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Messages - Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

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Tekhos Metropolis / Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]
« le: mercredi 23 janvier 2019, 11:06:14 »
Superia remarque la lueur de détermination dans le regard de Sarah. Cela l'amuse beaucoup et lui rappel une foule de bons souvenirs, ceux de toutes les esclaves qu'elle a brisé. Combiens d'héroïnes du peuple, de resistantes, de guerrières a telle brisé depuis qu'elle travail avec BIOGENIX ? Elle en a perdu le compte...

Chacune d'elle avait cette même lueur... au début...
Mais comme Sarah aucune ne se doutais du pouvoir incroyable du sexe sur leur psyché et leur personnalité. Toutes avaient sous estimé la capacité de l'orgasme à dissoudre leur volonté dans un bain de folie et de désir insatiable. Soumises aux traitements inhumains de Superia, elles avaient toutes sombré dans la nymphomanie et la dépendance aux sexe. Les unes après les autres, elles avaient abandonné leur rêves personnels et leur idéaux pour se prosterner devant les talons de la scientifique.

Quand à celles qui avaient résisté malgré tout... Superia se tourne vers Irina, sa poupée totalement lobotomisée et stupide Elles avaient subit un sort pire que la mort...

Mais tel ne pouvait être le cas de la Porteuse. Si Superia démolissait le cerveau de Sarah comme elle avait fait avec Irina, la Witchblade l'abandonnerait à son sort et s'en serait fini de son projet de "Traqueuse Suprême".

Non, pour briser Sarah tout en conservant ses capacités intellectuelles elle allait la noyer sous un torrent d'orgasmes incessant. Grâce à la démultiplication de ses sensations sexuelles et l'augmentation de ses zones érogènes provoqué par les parasites, elle va la rendre totalement nymphomane et dépendante au sexe. Et... plus particulièrement... celui qu'elle lui prodigue.

Quelques petits ajustements hormonaux et quelques ajouts de substances psycho-actives finiront de la rendre maléable et obeissante.

-Hrrrrrmmmrrr... !!

Le gémissement de Sarah sort Superia de ses pensées et la replonge dans le présent. Ses filles ont bien commencé leur travail, la jeune policière commencé déjà à jouir et à savourer sa torture. Sans doute loin d'imaginer que cela va durer, durer et durer encore, jusqu'à ce qu'elle atteigne son point de rupture et qu'elle ne soit plus capable de cohérence. Puis viendra la traversée du désert... la privation de sexe... jusqu'à ce qu'elle hurle, qu'elle supplie, qu'elle concède tout pour en avoir. Ce sera alors le bout du voyage... Superia à tellement hâte de voir la détentrice de la Witchblade lui lécher les pieds. Mais pour cela, aucune étape ne doit être brûlée, où ce sera la défaite...

Elle la regarde se cambrer à nouveau de plaisir, gémir encore alors qu'un nouvel orgasme la traverse. Pleurer encore de frustration en sentant son jet de cyprine retenu par le bouchon qui obstrue son  urètre, l'empêchant de faire la femme fontaine. La petite flic pleine de résolution ne s'était pas attendue à ce que son corps, modifié par sa geôliere, puisse éprouver tans de plaisir d'un coup. Déjà sa résistance faiblit, déjà elle lâche prise et ferme les yeux pour s'abandonner à la jouissance.

La pauvre petite pute, croit elle pouvoir échapper ainsi à la folie ? Ricane intérieurement Superia.

Au bout d'innombrables orgasmes, alors que les premières filles de Sarah commencent à faiblir. Irina rejoint l'orgie avec les autres enfants de la policière, encore en pleine forme, pour pouvoir la baiser encore pendant des heures. De temps en temps, la bouche de Sarah est libéré pour lui laisser crier ce qu'elle veux, avant qu'une nouvelle queue vienne la remplir et lui provoquer de nouveaux orgasmes bucaux.

À mesure que la resistance de Sarah disparaît, la pathologie psychiatrique que Superia développe en elle, progresse, de plus en plus, la nymphomanie s'enracine dans l'âme de la policière. Chaque nouvelle bite qui la pénètre, chaque branlette espagnole, chaque caresse qu'on lui inflige cesse d'être une torture pour devenir une bénédiction, un don, un plaisir à savourer et qui donne à la Vie tout son sens. En vérité, il n' y a que ça qui compte, le plaisir, le sexe, la baise, rien d'autre n'existe vraiment, tout le reste ne sert qu'à obtenir cette récompense.

Les minutes deviennent des heures, des heures qui s'enchaînent à n'en plus finir. Pendant tout ce temps, Superia admire la scène de partouze et analyse chaque réaction de Sarah. Elle attend patiemment que celle ci craque pour la soulager. De son calvaire ? Non... De sa liberté... calmement, Superia lui prépare une nouvelle  injection, un cocktail d'anti dépresseurs et de drogue euphorisante qui créeront en elle une sensation de satisfaction, de bonheur et de félicité totale... ainsi qu'une syndrome de manque dès la première prise.

Superia attend son heure, impatiente à l'idée de transformer la Policière en junky accro à Elle...


2
- Je… Je ne serai jamais… Ta pute…

A cette dernière affirmation, Supéria lui sourit de plus belle, révélant la blancheur éclatante de ses dents et la ferme intention de lui prouver le contraire.

- Tu es si têtue ma belle... si sure de toi... et si ignorante. Tu es comme tout ces fanatiques religieux ou tout ces abrutis terriens qui pensent que leur misérable planète est plate. Tu pèche pas ignorance, tu ne dispose pas du savoir ni de l'expérience nécessaire pour comprendre la vérité. 

Supéria se dirige vers la cuve génétique dans laquelle nage désormais de grandes formes mi féminines, mi formiennes et active un panneau de commande.

- Je vais te faire découvrir toutes ces choses que tu ignore... et quand tu auras totalement lâché prise, je ferais de toi ma nouvelle tueuse parfaite. Pas une pauvre débile décérébrée comme Irina non... mais une esclave farouchement attachée à sa maîtresse et à ses plaisirs qui tuera et se prostituera pour le simple bonheur... de me satisfaire...

Le sas de la cuve s'ouvre et déverse un flot nauséabond de liquide gestationnaire formien, une épaisse vapeur emplie toute la pièce et plonge Sarah dans le brouillard. Devant elle, de grandes formes se meuvent dans sa direction. Petit à petit, le brouillard se dissipe et les créatures apparaissent pour finalement se présenter dans toute leur majestuausité grotesque.  Devant les yeux de Sarah, des créatures mi femme mi formienne approchent, chacune d'elle à pour visage le sien qui la fixe d'un air concupiscent et pervers. Leur corps est un subtile mélange de créature insectoïde et visqueuse et de Sarah, si ce n'est qu'elles sont équipées d'un pénis épais et large et d'une queue longue de plus d'un mètre.

- Je te présente tes plus grandes filles Esclave. Ce sont elles qui vont te faire découvrir le plaisir au delà de toute limite et de tout contrôle. Grace aux parasites qui t'on colonisés, tes sensations sont désormais sans limite ! Multipliées par l'infini ! Exponentielles ! Il n'y a que ton petit esprit qui soit limité maintenant mais ne t'en fait pas...

Supéria claque dans les doigts et les créatures formiennes se jettent sur le corps vulnérable de Sarah.

- Le plaisir que tu vas ressentir entre leur bras sera si intense que tu vas vite devenir folle et j'ai failli oublier de préciser aussi... cela te rendra totalement et irrévocablement addict au sexe !

Sarah a à peine le temps d'entendre les derniers mots de sa geôlière que ses "filles", au nombre de quatre, l'encerclent et commencent à la faire tourner entre elle. La policière est noyée dans une véritable foret de pénis et de queux qui pulsent à quelques centimètres de sa bouche, de ses seins, de ses cuisses, elle ne voit plus que ça. Au moment où la première saisit sa mâchoire pour l'obliger à ouvrir la bouche et lui faire avaler sa bite, Sarah comprend instantanément ce que Supéria voulait dire. Car sentir cette queue pénétrer en elle et glisser sur sa langue lui procure un plaisir et une sensation de tiraillement comparable à une pénétration vaginale après de longs et délicieux préliminaires.

Cette sensation d'extase, elle la ressent aussi quelques secondes plus tard quand une autre lui empoigne les seins de ses doigts griffus et s'en sert pour masturber sa queue turgescente. Mais le pire va venir dans quelques instants. Car sa troisième fille se glisse sous elle et commence à frotter son sexe contre sa vulve et son clitoris, lui arrachant déjà des sensations orgasmiques par ces simples attouchements brutaux. Pendant que sa quatrième fille se glisse derrière elle et positionne son gland épais et palpitant contre lma plissure de son anus.

Les sensations de plaisir que lui procurent ces simples attouchements la poussent déjà au bord d'un abysse de folie et de plaisir orgasmique... mais les pénétrations qui se préparent la pousseront brutalement jusqu'au fond...

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Tekhos Metropolis / Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]
« le: mercredi 09 janvier 2019, 18:23:16 »
La cervelle brûlée et noyée sous les drogues, Irina n'est plus une personne à proprement parle. Elle est devenue une sorte de machine sexuelle à demi-consciente, uniquement mue par les ordres qu'on lui donne et surtout, un appétit sexuel maladif, animal... insatiable...

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Quand Superia ment sur son compte pour faire craquer Sarah, la plonger dans le désespoir en lui racontant une odieuse contre-vérité, Irina n'a cette fois ci aucune réaction de défiance ou de rébellion.

Au contraire, comme pour ponctuer le discours horrible de la tortionnaire, Sarah sent d épaisses goutes de bave couler sur sa nuque et son dos. Son amie, la petite rebelle qui a tant lutté contre Biogenix, la baise désormais pour la firme, pour la briser... et elle adore ça... elle ne pense qu'à ça... pire encore, Sarah découvre qu elle en bave de plaisir.

Comme pour répondre aux affirmations de sa maîtresse, la pauvre petite cyborg au QI de moineau répète d une voix pâteuse et mole à chaque coup de rein qu'elle donne :

- Bonne esclave... gentille... baiser encore... baiser pour bonne maitresse... oui... baiser... obéir... baiser... obéir...

Et elle le répète encore et encore aux oreilles de Sarah, jouissant après quelques va et viens pour reprendre immédiatement, jamais soulagée par ses testicules qui produisent inlassablement de nouvelles doses de foutre à expulser dans la chatte et l'utérus encore béant de la prisonnière. Les minutes passent ainsi, en un viol ininterrompu, uniquement rythmé par les orgasmes d'Irina et ses paroles de zombi sexuel. A force de se remplir de foutre, le petit ventre de la prisonnière, encore déformé par la bosse que forme sa vessie, recommence à gonfler et à se tendre. La policière sent de plus la queue bestial de son amie à mesure que son vagin se fait comprimer par tans de fluide.

Pour de nombreuses autres esclaves humaines, un tel traitement pendant toutes ces journées eût été soit fatal, soit suffisant pour les rendre folle et leur faire crier grâce. Mais Sarah était d une autre trempe, d'une autre espèce, et si Superia ne voulait pas avoir affaire à la Witchblade le jour ou elle la détacherait, il fallait aller encore plus loin, jusqu'à ce que la jeune flic soit totalement détruite...

Et pour ce faire, elle avait une arme secrète, une méthode si monstrueuse qu'elle allait émasculer la volonté de fer de la policière et balafrer son corps et son âme à jamais. Et les outils de cette déchéances étaient en train d'atteindre leur maturité derrière le grand tube de verre du bassin d'évolution...

-Maî... Maîtresse !

Hurle Sarah, tans d'épuisement que de désespoir. Supéria en est presque surprise et détourne quelques instants son regard du bassin.

