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Messages - White Rabbit

Pages: [1] 2 3 ... 9
1
Après cette première séance en sandwich, White Rabbit avait révélé la vérité à Harley. La bunny girl lui avait confié être amoureuse d’elle… Mais, vu les particularités de cette femme, la notion d’amour était sans aucun doute tout aussi particulière pour elle. En tout cas, ce qui était sûr, c’est que la Lapine appréciait beaucoup la belle Harley, ce que cette première séance de sexe avait montré. En faisant l’amour avec Harley, White Rabbit avait pu confirmer ce qu’elle avait vu dans son esprit. Un esprit désordonné, mais étrangement plein d’optimisme, rêvant d’une vie meilleure, rêvant de fonder une famille, initialement avec Le Joker, et maintenant… Un esprit partagé et confus. Car Harley envisageait aussi de fonder une famille avec Ivy, et même… De se marier. Cette image avait agréablement surpris la Lapine, qui n’entendait pas perturber leur couple. Mais, d’un autre côté, elle avait aussi envie de jouer avec Harley, ce qui impliquait notamment de lui faire énergiquement et intensivement l’amour.

Couchée sur le lit, Harley demanda à ce que l’une des deux lapines se déshabille. Elles se tenaient l’une à côté de l’autre, et sourirent mutuellement, gloussant même.

« Nous pouvons le faire, bien sûr…
 -  …Mais ce serait plutôt à toi d’en déshabiller une, ma belle Harley.
 -  …De notre côté, nous avons beaucoup à faire toutes les deux ! »

Côte à côte, elles se tournèrent alors, finissant face-à-face, leurs verges trempées venant se caresser mutuellement. Assises sur le lit, elles se rapprochèrent encore. La main d’une Lapine caressa la joue de l’autre, qui posa sa main sur les fesses de sa comparse, crispant ses doigts sur sa chair… Et elles allèrent s’embrasser. Un baiser tendre et sensuel, où leurs langues jouèrent l’une contre l’autre, se mélangeant onctueusement, tandis qu’elles se pressaient ensemble. Un délicieux spectacle pour la belle Harley, car elles étaient proches d’elle, à côté de ses jambes, s’embrassant tendrement, dégageant un agréable parfum rosâtre qui venait titiller les narines d’Harley.

Face à un tel spectacle, très sensuel, et magnifiquement érotique, rester stoïque devait être difficile, surtout pour une femme aussi turbulente et énergique qu’Harley Quinn…  Mais White Rabbit lui avait dit ce qu’elle attendait, que la jeune femme se déplace, et qu’elle déshabille la Lapine de son choix.

Car White Rabbit devait bien admettre qu’elle attendait avec impatience de sentir les mains d’Harley palper son corps !

2
Centre-ville de Seikusu / Re : Une égérie de choix. [White Rabbit]
« le: mercredi 13 février 2019, 07:49:32 »
Faire l’amour avec une illusionniste comme White Rabbit était très souvent une grande expérience, hors normes et surnaturelle. Elle aimait l’imprévu, et elle aimait les expériences atypiques. Et cet homme lui plaisait. En ce moment, il était son nouvel amant, et la Lapine réagissait comme une gamine, fantasmant déjà sur leur relation, envisageant les hypothèses les plus folles. À califourchon sur lui, elle se mordilla les lèvres, frémissant au contact de ce doigt, gloussant à l’image de la métaphore qu’il répandait, tandis que ses mains se crispèrent sur son torse. Il avait enfilé un simple peignoir avec un caleçon, et elle sourit donc, n’ayant au passage pas hésité à suçoter son doigt, le mordillant même, se montrant taquine et entreprenante.

« Une belle carotte, voilà qui plaît à une Lapine, tu sais, Whitney... »

Après avoir caressé son corps, Whitney se redressa, et l’embrassa. La Lapine frémit à ce contact, sentant la main de l’homme se saisir de ses cheveux, et entrouvrit la bouche, partageant un baiser avec lui, sa langue jouant avec la sienne. Ce fut un baiser assez intense, où Whitney mordilla la lèvre inférieure de la femme, la coinçant entre ses dents, arrachant à la femme de nouveaux frissons, les mêmes que ceux qu’elle avait ressenti au contact de son doigt, mais de façon plus intense encore. Elle répondit donc à son baiser, ses mains venant caresser les épaules de Whitney. Sous lui, elle soupirait doucement, sentant son poids, sa masse, le sentiment primitif du mâle venant dominer la femelle, et le plaisir subséquent qui en jaillissait.

Lorsque les lèvres se rompirent, la Lapine sourit encore, et souffla contre son visage. Elle sentait son érection caresser ses cuisses, mais, si Whitney s’attendait à ce que la jeune femme le laisse agir sans jamais prendre d’initiative personnelle, c’est qu’il s’était mépris sur son compte. La Lapine ressentait en effet une nouvelle bouffée d’excitation, qui remuait dans tout son corps, et qui l’incitait à passer à l’action,. Ses jambes s’enroulèrent ainsi autour des cuisses de Whitney, et elle les serra brusquement, avant de le pousser sur le côté. Les rôles s’inversèrent ainsi de nouveau, car la Lapine se retrouva sur le corps de Whitney, son sexe contre le sien...

...Et alla poursuivre le chemin logique en se redressant. Sa main libéra le sexe de Whitney de son caleçon, et elle sourit à nouveau, malicieuse et envoûtante, enserrant sa verge entre ses doigts élégamment gantés, et l’approcha de ses lèvres intimes.

« Là... Là... »

White Rabbit soupira à nouveau, tandis que, autour de Whitney, quelques notes de piano se firent entendre, son membre turgescent glissant contre les lèvres de la Lapine... Puis elle s’empala dessus en gémissant. Et, tandis que le sexe de l’homme disparaissait dans son corps, les notes de piano se terminèrent pour laisser place à une musique principale, qui atteignit son point d’entrée tandis que, tout autour de la Lapine, des lumières rosâtres et vives explosèrent, lui donnant l’impression d’être au cœur d’un arc-en-ciel de sensations et de délices épileptiques.

« She’s Like A Rainbow » se mit à défiler tout autour d’eux, tandis que la Lapine se mit à danser sur lui, s’empalant sur son corps, inondant la pièce de couleurs à ses coups de reins, et se pencha vers Dahmer, retournant l’embrasser, avant de danser encore. Elle remplissait la pièce de couleur partout, comme un arc-en-ciel dansant sur son partenaire, et l’emmenant voler avec elle vers des monts de plaisir.

Être avec White Rabbit, c’était comme planer, au sens le plus bandant du terme !

3
Centre-ville de Seikusu / Re : Une égérie de choix. [White Rabbit]
« le: lundi 11 février 2019, 01:02:41 »
Non contente d’être très belle, la Lapine avait aussi des goûts musicaux tendant vers le rock. Cependant, le rock était un genre musical immense, tellement vaste qu’il était désormais insuffisant de se contenter de dire qu’on aimait le rock. La Lapine aimait juste la musique de manière générale, un soupçon de vie et de fantaisie, et elle aimait bien le côté rythmé et vif du rock. Elle laissa donc Clapton filer dans la pièce, tout en remuant la tête doucement, son corps décrivant déjà, instinctivement, quelques mouvements de danse. Autant dire que, si la vie était une pomme, White Rabbit croquerait à pleines dents dedans. Dahmer lui présenta ensuite ses propres morceaux, et la Lapine le laissa faire, sans trop savoir ce qu’était un « riff ». Fort heureusement, elle avait des pouvoirs magiques assez variés, et obtint l’information qu’elle cherchait sur la définition de ce mot dans l’esprit de Dahmer.

