Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Hikari Minamoto

Pages: [1] 2 3 4
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Dortoirs et douches / Re : Le temps d'une douche [pv cassidy green]
« le: dimanche 04 janvier 2015, 00:04:02 »
Cassy bougeait enfin en moi bien que trop lentement à mon goût. Elle gémissait et m'embrassait dans le cou, me donnant un aperçut de ce que j'aurai surement juste après.

_ « J’en avais assez… et puis, je suis sure que tu n’attendais que ça… non ? »

Une remarque pleine de bon sens qu'elle venait de prononcer là.

_ « Huuum... Ouais. J'attendais bien cela. Enfin je ... aah »

Cassidy venait de relever ma jambe pour me prendre d'une manière que je n'avais pas vu venir déclenchant chez moi un cris aussi bien de surprise que de plaisir. Je me laissais faire, lachant des gémissements légers. Quelques instant plus tard, je me libérai de Cassy pour lui faire face et l'embrasser.

_ « Tu m'as surprise tu sais ? Maintenant laisse moi faire et prépare toi à une nuit d'extase. On va réveiller tout le bâtiment, ok ? »

Je saisie le membre de ma partenaire, pratiquant quelques vas et viens pour la maintenir en forme et l'exhortait en la poussant légèrement à s'allonger par terre.
Ceci fait, je m'assis sur son membre, sans me pénétrer avec pour me frotter contre celui-ci juste le temps de rabattre les mèches qui me tombaient sur le visage.

Je m'empalais alors sur elle, jetant un rale de plaisir et commançant à chevaucher ma partenaire.

2
Prélude / Re : Une perle rare mise en vente.
« le: samedi 12 juillet 2014, 01:49:27 »
Bienvenu kazuki... Euh kagami 8D

* se demande si les grelots de kagami pourrait servir a kazuki  ::) *
* déplore au passage que l'héritier des fuuchoin soit autant représenté en femme sur les fan art *

3
Dortoirs et douches / Re : Le temps d'une douche [pv cassidy green]
« le: lundi 07 juillet 2014, 20:49:32 »
Je sentais le mur froid des douches contre ma peau, attendant que la belle hermaphrodite à laquelle je tournais le dos me fasse l'honneur de me rejoindre. Le mur se réchauffait peu à peu au contact de mes seins, mon dos était pris de frisson sous les caresses de Cassidy et son souffle chaud venait se faire sentir dans ma nuque. Je me laissais faire, tranquillement, me laissant aller au rythme du souffle de Cassy. Ma tension descendait, mon stresse diminuait et mon désir augmentait.
Me redressant légèrement, je passais mes bras derrière la nuque de ma camarade, réagissant d'un simple et léger soupir à son membre qui me frôlait délicatement.

_ « Tu m’as fait attendre, alors, tu vas attendre un peu, toi aussi… »

Sur ces mots, Cassy passa ses mains sur mon ventre et mes seins, me faisant esquisser un sourire.

_ « Tu vois Cassy, même sous la douche, je reste chatouilleuse »

Une remarque simple et sans intérêt mais, en ce moment, plus rien n'avait d'intérêt en dehors de cette pièce. J'y étais et je voulais y rester, je voulais continuer de sentir les caresses de la demoiselle. Et mon souhait fût exhaussé durant quelques instant bien venus. Nous étions là, toutes les deux, nos corps collés, dans cette salle où seul l'eau et nos soupires pouvaient se faire entendre, le temps figé, jusqu'au moment où Cassidy se décida à pénétrer mon intimité.
Un coup sec et elle fût en moi, me ramenant au moment présent.
Je penchais un peu plus ma tête vers l'arrière afin de voir son visage.

_ « Alors ? Tu ne pouvais plus attendre ? » dis-je en suivant cela d'un petit rire.

Voulais-je vraiment que le moment précédent se termine ? Je n'en savais rien mais une chose était claire. J'étais réveillée et ma vigueur m'avait retrouvé alors Cassidy et moi allions redonner vie à ces douches maintenant bien trop silencieuses.

