Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Léo

Pages: [1] 2
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Dictature d'Ashnard / Re : Baisse les yeux ! [Pv Mélinda]
« le: lundi 06 octobre 2014, 21:09:38 »
Léo était du genre, lorsque la situation changeait, à changer très rapidement de stratégie. Beaucoup ont la faiblesse de ne pas se remettre en question, que ce soit par fierté ou par soucis d'être cohérents. Lui n'avait pas ce problème et prenait systématiquement la décision qui allait maximiser ses bénéfices. Mélinda était intelligente, puissante et tenace, aucune chance pour lui de lui imposer sa volonté brutalement. Le mieux qu'il pouvait faire c'était gagner des points, se faire bien voir et manipuler, influencer, tout en la caressant dans le sens du poil. Et s'il n'y arrivait pas il y avait encore le plan B : la fuite. C'est qu'il n'eut pas beaucoup à se forcer, le dortoir lui avait donné quelques envies et Mélinda était tout à fait appétissante, ironique pour parler d'une vampire.

"Tu sais te servir de ta langue, toi... Et quelque chose me dit que tu adorerais l’utiliser sur le sexe de Miri, n’est-ce pas ?"

Miri ? De qui parlait-elle ? Probablement de la terranide chienne qui m'avait fait son petit numéro avant qu'on n'entre dans cette garde-robe. Je savais que j'avais un peu perdu mes moyens mais, j'ignorais que j'avais été si voyant. J'ai décollé ma bouche de son sa culotte pour pouvoir parler :

"La terranide chienne de tout à l'heure je suppose ? Oh il y a plein de choses que j'adorerais utiliser sur son sexe et pas qu'à cet endroit. Mais ça fait un peu bizarre de faire l'amour à une femme en lui parlant d'une autre en même temps non ?"

Je me suis relevé, prenant le sous-vêtement de ma maîtresse entre mes doigts, l'invitant implicitement à refermer ses cuisses le temps que je l'en débarrasse. Je pris plaisir à voir un petit filet de salive et de cyprine s’étirer au fur et à mesure que j’éloignais le bout de tissu de sa propriétaire. Ce dernier finissant par choir au sol tandis que je souriais, saisissant l'occasion pour taquiner ma propriétaire :

"Quelle impatience Maîtresse."

Je me suis remis à genoux, bien décidé à jouer encore un peu avec son corps avant d'entamer la suite. J'ai de nouveau écarté ses cuisses, cette fois-ci sans rien entre moi et son intimité. Puis j'ai donné un gros coup de langue, faisant rentrer cette dernière à l'intérieur de bas en haut, jusqu'à aller sucer son clitoris. Mes yeux se sont fermés, me permettant de me concentrer davantage sur mon sens du toucher. Avec douceur j'ai glissé deux doigts à l'intérieur de son vagin, caressant l'intérieur en m'assurant de ne pas trop en faire, il s'agissait de l'exciter, pas de la faire jouir de suite. Pendant ce temps ma langue s'occupait de son clitoris, alternant léchage et suçage.

Après quelques temps de ce traitement, je me suis relevé. Poussant Mélinda sur le côté en lui tenant les épaules, l'invitant ainsi à s’allonger sur le banc. Je me suis assis à califourchon derrière elle passant mes cuisses sous les siennes tout en plaquant ses jambes contre mes hanches. Puis j'ai déposé mon pénis sur son bas-ventre, lui demandant en connaissant déjà la réponse :

"M'autorisez-vous à me soulager à l'intérieur Maîtresse ?"

2
Vous nous quittez déjà ? / Absence
« le: jeudi 02 octobre 2014, 20:43:06 »
J'étais déjà assez occupé ces derniers jours et c'est parti pour durer encore quelques temps. Donc j'annonce que je vais être absent, probablement jusqu'à la semaine prochaine.  :)

Voila, voila.

Oups, trompé de compte, tant pi.

3
Dictature d'Ashnard / Re : Baisse les yeux ! [Pv Mélinda]
« le: dimanche 28 septembre 2014, 01:27:33 »
Finalement Mélinda n'avait pas eu besoin de chercher très loin, je lui avais bénévolement donné ma faiblesse sur un plateau et elle n'avait pas eu besoin de beaucoup forcer pour titiller mon appétit. J'aurais pu faire preuve inconstance, rejeter son offre pour cultiver cet art de l'imprévisibilité que j'affectionnais habituellement. Mais pour gagner quoi ? Car si j'ai bien une seule réelle faiblesse c'est mon avidité, je vais systématiquement au plus offrant. Le fait de me soumettre ne m'enchantait pas tellement mais, ce n'est pas comme si j'avais une autre option. Mon revirement pouvait paraitre très soudain, pourtant j'avais juste compris que je n'obtiendrais rien de plus d'elle que ce qu'elle voulait bien m'offrir de base.

