Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Arillé

Pages: [1] 2 3 ... 47
1
Prélude / Re : La connaissance est une mine de pouvoir
« le: lundi 03 décembre 2018, 22:46:51 »
Il parait que les drows boivent le sang des elfes et le remplace par du pipi.

Sinon, rebienvenue.

2
Les contrées du Chaos / Re : L'art de la domination [Arillé]
« le: lundi 03 décembre 2018, 22:43:41 »
    Suite à sa fellation plutôt mouvementé, Arillé avait l’esprit embrumé. Elle ne se rendit compte qu’après quelques instants qu’elle était en train de partager un baiser langoureux avec la princesse, et y mit du cœur à l’ouvrage. Pour une humaine, elle devait avouer que sa grâce et sa beauté s’approchait de celle de ses congénères. Elle se laissa aller le temps de ce doux moment de répit qui fut pour elle bien trop court. Déjà Alice l’avait abandonné, récupérant sa cravache et se glissant dans son dos. Un petit couinement s’échappa des lèvres de l’elfe lorsqu’elle senti la morsure du cuir sur ses fesses encore rouges.

    Ca n'était un secret pour personne, bien qu'Arillé refusait de l'avouer, mais l'elfe était une masochiste de premier ordre. Bien entendu, elle avait ses limites, comme tout le monde, mais elle appréciait particulièrement les châtiments corporels, surtout si ceux-ci étaient plus humiliants qu'autre chose. Quelques coups sur sa croupe suffisait à la mettre dans tous ses états. Ses amantes les plus intimes jouaient bien entendu avec cette facette de sa personnalité, usant de créativité pour la punir. Une fois elle dû faire le service lors d'une des soirées du harem, bâillonnée, bras liés dans le dos, et servant des rafraîchissements aux pensionnaires à l'aide d'un plateau soutenue à sa poitrine. Bien que frustrée de n'avoir pu profiter de l'orgie organisée par Tinuviel, l'elfe s'est toujours portée volontaire pour assurer le service (et toujours arrangée pour être punissable) lors des festivités.

« À quatre pattes, petite chienne ! »

    Alice venait de sortir Arillé de ses pensées. L'elfe couina en se mettant en position. Elle se doutait de ce qui allait arriver, et l'attente ne fut pas longue.Mordillant sa lèvre inférieure, elle écoutait la princesse la rabaisser au rang d'animal. Elle sentit que l'on frottait son intimité déjà détrempé, et Alice s'enfonça en elle d'un coup sec, arrachant un gémissement à la pauvre elfe. Obéissant aux ordres, Arillé aboya au rythme des ondulations d'Alice, mêlant cris, gémissements et soupirs.

« Han... mmmh... Ouaf, merci Maîtresse... Ouaf. Haaa ! »

    L'elfe s'agrippait au tapis sur lequel elles étaient, sentant sa poitrine se balancer chaque fois qu'Alice donnait un coup de hanche, s'enfonçant un peu plus loin et un peu plus brutalement. Le souffle de la princesse atteignit le dos et la nuque d'Arillé, la faisant frémir. Il y avait quelque chose de sauvage là dedans, entre les aboiements d'Arillé et Alice qui se comportait comme une véritable louve alpha.

3
Prélude / Re : Une brute errante. [Valicidé !]
« le: jeudi 23 août 2018, 00:59:28 »
C'est quoi toutes ces n'oreilles pointues? Retournez dans votre forêt-cité j'sais pas quoi!




Quoi?

(sinon bienvenue)

4
Place publique / Re : Une perle pour un harem [PV - Tinuviel]
« le: jeudi 25 janvier 2018, 22:52:30 »
[Désolé pour la réponse courte, manque d'inspiration :( ]

  Avant d’avoir le temps de dire ouf, Arillé avait la tête collée contre l’entrejambe de la terranide. Comme pour marquer son territoire, celle qui se faisait appeler Fonfon, barbouilla le visage de l’elfe avec son sexe. A cet instant, elle lui appartenait. Elle n’était qu’un vulgaire sex-toy vivant qui devait satisfaire les épouses de sa maîtresse. Régulièrement Fonfon pressait le visage de l’elfe contre sa chatte, la laissant ainsi plusieurs secondes à suffoquer contre son sexe et ne la relâchant qu’une fois satisfaite. Etait-ce une vieille habitude quant à son passif de « dresseuse de vide couilles » ? Probablement. Ce genre de petites manies avait la vie dure et pouvait ressortir de temps en temps.