4
Les alentours de la ville / Laissez moi rêver de cette toile
« le: lundi 21 janvier 2013, 23:56:48 »
Une fin de journée heureuse, des rires qui s'éloignent, voilà ce qu'est le moment présent. Une scène joyeuse et enthousiaste, une scène que certains envie et que d'autres rejettent. Mais moi je m'y faisais, j'aimais ces « au revoir » pleins de joie et de bonne humeur, promettant de nouvelles joies futures. Même si cela était toujours suivit d'une foule dense, pleine de fatigues, de rage, de joie, de tout ces sentiments mêlés et contradictoires qui la formaient. Pourtant, le fait de rester à l'écart n'est pas toujours la solution. Fuir la foule, fuir la société et se retrouver seul, en retrait, marchant à l'écart du reste et des autres, voilà ce que je faisais à l'heure actuelle. Pourquoi autant d'histoires pour le simple fait de marcher en retrait ? Après tout, je ne faisais rien de mal, j'aimais juste ma tranquillité et mon espace. Mais cela ne m'apporta ce soir rien de bon, rien de plus qu'une libération. Je tournais la tête vers la route que je traversais, et tandis que le groupe devant moi finissait de traverser, je vis ce qui m'entraîna à terre sans plus attendre.
Je restais seule, couchée sur l’asphalte chaud de la rue tandis que le couché de soleil resplendissait plus que jamais de beauté devant mes yeux.
Les nuages dansaient au gré du vent, le Soleil brillait de milles feux et sa lumière blanche et si douce se déversait sur le monde qui m'entourait, sur toutes ces personnes qui se groupaient autour de moi mais qu'importe. Comme le rêve qui se brise chaque matin, le temps s'arrête parfois, laissant seul un individu se perdre dans le néant, oubliant tout ce qu'il eût, oubliant tout ce qu'il fût. Qu'est-ce qu'un Homme ne sachant plus qui il est ? Qu'y a t-il comme avenir pour une personne ne pouvant se reconstruire d'avenir ? Après tout, ces questions ont-elle de l'importance ? De simples questions sans réponse, qui n'en auront jamais et qui ne me concernent plus.
Je regardais toujours ces nuages au dessus de moi, je souriais à leur simple vu, imaginant une toile des plus belles où s'opposeraient couleurs chaudes et couleurs froides, où cette opposition serait parfaite, où rien de plus ne pourrait être ajouté. Mais malheureusement, mon esprit sera le seul peintre de cette œuvre et cela était ainsi. Je la voyais et le monde ne la connaîtrait jamais. Un sort injuste ? Peut être. Un intérêt nul ? Sûrement. Mais laissez donc rêvez de si belles choses une jeune femme pleines de rêves maintenant inaccessibles.
Le choc fût violent, rapide et indolore. J'étais simplement là, oubliant peu à peu le ciel lui même et ses couleurs flamboyantes. J'étais seule, je me voyais telle que j'étais ce soir, telle que j'aurai dû être, et telle que j'aurai pû devenir. En ces moments là, devons nous regretter une dernière fois ? Ou bien devons nous être fier de ce que nous sommes ?
J'étais heureuse, j'étais fière. J'avais pu m'adonner à mes passions et je ne regrettais pas même l'instant présent. Une bien curieuse manière de finir la toile de sa vie n'est-ce pas ? Ne regrettant rien, s'effaçant peu à peu pour ne laisser place qu'aux souvenirs et à la tristesse.
Certains disent que nos vies se maintiennent tant que l'ont se souvient de nous. Mais les souvenirs s'effacent, laissant place à de nouvelles joies et de nouvelles tristesses. Pourquoi peignons nous ? Pourquoi sculptons nous si ce n'est pour ne pas oublier. Alors je vivrai toujours tant que l'on pensera à moi, tant que quelqu'un sera là pour laisser couler des larmes de peine.
La vie apporte la joie, la mort la reprend. Pour les gens que nous chérissons, mieux vaut-il pas que nous sombrions dans l'oubli ? Pourquoi laisser souffrir inutilement nos êtres chers alors qu'il serait si simple d'oublier, de s'effacer et de les laisser vivre. Un sort égoïste de notre part. Alors que nous nous endormons, ils restent éveillés et souffrent, pleurent et vivent. J'avais de la peine pour tout ces gens. Ma mère qui fût si douce avec moi. Jamais je n'aurai connu le plaisir de l'être à mon tour. De donner le même amour que j'ai reçu, de donner la vie tout simplement. J'aurai voulu connaître cela, je l'avoue. J'aurai bien renoncé à toutes mes dérives pour cela, si seulement le temps m'avait été donné. Finalement, je m'endors dans le regret et dans un dernier rêve. Hikari Minamoto, mère de famille, aimante et aimée, une bien belle toile que moi même, je n'aurai pu voir. Alors, laissant couler une larme sur ma joue et laissant perdurer sur mon visage un sourire de joie, je pus enfin m'endormir.

