Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Shani Stevens

Pages: [1] 2 3 ... 20
1
Bureau de la direction et infirmerie / Re : Sanctions abusives [Shani]
« le: samedi 08 septembre 2018, 15:30:24 »
Malgré ses particularités, Mishima restait un pur lycée japonais, c’est-à-dire un établissement où l’autorité se devait d’être respectée. Les élèves turbulents étaient mal vus, et le lycée n’hésitait pas à les sanctionner. Dans ce domaine, le secrétariat jouait un certain rôle, et Shani, bien que secrétaire se chargeant de l’accueil, s’était aussi vue confier des attributions liées à la direction du lycée. Autrement dit, elle était désormais habilitée à surveiller des heures de retenues, mais aussi à s’occuper du suivi disciplinaire des élèves. Dès lors, elle s’était vue confier le suivi d’une élève en particulier, qui était accusée d’avoir agressé un professeur, Ayako Nisawa. Son dossier disciplinaire commençait à devenir lourd, et l’enseignant avait rapporté une altercation selon laquelle, après la distribution de mauvaises notes, Ayako l’avait poussé au sol. Toutefois, divers témoignages laissaient plutôt entendre que l’homme avait juste glissé au sol, et que la sanction apparaissait comme injuste. En soi, il n’appartenait pas à Shani de prendre une décision, mais de rédiger un rapport qu’elle soumettrait ensuite à la direction pour prendre d’éventuelles décisions.

Shani avait donc rendez-vous avec elle dans un bureau. Elle avait amené le dossier d’Ayako, et le regardait donc, silencieuse… Lorsqu’on toqua à la porte. Shani, qui portait son habituel tailleur avec une chemise blanche, reposa la feuille qu’elle consultait, puis se redressa.

*Bon… Et bien, en piste !*

Elle se dirigea vers la porte d’entrée, et l’ouvrit, puis sourit à Ayako.

« Bonjour, Nisawa-san. Vas-y, entre ! »

En matière d’autorité, Shani n’était sans doute pas le meilleur exemple qu’on puisse trouver. Elle avait couché avec la moitié de l’établissement, et n’avait donc rien de vraiment dangereux en elle. La jeune Française avait, de fait, toujours privilégié la discussion, le dialogue, à l’autorité arbitraire et verticale. Autrement dit, favoriser une relation la plus horizontale possible à une verticalité injuste et trop stricte.

Shani s’assit donc derrière son bureau, et ne tarda pas à entamer les choses :

« Bon… Comme tu le sais, nous sommes ici suite à l’altercation qui est arrivée hier avec Furama-sensei… Est-ce que tu as quelque chose à dire là-dessus ? »

C’était sans aucun doute pour ses talents de diplomate que la direction avait confié à Shani l’examen de ce dossier, afin de s’assurer de bien obtenir les deux versions… Shani n’avait en effet aucun a priori vis-à-vis d’Ayako, si ce n’est que son dossier commençait tout de même à devenir un peu chargé, et que cette dernière histoire avec Furama-sensei pouvait bien être la goutte d’eau de trop…

2
Centre-ville de Seikusu / Re : Passion religieuse [Père_Yves]
« le: dimanche 22 juillet 2018, 23:05:02 »
La religion... Shani n’avait jamais vraiment eu l’âme croyante, mais, quand elle avait rencontré le Père Yves, elle était en période de confusion, peinant encore à accepter pleinement sa nature, croyant que venir vivre à Seikusu l’aurait aidé à oublier son passé troublant en France... Mais c’était l’exact inverse qui s’était produit ! Alors, elle avait fini par accepter ce qu’elle était, et, en un sens, Yves avait été une pierre à l’édifice. Elle se devait donc bien de le récompenser, et sentit rapidement le changement en lui quand il vit qui elle était. Elle avait choisi une bure assez large pour dissimuler sa véritable apparence, et les yeux d’Yves s’illuminèrent en voyant sa véritable tenue... Une robe de nonne en latex, moulante, avec d’élégants bas résilles, qu’elle avait commandé dans un sex shop. La tenue était faite sur mesure, et elle lui allait très bien. Dès qu’il la vit, Yves s’emballa, et ses mains, presque automatiquement, se posèrent sur chacun des seins de la secrétaire, les pinçant  fortement.

« Oh mon père, quelle énergie... ! »

Elle sourit malicieusement, et l’homme s’empressa de l’embrasser, déplaçant ensuite ses mains, pour les poser sur ses fesses. Shani soupira lentement, et posa ses mains sur le torse de l’homme. Elle appuya dessus, et répondit volontiers à son baiser, ses lèvres sucrées et mielleuses se collant à celles du prêtre. Rapidement, elle sentit contre ses cuisses une tension bien connue, et crispa ses doigts pendant quelques secondes, remuant légèrement son corps, afin de permettre à Yves de mieux malaxer son cul.

Shani le repoussa ensuite, et le corps d’Yves heurta l’autel de la nef, faisant vaciller un candélabre. Il y en avait deux aux bords de la table, avec une statue au milieu, une croix avec le corps du Christ dessus. La secrétaire se pinça doucement les lèvres en se rapprochant lentement.

« Quel empressement... Après un tel discours, mon Père, n’avez-vous pas honte ? »

La main de Shani glissa entre les jambes du prêtre, et, sous sa bure, elle put sentir son sexe, et sourit lentement.

« Lui, en tout cas, n’a pas l’air d’avoir honte, au contraire... Avez-vous eu le temps de vous familiariser avec les bonnes ouailles de Seikusu depuis notre dernière rencontre, hum ? »

Car Shani, en réalité, était loin, et même très loin, d’être la seule perverse de Seikusu !

3
Centre-ville de Seikusu / Passion religieuse [Père_Yves]
« le: lundi 16 juillet 2018, 00:49:41 »
Il y a quelques temps, Shani avait fait une étonnante rencontre à l’église de Seikusu*. Elle n’avait jamais vraiment été très portée sur la religion, et elle n’avait guère de prétentions d’être religieuse, ou de croire aux vertus de chasteté et de moralité du catholicisme. Elle était venue à la base à l’église en ayant un moment de détresse par rapport à ses pulsions sexuelles, et, d’une certaine façon, ce qu’elle avait fait à l’église lui avait permis d’aller mieux, d’assumer ce qu’elle était... En s’envoyant en l’air avec le curé local. Depuis lors, elle devait bien admettre que l’idée de revoir cet amant dans son église l’inspirait beaucoup.