-C'est bien Esclave... continue comme ça... bientôt tu seras aussi docile et heureuse que le Sujet 2501... On t'offrira un joli collier avec ton propre numéro et tu feras la grande tournée de tout ceux qui payeront pour t'avoir... n'est pas peur, tu seras accessible à tous, même aux petites bourses...

Ajoute la doctoresse maléfique en ricanant avant de se retourner vers le verre du bassin. Elle avait hâte de louer la petite flic une fois qu'elle serait prête, hâte d'arpenter les rues malfamées où elle avait fait tans de dégâts parmi la pègre pour louer son cul et sa bouche à ses anciens ennemis.

Mais cela devrait attendre encore un peu... attendre que les enfants de Sarah ne la pousse définitivement dans la folie et l'abandon.

Une heure c'est presque écoulée et les progéniteurs ont presque fini leur évolution. Leur ADN formien, mêlée à celui de la superbe policière à fait d'eux des œuvres d'art vivantes tout droit sortie de l'imagination de H.R. GIGER et chacun de leur visage est celui de Sarah.

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Supéria se délecte déjà de l'expression et des hurlement que poussera sa captive quand elle verra ses traits sur les corps monstrueux de ses violeurs... Mais ils ne sont pas encore prêt, et ce n'est pas à eu d'ouvrir le dernier acte.

Au moment où Supéria formule cette dernière pensée dans sa tête, un des parasites se précipite contre le verre de la vitre et tambourine sur sa surface transparente de ses milliers de minuscules tentacules. Son petit corps bouffi se crispe et convulse d'impatience à l'odeur de tans de chaire à coloniser.

-Ils sont prêt...

Murmure alors la doctoresse d'une voix sinistre, comme si elle venait de prononcer une sentence de mort...

-2501 ! C'est fini pour toi ! Dégage toi et retire lui le bouchon d'urètre.

Irina pousse un grognement de protestation mais obéit sans discuter. Elle libère le corps de Sarah de son énorme queue et sans la moindre délicatesse, saisie la petite tige de plastique qui obstrue la vessie de la prisonnière. Un véritable geyser d'urine se déverse entre les jambes de Sarah, inondant les seins et les cuisses d'Irina qui en bande de plus belle. La sensation de soulagement est si intense que son cœur aurait pu s'arrêter, si elle n'était pas aussi vigoureuse.

-Bien, laisse ta petite amie reprendre son souffle quelques secondes, je veux que tu m'aide à lui présenter ses premiers enfants, ils ont tellement hâte de retourner dans leur maman...

Dit Supéria à Irina d'un air énigmatique tout en captant le regard de Sarah pour que celle-ci ne manque rien de ces derniers mots. Puis elles se dirigent vers le bassin d'évolution.

-Fait attention 2501... ne laisse pas leur tentacules te toucher ou tu seras parasité toi aussi, prend en un dans chaque main et vient suit moi.

Quand elles se retournent vers la policière arnachée dans le vide, celle-ci remarque avec effrois comment ses premiers « enfants » ont évolués. Dans chacune de leurs mains, les deux tortionnaires tiennent une créature immonde et spongieuse. Leur peau est de la même couleur halée que celle de Sarah, mais la ressemblance s'arrête la. Car leur corps ressemble à une grosse anémone inversée, couvertes de millier de petits tentacules qui s'agitent frénétiquement; en leur cœur, une grosse cervelle palpite et se contracte de manière avide .

-Détend toi Sarah... cesse de gigoter, c'est inutile, tu ne peut y échapper et bientôt tu me remerciera de t'avoir offerte ces présent, tu vas adorer ce qu'ils vont te faire.

Dit calmement Supéria en se rapprochant de la Policière avec ses deux immondes parasites dans les mains. Une fois arrivée devant elle, elle lui murmure:

-Voila, nous y sommes, c'est la fin de ta carrière de flic et d'héroïne, mais tu sais, dans quelques instants, tu t'en foutra... com... plè... te...ment...

Et approche doucement le premier parasite du sein droit de Sarah. Au moment où les tentacules touchent la peau délicate de son mamelon, ils se mettent à frétiller, à la palper, puis, soudainement, à s'y enfoncer comme des vers de terre dans un sol meuble. Une sensation de fourmillement nerveux insupportable traverse le sein de Sarah et la fait involontairement mouiller à mesure que le parasite s'enfonce dans sa chaire, sous ses yeux, son sein gonfle pour pouvoir accueillir le corps de la créature. Après d'interminables minutes de souffrance et de chocs nerveux, le parasite à disparu totalement sous la peau de son sein, devenu plus gros.

-Maintenant regarde bien Sarah... les prodiges de la sciences, rien que pour toi...

Supéria donne une minuscule petite pichnette du bout de l'ongle sur le téton et l’auréole de Sarah. La policière ressent instantanément une sensation de plaisir intense, brutale, enivrante. Sa sensibilité est totalement exacerbée, disproportionné par rapport au simple petit contact que lui à infligé sa geôlière.

-Tu imagine ce que ça va etre quand on va te les malaxer et te les mordre comme ceux d'une petite pute Esclave ?

Pouffe Supéria en regardant la réaction de Sarah. Puis elle reprend.

-On continue ?

Elle laisse quelques instants à sa suppliciée pour parler, puis, approche l'autre parasite de son sein encore normal. A nouveau, la créature pénètre sa chaire et s'y installe, transformant la poitrine parfaite de Sarah en énorme balcon ultra sensible, si sensible qu'elle pourrait en jouir rien qu'en étant plotée.

-2501... c'est ton tour... viens offrir tes cadeaux à ta nouvelle consœur...

Toujours perdu dans un brouillard de sexe et de folie, Irina ne ressent que désir et excitation à l'idée de transformer le corps de la nouvelle esclave de la Maîtresse. Elle s'approche à son tour de Sarah, armée de ses deux parasites répugnants, les hurlement et les suppliques de celle-ci ne la font que bander de plus belle.

Elle se présente devant Sarah et se penche en avant pour lui appliquer un parasite sur la vulve.

Quand Irina le pause sur la vulve de la jeune femme, il se glisse entre les parois trempée de son vagin et s'enfoncer jusqu'à son utérus. Une fois confortablement installé il le colonise de ses récepteurs nerveux et transforme la cavité et son col en une zone érogène aussi sensible que sa chatte.

-Tu va adorer tes prochaines grosses grâce à celui-ci Esclave !

S' esclaffe Superia en regardant l'expression de Sarah quand elle éprouve ces nouvelles sensations utérines.
Elle se retourne vers Irina:

-Va me chercher les deux derniers Esclave !

Deux ? Pourquoi y en a t Il encore deux ? Il ne reste plus qu'un orifice à modifier et l'anus promet d'être l'expérience la plus traumatisante.

-Tu es surprise ? Ne le soit pas, tu va voir que le meilleur et le pire son à venir... et je ne parle pas de ton petit cul de sainte ni touche...

Ajoute Superia pendant qu'Irina revient avec les deux derniers parasites. Sans surprise, le premier est pour son anus. Comme le précédant, il s'infiltrer entre les plis de son anus et s'enfoncer profondément dans son fondement où il colonise toutes les parois pour les transformer en une nouvelle zone hétérogène ultra sensible.
Désormais, où que Sarah se face baiser, elle ressentira un plaisir décuplé et anormal, jusqu'à ce que les orgasmes incessants la lessive totalement.

Mais l'ultime transgression vient ensuite, quand Superia s'empare du dernier parasite et contre toute attente, se campe devant Sarah et dit.

-Alé ma chérie... c'est presque fini... maintenant on ouvre grand la bouche... Irina, vient aider ton amie à devenir une nouvelle femme.

Toujours sans rechigner Irina vient ouvrir la bouche de son amie pendant que Superia lui glisse le parasite entre les lèvres pour qu'il s'installe dans sa bouche et sa gorge.

-Comme ça tu pourras même jouir quand tu suce un client... n'est ce pas merveilleux ?

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Tekhos Metropolis / Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]
« le: dimanche 06 janvier 2019, 07:07:11 »
Grâce au bassin de croissance accéléré il ne faudrait qu une petite heure ou deux pour que les larves formiennes atteignent l'âge adulte.  Un subtile mélange d'ondes psychiques et d'hormones animales permettait à Superia de contrôler totalement leur évolution et leur fonction futur.

Pour satisfaire ses plans les plus pervers et s assurer que Sarah sombre toujours plus profondément dans la folie, la débauche et l'horreur, elle avait déjà choisit les formes que prendrait ses "enfants"...

La vaste majorité d'entre eux, une fois leurs organes sexuels et leur sac de sperme arrivés a maturite, sortiront du bassin en temps que "progéniteurs".

Superia avait hâte de voir le visage que ferait sa petite policière face à la horde de ses enfants: de répugnants hybrides d'elle même, mi humaines mi formiennes, armées de monstrueuses bites animales surmontant d'énormes sacs de sperme prêt a la ré inséminer une nouvelle fois.

Les autres, plus petits, auront une forme et une fonction plus répugnante encore. Une fois leurs innombrable petits tentacules intrusifs développés, leur système nerveux prêt à pénétrer celui de leur victime et enfin leur matière grise surgonflé pour dominer, ils renaitront en "parasites".

Superia se délecte déjà à l'idée d entendre sa prisonnière hurler à la mort et supplier qu'on l achève alors que ses plus petits enfants s'enfonceront dans sa chaire pour serpenter sous sa peau, entre les muscles de son cul, dans la graisse de ses seins avant de venir se mêler à sa matiere grise. Elle atteindrait alors des sommets de plaisir et de douleur jamais atteint par une humaine...

La scientifique en tenue moulante soupire d'impatience en regardant les eaux somatres du bassin bouillonner de manière inquiétante. Heureusement pour elle, elle a prévue de quoi occuper leur temps, hors de question de laisser sa nouvelle esclave souffler ne serais ce que quelques minutes...

-  Nous avons quelques heures à tuer le temps que tes bébés arrivent à maturation, Sarah…

Ajoute la tortionnaire pendant que le Sujet 2501 la rejoins.

- Irina ma cherie... Montre à ta petite amie ce que je t'ai offerte pour que vous puissiez vivre pleinement votre amour...

L'esprit d Irina est totalement ravagé, pour la punir de sa trahison, Superia lui a infligé le pire pendant ces huits jours. Plus de dix heures delectrochoc sans la moindre interruption, jusqu'à ce qu'elle se mette à saigner par les oreilles et à ne plus savoir compter jusqu'à 5. Et les piqûres,  les injections incessantes, toujours plus de drogues,  d aphrodisiaques d hormones de mutation grotesque. Au point qu'elle en face plusieurs fois des overdose... mais sans pouvoir mourir.

Des le 3ème jour, elle avait à nouveau oublié son nom et celui de sa bien aimé capturée pour ne penser plus qu'au plaisir, à la baise et à l'obéissance. Ses maîtres l'avaient alors offerte pendant les jours restants aux clients des strates infernales, malgré son facteur de régénération, elle en porterais les traces encore longtemps.

Quand Superia s'adresse enfin à elle, Irina relève la tête et regarde Sarah d'un air absent et rêveur, comme si la vrai jeune femme coincé dans ce corps, la vraie Irina, était ailleur, comme prisonnière d'un songe pornographique.

Sans même y penser, elle se rapproche lentement de l estrade où est attachée Sarah en laissant glisser lassivement la glissière de sa tunique moulante.

Des les premiers centimètres, son opulente poitrine jaillit de l étoffe. Ses mamelons et la courbure de ses seins portent encore les traces de morsure et de torture que les démons lui ont infligé pendant ces quatre interminables jours de viol.