  Arillé, elle ne s’en plaignait pas. Elle se sentait totalement impuissante face à cette terranide et avait lâché prise. Elle espérait par-dessus tout pouvoir ressentir le plaisir qu’elle procurait à cette femme qui lui était totalement inconnue, bien que cela n’était visiblement pas au programme. Elle prenait son mal en patience s’imaginant divers scénarios où elle finissait baisée comme la pire des chiennes, le corps marqué par les divers fluides des amantes du harem.

  Après plusieurs minutes à subir les traitements d’Arillé, Fonfon monta dans les aigües. Elle atteignit l’orgasme et laissa la pauvre elfe dans un piteux état. L’esprit brumeux, Arillé avait du mal à suivre où elle en était… Et n’eut que quelques secondes de répits avant de subir les assauts d’une autre demoiselle sans savoir de qui il s’agissait. Sans se faire prier, elle se remit au travail, à la découverte d’une nouvelle saveur.

5
Les contrées du Chaos / Re : L'art de la domination [Arillé]
« le: jeudi 25 janvier 2018, 22:37:45 »
  Arillé avait la tête qui tournait. Cet exquis mélange d’excitation et de souffrance la mettait dans tous ces états. L’Elfe avait la larme facile, surtout lors des jeux de dominations. Ses joues rouges étaient parcourues de petites trainées noires qui appartenaient à son maquillage, lui donnant un peu plus l’air d’être une pauvre demoiselle en détresse. Cela avait l’air de troubler la dominatrice en herbe. En effet Alice semblait quitter régulièrement son rôle, s’accompagnant d’une manière différente de parler ou de s’assurer que l’elfe n’avait rien. Bien qu’elle ne le montrait pas, Arillé trouvait cela pénible, comme si quelqu’un venait continuellement l’interrompre lors de l’une de ses lectures. Ca avait don de l’énervée et il était certain qu’elle lui en ferait part lors d’un débriefing.

  Pour l’heure, il lui fallait continuer son rôle. Et son rôle était de satisfaire les désirs de sa maîtresse du mieux qu’elle pouvait. Tremblante, elle s’approcha à quatre pattes du fauteuil où était Alice. Cette dernière avait enfilé un gode-ceinture et attaché un des plus gros jouets de la collection d’Arillé. A contre-cœur, elle entama une fellation sur ce gode, l’embrassant et passant sa langue, comme pour procurer du plaisir à Alice.

  Durant ses années de formation, l’elfe avait été entrainée à procurer du plaisir avec sa bouche, que ce soit sur les autres esclaves mâles et femelles de ses maîtres, ou directement sur ces derniers. Elle n’était pas la meilleure mais elle se défendait plutôt bien. Outre sa préférence pour le beau sexe (ou tout ce qui s’en rapproche) il y avait un petit détail qui la dérangeait durant les gorges profondes.

Ne pas vomir, ne pas vomir, ne pas vomir, ne pas vomir…

  Voilà à quoi elle pensait en sentant la queue factice lui passer au fond de la gorge. De plus ce gode bardé de boules lui faisait un mal de chien et l’empêchait de respirer correctement, lui faisant encore une fois monter les larmes aux yeux. Une fois satisfaite de la lubrification proposée par son esclave, Alice libéra l’elfe, la laissant langue pendante à la recherche de son souffle. Il lui restait à savoir à quelle sauce et de quelle façon elle allait se faire baiser.

6
Les contrées du Chaos / Re : L'art de la domination [Arillé]
« le: jeudi 11 janvier 2018, 12:23:53 »
  Plusieurs minutes s’écoulèrent et les bas instincts de l’elfe commençaient doucement à s’éveiller. Elle ne s’imaginait absolument pas qu’en rentrant dans sa chambre elle allait se retrouver à quatre pattes en train de lustrer les bottes d’une inconnue. S’il était aisé de deviner qu’elle était soumise ou encore masochiste, il était en revanche plus difficile de découvrir le côté fétichiste de l’elfe. Elle ne pouvait l’expliquer, mais être obligée de baiser les chaussures ou bottes de ses amantes l’excitait au plus haut point. Etait-ce le contact avec la matière devenant de plus en plus brillante ou le contexte et la situation ? Un peu des deux. Tout est-il qu’elle s’y donnait à cœur joie.
 
