déposer gratuitement. Un homme plus exactement. Ce n’est pas souvent que j’en vois un dans une ville qui prône la suprématie de la gente féminine. Il m’a embarqué à bord de son vaisseau vaguement aux X-Wing de Star Wars, puis on a vite rejoint l’espace sidérale puis j’ai vite découvert les joies du voyage en vitesse lumière pour la toute première fois. C’était…. Whouaou…..
Une minute. C’est le temps qu’aura duré le voyage. Il m’a déposé au port de la capital planétaire comme promis pour aussitôt repartir vers d’autres cieux. Je n’ai pas mis longtemps pour trouver le lieu de mon rendez-vous : un pub miteux. Je m’disais aussi qu’au vu de la tronche de la planète, de ses habitants et du lieu de rencontre, mon client doit certainement être un type louche.

C’est vêtu de mon traditionnelle mini short en jean et de mon T-shirt noir court que je franchi l’entrée de l’établissement insalubre, peuplée d’extra-terrestres avec des têtes chelou. Sans surprise, quelques regards gognards lorgnent en ma direction, un sifflement au fond et une approche lourdingue d’un alien fuse, mais je ne prête pas attention.  L’idée de gouter à un rafraichissement extra-terrestre ne me dérange pas…. Mais quand j’enttends le barman, ressemblant légèrement à un critter, parler dans une langue trop exotique à mon gout, je préfère me contenter de balayer la zone à la recherche de mon client. Au milieu de la pièce. Tein, ça peut être n’importe qui ! Il aurait pu au moins faire l’effort de me donner des signes de reconnaissance…..

6
Le coin du chalant / Re : Les épopées de Maya
« le: samedi 26 décembre 2015, 18:38:24 »
Pas de soucie ! Tu ouvre notre rp en premier ?

7
Le coin du chalant / Re : Les épopées de Maya
« le: mercredi 23 décembre 2015, 01:09:26 »
M.A.J du 23/12 /15

- Libération de la trame I
- Ajout de la Trame II et III

8
Ville-Etat de Nexus / Re : visite à nexus ( Maya Da silva)
« le: mardi 22 décembre 2015, 21:46:07 »
Super, Le nom de la guilde n’est pas inconnu par Lastrim ! Pendant un moment j’ai crus que l’on allait repartir à zéro. Je décide donc de prendre un des deux verres sur la table et d’y verser une liqueur fruité que je déguste par une lampé délicate. Délicieuse au passage : saveur Ambroise au gout sucré avec une pincée d’épices qui lui donne un gout plus que particulier.
Deux liqueurs dégustées plus tard, un nom lui revient finalement en tête : Les enfants de Boréas. Selon elle, ce serait ni plus ni moins qu’une guilde qui semble spécialisé dans les... épices rares ? C’est particulier tout de même, mais c’est un bon début ! Voilà une piste de fait. Le comptoir est fermé ? Ah... en effet il commence à faire tard. La vieille horloge rustique calée dans un coin indique sept heures. Et le soleil commence déjà à ce coucher. Bon ben j’crois bien que je n’ai guère le choix que d’accepter la proposition de Lastrim à passer la nuit dans cette auberge. En plus de cela, c’est elle qui paye la soirée. C’est très sympa de sa part.... mais que je trouve un poil suspect. Pourquoi perd t’elle son temps avec une étrangère t’elle que moi depuis notre rencontre ? La seule chose que je sais et qui justifierais tous cela serait ma nature qui l’intrigue. Ca et rien d’autre ! Mille questions se posent à son sujet. J’ai comme cette mauvaise sensation que je ne suis qu’a ses yeux une vulgaire curiosité à étudier, rien de plus. Si jusqu’ici je n’ai rien suspecté de louche chez elle, au final je ne sais pas grands chose sur elle. De même pour elle de moi.

Je crois qu’il va falloir qu’on se fasse un break pour mieux se connaitre. Et l’auberge tombe bien ! Donc, petit hochement de tête positif avec le sourire.

-   Ça marche, on fait ça ! C’est vraiment gentil de votre part.


Je me contente donc de suivre son ombre et de la regarder payer le gérant pour qu’on se loge dans la meilleure chambre de son établissement, avant d’aller rejoindre cette même chambre en passant par l’escalier principale et les couloirs. La pièce est agréable à voir, elle est plus ou moins spacieuse et nous avons deux lits pour chaque personne. Je contemple paisiblement la pièce en faisant un tour sur moi-même, pour ensuite jeter un œil sur la fenêtre qui donne sur un balcon offrant une belle vue d’ensemble du quartier où se tient l’hôtel. Du moins pendant la journée, car avec la pénombre du couchant on ne voie plus très bien. Les lanternes d’éclairages urbains en fer forgée ne sont pas encore allumées.

Je m’approche un peu de Lastrim. Soupirant lascivement avant de prendre parole.

-   Maintenant que nous sommes entre nous et qu’on se connait un peu, j’aimerais en savoir plus sur vous. Non pas que je ne me méfie pas de vous.... mais depuis que nous nous sommes rencontrées, la seule chose que je sais sur la raison pour laquelle je vous intéresse, c’est uniquement par ma nature non-humaine et non par sa personnalité. Rien d’autre. Hors, je n’apprécie pas DU TOUT cette pensée, car cela veut dire qu’en dehors de ça, je ne suis rien pour vous. Juste un sujet de curiosité.

Mes mains se pose sur mes larges hanches, tandis que mon regard se fait plus autoritaire.