*D’accord... Tout cela est vraiment fascinant !*

Malheureusement, White Rabbit, contrairement à Jaina, n’était pas du genre à aimer apprendre. En voyant des notes de musique défiler dans la tête de son hôte, elle laissa tomber. En soi, ce n’était pas que la Lapine était idiote, mais elle était en revanche écervelée, n’aimant pas apprendre. Une conséquence du fait qu’elle était la partie de Jaina Hudson reposant uniquement sur le plaisir. Frivole, et dans sa logique simple d’esprit, la Lapine se contentait de peu, ce qui l’amenait souvent dans des situations dangereuses... Ce qui n’était pas pour lui déplaire, comme si elle n’avait aucune conscience du danger, aucune voix dans sa tête qui viendrait lui dire de se méfier.

Une musique grave et forte se mit à résonner. Un véritable changement de ton par rapport à Eric Clapton, l’ensemble était beaucoup plus fort, beaucoup plus... Beaucoup plus lourd, avait-elle envie de dire. Elle avait l’impression d’entendre du hardrock, ou ce que certains appelaient le metal, des styles abrutissants qu’elle réutilisait parfois quand elle tendait des pièges hypnotiques à ses partenaires. D’ailleurs...

*J’ai été plutôt calme avec Dahmer, moi...*

Elle ne lui avait pas encore réservé ses fameuses farces, des illusions d’optique et sensorielles créées par sa magie. Ceci dit, avec White Rabbit, rien ne changeait jamais, surtout quand Dahmer se glissa dans son dos, et, un brin possessif (mais cela ne dérangeait guère la bunny girl), s’évertua de lui susurrer dans le creux de l’oreilles les paroles de sa chanson. La Lapine se pinça doucement les lèvres, remuant doucement. Ce genre de musique ne la dérangeait guère, et Dahmer poursuivit. Elle s’attendait presque à le voir poursuivre dans ce sens-là, caresser son corps avec ses mains, et tenter de l’embrasser, car elle-même creusa son dos, s’appuyant contre le corps du jeune chanteur, frémissant doucement sur place, le cœur battant faiblement la chamade.

Puis tout cela s’arrêta, l’espèce de transe musicale se termina, et Dahmer l’invita à prendre une douche, avant de le rejoindre dans le lit. Elle sourit alors, toujours avec ce ton séducteur et envoûtant, et hocha la tête.

« Bien sûr ! À tout à l’heure ! »

Elle rejoignit ensuite la salle de bains.

L’eau ne tarda pas à s’écouler de la cabine de douche, et, après quelques minutes, le silence s’instaura dans l’appartement, rompu par les sifflements de White Rabbit, qui chantonnait dans la douche. Et, si on s’approchait de la salle de bains, dont la porte avait été fermée, on aurait pu voir des vapeurs en sortir. Des vapeurs d’eau, peut-être, mais qui semblaient un peu trop conséquentes et un peu trop importantes pour n’être liées qu’à l’eau. Les vapeurs remontèrent dans le couloir, et, peu à peu, envahirent tout l’appartement, prenant ensuite des teintures rosâtres.

Puis la Lapine continuait à chanter, une voix mélodieuse, qui semblait résonner de plus en plus fortement. Et, plus le temps passait, et plus la mélodie prenait un accent reconnaissable, un ton audible :

« She is the rabbit with the scabbed ears... »

La Lapine apparut alors sur le pas de la porte de la chambre, toujours habillée de sa guêpière blanche et rose érotico-sanglée, et s’avança doucement, faisant claquer ses talons, son corps disparaissant dans la pénombre par un effet de contre-champ.

« She wanna powder her nose... »

Et, en évoquant le nez de Dahmer, celui-ci sentit alors le doigt de la Lapine se poser sur son nez. Elle venait d’apparaître là, assise à califourchon sur son corps couché dans le lit, et appuya avec son doigt, venant le coucher sur le sol. Les murs de sa chambre semblaient se mouvoir, comme si des peintures animées dansaient dessus, et la Lapine, en souriant, se pencha vers lui.

« Laisse-moi te guider dans mon trou, Dahmer... Au fond du terrier du lapin... » glissa-t-elle, toujours avec sa voix envoûtante.

Elle l’embrassa ensuite, ses magnifiques lèvres venant se coller aux siennes...

4
Centre-ville de Seikusu / Re : Harley au Pays des Merveilles [Harleen Quinzel]
« le: samedi 02 février 2019, 10:32:33 »
Y aller doucement, c’était quelque chose de difficile pour la Lapine. White Rabbit avait toujours été une femme passionnée, une femme qui aimait y aller à fond. Elle ne se retenait jamais, faisant toujours preuve d’insolence, de provocation, sans que rien ne semble devoir vraiment la calmer. Alors, face à une femme comme Harley, la Lapine n’envisageait pas d’y aller doucement, surtout quand elle buvait son lait. Elle se pressait contre son joli corps, très heureuse de pouvoir enfin faire l’amour avec cette femme. Dans son dos, son clone la sodomisait, et tourna encore le visage d’Harley, venant l’embrasser.

« Je ne l’ai encore jamais confié à quelqu’un, Harley, mais...
 -  Quand je suis venue à Gotham, et que j’ai accepté de travailler pour Bane, et de l’aider à provoquer une émeute à Arkham, hmmm...
 -  J’espérai aussi réussir à te libérer, Harley.
 -  Certes, je voulais m’amuser avec Batman, mais je voulais aussi que tu puisses enfin voler de tes propres ailes.
 -  Penser à ton bien-être sans rien attendre en retour... Est-ce que c’est ça l’amour ? »

Avec White Rabbit, rien ne fonctionnait comme cela devait fonctionner. La Lapine était par définition une femme instable, étrange, qui ne réfléchissait pas et ne réagissait pas comme les autres. C’était aussi ce qui faisait son charme, mais il fallait comprendre ce qu’elle voulait. D’un autre côté, elle ne mentait pas en l’état. White Rabbit appréciait beaucoup Harley Quinn, mais elle ne s’imaginait pas en couple avec elle. Devenir son amie n’était en revanche pas à exclure, même si, de son point de vue, elles l’étaient déjà.

Elle continuait en tout cas à la prendre, et même la White Rabbit occupée à boire son lait retrouva, sous l’effet de ce lait, sa vigueur. Elles la baisèrent donc toutes les deux, et la première se coucha alors, après avoir bu pendant plusieurs minutes. Harley se pencha ainsi vers la première Lapine, et elles s’embrassèrent, tandis que l’autre clone recommença à la sodomiser, accélérant le rythme. L’expérience sexuelle phénoménale d’Harley avec Ivy faisait qu’elle pouvait très largement endurer tout ce que la femme lui faisait subir.

Les deux clones continuèrent donc à la prendre pendant plusieurs minutes, sans que la douceur ne semble venir. La machine était lancée, et les coups de reins s’enchaînaient, faisant rebondir le corps de la jeune femme. D’avant en arrière, Harley subissait les assauts incessants des deux femmes, jusqu’à ce que les deux ne jouissent. Un nouvel orgasme, qui vint remplir le corps d’Harley, mais qui eut pour effet de faire redescendre la tension, car le clone s’affala sur le lit, à côté d’Harley.

De cette manière, Harley se retrouva entre les deux lapines, qui se mirent doucement à la caresser.