  Alice la menait du bout du pied, rabaissant l’elfe à l’aide de brimades et insultes. Elle n’avait pas totalement tort, ses congénères auraient honte de la voir dans un tel état. Tous les elfes n’étaient pas hautain, mais ils avaient en général une assez haute estime d’eux. Tout ce qu’ils entreprenaient était élevé au rang d’art, et pour Arillé être une esclave sexuelle était un art qu’elle maîtrisait à la perfection. Pour elle, il ne s’agissait pas d’être un sac à foutre comme on pouvait en trouver à chaque ruelle des bas-fonds de Nexus, mais plutôt de devenir l’une des plus grandes courtisanes de Terra. Être une concubine désirée par les plus grands de ce monde.

  Alice lui ordonna d’aller chercher une laisse et un fouet. L’Elfe déposa un dernier baiser sur les bottes d’Alice et se dirigea à quatre pattes vers son « coffre à jouets ». Elle remua ses fesses d’une manière provocante, incitant la princesse à fouetter ce cul tendancieux qui lui était offert. Face contre terre, et les fesses en l’air, elle était en position pour sa maîtresse.
 
 Un coup de tonnerre la fit sursauter. Le fouet venait de claquer en l’air, mais elle ne put s’empêcher de réagir. Ses fesses réagirent une nouvelle fois, les contractant un peu moins. Ce petit manège dura un certain moment, laissant l’elfe dans l’attente d’une punition qui se faisait tarder. Quand soudain, la morsure du fouet se fit sentir, et un cri de douleur.

« Là, voilà... ! Comme je te l’ai dit, ma petite catin, tu vas regretter de m’avoir renversé tout à l’heure ! Je suis sûre que ça t’a plu, en plus, de m’humilier comme ça... Moi, ta Maîtresse !
- N-Non Maîtresse ! Cette esclave n’aurait jamais osée prendre du plaisir à humilier Maîtresse ! Pitié, pardonnez cette stupide esclave, e-elle ne recommencera plus !»
 
Un autre coup frappa Arillé. Le fouet était un outil difficile à manier. S’il ne faisait pas attention, son utilisateur pouvait se blesser en tentant de le manier.

  La culotte de l’elfe se déchira sous les coups d’Alice, laissant les fesses de l’elfe exposées.  Arillé avait fondu en sanglots. Elle avait beau avoir l’habitude, ça restait tout de même douloureux. Ne voulant pas que cela s’arrête, elle tourna la tête vers sa maîtresse et lui fit signe que tout allait bien. Le maquillage d’Arillé coulait sous l’effet de ses larmes, mais elle était aux anges comme le montrait son sourire ou l’état de son entre-jambe. Invitant la princesse à continuer, elle remua doucement ses fesses zébrées, se préparant pour le prochain coup.

7
Les contrées du Chaos / Re : L'art de la domination [Arillé]
« le: lundi 08 janvier 2018, 11:41:16 »
  La situation commençait à s’éclaircir pour l’elfe, même si beaucoup de questions lui trottait encore dans la tête. Ne voulant pas rompre l’ambiance qui se mettait doucement en place, elle garda ses interrogations pour elle-même et décida de jouer le jeu. Si Arillé était une bonne soumise c’est qu’elle aimait cela, se sentir lâcher prise et être totalement impuissante pendant quelques instants. Elle était alors la pauvre demoiselle en détresse décrite dans les histoires qu’elle aimant tant. Une pauvre princesse retenue contre son grès par un dragon. En l’occurrence, une dragonne terriblement excitante.

  La princesse se dirigea vers le « coffre à jouets » d’Arillé. Il avait beau ressembler à un plateau à roulettes, il y avait tout le nécessaire pour passer un moment coquin. Cravaches, martinets et un fouet étaient pendus sur le côté par des lanières. Disposant de tiroirs, le coffre à jouets contenait aussi plusieurs godes de différentes tailles et matières, ainsi que de quelques plug dont un à queue de chat. Les autres tiroirs quant à eux, contenaient des baillons, cordes, chainettes, attaches et menottes en cuirs de couleurs unie. Tout était rangé presque religieusement et était apporté dans la chambre ou le lieu que désirait sa partenaire. L’elfe se contentait alors de l’amener, en portant la tenue adéquate au jeu qui était convenue.

