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Messages - Verena

Pages: [1] 2 3 ... 5
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Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: lundi 23 juillet 2018, 21:52:23 »
A chaque instant, j'ai l'impression de franchir un pas de plus, comme si Elisabeth repoussait, je ne sais comment, l'instant où je vais vraiment, ou enfin, mourir, dans des souffranes encore pires que tout ce qu'elle m'a fait endurer, mais surtout atteindre enfin la délivrance.
Avec tout ce qu'elle a forcé à entrer dans mon corps, tous mes organes distendus devraient me tordre d'une douleur insupportable, mais même pas. Pourtant, il va bien y avoir un momet où l'hémorragie interne va s'amplifier, où je vais me vider de mon sang, et mourir sous ses yeux moqueurs !

« Tu veux essayer de dire quelque chose ? »
Cette salope sait bien que je ne peut rien dire, avec ce gode qui me distend la gorge !
« Hummppfff »
Ca ne veut rien dire, et je la vois ricaner.
« Oouuuummmppphhhh »
Même échec de parole, mais Elisabeth est tout près de moi.

2
Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: lundi 23 juillet 2018, 07:21:40 »
« Voilà ! Jouis ! Jouis comme une pute ! »

Elisabeth n'attendait que ça. C'est aussi moi qui ai incité ces va-et-vients malgré moi, en essayant de me retenir pour ne pas mourir pendue.
Elisabeth n'est pas calmée ! Elle tire plus violemment encore, et la corde casse, le morceau autour de mon cou restant comme un collier, pour me rappeler le collier de chienne qu'Elisabeth m'a mis pour arriver ici.

Je ne peux même pas pousser un cri, tant cette libération s'accompagne d'une douleur inouïe. La gravité, la seule gravité, m'a fait descendre d'un coup sur le gode. Je n'ose imaginer l'état de ma chatte, ni comme doit être l'intérieur de mon corps.
Elisabeth a détruit ma virginité.
Elisabeth a détruit ma chatte, temple de jouissance quand on fait l'amour.
Elisabeth a détruit mon corps, et anéanti tout ce bonheur d'enfanter.
Elisabeth m'a détruite, mais elle est insatiable dans cette perversion.
Elisabeth tire avec violence et continuité.

Je sens ce monstre se frayer un chemin. Je le sens même écarter la batte de base ball désespérément figée en moi. Je ne sais même plus où en est le seuil de la douleur, car la chose glisse dans ma chatte avec des flic et des floc honteux. La chose remonte jusqu'à ce que le gland me sorte entre les lèvres. Je voudrais hurler mon effroi, mais je ne peux même pas !

Je suis un mélange de poupée gonflable et de pantin désarticulé, empalé sur une immense tige de caoutchouc en forme de sexe, avec un anus à la limite de la rupture par un autre immense en bois. Je ne comprends pas comment c'est scientifiquement possible, car je devrais être morte depuis longtemps. C'est comme si Elisabeth jouait de la matière de mon corps, de ma résistance, de ma vie.

Et, avec le regard sadique et satisfait qu'elle a, je m'attends au pire.

3
Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: dimanche 22 juillet 2018, 19:39:15 »
Même mon père, dans ses pires abjections médicales, n'aurait pas imaginé qu'un corps puisse se distendre comme le mien, que des orifices puissent être ouverts comme les miens, que des corps étrangers puissent y entrer en un tel volume.
Même ses amis peu fréquentables n'auraient pas osé, envers leurs ennemis, des tortures aussi immondes que ce que me fait subir Elisabeth. Eux, avec une femme, ils violaient puis tuaient. Elisabeth, au contraire, savoure son plaisir. C'est une folle, c'est une malade.

Un craquement plus important annonce que la corde poursuit son oeuvre. Je ne peux pas résister, malgré mes bras qui donnent tout ce qu'il leur reste de force, car Elisabeth tire sans cesse mes jambes vers le bas.
La batte de base ball semble figée dans mon cul, ayant fait son oeuvre dévastatrice, tandis que le gode continue de faire son oeuvre troublante.