« Là, là, reprends des forces, Harley, la nuit est encore longue, et nous ne voulons pas t’épuiser...
 -  Même si je pense que ton corps a dû subir bien davantage avec Ivy, non ? »

Chacune complétait la phrase de l’autre, car les deux clones étaient psychiquement reliés. C’était une intense union, mentale et physique, avec Harley qui se trouvait au centre de leur attention mutuelle. Une délicieuse aubaine pour la jeune femme...

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Centre-ville de Seikusu / Re : Une égérie de choix. [White Rabbit]
« le: lundi 21 janvier 2019, 01:10:57 »
White Rabbit ne passerait sans doute pas sa vie avec Dahmer... Mais quelques soirées, peut-être... Au moins le premier soir, le temps de voir de quoi l’homme était capable. En tout cas, il eut suffisamment de volonté pour résister à ses formes langoureuses ainsi qu’à ce parfum de magie rose s’échappant de ses lèvres, ce soupçon d’aphrodisiaque qui se diluait dans l’air. Il la repoussa sans méchanceté, et elle le suivit. Dehors, elle avança normalement, mains généralement jointes dans son dos. On aurait pu croire que les gens porteraient son attention sur elle, vu sa tenue très affriolante, même pour les critères japonais... Mais il n’en était rien. Personne ne semblait en fait la regarder, comme si la Lapine avait trouvé sa proie, et que les gens qui la regardaient ne voyaient en elle qu’une femme ordinaire. La magie était encore à l’œuvre, car la Lapine ne voulait en effet pas être importunée par d’autres. Sa cible était là, marchant devant elle, quittant le studio pour rejoindre le centre-ville contemporain de Seikusu, comprenant des bâtiments, des tours d’acier et de verre dont certaines s’élevaient vers les nuages, telles des tours de Babel modernes.

Ils rejoignirent ainsi un bel immeuble, très élégant, avec un ascenseur qui les conduisit à une suite agréable, accessible par une solide porte vitrée qui s’ouvrit sur leur passage. La Lapine vit une grande salle centrale, et observa rapidement le slieux, notant sur une table basse des cadavres de bouteilles d’alcool, de petits monticules de poudre blanche. Bras croisés dans le dos, la Lapine papillonna des yeux en observant les lieux.

« C’est joli ici », commenta-elle.

Son regard se porta sur un étrange tableau accroché au mur, qui lui évoqua vaguement une femme en levrette... Ou un homme enturbanné en train de prier. Elle n’aurait pas su trop dire, et sortit de sa contemplation quand Dahmer, récupérant un grand sac poubelle, fourra à l’intérieur les carcasses de bouteilles, les cadavres de boîtes de pizza, et autre chose.

« Des affaires ? Non, j’ai tout ce que j’ai sur moi. »

Elle le laissa aller à la cuisine, et en profita pour se coucher sur le sofa, près d’une grosse télévision à écran plat. Elle regarda lentement autour d’elle, tenant dans sa bouche une sucette qui semblait avoir jailli de ses doigts. Quand Dahmer revint avec deux bouteilles de champagne, elle lui sourit, et reposa sa sucette, d’une couleur rose, sur une petite assiette, et se redressa rapidement, se tenant ainsi face à l’homme, attrapant d’une main le verre :

« Nous faisons déjà chambre à part ? plaisanta-t-elle. Je déteste dormir seule... » avoua-t-elle ensuite.

Elle avait après tout passé plusieurs siècles dans un sarcophage sinistre. S’il y avait bien une chose que la Lapine n’aimait pas, c’était la solitude, et il fallait sans doute y voir là l’une des raisons l’amenant à agir comme ça avec les autres, à se montrer si tactile, si proche, si... Si aventureuse.

Tout en attrapant le verre de champagne, elle claqua alors des doigts, et l’installation audio de Dahmer se mit en place.

« Et j’adore la musique ! »

Un accord de guitare bien connu se mit à résonner dans toute la pièce, avant que la voix du Dieu ne résonne dans la pièce : « Layla », d’Eric Clapton.

« Surtout le rock ! » précisa-t-elle alors, un sourire éblouissant sur les lèvres.

6
Harley était en tout point à la hauteur de ce que la Lapine avait vu dans son esprit, et de ce qu’elle s’était imaginée avant. Une femme énergique, passionnée, qui ondulait énergiquement et avidement sur son sexe, s’empalant sur sa queue. Un plaisir intense régnait entre les deux femmes... Ou, plutôt, entre les trois femmes. Après tout, Harley avait la chance d’avoir deux Lapines rien que pour elle ! Le clone de White Rabbit se dandinait dans le dos de la femme, faisant frotter sa verge contre ses fesses. Elle ne la sodomisait pas encore, même si la chose était tentante. Rien ne pressait, après tout, et, avec une femme comme Harley Quinn, White Rabbit comptait bien prendre son temps. Elle lui avait après tout expliqué que cette femme l’avait toujours intrigué. Dans une certaine mesure, Harley Quinn avait même été une sorte de modèle pour elle lorsqu’elle était venue à Gotham, une criminelle qui avait su s’émanciper du Joker, et qui avait su se faire un nom dans la ville réputée pour être la plus dangereuse des États-Unis. Comment ne pas être impressionnée par un tel pedigree ? Et, au cas présent, il fallait tout de même admettre qu’Harley Quinn était d’une incomparable beauté. Elle dansait donc sur elle, s’empalant longuement, gémissant, tandis que ses seins enflaient et grossissaient, se gorgeant progressivement de lait au fur et à mesure qu’elle prenait son pied.

La clone pinçait donc ses tétons, pour accélérer le processus, tandis que la Lapine, elle, baignait dans une intimité étroite, remplie de mouille. Sa queue avait graduellement grossi dans le con de la femme, comme si elle se fertilisait avec la mouille d’Harley. Les mains de White Rabbit se crispèrent sur ses hanches, et elle soupira encore, se pinçant les lèvres, avant de soupirer, relâchant à chaque fois des nuages d’un gaz rosâtre, un souffle aphrodisiaque qui aiderait encore plus Harley à se relâcher. Avec une femme pareille, la barre était placée à un très haut niveau, vu son expérience avec Poison Ivy... Ce qui excitait encore plus la belle bunny girl.

« Hmmm.. Haaa... Harley, hmmm... Ouuiii, hmmm... Ta... Ta petite Lapine, ma... Ma Harley... »

L’amour envers un autre était encore un concept très nébuleux pour White Rabbit, mais, s’il y avait bien une femme qu’elle était susceptible d’aimer, c’était clairement elle. Et c’est d’ailleurs sur cette idée qu’elle se relâcha. Sa queue tressauta, et un premier orgasme vint saisir la Lapine, qui se mit à jouir dans l’intimité d’Harley Quinn, balançant des chapelets de foutre dans son corps, avant de progressivement se calmer. Harley avait également joui, et ses seins étaient désormais gorgés de lait, ce qui l’amena, tout en reprenant son souffle, à demander qu’on la soulage.

La solution était évidemment toute trouvée, et, dans un sourire, White Rabbit vint donc se redresser, conservant son sexe dans le vagin d’Harley. Elle remonta avec ses mains, pendant que le clone, qui avait servi de soutien, descendait au contraire les siennes, s’appuyant sur ses hanches. Harley pouvait ainsi sentir sur son corps une double paire de mains élégamment gantées glisser sur sa douce peau. Et, effectivement, le corps de la Lapine était tendre, très doux, une douceur de bébé, ce qui rendait ces contacts encore plus stimulants. La bouche de la Lapine rejoignit ainsi la poitrine de la femme, tandis que l’autre White Rabbit se penchait en arrière. Elle souleva légèrement le corps d’Harley et l’amena à se cambrer, relevant ses fesses, ce qui lui permit de mettre sa verge à hauteur de ses fesses.