En chemin elle m'expliqua ce que je devais savoir. Le fait de devoir vivre avec les autres esclaves ne m'enchantait pas trop, surtout que j'étais habitué à la vie à deux ou trois maximum. D'après ce que j'avais compris on était plutôt nombreux ici en plus et WHOUUUA ! Mon Dieu, cette ambiance, ces sons, ces scènes de luxure un peu partout. Elle avait voulu me sortir le grand jeu pour m'impressionner ou c'était toujours comme ça ici ? Nous venions de pénétrer dans le dortoir et moi qui était plutôt inexpressif d'habitude il avait été plutôt aisé sur ce coup là de voir ma surprise. Je ne m'attendais certes pas à une ambiance de couvent avec des jeunes filles pieuses et timides mais là ... Dans un coin de la pièce il y avait une terranide oiseau qui était en train de se faire lécher l'entre-jambe par une jolie blonde, au centre l'un des rares mâles présents était en train de culbuter deux charmantes jumelles et je pouvais voir Tigra dans le fond qui discutait comme si ne rien était.

Puis j'ai vu une esclave qui me fixait, une terranide chienne brune aux yeux verts. Lorsque j'ai regardé dans sa direction elle m'a souri avant de lécher son index, pour aller le glisser ensuite sur son intimité à travers sa petite culotte. En voyant ma tête elle s'est mise à rire et m'a fait signe de regarder vers le bas. J'avais oublié que j'étais complétement nu et j'étais en train de bander comme un âne depuis que j'étais rentré dans le dortoir. Lorsque j'ai relevé les yeux elle s'éloignait, roulant excessivement des fesses, elle a regardé par dessus son épaule, me faisant un petit signe de la main juste avant de disparaitre de mon champ de vision. Troublé je n'ai pas écouté ce que Mélinda disait à ce moment là :

"Tu vois, Léo... Tu vas adorer vivre ici. Allez, tes vêtements, maintenant... Il y a plusieurs garde-robes autour du dortoir, dans des pièces latérales."

"Hum ? Oui oui, d'accord."

Ai-je répondu machinalement d'un ton distrait. Ce n'était pas bien dur de voir que je la cherchais du regard et que j'avais complétement la tête ailleurs. Distraction qui s’interrompit lorsque nous sommes entrés dans la garde-robe.

"Prends ce que tu veux, mon beau... Mais ne t’habille pas tout de suite, il y a encore une chose que nous devons faire tous les deux."

Je me suis exécuté, prenant un jean, un sous-vêtement, des chaussettes et un t-shirt blanc, avant de les laisser de côté. Mes goûts en matière de vêtements n'étaient pas très compliqués, donc ce fut très rapide. Surtout que la partie intéressante du message n'était pas là. Je me suis rapproché d'elle en souriant :

"Je me demande bien ce qu'on peut faire à deux dans la garde-robe d'un harem ?"

Je l'ai invitée de la main à s'asseoir sur un banc qui trainait dans la pièce et sitôt qu'elle y fut assise je me suis mis à genoux devant elle. Je n'étais pas très chaud pour lui lécher les pieds ou ce genre de choses mais, en tant que dominante il y avait des choses qui devait lui plaire plus que d'autres. J'avais dans l'idée qu'un homme à genoux devant elle en train de lui faire un cunnilingus devait faire parti de ces choses qu'elle était censée apprécier. J'ai écarté ses cuisses à l'aide de mes mains, enfouissant aussi sec ma tête à cet endroit pour aller embrasser son intimité à travers ses sous-vêtements. Je m'amusais à donner de grands ou petits coups de langue, à l'embrasser, à la lécher, à la sucer, à aspirer, jouant avec sa fente humide et son clitoris, toujours à travers ses sous-vêtements que je m'employais à humidifier. J'avais bien l'intention de continuer ainsi jusqu'à ce qu'elle me fasse comprendre qu'elle voulait passer à autre chose de plus amusant.

4
Dictature d'Ashnard / Re : Baisse les yeux ! [Pv Mélinda]
« le: mercredi 24 septembre 2014, 16:25:12 »
J'étais comme qui dirait dépité, tout ça pour ne strictement rien obtenir de plus. Oh je pourrais toujours continuer à ne pas vouloir la vouvoyer et tout mais, pour obtenir quoi ? J'avais bien senti qu'elle ne comptait pas céder quoi que ce soit. Lorsqu'elle m'avait balancé en pleine face que je n'avais rien à lui apporter elle avait raison. J'étais un bon négociateur mais, sans atouts à mettre sur la table. Je me tenais la nuque, grattant nerveusement mes cheveux comme si ça allait m'aider à trouver une idée. Décidément elle avait le don pour m'effacer le sourire du visage celle-là !