  Arillé sentit un coup s’abattre sur sa joue, faisant couiner l’elfe. Le coup n’était pas spécialement fort, mais il l’avait surprise. Le jeu venait de commencer.

« Oui Maîtresse. » se contenta de répondre l’elfe.

  Si la princesse rentrait doucement dans son rôle, c’était aussi le cas pour Arillé. Il faut dire qu’elle ne s’attendait pas à recevoir une telle visite en rentrant dans sa chambre. Lyrinda avait malencontreusement « oublié » de prévenir Arillé. Elle était devenue l’une de ses souffres douleurs préférée.

  Arillé exécutait chaque ordre de la princesse, se laissant totalement faire lorsqu’elle passa la cravache sur son nez. Doucement, elle se mit à genoux, s’avançant d’une manière féline vers les pieds de la princesse. Elle déposa un baiser sur chacune des bottes, se concentrant ensuite sur le pied gauche d’Alice. L’elfe posait encore et encore ses lèvres sur le cuir, vénérant les bottes de sa maîtresse comme s’il s’agissait d’une relique divine. Elle voulait qu’elle soit convaincante ? Elle allait l’être.

  L’elfe se laissait guider par le pied d’Alice. Elle refusait d’y toucher avec ses mains, utilisant uniquement sa bouche pour le moment. Afin de prendre un peu plus d’aise, la princesse s’était assise, dominant toujours sa soumise. Le petit manège dura un certain moment avant que l’elfe ne passe à l’autre jambe. Elle débuta sa dévotion en mimant une fellation le long du talon de la princesse. Le souffle d’Arillé devenait de plus en plus lourd. Ne pouvant s’empêcher de soupirer sensuellement, elle continuait de passer ses lèvres et sa langue sur l’intégralité de la botte de la princesse.

  Les lèvres de l’elfe étaient passées sur l’intégralité des bottes d’Alice. D’instinct elle fit durer sa tache le plus longtemps possible, afin d’offrir à sa maîtresse un spectacle appréciable, tout en laissant le temps à la débutante de trouver une idée de scénario à suivre.

8
Les contrées du Chaos / Re : L'art de la domination [Arillé]
« le: dimanche 07 janvier 2018, 17:58:32 »
L’elfe était confuse, elle espérait qu’elle n’avait pas blessée cette inconnue. Elle ressemblait à une délicate poupée de porcelaine bardée de latex. Arillé se risqua à aider Alice à se relever, l’agrippant délicatement par le bras.

« Veuillez m’excuser ! Je suis confuse ! Vous allez bien ? Je ne vous ai pas fait mal ? Vous n'êtes pas blessée? »

Le débit de parole était plus que rapide. Il faut dire que le harem recevait de temps en temps des personnes influentes qui venaient retrouver leurs favorites ou bien Tinuviel elle-même. Ses doutes se confirmèrent lorsque cette inconnue se présenta. La Princesse Alice Korvander, héritière au trône de Sylvandell. Bien qu’elle ne savait pas où était situé ce royaume, il s’agissait tout de même d’une princesse, une princesse que Tinuviel aimait beaucoup si elle se référait aux bruits de couloirs. Troublée, Arillé dévisagea un long moment Alice. Une princesse, se dit-elle, vraiment ? Pourtant elle n’a ni la tenue, ni l’air d’en être une.

S’attendant à une gifle ou un coup de la part d’Alice, l’elfe fut étonnée de recevoir une douce caresse contre sa joue. Elle avait beau être habillé comme une dominatrice, Alice avait surtout l’air d’être une délicate fleur qui n’avait pas sa place dans le lieu de débauche qu’était le harem…

Le comportement d’Alice changeait au fur et à mesure. Elle essayait de se montrer de plus en plus autoritaire, prenant une grosse voix qui ne lui allait pas, donnant des ordres avec hésitation, ou encore ses joues rouges qui trahissaient son manque d’assurance.
« Je… J’en suis désolée mad… Mon… Votre… Hum… Altesse ? Puis-je faire quelque chose pour me faire pardonner ? Un rafraichissement p-peut-être ? »
Elle fit une révérence à demi, se figeant en plein mouvement.