« C’est à moi de m’occuper de tes seins, ma belle, glissa la Lapine originaire, celle qui venait de jouir.
 -  Et à moi de m’occuper de ton petit cul... Car crois bien que nous allons très longuement te baiser ce soir !
 -  Car je sais que tu peux l’endurer, Harley... »

Et, sur ce, la Lapine posa ses lèvres sur l’un de ses seins, et appuya dessus. Au même moment, son clone enfonça sa trique dans le beau petit cul d’Harley, et soupira sur place. Elle avait replié ses genoux, et se balançait en arrière, revenant ensuite en avant, cherchant ainsi à donner du rythme à sa sodomie sportive, pendant que la Lapine, elle, sentit rapidement, et avec bonheur, le lait d’Harley affluer dans sa bouche.

« Hmmm... Mmhmmm... »

Elle se mit donc à téter, s’attaquant longuement à un sein, pour ensuite s’attaquer à l’autre, car la Lapine était plutôt gourmande, et le bon lait d’Harley était tout simplement délicieux ! Elle en redemandait donc volontiers, pendant que le clone de la Lapine, en sodomisant Harley, et en accélérant graduellement le rythme, renforçait la production de lait. C’était donc un délicieux cercle vertueux de vice !

7
Centre-ville de Seikusu / Re : Une égérie de choix. [White Rabbit]
« le: lundi 14 janvier 2019, 00:39:58 »
Le pire est qu’elle avait fait tout ça sans user de sa magie ! White Rabbit aimait beaucoup la danse, tout ce qui relevait, aux yeux de sa sœur, d’une frivolité et d’une perte de temps ! Il se dégageait ainsi de cette bunny girl une sensualité évidente, couplée à une franche assurance. Elle avait après tout commencé officiellement sa carrière en s’alliant avec un criminel, Bane, et en jouant avec le célèbre Chevalier Noir de Gotham City. Alors, quand elle s’était amusée à être coursée par Batman d’un bout à l’autre de Gotham, ce n’était pas un show comme ça qui allait l’effrayer ! L’homme responsable du spectacle semblait en tout cas ravi, et la Lapine sourit doucement. En fait... Son show les laissa un peu pantois. Elle sonda alors leurs esprits. White Rabbit était avant tout une puissante magicienne, qui était capable de télékinésie. En la matière, elle pouvait donc sonder les pensées extérieures des gens sans qu’ils ne remarquent rien, ainsi que leurs souvenirs très récents, et constata ainsi qu’ils avaient eu l’air de s’ennuyer fermement avant son arrivée. Les précédentes candidates n’étaient pas très motivées, ou proposaient quelque chose de trop conventionnel, ou utilisaient encore des musiques locales, comme de la J-Pop. Autant dire que, en ressortant un vieux morceau de rock des années 80’s, chanson britannique parodique de l’image légendaire du Far West américain, elle avait fait fort !

Dahmer se rapprocha d’elle, et, tout en la complimentant, ne tarda pas à fixer les règles, caressant la joue de la femme. Un geste d’autant plus symbolique qu’au Japon, les contacts physiques étaient proscrits, ce que Jaina rappelait fréquemment (et assez vainement) à sa sœur. Quand les deux jumelles étaient sorties de leur cocon, elles avaient chacune hérité d’une part de l’autre. Dans une conception freudienne, on pouvait dire que Jaina avait hérité de tout le côté « sur-moi », ce qui faisait d’elle une personne sérieuse, inflexible, et très rigide... Tandis que la Lapine, elle, avait plutôt hérité du côté « ça », cette portion de l’inconscient que les dessinateurs de bande dessinée symbolisaient en cas de conflit moral par un petit démon libertin, celui qui incitait Milou à manger un os plutôt qu’à aller sauver Tintin. Ce n’était dès lors pas un hasard si la femme avait pris l’allure d’une bunny girl, dont elle ne changeait désormais plus.

Ravi, Dahmer la présenta comme la nouvelle égérie du groupe, et la Lapine sourit, ravie, flattée comme un petit enfant à qui on aurait donné une récompense.

« Héhé, génial, cool ! »

Elle les remercia, puis le duo se retrouva ensuite seul, Dahmer congédiant le reste de l’équipe, et posant à la Lapine plusieurs questions. Face à l’homme, celle-ci lui sourit à nouveau, se montrant pulpeuse et sensuelle. Ainsi, elle commença par enrouler ses bras autour du cou de l’homme, frottant ses seins contre son torse, et poussa alors en avant. Et, alors qu’ils étaient tous les deux sur l’estrade, Dahmer, au lieu de tomber sur le sol, tomba étrangement quelques mètres plus loin, sur l’un des fauteuils, avec White Rabbit sur lui.

« Ben, j’ai déjà un grand appartement de luxe que je partage avec ma sœur, mais elle ne cesse de me rabrouer parce que je ne participe pas assez au paiement du loyer, et parce que je n’ai pas un revenu stable. Est-ce de ma faute à moi si je n’ai pas envie d’être caissière ? »

La Lapine se redressa un peu, s’appuyant sur les épaules de Dahmer, ne laissant pas le temps à l’homme de comprendre comment il avait fait pour se retrouver dans son fauteuil. D’ores et déjà, White Rabbit commençait à amplifier les pulsions de l’homme, ces pulsions naissantes qu’elle avait senti en lui, notamment quand il lui avait caressé la joue. Depuis ses lèvres, des fumées de magie rose s’échappaient, que l’homme inhalait sur place. Un discret aphrodisiaque, mais non moins efficace.

Ses mains caressèrent les épaules de l’homme, et elle lui sourit à nouveau :

« Mais, en réalité, je pense qu’il serait bon pour moi de passer un peu de temps loin de ma sœur... Malheureusement, je n’ai pas encore trouvé d’âme chevaleresque qui accepterait de m’héberger chez elle... »

Une invitation grosse comme une maison... Ou comme cette bosse qu’elle avait envie de sentir entre les cuisses de l’homme.

8
Centre-ville de Seikusu / Re : Une égérie de choix. [White Rabbit]
« le: lundi 07 janvier 2019, 00:49:48 »
Tout avait commencé par une dispute entre les deux sœurs. Jaina avait reproché à White Rabbit sa frivolité, en lui indiquant qu’elle en avait assez que sa sœur passe son temps à gaspiller leur argent, et ne fasse rien d’utile de sa vie et de ses pouvoirs. Il fallait bien admettre que Jaina était une professeur à l’université de Seikusu, au complexe scolaire Mishima. Elle participait régulièrement à des colloques, et était une femme expérimentée et réputée. De son côté, la Lapine était tout l’inverse, passant ses journées à dormir, à faire des bêtises, ou à s’amuser dans un style très hédoniste et profondément épicurien. Mais White Rabbit avait aussi une mentalité d’enfant, et avait été très vexée par cette dispute. Elle avait donc décidé de se remonter les bretelles, et de trouver un boulot. Elle s’était renseignée sur un éventuel maid café, ou un bunny girl café. Si elle aimait bien le Japon, c’était parce que le pays était à leur image. Un pays extrêmement sérieux, ancré dans de profondes traditions, dans un conservatisme à toute épreuve… Mais qui laissait aussi s’exprimer des zestes de pure folie et d’insouciance démentielle. Au Japon, on pouvait volontiers croiser des individus en cosplay de gros ours rose, sans compter les cafés particuliers… Ceux où on était servis par des maids, par des filles déguisées en chats, les cafés avec des chats à câliner, les distributeurs de culottes usagées… Le Japon était le paradis de la fantaisie !