Mais bon, relativisons. Elle n'avait pas l'air de maltraiter outre-mesure ses esclaves, certains semblaient même jouir d'une certaine liberté, aucun n'avait l'air mal nourri ou battu. Après tout il s'agissait d'un harem, les clientes devaient se sentir mieux entourée d'esclaves heureux. Le cadre était luxueux, les filles ne manquaient pas, bon il faudra l’appeler "Maîtresse" et surement faire deux ou trois choses humiliantes pour lui faire plaisir. Mais ça n'avait rien d'insurmontable, même si l'idée ne me plaisait pas des masses. En m'entêtant j'allais juste la pousser à me revendre ou à me brutaliser. Avec la revente je courrais le risque de tomber sur pire qu'elle et je me doutais qu'il existait des maîtres et maîtresses largement pires qu'elle ici. Si je la poussais à être plus dure avec moi j'allais juste perdre le peu que j'aurais pu obtenir pour rien. Le plus sage c'était de me coucher pour l'instant et de guetter les occasions de grappiller quelques petits privilèges à gauche ou à droite. Il ne me restait plus qu'à mettre ma fierté de côté pour me comporter intelligemment.

J'ai un peu froncé les sourcils, détournant le regard de Mélinda tout en me grattant le cou juste sous la mâchoire. S'avouer directement vaincu c'était trop, la simple assurance que je ne lui causerais plus de problèmes suffirait. Il suffisait de trouver une phrase dont j'étais sûr qu'elle allait en comprendre le sens réel. Puis j'ai simplement dis :

"Finalement je crois que je veux bien de quoi me couvrir Maîtresse."

Le ton était respectueux, sans ironie, bon on sentait tout de même que c'était forcé, pas très naturel mais, ça avait le mérite d'être fait avec bonne volonté. De plus j'acceptais sa première demande que j'avais rejeté de manière pas très sympa, donc ça pouvait aussi être compris comme une sorte d'excuse, genre : "pardon, je ne recommencerais plus, on oublie ?". Et puis bon, il faut dire que lit confortable, repas chauds, vie en communauté et pouvoir batifoler un peu, en comparaison avec ce que j'avais eu jusqu'alors ça ressemblait presque au paradis. Je commençais même à me dire que c'était probablement une meilleure vie que livré à moi-même dehors dans un monde dont je ne connais rien. Sur la fin j'ai retrouvé le sourire sans raison apparente, rajoutant en haussant les épaules :

"Je suppose qu'avoir une véritable Maîtresse est quelque chose de plus amusant que de supporter une bande d'incapables sans cervelle qui se contentent de frapper et beugler. Qui sait, j'y prendrais peut-être goût."

Après tout, de l'esclave et du chat de gouttière, le second n'était pas forcément le plus heureux.

5
Dictature d'Ashnard / Re : Baisse les yeux ! [Pv Mélinda]
« le: mardi 23 septembre 2014, 13:34:22 »
"Je suis d’accord avec toi, Léo. C’est donc une chance que je n’en sois pas une."

Elle n'avait pas d'ailes de démone ou d'ange dans le dos, elle n'avait pas utilisé le moindre pouvoir à mon encontre et n'avait montré aucun signe de pouvoirs non-humains. À la rigueur peut-être était-elle une ESPer mais, pour moi elle avait bel et bien l'air humaine. J'ai donc pensé que ce n'était qu'un moyen de se mettre en avant, une sorte de prétention mal placée. Je n'ai pas répondu, ne voyant pas l'intérêt d’embrayer sur cette remarque. Quand bien même elle ne serait pas humaine au sens physique du terme, son esprit lui avait l'air parfaitement humain, donc manipulable de la même façon. Et peu importe au fond les pouvoirs magiques lorsque vous ne comprenez pas ce que vous affrontez.

Lorsque nous sommes arrivés chez elle j'ai poussé un petit sifflement d'admiration, c'est que c'était une sacré baraque qu'elle avait là. J'étais tombé sur une maîtresse un peu à part semblait-il et pensais-je en voyant les femmes attachées aux murs, avec des goûts intéressants.

"Bienvenue chez moi, Léo ! J’espère que la décoration te plaît."

"Tu plaisante j’espère ? J'adore cette déco ! Enfin surtout les sculptures vivantes accrochées au mur, je n'y aurais pas pensé c'est vraiment bien trouvé."