Sa main continue de descendre et sa tunique de libérer son corps sculptural jusqu'à atteindre le creux délicat et sensuel de ses hanches et de son pubis. Sauf que là où Sarah s attendait à revoir sa ravissante petite vulve virginale, elle constate, sans doute avec horreur, que son clitoris à été transformé en une énorme verge turgessante, parcourues de veines bleus palpitant sous la pression.

Encadrant son vagin qui paraît maintenant minuscule, deux énormes bourses glabres pendant de part et d'autre de sa fente. Deux petits tuyaux cruellelent fiché dans ses testicules les abreuvent en permanence d'un liquide rose qui provoque sans doute ce gonflement et ces palpitations intenses en les poussant à produire toujours plus de sperme. Nul doute qu' Irina souffre le martyr en attendant de pouvoir vider ses couilles surgonflées et que ce désir doit être la seul chose qui peuple ses pensées.

- Alors Esclave ? Comment trouve tu ta petite amie ? Mieux non ? Tu peux me remercier si tu veux, ça me ferait plaisir de t entendre me dire: "Merci Maitresse d avoir transformée ma seule amie en machine sexuelle completement folle rien que pour moi".

Dit elle en riant cette fois ci aux éclat en admirant l'effet que la vue du corps mutilé et horriblement transformé d Irina provoque sur Sarah. Puis elle pose une main sur l épaule de la cyborg. Celle ci tressaille et pousse un petit gémissement animal alors que sa queue se tend en gonfle plus encore.

- C'est bon 2501... tout doux... brave bête... Laisse lui le bouchon d urètre, je veux que tu la baise avec sa vessie pleine avant qu'on ne la purge.

A ces mots, Irina réagit comme un jeune étalon en ruthe sur le point de saillir une juman. Elle souffle fort des narines et de la bouche, elle tremble de tout son corps et empoigne la hanche gauche de Sarah d une main fébrile.
Sourde aux mots de sa belle policière, elle commence à frotter son énorme bute contre la vulve de Sarah, encore ravagée par l'accouchement.

Dans le même temps, Superia passe dans le dos de la prisonnière et semble manipuler des objets pour pouvoir jouer elle aussi, mais avec le fondement de la belle. Quand elle semble satisfaite, elle souffle à l'oreille de Sarah.

- 2501... baise la... maintenant...

Irina énie comme un cheval, comme un mâle devenu fou de désir, esclave de ses couilles pleines à craquer. Elle saisie les deux hanches de Sarah et dans un geste ample et sec, sans la moindre douceur où sentiment, elle la pénètre sauvagement jusqu'à ce que sa garde, presque trente centimètres plus loin, viennent cogner violemment contre le bas ventre de la belle attachée.

Sarah peut sentir le gland démesuré de son amie devenue folle lui écarter de nouveau les parois du vagin et même saccager encore une fois le colle de son utérus.

Mais le calvaire ne fait que commencer... car déjà Irina ressort et entre de nouveau avec la même brutalité pendant quelle énie de nouveau comme un cheval, la brave et les larmes lui inondent le visage, son regard est à la foi fou et absent.

Et elle commence à la baiser ainsi, de plus en plus vite, de plus en plus maladroitement, cherchant désespérément à ce libérer de la pression abominable de ses couilles.

Très vite, elle éjacule une énorme quantité de sperme en Sarah. Mais cela ne l'arrête pas, elle continue encore et encore, comme si ce premier orgasme ne lavait pas soulagé.

5
Quand les bribes du mot « pitié » sortent de la bouche de la policière, si revêche et courageuse quelques jours plus tôt, les lèvres de Supéria s'ourlent d'un sourire pervers et maléfique.

- Enfin ma chérie... enfin...

Elle s'approche de Sarah et lui retire ses bouchons de nez, ses bouchons d'oreille et enfin son masque. Elle capture le visage de la policière entre ses doigts fins et puissant et lui murmure au lèvres:



- Tu commence enfin à supplier comme une esclave... C'est un bon début... mais... un début... seulement. Maintenant regarde, c'est ta première récompense en temps que pute à mon service.

Elle tire sur sa main et entraine le visage de Sarah vers le bas pour qu'elle puisse contempler l'aspect sordide de son propre corps. La petite bosse presque jaune que forme sa vessie sur son diaphragme, l'énorme ventre distendu par son utérus grouillant de répugnantes petites larves formiennes qu'elle sent gigoter en elle.

Supéria lui laisse quelques instants pour contempler le spectacle de son corps violé et déformé avant d'ordonner à ses hommes:

- Apportez une bassine, mon esclave va accoucher devant sa Maitresse ! Pas vrai esclave ? Tu es heureuse d'offrir plein de nouveaux toutous à ta Maitresse ? Répond moi...

Elle lui laisse à nouveau quelques instants pour répondre pendant que les techniciens s'approchent d'elle pour disposer la bassine entre ses cuisses. L'un d'entre pose alors ses doigts sur l'énorme god ceinture qui obstrue et viole le vagin de Sarah et fait signe de la tête à Supéria... il est prêt...

- Bien... regarde bien ma chérie, n'en manque pas une miette surtout, c'est un merveilleux moment... te rend tu compte ? Ton premier accouchement...

Ajoute t'elle en ricanant et en tenant fermement le visage de la policière baissé sur la scène. Puis elle rend son signe de tête au technicien qui dégrafe le gode, et commence à l'extirper de la vulve contracté de la belle prisonnière.

Instantanément, les larves formiennes se ruent vers le col de l'utérus de Sarah et commencent à le pilonner de leur tête pour briser la poche des eaux et ouvrir la voie. Les contractions commencent et labourent le ventre de Sarah.

Les minutes commencent à s'égrainer lentement au rythme de l'ouverture de son col, la poche des eaux finit par se percer, mais au lieux d'un simple liquide amniotique, c'est un flot verdâtre et visqueux qui s'écoule de sa vulve. Une odeur pestilentielle de viande fraiche s'en échappe pendant que du sang commence à ce mêler à la mixture... ses enfants ont commencé à passer leur tête.

Sarah peut les sentir, ils n'essaient pas de passer les uns après les autres pour l'ouvrir moins non... ils se précipitent tous en même temps et utilisent leur tête comme un répugnant bélier qui lui écarte le col au point de le faire craquer. Dans un flot de douleur encore nouveau pour la policière, elle assiste à l'abjecte naissance de sa progéniture qui s'écoule de son corps en se tortillant dans la bassine.

- Voilà ma belle petite pute... tu es officiellement maman... tu es heureuse ? Répond moi...

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Les alentours de la ville / Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]
« le: mercredi 02 novembre 2016, 22:23:55 »
Tirgina regarde jaillir la semence de son prisonnier avec délectation et lui caresse le torse et le visage en signe de satisfaction. Le gratifiant d'une petite récompense pour s'être soumis irrémédiablement à elle.

Tigrina - Bien... tu es ma propriété maintenant. Tu es mon esclave.

Sont les derniers mots qu'entend Ludya avant de perdre connaissance. La tête du jeune Abyssien retombe et pend mollement dans le vide, la mutante tire sur la laisse pour le ramener contre sa poitrine et le fait lentement glisser dans ses bras pour l’emmener vers les anciens laboratoires.

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Ludya reprend lentement connaissance, son esprit encore chargé des phéromones de Tigrina a toujours du mal à penser de manière totalement rationnel et d'évaluer combien de temps il a dormi. La première chose qu'il ressent c'est le contact de doigts graciles et puissants sur sa verge qui continue malgré ses précédant orgasmes de le masser et le branler lentement pour maintenir son érection encore et toujours. Elle est si tendue et gonflé par son état de gaule permanente que s'en est a la fois excitant et douloureux. L’appentis et le désir de domination de Tigrina avaient ils des limites ? Ludya se le demende en la sentent encore à l'oeuvre sur son corps pour le maintenir dans un état de folie sexuelle permanent.

Puis c'est la fraicheur et la rudesse du mobilier sur lequel il est allongé sur le dos qu'il ressent. Les crampes que lui provoquaient les courroies qui lui tiennent les mollets aux cuisses ont commencé à passer et son corps s'acclimate petit à petit à être ainsi réduit des jambes. Ils sent en revanche qu'il est toujours attaché, mais cette fois si il est disposé en étoile. Ses poignets et les bandes de cuire de ses cuisses étant fermement liées au support sur lequel il est allongé, bras et jambes bien écarter pour offrir libre accès et spectacle à ses zones intimes. Il fait tiède dans la pièce et il peut entendre et sentir le souffle musquée de sa tortionnaire.

Il ouvre lentement ses yeux encore lourd de sommeil et remarque qu'ils ne sont plus bandés. La pièce encore une fois est plongée dans une lumière tamisée et agréable, même si la lumière est concentré sur son propre corps qui se trouve être attaché à une grande croix en bois couchée sur un haut socle d'acier. Même s'il porte toujours son collier d'esclave, il peut néanmoins bouger la tête et remarque vite la stature féline de sa compagne confortablement assise du coté de son flanc droit, en train de jouer distraitement avec la queue de l'abyssien d'une main et de lui caresser un sein de l'autre. Sans merci, elle soumet son corps à une stimulation sexuelle permanente et il comprend à l'aspect turgescent et rouge cramoisi de ses tétons et de son gland qu'elle s'y applique depuis des heures.

Tigrina - Tu es enfin réveillé Esclave. Bien. Je t'ai laissé dormir un peu pour te récompenser de ton acte de soumission. Tu m'as offert un bel orgasme, et regarde ça, tu reste encore ferme et prêt à recommencer, je n'en attendais pas moins de mon petit mâle. Maintenant que tu es réveillé nous allons pouvoir reprendre avec ton esprit ce que je faisait déjà avec ton corps. Tu sais, il est encore plus obéissant que toi, un vrai petit chien.

Dit elle en lâchant enfin sa queue. Libérée de sa poigne vigoureuse, le sang afflux encore plus vers sa verge qui gonfle plus encore et palpite de désir. Il se rend compte que la sensation de manque est alors bien pire que la pression permanente que lui infligeaient ses doigts vicieux.

Tigrina - Tu sais, j'ai toujours été fascinée par notre capacité racial de faire muter nos cellules pour adopter la structure moléculaire de ce que nous touchons. Et comme tu as été un esclave très obéissant, j'ai décidé que tu ne méritait pas de subir la douloureuse torture de l'aiguille. Alors j'ai décidé de faire plus simple, mais aussi plus... personnalisé.

Elle lui montre alors deux petits anneaux dont le fermoir n'est pas une pointe mais deux petites boules lisses fait dans une matière métallique argenté. Mais Ludya reconnait ce matériaux et sait que ce n'est pas un simple acier. Il s'agit en fait du métal qui recouvre le derme des guerriers abyssien lorsqu'ils se battent et poussent leur corps vers une forme guerrière. Le jeune homme comprend alors que ces deux anneaux viennent du corps même de Tigrina, qui a profité de son sommeil pour les forger à partir de sa propre armure.

Tigrina - Tu vois, je prend soin de mon nouveau sexetoy. Maintenant détend toi et laisse les cellules de ton corps s'offrir à mes caprices, tu vas adorer ça...

Ajoute t'elle d'un air malicieux en prenant le premier anneau entre le pousse et l'index. De son autre main, elle saisit le téton droit de Ludya et commence à le masturber comme s'il s'agissait d'un petit pénis, sa peau commence à exhaler une sueur chargé de phéromones aphrodisiaques. Elle le fait gonfler entre ses doigts et pointer à son maximum puis elle l'emprisonne entre les deux petites boules de l'anneau. Elle commence à branler son petit bout de chaire entre les deux extrémité du fermoir en murmurant.

Tigrina - Va y... laisse toi aller, laisse ta chaire accepter la mienne...