-   Soyez franche avec moi : Est-ce juste la nature de mes pouvoirs qui vous intéresse de moi ? Vous avez intérêt à ne pas jouer les menteuse, car je suis on n’peut plus sérieuse. Et que j’ai horreur des hypocrites......

Les dés sont jetés.

9
Les landes dévastées / Re : Le Grand Voyage [Shad Hoshisora]
« le: mardi 22 décembre 2015, 17:48:47 »
Shad ne semble pas apprécier la réaction de son semblable en émettant un grognement bestial avant de le rembarrer comme quoi elle n’avait aucun point en commum avec ces chasseurs d’esclaves qui, peu à peu, risque de vite devenir mes pires ennemies dans cette outremonde. On est au limite de la confrontation, mais heureusement que le chef tribal se montre sage en ordonnant à ses hommes de baisser leurs armes, ainsi que la sienne. Cela ne veut pas dire pour autant qu’on est toujours les bienvenues chez eux. Pour preuve, il veut que nous quittions sa tribu dans moins de deux heures. Quel générosité.......
Alors que les guerriers du chef ainsi que les habitants regagnent leurs occupations initiales, le commentaire négatif de Shad sur les tribus de ces terres m’oblige à me tourner vers elle.

-   Peut-être que cette tribu a dû vivre des antécédents désastreux avec des voyageurs perdues qui ont rendu les gens de cette tribus plus méfiantes. Je suppose que cela à commencer par la mort de l’enfant du chef. C’est triste, mais au fond il n’a pas tort. Le contraire m’aurait même étonné, après je n’y connais rien dans les mœurs de leurs peuples.
Et pour répondre à ta dernière question, Shad : Oui, ce n’est pas la première fois que je viens dans ce monde, mais bien la deuxième fois. La première, c’est par une Magicienne qui, après une apparition soudaine dans mon appartement sur terre et un échange de mots, m’a téléporté chez elle auprès de créatures dont je n’aurais jamais cru si je ne les avais pas vus de mes propres yeux. Puis d’une ville appeler Nexus. Malgré tout, je ne connais que très peu de chose sur ce monde et encore moins de la ville où je suis allé. Il y a encore trop de nouveauté chez moi.


Voilà de belles informations que je lui jette en pâtures, mais c’est bien parce que je lui fais confiance et que j’ai plus que besoin de me faire des alliés dans ce monde qui me réserve certainement pleins d’autres surprises.

Et pas des moindres.......

Au même moment, la femme aux oreilles de louves s’approche de moi et me tendre une bourse en tissu brodée contenant une poignée de pièces d’or par pur générosité pour que je puisse m’acheter quelque chose au marché local du village. C’est très sympa de sa part, sauf qu’au moment de la remercier en toute politesse pour son acte de charité je suis interrompue par le crie paniqué d’un natif local revenant au village comme s’il avait la mort au trousse. Courant pour sa vie, la tête figée dans une expression d’effroi total. Des sceaux d’eau et autres objets sont lâchés subitement par quelques personnes, avant qu’une vague de panique retentisse et que tout le monde cours dans tous les sens autour de nous. Les femmes, les enfants et les vieillards partent se réfugier dans leurs habitations tandis que les guerriers se regroupent au côté d’un chef tribal confus qui interrompt la course de l’alerteur pour lui soutirer des informations vers où il va arriver.

Qui est le dévoreur, dit-elle ? Je m’pose la même question. Mais la réponse à notre question ne tarde pas à arriver dans nos oreilles sous la forme d’un rugissement tonitruant venant du ciel, semblable à celui du T-rex de jurassik park. Regardant d’abord la tête de Shad vers le ciel, j’oriente ma tête dans la même direction qu’elle pour apercevoir une immense ombre ailé masqué partiellement le coucher du soleil et se rapprochant à grande vitesse. Non je ne rêve pas, c’est bien un Dragon qui fonce sur nous ! Une authentique créature mythologique grande comme un Antonov-225, surchargé d’écailles plaquées lisse, munis d’ailes impressionnantes et pourvue d’une gueule et d’un regard reptilien des plus dissuasifs D’ici je peux entendre le battement sans problèmes le rythme cardiaque des guerriers s’accélérer à mort. Des mots comme « Quoi, déjà !? » ou encore « Je ne comprends pas ! Le Devoreur est censé être endormie pour encore un siècle ! » Fusent dans l’air. Le chef retrousse ses lèvres et révélant ses crocs serrés à fond, au même titre que la poigne de ses mains sur la garde de son arme. Malgré son air courageux, il n’est pas sûr d’en ressortir vivant de l’affrontement. Pendant ce temps-là, le dragon plonge en diagonale, droit sur le hammeau.

Je le vois faire volteface vers ses hommes pour leurs ordonner d’emmener leurs familles loin d’ici pendant qu’il fait diversion, seul. Quelques braves voix s’oppose à cela, insistantes à vouloir mourir auprès de leurs chef, l’épée à la main. Mais ce même chef redouble de force dans sa voix en leur ordonnant de faire ce qu’il demande. En leurs questionnant sur l’utilité de leurs sacrifices s’il ne restait plus personne dans leurs tribu pour conter leurs exploits.

BROUUUUUMM !!!!!