Elisabeth ricane, en tirant encore un coup sec sur mes jambes, et un "Ouuuiiii!" incongru sort de ma bouche, manquant me faire lâcher la corde, tant cela secoue mon corps.
Je viens de jouir, malgré moi. Je pleure. Je n'ose même pas regarder Elisabeth. Elle tire à nouveau un coup sec sur mes jambes. Ca ne s'arrêtera donc jamais?

4
Salles de cours et bibliothèque / Re : Virginité & Littérature. [Verena]
« le: dimanche 22 juillet 2018, 07:06:26 »
La corde semble grapiller quelques millimètres à chaque fois. Je ne tiendrai plus longtemps, car mes bas sont tétanisés. Mais ce n'est finalement rien, face à la douleur qui irradie mon cul. Même les trois salauds, même le pseudo phallus d'Elisabeth, tout ça n'était rien à côté de ce monstre, que mes leçons d'anatomie assurent avoir détruit une partie de mon corps. Ce que je ne comprends pas, c'est que ma petite rondelle, ou du moins ce qu'il en reste, serre assez fort cette batte pour la garder au lieu de l'expulser. *Oh Verena, ne me dis pas que tu aimes ça !*. Je dois mourir, pour mettre fin à ça, mais mes mains ne m'obéissent pas.

« Ne meurs pas tout de suite, je reviens. »
Elisabeth s'en amuse autant que je souffre. Rester en vie, c'est lui offrir tout ce qu'elle veut dans ma déchéance. Mais puis-je encore tomber plus bas ?
Je ne peux même plus battre des jambes pour essayer de soulager le poids de mon corps, tant la batte me bloque la taille.
Alors, quand je vois le monstre que ramène Verena, je sais que je ne tiendrai pas.
« Nooonnnn ! », c'est sans doute le dernier cri que je pousserai.
 Je n'ai jamais vu de gode pareil ! Il peut me transpercer pire qu'une arme.

« Si tu veux vivre, tu vas devoir te le prendre dans la chatte pour te surélever un peu. »

Elisabeth n'a pas eu la moindre hésitation, et ce nouveau monstre me transperce avec le mouvement qu'elle imprime à ma taille.c'est passé tout seul dans ma chatte, comme si ça glissait dans l'humidité. J'ai même cru entendre un étrange floc. Quelle horreur !
J'essaie de me surélever, tirant sur la corde pour me remonter, mais mes bras fatiguent, et je redescend plus encore sur ce monstre qui s'enfonce en moi de mon seul fait. Je vais exploser avec ces deux machins !

Elisabeth me regarde, ricanant, je le sais, m'empaler toute seule sur ce gode.

5
Salles de cours et bibliothèque / Re : Virginité & Littérature. [Verena]
« le: samedi 21 juillet 2018, 19:10:34 »
J'ai honte, j'ai trop honte, mais je ne dois pas craquer. Pourtant, après ces heures de violence, la langue d'Elisabeth est un plaisir merveilleux, qui laisse s'échapper un « Huummm » bien malgré moi..
Mais je devrais savoir qu'avec Elisabeth un plaisir est toujours assorti d'une souffrance, et elle tire aussi sur mes jambes, comme pour que la pendaison fasse son œuvre, m'arrachant, cette fois, un « Arrrgghh ! », alors que j'ai vraiment cru y passer

Je me redresse comme je peux, mais je quasi décoll vers le haut, quand je sens un objet rond en bois forcer mon anus. La batte de base-ball. Elisabeth la pousse avec une insistance inouïe, alors que mon poids me ramène vers le bas, comme me poussant à prendre dans le cul un truc encore plus gros que son pseudo phallus.

Je n'arrive plus à me soulever, je suis sure qu'elle m'a déchiré l'anus, mais je ne peux même plus parler, tant j'essaie d'économiser mes forces pour ne pas finir pendue.

Mes forces faiblissent, je le sais, et l'image horrible que j'ai de ma mort, est de finir pendue, enculée sur une batte de base-ball. L'horreur absolue, la seule image qu'on gardera de moi, une salope puant la pisse finissant ainsi.

Et, sous les yeux d'Elisabeth qui affiche toujours son sourire sadique, je me sens faiblir, mes bras faiblissent aussi, la pression de la corde est plus forte sur mon cou, et ma vessie me lâche, sans que je comprenne comment je peux uriner, quasiment assoiffée depuis la veille au soir.