C’est ce qui expliquait pourquoi, ce Dimanche matin, elle était assise là, méconnaissable. Shani portait une bure de religieuse, une espèce de robe sombre indistincte et disgracieuse, pendant que le Père Yves tenait son sermon à l’occasion de la messe. L’avait-il remarqué ? C’était possible, car Shani se tenait devant, et était la seule habillée en bonne sœur sortie de son couvent. Quelques ouailles la regardaient d’ailleurs avec curiosité, mais, après tout, ce genre de tenue n’avait rien de dégradant. Shani avait en revanche très faux, et attendait avec impatience la fin du sermon, repensant à sa séance endiablée avec le prêtre tandis que celui-ci, depuis la nef, parlait d’une voix forte pour les éclairer sur la voie du Seigneur.

*Heureusement que je n’ai jamais fait de catéchisme, quand même...*

Quoique, Shani aurait peut-être été jolie dans une robe de communiante... Mais elle n’était pas vraiment là pour honorer les vertus catholiques. Elle attendit donc que le sermon se termine pour se relever, et laissa quelques ouailles parler avec Père Yves, elle-même attendant son tour, tête basse. Elle se rapprocha ensuite doucement de lui, et, en se tenant à côté de Shani, on aurait pu entendre des crissements s’échapper de son corps.

« Mon Père... glissa-t-elle en le regardant. Je suis sortie de mon couvent pour pouvoir assister à votre sermon... Puis-je vous aider à ranger l’office ? »

Après tout, il y avait des bougies à ranger, un pupitre à mettre dans un rangement... Mais Shani n’avait pas en tête de se contenter juste de ranger. De fait, elle attendit que toutes les ouailles s’en aillent, se postant à côté du prêtre, les mains jointes en une position de prière intensive... Puis, quand le dernier des fidèles sortit, elle retira finalement sa robe, révélant la véritable tenue qu’elle portait dessous : une tenue de nonne en latex très moulante avec des collants, la tenue expliquant les crissements qu’on avait pu entendre.

« Mon Père... Partagerez-vous avec votre dévouée Shani l’amour infini du Christ ? »



Cf. RP « Absolution divine ».

4
Prélude / Re : Le surnaturel est parmi nous.
« le: mercredi 30 mai 2018, 22:44:20 »
Le pouvoir des femmes à lunettes 8)

Re-Bienvenue !

5
Entre Shani et Kyoko, Jessica n’avait tout simplement aucune chance. Elle était leur proie, leur délicieuse esclave, et les pilules d’hermaphrodisme qu’elles venaient de prendre n’allaient sûrement pas les amener à rester calmes. Au contraire, elles débordaient d’énergie, et d’une furieuse envie de baiser énergiquement cette jeune femme, de jouir copieusement en elle, et de lui faire comprendre ce qu’était vraiment le lycée Mishima. En bousculant Shani, un geste pourtant anodin, Jessica avait en réalité franchi le point de non-retour. Plus rien ne serait comme avant maintenant, car Shani l’avait prise sous sa protection. Elle la caressait intimement, et constata que ses conseils avaient été bien reçus. Kyoko serra davantage ses doigts sur les cheveux de l’étudiante, et se mit même à rougir en sentant cette dernière palper ses fesses.

« Haaaa... Hmmm... Pas... Hmmm, Jessica... !! »

Les délicieuses joues cramoisies de Kyoko étaient un régal permanent, qui arracha un sourire carnivore, prédateur, sur les lèvres de Shani. Elle se pinça doucement les lèvres, l’observant avec plaisir, et continua à caresser Jessica. Shani savait très bien comment user de ses doigts au mieux. Elle pouvait tout à fait faire jouir Jessica comme ça. Ses doigts titillaient le corps de la femme, glissant contre ses lèvres intimes. Le bouton de plaisir de la femme se rapprochait, et elle le caressait parfois, mais sans trop insister, précisant pour éviter un orgasme. Elle voulait que Jessica reste chaude, brûlante et pimpante, et, pendant ce temps, le vit de Shani tapait contre ses fesses, un barreau de chair qui remontait entre elles. Toute la timidité et les doutes de Jessica s’étaient envolés face à ces sexes dressés, à ce fantasme qui devenait réalité...

...Tant et si bien que Jessica finit par demander cette grosse queue en elle. Elle avait bavé sur le sexe de Kyoko, qui sourit à son tour.

« Eh bien, tu es vraiment affamée, ma chérie...
 -  On dirait toi, ma belle Française... Quand tu étais plus jeune. »

Shani sourit, et embrassa Jessica dans le creux du cou, mordillant sa chair, puis retira ses doigts. Elle aurait pu continuer à narguer Jessica, à jouer avec sa frustration, mais... Un tel comportement aurait sans aucun doute été très cruel. Jessica avait clairement envie de se faire baiser, et Shani pouvait comprendre ça. Plus jeune, elle avait en effet été comme elle, incapable de se retenir, incapable de se contrôler, à tel point qu’elle avait eu de graves problèmes, puisqu’elle avait été licenciée, et avait dû, finalement, finir au Japon. Un choix qu’elle ne regrettait nullement, tant cette nouvelle orientation avait changé sa vie.

Elle se redressa alors, et se racla la gorge, donnant à Jessica ses instructions. Kyoko, de son côté, avait récupéré son téléphone portable, et filmait la scène... Pour la postérité.

« Allez, mets-toi à quatre pattes, et bombe bien le cul, ma belle !
 -  D’ailleurs... Elle m’a frappé le cul, tu sais... Je crois que ton élève est assez mal éduquée...
 -  Oh... C’est vrai, ça ? »

Dès que Jessica se fut mise en position, Shani la fessa donc, doucement, puis releva ensuite sa minijupe, et la plia, la coinçant contre sa ceinture. Elle resta ensuite agenouillée, et observa la cyprine qui dégoulinait des lèvres intimes de la femme, sa sève tombant le long de ses cuisses.

« Diable, mais c’est vrai que tu fuites de partout, Jessica ! »

Shani prenait tout son temps, comme pour frustrer davantage Jessica. Elle se releva finalement, et approcha sa queue. Son membre turgescent, un vit turgescent, caressa les cuisses de la femme, mais sans encore daigner lui accorder le bénéfice de la pénétration.