Ça c’est moi qui, après s’être accroupie pour donner de l’élan à mon impulsion de mes pieds pour sol, fuse dans les airs. Soulevant une bourrasque d’air aux alentours qui fait souffler les tenues des guerriers, tout en formant un cratère peu profond. La distance qui me sépare du Dragon se raccourcie de manière exponentielle. Et l’impact de mon direct du droit contre sa cage thoracique lui fait creuser un trou béant qui fait les trois quarts de son torse, faisant gicler des morceaux d’écailles, mais aussi de chairs, d’organes et de sang. Un râle puissant mais court à retentit, avant que la carcasse draconienne s’écrasement lourdement au sol et fasse quelques tonneaux mémorables. Soulevant un panache de poussière occultant la vue de tout le monde.
Quand « l’écran de poussière » s’est dissipé, c’est avec des yeux chouettales que le chef et ses guerriers contemplent la carcasse de ce qui fut le Devoreur. Le chef n’en revient toujours pas de ce qu’ils ont vu à l’instant. Au même moment, ils me voient contourner sur le côté le corps inerte de la bête, époussetant ces traces d’hémoglobines et d’organes qui entaches mon T-shirt noir et mon mini short en jean que constitue ma tenue. Et c’est sans gêne que je retourne auprès de Shad pour récupérer la bourse qu’elle me tendait, sans oublier de lâcher un « merci » courtois à la fille aux cheveux bleus.

A cette instant, le chef se fraie un chemin parmi ses cinquante guerriers en les écartant manuellement pour ensuite s’approcher de nous deux. Puis soudainement il pose un genou au sol et baisse la tête. Ses guerriers l’imite.

-   Je.... Je n’sais comment vous remerciez de nous avoir sauvés, moi et ma tribu. Cela fait de nombreuses générations que ce monstre tourmente mon peuple. Depuis trop longtemps......
Veillez me pardonnez pour ce que j’ai dit tout à l’heure ! Vous pouvez rester parmi nous aussi longtemps que vous voulez. Je vous autorise même à prendre ce que nous avons au marché gratuitement. Je sais que c’est peu.... mais c’est le mieux que je puisse vous offrir.


Je m’accroupie pour me mettre à son niveau, puis je pose une main amicale sur son menton pour lui demander de se relever.

-   Allons, c’est rien. Relever vous, je ne suis pas une reine ! Et puis ça va, je vous pardonne. Je vous remercie également pour votre offre, mais rassurez-vous je ne suis pas exigeante. Tout ce que je veux c’est juste une carte géographique qui puisse m’aider à me situer dans ce monde.
-   j’ai bien peur de ne pas avoir ce dont vous aviez besoin.... Nous n’avons pas l’habitude d’avoir ce genre de chose sur nous.....
-   Okay.... alors on se contentera juste de passer la nuit parmi vous. Quand pense tu, Shad ?

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Ville-Etat de Nexus / Re : visite à nexus ( Maya Da silva)
« le: vendredi 05 juin 2015, 20:40:38 »
Bien que le temps qu’il a fallu au noble à l’embonpoint proéminant n’a pas été long, pour moi c’est comme si j’avais patienté pendant de longues heures tant je suis impatiente de connaître mon origine mystérieuse. Origine qui n’avait que peu d’importance à mes yeux avant de recevoir cette lettre envoyer par je-ne-sais-qui qui peut être aussi bien mon père que n’importe qui. Seulement voilà, au moment même où j’ai foulé mes pieds sur ce monde encore inconnue à mes yeux de terriennes, je n’ai jamais eu une envie aussi obsessionnelle de ma vie à vouloir à tout prix connaître les réponses aux milles questions qui naissaient dans mon esprit comme un champ fleuris. Certes, pas au point de consacrer l’entièreté de mon temps libre à cette quête, vingt-quatre sur vingt-quatre, sept jours sur sept. Il y a également ce monde dont je meurs d’envie de parcourir, d’en savoir plus sur les cultures de ce monde et des mystères qu’il recèle. N’importe qui de très curieux serait sur la même longueur d’onde que moi. Au passage, il a de sacré lunettes en cul de bouteille, lui. Le genre de lunette qu’on pourrait utiliser comme une alternative au microscope.
La réponse à mon attente tombe….. et elle n’est pas terrible. Je soupire péniblement, témoignant d’un mécontentement certains sur mon minois. L’homme n’en sait pas plus que Lastrim si ce n’est que la texture du papier, au même titre que la calligraphie, ne lui sont pas familière. Venant d’une personne de grande influence, cela m’étonne que cela ne lui dise rien. Ugh…. ça aurait été trop beau pour être vrai de toute fa…… Hein !? Ais-je bien entendue de sa bouche que le cachet lui disait quelque chose !? Voilà qui est intéressant ! Au moins j’ai un indice, bien qu’infirme, auquel je pourrais exploiter pour remonter à la source. Ça reste mieux que rien. Selon lui, elle viendrait d’une guilde marchande de la ville baptisé les Enfants de Boréas. Bon ben voilà une chose de faite ! Le point positif c’est que je n’aurais pas besoin d’aller me taper des bornes interminable pour rejoindre une autre ville, puisque la guilde en question se trouve ici, à Nexus.

-   C’est peu comme information mais je m’en contenterais. Je vous remercie quand même pour avoir sollicité votre aide.

Et c’est en rendant la politesse à mon interlocuteur que je me lève pour quitter la pièce, laissant  le puissant noble vaquer à ses occupations gastronomiques. Je descends l’escalier que j’ai emprunté plus tôt pour ensuite retourner auprès de la magicienne qui n’avait pas bouger d’un pouce de sa place. C’est un peu conne comme question, puisque l’entretient n’a même pas duré cinq minutes. M’installant à nouveau sur la chaise où j’ai posé mes deux grosses pommes avant. Je soupire une énième fois.