6
Salles de cours et bibliothèque / Re : Virginité & Littérature. [Verena]
« le: samedi 21 juillet 2018, 15:13:13 »
Je m'accroche comme je peux, mais je sais que ma force me lâchera. C'est incroyable que, d'un simple doigt, Elisabeth parvienne à me soutenir, pour récupérer un peu, reprendre mon souffle. Comment puis-je être aussi lubrique, pour être fière qu'elle viole ainsi mon cul ? Sans oublier que je ressens de violentes décharges, que je ne comprends pas, mais qui font mouiller ma chatte. Après tout ce qu'elle m'a déjà fait subir, ce n'est quand même pas juste un doigt qui me met dans cet état dont j'ai honte.

Je me moque de ses délires, je lui dis juste : « Elisabeth, arrête ça, je t'en supplie ».
Mais, pour toute réponse, elle enlève son doigt, et je retombe tout aussi violemment, le noeud marquant mon coup dans un craquement bizarre. Je fais encore un effort surhumain, mes bras agrippent la corde qui tombe du plafond. Je me suis encore sauvegardée, mais pour combien de temps ?

7
Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: vendredi 20 juillet 2018, 23:15:36 »
Ca ne se programme pas, surtout quand ça vient d'une autre. Je n'ai pas demandé à mourir, ni à ce moment, ni comme ça.
« Alors ma chienne ? La vie ou la mort ? »
Dans un élan qui m'échappe, malgré mon corps endolori, mes bras se dressent instantanément au dessus de ma tête, saisissent le corde comme ils peuvent. Mes muscles se tendent, dans une posture improbable, pour essayer de relever mon corps et soulager cette pression. Je tousse, je hoquette, mais je mets toute mon énergie. Mes jambes battent l'air, comme pour chercher un appui. Aussi légère que je sois, je ne tiendrai pas longtemps, et le regard sadique d'Elisabeth n'est pas une invitation à rester en vie sous sa coupe.

8
Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: vendredi 20 juillet 2018, 16:33:56 »
Rien n’arrêtera Elisabeth, elle ne sera sensible à aucun de mes mots.
« Honte ? Mais nous ne sommes que deux ici ma petite chienne. D'ailleurs ne bouge pas. »
Ces mots me rassureraient presque, par la relative discrétion qu’ils évoquent, mais ne me rassurent pas du tout quand, à la suite, elle s’éclipse de la pièce. J’aurais pu espérer que ma jouissance, car c’en était vraiment une, apaiserait sa folie, mais je n’y crois même plus.

Quand je la vois arriver, quand je vois ce qu’elle a en mains, je hurle « Nooonnnn ! », comme si les murs pouvaient transpirer mon effroi. Mais ça ne l’arrête pas.
« Allez, crie. Ça t'apprendra à me résister. »
« Noooonnn ! », mon nouveau cri se perd en écho dans les murs.
L’eau me brule atrocement, partout, pire encore que tout ce qu’elle m’a fait subir depuis des heures.

Je suis anéantie, meurtrie, et Elisabeth trimballe mon corps comme un fétu de paille. Tout au plus la vois-je mettre une corde au plafond, sens-je la corde passer autour de mon cou. La mort enfin, la délivrance !
J’ouvre mes yeux, regarde Elisabeth, et, quand elle avance son pied, parce que, même ainsi, je sais qu’elle va le faire, je lui dis, avec tout le peu de forces qu’il me reste :
« Merci de me délivrer »
Et le tabouret vole d’un coup de pied.

Surtout, ne pas lever mes mains, ne pas m’accrocher à cette vie dont elle a fait un calvaire, et dont elle ferait un enfer. Surtout, ne pas, dans un ultime geste… mais mon corps m’a déjà désobéi en jouissant, alors je ne suis plus sure de rien.