Père, Mère, les amis... merci pour cette si belle toile.

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Dortoirs et douches / Re : Le temps d'une douche [pv cassidy green]
« le: lundi 21 janvier 2013, 22:37:20 »
A n'en pas douter, cette nuit devenait fortement intéressante et mes précédents soucis disparaissaient, laissant place à des pensées pleines de bon sens. Une telle situation était des plus plaisante et la jeune demoiselle, Cassy comme elle le souhaitait, était des plus entreprenante. Je prenais plaisir à sentir la main de celle-ci sur mes seins et qu'elle ne fût pas mon bonheur lorsqu'un doigt vint explorer l'intimité de mon corps. Je sentis alors le membre de la demoiselle se glisser entre mes cuisses. Tranquillement, je resserrais mes jambes sur cette verge pour la bloquer là ou elle était et je torturais Cassy à l'aide de quelques caresses sur son gland.

« Alors ma belle ? Ça te plaît ? »

Je jouais avec le corps de Cassy, la caressant de mon mieux afin de la soulager de la tension qu'elle avait en arrivant. Après tout, il y avait de grandes chances que son but était purement et simplement de se satisfaire en s'adonnant à quelques caresses sur sa verge. Et au lieu d'un plaisir solitaire, la voilà tombant devant mon corps nu. J'espérais lui faire de l'effet et continuais de gratifier son corps à l'aide de mes mains.
Je finis alors par la libérer, m'avançant tranquillement vers le mur devant moi. J'y collais mes seins, les frottant légèrement dessus avant de me pencher peu à peu, offrant aux yeux de la belle hermaphrodite une vue imprenable sur mon intimité.

« Tu viens ? Je te laisse faire ton choix ma belle et non, comme tu l'as dis, je ne suis plus vierge »

Je laissais alors échapper un petit rire, attendant de pouvoir sentir en moi la verge de la demoiselle. Une bien belle scène en perspective qui s'offrait à moi.

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Archives / Re : Re : Notre histoire
« le: lundi 21 janvier 2013, 22:07:21 »
Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur

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Archives / Re : Notre histoire
« le: lundi 21 janvier 2013, 19:00:24 »
Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra

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Archives / Re : Notre histoire
« le: lundi 21 janvier 2013, 13:19:40 »
Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de

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Une journée à peindre. Que demander de mieux ? J'avais commencé cette merveilleuse journée au bord d'un étang, peignant l'harmonie de celui-ci. Quelque peu perturbée par les élèves trop sérieux à mon goût qui se précipitaient en cours à intervalles réguliers, je peignais en chantonnant quelques airs enjoués, profitant de l'air frais de cette douce matinée. Une matinée qui se prolongea jusqu'au déjeuné où deux de mes amies vinrent me rejoindre avec de quoi se restaurer. C'est qu'à force, elles commençaient à me connaître ces deux là.
Les minutes passèrent et les rires se multiplièrent tandis que la nourriture diminuait.
Nous restâmes ainsi pendant longtemps, une puis deux heures avant de décider de rester deux nouvelles heures.
Une journée bien constructive n'est-ce pas ? Pas du tout ? Et bien chacun son point de vue.
Nous continuons de discuter et ce jusqu'au moment où je partis en hâte rejoindre mon cours de peinture. Et oui, pour rien au monde je ne l'aurai loupé celui là.