-   Votre contacte n’a pas sut reconnaitre la nature du parchemin et son style d’écriture. Heureusement, il a quand même put identifier le cachet de ce dernier. Il a dit qu’il viendrait d’une guilde marchande qui se nomme « les Enfants de Boréas ». Vous savez où je peux les trouver ?

En y réfléchissant bien, j’aurais dû poser cette question au nobliau à l’étage d’au-dessus. C’est con ça……

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Ville-Etat de Nexus / Re : visite à nexus ( Maya Da silva)
« le: lundi 11 mai 2015, 22:29:12 »
En fin de compte, le pote de Lastrim a d’autres penchants plus attrayant que d’avoir des plans cul avec de pauvres filles vierge comme moi. C’est déjà ça de bien et ma respiration nasale profonde est là pour le faire comprendre. Et comme je ne sais trois fois rien de ce monde, ça me laisse imaginer ce dont il peut bien aimer. Très sincèrement, je ne préfère même pas à le savoir, ça n’a pas d’importance. L’importance, c’est que l’homme à la ceinture lourde me remonte la piste du parchemin qui m’a été envoyé, point à ligne. Ce sera déjà un bon début.
Et étant donné qu’il m’attend à l’étage supérieur, je ne vais pas lui faire perdre son temps plus longtemps. En commençant par me lever tranquillement de ma chaise, que je remets en place, avant de faire volteface à la magicienne avant de lui faire part de mon geste affirmatif de la tête que j’ai pigé son conseil de flatterie. Lui souriant d’un coin de mes lèvres. Voilà maintenant que je l’imite…

-   T’inquiète pas, c’est bien noté en tête. Je ne suis pas coconne. J’y vais.
 
Je passe donc à côté d’un jeune ménestrel concentré à jouer un chant poétique avec son luth, ainsi que derrière une rangée de buveurs dont la pluparts sont de gros buveurs barbus qui ne doive pas connaître cette sublime invention qu’est la douche, tant il put le fauve à vous déboucher votre nez pris. A moins que cela n’existe pas sur Terra, ce qui est en somme cohérent vue la tronche des civils et de la ville. Je retiens de tiré un air de dégout et me contente de retenir ma respiration jusqu’à atteindre l’étage d’au-dessus par l’escalier grinçant et droit, calé au flanc latéral de l’auberge, faisant mine d’ignorer les regards gognards de quatre gaillards au fond de la pièce et des fantasmes lubriques de l’un d’eux sur ma croupe incendiaire. Il est loin, mais je l’entends comme s’il se tenait à mes côtés par mon oui surhumain.

Même à cet étage ça sent toujours cette vieille odeur de bois et d’alcool séchés qui imbibent l’air. Bien qu’à un degré bien moindre. Sans blague, que peut bien faire un noble aussi influant que « Monsieur le Maigre » perd-il son temps dans un hôtel aussi miteux que celui-ci, alors qu’un homme de ce calibre devrais fréquenter normalement des restaurants de luxe et de prestiges ? Nan parce que vraiment le service reste à désirer. L’une des chambres vides porte encore une forte odeur de fluides corporelle témoignant une partie de jambes en l’air rocambolesque.

Que le sang bleue ait une influence non négligeable, okay….. mais à qu’elle point ?

Je vais pas tarder à le savoir, car je l’aperçois directement en passant deux virages entre quatre couloirs. Et en effet…. c’est un beau morceau que j’ai devant moi. Le bonhomme est chauve et au visage jouflues, gonflé par la nourriture qu’il s’empiffre tel un fullmetal boulimiste, dont certains morceaux de viandes et de sauce viennent tacher sa robe richement ornée, au col et aux bords des manches couvertes de fourrures animales. J’avais vue juste, bien que ce n’était pas compliqué à deviner le personnage que j’allais rencontrer à cette instant. En plus, il a clairement une tête de consanguin de dixième génération. Le genre de tête à claque qu’on a envie de foutre une baffe.
Il remarque mon arrivée et je me contente de lui sourire aimablement pendant qu’il épouse sa bouche débarbouille avec une serviette en soie blanche. Malgré qu’il a l’air d’être passé par l’essoreuse de la vie, il a l’air bien sympathique et se montre désireux de se montrer utile. J’hoche la tête positivement alors que je passe une main dans mes cheveux pour chasser une mèche rebelle qui gêne ma vue.

-   C’est bien moi. Monsieur le Maigre. Lastrim m’avait dit que vous pourriez m’aider à retrouver l’émetteur de cette lettre…..

Je plonge une main délicate entre mes armes de séductions massives pour en sortir la dite lettre pliée en quatre que je dépose devant lui, entre deux assiettes à moitiés finies.

-   Je tiens absolument à remonter jusqu’à cette personne qui m’a envoyez ce présent.

Et c’est avec une politesse maitrisée que je me prononce. Après tout c’est une personne importante au sein de cette société.