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Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: vendredi 20 juillet 2018, 06:34:42 »
Je ne parviens pas à retrouver mon souffle, ni à stabiliser mon corps, agité de tremblements. Je sens juste des giclées au fond de mon anus, comme si Elisabeth avait joui de m'avoir vaincue, de m'avoir faite céder, de m'avoir vue jouir. Oui, j'ai joui, malgré moi ! Comment peut-on éprouver du plaisir à être traitée ainsi ?

J'entrouvre les yeux, pour voir, hallucinée, ce phallus qui était venu de je ne sais où, comme se rétracter, et Elisabeth redevenir une vraie femme, et m'arroser de vraie mouille, comme celle qui me coule entre les jambes, mélangé à... son sperme ! Même mon chirurgien fou de père n'a jamais inventé de phallus rétractile, même moi je n'ai jamais vu ça dans les livres de médecine.
« Mais, qui es-tu, Elisabeth ? »

Ma question demeure sans réponse ; elle est toute à son extase, aussi écroulée que moi.
« Hmmm... ma petite chienne... »
Elle a pris mon plaisir par la force ; elle m'a violée, après avoir massacré ma virginité !
« J'ai honte ! »
Elle s'en moque, elle me lèche de partout, comme une petite chienne justement. Et mes douleurs disparaissent, comme par... je ne sais quoi. Je ne ressens plus ma gorge martyrisée par le chaîne, ma dent cassée, les contusions au visage, les coups de pied dans le ventre, le bas-ventre broyé par ce phallus... rétractile. C'est comme si elle m'avait toute guérie, sauf ces courbatures qui demeurent en moi, vestige de tous ces coups de reins que je ne saurais compter, d'Elisabeth comme des trois salauds, comme aussi ce sperme qu'elle a léché sur ma peau mais dont des quantités demeurent en moi, avec soudain l'horrible image qu'un monstre pourrait ainsi m'engrosser.

Pourtant, Elisabeth est tendrement blottie contre moi, presque comme deux amantes normales. Mais ça ne dure pas ! Car Elisabeth ne peut s'empêcher de se lever, cassant cet apaisement, pour encore m'uriner dessus. J'ai peur, je suis, entre ses mains, comme un jouet qu'elle peut démolir et reconstruire à sa guise, un jouet qu'elle peut aussi faire jouir en m'ôtant tout contrôle, un jouet qu'elle m'a dit vouloir baiser jusqu'à la fin des temps.

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Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: jeudi 19 juillet 2018, 23:03:36 »
C'est peut-être un effet que je ne connais pas, mais c'est comme si le phallus avait encore augmenté de volume, à moins que ce ne soit moi qui me sois contractée. Le résultat est que je me sens plus remplie encore, plus détruite aussi.
Mes hanches, qui étaient collées au sol par la violence des poussées d'Elisabeth, s'en décollent maintenant ! Quand elle retire rien qu'en partie ce phallus, pour me pistonner plus fort encore, ce sont mes hanches qui vont au devant, comme pour le supplier de revenir

« Hmmm... aaahhh... haaaan... t'es tellement tenace... que... je dois me retenir... »


Je ne maîtrise plus rien ! Je ne me retiens plus ! Un « Oooohhh ! » violent sort, alors qu'Elisabeth vient de me claquer au sol d'un de ses coups de queue. Je n'ai même pas le temps de réaliser que le coup suivant est ponctué d'un « Encoreeeeeee ! » que je ne maîtrise pas.
Je sens qu'Elisabeth se déchaîne, mais mon corps ne m'appartient plus. Une vague nouvelle et inconnue est en train de monter. Je me tends comme un arc en avant, rassemblant le peu de forces qui me restent, ignorant la chaîne enfoncée dans la peau de mon cou, ignorant les pinces qui meurtrissent mes tétons, juste pour mieux sentir cette main qui me distend la chatte, et ce pieu qui me défonce le cul, et hurler « Ouuuiiiiiiiiii ! » en m'agitant de soubresauts incontrôlés.
Je jouis, oui je jouis, oui Elisabeth vient de me faire connaître la jouissance, pour la première fois véritablement, une jouissance que j'ai retenue si longtemps, mais qui me submerge toute entière.