Assise devant ma toile blanche, observant le professeur qui s'évertuait comme d'habitude à nous répéter des inepties et nous dégoûter plus qu'autre chose, j'attendais le moment où il se déciderait enfin à se taire après nous avoir dis de commencer.
Ceci fait, je soupirais de soulagement, pouvant enfin laisser ma main s'exprimer librement. Je saisi ma palette, y disposa les couleurs nécessaires et commençais ma toile, y plaçant minutieusement chaque coup de pinceau.
Les couleurs apparaissaient, les couleurs se mélangeaient, dansaient entre elle et s'opposaient par points.Je fredonnais un air doux, penchant légèrement la tête pour voir d'un angle nouveau mon tableau. J'étais à court d'inspiration cette après midi... Le tableau ne m'emballait pas et... je fus interrompue dans mes pensées. L'étudiante devant moi m'avait regardé et s'était aussitôt retournée. Cela m'intriguait et je l'observais longuement. Je regardais chacune de ses mèches bleues qui s’entrelaçaient, ses mouvements de pinceaux maladroits ainsi que son apparence en générale. Une bien mignonne étudiante et elle me paraissait comme étrangère au monde la peinture. Elle était là certes, mais on voyait bien que cela n'était pas fait pour elle.
Un sourire éclaira mon visage et d'un coup sec, je recouvris ma toile de peinture blanche. Je recouvrai l'intégralité de mon tableau de cette peinture qui me permettrait de recommencer.
Je m'étirais légèrement, attendant que la peinture soit suffisamment sèche pour que je puisse reprendre. Je laissai alors de nouveau mon pinceau danser sur la toile, reproduisant avec soin chacune des mèches de la jeune femme que je voyais de dos.
Une représentation sobre de la demoiselle, une peinture d'elle vu de dos mais dont se dégageait ce que je recherchais. Un mélange de calme, de sérénité ainsi que solitude. Une solitude qui pesait sur l'ambiance de ma toile et dont je n'étais pas peu fière. Je voulais représenter cette demoiselle comme je la voyais, perdue dans un monde qui ne lui appartenait pas.
Le temps défilait et avec lui ma toile reprenait une nouvelle forme, une forme que je voulais la plus parfaite possible et représentant au mieux la beauté de la demoiselle.
Une sonnerie, les étudiants sortaient et le professeur se précipita hors de la salle mais je restais, n'ayant encore terminé ma toile. J'avais l'habitude de rester après le cours et parfois jusqu'à ce qu'un surveillant me chasse de la salle sous prétexte qu'il devait fermer les salles.
Dans tout les cas, quelque soit l'issue de cette journée, pour le moment je peignais, coup par coup sur ma toile pleine de teintes et de beauté.

10
Vous nous quittez déjà ? / Re : Keiren
« le: dimanche 20 janvier 2013, 20:26:58 »
Bonsoir à tous ^^

Ayant arrêté tout mes autres forum rps et souhaitant continuer cette activité, j'ai décidé de continuer de jouer Hikari sur ce forum, mais seulement Hikari. En effet, Keiren ne m'inspire plus et je ne rejoue Hikari que car j'ai encore la possibilité de la faire évoluer et ainsi de retrouver intérêt au rp.

Désolé pour l'attente de certains avec Hikari ainsi qu'à tout les partenaires de Keiren.