Puis elle passa sa main dans mes cheveux, technique de manipulation par le toucher, encore un grand classique. En touchant quelqu'un on augmente les chances qu'il réponde positivement à nos demandes, qu'elles soient explicites ou implicites. Et son petit discours qui a suivi était un petit florilège de techniques simples mais, efficaces. De la compassion, suivie d'une promesse de vie meilleure formant ainsi un "tu l'as échappé belle, heureusement que t'es tombé sur moi". Ensuite une petite tirade émouvante sur la famille et tout, s'attribuer le rôle de protectrice, création d'un sentiment d'avoir une dette et enfin une petite flatterie pour terminer. J'ai simplement souri, elle se battait sur mon terrain de prédilection, je ne pouvais pas rêver mieux. Puis je lui ai répondu en passant moi aussi ma main dans ses cheveux, les caressant tendrement :

"Et bien ! J'ai compté huit techniques de manipulation différentes dans ta dernière intervention, tu mets vraiment le paquet dit moi. Désolé de te décevoir ma jolie mais, je ne suis pas l'un de ces esclaves abrutis plus proche de l'animal que de l'être humain. Tes petites techniques ne fonctionneront pas et la force non plus. Je vais te donner bénévolement la solution à ton problème."

Je me suis rapproché, venant lécher le lobe de son oreille tout en posant ma main libre sur sa hanche. J'allais peut-être un peu trop loin mais, tant pi, il fallait savoir y aller au culot parfois. Je lui ai alors murmuré à l'oreille :

"La solution est très simple, lorsqu'on ne peut pas soumettre quelqu'un on devient son ami, on lui fait une proposition tellement alléchante qu'il ne peut décemment pas refuser. Toi et moi on est pareils, nous sommes des manipulateurs et des dominants, la seule différence entre toi et moi c'est que tu es du bon côté de la laisse. Mais fondamentalement on est pareils. Alors pourquoi se battre et chercher à dominer l'autre ? Tu as une belle maison, des filles séduisantes, de l'argent, du pouvoir, tout cela m’intéresse, je suis quelqu'un d'avide je vois mon intérêt avant tout. Je suis sûr que parmi tes clientes certaines adoreraient être soumises par un terranide, émoustillées par la honte d'être dominées par un esclave. Je suis prêt à jouer ce rôle si tu me laisse suffisamment libre de mes mouvements et que tu me considère comme un associé plus que comme ta propriété. Réfléchis-y bien."

Je suis resté collé à elle en attendant sa réponse. Elle ne sera pas bien difficile à comprendre, soit j'avais tapé dans le mille et je pourrais obtenir beaucoup en échange de ma coopération, soit je l'avais énervé et j'en subirais les conséquences. Ou alors, si elle était joueuse, peut-être s'amuserait-elle à négocier. Quoi qu'il en soit, elle devait déjà avoir compris que la force n'allait pas marcher sur moi, donc je ne prenais pas tant de risques que ça au final.

6
Prélude / Re : Les chats domineront le monde !
« le: lundi 22 septembre 2014, 18:48:56 »
Salut et bienvenue.

Je ne suis pas modo mais, ils vont certainement te demander de rajouter deux lignes de plus à ton caractère et sept lignes de plus à ton histoire avant de te valider.  :)

7
Archives / Re : [Projet] Zone : furry contemporain
« le: lundi 22 septembre 2014, 12:12:01 »
Au risque de me répéter, si les terranides ne peuvent pas aller boire un café à une terrasse ou se fumer une clope devant les portes du lycée en parlant de The Voice, c'est parce que leur race n'est pas prévue pour ça. Les canons du forum indiquent que les terranides sont, pour vulgariser le tableau, de bonnes grosses victimes des autres races et des esclaves parfois rebelles qui ont toutes les peines du monde à s'affranchir.

Totalement d'accord. Je rajouterais à ça qu'un forum ne peut pas satisfaire les désirs de tous les joueurs, même un forum comme LGJ avec une grosse liberté. Car c'est en mélangeant tout et n'importe quoi qu'on obtient une soupe indigeste dont plus personne ne veut, quand bien même les ingrédients seraient excellents pris séparément. Surtout que je fais parti de ceux qui trouvent qu'LGJ a déjà trop de diversité et qu'on s'y perd facilement au début.

Et puis ... Pourquoi une zone contemporaine sur Terra ? À ce compte-là autant tout faire sur Terra et faire exploser cette salope de planète bleue. Terra est un monde séduisant parce qu'il est différent de la Terre justement, pour les terriens c'est un monde de rêves et de cauchemars. Si on y retrouve la même chose que sur Terre ça deviendra vite horriblement triste.

Je n'ai rien contre les améliorations du forum, bien au contraire mais, vouloir l'adapter aux furry pour quelques joueurs (parce que oui, on n'est pas une majorité) je trouve ça franchement inutile et pas souhaitable.