Que se passe-t-il ensuite ? Je ne sais pas. Elisabeth continue-t-elle ses va et vients ? Je ne sais pas. Je m'écroule comme une loque, comme un pantin désarticulé.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Virginité & Littérature. [Verena]
« le: jeudi 19 juillet 2018, 18:16:09 »
Je ne peux plus parler, à peine respirer. Ma gorge est serrée à être étranglée, mon nez se remplit de je ne sais quoi, mes yeux tournent hagards.
Mon corps n'est plus sous ma commande, mes reins viennent en avant.
« Noonn ! », ce n'est qu'un faible murmure, pour trahir cette perte de contrôle, avant qu'un deuxième coup de reins n'envoie encore mon corps en avant sur ce phallus immonde.

Mes ongles raclent le sol, cherchent à s'accrocher à quelque chose, mais en vain. Mes fesses sont soulevées de terre par les coups de boutoir, quand part la première giclée.
« Allez, jouis ! Pisse, gicle ! »
De l'urine, je ne comprends pas ! C'est comme si ma vessie trop comprimée par ce phallus, ces doigts, je ne sais plus, devait se soulager. Avec ma posture, ça part comme en geyser, avant de retomber, et je vois, horrifiée, Elisabeth s'en délecter. Après le premier, un autre, comme par saccades. J'ai rouvert les yeux, je vois Elisabeth, langue sortie, attendant la suite.

Elle ne cesse malgré tout de me pilonner l'anus. Et c'est alors que la troisième décharge intervient, un hurlement comme il peut, tant ma gorge est serrée, un cri indéfinissable, alors que mes hanches vont au devant de ce pieu de chair.

Mes yeux sont remplis de larmes, mais je ne comprends pas comment j'ai soudain retrouvé une telle lucidité. Si ma vessie semble apaisée, c'est un autre tonnerre qui se prépare. Je ne pourrai pas le contrôler davantage !

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Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: jeudi 19 juillet 2018, 17:10:14 »
Après tout ce que m'ont mis les trois salauds, Elisabeth continue, les jets brûlants viennent taper au fond de mon anus, les bruits sont immondes, le trop plein fait s'écouler du sperme au dehors, je le sens. Son horrible engin a l'air inépuisable, et il est au service de sa perversité.
Avec ses doigts qui broient ma chatte, distendent mes lèvres intimes, s'en servent comme d'un jouet auquel on peut tout faire subir, j'ai l'impression d'avoir un bas-ventre à la fois creux, dilaté, rempli, prêt à se disloquer.

« Tu aimes ! Tu aimes, tu vois ! Je vais continuer jusqu'à ce que tu en redemandes ! »

La phrase d'Elisabeth me cueille au moment où une très violente décharge zèbre mon bas-ventre. Atroce, mais pas douloureuse, bien au contraire. Je devrais m'évanouir, je ne sais comment je tiens. Assez lucide pour subir ce martyre, assez lucide pour entendre des bruits insolites venant de ma chatte, comme si les doigts d'Elisabeth baignaient dans de la mouille.
Ce n'est pas possible !
« Non ! Jamais je ne cèderai. »

Je sais que je la rends folle,car elle manque m'étouffer de plus en plus. Je sais que le manque d'oxygène peut décupler ces moments-là. Mais, si elle continue, la mort sera peut-être ma délivrance. Je dois tenir !
« Tu ne vas jamais mourir ! Je te baiserais jusqu'à la fin des temps ! »
Sa phrase cueille mes derniers espoirs. C'est quoi la fin des temps ? L'Enfer aussi ? Je ne le sais pas, mais je sais qu'une deuxième décharge, encore plus violente que la précédente, vient de traverser mon bas-ventre, et s'est traduite par un « Ooohhh ! » très sonore.

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Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: jeudi 19 juillet 2018, 14:08:09 »
C'est de pire en pire, je suis ballottée, mon corps doit se disloquer, mes entrailles ne doivent être que bouillie. Mais c'est angoissant, plus la douleur monte, plus la frontière avec le plaisir devient légère.

Elisabeth ne s'arrêtera jamais, malgré mes larmes, et je sens les froids maillons de la chaîne serrer mon cou.
Ma liberté est peut-être là ! Alors, face à elle, les jambes relevées pour mieux asseoir sa position et m'enculer en me regardant souffrir, je la regarde les yeux dans les yeux, après un nouveau :
« Huummm... sluuuuurp... continue, continue de pleurer... »
Et je trouve la force de lui dire : « Continue, Elisabeth, tu vas me tuer, tu me délivreras » entre deux sanglots.