Finalement, White Rabbit avait répondu à une annonce pour participer à un casting en vue de rejoindre un groupe de musique, les Spooky Kids. La musique était quelque chose que la Lapine appréciait beaucoup, surtout le rock. Le casting consistait à se présenter sur scène, et à danser et à chanter sur une musique libre. La bunny girl s’était donc rendue sur place, dans sa tenue usuelle, celle qui lui avait valu une main aux fesses en postulant pour un maid café, mais un refus de poste malgré tout.

Ce fut ensuite à son tour de grimper sur scène. Elle arriva ainsi, avec une démarche pleine de sensualité, et se posta au milieu de la scène, tenant sa main sur le micro. Dans les gradins, il y avait quelques personnes assises, et elle leur sourit doucement. Il n’y avait pas de timidité dans sa voix, et elle attrapa le micro, le retirant de son trépied, tandis que la musique qu’elle avait choisi s’enclencha. Un mode karaoké d’un grand classique du rock des années 1980’s, « I Wanna Be A Cowboy » des Boys Don’t Cry.

Loin de rester figée sur place, White Rabbit profita des quelques secondes où la musique se lançait pour attendre à côté du trépied, yeux clos, puis se mit à chanter :

« Riding on the range,
I've got my hat… On,
I've got my boots… Dusty.
»

Sa voix était mélodieuse, avec des tonalities sensuelles, tandis qu’elle se déhanchait doucement sur place. En finissant le premier couplet, elle se déplaça doucement, et reprit ensuite, mimant une selle en écartant les jambes, omme si elle tentait de s’asseoir sur son cheval, et reprit :

« I've got my saddle
On my horse.
He's called... T-t-t-t-t-trigger
Of course.
»

White Rabbit marqua chaque « -t » du mot « trigger » en tendant sa main en avant, mimant un pistolet avec le pouce levé et le doigt brandi. C’est ensuite que venaitle refrain, qui subit quelques aménagements, et pendant lequel elle pointa du doigt, l’un après l’autre, les hommes assis devant elle :

« I want to be a cowGIRL
And you can be my cowBOY
I want to be a cowGIRL
And you can be my cowBOY
I want to be a cowGIRL
»

Et, juste après ce refrain, il y avait un couplet où une femme en détresse chantait désormais, un passage qui se révéla encore plus sensuel, White Rabbit se livrant à un show qui relevait alors Presque du strip tease, même si elle ne retira aucun de ses vêtements. Elle pliait les genoux en se déhanchant, frottant ses collants avec sa main libre, accentuant les soupirs féminins à la fin de chaque vers pour leur donner une légère connotation :

« Riding on the chuck wagon,
Following my man.
His name is Ted,
Can you believe that?
Camping on the prairie
Plays havoc with my hair.
Makes me feel quite dirty,
Though we all do sometimes
»

Elle reprit ensuite le refrain, et continua sur ce rythme, se lançant dans une danse spectaculaire. La Lapine avait aussi envisagé de postuler dans un club de strip-tease. Elle se déplaça en arrière, et, tout en sifflotant à nouveau le refrain, s’avança à nouveau, parlant plus fort, frappant le sol avec ses talons en les pointant encore du doigt, et reprit ensuite, avant de terminer en modifiant encore les paroles sur la dernière strophe :

« My name is RABBIT,
And one day I'll be dead yo, yo.
»

Et elle se tut ensuite…

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Centre-ville de Seikusu / Re : Harley au Pays des Merveilles [Harleen Quinzel]
« le: vendredi 07 décembre 2018, 08:44:16 »
White Rabbit s’amusait beaucoup avec Harley. Il fallait bien admettre que Harley était... Magnifique ! La prenant avec son clone, la bunny girl était progressivement en train de réaliser qu’elle était en train d’accomplir une sorte de lointain fantasme avec elle. Quand White Rabbit s’était réincarnée à Gotham City, elle s’était intéressée à la faune locale, et son attention s’était très vite portée sur ces femmes évoluant dans ce monde masculin, fait de crimes et de violences. Catwoman, Poison Ivy, Harley Quinn... Le cas d’Harley l’avait intéressé, car, en un sens, elle lui ressemblait. Harley avait jadis été le Docteur Harleen Quinzel, une psychiatre suffisamment talentueuse pour rejoindre l’asile d’Arkham. Elle avait, comme White Rabbit, un côté sain, et un côté fou. Chez White Rabbit, le côté sain s’exprimait à travers son autre moitié, Jaina Hudson, et le côté fou était là, sous la forme d’une magnifique bunny girl hermaphrodite qui, avec son clone, était occupée à pénétrer langoureusement Harley Quinn.

Gémissant longuement, White Rabbit continuait donc à la prendre, allant jusqu’à la provoquer en évoquant Poison Ivy. Là encore, la Lapine savait que les deux femmes sortaient ensemble. Un amour larvé à Gotham qui s’était pleinement exprimé ici, à Seikusu, un amour qui, en un sens, avait permis à Harley de s’éloigner du Joker, son ancien amour... Même si, dans une certaine mesure, cet amour était toujours là, rampant dans les soubassements de sa psyché.

« Hmmmm, tu es si bonne, Harley...
 -  Oui, tu as vraiment un corps taillé pour ça... »

Ivy devait se régaler avec elle ! Mais Harley avait de l’expérience, justement, et, même en se faisant ainsi prendre par les deux femmes, qui pelotaient ses seins et ses fesses, elle repoussa la Lapine située devant elle. Celle-ci sursauta en tombant sur le lit, son sexe dressé en l’air, humide et recouvert de mouille. Sans guère attendre, Harley la rejoignit ensuite, et s’empala sur elle. À ce contact, les yeux de la Lapine s’écarquillèrent de plaisir, et elle posa ses mains tremblantes sur les hanches de sa partenaire, l’aidant ainsi à remuer sur elle.

« Ha-Harley... ! » ne put-elle que gémir.

Dans le dos de la femme, le clone ne tarda pas à les rejoindre, mais laissa tout de même à Harley quelques précieuses minutes pour se faire à cette situation. Chevauchant ainsi White Rabbit, Harley prenait ses aises, essayant de rivaliser contre elles, et ce malgré les pilules qu’elle avait pris. Le lait d’Harley suintait de ses tétons, vu que le clone de White Rabbit avait longuement pincé les tétons de la jeune femme. Elle continuait ainsi à danser, White Rabbit caressant ses hanches de ses mains, le regard comme subjugué par cette fascinante personne qui s’empalait fortement sur elle.

Soupirant doucement, White Rabbit sentait d’ailleurs sa verge l’élancer douloureusement, remuant fortement en elle.

« Hmmm... Harley ! »

Le clone de White Rabbit se rapprocha ensuite, venant se lover dans le dos de la femme, et retourna pincer ses seins, tout en l’embrassant dans le creux du cou.