« Tu me fais tellement envie, Jessica... Est-ce que tu sais à quel point ma queue est dure ? Tu es une vraie pure salope, ma chérie... »

Et, suite à cela, Shani posa sa main sur son chibre, et l’approcha de ses lèvres intimes... Puis s’enfonça ensuite. L’intimité de Jessica était tellement humide que la queue de la secrétaire s’y enfonça sans aucune difficulté, arrachant aux lèvres de la secrétaire un nouveau soupir. Ses mains se crispèrent ensuite sur les hanches de Jessica... Et elle commença à remuer en elle, la pénétrant, allant d’avant en arrière.

« Hmmm... Là, oui... ! » soupira-t-elle doucement.

6
Plus tard, quand Shani et Jessica auraient sympathisé, elle lui expliquerait plus en détail l’histoire de ce lycée, et les particularités de Seikusu. Elle lui expliquerait pourquoi une telle tradition existe à Mishima, pourquoi le sexe était si intimement lié aux fondations du lycée… Mais, pour l’heure, Shani avait un tout autre programme avec Jessica. Elle avait invité Kyoko à les rejoindre sans hésitation, et, même si Jessica avait tiqué au début, Shani savait qu’elle serait rapidement convaincue. Kyoko avait tout simplement une sorte de talent naturel pour bien s’entendre avec tout le monde. Contre elle, on ne luttait pas, on s’inclinait bien poliment, et on suivait le rythme, tout simplement.

Et, dès que les deux femmes avalèrent les pilules roses, et que des chibres se dressèrent en lieu et place de leur délicieuse fleur intime, poussant depuis l’intérieur pour en sortir à l’extérieur, le regard de Jessica vira du tout au tout. Finis, les doutes. Envolées, les hésitations ! Devant elles, il y avait tout simplement une jeune lycéenne en manque, voyant ses fantasmes s’ouvrir. Ce regard, celui que Jessica avait en les voyant, Shani le connaissait. C’était le sien. C’était celui de beaucoup d’élèves en constatant que leur secrétaire était aussi belle que perverse, et que la réputation des secrétaires de Mishima était en-deçà de la réalité. En voyant ces vits dressés, qui n’attendaient plus que des caresses buccales ou digitales pour se durcir bien convenablement, Jessica s’emballa. Shani et Kyoko se regardèrent brièvement en souriant… Puis Jessica se rua alors sur la queue de Shani, et la prit rapidement en bouche, s’arrêtant à la moitié.

« Woow, ma belle ! » ne put s’empêcher de s’exclamer la délicieuse secrétaire.

Quelle énergie ! Quel appétit ! Elle sentit les lèvres de la femme se contracter autour de son sexe, et se pinça les lèvres, sa main venant naturellement se serrer sur les cheveux de Jessica. De son côté, Kyoko agrippa l’autre main de la secrétaire, et déplaça également son autre main sur les cheveux de Jessica. En effet, tout en pompant le dard assoiffé de Shani, en le recouvrant de sa juteuse salive, Jessica masturba avec sa main le sexe dressé de Kyoko, arrachant des frissons au corps de la vénéneuse secrétaire. Shani se pencha alors vers elle, et les deux femmes s’embrassèrent énergiquement, leurs langues jouant l’une contre l’autre, lèvres pressées et serrées.

« Hmmmm… !! »

Comme toujours, Shani succombait bien vite au plaisir. Oh, elle était encore bien loin d’atteindre le nirvana, mais elle savourait en tout cas pleinement ce moment. Si Jessica levait la tête, elle verrait les joues de la secrétaire rougir, tandis que son phallus se durcit, se tendit, devint rectiligne. Comme quoi, ce chibre avait beau résulter d’une pilule magique, il n’en avait pas moins un fonctionnement tout à fait normal. Cependant, Kyoko avait souvent pu observer que, chez Shani, ces pilules fonctionnaient à la perfection. Insatiable, infatigable, Shani le restait tout autant avec un sexe masculin, et ce pour le plus grand plaisir de ses amants et amantes.

Jessica se concentra donc sur son sexe, et Shani ne manquait pas de l’encourager, que ce soit par ses soupirs, par les mouvements de balancier qu’elle faisait avec son bassin pour accompagner les succions de Jessica, ou par les quelques mots qu’elle n’hésitait pas à lui glisser quand elle le pouvait :

« Oui, ma chérie, là, hmm, c’est… Haaa… »

Elle pouvait parfois voir le regard de Jessica, ses yeux se levant pour l’observer, comme pour s’assurer qu’elle appréciait ce que la femme lui faisait. Sur ce point, elle devrait sans doute être rassurée ! Jessica se rapprocha ensuite de Kyoko, qui commençait à s’impatienter, et alterna donc les rôles. Papillonnant des yeux, Shani baissa la tête, et constata alors, en souriant, que la belle étudiante en profitait pour se masturber.

« Elle a des fuites…
 -  Oh, tu as visé juste, Shani, elle… Hmmm… Quelle passion, Jessica-chan ! »

Kyoko était convaincue, et Shani, en souriant encore, s’écarta alors. Elle fléchit les genoux, et se glissa dans le dos de la belle lycéenne. Elle embrassa le creux de son cou, et déplaça ses mains sur son corps, en approchant une de l’intimité trempée de la femme.

« Là, là… Nous sommes deux à nous occuper de toi, et tu voudrais te masturber ? C’est presque offensant, tu sais ! »

Shani se moquait doucement d’elle, bien entendu, et elle la doigta alors, glissant deux doigts en elle, venant rapidement titiller son bourgeon, prenant appui sur le corps de Jessica avec son autre main.

« Pose tes mains sur ses fesses, susurra-t-elle dans le creux de l’oreille de Jessica. Si tu veux un secret, le voici… »

Elle se tut pendant quelques secondes, juste le temps de lécher tendrement l’oreille de la femme, de la titiller un peu, et reprit :

« …Kyoko adore qu’on lui pince le cul ! »

7
Jessica était encore un peu confuse. À genoux devant Shani, elle hésitait sur son statut. N’était-ce pourtant pas évident ? Dès lors qu’elle avait appelé Shani « Maîtresse », elle était logiquement son esclave. Shani n’était pourtant pas une Maîtresse très exigeante, loin s’en faut, et elle sentit bien les hésitations de la femme devant ses collants. Devait-elle vraiment les embrasser ? S’abaisser à ce genre de choses ? Le doute était lisible dans son esprit, et Shani sourit lentement en l’observant, les yeux brillants de malice.

« Tu es avant tout esclave de tes propres désirs, Jessica... » nota silencieusement Shani.