Elle continue de le masser, l'excitation devient insupportable mais le corps de Ludya tient bon et refuse d'entrer en phase de symbiose. Alors sans dire un mot Tigrina , tout en continuant son œuvre, descend vers la queue de l'abyssien, ouvre grand la bouche et déploie une longue langue serpentine d’où se met à couler un filet de salive. La salive se met à couler sur le bout du gland de Ludya et s'infiltre instantanément dans son petit trou. Le jeune esclave sent alors remonter vers ses bourse et son bas ventre un feu d'excitation insupportable et avant qu'il n'ai pu dire quoi que ce soit, la bouche de Tigrina se referme sur sa queue. Sa tête descend sur elle jusqu'à ce que son nez touche son pubis et que le gland de Ludya déforme le font de sa gorge. Elle commence alors de long va et viens et suçant sa lance comme si elle voulait la traire. Mais avant qu'il ne puisse jouir à nouveau elle arrête.

Le choc et le désir sont si intense que le corps de Ludya se soumet et commence la symbiose. Sous les yeux grand ouverts et incrédules du jeune captif, son téton commence à prendre la couleur argenté de l'anneau en adoptant ses caractéristiques moléculaires.

Tigrina - Bien... très bien esclave... ton corps est plus raisonnable que ta tête, regarde... ils se marient si bien...

Toujours sous le regard éberlué de son propriétaire, le téton et les petites boules de l'anneau commencent à fusionner, la texture de chacun se mêlant à l'autre dans une avalanche de sensation orgasmiques jusqu'à ce que les boules aient totalement disparue dans la chaire de Ludya. Le jeune abyssien se sent alors bizarre, comme si une connexion s'était établie, quand Tigrina retire enfin ses doigts du téton, elle les porte sur son propre téton droit et le presse. Instantanément Ludya sent son sein vibrer et gonfler comme si c'était le sien que la mutante torturait.

Tigrina - hihi... Tu vois, tu es de plus en plus à moi à chaque instant qui passe...

Puis elle se saisit du second anneau et recommence à lui sucer la queue tout en passant son téton gauche avec. A nouveau elle s'arrête et la fusion commence, Ludya se retrouve après une nouvelle série de sensation jouissive avec deux beaux anneau liés en lui sans la moindre blessure, il font partie de son corps.

Tigrina - Tu es tellement beau mon chaton ! J'ai hâte de faire ta promenade en te tenant en laisse par les... Ho, mais j'ai failli oublier...

Elle se saisit d'une longue et épaisse tige elle même issue de ses cellules, terminé par un anneau parfaitement circulaire et sans fermoir.

Tigrina - Sans ça je ne pourrait pas te tenir en laisse par la queue, et ce serait dommage.

Elle vient se placer entre les jambes de Ludya et recommence à lui masser le gland et le masturber lentement.
Elle attend que le corps du jeune captif commence à se contracter et s'agiter des soubresaut prémisse à la jouissance. Puis elle lui pince le bout du gland avec douceur pour lui ouvrir son petit trou et y passer la tige. Elle l'enfonce encore et encore jusqu'à ce que Ludya la sente presser sa prostate et lui créer une sensation de jouissance étrange car sans orgasme. Quand elle a fini, seul l'anneau dépasse encore du gland de l'esclave.

Tigrina - A partir de maintenant tu jouis et tu te soulage quand je te le permet. Si tu es gentil je te l'enlève un petit peu pour récolter ta semence.

Pour lui prouver ses dire et briser plus encore sa volonté. Elle se met soudain à le masturber et le sucer vigoureusement. Sa chaire et la matière de Tigrina introduite en lui fusionnent si bien que Ludya n'en ressent aucune gène et quand le moment de l'orgasme arrive enfin, il se met à jouir. Mais il constate avec horreur que si l'orgasme vrille bel et bien ses entrailles, le soulagement suprême de sentir son sperme quitter son corps est remplacé par une sensation abominable de pression et d excitation  insoutenable. Quand l'orgasme prend fin, il est encore plus en manque de sexe qu'avant celui-ci...
Son instinct animal lui souffle alors à l'esprit ses nouveaux besoins primordiaux, satisfaire sa maitresse, pour pouvoir baiser, pour qu'elle le laisse jouir.

Tigrina - Bien mon chaton, je crois que tu commence à comprendre, c'est vraiment merveilleux.

Un cliqueti résonne, Tigrina a attachée la laisse à l'anneau qui dépasse du gland de Ludya. Elle lui détache les mains et les jambes pour qu'il puisse se mettre à quatre pattes.

Tigrina - Je vais te promener et si tu es sage je te laisserai jouir.

Elle donne de petits coups sur la laisse, a chaque fois Ludya sent son sperme fluer et refluer et ses testicules gonfler de désir.


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Les contrées du Chaos / Re : Dongeon Keeper
« le: mercredi 26 octobre 2016, 18:18:23 »
Irina, d abord surprise par l'efficacité fulgurante du bandeau, se reprend vite et décide de passer directement à la vitesse supérieure. Se disant qu'ainsi elle disposera de plus de temps pour vaincre et briser les autres gardiennes.

Mais avant de lui injecter l'antidote au poison, Irina devait s'assurer que l'esprit et la chaire de la femme poisson lui seraient totalement acquis pour éviter toute rébellion. Elle décide alors de condamner sa captive corps et âme en revenant sur sa promesse.

Irina - Très bien Esclave, très très bien... je suis très satisfaite par ta décision, tellement satisfaite que finalement je vais te laisser le bandeau te dévorer le cerveau et corrompre ton corps. En attendant je vais te faire plaisir et te punir comme tu le demande.

Irina relâche sa prise et pose son pied nu sur le visage de sa captive pour la tenir au sol pendant qu'elle tire un étui épais et noir de sa valise. Elle en sort un jeu de petites pinces  ornées de ravissants petits anneaux en argent.

Du bout du pied elle retourne Yesarath sur le dos. La pauvre esclave sent ses mains et la barre de fer lui égratigner le dos. Mais elle oubli soudainement cette sensation désagréable au moment où les doigts experts d'Irina se referme sur la chaire pulpeuse de son téton droit pour le masturber de bas en haut.

Sous l'effet de l'excitation et de la magie mutagène et corruptrice du bandeau, le téton de Yesarath se met à gonfler et prendre en volume, il s'allonge au point qu'Irina peut le faire rouler entre son pouce et son index.

Irina - Incroyable, il te corromps tellement vite... ça m'a pris des mois pour en arriver à ce stade. Peut etre que si je prend mon temps tu auras fini ta transformation avant qu'on ne rencontre ta consœur...

Yesarath sent soudain une vive douleur exploser dans son sein quand Irina referme la première mâchoire de pince sur son téton. Ignorant les plaintes de la femme poisson, elle fait teinter l'anneau sur son attache en lui donnant une petite pichnette

Irina - Tss tss... on est une bonne esclave à sa maitresse et on la laisse te transformer en belle monture.

Elle empoigne l'autre sein et commence à le masturber à son tour. Irina attend la aussi que la corruption du bandeau ai fait gonfler sa chaire avant de faire comme avec le premier. La poitrine de la gardienne se retrouve ornée de deux ravissants anneau d'argent. Yesarath entend un bruit de chainette, un cliquetis sec résonne et lui arrache un mélange de douleur et de plaisir à chaque sein alors qu'une boule vient pendre entre ses seins. Irina à relié ses deux obus par une chaine tendue par un poids en suspension, les embouts des pinces lui procurent un mélange chaotique de plaisir et de douleur.

Irina - Tu es de plus en plus belle Esclave, on continue..

Irina sait que cette partie là est plus sensible et qu'elle risque de se défendre. Alors elle trompe la vigilance de sa captive en lui donnant ce qu'elle veux. Yesarath sent un objet chaud et visqueux presser à la porte de son vagin, elle sent qu'il vibre et se tortille en tournant, lentement il s'enfonce en elle.

Irina fait de petit vas et viens avec sa pipette à insémination, la faisant tourner et vibrer entre ses doigts pour détendre les lèvres et le col de Yesarath. Elle l'enfonce de plus en plus profondément en elle pendant qu'avec son autre main elle dégage son clitoris de sa gangue de chaire et le prend entre ses doigts pour le masturber à son tour.

Irina joue avec le sexe de sa prisonnière encore et encore, jusqu'à ce qu'elle commence à la sentir jouir. A cet instant, la cyborg en profite pour enfoncer le reste de sa pipette et écarte les portes de son col de l'utérus. Elle le fait pénétrer jusqu'à ce que la garde en forme d'outre et pleine de foutre vienne toucher les cuisses de Yesarath. Celle-ci réalise alors tout à coup que ce n'est pas un god qui lui donne du plaisir depuis tout ce temps. Mais un monstrueux appareil utilisé pour inséminer les juments.

Irina - J'aime les montures bien dociles, pour les mâles on coupe les bourses, pour les femelles on féconde. Tu n'imagine pas à quel point une jument enceinte est douce et gentille... enfin tu vas le découvrir maintenant.

Et ignorant les suppliques ou les récriminations de Yesarath, Irina prend l'outre dans sa main et presse le contenu qui gicle bien au fond de l'utérus de la gardienne. Elle sent son ventre se remplir de semence et au bout de quelques instants elle se sent heureuse et comblée, comme magnifiée et accomplie. Elle voudrait se caresser le ventre avec tendresse, mais ses bras sont toujours liés dans son dos.

C'est alors qu'Irina prend le clitoris de Yesarath entre les doigts et commence à le faire rouler entre le pousse et l'index. Comme pour ses tétons, il gonfle et s'étire et la gardienne sent les mâchoires de la dernière pince se refermer sur la plus sensible de ses parties intimes. Son ravissant clitoris se retrouve pris en étaux et Irina y accroche à nouveau une boule  pour que celui ci pende manière obscène.


Afin de briser plus encore sa psychée, le masque démoniaque renvoi à Yesarath l'image de son propre corps. Il est beaux mais obscène et corrompu par le sexe. Ses tétons et son clitoris sont exibés et mis en valeur comme des fruits murs sur un étal. Mais par dessus tout c'est son propre visage qui la choque, car elle se voit sous son masque, ses yeux sont à demi révulsés et hagard, comme si elle était devenue complétement stupide. Sa bouche est grande ouverte et forme un rictus, une sorte de sourire satisfait alors que sa langue pend au coin de sa lèvre. La gardienne est choquée, ne sachant pas si elle est effectivement en train de se regarder, ou si ce n'est qu'une vision de plus imposée par le bandeau qui la noie en permanence d'images obscène.[/b]

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Les terres sauvages / Lolth [PV Rachnea]
« le: mercredi 26 octobre 2016, 17:18:39 »
Il était tard et la pluie c'était mise à tomber si fort que la lourde cape de voyage d'Irina n'avait pas empêché l'eau  de pénétrer l'etofe et d'imbiber sa tenue. Elle détestait la pluie, elle détestait le plan de Terra et par dessus tout elle détestait cette mission "diplomatique". Elle progressait de plus en plus difficilement sur le chemin boueux en ruminant sa colère. La firme ne disposait elle pas de suffisamment de Courtiers sur ce plan d’existence pour ne pas qu'une traqueuse soit obligée d'aller jouer les putes de luxe avec un esclavagiste ? Se demandai t'elle.
Elle haïssait par dessus tout ce genre de monstre vendeur d'âme et l'idée de devoir s'offrir à l'un d'eux afin d' obtenir des tarifs préférentiels pour BIOGENIX lui donnait la nausée.