« Je savais que j’avais eu raison de t’emmener dans mon nid, Harley... Tu es parfaite ! »

Elle l’embrassa ensuite sur les lèvres, la laissant danser sur le corps de son clone. À ce stade, impossible de dire qui était la « vraie » ou la « fausse » White Rabbit, car les deux étaient similaires, et le plaisir que l’une ressentait était également transmis à l’autre... Ce qui expliquait pourquoi la queue de la seconde Lapine se frottait durement contre les fesses d’Harley.

Et leur folle soirée de stupre ne faisait évidemment que commencer !

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Centre-ville de Seikusu / Re : Harley au Pays des Merveilles [Harleen Quinzel]
« le: dimanche 21 octobre 2018, 22:09:33 »
Pour Harley, on aurait pu dire que els carottes étaient cuites ! La jeune femme allait en effet se faire méchamment prendre en sandwich. Les deux bunnies avaient beau avoir une apparence fluette et menue, elles n’en étaient pas moins de redoutables amantes, car bénéficiant de la magie pour s’aider ! Et puis, avec les injections magiques que Harley avait prise, la jeune femme allait tout simplement enchaîner les orgasmes, et faire face à une véritable tempête de sexe et d’orgasmes ! À ce niveau-là, il était même possible de la jalouser tant le plaisir qu’elle allait ressentir promettait d’être intense !

« Là, allez... Jouis pour nous ! Pense au record d’orgasmes en série que tu as eu avec Poison Ivy, et...
 -  ...Dis-toi que ce soir, tu vas crever le plafond ! »

La Lapine dans son dos mordilla le cou d’Harley, puis les deux femmes la pénétrèrent ensuite. Un choc intense, explosif, qui déclencha chez la jeune femme un nouvel orgasme. Et, avec sa cyprine sucrée, les Lapines frémirent, avant de commencer à la bourrer. Elles y allèrent toutes les deux, optant pour un rythme soutenu et appuyé. L’une lui défonçait sa délicieuse chatte d’amour, l’autre lui martelait goulûment le cul avec sa trique. Les deux femmes étaient violentes dans leur manière d’approcher, brutales, besognant sans ménagement la jeune Harley, qui, après son nouvel orgasme, continua à gémir.

Les mains gantées de la Lapine devant elle s’appuyèrent sur ses fesses, et celles de la Lapine affairée à lui pénétrer le cul se posèrent sur ses seins, pinçant douloureusement ses tétons. Le lait fusa alors, car les seins d’Harley étaient bien gonflés, éclaboussant le clone devant elle, qui gloussa sur place.

« Hihi ! Tu fuis de partout, Harley ! »

White Rabbit la gifla alors. De son côté, la bunny girl tirait également de cette séance un plaisir immense, car elle subissait une double dose de plaisir. Deux verges, deux fois plus de plaisir ! Elle gémissait donc, et, à chaque soupir, un nuage rose s’échappait de ses lèvres, une délicieuse poudre aphrodisiaque que sa « victime » inhalait. Harley, elle, se retrouvait prise dans un torrent de plaisir, dans des vagues d’orgasmes, qui l’amenaient à jouir frénétiquement, tandis que les deux femmes la prenaient encore, s’enfonçant mutuellement en elle, rythmant leurs ébats à la perfection.

Harley goûtait ainsi à un plaisir unique, intense, indescriptible, tandis que le lait dégoulinait sur son corps, et qu’elle continuait à couiner, une vulgaire poupée de plaisir se faisant dorloter par ses deux amantes qui la prenaient, et continuaient à la prendre. Les minutes fusaient à toute allure tandis qu’elles la baisaient hargneusement... Et amoureusement !

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Les bas fonds / Re : Lapines câlines. [pv]
« le: vendredi 14 septembre 2018, 07:52:19 »
White Rabbit sourit doucement en laissant Anouk faire le choix. Un sac rempli de godemichets, de sex toys, de vibromasseurs... Il ne suffisait qu’à l’Usagi de choisir, et elle farfouillait dans le sec, s’arrêtant initialement devant un énorme gode horse, aussi gros qu’une matraque, et qui ne manqua pas de l’étonner. Il y avait aussi des doubles godes, et plusieurs ceintures de différents modèles. Anouk s’étonna néanmoins du gros vibromasseur, et White Rabbit, en souriant, s’assit sur le lit à côté d’elle. Elle croisa sensuellement les jambes, avant de pencher la tête sur le côté, et haussa doucement les épaules, pour lui répondre ensuite :

« Ma foi, tu ignores tout des fantasmes de certaines personnes, ma chérie... »

À ce propos, étaient-elles encore dans un monde fantasmagorique, ou dans le monde réel ? Avec une illusionniste comme White Rabbit, tout était possible, et la vérité était sans doute qu’elles erraient entre les deux. En tout cas, la femme finit par récupérer un autre appareil, une culotte avec un vibromasseur hérissée de picots, qu’elle mit sur elle, après avoir retiré ses sous-vêtements. White Rabbit se pinça doucement les lèvres, et esquissa un léger sourire, révélant ses magnifiques dents. La parfaite bunny girl écouta ensuite Anouk lui annoncer la suite.

Après leurs aventures dans le Wonderland, il était temps pour elles de se rencontrer plus chaudement, plus sensuellement, et la femme se recula ensuite, s’étalant au milieu du lit, un grand lit en forme de cœur, où elle recommença à se dandiner, s’offrant à Anouk en se mettant à quatre pattes. Sur place, elle se cambra le dos, et sourit lentement quand Anouk reprit en voulant qu’elle lui donne un titre de noblesse. Elle en gloussa même, avant de tourner la tête, regardant la femme.

« Princesse Anouk ? Ma chérie, voyons... Il va falloir mériter ce titre ! »

Et, pour le coup, Anouk n’avait encore rien démontré là-dessus. White Rabbit se dandina alors doucement sur place, remuant son pompon. Certes, elle ne comptait pas lui donner du « princesse », mais il ne serait pas non plus dit qu’elle ferait du mauvais esprit, car White Rabbit adorait les jeux ! Même avec son corps sublime et ses pouvoirs magiques impressionnants, elle restait une femme dotée de la mentalité d’un enfant, réagissant de façon totalement immature, et adorant ce genre de choses.

Elle attendit donc quelques instants, avant de reprendre, exactement comme la jeune Anouk le voulait :

« Mais il n’empêche que j’ai très envie de te sentir en moi, Anouk, de te sentir me labourer le cul... Mais n’espère pas que je me conforterai aux règles. Après tout, les lapines comme nous sont rebelles, non ? »

Elle claqua alors des doigts, et la culotte d’Anouk se modifia quelque peu. L’Usagi sentit des vibromasseurs supplémentaires pousser à l’intérieur, l’un venant s’enfoncer dans son vagin, et l’autre dans son fondement. De quoi la motiver à agir, non ?

« Allez... Viens me punir, Anouk, montre-moi que tu peux être une Usagi dominatrice, et non une petite lapine qui vient me dorloter... Viens me défoncer mon cul de salope, viens me défoncer comme un mâle en rut ! »

Techniquement, elle ne la suppliait pas vraiment... Mais elle jouait au moins le rôle, dans une certaine mesure.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Harley au Pays des Merveilles [Harleen Quinzel]
« le: dimanche 09 septembre 2018, 17:12:21 »
White Rabbit s’était dédoublée, et l’effet de ses potions allait se conjuguer avec ceux d’Harley. Une prédatrice et une proie... De plus, Harley avait pris une potion aphrodisiaque, de sorte que, à chaque fois que White Rabbit jouirait, l’aphrodisiaque naturel d’Harley l’exciterait encore. Et, avec ses seins chargés, la jeune clown était impatiente. Les deux lapines se redressèrent, à droite et à gauche d’Harley, formant deux superbes bunnies girls en tenue moulante, avec de magnifiques verges en érection.