« Vous avez dit… Etancher votre frustration ? »
Arillé se redressa, toisant un instant du regard la princesse, avant de comprendre ce qu’elle voulait dire.
« Oh veuillez m’excuser, je ne savais pas qu-que vous vouliez… Hum… P-Puis-je savoir ce que vous désirez de moi ? Souhaiteriez-vous que je porte une autre tenue ? »

Elle ne put s’empêcher de rougir, imitant Alice. Il fallait pour elle qu’elle emmagasine un maximum d’informations pour satisfaire la princesse, et elle ne pouvait s’empêcher d’imaginer divers scénarios.

9
Les contrées du Chaos / Re : L'art de la domination [Arillé]
« le: dimanche 07 janvier 2018, 14:42:28 »
  La princesse se retrouva devant une porte en bois où figurait le nom de l’elfe en question. Prenant son courage à deux mains, elle toqua et entra sans entendre de réponse. Et pour cause, Arillé n’était pour le moment pas dans sa chambre. Résidant depuis peu au harem de Tinuviel, Arillé n’avait pas encore eut le temps de personnaliser sa chambre, si ce n’est les quelques effets personnel de la demoiselle. S’étant découvert une passion pour la lecture, de nombreux livres se trouvaient dans sa bibliothèque, principalement des romans d’aventures et des récits d’explorateurs, la faisant voyager faute de pouvoir affronter seule les dangers de Terra. Sur la coiffeuse de l’elfe on pouvait voir les nombreux produits de beautés qu’elle utilisait, la plupart étant fait par Arillé elle-même, et qui dégageait une subtile odeur de rose.
 
Cependant ces petites touches de féminité ne disaient pas où était Arillé. Pour cela il faut revenir au moment où une petite blondinette frappa a une porte.

« Vous pourriez franchement défaire le lit ! C’est dégoutant, et il y a des poils partout ! » Pestait Arillé. Aujourd’hui, elle était de corvée, et devait s’occuper du linge du harem. Les différentes taches ménagères étaient réparti entre les différentes pensionnaires. Si le gros du ménage était fait grâce à des objets enchantés, il restait cependant des missions qui nécessitait la présence d’un être vivant. Arillé posa sa main sur la couette du lit et prit un air dégoutée. De tous les endroits où elle attrapa la couette, il fallut que ce soit le plus humide. Poussant un petit gémissement écœuré, elle prit son courage à deux mains et s’exécuta. Elle prit la direction de la laverie et jeta tout le linge sale dans le grand bac d’eau savonneuse.

« Une bonne chose de faites » se congratula-t-elle. Elle épousseta son uniforme de soubrette et s’aperçut avec horreur que l’attache de son porte-jarretelle était cassé.

« Zut, ça fait déjà deux cette semaine… ». Il était hors de question pour l’elfe de servir le diner dans ces conditions. L’elfe était intransigeante quant à son apparence. Tout devait avoir l’air d’être parfait chez elle et aucun détail n’était laissé au hasard. Etait-ce dût au passé d’Arillé ? Peut-être après tout, elle avait été une esclave dressée dans le but d’être désirable. Une esclave de plaisir, douée de compétences en chant et en danse, bien plus présentable qu’une simple esclave sexuelle. Si elle faisait tout ceci, ce n’était pas dans le but de rendre jalouse les autres femmes de Tinuviel, mais au contraire de se faire désirer par celles-ci. Les plus douces prenaient soin de cette créature si délicate quand les plus dominantes prenaient un malin plaisir à dégrader et humilier la masochiste qui se trouvait à leurs pieds.

  Elle pressait le pas pour retourner dans sa chambre. Fort heureusement pour elle, il y avait un nécessaire de couture dans l’un des tiroirs de sa commode. Au grand dam de l’elfe, il était fréquent qu’une des amantes de Tinuviel abime sa tenue, que ce soit en lui enlevant trop rapidement, ou en cherchant une prise le temps de partager un moment intime. Ainsi elle avait apprit elle-même à recoudre ses habits, évitant ainsi la banqueroute pour le harem.

  Elle entra dans sa chambre et bouscula la personne qui se trouvait sur le pas de la porte.