C’était quand même le point important à retenir ! La jeune femme ne pouvait pas prétendre se libérer de ses propres démons, et, tandis qu’elle massait les jambes de Shani, elle lui expliqua ses fantasmes. Effectivement, la jeune fille ne rêvait pas vraiment de soumission, de latex, ou de fouet, mais de sexe sauvage, intense... De jeunes désirs, ceux d’une femme inexpérimentée et très gourmande. Une femme qui avait visiblement eu l’occasion de se renseigner sur Mishima, puisque, tout en parlant de son envie de coucher avec plein d’hommes, elle termina, les joues rouges, mais le regard brillant indéniablement de plaisir, par évoquer un plaisir plus important encore, celui de le faire avec des « hermaphrodites ».

Pour Shani, il s’agissait de propos délicieux, et elle l’observait en souriant, avant de finir par hocher la tête. Lentement, Shani se déhancha un petit peu, et reprit ses explications :

« Tu es une élève parfaite pour cet établissement, Jessica-chan... Tu sais, ce n’est pas un hasard si Mishima a une forte réputation de baisodrome sur le Net. J’ignore jusqu’à quel point cette situation est liée à son passé ou à son emplacement, mais le fait est que, au lycée, on instruit nos élèves, non seulement en leur enseignant les matières essentielles, mais aussi... En les formant sexuellement. »

Si Jessica avait consulté le passé historique de Mishima, elle saurait que ce dernier avait été fondé après la Seconde Guerre Mondiale, pour recueillir les innombrables orphelins de la ville. Ce qu’on savait moins, en revanche, c’est que ces orphelins étaient souvent de puissants délinquants sexuels en devenir. L’administration de l’époque avait donc pris le problème à bras-le-corps, parvenant ainsi à les sociabiliser, à refréner leurs pulsions.

La secrétaire attrapa alors son téléphone portable.

« Kyoko ? Hmmm... Oui, c’est... C’est un code Rose. Oui, exact... »

Shani referma son portable, et sourit encore à Jessica.

« Kyoko est mon amie, tu sais, elle forme les élèves autant que moi. Et toi, Jessica, tu as de gros besoins, alors elle va venir m’aider. Reste assise sur tes cuisses, ma chérie. »

Kyoko ferma la porte du secrétariat, laissant un post-it sur la porte, avec le message : « Secrétariat absent exceptionnellement ! », puis elle récupéra dans une armoire des pilules spéciales, et rejoignit ensuite les deux femmes. Jessica serait très certainement un peu intimidée en voyant une autre femme les rejoindre, surtout que Kyoko avait un air un peu plus sérieux que Shani.

« Alors, c’est un Code Rose, c’est ça ?
 -  Tout à fait ! Du genre dont je ne peux pas m’occuper moi-même, tu comprends...
 -  Oh ! Oui, oui, tout à fait ! »

Kyoko souriait lentement, et tendit à Shani une pilule, pendant qu’elle-même en prenait une.

« Ne t’inquiète pas, Jessica, c’est... Haaaa... C’est... Hmmmm... »

Shani se pinça encore les lèvres, ferma les yeux, et, au bout de quelques secondes, tout comme chez Kyoko, une verge apparut entre les cuisses. Elles retirèrent leurs minijupes, et finirent le sexe à l’air, deux verges qui pointaient vers le visage de Jessica.

« Là, voilà, haaaa...
 -  Allez, chère Jessica. Viens vite nous sucer, ma beauté... Elle est douée de sa langue, au moins ?
 -  J’ai rarement vu une élève aussi prometteuse, pour être honnête ! »

Et, en tout cas, deux beaux chibres étaient dressés devant elle...

8
Centre-ville de Seikusu / Re : Minuit seikusien [Saetta]
« le: lundi 09 avril 2018, 01:00:46 »
Shani ne pensait pas vraiment que Kyoko était sérieuse avec son histoire, et s’attendait plutôt à ce qu’elles s’envoient copieusement en l’air à Minuit. Shani était une femme très perverse, une nymphomane, mais, face à Kyoko, elle avait trouvé son égale. Kyoko était terriblement perverse aussi, avec un style de dominatrice qui plaisait beaucoup à Shani. Ensemble, elles étaient suffisamment proches pour que Kyoko lui ait montré son book, une sorte de tableau de chasse où elle avait listé tous les élèves du lycée, ainsi que tout le personnel, et indiquait dessus tous ceux avec qui elle avait couché. La liste était assez impressionnante, de quoi rivaliser avec celle de Shani. Ensemble, elles se soutenaient mutuellement. Quand Shani était arrivée au lycée, Kyoko était déjà là, elle connaissait déjà le fonctionnement du lycée, et n’avait eu aucune difficulté à bien former Shani. Elles étaient maintenant, non seulement des collègues proches, mais aussi des amies et des amantes. C’était d’ailleurs bien avec elle que Shani avait choisi de passer Noël. Quand Minuit sonna, elle s’attendit donc à ce que Kyoko révèle sa surprise, comme des mecs bien membrés... Mais,a u lieu de ça, Shani sentit une puissante vibration dans son dos, et se retourna... Pour rougir en voyant une é&trange femme apparaître comme par magie au beau milieu de la pièce.

Elle portait une ravissante robe de Noël moulante en latex, avec des collants, de longs gants, et un collier avec une clochette dorée qui se mit à tinter. Shani observa aussi ses longs bois, les trouvant bien trop réalistes pour être du déguisement... Mais, à Mishima, elle avait déjà eu l’occasion de croiser des nekos. Kyoko lui avait parlé de ces créatures, en lui expliquant que le lycée avait un protocole très particulier avec eux. Il ne fallait surtout pas que les élèves les voient, et, quand Shani en trouvait un en faisant la ronde, elle le présentait au Proviseur, ou au Vice-proviseur, afin qu’il s’en occupe. Visiblement, cette délicieuse femme était l’une de ces créatures surnaturelles.

Shani se pinça les lèvres en l’observant sous toutes les coutures, puis vit la femme, Saetta, les saluer.

« Jo... Joyeux Noël... » répliqua lentement Shani.

Saetta s’empressa d’embrasser Kyoko, qui se frotta tendrement contre elle. La Terranide se retourna ensuite vers Shani, et celle-ci hocha la tête.

« Oui, je suis Shani, je...
 -  C’est une collègue de travail, et ma meilleure amie. Je ne voyais pas meilleure personne pour passer Noël avec nous ! Enfin, j’espère que ça ne te dérange pas, Saetta... »

Il est vrai que Kyoko ne lui en avait pas parlé avant... Mais, d’un autre côté, la jeune femme n’avait aucun autre moyen de rentrer en contact avec Saetta !