Elle détestait jusqu'à la tenue ridicule qu'elle devait porter pour ce faire. Plutôt que sa tenue de combat habituelle. On lui avait donné ordre de porter son tailleur à chemisier blanc (voir avatar) qui, mouillé par la pluie, moulait maintenant ses seins obusiers, laissant apparaitre sa peau légèrement halée et ses tétons. Cela mettait bien en valeur son absence de sous vêtements, car là aussi, on lui avait interdit le port d'un soutien gorge ou d'une petite culotte. Sa jupe noire, coupée et fendue à mi-cuisse, laissait apparaitre un porte-jarretelle élégant qui maintenait ses collants délicats sur ses jambes au galbe parfait. Enfin, sa tenue de "diplomate" se finissait par une paire de talons haut qui lui faisait mal au pieds et l’empêchait de marcher aisément sur les routes inégales des terres sauvages.

Depuis combien de temps marchait elle ? Elle avait perdu le compte et les lumières de la cité n'apparaissait toujours pas à l’horizon. C'était elle trompée de chemin ? Ce n'était pas impossible. Pour cette mission elle n'avait droit à aucun de ses pouvoirs technologiques pour passer incognito. Et dépossédés de ses senseurs et ses gps, Irina avait un bien mauvais sens de l'orientation.

Fatiguée et trempée jusqu'à la souche, la demoiselle abandonne et décide de trouver un refuge pour la nuit.
Elle quitte la route et se dirige vers la façade rocheuse qui borde le chemin. Rapidement, elle repaire une crevasse, juste assé large pour qu'elle s'y faufile sans déchirer ses vêtements. Elle se rapproche et enlève sa cape de voyage trop volumineuse pour passer, puis elle se glisse dans l'interstice.

Le spectacle et somptueux, le sol et les murs de la caverne sont couverts de champignons phosphorescents qui génèrent une lueur douce et tamisée. La grotte s'enfonce dans les entrailles de la caverne, et en dehors des grandes toiles d'araignée qui pendent ça et la et recouvrent les murs, l'endroit semble hospitalier.

Fuyant la tempête au dehors, Irina s'aventure plus loin dans les cavernes, mais contrairement à ce qu'elle croyais, l'endroit n'y est pas plus réconfortant. Au fur et à mesure qu'elle s'enfonce dans le dédale de boyaux et de grottes, elle remarque que l'air devient de plus en plus chaud et humide. Les toiles d'araignées, petit au début, deviennent de plus en plus grosse, au point que certains fils qui les composent soient épais comme des doigts. Elle continue sa progression pour trouver un endroit moins glauque et y passer la nuit, sans se rendre compte qu'elle est totalement perdue.

Soudain, elle entend comme un gémissement étouffé. Réprimant un frisson de peur, elle commence à en chercher la provenance et réalise tout à coup que le bruit vient d'au dessus de sa tête. Elle lève lentement la tête et assiste à un spectacle terrifiant.  La soie d'araignée épouse à la perfection les courbes d'une femme totalement emmaillotée dans un cocon. Son ventre est énorme et des choses gigotent à l'intérieur.

Irina pousse un hurlement d'horreur et prend la fuite dans le méandre des cavernes. Ses talons la font parfois trébucher mais elle continue de courir avec. , Un sifflement et des bruits étranges résonnent dans son dos, elle se retourne tout en continuant sa course effrénée pour voir de quoi il s'agit.. C'est alors qu'elle se prend les talons dans une souche et commence à tomber à la renverse. Mais ce n'est pas un mur que le dos d'Irina rencontre, mais une grande masse soyeuse et visqueuse dans laquelle et se prend.

Elle est prise dans une immense toile d'araignée, elle tente de tirer sur ses bras, englués en croix chrétienne, pour se libérer.

Irina - Au secours ! Aidez moi au secoure !

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Les contrées du Chaos / Re : Dongeon Keeper
« le: mardi 25 octobre 2016, 22:37:42 »
Irina maitrise les gesticulations de la femme poisson en passant une main dans sa chevelure pour l'empoigner fermement et lui tiré la tête en arrière.

Irina - Je vois que tu refuse de te soumettre... tempis pour toi... je ne peut pas prendre le risque que tu te blesse en te débattant, tu serais une bien mauvaise monture avec les nageoires coupées. Tu ne me laisse pas le choix.

La cyborg plonge la main dans sa valise et en sort un grand bandeau de cuir moulé pour épouser la forme des globes oculaires de Yesarath. La surface du cuir est gravée de runes d'un rouge sombre que la femme poisson reconnait très bien depuis qu'elle connait les démons qui s'aventurent parfois dans le Donjon. Ce sont des runes succubiques, de la magie rose, mais un penchant très noire de celle-ci. Yesarath reconnait les mots de pouvoir qui composent le sortilège qui imprègne le bandeau.

Ugoloth la rune du dévoreur d'esprit, qui dévore les souvenirs et les mots. La victime affecté oubli lentement le nom des choses et les souvenirs qui s'y rattachent. D'abord les derniers mots et visage découverts, puis les gens et les choses du commun, puis les amis, la famille, la maison, jusqu a ce que la victime oublie son propre nom.

Vasharun la rune du chuchoteur, qui suce l’intelligence et la volonté de ses victimes pour les remplacer par le vide de la stupidité.

Et enfin Vicinia la rune corruptrice, qui sali la vertu et transforme la chaire pour instiller la perversion et la nymphomanie dans le corps de ses victimes.

Irina - Il y a quelques années, j'ai été la captive d'un seigneur de guerre démoniaque dans les plus profondes strates du plan infernal. J'ai lutté pour ne pas me soumettre... jusqu'à ce qu'il m'attache à son trône et me face porter ce bandeau...

Toujours en tenant la tête de Yesarath mais sans l’empêcher de parler, elle lui passe la boucle du bandeau derrière le crâne et le serre bien fort sur ses yeux. La femme poisson se retrouve aveuglée et de petites voies commencent à chuchoter dans sa tête.

Irina - Au bout de quelques heures je ne savais déjà plus ce que j'étais venue faire là... En revanche j'étais très heureuse de sucer la bite de mon Maitre...

Alors qu'elle parle, Yesarath sent un fourmillement insupportable naitre au creux de ses reins, ses seins s'alourdissent et elle sent ses tétons pointer naturellement. Elle comprend que le masque à déjà commencé à la corrompre, et qu'elle est en train d'ovuler, soumise à un cycle de chaleurs animales.

Irina - A la fin je me souvient qu'il m'avait renommé "Ma pute favorite" et que j'étais très fier de ce nom. A cette époque mes seins et mon culs avaient tellement enflés que je ressemblait plus à une Doll in latex qu'à une femme...

Yesarath sent la chaire de ses lèvres vaginales et bucal se gorger peut à peu de sang, elle sent son clitoris sortir de lui même de sa petite protection de chaire comme une fleur qui perce la neige.

Irina - Mais je ne suis pas un monstre et je sais a quel point tout cela peut te paraitre dégradant. Alors je te propose un marché... tu trahis ta patronne et tu m'aide a piéger tes sœurs, et je t’enlève ce vilain bandeau avant qu'il ne t'ai complétement transformée en bimbo décérébrée.

10
Supéria - CA SUFFIT !!

Hurle la mutante couverte de semence et ivre de rage. Soudain les piliers qui entourent Sarah se mettent à crépiter d'énergie et génèrent une sorte de gaz jaune qui se repend dans toute la pièce. Le tentacule infecté par la witchblade retombe inerte contre le sol et Sarah se sent soudainement prise d'une faiblesse étrange et désagréable, comme si toute la force de la witchblade était drainée hors d'elle.

Les machines et les écrans de la pièce ainsi que les turbines du complexe se remettent instantanément à tourner à plein régime, alimenté par la puissance de l'artefact maudit. La policière, même aveuglée par un bandeau, comprend alors la raison d’être des piliers qui l'entourent à mesure qu'elle perd le contrôle de la witchblade.

Ce sont des pilonnes qui captent et dévorent l'énergie maléfique illimité de l'artefact, mais à tel point que celui-ci ne puisse plus être mobilisé pour autre chose comme se défendre. Elle comprend que l'usage de son pouvoir à cet instant vient de les réveiller et ainsi, de sceller sa captivité en la privant de son seul instrument de salut. Soumise à cette étrange aura drainante, elle redevient une simple femme, retenue captive et enchainée par une folle nymphomane et sadique...

Supéria - Cela fait si longtemps que tu te prend pour une déesse avec ton jouet magique, que tu en a oubliée que tu n'était qu'une simple humaine, une femelle, une chatte. Tu t'es crue propriétaire de ton corps, tu l'as gardé  bien jalousement juché sur ton piédestal. Il est temps pour toi de comprendre ta place.


La colère de l'améliorée s'est muée en une haine viscérale et profonde qui vibre dans sa voie comme le ramage d'un oiseau de mauvaise augure.

Sarah l'entend se servir sur la table et quelques instants plus tard sent la fraicheur d'une lingette alcoolisée frotter son bas ventre. Supéria ignore les gesticulations que fait probablement la policière en devinant ce qu'elle est sur le point de subir et lui enfonce avec lenteur une longue aiguille dans le bassin.

Supéria - Non ma chère, pas de drogue pour toi pour le moment... il est hors de question que tu ressente une quelconque sensation de bien être après ce que tu as fait. Non... ce sérum à un autre usage, que tu prêne la pilule ou l'implant, ou rien du tout, il va chambouler ton cycle hormonale pour te faire ovuler comme une véritable petite truie.

La pointe en biseau perce douloureusement la solide enveloppe d'une trompe de Fallope et pénètre la petite usine d'Irina pour y rependre une substance chaude. Instantanément Sarah ressent des fourmillement et des démangeaisons dans ses deux ovaires, même celui qui n'a pas reçu le sérum. Elle se sent soudain plus sensible et voluptueuse, elle sent sa libido grimper et noyer son jugement, provoquant une irrépressible envie de se faire peloter les seins avec vigueur et de se faire pénétrer. Elle sent qu'elle va ovuler et qu'elle est en chaleur.

Supéria regarde le visage de Sarah s'empourprer et savoure les mots qu'elle ne manque surement pas de lui dire. La policière l'entend recommencer son trifouillage infernal sur sa table de travail et d'étranges bruits de raclement sur le sol et se succion. Soudain le bandeau sur ses yeux se soulève. La scientifique folle relève d'une main le bandeau de Sarah pour lui montrer ce qu'elle tient dans l'autre.

Supéria - Regarde ma chérie... tu vas devenir une vrai femme...

Dans son autre main Supéria exhibe fièrement une énorme pipette à insémination, une sorte de god si long qu'il peut venir toucher le fond d'un utérus et terminé par une grosse poire. Au travers du plastique transparent de la pipette, Sarah voit le sperme qui quelques instants plus tôt inondait sa vessie, Supéria l'a raclé à même le sol pour en gonfler l'objet. Mais maintenant qu'elle le voit de si près, la policière remarque que ce n'est pas n'importe quel sperme. Il est plus épais et visqueux que celui d'un humain, avec des nuances jaunes et des milliers de larves semblent gigoter à l'intérieur.  C 'est le sperme d'un reproducteur formien... Et le bandeau retombe sur les yeux de Sarah pour la replonger dans le noir.

Supéria - Tu es prête à devenir maman ma belle rebelle ? Ne t'inquiete pas, avec ce sperme la tu n'auras pas à attendre des mois pour avoir ce plaisir... en quelques jours tu seras une merveilleuse pondeuse.

Et sans tenir compte des réactions de Sara, Supéria la fait tourner pour avoir acces à sa vulve et commence à la masser pour lui détendre le col de l'utérus, profitant du fait que le sérum donne à la capture d'irrépressibles envies d'accouplement. Elle la masturbe de plus en plus fort et de plus en plus profondément, elle s'affaire avec une dextérité extraordinaire pour faire venir sa captive.
Quand elle commence à sentir monter l'orgasme en elle, elle redouble d'effort et vient masturber son clitoris pendant qu'elle appuie le bout de la pipette contre sa vulve.