« Oh excuse-moi, je ne t’ai pas vu je ne t’ai pas fais mal ? »
 
  Alice venait de se faire rentrer dedans par une elfe. Une elfe dans une tenue de soubrette : une robe noire dont le décolleté bardé de dentelle épousait la forme de sa poitrine, une jupe à volant si courte qu’elle ne laissait aucune place à l’imagination, et offrait la vue de ses fesses, ainsi que de son entrejambe si elle venait à se pencher. Ses longues jambes ciselées, couvertes par des bas blancs qui allaient parfaitement avec les talons hauts de l’elfe. Lorsque celle-ci remarqua la tenue de l’intruse, Arillé ne pu s’empêcher de rougir et demanda timidement.

« Qu-qui êtes v-vous et que puis-je faire pour v-vous ? »

10
Place publique / Re : Une perle pour un harem [PV - Tinuviel]
« le: lundi 01 janvier 2018, 17:15:54 »
  Epuisée, tremblante, et dégoulinante de sueur, le délicieux calvaire d’Arillé était loin d’être fini. La laissant doucement reprendre ses esprits, Tinuviel parti chercher un nouvel accessoire: une laisse en cuir, assorti au collier et aux menottes de la soubrette. Etant encore dans le gaz, Arillé mit un petit moment avant de se rendre compte qu’elle était en train de se faire déshabiller. Nue, les poignets attachés dans le dos, et trainée en laisse, Tinuviel promenait tranquillement sa chienne dans les couloirs du Harem. Elles croisèrent plusieurs occupantes durant le trajet, certaines, amusées, pouffaient de rire en voyant l’elfe trainée ruisselante. D’autres ne se privèrent pas pour voler des caresses sur les fesses ou la poitrine exposée de l’elfe, quant elle ne lui donnaient pas des petites claques sur son postérieur encore rouge.

« A peine arrivée et déjà dans un tel état ? T-t-t, vilaine petite catin ! » Dit une des terranides aux oreilles de chat.

« On dirait une de ces putes qui rembourse ses clients après s’être fait baisé! » s’amusa une autre.

« Tu as une nouvelle chienne Tinuviel ? Coucou toi, coucou ! C’est qui la gentille fi-fille ? C’est qui la gentille fi-fille ? » disait-elle en ébouriffant les cheveux de l’elfe. Une étrange terranide qui, en plus d’avoir des marques tribales, avait les avant bras et le bas des jambes couvert de fourrure.

  Elle suivit les deux elfes, comme si elle savait ce qui allait se passer. Enfin, elles arrivèrent vers ce qui semblait être un lieu commun aux autres filles qui pouvaient vaquer à leurs occupations. Tous les regards se portèrent vers la nouvelle arrivante qui s’agenouilla aux pieds de sa maîtresse. Arillé, avait les joues rouges et préférait observer le sol plutôt que de croiser les autres femmes du harem.

« Les filles, cette vilaine petite chienne semble avoir un message pour vous. »

  Arillé releva doucement la tête vers l’elfe rouge, qui lui souriait.

« N’est ce pas ma belle ? Allez, vas-y dit leur. »

  La pauvre exhibitionniste regarda une à une les différentes occupantes. Autant de phares braqués sur un lapin prit au piège. Il y avait 3 terranides, celle qui avait suivit les deux elfes, une portant une élégante robe noire, et une dernière aux attributs animaliers rose qui portait une armure rouge. Enfin, une drow avait fait son apparition, qui semblait mépriser tellement Arillé qu’elle ne la regardait même pas dans les yeux. Tout ce petit monde, varié en couleurs comme en formes semblait attendre ce qu’Arillé avait de si important à dire.

« M-M-Maîtresse veut qu-que la langue d-de cette vi-vilaine… Chienne… S’occupe de… »
 
  Tinuviel fit comprendre à Arillé qu’elle devait recommencer dans un langage compréhensible et bien fort pour qu’on puisse l’entendre. Tétanisée par la peur, Arillé mit quelques secondes à trouver son courage avant de s’exprimer de façon à ce que tout le harem puisse l’entendre.