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Fourmillière galactique / Re : Spécimen unique [Maya Da Silva]
« le: vendredi 08 mai 2015, 16:28:01 »
Bon sang… cette jouissance…… cette JOUISSAAAAANCE BON SANNG !!! Ça vaut toutes les drogues extatiques du monde !! J’enlace ma reine avec autant d’ardeur et d’amour qu’une gamine de 10 ans qui veut recevoir ses caresses et le doux baiser de sa mère adoré ! Je…. Je jouit tellement que j’en perd la tête ! Je ne me sens même plus pisser ! Pas de l’urine, mais bien un liquide de cyprine abondant qui déborde autour de cette verge énorme façon volcan en éruption. Sauf que dans mon cas c’est plutôt un supervolcan, hinhinhin !! Ca fuit de partout, vient souiller le bas ventre de Sarah ainsi que le sol organique super confortable en plus !!! Encore mieux qu’un matelas moelleux !
Aaah….. je peux sentir ce doux membre phallique se dilater et devenir plus gros qu’avant ! Et accompagner des coups de reins violents, cette pénétration devient tellement brutal que je suis sur le point de m’envoler pour un aller simple au hautes couches du Nirvana !!!

Ô reine des Lames….. vous êtes tellement géniale ! J’ai du mal à croire que j’ai pu dire que je ne voulais pas de vous. Qu’elle pauvre conne j’ai été ! Mais ça n’a plus d’importance à présent : j’ai rattrapé mon cou et je ne suis pas prête de m’arrêter là. Nooooon, bien au contraire ! Je vais prendre tout mon temps pour réaliser toutes sortes de jeux de jambes qui me passe par la tête qui me passe par la tête !

Ô oui… je ne vais pas louper ça. Je ne tolérais pas, hinhinhinhin !!!


***


Mhuum ma tête…… pourquoi j’ai si mal à tête ? J’ai l’impression qu’on m’a massé le crane avec un marteaux piqueur. A mesure que ma vision s’éclaircit je constate peux à peux que je me réveiller allonger au beau milieu d’une forêt vierge….. Et SANS vêtement en plus. Nu comme un ver de terre. Sans deconner, que s’est-il passé au juste !? Tout ce que j’me souviens ce sont le peu d’images floues de ce rêve bizarre, où je m’étais retrouvée dans une espèce de prison organique…. qu’il y avait une femme moitié humaine moitié formienne, je crois….. que sa créature monolithique qui lui servait de chercheur m’avait révéler la nature de mes pouvoirs….. puis j’ai souvenir d’une embrouille entre elle et moi…. le reste, c’est le trou noir

Le reste c’est le trou noir supermassive…..

Un rêve ? Nan je n’crois pas. Il m’avait l’air trop réaliste à mon gout. Et admettons que tout ça aurait été faux, pourquoi je me réveille à poil, alors que je n’ai pas le moindre souvenir de m’être déshabiller ou dormir en tenue d’Eve ! NON….. C’était bien vrai. TOUT été réel de A à Z ! Peut être qu’avec le temps je me rappellerais de tout en détails.
Pour le moment, faut que je trouve de quoi me mettre sur le dos….

FIN DU RP
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Ville-Etat de Nexus / Re : visite à nexus ( Maya Da silva)
« le: vendredi 08 mai 2015, 15:48:25 »
Ah ouais c’est clair que m’avoir envoyé directement dans une ruelle habitée par deux lascars était une excellente idée ! Nan mais qu’est-ce qu’il ‘faut pas entendre, j’vous jure. Au moins avec des indices et repère en plus j’aurais pas perdue de temps à tourner en rond à longueur de journée et rejoindre tranquillement l’auberge tout en prenant mon temps à découvrir la ville sans me prendre la tête pour rien, mais bref passont….
En effet, Nexus est une ville assez particulière. Atypique au sens termes comme figuré du mot par son look à mi-chemin entre le moyen âge et la renaissance. Mais aux mœurs dégelasses et barbares envers la vie humaine. Remarque… la ville reflète pour ainsi dire la mentalité des gens de cette ville. Va falloir que j’en beaucoup plus que prévue sur cette ville comme sur ce monde. Et certaines questions ne peuvent être répondues que de nos propres yeux, non pas oralement.

-   Je n’dirais pas le contraire…..

La suite devient plus intéressante, étant donné que cela me concerne tout particulièrement. Saisissant moi aussi un verre de vin posé par le serveur de tout à l’heure pour aussitôt ingurgitée la liqueur exquise, j’écoute Lastrim me dire qu’elle va me faire présenter à un sang bleue qui, selon elle, serait à même de localisé la personne m’ayant donné le parchemin. Voilà qui me fait plaisir ! Mais je ne crie pas victoire trop vite : peut-être qu’il est capable, peut être pas. Il peut tout aussi bien me conduire sur une mauvaise piste. Et il n’y a qu’une seule façon d’en être sûr.

-   Très bien. Dans ce cas, allons-y !

Je dépose le verre tenue dans une main avant de me lever sans perdre une minute de plus. Oui, je suis pour ainsi dire pressée et je risque de l’être davantage si on continue de tarder ! Astrim ajoute également que notre nobliau semble aimer qu’on l’appelle « le maigre » pour une raison dont j’ignore, mais qui me donne une idée de cette raison. Malgré mon manque de patience énervant, j’ai une dernière question à lui poser et qui est importante à mes yeux.

-   Oui…. une seule : ton ami risque-t-il de me demander que j’accepte de baiser avec lui ? Parce que si c’est le cas….. c’est NON ! Autant refuser et d’aller voir ailleurs.

On ne sait jamais.....