Quand enfin elle la sent jouir, Supéria enfonce sans ménagement la pipette dans le vagin de Sarah et continue jusqu’à ce que le bout en forme de biseau vienne ouvrir le col de son utérus. Elle pousse alors plus fort pour enfoncer le god creux jusqu’à ce que ne dépasse que la poire. L'améliorée pose une main sur la chevelure de Sarah et la lui caresse cruellement pendant qu'elle empoigne la poire pleine de sperme formien. Puis elle commence à la presser lentement pour inséminer la policière.

Sarah sent la semence grouillante de formien se rependre dans son utérus et le remplir. Il est froid et visqueux et elle peut presque sentir son odeur nauséabonde. Mais surtout elle sent gigoter dans son ventre les centaines de petits organismes.

Supéria - Voiiiii... (elle fini de presser la poire, un peu de sperme gicle entre les interstices de sa vulve) laaaaaa... Fini l'adolescence mademoiselle Pezzini, vous êtes désormais enceinte.

Elle retire lentement la pipette pour que son utérus ne perde rien de sa précieuse cargaison et prend un god de bon diamètre qu'elle lui enfonce dans le vagin comme un bouchon. Elle le branche à un secteur et il se met instantanément à vibrer vigoureusement en elle. Elle prend un autre god vibrant du même diamètre et le lubrifie sur sa vulve avant de le lui enfoncer dans l'anus.

Supéria - Te retenir de pisser pendant quelques minutes t'a parue douloureux n'es ce pas ? ça t'a fait du bien quand tu t'es lâchée sur moi...

Elle prend un petit god en forme de vice qu'elle lui sincère à nouveau dans l'urètre en le faisant tourner. Une fois qu'il est bien enfoncé elle le branche à un globe de verre. Sarah entend Supéria pousser un petit soupire de soulagement et sent à nouveau sa vessie se remplir, mais d'un liquide chaud et acide.

Supéria - Tu crois que c'est fini ? Non ma belle, maintenant je vais violer tes sens.

Supéria referme sa main sur la chevelure de Sarah et la relève en arrière pour avoir acces à tout son visage. Elle emprisonne la mâchoire de la belle italienne entre ses doigts et presse pour l'obliger à l'ouvrir. Puis elle lui passe une boule de bâillon énorme dans la bouche et la lui sert derrière la tête avec brutalité

Supéria - Tu n'a plus besoin de parler maintenant. Tu va pondre et te faire baiser, si j'ai envis de te faire sucer quelque chose ou quelqu'un je te sonnerai.  

Puis elle se saisie du jeu de ballons à bouchons et les enfonce dans les narines de Sarah jusqu’à ce qu'elle comble les sinus. A l'aide d'une seringue, elle les gonfle et leur volume peuple instantanément les cavités nasales de Sarah qui perd totalement le sens olfactif et du gout.

Supéria - Une humaine normal privé de ses sens commence à avoir des hallucinations au bout de 45 minutes, elle commence à hurler de souffrance à cause du manque de sensation au bout de quelques heures. Elle devient complétement folle au bout de 5 jours.

Elle commence à lui enfoncer un petit ballon dans l'oreille droite.

Supéria - Toi tu auras une seule planche de salut... le plaisir, le sexe, la sensation d'être enceinte de larves formiennes. Tu vas donc y rester un peu plus. Jusqu'a maintenant je n'ai jamais vue une femme résister plus de sept jours à ce traitement avant de devenir une bonne petite salope... On ce retrouve dans huit du coup puis ce que tu es si forte...

Elle lui met l'autre ballon dans l'oreille gauche et les gonfle. Sarah se trouve totalement coupée du monde. Elle n'entend plus rien, ne vois plus rien, n'entend plus rien, elle est dans le néant total et seul le plaisir et la douleur des sévices sexuelle qu'elle est en train de subir lui rappel qu'elle est vivante. Totalement livrée à ses pulsions, le sérum continue d'enflammer ses ovaires et de la faire sombrer dans des chaleurs insupportables.

Les minutes commencent à défiler et son besoin de sensation deviens tellement intense, que quand elle sent les tentacules venir se poser sur sa peau pour changer sa position sur le harnais pour l'attacher differament, quand elle sent qu'on lui pince violemment le téton ou qu'on lui prend la gorge dans un puissant étau de fer, elle le ressent comme du plaisir. Enfin elle sent qu'on enferme ses mains dans des moufles en cuir pour l’empêcher de ressentir le toucher.

Supéria - A dans huit jours Maman Pezzini... nous aurons peut etre une première porté pour notre prochaine discutions...

Mais sarah ne l'entend pas, comme elle n'entend pas le bruit de ses talons qui claquent sur le sol et qui s'éloigne, l'abandonnant à son triste sort. Huits jours de plaisir, de souffrance, de folie, de gestation...

---

Supéria est de bonne humeur ce matin.
Cela fait huit jours et les scientifiques qui s'assurent des opérations dans la prison de Sarah lui on venté ses méthodes et l'évolution positive qu'elles ont eu sur Sarah. L'heure est enfin venue de voir comment va sa préférée.
Elle entre dans la salle au colonnes et admire son œuvre. Le corps de Sarah est couvert de sueur et ses beaux cheveux toujours parfaitement coiffés pendant en épaisses mèches grace sur ses épaules voutés par l’épuisement. Elle n'a pas dormis pendant tout ce temps, l'équipe scientifique y a veillé, comme elle a veillé à sa nutrition en passant un tuyau par le bâillon boule pour la nourrir d'un fluide totalement insipide.

Enfin son ventre forme désormais une belle bosse comme si elle était enceinte de huits mois, des formes serpentines y gigotent lentement.  Une autre bosse orne les reins de Sarah, celle formée par sa vessie totalement distendue...

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Supéria - Bien... Retirez lui uniquement le bailon boule et les bouchons d'oreille. Il faut que je vois si elle a encore besoin d'une petite semaine de cette thérapie pour devenir gentille...

Les serviteurs s'exécutent et libèrent les oreilles et la bouche de Sarah.

Supéria - Bonjour petite pute, comment va ma nouvelle esclave ce matin ?[/b]

11
Irina ne se rappel pas avoir connu plus cruelle maitresse que cette jeune femme. Quand elle prend un coup de pied dans le ventre, elle ne peut que tomber sur le coté et tenter de ramper sur son ventre bouffi d'eau en gémissant.

Elle sent sa tortionnaire s'emparer du tuyau et tirer dessus. Dans un grand cris de soulagement, Irina laisse retomber sa tête contre le sol et en lèche involontairement les aspérités de sa langue impudique. Mais avant que le liquide ne se déverse de son anus martyrisé, elle sent un objet énorme pénétrer de nouveau son muscle totalement distendu et arrêter le flot.

Irina - Nannnn OOOOOO !!! Non par pitié...

Léone vient de lui enfoncer un god en guise de bouchon et le fixe bien à l’intérieur avec du ruban adhésif noir en vinil. Cela lui fait une jolie croix sur le cul, avec une bosse remuante la ou le sexe toy sous pression essai de sortir.

Puis elle reprend le tuyau et presse contre la bouche d'Irina, la jeune cyborg reconnait l'odeur de ses propres sucs et devine d'où est sorti cet embout. Elle détourne le visage d'un air dégouté en serrant les lèvres.

Irina - Haaaaaaaaa !

Une tension électrique insupportable serpente de son  cerveau pour irradier ses intestins gorgés d'eau. Tout le corps d'Irina se contracte intensément, ses seins obusiers rebondissent sur son ventre énorme.

Quand Léona presse ànouveau le tuyau contre la bouche d'Irina, celle-ci baisse la tête d'un aire résigné et elle ne lutte pas quand le goulot pénètre sa bouche et s'enfonce dans sa gorge.

Irina - Gluu...

Elle ferme ses poings liés dans le dos et essai maladroitement de tirer sur les courroies qui lui écrasent les bras. Mais elle reste prisonnière du bon vouloir de la cliente.

Léona - Tu ressemble à une énorme cochonne comme ça ! Je devrais peut être te balancer dans un enclos avec d'autre porc personne ne verras la différence ! Mais je suis sure qu'ont peut encore te faire gonfler un peu ! Alors soit gentille et n'entrave pas mon plaisir de voir ton corps se noyer d'eau... Ou la douleur que je serais capable de te procurer par vengeance serait infâme...

Irina l'entend se déplacer à nouveau vers le robinet.

Irina - NNNN ! mmmm ! mm NNn !

Elle gémit pour la supplier de ne pas faire ça, mais le tuyau dans sa gorge est un bandeau efficace. Elle entend le bruit du robinet qui se tourne et de l'eau qui afflue, elle se met à gesticuler et ses mains a se crisper dans le vide.

Irina - Nnnnnn ! nnnnn ! nGLP !

La première gorgée d'eau déforme la trachée d'Irina et vient remplir son estomac. La belle blonde se raidit et s'immobilise. 0 cet instant elle est à genou, appuyée sur son énorme ventre gonflé, les bras attachés dans le dos et le visage levé vers le ciel alors que le tuyau se tend entre ses lèvres.

Irina - Glp...Glp...Glp...Glp...Glp...

Les bruits de déglutitions d'Irina emplissent les oreilles de Léona qui admire sa ravissante gorge se bosser au passage de chaque rasade. Une nouvelle bosse commence à naitre, entre la poitrine et le ventre distendu de la belle. Entre chaque déglutition, Irina se cambre et sursaute en gémissant, mais la déglutition suivante la cloue à nouveau de douleur.

Quand Léona lui enlève le bandeau, elle découvre les yeux exorbités d'Irina, rendus fous par la terreur et la souffrance. Quand son regard se pose sur elle, Irina lui lance un regard suppliant et désespéré.

Léona - Tu vois, ça passe encore ! Je sent que ton ventre pousse contre mon pied, c'est qu'il y a encore de la place. Et pour ta gouverne, au passage, je me fiche que sois retenue ici contre ton grès, et je n'irais pas prévenir les autorités même quand j'en aurais terminé avec toi ! Ce serait une insulte envers ceux qui te détiennent et qui me permettent de vivre ce si délicieux moment !

Un bruit de craquement résonne, les boutons de chemise et les fermeture éclaires de son uniforme viennent d'éclater, déchirant sa jupe qui glisse entre ses jambes et ouvre son chemisier pour faire sortir sa somptueuse poitrine. La cliente peut remarquer qu'elle ne porte aucun sous vêtements.

L'eau se met alors à jaillir de son nez. Et quand Léona le lui pince, il gonfle alors sa gorge, puis ses joues, puis il commence à remonter le long de ses canaux lacrimaux. Les yeux d'Irina se révulse et elle se met à pleurer l'eau qui l'emplie.

Quand l'eau s’arrête enfin, le ventre d'Irina est maintenant composé d'une monstrueuse bosse qui remonte jusqu'à ses cotes. L'eau a pris tellement de place qu'elle a commencé à passer sous son sternum pour lui comprimer les poumons, donnant à la belle captive un teint de peau magenta parcouru de veines saillantes et bleues. Elle ne peut plus respirer qu'a grand peine, luttant de toute ses forces pour libérer son diaphragme de la pression. Elle reste ainsi sans bouger, totalement prostrée, quand Léona lui enleve le tuyau de la gorge, elle ne trouve même pas la force de vomir, et la tortionnaire en profite pour condamner la bouche avec un autre morceau de ruban adhésif noir.

Léona - 8... peut être même 9... ça risque d'être épuisant quand tu va devoir tout évacuer par la voix naturelle ! ah ah !