« Ne t’inquiète pas, Harley, même si l’une est mon clone, je ressens absolument tout ce qu’elle ressentirait... »

White Rabbit lui sourit doucement, et sa main caressa doucement le visage d’Harley. Ses doigts finement gantés glissèrent sur sa joue, et, avec son pouce, elle caressa les tendres lèvres de la femme. Elle pouvait sentir l’impatience d’Harley, tandis que, dans son dos, l’autre bunny girl caressait les hanches de la femme, remontant doucement le long de son corps. Elle posa ses mains sous les seins d’Harley, serrant le corset, puis descendit encore, tandis que White Rabbit embrassait la femme, et approchait son sexe du sien. Le clone de la Lapine écarta doucement le minishort moulant d’Harley, tout en laissant la femme enrouler ses jambes autour du bassin de White Rabbit... Puis la Lapine la pénétra, et frémit de plaisir à ce contact.

Son membre fila rapidement dans cet antre humide, White Rabbit sentant la mouille d’Harley, tandis que ses parois, serrées, bloquèrent sa queue, l’étouffant sous cette chair humide et agréable. Frémissant de plaisir, White Rabbit prolongea encore le baiser, avant de baisser les lèvres. Son clone avait déboutonné le sommet du corset d’Harley, révélant ses tétons, ses seins gonflés remplis de lait. La main du clone s’empara ensuite du visage d’Harley, et lui fit tourner la tête vers elle.

« Là, lààà... »

Nouveau baiser, tandis que White Rabbit venait goûter au délicieux lait d’Harley. Dès qu’elle mordilla le téton et commença à l’aspirer, le lait fusa, faisant doucement gémir Harley, qui était coincée entre les deux femmes. Le long de sa croupe, elle pouvait sentir la verge de l’autre White Rabbit, tandis que la première continuait à la pénétrer, son corps filant d’avant en arrière, soutenue en ce sens par le clone, qui donnait également des coups de balancier avec son bassin.

« Hmmmm... !! »

Le clone de White Rabbit l’embrassait encore, fourrant sa langue dans sa bouche. Un contact délicieux, succulent. Après tout, la Lapine était une femme torride, faite de sensualité et de sexe. Harley ne tarda pas à jouir, tandis que la première White Rabbit délaissa l’un de ses seins pour retourner l’embrasser. Le clone en profita alors pour se déplacer, et suça son autre sein, avalant son lait également. White Rabbit, avec tout ce lait en elle, sentit sa queue croître... Puis posa ses mains sur les fesses d’Harley, et l’embrassa encore, avant de se mettre à jouir.

Harley eut un délicieux orgasme, et White Rabbit sourit encore, rompant le baiser pendant quelques secondes, pour observer la femme.

« Et de un, Harley... Mais rassure-toi, je compte te baiser jusqu’à ce que l’aube se lève. Tu vois, la potion que tu as prise... Elle va continuellement relancer ton appétit sexuel, ton désir, ainsi que le mien, et ce jusqu’à ta plus parfaite satiété. Alors, vu ton endurance sexuelle avec Ivy... »

White Rabbit lui sourit donc, consciente que, pour Harley, un sacré rodéo s’annonçait ! Dans son dos, le clone de White Rabbit s’apprêtait à sodomiser la femme, lui offrant ainsi un plaisir des plus intenses. L’une des autres conséquences de la potion qu’elle avait bu, c’est que White Rabbit pourrait la sodomiser à sec, car, malgré la douleur ressentie, elle ressentirait aussi un plaisir, un plaisir proportionnellement intense à la souffrance qu’elle ressentait.

En clair... Elle allait prendre un pied d’enfer !

13
White Rabbit n’avait pas la patience de confectionner ce genre de potions. C’était Jaina qui les faisait, précisément pour sa sœur jumelle. Si White Rabbit était une magicienne, Jaina, qui avait beau être plus posée et plus rangée que sa sœur, n’en restait pas moins aussi dotée de magie, et s’en servait notamment pour pratiquer l’alchimie. La Lapine était ravie de pouvoir jouer avec Harley, qui lui proposa rapidement un jeu assez dangereux : boire trois flacons aléatoirement chacune, et voir ensuite en fonction des effets. Bien évidemment, ceux-ci pouvaient se cumuler, sans risque pour la santé. Harley retourna tous les flacons, et en piocha trois au hasard, puis les but, et en fit boire à White Rabbit, qui ferma les yeux en posant ses mains devant.

« Hmmm... »

Chaque flacon avait le même goût sucré et énergique, comme boire de la vitamine intense. Le corps de la Lapine se mit à frissonner, et elle soupira doucement. Pour Harley, elle avait eu des potions aux effets plutôt simples : une lui permettant d’allaiter, une potion aphrodisiaque la rendant tellement sensible qu’on aurait pu la violer en la sodomisant et la faire jouir sans souci, et une dernière modifiant le goût de sa cyprine. Des modifications qui faisaient donc d’elle une parfaite proie pour une lapine dominatrice, qui se mit à gémir en sentant sa culotte se déformer.

Une belle tige de chair pointa entre ses cuisses. Première potion : l’hermaphrodisme. La Lapine écarta les jambes en soupirant doucement, son sexe se dressant avec appétit. Une belle queue qui attendait de pouvoir se fourrer dans le corps d’Harley. Les deux autres potions agirent ensuite. La deuxième avait un effet plus discret, qu’Harley put toutefois noter en voyant les rougeurs sur les joues de la femme, ou ses mains se crisper sur le lit, ou encore ses yeux passer au rose : du regain sexuel. Autrement dit, une potion qui allait la rendre plus insatiable encore.

Et, enfin, la troisième potion... Amena à la création d’un clone de White Rabbit. Une deuxième bunny girl, similaire à White Rabbit, émergea sur le lit, également membrée. Le clone s’empressa d’embrasser White Rabbit sur la bouche, soupirant doucement contre elle, tout en caressant de la main le sexe de White Rabbit.

« Haaaa...  Tu joues avec le feu, mon petit clown... »

La Lapine soupira doucement, puis le clone rompit ses baisers, et les deux femmes se relevèrent alors, s’approchant à gauche et à droite d’Harley. Avec la potion d’aphrodisiaque en elle, Harley devait être très impatiente, surtout que ses seins gorgés de lait devaient indéniablement commencer à lui faire mal. Les queues des Lapines caressèrent les cuisses d’Harley, puis la White Rabbit originale embrassa la femme sur les lèvres, goûtant à sa salive sucrée, pendant que l’autre se glissa dans son dos, caressant ses hanches, et relevant légèrement sa minijupe moulante, la repliant pour permettre un accès à ses cuisses. En faisant ceci, les deux Lapines s’enivrèrent de l’odeur de la cyprine d’Harley.

« Mélanger la potion sur la cyprine et l’aphrodisiaque... Si tu te mets à sortir dehors, les gens vont vouloir te sauter dessus pour te faire voracement l’amour, tu sais... »

White Rabbit l’embrassa encore, tout en se déplaçant un peu. Ses mains se posèrent sur les fesses d’Harley, et elle la souleva ainsi, amenant les jambes du petit clown à s’enrouler autour de ses cuisses, puis la pénétra d’un coup sec. Très rapidement, le clone de la Lapine, tout en attrapant entre sa main le visage d’Harley pour l’embrasser, la pénétra à son tour, s’enfonçant dans le trou étroit de ses fesses.