8
Dictature d'Ashnard / Re : Baisse les yeux ! [Pv Mélinda]
« le: dimanche 21 septembre 2014, 09:33:49 »
Lorsque Mélinda a annoncé vouloir la manger je ne l'ai pas cru. Premièrement parce que je la voyais mal en dévoreuse d'enfants et deuxièmement car si ça avait été le cas Tigra qui avait l'air assez douce se serait surement rebellée depuis longtemps. Ou tout du moins aurait-elle été moins respectueuse envers sa maîtresse. Bref, je n'étais pas assez bête pour croire qu'elle allait la manger mais, je n'étais pas non plus naïf au point de penser que sa vie allait être toute rose non plus. Il y avait surement bien pire que Mélinda ici, je n'en doutais pas, peut-être était-ce d'ailleurs la raison de la dévotion de l'autre terranide. Je n'ai rien répondu, me contentant de pousser un petit soupir par agacement. Je sentais déjà qu'elle allait me faire chier comme peu de personnes savaient le faire. Peut-être devrais-je lâcher un peu de lest pour détendre l'ambiance ? Ou bien au contraire en rajouter une couche dans l'espoir fou de gagner ce rapport de force ? C'est que la bougresse ne se laissait pas analyser non plus, il fallait que j'en apprenne plus sur elle et surtout il fallait qu'elle m'aime bien et ça c'était pas gagné du tout. Il fallait que je trouve une faille, un point faible dans sa défense et plus important, il fallait que je brouille sa propre analyse, que je l'oriente sur de fausses pistes me concernant, afin qu'elle ne puisse jamais réellement m'atteindre. Je pouvais faire semblant d'être un obsédé sexuel prêt à n'importe quoi pour tirer son coup ? Hum, trop voyant, trop cliché, elle n'avait pas l'air bête au point de gober ça. Peut-être faire semblant de tomber sous le charme de Tigra ? En toute logique l'esclave était une cible plus facile que la maîtresse et cette dernière relâchera surement la pression sitôt qu'elle pensera pouvoir m'influencer via sa fidèle servante. Ça valait le coup d'essayer en tout cas.

"Maîtresse Mélinda plaisante, elle ne fera jamais de mal à ce bébé..."

Ah la réplique qui tombe à pic, trop beau pour être vrai. C'était l'occasion idéale pour se faire bien voir, pour lâcher quelques compliments sincères mais, choisis. Car un bon menteur s'appuyait toujours sur la réalité, mentir avec du vrai c'était un peu l'arme ultime du manipulateur. Qu'est-ce que je pensais d'elle à première vue ? Je lui ai souri, répondant simplement :

"Tu es vraiment gentille Tigra mais, ne t'inquiète pas je ne pense aucun mal de ta maîtresse. C'est juste qu'entre deux dominants il faut un vainqueur ou un respect réciproque, chacun joue son rôle mais, ça n'a rien de personnel."

Ce qui était vrai, je trouvais Tigra vraiment gentille et je n'avais rien contre Mélinda en dépit des apparences, elle ne m'avait pas encore fait de mal après tout. De plus ça allait permettre à ma "maîtresse" de comprendre que je n'étais pas un esclave et je ne me suis jamais considéré comme tel, enfin j’espérais que ce serait compris comme cela en tout cas. Nous avons continué à marcher, ma nouvelle propriétaire avait une sorte d'aura, de présence, les badauds s'écartaient d'eux-mêmes de son passage, sentant instinctivement qu'ils n'étaient pas de taille. Ce qui n'était pas le cas de l'esclave qui dû subir à la place de sa maîtresse les avances maladroites des imbéciles du coin. Je l'aurais bien défendue pour marquer d'autres points auprès d'elle mais, sa propre réaction fut tellement rapide et surprenante que je n'ai rien eu le temps de faire. Je l'aimais bien cette petite esclave, j'aurais pensé qu'elle allait fuir la queue entre les jambes mais, non. Elle avait frappé l'homme, faisant preuve d'un caractère bien trempé que je n'aurais pas soupçonné autrement. Passant brusquement de l'agressivité à la tendresse sitôt que bébé neko se mit à brailler. Doucement, doucement, il fallait que je fasse attention à ne pas trop m'attacher, c'est que je pourrais bien tomber dans mon propre piège si elle continuait comme ça.

"Au fait, pourquoi le sort de cette neko t’intéresse ?"

"Oh pour rien, moi aussi j'ai un petit creux. Je me demandais si tu allais partager avec moi."

Et toc mais, ça c'était juste pour le plaisir. J'ai attendu quelques secondes avant de me mettre à parler d'un tout autre ton, plus sérieux, plus concerné :

"J'ai grandis dans un camp de reproduction, je n'ai jamais connu la liberté et je crois que j'ai toujours été frustré de ne pas pouvoir me battre à armes égales avec les imbéciles qui me retenaient. En la voyant je me suis dis que j'étais peut-être à sa place il y a quelques années, je crois que je m'identifie à elle."