« Maîtresse veut que la langue de cette vilaine chienne s’occupe de procurer du plaisir à ses magnifiques amantes ! »

  Après un petit moment de flottement, ayant potentiellement attiré d’autres amantes, les personnes qui étaient dans la salle se dépêchèrent de faire la queue pour profiter des talents linguistiques de l’elfe. La première était une Terranide nommée Fonfon, qui n’eut pas trop de mal à se débarrasser de son pagne. Les autres, à savoir Sherufanir, Mégane et Lyrinda attendaient patiemment leur tour, jetant des regards vers l’elfe à genoux.

11
Place publique / Re : Une perle pour un harem [PV - Tinuviel]
« le: dimanche 31 décembre 2017, 18:20:59 »
Arillé était encore toute chose. Sentir cette cravache lui arracher des cris et des gémissements l’avait mise dans un état comparable à une pute des bas-fonds de Nexus, ce qui n’était pas au goût de sa Maîtresse. Cette dernière mit sa chose sur le dos. Toujours attachée et donc dans l’incapacité de se donner un quelconque plaisir, elle subissait les délicieux sévices que lui imposait l’Elfe Rouge. Ainsi elle se retrouva nez à lèvres avec l’entre-jambe de la dominatrice, cette dernière, comme pour l’humilier d’avantage, la marquait de sa cyprine avant de lui intimer l’ordre d’user sa langue.

Doucement Arillé embrassa le fruit gorgé de désir qui lui était présenté, vénérant le sexe de sa maîtresse comme s’il s’agissait de celui d’une divinité. Elle était sa servante, et ne vivait que pour honorer la déesse qui la chevauchait. Elle cherchait avant tout à prouver sa dévotion, tout en prenant son temps. Un peu trop au gout de sa Maîtresse qui la rappela à l’ordre en barbouillant sa figure de ses fluides intimes. Arillé se mit finalement au travail, léchant, lapant, aspirant et suçotant l’entrejambe de sa maîtresse. Elle y mettait tout son cœur à l’ouvrage, si bien que la blondinette était comblée. Bien sûr elle avait terriblement envie de ressentir du plaisir, sentir ne serait-ce que le bout des doigts de sa bien aimée effleurer à peine sa misérable chatte. Tinuviel avait d’autre projets, s’adonnant pour le moment à son propre plaisir, elle était en train d’écraser le visage de sa soumise, la faisait manquer d’air, mais pas assez pour la mettre en danger. Se redressant un peu, Tinuviel pouvait voir le maquillage d’Ariller couler sur sa figure, lui donnant un air de trainée, ce qui allait particulièrement bien au personnage.

Aussitôt elle se remit au travail, subissant les diverses tortures que pouvait lui infliger Tinuviel. Ce manège dura un petit moment, une éternité pour la pauvre soubrette, jusqu’à ce qu’elle arrive à faire en sorte que sa maîtresse d’abandonne à son plaisir. Barbouillant son visage une nouvelle fois, la pauvre petite chose avait encore la langue pendante et des yeux de chienne battue.

« Pitié Maîtresse, c-cette esclave n’en peut plus… P-Pourrait elle se… Se… faire d-du  bien ? » Balbutia t’elle.

  Afin de la « récompenser » (ou plutôt de la torturer un peu plus) Tinuviel exhaussa ses prières, frottant doucement la cravache contre son intimité, de quoi la faire frissonner d’avantage. Cependant, elle n’avait visiblement pas envie de lui faire plaisir. Si bien, que lorsqu’elle suppliait Tinuviel d’avoir l’autorisation de s’abandonner au plaisir, l’elfe rouge s’arrêtait tout simplement, savourant les gémissements plaintifs et les râles de sa salope. Tinuviel l’avait totalement sous son emprise pouvant la torturer à sa guise pour faire redescendre un peu la pression. Après tout, il s’agissait de sa période de bon temps, Arillé n’était qu’un jouet, elle se devait donc de tout faire pour lui faire plaisir. Ainsi continua t’elle à caresser et atteindre le septième ciel, laissant sa trainée dégoulinante être torturée. Peut-être d’avantage, car Tinuviel avait été très claire, elle était bien décidée à partager son nouveau jouet à ses compagnes. N’est-ce pas là une épouse formidable ?

12
Prélude / Re : Brisons la lignée des fragiles princesses... [Valicidée !]
« le: dimanche 31 décembre 2017, 16:13:51 »
Mais Zelda c'est pas le type avec le chapeau vert? Qui fait de la moto dans Mario Kart?