9
Ensemble, elles allaient passer aux choses sérieuses. Clairement, vu la soif de Jessica, ce n’était pas cette séance de sexe crapuleuse dans les toilettes qui allait pouvoir la soulager. La femme en demandait plus, bien plus ! Or, c’était bien le rôle de Shani que de la soulager en ce sens. L’intéressée se releva donc, et glissa sa main dans la sienne. Un ultime baiser, et elles sortirent ensuite des toilettes. Shani avançait rapidement, tenant Jessica par la main, et constata rapidement un certain changement dans le comportement de la femme... Comme si elle avait peur de se faire voir en public. Shani le sentit, notamment quand elle s’arrêta pour plaquer la femme contre les casiers, et pour l’embrasser. Le comportement fut notable quand elles s’approchèrent des salles de cours, et que l’espiègle secrétaire s’arrêta, puis embrassa la femme près de l’une des portes menant à une salle de cours.

*Elle est encore très pudique, mine de rien... Mais nous aurons l’occasion de changer ça.*

Shani la guida vers le secrétariat, et elles entrèrent à l’intérieur. Il y avait une autre femme à l’intérieur, la collègue de Shani, Kyoko, une autre secrétaire, et son amante régulière.

« Eh bien, tu as mis le temps, Shani !
 -  J’ai rencontré... Une élève en chemin. »

Les sourcils de Kyoko se froncèrent légèrement. Ensemble, elles passaient leur temps à éplucher les dossiers scolaires, et celui de Jessica Lou n’était pas inconnu à Kyoko. Par bien des aspects, la secrétaire japonaise pouvait se montrer au moins aussi perverse que Shani. Kyoko avait surtout un goût bien plus prononcé qu’elle pour la domination, mais Shani savait qu’il était encore trop tôt pour partager sa Jessica. Vu la soif de cette dernière, tout était possible, à terme, mais, pour le moment, elle préférait la garder pour elle.

« Et j’ai décidé de faire un entretien avec elle pour discuter de son orientation, vu qu’elle avait... Des questions dessus.
 -  Je vois. »

Ce n’était pas le rôle des secrétaires d’être des conseillères d’orientation, mais l’excuse avait l’avantage de rassurer Jessica, même si elle pouvait se dire que cet argument bidon ne tenait pas vraiment. Kyoko sourit donc.

« De toute manière, il y a souvent peu d’élèves à la dernière heure des cours, donc... Je peux tenir la boutique seule. »

Shani acquiesça, puis fit signe à Jessica de la suivre. Elle ouvrit une porte menant à un bureau attenant au secrétariat, et referma la porte à clef. Le bureau était assez agréable, avec un fauteuil en cuir, et un divan. Shani ferma donc la porte à clef, puis se retourna vers Jessica... Et retourna l’embrasser. Sa main se posa sur ses cheveux, et elle fourra sa langue dans sa bouche, collant son corps au sien, l’une de ses mains venant s’appuyer sur ses fesses, serrant ses doigts dessus.

Le baiser dura bien une bonne minute, car, à chaque fois que Shani faisait mine de se retirer, elle retournait l’embrasser. Un mince filet de salive relia ensuite leurs lèvres, que la femme coupa d’un trait de sa langue, en profitant pour lécher les lèvres de la jeune élève.

« Ne t’inquiète pas, les murs de cette pièce sont insonorisés. »

Elle lui sourit donc, et se déplaça venant s’asseoir dans le fauteuil en cuir face au bureau. À l’intérieur des tiroirs, il y avait quelques éléments de fourniture, mais surtout des objets bien spécifiques. Le fait qu’il n’y ait aucun ordinateur dans cette pièce signifiait clairement qu’elle ne servait pas pour le travail de secrétariat ordinaire... Sauf à Mishima. Shani sourit sensuellement à Jessica.

« Je suis très curieuse de savoir tes fantasmes, Jessica. J’ai déjà constaté que tu étais une sodomite, mais... Quid du reste ? »

Avant que Jessica ne puisse vraiment répondre, Shani avait retiré ses escarpins. Elle portait d’élégants collants moulant parfaitement ses orteils, et, naturellement, se saisit de l’occasion pour inviter Jessica à venir s’y atteler :

« Lèche-moi les pieds... Mes esclaves se doivent d’être fétichistes. Et, pendant que tu feras ça, régale-moi de tes fantasmes. Je suis sûre qu’une femme aussi gourmande que toi doit avoir de puissants fantasmes en tête. »

10
Une « nymphomane »... Shani esquissa un léger sourire devant les réflexions de Jessica, qui proposa à Shani qu’elle soit sa tutrice. L’intéressée ne put donc que sourire, et se mordilla doucement les lèvres, son regard se croisant au sien. Jessica, encore une fois, rappela qu’elle devait retourner travailler, vu qu’elle avait déjà eu beaucoup de retards. Partagée entre le « ça » et le « sur-moi », elle embrassa de nouveau Shani, continuant ainsi à marquer son choix. Arrêter maintenant ? Quelle drôle d’idée ! Shani soupira de plaisir, très émoustillée à l’idée de former sexuellement une élève. Ce rôle revenait normalement à certains professeurs du lycée, mais, en réalité, la secrétaire se voyait très bien entraîner la belle Jessica, et la faire lentement sombrer dans le désir, et dans la perversion la plus complète. En tout cas, Shani adorait la sensation des mains de Jessica se crispant sur ses fesses, et remua sur elle, répondant volontiers à son baiser. Sa langue jouait avec la sienne, et elle pouvait sentir toute la soif de la jeune femme, toute son envie, tout son désir...

Cependant, Shani dut rompre le baiser, car elle avait encore des choses à dire. La tâche ne fut pas si facile, car, quand son corps se recula, elle sentit Jessica la suivre pendant quelques secondes. Un mince filet de salive relia même leurs lèvres, que Shani essuya d’un revers de sa langue. Elle posa ensuite son doigt sur les lèvres de Jessica, séparant ainsi sa bouche de la sienne, et, tout en souriant ensuite malicieusement, glissa le bout de son index entre ses lèvres, avant de sentir les dents de la femme, et sa petite langue, qui lécha son doigt.