Les yeux écarquillés et fixé dans l'horreur vers le plafond de la pièce, Irina n'arrive pas à lui signifier son refus. Elle se contente de respirer lentement, ses seins rebondissent doucement pendant que sa poitrine se gonfle difficilement d'air.

Léona pose alors son pied sur le ventre distandu de la belle et le presse impitoyablement.

Irina - MMMMMMMMM !

Le ventre d'Irina fait le bruit d'une autre d'eau bien pleine et se couvre de nouvelles vergetures et veines qui saillent autour de ses seins et de son  nombril. La cyborg reste prostrée dans sa position de souffrance, elle sent que Léona lui passe une laisse autour du coup, elle sent qu'elle la déguise en chienne lubrique et stupide. Mais elle souffre trop pour résister, honteuse, elle secoue la tête et baisse le regard en sanglotant.

Léona - Un peu grosse pour une chienne... Tu va voir besoin de beaucoup d'exercice.Aller, faisons un tours dans le couloir jusqu'à ce que tu ne puisse même plus tenir sur tes quatre pattes !

Irina - Nnnn ! nnnnnn !

Mais les suppliques d'Irina ne servent à rien. Sa maitresse tire sur la chaine et la grosse chienne commence à ramper sur son ventre qui se contracte et s'écrase contre le sol à chaque genou qu'elle met devant l'autre. A chaque pas, le god profondément enfoncé dans son cul ressort sous la pression de l'eau et se renfonce plus encore, arrachant à Irina de fulgurant et honteux orgasmes qui la fond se tortiller comme une folle nymphomane. Mais a chaque fois le pied de Léone vient frapper l'outre monstrueuse de son ventre pour l'obliger à avancer, et bientôt c'est une véritable trainée de cyprine qui coule entre les cuisses d'Irina et lubrifie le sol sur son passage.

Quand Léona ouvre la porte et emprunte un couloir au hasard pour promener sa chienne, Irina essai de luter, refusant d'etre vue dans cet état par tout les gens qu peuplent le complexe souterrain. Mais encore une fois sa maitresse se montre brutale et intransigeante et l'oblige à avancer.

Irina, rouge de honte, baisse le regard et essai de mettre la tête entre les épaules alors qu'elle se dandine douloureusement de couloir en couloir. Sur leur passage, hommes et femme la regard parfois amusés, parfois surpris mais toujours excités. Un des hommes s'arrête même pour féliciter Léona pour réussir à dresser cette petite pinbèche d'Irina et avoue n'avoir jamais réussi à l'avoir lui. Il lui demande si elle serait capable d'obliger Irina à le baiser.

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Les landes dévastées / Re : Une aube rouge pour les Hommes... [Irina]
« le: lundi 24 octobre 2016, 19:42:18 »
La belle cyborg a un haut le cœur en s'imaginant ainsi exhibée à la vue de toutes ces misérables créatures, attachée, aveugle et vulnérable. Comme alléchés par son dégoût, les démons inférieurs et stupides finissent par craquer. Faisant fis des menaces de leur maître, ils se jettent finalement sur elle.
 
Irina - Nan !
 
Crit-elle de sa voix cassée.
 
Elle serre les cuisses de toutes ses forces en poussant un gémissement d'effort. Mais les créatures purulentes sont trop nombreuses, et leur désir trop grand. Après quelques secondes de lutte, ses jambes commencent à s'écarter sous la poigne des bêtes, révélant sa petite toison rasée de près et sa vulve délicate. Son facteur de régénération a déjà fait son œuvre, sa féminité est à nouveau ferme et fraîche comme au premier jour.
 
A la vue de ce spectacle, les créatures grognent de désir. Le plus téméraire d'entre eux se fraie un passage entre ses hanches en dandinant ses grosses hanches porcines et fini de lui écarter les cuisses pour venir frotter sa queue boursouflée contre les lèvres de la jeune femme.
 
Irina - Nan...
 
Elle l'entend cracher sur ses mains et sent l'odeur infâme de sa salive glaireuse alors qu'il lubrifie son membre pour la pénétrer plus facilement.
L'idée de recevoir son membre dégouttant recouvert de sa bave putride lui donne envi de vomir.
 
Irina - Pas ça nan...
 
Elle sent son énorme gland poisseux forcer contre ses lèvres serrées. La glue brulante dont il a enduit sa verge lubrifie la chatte de la jeune femme et la fait s'ouvrir lentement contre sa volonté.
 
Irina - N...Hoooo... Nan... N...  AN !
 
Le bout de sa verge vient d'écarter violemment la porte de ses lèvres et commence à s'enfoncer en elle, la souillant des immondices qui
recouvrent sa peau de ses long vas et viens. Mais Irina n'a pas le temps de crier encore ou de subir d'avantage la douleur de cet assaut brutal et répugnant. Des hurlements retentissent et elle sent le membre du démon s'extirper de son intimité, elle pousse un râle de soulagement. Mais celui ci est de courte durée, elle reconnaît le pas lourd d'un lieutenant de Malk, elle reconnaît cette démarche, elle reconnaît cette odeur, et pire que tout, elle reconnaît sa voie…

- Tu pensais t'en tirer si facilement salle petite chienne ?

C'est Gran, le général qu'elle à défait et estropiée lors de sa première embuscade. Le démon supérieur dont elle à blessé l'orgueil en l'épargnant pour le renvoyer chez son maître la queue entre les jambes. Celui-la même qui se tient désormais devant elle, empli d'une implacable fureur vengeresse. Irina se met à trembler de peur.

- Je sais ce que le Maître te réserve… je sais qu'il veux faire de toi sa nouvelle petite pute guerrière qui mènera ses guerriers à la bataille a ma place !

Le silence ce fait, Irina tremble de plus en plus fort.

- Je ne vais pas lui offrir cette chance, tu es à moi maintenant, je vais te faire payer pour mon bras...

Le poing du général enfonce son poing dans l'abdomen de la cyborg et le presse jusqu'à ce qu'elle suffoque et perde connaissance.

Elle ne sait combien de temps elle à dormi, quelques minutes ? Quelques heures ? Elle l'ignore, Tout ce qu'elle sait c'est qu'on l'a déplacée. Il fait beaucoup plus froid... et elle est attachée sur le dos à une sorte de table en fer froid, les bras et les jambes en étoile.  Elle ressent des picotement et des fourmillement insupportable et étranges dans ses molets et ses pieds, ainsi que dans ses avant bras et ses mains, probablement à cause des liens trop serrés.
 
Il n'y a presque plus aucun bruit, l'esprit de la cyborg hurle de ne plus pouvoir se repérer à son ouïe, faute de pouvoir jouir de la vue. Elle reconnaît parfaitement l'odeur, l'odeur du sexe et du sang, celui de jeunes femmes, le seul son qui lui parvient est le gémissement des pauvres âmes qu'elle à devinée en humant l'air. Soudain, elle entend un cliqueti derrière sa tête, on lui enlève son bandeau. La lueur des torches lui brûle les yeux, la douleur est intense mais le bonheur de voir de nouveau est plus fort. Elle voudrait crier merci mais se ravise en découvrant que son bienfaiteur n'est autre que Gran lui-même.

Il se tient en face d'elle, le regard cruel et vicieux, incapable malgré sa colère de ne pas baver de désir devant la beauté de son esclave. Elle détache son regard de celui du démon et constate qu'elle est enchaînée à une sorte de table de boucher en fer blanc. Ses chevilles et ses poignets son cerclées de boucle en fer qui mordent sa chaire et la tienne au socle. Mais ce sont surtout les garrots de cuir qui retiennent son attention et lui font écarquiller les yeux d'horreur. Ils sont sanglés juste au dessus de chacun de ses genou et coudes. C'est de la que lui viennent ces picotement et ses sensation désagréables dans les pieds, les mains, les molets et les avant bras ! Les garrots coupent totalement la circulation du sang dans l'extrémité de ses membres qui on gonflés et on pris une couleur bleuté. Irina comprend soudain pourquoi sa chaire la démange à cet endroit...
 
Irina - Mais … qu'es ce qu…

La poigne de Gran se ferme sur les mâchoire d'Irina et presse avec violence jusqu'à ce que sa bouche s'ouvre comme celle d'un poisson sorti de l'eau.

Gran - Non misérable pute… tu n'es pas faite pour parler… Ta bouche ne sert qu'a sucer et hurler… Et ne te réjouit pas trop vite pour le bandeau, je te le remettrais bien assé tot. Mais pour l'heure, je veux que tu vois… tout ce que je vais te faire.

Mais le démon en s'arrête pas la. Il se détourne et révèle un établi d'une propreté irréprochable, couvertes de divers instrument de torture et de chirurgie.

Gran – Surprise ? Tu pensais que nous n'avions qu'une panoplie de vieux outils de boucher ? J'ai déjà visité ton monde et j'y ai trouvé le meilleur… Le Maître de la montagne veux te casser et t'envoyer sur ses champs de bataille… mais tu ne le mérite pas… tu n'est qu'une pute à saillir… comme Genal, et après ça, il sera bien obligée de t'utiliser comme tel.


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Les contrées du Chaos / Re : Dongeon Keeper
« le: lundi 24 octobre 2016, 19:31:51 »
Un rire délicat et cristallin résonne dans la caverne au moment où le camouflage optique d'Irina tombe et révèle sa beauté glaciale.

Irina - Te tuer ? Non... Ne t'en fais pas pour le poison, il fera effet aussi longtemps qu'il le faudra. D'ailleur à ce propos...

Irina donne un coup de pied dédaigneux dans le bidon de toxine qui vient rouler au dessus du corps de Yesarath. Le fond du récipiant se déverse et forme une petite flaque autour du corps de la Gardienne. En contact avec le produit pure, elle se sent soudain faiblir au point de n'avoir pas plus de force qu'une simple humaine.

Irina - Bien, maintenant au travaille ma belle...

Dit elle en ouvrant sa valise. La cyborg en sort deux pinces en métal chromé reliées à une petite, mais épaisse barre de fer. Elle pose son pied contre le dos de la gardienne pour lui appuyer la poitrine contre le sol et la chevauche pour venir s’assoir sur ses reins.

Irina - Bien... tu feras une superbe monture... et confortable qui plus est...

Ajoute t'elle en caressant la courbe écailleuse des fesses de Yesarath. Puis elle découpe le filet dans le dos de la captive et attrape ses avants bras. La poigne de fer d'Irina est implacable, et la femme poisson n'a aucune chance de lui échapper. Irina passe une pince à chacun de ses avants bras et plaque la barre de fer contre son dos. Yesarath se retrouve immobilisée les bras le long du corps, légèrement ramenés en arrière.

Irina lui passe alors un collier de cuir autour du cou et le sert jusqu'à ce que la gardienne ai du mal à respirer. Elle passe une chainette dans l'anneau de nuque et la tire jusqu'à la barre de fer dans son dos, lui obligeant ainsi à relever la poitrine et légèrement l'arquer en arrière comme un cheval de course.

Irina - Bien... Tu es prête à obéir maintenant ? Tu veux dire un dernier mot avant que...

Irina laisse pendre devant le regard de Yesarath un bâillon en forme de more d'équitation.

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Ainsi aveuglé, le jeune abyssien cesse de luter et se met à exécuter les ordres de la mutante avec dévotion, comme si en lui posant ce bandeau sur les yeux elle avait éteint sa volonté. Tigrina exulte de voir son nouvel esclave devenir docile et obéissant. Elle le se met à le frotter contre lui comme une chatte en chaleur et ronronne contre son corps. Pour ajouter à la panoplie du parfait jouet sexuel et l'humilier pour lui faire payer toutes ces années de lute et de fuite, elle utilise ses tentacules pour se saisir de nouvelles courroies en cuir qu'elle lui passe autour de la poitrine pour lier ses bras derrière son dos. Les deux bandes ceinturent son torse au dessus et en dessous de ses seins.