*Fuit la foule armée de fourches et de torches*

Bienvenue!

13
Place publique / Re : Une perle pour un harem [PV - Tinuviel]
« le: dimanche 31 décembre 2017, 15:59:16 »
    A peine eut-elle le temps d’admirer son travail que la soubrette se retrouva plaqué contre le lit par sa maîtresse. Elle se laissa faire lorsque sa maîtresse lui enfila les menottes en cuir, appréciant le doux mélange de douceur et de fermeté dont faisait preuve Tinuviel. Les lèvres de l’elfe rouge s’approchèrent de l’oreille d’Arillé, la mordillant sensuellement, ce qui n’arrangerait pas l’état d’excitation dans lequel se trouvait Arillé. Puis sans crier gare, Tinuviel s’éloigna de sa soumise la laissant dans cette position peu avantageuse. Tournant légèrement la tête pour épier sa maîtresse, Arillé la vit devant elle, armée d’une cravache. Posant délicatement le morceau de cuir contre son visage, l’elfe rouge se mit à tendrement lui caresser le visage.

« Regarde-toi… J’ai essayé de faire de toi une belle maid,  une charmante servante. Mais au fond, je pense que ce qui t’intéresse c’est uniquement la luxure.  Je suis sûre que tu ne rêves que d’être prise, là sur le lit n’est-ce pas ?
-   Oui Maîtresse... » répondit-elle dans une voix mêlée de honte et d’excitation.
 Ne pouvant s’empêcher de se mordiller la lèvre inférieure, Arillé observait du coin de l’œil les actions de sa maîtresse. Au fond d’elle, Arillé espérait que la porte de la chambre allait s’ouvrir, non pas pour qu’on puisse la sauver, mais pour que les femmes de Tinuviel puissent voir à quel point la nouvelle résidente n’était qu’une salope délurée qui méritait de connaître sa place. Elle fantasma dans sa tête tout un scénario pervers, imaginant que tour à tour le harem entier passerait voir les deux elfes : Arillé attachées dans diverses positions, punie pour plusieurs raisons et réduite au rang de vulgaire sac à foutre.

 Elle fut sorti de cette rêverie par un coup sec sur les fesses. Ne pouvant s’empêcher de gémir de plaisir, elle se senti un peu idiote d’avoir si tôt montré un signe de faiblesse. Tinuviel lui annonça qu’il ne s’agissait que d’un avant goût de sa punition. Dix coups de cravaches ? Elle avait connu bien pire. Soufflant un doux « Merci Maîtresse », la punition débuta. Un premier coup s’abattit sur les fesses rebondies de l’elfe. Machinalement, elle resserra ses jambes et se mise sur la pointe des pieds, relevant encore plus ses fesses. Avant que Tinuviel ne donne un second coup, un mot sorti de la bouche de la soubrette : « Un ». Sensuellement, après chaque coup reçu sur ses fesses, Arillé comptait. Usant de son qu’on lui avait appris durant son dressage, elle essayait d’exciter d’avantage sa maîtresse, gémissant régulièrement quand il ne s’agissait pas un petit cri de douleur bien audible, ou remuant doucement son postérieur comme pour l’inviter à frapper encore plus fort.

De son point de vue, Tinuviel voyait le postérieur de sa belle devenir de plus en plus rouge. Elle pouvait facilement deviner l’excitation dans laquelle était la petite chienne qui était devant elle. L’intérieur des cuisses luisant de désir.

« Merci… Maîtresse. » dit-elle une fois la punition terminée. « Pitié Maîtresse, pardonnez cette sale petite pute d’avoir eut de si vilaines pensées. » Arillé se mordillait la lèvre inférieure d’excitation, lançant un regard langoureux à sa maîtresse, l'invitant à continuer dans la débauche.

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 31 décembre 2017, 10:50:21 »
Yo

Pas d'horloge à coté, celle du téléphone cellulaire GSM de type Natel portatif indique 10h50

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Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« le: mercredi 06 juillet 2016, 13:11:28 »
Bof, juste un p'tit groupe suédois... Mais qui fait des trucs pas piqué des hannetons (oui oui, j'utilise cette expression en 2016 #JAiFaisLaGuerreDe1870).

D'ailleurs, ils ont reçu un p'tit prix aux Grammy Awards.


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