(keiren sera joué par moment mais bien moins que hikari)

11
Vous nous quittez déjà ? / Re : Keiren
« le: samedi 12 janvier 2013, 23:43:38 »
bonsoir à tous.
suite à le difficulté de mon premier semestre, je me remet totalement en question et comprend enfin que j'ai fais passé le rp avant le travail depuis bien trop longtemps. je ne peux pas continuer ainsi et vous dis donc adieu.
je suis désolé pour tout mes rps. j'aurai voulu les terminer et en commencer d'autres mais là je ne m'en sens pas capable.

Alors au revoir lgj, mon court passage sous keiren et hikari fut un plaisir.

12
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 11 janvier 2013, 20:36:14 »
un sujet a été locké pour flood ce matin. 1 page et demi en une journée, la raison est compréhensible 'o'
mais pourtant il y a eu plus de flood sur celui-ci owo plus de deux pages en une journée °^°

*bug complètement suite à cette découverte*

20h36

13
Archives / Re : Kama sutra
« le: vendredi 11 janvier 2013, 07:46:10 »
+1 à yoshi pour le coup du bonhomme de neige qui m'a bien fait rire x)

Et +1 à tout mes partenaires rp car j'adore leur rép ^^

(+1 à la pricesse alice au passage *-* )

14
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: vendredi 11 janvier 2013, 07:41:30 »
7 !

Intimidante non o: mais desirable oui *o*

15
Dortoirs et douches / Re : Le temps d'une douche [pv cassidy green]
« le: jeudi 10 janvier 2013, 22:57:31 »
Je continuais de me détendre sous l'eau quand soudain j'entendis une voix derrière moi qui me fit sursauter. Forcément, à une heure pareille, je ne m'attendais pas à voir quelqu'un.

« Je peux t’aider ? »

La voix derrière moi semblait charitable et me proposait un massage et cela n'aurait pas été de refus. Une douce petite voix qui vous mettait en confiance rapidement. Je me plaisais alors a essayer de l'imaginer. A quoi pouvait elle ressembler ? Un joli corps nu de petite taille, enfin... je dirai juste un peu plus petite que moi. Un sourire enjôleur, une mignonne poitrine vous donnant envie de jouer avec. Je secouais alors la tête, sentant mon corps réagir à ses pensées. La demoiselle ne souhaitait sûrement que se laver, il fallait que j'arrête mon petit jeu.

« Hum oui, un massage ne serait pas de refus. Je suis complètement nouée ces temps-ci. Je n'en dors plus. Et toi ? Que fais-tu là ? »

Je sentis alors ses mains se poser sur mes épaules, me massant avec délicatesse. Je basculais ma tête légèrement sur le côté, profitant du massage qui m'était offert avec bonté. Elle était douée, ses mains dansait sur mes épaules et cela faisait un bien fou. Je me cambrais alors doucement au gré du massage tandis que je me reculais très légèrement. Très légèrement certes, mais assez pour faire apparaître une chose étrange à mes sens. A mon sens du touché pour être précise. Je sentais une chose dur contre mes fesses, une chose dure et le gémissement derrière moi me donnait une bonne idée de ce que c'était. Je tournais alors légèrement la tête pour apercevoir ma bienfaitrice au membre supplémentaire. Elle était mignonne. Même sacrément.
Me voilà collant mon dos contre ses seins et bougeant légèrement les fesses, les frottant contre la verge de la demoiselle.
Une jolie jeune femme avec un membre masculin. Un rêve pour moi. Et je ne comptais pas la laisser filer même si l'état d'excitation qui était sien ne prouvait aucunement une quelconque envie de partir.
Je continuais ainsi, jouant de mon corps sur le sien, sentant sa verge frémir contre moi.


« huuum... comment s'appelle notre belle hermaphrodite ? Moi c'est Hikari... Hikari Minamoto »

Je commençais à sentir quelque chose couler sur mes cuisses, et non pas l'eau qui devait nous recouvrir toutes les deux mais ma propre cyprine. J'étais excitée, très excitée par cette rencontre et par la sensation de son membre contre moi.

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