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Les alentours de la ville / Re : L'agence touriste [Tryzox]
« le: mercredi 15 avril 2015, 18:44:13 »
De ce que je crois entendre de la bouche du type blafarde qui me sert de guide, il n’a pas une très bonne image des héros. Et encore c’est qu’un euphémisme : apparemment, les super héros de cette ville sont ni plus ni moins que de gros connards qu’on aimerait bien foutre notre poing dans leurs figures. Encore heureux que ce n’est juste que son avis….. car ma vision du super héros est toute préconçue, loin des clichés de l’anti-héros. Après je veux bien croire que les superhéros du monde Nippon sont certainement diffèrent de leurs homologues américains pour leurs mode d’actions pas très populaire. Les gens du soleil levant sont bien connus pour leurs excentricités assez bizarres. N’empêche que je le guide, je l’ai senti assez hésitant au début de sa phrase. C’est louche….
On poursuit donc notre visite dans le musée qu’on vient d’atteindre depuis déjà dix bonnes minutes. De mon côté je balaye l’endroit de mon regards curieux sur les objets d’expositions venant plus ou moins du monde entier, mais la très grosse majorité sont originaire de ce pays. Des vases de l’ère joomon…. des katanas vieux de plusieurs siècles…. rien de bien nouveau sous le soleil levant quoi. Sauf peut-être cet accrochage entre mon guide et un grand gaillard déguisé en….. Super-héros ? Je confirme…. et il doit avoir l’ouïe bien fine pour avoir entendue le commentaire méprisable du jeune homme à l’encontre de lui et ses collègues. Mais pour le coup il avait raison sur un point sur l’amour propre exacerbé de ces superhéros. J’en ai la preuve devant moi. Certes, je veux bien croire qu’ils s’arrachent les veines pour veiller à la sécurité de cette ville….. N’empêche que ce n’est quand même pas une raison de se montrer aussi désagréable pour pas grand-chose ! Du coup je jette un regard plutôt suspicieux sur le gaillard aux dreddlocks qui secoue mon guide comme un prunier et j’ai bien l’intention de mettre fin à ce conflit en essayant de le raisonner en……..

En gigotant dans tous les sens, une pelle chuta d’un probable poche interne appartenant à mon guide et pour une raison dont j’ignore, le gros tas de muscle fait la tronche typhique du gars qui a vu un fantôme. Que peut bien faire un majordome avec une pelle ? Ce n’est pas logique ! En tout cas, il riposte rapidement par un kick dans les joyeuses d’un héros en collant plié en deux sous la douleur à l’entrejambe, pour ensuite se faire assommer par la pelle du guide le plus bizarre que j’ai jamais vue. Et pour une raison encore plus troublante….. ce dernier sort une pierre tombale sous sa veste ainsi qu’un feutre noir, écrivant un épitaphe fait à l’arrache. Okay….. euh…. je n’sais pas sur quoi je suis tombé mais sincèrement ce type est plus barjo que prévue.
Mais voilà qu’un groupe de héros masqué débarquent par un couloir adjacent et nous prend pour responsable su meurtre d’un innocent. Oui, je dis bien « nous » car apparemment ils me prennent pour la complice de l’autre taré à côté de moi ! Du moins l’un d’eux avec sa tronche de bocdanov qui balance un compliment lourdeau de « sidekick » dont je n’saisie pas le jargon, malgré la super mémoire que j’ai. Evidement je fais des yeux de chouette tout en levant mes mains que je lève accompagner d’un secouement de tête négatif pour nier toute affiliation avec ce dégénérer !

-   AH NON NON NON, il y a erreur messieurs !! j’ai rien avoir avec ce type !! Je n’suis juste qu’une touriste qui……

Voir soudainement la joue de mon interlocuteur à moitié arraché par une balle de tennis interrompt ma phrase et c’est avec incrédulité que j’observe le « pseudo-justifier » partir la queue entre les jambes pour aller se cacher dans les jupons de sa maman….. parce qu’apparemment, je me suis trompé sur toute la ligne à leurs sujet. Ce sont ni plus ni moins qu’une bande de looser cosplayeur ayant trop bouffé de comics au point qu’ils se voient plonger dans leurs univers pour de vrai.
La suite…..bah elle devient complètement grotesque à mesure que le temps passe. Le majordome en question me déballe tout un melimelo d’explication pour justifier son accident pour avoir….. Tuer le dredloqueu de tout à l’heure !!? SERIEUX !!? Bordèle, si je reste une minute de plus avec lui j’ai toute mes chances de m’attirer des ennuis avec les forces de l’ordre ! Peut-être pas, vu qu’il avoue me retenir en otage.... donc, j’ai peut-être une chance de m’en sortir. Après, je peux tout simplement détaler d’ici à vitesse supersonique…. mais c’est un coup à me faire grillé par les caméras de surveillances dans les rues. En fin d’compte… je vais être obligé de devoir rester avec lui, le temps que les flics arrivent. Du moins des VRAIS flics.
J’ai même pas pris la peine de suivre la moitié de ses élucubrations n’importe nawak sans queue ni tête, me contentant juste de le suivre jusqu’à la pièce avec écrit « les Joyau de Seikusu » sur le panonceau, continuant de regarder ce type comme s’il venait d’une autre planète. Et avec sa dernière exclamation à haute voix je me demande si ce n’est pas plutôt un gros taré du ciboulot qui se serait échappé de l’asile. Mouais, c’est une hypothèse très plausible.
Par ailleurs…. à peine arrivé qu’il récidive en se mettant à briser les vitres des supports vitrés entreposé le long de la salle et s’emparer des bijoux. Bon, la s’en est trop ! Je ne voulais pas en arriver la mais…….