« Là, hmmm... »

Et, tandis que le clone embrassait Harley, White Rabbit, elle, porta son visage vers ses seins, et commença à les suçoter, s’abreuvant du délicieux lait de la femme...

14
Poison Ivy avait doté Harley de vaccins, d’anticorps et de sérums améliorant sa résistance aux empoisonnements, ainsi que ses capacités de combat, la rendant encore plus souple qu’auparavant, plus agile. Une véritable anguille, mais, face à White Rabbit, tout l’art de Poison Ivy était inefficace. La Lapine n’utilisait pas une drogue quelconque, mais de la magie. Pour contrer la magie rose, il fallait avoir de l’expérience en la matière, ou encore une amulette. Harley n’avait rien de ça, mais, même malgré ça, la manière avec laquelle elle arrivait à gérer ses pulsions était admirable. C’était bien là la preuve que la jeune Harley avait une grande expérience sexuelle, ce qui permettait d’atténuer les effets de la magie rose. Les deux femmes retournèrent donc s’embrasser, Harley palpant sans hésitation les fesses de White Rabbit, et lui demanda de la guider dans son antre, pour lui faire des « bébés lapins ».

« Des bébés, hey ? Je n’ose imaginer la scène… »

White Rabbit ne pouvait faire autre chose que s’amuser. Elle était incapable de prendre les choses au sérieux, car tout le caractère sérieux de sa personnalité appartenait à son autre moitié, Jaina Hudson. Elle, elle était l’expression pure du ça, cette partie inconsciente de l’esprit humain entièrement focalisée sur le désir personnel, sur le plaisir. Un égoïsme intense qui s’exprimait parfaitement à travers la Lapine. Elle gloussa en sentant Harley la fesser, et glissa sa main gantée dans la sienne, lui souriant encore, et rejoignit sa chambre.

C’était une chambre classique… Mais il suffit que White Rabbit claque des doigts pour faire changer du tout au tout le décor. Le lit élégant à baldaquins se transforma en un gros lit rouge en forme de cœur, avec une série de sangles et de liens sur le devant ainsi que sur les côtés. Les murs luxueux et sobres se transformèrent en murs aux couleurs vives, avec des motifs de cœur rouge et noir le long des colonnes. Les meubles changèrent également, le canapé au centre se transformant en un chevalet. Le meuble comprenant des vêtements se transforma, abritant son lot de fouets, de vibromasseurs, de sangles, et de multiples sex toys divers et variés. Surtout, le long de la table de chevet, une série de fioles apparurent avec des liquides aux couleurs différentes dedans, et un étiquetage qui donnait le ton : « HERMAPHRODISME », « LAIT », « REGAIN SEXUEL », « CLONAGE », et d’autres encore…

« Voilà, tu as tous les instruments pour… »

La Lapine n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’Harley lui sauta dessus. La Lapine couina de surprise, et tomba sur le lit, s’affalant sur la fine couverture en soie, et sentit Harley se ruer sur ses lèvres. Agenouillée contre elle, elle l’embrassa vigoureusement, et White Rabbit, frissonnant sur place, posa ses mains sur ses fesses, les palpant vigoureusement, malaxant son cul à travers son short.

« Là, voilà… Il y a tous les instruments dont tu peux avoir besoin ici, Harley. Tu es dans ma tanière… Alors, dis-moi… Sauras-tu dresser la vilaine lapine que je suis, ma belle ? »

Oui, White Rabbit la provoquait. Clairement. C’était un bon moyen de voir ce qu’Harley était prête à faire, elle qui était tellement habituée à suivre les autres…

15
« Si je suis sage ? Ma chérie, ce soir, je vais être tout, sauf sage... »

La sagesse, c’était à sa jumelle qu’il fallait la demander ! Elle, la Lapine, elle n’était là que pour s’amuser, pour se détendre, et pour mettre dans cette vie si bien rangée un zeste de folie. Sur ce point, elle ressemblait donc beaucoup à Harley Quinn ou au Joker, si ce n’est que, contrairement au Joker, elle n’envisageait pas des blagues mortelles susceptibles de détruire la ville.  White Rabbit avait donc réussi ce qu’elle voulait faire. Elle avait sondé la psyché d’Harley Quinn, une femme qui l’avait toujours interloqué, car, à sa manière, Harley ressemblait un peu à White Rabbit. Il y avait, d’un côté, le docteur Harleen Quinzel, cette psychiatre respectable, et, de l’autre, Harley Quinn, une femme folle vivant au jour le jour. Mais l’exploration de son esprit n’avait pas vraiment permis à White Rabbit de comprendre les motivations profondes de cette femme. Son esprit était assez chaotique, partagé d’envies contradictoires et complémentaires. S’amuser, tomber amoureuse, fonder une famille, mais en même temps se battre, taper dans le vif... Difficile de comprendre ce qu’Harley voulait. White Rabbit, en tout cas, l’appréciait beaucoup.

Quand la femme l’interrogera sur ses Quintettes, elle la rassura rapidement, en haussant les épaules, et se décolla du corps de la femme. Son gang n’avait rien à craindre.

« Ils dorment chez toi, tout simplement. Je les ai téléportés là-bas, et j’ai utilisé un sort de sommeil sur elles. Elles s’inquiétaient beaucoup pour toi, pour être honnête, mais ça aurait fait un peu trop de monde chez moi... »

Visiblement, White Rabbit était une puissante magicienne, pour avoir réussir à faire transplaner et à endormir tout un groupe ! Il y avait intérêt à se souvenir de ça. D’ailleurs, Harley était toujours à mi-chemin entre le monde réel et le monde onirique, comme en témoignait la fête d’attractions géante qu’on pouvait voir dans la baie de Seikusu, au loin.

« Pour le reste, nous sommes dans l’une des suites royales du Seikusu Palace. Plutôt cossu, non ? »

Elle se pencha ensuite vers le minibar, ce qui permit à Harley de tripoter sa petite queue ronde dans son dos. Elle récupéra du champagne, et en remplit deux verres. White Rabbit se retourna ensuite, et laissa Harley se blottir contre elle, caressant ses hanches, palpant son corps, ses côtes... La Lapine sourit silencieusement, et caressa en retour, de nouveau, le délicieux cul de la femme. Les lèvres de la Lapine laissèrent s’échapper un souffle violet, un parfum aphrodisiaque très efficace.

« Disons que je prends exemple sur toi, ma chérie, tu n’es pas non plus un exemple en matière de chasteté vestimentaire... »

C’est le moins qu’on puisse dire, vu la manière dont la tenue moulait ses formes... La Lapine l’embrassa alors, remontant sa main pour serrer ses cheveux, l’autre continuant à caresser ses fesses. Le baiser se prolongea un peu, White Rabbit savourant les délicieuses lèvres de la femme.

« Sinon, je ne suis pas vraiment une criminelle... Enfin, si, mais... Je cherche juste à m’amuser, quitte à ne pas respecter la loi. Et puis, vu que c’est grâce à moi que tu as pi t’évader avant de rejoindre la Task Force X, c’est toi qui devrais m’être redevable, non ? »

La Lapine l’embrassa encore, mais, cette fois, dans le creux du cou. Elle lécha sa peau, appuyant dessus avec sa langue, serrant doucement son corps contre le sien. Il y avait là toute une tension sexuelle qui n’allait pas tarder à éclater...

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