J'ai hésité quelques secondes avant de sortir la suite mais, finalement je me suis dit : "quitte à être sincère autant l'être jusqu'au bout".

"La lâcheté des humains me répugne et leur faiblesse me fait pitié. Ils en sont réduis à traumatiser dès le berceau pour assurer leur domination. C'est eux qui devraient nous lécher les pieds, pas l'inverse."

Au moins je lui donnais matière à analyser. Toutefois je faisais bien attention à ne rien dire qui pourrait lui permettre de me manipuler. Quoi qu'il arrive je ne devais pas parler du meurtre de mon premier fils et de mon petit frère par les esclavagistes, pas de choses susceptibles de réellement m'atteindre.

9
Blabla / Re : Re : Re : Horloge parlante
« le: samedi 20 septembre 2014, 17:07:08 »
Ben hier soir, c'était la Première de la pièce sur laquelle je bosse depuis janvier, et du coup on a fêté ça avec mon boss en se prenant une petite murge. Et du coup j'ai mal au crâne (ou aux cheveux, selon l'expression)

14:54

D'aaccooorrd...Mon esprit pervers avait penser à autre chose D :

Oui, moi aussi je pensais à une pipe au début.   ;D

17h07

10
Dictature d'Ashnard / Re : Baisse les yeux ! [Pv Mélinda]
« le: samedi 20 septembre 2014, 15:11:41 »
"Hum... Comme vous le voyez, ce Terranide est un jeune homme plein de vigueur et plein d’énergie, qui ne demande qu’un peu de dressage pour vous être obéissant. Nous en proposons... 2 000 pièces d’or !"

Comment de pas sourire après cette réplique ? "un peu de dressage" hein ? Cet imbécile ne croyait probablement pas lui-même aux conneries qu'il déblatérait. Or tout bon vendeur doit commencer par croire à ce qu'il raconte, sinon ses clients n'y croiront jamais eux-mêmes. Pourquoi tu ne me vends pas comme ce que je suis en réalité espèce de crétin ? Dit leur franchement que je suis un dominant, un manipulateur, un pervers et un chieur, c'était tellement facile à deviner de toute façon. Tu veux que je t'apprenne ton métier ? Et 2000 pièces d'or c'est quoi ce vieux rabais ? Vend moi au prix fort, bordel ! Vante mes performances sexuelles et mon fort caractère, là tu auras des clientes émoustillées prêtes à ouvrir leurs portemonnaies. C'est quoi ton problème ? Tu n'aimes pas l'argent ? Ou tu as tellement peur que je te reste sur les bras que tu te couche déjà comme une tapette ? Met-toi ton collier de mes deux autour du cou, donne moi ton bâton et laisse moi te vendre, là je ferais honneur à la profession. Je vous jure, qu'elle bande d'incapables. C'est pour ça que je déteste être esclave, être dominé par des idiots pareils est insultant. Si j'avais encore de la gêne je serais presque honteux de me retrouver dans une telle situation. Et puis la petite lueur dans ses yeux lorsqu'une femme lui a répondu ce qu'il voulait entendre. Il aurait pu avouer lui-même qu'il était en train de se chier dessus, ça aurait été du pareil au même. Je suis sûr que si elle avait été méchante et qu'elle t'avais balancé qu'elle me prenait à 1000 pièces d'or tu te serais laissé faire comme la petite pétasse que tu es. Toujours a genoux je ne disais rien, mais mon agacement était palpable.

Oubliant cinq minutes le gros lard j'ai reporté mon attention sur la femelle qui avait fait mon acquisition, après tout on allait vivre ensemble à partir de maintenant, autant en savoir le plus possible le plus vite possible. C'était une petite brune, très mignonne et elle était accompagnée d'une esclave qui semblait suffisamment docile pour la suivre sans chaîne, donc probablement une dominatrice ou une manipulatrice, voire les deux. En tout cas vu sa façon de se tenir, de marcher, de parler, j'avais beaucoup de mal à l'imaginer soumise et faible, tant pi il fallait faire avec maintenant. Quoi qu'il en soit elle m'a adressé la parole :

"Léo, c’est ça ? Je m’appelle Mélinda, et je suis ta nouvelle Maîtresse... Tu veux peut-être quelque chose pour te couvrir ?"