Bon sang…. encore un superhéros du dimanche qui fait une entrée d’acteur de film d’action en défonçant la petite plaque vitrée du plafond puis atterrissant façon Darknight. Merci vieux, je savais qu’il avait tuer tes collègues, mais au lieu de blablater et de faire ton compliment à deux balle sur moi tu ne pourrais pas plutôt…..
Je rêve ou ce mec à la peau livide vient de lancer un arc-en-ciel sur le justicier et lui fait traverser un mur, donnant accès à l’extérieur. En plus de mes yeux écarquillés c’est carrément ma bouche pulpeuse qui reste ouverte sous la stupeur. J’arrive pas à croire ce que je viens de voir…… pourtant je jure n’avoir rien pris avant d’arriver au pays ! Pas d’alcool, ni de fumette ! Je reste médusé pendant un long moment, sapant complètement ce que le type est en train de me dire et qui tente de s’évader d’ici en creusant un trou avec une facilité halicinante. Comme si le sol était en beurre……..
 J’en ai vu des choses zarbis…… mais alors ça….. C’est un tout autre niveau. Autre chose tout aussi étrange et que je remarque tout juste, c’est l’absence totale de poule comme de rythme cardiaque chez ce type. Comment s’il était…. mort. Des questions dit t’il ? Je prends une bonne respiration nasale en ayant les yeux fermés, puis une fois l’expiration faite, je rouvre les yeux avec un regard beaucoup plus sérieux que tout à l’heure. Je marche hâtivement vers « l’emobarjo » que je saisie le col, le soulève très facilement pour aussitôt me servir de l’autre main pour la faire glisser dans la poche où il a planqué les bijoux du musée. Sitôt fait je le relache sèchement avant de poser tranquillement le tout sur l’un des stands tout en prenant parole….

-   Désolé si je fais ça, mais autant je veux bien croire que tu n’es pas fait exprès de tuer l’autre par accident…. autant voler des biens publiques, ça je n’accepte PAS !! Je suis peut être chiante, mais c’est comme ça ! Ensuite, je n’ai pas une…. mais PLUSIEURS questions. Hors…. je n’aurais pas le temps de toute te les poser avec la police qui va bientôt arriver et quadriller le musée. Et le temps que fasse ton tunelle, les autorités nous auront neutralisés.

D’ailleurs, les sirènes de polices se faisaient plus fortes à mesure que les secondes défilent. Sans avoir nécessaire une ouïe hyperdevelloppée. Alors pour s’évader, je ne vois qu’une seule solution. Sans le lui demander, je saisie de nouveau le jeune homme que je dépose sur mon dos et lui conseille de bien s’accrocher fermement à mon cou. Puis d’une impulsion de mon pied droit je passe en mode hypervitesse  en traversant le trou formé par la dernière victime de mon passager… traverse la ville tout en esquivant voitures, passagers et obstacles à plus de dix mille kilomètres à l’heure, jusqu’à m’arrêter net dans un entrepôt abandonné. Je peux donc resaisir et déposer le mort-vivant bien conserver par terre, puis de croisé mes bras sous ma poitrine.

-   Bon…. pour commencer, tu vas de suite m’expliquer ce que tu es au juste, comment t’as fait pour générer un arc-en-ciel sortit comme par magie et surtout COMMENT CE FAIT T’IL QUE TU BOUGE ENCORE ALORS QUE TON CŒUR NE BAT PAS !? Excuse-moi si je te brusque comme ça….. mais LA  j’ai plus qu’eux mon lot de surprise pour la journée et pour les années à venir !

Parallèlement j’ai également fait de même de mon côté pour lui. Il ne devait pas s’attendre à ce qu’une jeune touriste aussi belle que moi puisse se révéler être une super humaine.

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Les landes dévastées / Re : Le Grand Voyage [Shad Hoshisora]
« le: mardi 14 avril 2015, 19:20:56 »
 C’est clair qu’a vu d’œil j’ai l’air d’être toute légère en apparence, loin d’avoir la carrure de grosse vache et Shad fait part de son avis dessus. Remarque, c’est ni la première et certainement pas la dernière à penser cela. Je n’compte même plus les fois où j’ai failli tuer plus d’une personne sous mon poids, m’obligeant à éviter la moindre chute sur autrui sous peine de réduire ce dernier en chilli corne carné. Pendant presque toute ma vie ce fut une gêne des plus agaçantes, où j’ai eu droit à des noms d’éléphants, de rhinocéros et d’hippopotame venant de quelques-unes de mes frères et sœurs. Mais passons….
Suite à la mélodie osseuse que joue Shad avec ses articulations en se rapprochant de moi, elle m’informe qu’un campement stationne à cent mètres plus loin. Oh ben ça va alors….. je m’attendais à beaucoup plus que ça ! Je partage son avis de ne pas apparaitre comme par magie en plein campement. Déjà qu’on ignore s’ils sont amigos ou non, comme le fait si des magiciens font partie du lot, il vaut mieux peut être qu’on réapparaisse non loin de notre destination. De préférence à ce qu’il ne remarque pas un flash suspect. Je ne voudrais pas qu’ils nous prennent pour des chasseurs d’esclaves déguisées en simples voyageurs pour mieux berner leurs proies et les capturer sans qu’ils ne voient rien venir dans leurs sommeils, pour se réveiller subitement dans une cage et être vendue aux enchères de Nexus. Comme ces pauvres filles que j’ai aperçues au marché de cette même ville, la dernière fois. Un sort que je n’envie à personne, pas même à mon pire ennemie….. Quoique c’est pas sûr pour ce cas-là.