Pour toute réponse, je prends un nouveau coup de phallus, d'une violence inouïe, claquant mon dos au mur, violent comme s'il avait achevé de détruire mon intérieur.
La gorge comprimée, je suffoque, je respire comme je peux.

Je sais que je l'ai provoquée, et je trouve encore la force de hurler quand le métal froid de deux pinces enserre d'un coup sec mes tétons.
Mes tétons dressés ! Pourquoi ? L'a-t-elle remarqué ?

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Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: jeudi 19 juillet 2018, 07:42:28 »
Je ne sais quelle douleur est la plus forte, ce phallus irréel et qui me laboure pourtant l'anus, ces violences gratuites de me tirer les cheveux ou de me mordre, ou bien cette déchéance où mon corps serait parfois complice de m'entraîner.
Oui, je me bats contre moi-même, et je ne comprends pas ! C'est vrai que, quand ces trois salauds m'ont violée, j'ai eu un moment où j'aurais pu basculer. C'est vrai que, ce matin, sous la saillie d'Elisabeth, j'aimerais céder, tendre mon cul, et jouir tant ça me trouble.
Mais non !

« Sale pute, tu vas crier oui ? Pourquoi tu ne dis rien, connasse ?! »
Elisabeth en est furieuse, elle voudrait peut-être que je lui dise que j'aime, et que j'en veux encore. Mais où cela m'entraînerait-il ? Elle m'a jetée contre le mur avec sa violence devenue banale avec moi, avant de m'envoyer un nouveau coup de pied. Mais ma seule réaction est la montée de larmes.

J'ai même l'impression que ses coups de boutoir sont de plus en plus violents. Pourtant, elle me fait désormais face, et elle peut voir mes larmes, mais n'en a cure. Je serre les poings, mes fesses me font mal battues à sang, mon anus me fait mal écartelé avec rudesse.
Je dois tenir. Céder serait la ravir. Je ne suis pas un objet, je ne suis pas sa chienne, je suis Verena, fière et intègre !

15
Salles de cours et bibliothèque / Re : Virginité & Littérature. [Verena]
« le: mercredi 18 juillet 2018, 21:09:31 »
Il n'y a aucune lumière qui filtre, je ne sais ce qu'il en est de la nuit ou du jour, quand je sombre dans le sommeil, après le dernier cauchemar. À chaque fois, ces horreurs m'éveillent, parce que je me débats, parce que je tire sur ce collier, donc sur la chaîne.

Le dernier cauchemar de la courte nuit est le pire, violent, abject, révélateur de mon état à néant décidé par Elisabeth. Mon bas-ventre est labouré par l'immonde phallus qu'elle a de je ne sais où. Mon anus, qu'un des trois salauds à davantage broyé, subit ds coups de boutoir ininterrompus.

Le réveil est brutal, mais ce n'était pas un cauchemar. Elisabeth me chevauche, comme un homme, et m'encule encore, faisant des allers et retours contre mes muqueuses pas préparées. Elle a forcé l'entrée, c'est sûr, tant j'ai mal

« Hmmm... haaaan... haaan... »
Elle prend son pied. À chaque coup de reins, mon corps vole en avant, et elle recommence aussitôt, plus fort encore. Je suis anéantie, je ne dis plus rien, j'essaie de me concentrer pour ne pas trop souffrir.

Mais Elisabeth ne doit pas aimer que je ne dise rien ! Elle tire mes cheveux sans ménagement, m'obligeant à écouter ses menaces :
« Hmm... dorénavant je te réveillerais chaque jour d'une manière brutale, toujours différente pour que tu ne puisses jamais t'y préparer. »

C'est clair, elle n'arrêtera jamais.
« Elisabeth, laisse-moi, arrête ! »
Je sais que ma prière ne servira à rien ; il me reste deux choix, la liberté ou la mort, si je ne veux pas sombrer plus encore sous sa folie.

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