Puis elle en prend deux autres et s'en sert pour joindre son tibias gauche à sa cuisse gauche, puis son tibias droit à sa cuisse droite. Ainsi soumis et réduit à l'impuissance, elle se retrouve libre de ses mains et de ses tentacules pour faire tout ce qui lui passe par la tête.

Elle lui lèche à nouveau le visage. Ludya sent qu'un des tentacules de sa Maitresse s'enroule autour de sa queue et l'entoure complètement pendant qu'un autre s'enroule autour de la base de ses testicules.
Les doigts gracieux et experts de Tigrina se posent alors sur les tétons de Ludya pour les humecter avec de la salive. Elle les masturbe quelques instants et les prend entre les doigts quand il se mettent à pointer.

Tigrina - Là... et là... je te percerait les tétons et j'y passerait deux beaux anneaux d'argent pour te tenir en laisse... Tu es d'accord ?

Et sans attendre sa réponse, elle recommence à le sodomiser profondément en même temps que ses doigts branlent ses tétons et qu'un de ses tentacules se contracte et bouge autour de la queue du captif pour le faire jouir. Mais à chaque fois qu'il est sur le point de venir, le tentacule autour de ses testicules se contracte et empêche sa semence de sortir.

La tête du tentacule qui enserre le pénis de Ludya serpente jusqu'à son gland et le décalotte pour venir en lécher les ailettes.

Tigrina - Et si tu es sage je t'en offrirai un ici aussi hihi... On va jouer à un jeu... si tu réussi à te retenir et ne pas jouir je te laisse choisir si tu en veux un ou plusieurs, ou aucun. Mais si tu craque et que tu jouis... alors je partirais du principe que tu t'es offert tout entier à moi et je t'équiperais comme j'en ai envi...

Finit elle en desserrant l'étreinte autour de ses testicules tout en continuant de s'enfoncer en lui tout en masturbant sa queue et ses tétons.

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Les alentours de la ville / Re : En quête de l'ultime soumise ( Sujet 2501 )
« le: dimanche 23 octobre 2016, 16:52:13 »
Quand le directeur lui avait dit que son nouveau client était une cliente, Irina s'était d'abord détendue. Après tout, une femme ne pouvait pas lui faire tout le mal que les hommes lui faisaient et elles étaient généralement plus douce. Qui plus est, l'avantage des rapports lesbiens était qu'elle n'était pas obligé de subir la souillure de leur corps répugnant qui rentrait en elle pour cracher leur semence nauséabonde. Non, Irina était rassurée, presque satisfaite, si tout ceci n'était pas un viol perpétuel de son corps et de son esprit contraint et malmené par ses implants cérébraux.

La nouvelle cliente la voulait en tenue, ce qui rassurait aussi la belle blonde, sans doute louait elle ses services pour mener un traque au dehors sans qu'elle n'ait a subir de nouveaux sévices sexuels. Irina s'était donc  rendue confiante à la chambre 9, libérée de la peur de devoir encore servir de jouet pour un quelconque détraqué.

Une fois la porte passé, le tableau qu'elle s'était fait commença à changer. La chambre était équipé comme les autres, de tout les instruments de plaisir et de torture imaginable, mais l'un d'entre eux avait été sorti pour l'occasion...
Un des employé de la firme se tenait devant elle avec un jeu de sangles et de courroies en cuir noir.

Employé - La cliente te veux attachée, vient ici, ferme la porte et agenouille toi face à la porte.

Irina sert les dent et les poings, elle ne savait plus quoi penser. La cliente avait elle peur d'elle ? Voulait elle jouer avec elle avant de l'envoyer en mission ? Si oui, pourquoi n'avait elle pas demandée qu'elle soit dévêtue ?

Employé - J'ai dit ! Avance toi, ferme la porte et t'agenouiller face à la porte !

L'ordre était impératif et tonitruant, la cyborg essai de lutter quelques instants mais ses implants commencent à s'activer et a modifier la chimie de son cerveau pour la rendre plus docile. Au bout de quelques secondes de combat intérieure, elle obéit aux ordres de l'employé et vient se positionner dos à lui. Il lui lie alors les poignets et les bras avant de descendre lui lier les jambes et les mollets à une puissante barre d'acier.

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Irina essai de tirer sur ses liens pour se libérer, mais ils sont solidement arnachés. Enfin, l'employé vient placer la petite touche personnelle de BIOGENIX que la jeune femme hait par dessus tout: un bandeau, fin mais qui épouse parfaitement les yeux d'Irina pour la plonger dans le noir total. Elle l'entend partir et fermer la porte derrière lui, elle commence alors à se débattre et a tester chaque nœuds de ses liens, mais aucun ne cède. Au bout d'interminables minutes, des bruits de pas résonnent et la porte s'ouvre.

Irina entend alors une voie belle et séduisante, qui prononce des paroles qui lui glacent le sang.

Leona - Oh alors c'est elle... je suis agréablement surprise, très agréablement surprise même ! C'est la première fois que je vais réduire à néant une femme plus âgée que moi... et d'une telle beauté en plus ! Je devrais peut-être profiter de cette belle image avant que son visage ne soit qu'une déformation de douleur et de grimace face aux supplices !

"Réduire à néant" , "déformation de douleur" , "supplices", elle qui pensait que sa nouvelle cliente serait surement gentille...
Chacun de ses mots bouleverse Irina et font monter une peur panique. Elle recommence à se débattre en gémissant.

Irina - Non... attendez... s'il vous plaie... je ne suis pas consentante... je suis retenue ici contre ma volonté... aidez moi.

Courtier - Silence Irina, excusez la Madame, nous l'avons choisit parce qu'elle était récalcitrante et que nous pensions que cela vous plairait beaucoup. Par souci de confidentialité, nous lui mettons un bandeau sur les yeux mais vous êtes libre de le lui enlever quand bon vous semble. Si vous désirez lui faire oublier votre visage, il vous suffira d'aller en laboratoire pour lui faire un lavage de cerveau. Je vous laisse prendre vos aises, n'hésitez pas à réclamer tout ce qu'il vous plaira en utilisant les interphones. C'est d’ailler la démarche à suivre si vous désirez faire usage d'un animal vivant pour vos jeux. Bonne journée Madame.

Pendant que Leona contourne Irina et s'installe confortablement sur le lit derrière elle, le courtier sort et ferme la porte derrière eux, les laissant seules. Immédiatement, Irina en profite pour tenter d'engager une discutions.

Irina - Attendez... s'il vous plaie... je vous en supplie aidez moi... je suis prisonnière ici... je... qu'es ce que... Qu'es ce que vous faite ? Non... pas ça...

La cyborg sent que Léona lui dégage la nuque de son opulente chevelure et cherche ses prises du boit des doigts.

Irina - Attendez... non je...

Léona vient d'enfoncer les prises dans la nuque d'Irina, la tête de celle-ci remonte légèrement et se met à toiser le vide du plafond, la bouche demie ouverte. Elle ne dit plus rien, l'esprit bloqué par l'interface qui se déroule sous les yeux de la cliente de BIOGENIX.

Leona - Voyons voir... Oh il y a tant de réglage intéressant... mhhh c'est difficile de choisir... je ne vais pas toucher tout de suite à ta personnalité nous avons tout notre temps... mhh... Oh tiens, des décharge électriques... et réglons là sur ce paramètre... voila !

Elle pianote sur le petit ordinateur et donne un ordre simple aux implants cérébraux de la cyborg. Toute à son affaire, la jeune cliente en oublie totalement que le courtier est déjà parti depuis quelques instants.

Leona - Je pense que j'ai compris comment ça marche, vous pouvez nous laisser, je vous remercie pour toutes ces explications.

Elle débranche les câbles de la nuque d'Irina qui reprend connaissance.

Irina - Pitié... pitié... libérez moi...

Mais sa Maitresse reste sourde à ses misérables supplications et continue.

Leona - Quant à toi ma belle poupée de chiffon, je vais procéder à un petit teste pour m'assurer que BIOGENIX ne sont pas des escroc. On m'as promit que tu serais d'une résistance à toute épreuves alors je veux le voir de mes propres yeux.

Irina - Que... qu'es ce que vous allez me faire ?

La cyborg, tremblante de peur, entend Leona se lever et partir ouvrir une armoire de matériel. Elle délie ses chevilles de la barre pour la faire basculer en avant. Ses mollets, toujours attachés à ses cuisses, l'obligent à se tenir sur ses genou, le visage contre le sol.
Puis Leone prend le tuyau et pousse le bout sur le muscle délicat de son anus.

Irina - Que ? Qu'es ce que c'est... att.. attendHAA !

Elle sursaute et pousse un petit cris de douleur au moment ou le bout s'enfonce entre ses fesses et lisse la belle auréole de son cul. Elle commence à se débattre mais une décharge soudaine la fait hurler et elle se cambre contre le sol.

Leona - Mais ne t'en fais pas ce n'est rien qu'un petit test tout simple. Je vais juste te remplir d'eau comme un ballon.

Irina - Nan ! Nan ! Je vous en supplie ne faite pas ça nan !

Mais encore une fois Leone ignore ses supplications et ouvre le robinet.

Leone - Il parait qu'un corps humain normalement constitué ne peut pas supporter plus de 4 litres d'eau. J'en attends donc beaucoup plus de ta part si tu es aussi résistante qu'ont me l'as fait croire.

L'eau parcoure le tuyau et commence à se déverser dans les intestins de la belle captive. Sa fraicheur les fait se contracter mais rapidement le volume augmente, et ils commencent à gonfler, à boire, à se bouffir.

Irina - Ho mon dieu non pas ça haaaaaaa...

Son ventre commence à gonfler, d'abord une petite bosse dans le bas ventre, puis elle remonte et gonfle pour lui donner le ventre d'une femme enceinte de six mois.

Irina - Stop... Stop ! Je... j'ai mal... arrêtez... pitié ! Pitié Maitresse arrêtez !

Mais rien n'y fait, et son ventre gonfle encore au point de venir toucher le sol entre ses cuisses. Très vite le ventre d'une femme enceinte de neuf mois laisse sa place à celui d'une truie qui attend une douzaines de petits et l'eau continue de couler. Irina ne parle plus, elle gémit et cris de douleur, comme si elle avait oubliée le langage des hommes.
L'eau remonte encore, faute de place et vient comprimer son diaphragme et transforme son ventre en un énorme fruit mur, ovale et gondolé sur la forme de ses intestins dilatés.

Irina - Stop ! Je ! ça passe plus je ! je vais... je vais éclater !

La peau de son ventre se strie soudainement de vergetures qui remontent jusqu'à son nombril qui jailli hors de son ventre pour former une sorte de monstrueux téton bouffi d'eau. Irina voudrait mourir, elle appel la mort de ses vœux, mais son métabolisme est trop résistant, ses facultés de régénération trop efficaces et sa chaire ne romps pas.

L'eau, alors prisonnière et sous pression, ne trouvant plus de surface à occuper, commence à pousser sur le muscle de son anus qui commence à fuir. Irina recommence à hurler à mesure que son muscle anal ramolli et se distend sous la pression. Incapable de tenir encore, le muscle complétement dilaté et se distend totalement. L'eau se met alors à jaillir de son anus pour se rependre entre ses cuisses. Elle est parfaitement propre, du fait qu'Irina ne soit que rarement nourrie naturellement.

Irina pousse un long gémissement parcouru de sanglots, son anus totalement dilaté ne se contracte plus, il laisse, inerte, passer le tuyau et l'eau qu'il déverse.

Irina - je vous en supplie libérez moi...

Dit elle en gesticulant faiblement pour se libérer de ses liens.[/b]

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