Trois informations importantes : Son nom, à retenir. "Maîtresse", mauvaise habitude à lui faire perdre, je préférais qu'elle ne me considère pas comme son esclave, donc j'allais me refuser à l'appeler ainsi. Et enfin un grand classique, le petit service anodin. Un service rendu dans ce genre de situations n'est jamais gratuit, il existe pour faire naitre chez moi le sentiment que j'ai une dette envers elle. Il convenait donc de le refuser poliment. J'aurais bien voulu des habits, là n'est pas la question mais, si je les acceptais sous forme de faveur de sa part je me mettais moi-même en position de faiblesse, donc hors de question. Souriant comme à mon habitude, je me suis relevé, non sans mal, le regard fier et le verbe assuré. Mon genou tremblait un peu, c'est qu'il ne m'avait pas loupé le salopard, il était nul comme vendeur mais quand il s'agissait de cogner comme un abruti il était efficace au moins.

"Il fait plutôt beau et la vue ne doit pas te déplaire. Tu tiens à ce point à me cacher ou à préserver ma pudeur ? Je suis très bien ainsi mais, merci quand même."

Bon au moins elle ne pourra pas me reprocher mon manque de politesse, là j'avais bien mis les formes. À la limite elle pouvait chouiner sur l'absence de vouvoiement mais, je n'avais jamais vouvoyé personne et je n'avais pas l'intention de commencer aujourd'hui. De plus si elle tenait à son autre esclave, elle serait probablement amenée à se poser la question de ce qu'elle allait penser de sa maîtresse si elle perdait son temps à s'offusquer d'un malheureux tutoiement. C'était aussi une bonne façon de la tester, était-elle intransigeante au point de s'énerver sur ce détail ou était-elle plus souple d'esprit ? Même enchainé je passais mon temps à jouer avec les autres, c'était plus fort que moi.

Puis j'ai vu le bébé neko dans les bras de son esclave, cette dernière me faisant dos jusque là je ne l'avais pas remarqué. Autant voir des adolescents ou des jeunes adultes enchainés ne me faisait ni chaud, ni froid, autant voir ce petit être dans cette situation me révoltait intérieurement. Elle n'est même pas en âge de se défendre et vous la vendez déjà ? Laissez la au moins développer son caractère qu'elle puisse se battre si elle le souhaite bande de lâches ! Si ça se trouve moi aussi j'avais été acheté tout petit sur ce genre de marché pour être ensuite parqué dans un camp. Mon sourire s'est effacé à cette pensée et j'ai demandé machinalement en pointant la petite du doigt :

"Et elle ? Tu compte en faire quoi exactement ?"

Ça m'arrivait rarement d'être réellement touché par quelque chose et le sort de la gamine me préoccupait bien que ce ne soit pas mes affaires.

11
Prélude / Re : Esclave à temps plein
« le: vendredi 19 septembre 2014, 22:13:54 »
Bienvenu chaton.

Ça te dirait de piquer deux ou trois trucs à ta future maîtresse pour moi ? J'ai besoin de fric.   ;D

12
Prélude / Re : Un nouveau joueur
« le: vendredi 19 septembre 2014, 17:39:05 »
Bienvenu.   :)


13
Dictature d'Ashnard / Baisse les yeux ! [Pv Mélinda]
« le: vendredi 19 septembre 2014, 15:37:47 »
Je dormais paisiblement, blotti contre Sofia, ma femelle qui était enceinte de notre quatrième enfant. Collé contre son dos, ma main posée sur sa hanche, ne me doutant pas que bientôt j'allais me retrouver à des kilomètres d'ici. C'est à ces heures matinales que les marchands venus des quatre coins de Terra prennent les esclaves pour les emmener loin d'ici. Ainsi ils n'opposaient presque aucune résistance, brutalement sortis de leur sommeil pour être immédiatement parqués dans de grandes cages montées sur des essieux. Trois hommes sont entrés dans notre cage, me soulevant par les bras tandis que le dernier me ceinturait les jambes. Je m'étais retrouvé enfermé dans la cage de transport avant même d'avoir compris quoi que ce soit, affublé d'un collier métallique duquel partait une chaîne qui me retenait comme une vulgaire bête. Ce que je pouvais détester être traité de la sorte, comme ce que je n'étais pas. Je me suis étiré en baillant à m'en décrocher la mâchoire, nu comme un ver à l'exception du bandeau frontal qui ne me quittait jamais. Le chargement s'est poursuivi pendant quelques minutes, jusqu'à ce qu'un marchand richement vêtu donne le signal du départ du convoi. Des hommes armés chevauchaient à côté des cages, prêts à défendre les marchands ou à abattre les esclaves qui tenteraient de fuir. La liberté n'était pas pour aujourd'hui et probablement pas pour demain non plus. Nous avons voyagé toute la journée et toute la nuit, vers une destination inconnue, sûrement pour y être vendus.

Je m'étais endormis dans la cage, pensant pouvoir récupérer de ma dernière nuit écourtée, sous-estimant dangereusement le niveau de connardise de nos geôliers.