« Alors... Pour commencer, si je te prends sous mon aile, ce ne sera pas en qualité de tutrice. Car ce que nous faisons ne sera pas vraiment du tutorat. Je t’aiderai à contrôler tes pulsions, ma chérie, à faire de toi une nympho’ totalement accomplie. Donc, il semble plus logique que tu m’appelles... Maîtresse. »

L’idée n’était d’ailleurs pas sans exciter chaudement Shani, qui sentit son ventre s’échauffer à cette idée. Avec sa main libre, elle caressa ensuite le visage de la jeune femme, puis la descendit jusqu’à l’ourlet de ses seins, et en pinça tendrement la pointe. Jessica couina sous elle, pour l’instant condamnée à un silence enflammé, le doigt de Shani remuant dans sa bouche.

« Ensuite, pour tes absences, il suffit que je te fasse un mot, et tu n’auras aucun souci. De fait, je crois que tu ne retourneras pas en cours de toute l’heure, on ria chercher tes affaires ensuite. Pour l’heure, le programme se résume plutôt à te baiser sans relâche. »

Shani parlait librement de tout cela, de quoi, sûrement, choquer Jessica. Ses délicieuses joues rougissaient d’ailleurs délicieusement. Shani retira ensuite son doigt, et retourna ensuite embrasser de nouveau la femme, mordillant ses lèvres inférieures, et retourna finalement la masturber, tout en continuant à pincer ses seins.

« Mais... On ne va pas rester là tout l’heure, Jessica, j’ai... J’ai plein de jouets pour nous dans mon bureau ! »

Néanmoins, au vu de l’état de Jessica, il était difficile d’obtenir quoi que ce soit d’elle. Shani la masturba donc encore, jusqu’à la sentir jouir à nouveau. Le sol, de fait, commençait à devenir bien sale, vu comment Jessica était en train de fuir. Se pinçant tendrement les lèvres, Shani poursuivit ensuite :

« Alors... Es-tu d’accord à ce que je sois ta Maîtresse, Jessica ? »

Elle approcha de nouveau ses doigts, imbibés de la mouille de la femme, et caressa avec le nez de la petite lycéenne, tripotant encore ses délicieuses lèvres, très sensuelles, et assurément délicieuses à embrasser !

11
Oh, la petite frustrée ! Pauvre jeune élève ! À cet âge, c’était terrible. Le corps était en train de s’éveiller, le désir de se développer, et on avait les yeux plus gros que le ventre. Mais Jessica... Elle était vraiment très frustrée, pour coucher avec une secrétaire sans aucune hésitation dans les toilettes. L’air naturel de Mishima ne pouvait que l’y aider en ce sens. Shani retourna l’embrasser, et la masturba encore, énergiquement, sentant rapidement son clitoris. La belle Jessica couina encore, ses mains se crispant sur ses hanches. Son corps ondulait d’avant en arrière, ses cris emplirent l’atmosphère. Elle tenta de parler, et Shani, en retour, mordilla son cou. Elle lécha sa peau ensuite, encore, et continua à la masturber, jusqu’à la faire jouir. Un orgasme bien rapide, qui vint en à peine une poignée de minutes, tout au plus ! Shani sourit alors, et retira ses doigts, caressant le ventre de Jessica sous sa chemise.

Se mordillant les lèvres, elle observa la jeune femme. Confuse, elle avait néanmoins l’esprit apaisé, et ne repoussa pas le corps de la secrétaire. Shani sourit devant sa question, et retira sa main de sous sa chemise, léchant ses doigts sous le nez de Jessica, instinctivement, sans hésitation.

« Te dénoncer ? » répéta-t-elle.

Elle gloussa légèrement, et se mordilla les lèvres. Jessica reprit ensuite en constatant qu’elle était sûrement en retard. Shani rigola alors, et déposa un baiser sur le nez de la femme, avant de lécher cet organe, remontant jusqu’à ses lunettes, titillant la tige reliant les deux lentilles.

« Je ne sais pas, je pourrais te faire chanter... Mais tu es trop mignonne pour ça, ma belle. Non, je veux juste t’aider... Parce que c’est le rôle de ce lycée, c’est son but. On se soutient mutuellement, tu comprends ? »

Shani n’était pas pressée, et croisa les bras sur les épaules de Jessica, adoptant une pose terriblement sensuelle, son visage restant encore très proche du sien. Elle sourit à nouveau, et se pencha en avant, tirant sa langue... Et lécha le bout des lèvres de la jeune Jessica, remontant jusqu’à ses narines, dans une imitation qui, somme toute n’était pas si ratée que ça, de la Catwoman de Batman Returns. Shani l’observa encore silencieusement, les yeux pétillant de malice, se demandant ce qu’elle allait faire. Les idées se multipliaient dans son esprit.

Tout ce que Jessica trouva d’utile à dire, ce fut qu’elle allait arriver en retard à son cours.

« Ma chérie, dit-elle en français, tu viens de te faire doigter par une superbe secrétaire qui se demande comment te baiser encore, et, tout ce qui t’intéresse, c’est d’assister à ton cours ? Ne me fais pas croire que tu es si pudique, si studieuse... Ça ne correspond pas à ton profil ! »

Shani parlait de sexe sans difficulté, et maîtrisait clairement ses pulsions.

« J’étais comme toi plus jeune, tu sais... J’avais le feu aux fesses, et... Il m’a fallu des années pour me contrôler. Alors... je pense que, entre nymphomanes, il faut bien se soutenir un peu, non ? Je te passerai mon numéro de téléphone, il te suffira de m’envoyer un SMS quand tu voudras que je m’occupe de toi. Ceci dit, si je ne me trompe pas, quelque chose me dit que ta soif n’est pas encore totalement rassasiée... Non ? »

La secrétaire n’était pas dupe, et sourit délicatement, malicieusement... Avant d’embrasser Jessica encore.