Par des gestes circulaires de ces mains dans les airs, shad fait apparaitre un portail d’un pourpre clair sous l’éclatement d’étincelles façon Disney. Et suite à son petit commentaire sur le fait qu’il va disparaitre dans très peu de temps si je ne me dépêche pas, Shad disparait dans le portail. Cette situation me fait surtout sourire car elle a un air de « déjà vue » avec une certaine magicienne m’ayant fait découvrir l’existence de ce monde. Etonnant, non ?
Une main venant remettre en place une mèche rebelle et une traverser plus tard, je me retrouve toujours dans ces foutues landes. Mais pas au même endroit….. et se montrant surtout plus espacés. Une vaste plaine semi-aride avec pour décor de fond des chaines montagneuse abruptes et de canyons qui fait vaguement penser aux déserts arides du Texas, ou Nouveau-Mexique. Le tout baigné dans un soleil de plomb qui frappe toujours aussi sèchement. Contemplant cette vue panoramique avec la tranche d’une main collé sur mon front pour faire de l’ombre à mes yeux, puis l’autre main posé sur une hanche arrondie pendant une demi minute, avant que la térranide me fait signe vers la colonne de fumée timide qui s’élève dans le ciel. En plissant les yeux je remarque les quelques tantes formant le camp rechercher, à cinquante mètres de notre position.
Shad a beau être elle aussi une Terranide, elle reste quand même douteuse dans son approche diplomatique avec les indigènes de ces terres hostiles.

-   Remarque, je peux les comprendre….. il fait pas bon vivre d’être Terranide, avec ces chasseurs d’esclaves….

En attenant ils ont l’air de bien mener leurs vie pénarde. Une adorable petite gamine de douze ans revient fraichement avec deux seaux d’eau séparer par une barre en bois sur ses frêles épaules, sans prêter attention à nous. Plus loin, une troupeau de brebis suit l’ombre de leur berger à la trace et à l’extérieur d’une des tentes, une adolescente aide sa mère à pendre le linge. Ils me font penser aux bédouins du sahara. D’autant plus que leur attribut animal correspond exactement avec certaines bestioles connues sur terre.   
Ohoh…. on dirait bien qu’ils nous ont aperçues en train de s’approcher vers eux. Forcément, ils nous regardent de travers et les enfants obéissent aussitôt aux ordres de leurs parents à rentrer pour se cacher. Et apparemment ils ne sont pas désarmés pour autant : trois térranides mâles s’approchent de nous, équiper d’épées recourbées et portant des côtes de mailles sur leurs vêtements de bédouins. Ils nous encerclent, leurs gardes montées et prêt à nous assaillir au moindre faux pas ou signe de menace. Quoi ? Shad à bien murmurée qu’ils viennent des contrées glacées ? Parce qu’ils ne sont pas originaire de ces landes ? Tout cela m’a bien l’air flou….. en même temps, je connais rien du mode de vie Terranides. Je lui poserais la question une autre fois. Là, faut d’abord qu’on calme la tension.
Shad enlève la capuche qu’elle portait pour leurs montrer ses attributs de Terranides pour leur prouver son appartenance à leurs races. Puis elle tente de rassurer nos agresseurs de m’avoir trouvé perdue dans les landes et qu’un peu d’hospilitalité nous ferais le plus grand bien. Apparemment ils n’ont pas l’air d’être convaincue. Peut-être que si je mettais ma main à la pâte….

Je lève les mains en l’air comme le ferais un guichetier braqué par un cambrioleur.

-   Je n’vous veux aucun mal ! Je ne suis pas une chasseuse d’esclave. Je n’viens pas de ce monde appeler la terre et en traversant un des portails qui mène ici, je me suis retrouvée coincée.
-   Et qu’est-ce qui me garantit que vos dires ne sont point des salaces, hein ?

Un homme trentenaire plus imposant que les soldats brise le silence et s’approche de nous avec une grosse épée. A mon avis ce doit être le chef du village, vu qu’il vient tout juste de sortir de la plus grande des tantes qui porte une bannière avec un symbole en forme de croissants lunaire qui se croisent, avec au milieu une tête de coyote. Le grand gaillard s’adresse surtout à Shad. Un térranide coyote tirant une tronche de mauvaise humeur.

-   On nous a déjà fait le coup une fois….. et ça m’a couté la femme de ma vie. Ça ne marchera pas une deuxième fois sur moi ! Donnez-moi une simple bonne raison de ne pas vous descendre ici, maintenant ?
-   Je vous assure que je ne suis pas ce que vous croyez ! Pour preuve, vous n’avez qu’à sentir mon odeur pour voir de vous-même que je ne mens pas.
-   Vraiment ?

Il s’approche dangereusement de moi et tout en gardant son arme pointé sur moi, il se met à renifler mes vêtements de haut en bas pendant une dizaine de secondes environ, avant de faire un pas en arrière.

-   Mhuum…. je te crois, humaine….. mais ca n’veut toujours pas dire que je ne me méfie plus de toi……

Il lève son arme. Pas pour l’abattre sur l’une de nous, mais bien pour la ranger sur son dos avant de faire signe à ses hommes de baisser les armes. Puis il porte de nouveau son attention vers ma coéquipière de voyage Térranide.

-   Au coucher du soleil, je veux que vous soyez déjà partie….. et il n’y a pas à négocier. Me suis-je bien fait comprendre ?

Compte tenu de l’inclinaison du soleil…. ça ne nous laisse à peine deux heures. Moi perso, ca me convient. Après, pour Shad….. faut voir.

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