"DEBOUTS BANDE DE SACS À FOUTRE !!! ALLER, ALLER, ALLER !!! ON SE REVEILLE MES SALOPES !!!"

Sensible à la délicate et poétique incitation au réveil de mon hôte, je me suis mis à grogner. Emmerder les honnêtes gens en les sortant brutalement de leur rêverie était une sale attitude, pourvu qu'elle ne devienne jamais une habitude. J'aurais bien, cédant à une impulsion compréhensible, qualifié cet infâme trou du cul de connard ou d'enculé. Mais je n'avais pas spécialement envie qu'on fasse un exemple de mon cas en public si tôt le matin, plus tard le fouet viendrait mieux ce serait.

"Connard …"

Grommela courageusement un jeune chiot avant de se manger une énorme baffe dans la joue. Enfin un esclave avec des couilles, dommage que sa maman ai oublié son cerveau à la conception, ça lui aurait plus servi. Quoi que je n'étais pas à l'abri, j'étais rarement le dernier à sortir des conneries dans ce genre de situation. Bref, big up pour le canidé malgré toute l'aversion que j'ai pour son espèce.

À l'arrière de chaque collier se trouvait une petite boucle métallique. Les marchands s'en servirent pour attacher la chaîne de chaque esclave au collier de celui qui était devant eux, formant une belle chaîne, humaine. À-À-À la queue-leu-leu ! On fit marcher le tout dans les rues jusqu'à une grande place noire de monde, au centre de celle-ci il y avait une petite estrade où les esclaves étaient présentés un par un pour être vendus. Beaucoup étaient anxieux ou déprimés, moi cette situation m'excitait, pas au sens sexuel du terme. Avoir un tel public pour moi tout seul, même seulement quelques secondes, il ne fallait pas que je me foire. Je devais leur en mettre plein la vue, afin de décourager les dominatrices du dimanche et de faire mouiller les petites soumises refoulées. Mon attitude allait fortement contribuer à me mettre entre les mains d'une propriétaire manipulable, hors de question de laisser passer cette occasion. Les esclaves se succédaient à l'estrade, tous plus minables les uns que les autres. On leur demandait de donner envie aux acheteurs de les prendre en parlant dans un micro et ils s’exécutaient tous comme de petites salopes ou se taisaient. Certains courageux refusaient de se soumettre et envoyaient le vendeur et la foule se faire voir mais, ils étaient peu et sévèrement punis.

Finalement ce fut mon tour de monter sur l'estrade pour être acheté, je savais déjà ce que j'allais faire et je savais déjà que j'allais morfler pour ça. Je suis monté tranquillement sur l'estrade, savourant ce moment de gloire à venir, me délectant de l'attention que la foule me portait. J'étais parfaitement détendu, ni soumis, ni prostré, ni rebelle, juste détendu. J'ai pris le micro en main, restant quelques secondes sans parler, temps que j'ai mis à profit pour toiser la foule. Menton haut, sourire carnassier, mes yeux fixant les femmes en contrebas avec envie et sans la moindre once de respect. Puis j'ai simplement dit d'un ton autoritaire :

"Toutes à quatre pattes et faites la queue pour venir embrasser mes couilles."

Joignant le geste à la parole j'ai empoigné mon membre viril pour le soulever, pointant de l'index de ma main libre mes testicules qui n'attendaient que leurs jolies lèvres. C'était vulgaire, concis et méprisant, exactement ce qu'il me fallait pour faire mouiller les petites pucelles de l'assemblée. J'ai entendu le bâton du marchand fendre l'air et j'ai fermé les yeux, attendant qu'il me heurte en serrant les dents, hors de questions de crier.

"Humphhh …"

Je n'ai pas crié, juste gémit, mais qu'est-ce que j'ai eu mal. Le bâton m'avait littéralement fauché le genou, me faisant tomber à quatre pattes. Immédiatement après j'ai senti plusieurs coups de bâton me chatouiller le dos mais, je ne regrettais pas. Au moins je l'avais sortie ma connerie maintenant. J'ai également noté dans un coin de mon esprit que "genou = point faible", cela faisait parti de ces choses utiles à savoir, juste au cas où. Maintenant il ne me restait plus qu'à attendre pour voir s'il y avait une petite masochiste friquée dans la foule pour me prendre. Et jolie si possible.

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Le coin du chalant / Re : Graouh !
« le: vendredi 19 septembre 2014, 13:20:32 »
Tu fais bien de me le dire, j'allais poster à Nexus justement. Je te fais ça à Ashnard.

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Le coin du chalant / Re : Graouh !
« le: vendredi 19 septembre 2014, 13:07:40 »
Je m'y colle, dans ce genre de rp ça me parait plus logique que l'esclave commence pour poser le contexte. Je t'enverrais un mp lorsque ce sera posté.

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