« Moi, en tout cas, j’ai encore très envie de te faire l’amour... »

12
Shani soumettait la perversion de cette jeune fille au défi. Mishima avait beau être un simple lycée, il était étonnant de voir à quel point les dossiers scolaires de certains élèves pouvaient parfois être documentés. Secrètement, le conseil d’administration n’hésitait pas à dépenser une partie de l’argent provenant d’investisseurs privés pour engager des détectives privés, et ainsi pouvoir se renseigner sur certains élèves. C’est ainsi que le dossier scolaire de Jessica Lou comprenait quelques éléments sur les causes de son redoublement. Quoi qu’il en soit, Shani n’avait aucune difficulté, non seulement à se masturber, mais aussi à faire durer le plaisir. Elle était sûre que Jessica allait s’effondrer... Et, en voyant la lenteur avec laquelle elle se rapprocha, l’absence de cris indignés, elle comprit qu’elle avait vu juste. Le visage rougi de Jessica, traversé par l’hésitation, et en même temps envahi par un plaisir coupable, ses cuisses trempées... Shani sourit doucement devant ce spectacle, et laissa encore Jessica s’approcher, le regard de la belle élève oscillant entre son corps et la petite clef, insidieusement posée à côté d’elle. Shani ne mentait pas, elle n’allait pas la piéger, ou écarter la clef à la dernière minute. Non, elle comptait juste la provoquer, la pousser dans ses derniers retranchements... Et vit finalement Jessica tomber à genoux, s’affaissant devant elle.

Pour Shani, c’était le moment attendu. Elle retira ses doigts imbibés de mouille, et, tandis que Jessica la suppliait d’être silencieuse, ses lunettes commençant à glisser sur son nez, la secrétaire se redressa brusquement. Ses mains se posèrent sur les épaules de Jessica, et elle repoussa la jeune femme, l’allongeant sur le sol, puis se dépêcha de l’embrasser, collant sa bouche à la sienne, privant ainsi la beauté de son plaisir solitaire. Sa langue s’enfonça entre ses lèvres, et elle se frotta langoureusement contre elle. Shani esquissa un nouveau soupir, et l’embrassa encore.

« Première règle, Jessica... Ici, avec moi, on ne se masturbe jamais toute seule, ma belle. Et, deuxième règle... »

Déplaçant ses doigts, elle récupéra les lunettes de Jessica, et les remit sur son nez, avant de lui sourire encore, et l’embrassa à nouveau. Les lèvres de Shani étaient onctueuses, délicieuses, terriblement agréables. On pouvait se perdre en la sentant vous embrasser. Jessica fondait sur place, et, plus Shani l’embrassait, et plus elle se calmait, se détendant. Finalement, Shani rompit le baiser, et posa son doigt sur le nez de la femme, le tapotant en souriant délicieusement.

« ...On ne perd jamais ses lunettes quand on est aussi sexy avec ! »

Shani approcha ensuite ses doigts trempés de mouille des lèvres de l’étudiante. Tout ça allait très vite, mais, à Mishima, c’était une habitude. Ses doigts titillèrent ses lèvres, et elle sourit encore, gloussant légèrement, et enfonça son genou contre les cuisses de la femme.

« Vas-y, Jessica, suçote bien, c’est bon, hein ? »

La belle secrétaire sourit encore, et déplaça ensuite sa main entre les cuisses de Jessica, puis la caressa alors, ses doigts glissant sur ses cuisses... Avant de tout simplement enfoncer ses doigts dans son sexe. Elle titilla son bourgeon intime, et la doigta alors, enfonçant rapidement deux doigts dans son corps, et la pénétra ainsi.

« Pour l’heure, Jessica, tu vas jouir, ma chérie... Et, au lycée, je t’interdis de jouir désormais toute seule... Ou je te dénonce ! »

Elle insista sur la fin de cette phrase, et en profita pour lécher le creux du cou de la femme, mordillant même sa peau, et continua à la masturber énergiquement, bien décidée à la faire jouir !

13
Shani esquissa un léger sourire moqueur en voyant Jessica sortir précipitamment de la cabine des toilettes. La surprise fut de taille, car la jeune élève ne s’attendait sûrement pas à ce qu’on l’ait suivi. Et, tandis que Jessica prenait conscience de la présence de Shani, elle réalisa aussi que la secrétaire avait nécessairement dû entendre ses bruits de mastication et ses soupirs. La secrétaire se mit donc à sourire tendrement, et s’écarta de Jessica, dont les rougeurs étaient, au demeurant, très agréables à voir. Jessica s’excusa ensuite poliment de l’avoir renversé, évitant soigneusement de dire ce qu’elle avait fait à l’intérieur des toilettes. Shani, en entendant la femme dire qu’elle avait eu « très envie d’aller aux toilettes », ne put que doucement sourire, bras croisés, lueur malicieuse dans les yeux.

« Moi, je vais bien, oui... Mais toi, effectivement, tu devais avoir une envie très pressante... »

Jessica était encore assez récente au lycée. Connaissait-elle vraiment les us et coutumes de l’établissement ?  La secrétaire allait vite être fixée, et vit ensuite Jessica se diriger vers la porte... Qui refusa de s’ouvrir. Surprise, l’élève se retourna alors, coincée contre la porte. Dans son sailor fuku, Jessica était vraiment très belle. En fait, et pour le dire clairement, Shani trouvait qu’elles se ressemblaient beaucoup. Deux belles femmes à lunettes qui se faisaient face. Nerveuse, Jessica ne sut plus quoi dire, et son corps parla pour elle. Les frottements de ses cuisses, ses rougeurs... Shani se rapprocha alors de Jessica, et posa une main sur la porte, à côté de la tête de la jeune élève.

Un nouveau sourire sur les lèvres, la secrétaire approcha son visage du sien, et lui parla, sur un ton malicieux :

« Rassure-toi, j’avais bien compris tes besoins... Mais, vu ton état actuel, je crois que... Ton ‘‘envie’’ est toujours là. »

Tout cela allait très vite, mais, après tout, il fallait bien battre le fer tant qu’il était encore chaud. Et, en l’occurrence, le corps de Jessica était bouillonnant. Shani l’observa encore, détaillant son visage, ses hésitations, ses doutes... Et remonta doucement sa cuisse entre ses jambes. Elle sentit ainsi la minijupe de la femme, et continua encore à remonter, allant bien au-delà de la zone sensible, de l’indécence... Et esquissa un nouveau sourire, en sentant l’absence de ce qu’elle aurait dû ressentir.

Joueuse, car elle s’y attendait, Shani reprit alors :

« Tu as tellement fait pipi que tu as sali ta culotte ? » ironisa-t-elle.

À ce stade, est-ce que Jessica pouvait encore continuer à mentir ? Shani s’écarta alors d’elle, lui permettant de respirer un peu, et exhiba devant elle la clef des toilettes.

« Je sais pertinemment ce que tu as fait ici, Jessica... J’ai entendu tes soupirs, tes cris, et... Je dois admettre que tout ça ne m’a pas laissé indifférente. »

Qu’est-ce que la malicieuse secrétaire avait en tête ? Shani se déplaça, et rejoignit la cabine précédemment utilisée par Jessica. Elle tenait toujours dans sa main la clef de sortie.

« Donc... Je crois que je vais, moi aussi, me soulager, Jessica. Si tu veux sortir d’ici... La clef est avec moi. Mais, je te préviens tout de suite, je vais me sdoulager en pensant à toi. »

C’était une scène surréaliste, assurément, le genre de tableau qu’on ne voyait qu’à Mishima. Shani laissa même la porte entrouverte, et s’assit sur les toilettes, tout en défaisant sa minijupe, qui tomba sur le sol, puis, comme elle l’avait annoncé, commença à son tour à se masturber. Elle aurait pu directement sauter sur Jessica, mais avec le risque que la jeune fille ne se brusque, ou ne la repousse. Alors, plutôt que de la heurter, Shani comptait la perturber. Et, comme elle l’avait dit, elle posa la clef sur le papier-toilette, juste à côté d’elle, tout en s’étalant sur la cuvette, gémissant à son tour.

« Hmmm... Haaaa... »

Jessica allait-elle succomber ? Ou résister ? Shani était impatiente de voir ça !

14
C’était une journée très classique, et la fin de celle-ci approchait. Vers 15h30, les activités scolaires se terminaient ce jour à Mishima, et les lycéens passaient ensuite aux activités extrascolaires, extrêmement importantes. Beaucoup d’élèves quittaient donc l’établissement, ou se rendaient dans des parties annexes. Shani, elle, était sortie du bureau central du secrétariat, et venait d’amener un dossier à l’un de ses supérieurs. Un dossier administratif important sur l’une de ces activités extrascolaires, justement. Agissant rapidement et efficacement, Shani le remit vers 15h15. Le professeur la remercia en lui volant un baiser, qui rappela à Shani les fois où ils avaient couché ensemble. Tanaka-senseï était en instance de divorce depuis plusieurs mois, et c’était suite à ça qu’il s’était retrouvé muté à Seikusu, au lycée Mishima, où il avait trouvé ses aises. Et là, même si elle put sentir contre sa cuisse l’érection de l’homme, elle s’éloigna ensuite, consciente qu’il fallait travailler, et qu’elle n’avait pas le temps de s’occuper des humeurs de Tanaka-senseï.

« Ce sera pour une prochaine fois... Vous avez votre club à préparer, Tanaka-senseï !
 -  Oui... C’est exact. »

Shani sortit donc, le cœur remuant légèrement dans sa poitrine, referma la porte, se retourna... Et se fit heurter par une femme. Poussant un petit cri de surprise, Shani en fut déstabilisée, et tomba à la renverse, les fesses sur le sol. Elle entendit un vague « désolée », et, interloquée, vit l’étudiante s’éloigner rapidement.

« Oh ! Hey ! » s’exclama Shani.

Ses lunettes avaient sauté sous le choc, et elle s’empressa de les reculer, avant de voir la femme tourner sur la gauche. Médusée, Shani se redressa, lui intimant de revenir, pour présenter de meilleures excuses, mais la mystérieuse femme ne dit rien de plus, et fila précipitamment. En remettant ses lunettes, la secrétaire vit les longues jambes fuselées de la femme, et l’ourlet de ses fesses quand elle fila rapidement. Se relevant alors, Shani épousseta ses cuisses, et, bien décidée à rattraper l’insolente élève... S’arrêta brusquement en voyant de fins traits sur le sol.

*Mais qu’est-ce que... ?*

Etonnée, Shani se mit à genoux, et sa main caressa le sol, récupérant de ce liquide, qu’elle renifla ensuite. Ce n’était pas de l’urine, loin s’en faut... Ni de l’eau. Shani rougit soudain en comprenant ce qui se passait, et, alors qu’elle commençait à comprendre pourquoi l’étudiante était partie si vite, la porte du bureau s’ouvrit brusquement.

« Shani, qu’est-ce que... ? »

Tanaka-senseï se tut brusquement en voyant le corps agenouillé de Shani, et déglutit lentement. Son visage se trouvait à hauteur de son sexe, et il déboutonna son pantalon.

« Tanaka, non, je...
 -  Shhhttt... »

L’empêchant de parler, il ouvrit son pantalon, puis fourra rapidement sa queue dans la bouche de Shani. La secrétaire couina sur place, les joues rougies, mais fut contrainte de pomper le dard de l’homme. Elle s’appuya sur ses jambes, frissonnant en sentant les mains de Tanaka-senseï serrer ses cheveux, lui arrachant quelques crispations de douleur. Shani continua à agir, et la secrétaire pompa son dard, encore et encore. Au bout de quelques minutes, son amant se répandit dans sa bouche, jouissant en plein milieu du couloir, et veilla bien à ce que Shani avale tout.

Rassasié, Tanaka-senseï laissa Shani filer. La secrétaire n’eut aucune difficulté à retrouver l’élève, et se rendit dans les toilettes. Fort heureusement, elle disposait des clefs, et, tandis qu’elle entendait, à travers la cabine, les soupirs de l’étudiante, elle ferma la porte des toilettes, puis se rapprocha. L’élève aurait pu l’entendre, mais elle semblait très occupée par ce qu’elle faisait, poussant de longs soupirs derrière la porte.

La sonnerie retentit alors, tandis que Shani était devant la porte de la cabine, cherchant quoi faire. Elle entendit la jeune fille soupirer derrière elle, puis elle entendit la porte s’ouvrir... Et son regard croisa celui de Shani. Finalement, Shani choisit d’opter pour l’innocence, et reprit :

« Eh bien, tu avais très envie de faire tes besoins, toi, non ? »

15
Shani n’avait pas encore vraiment noté que Skoon était un homme. Elle voyait juste deux femmes bien membrées devant elle, et comprit rapidement que, des deux, Mirabelle était visiblement la dominante, puisqu’elle se mit à parler, se à mettre sur le devant, et à rapprocher Skoon d’elle. Agenouillée devant elles, Shani se pinça les lèvres, les yeux brillant de malice, sentant son pouls s’emballer devant ces deux sexes tendus. Plutôt que de s’y attaquer tout de suite, elle les renifla, s’imprégnant de cette odeur , et ricana légèrement. Le membre de Skoon était un peu moins gros que celui de Mirabelle, et, avec ses deux mains, elle commença à les caresser, les masturbant ensemble.

« Vraiment ? C’est gentil à vous... J’ai toujours trouvé qu’un sexe érigé était la plus belle preuve de beauté qu’on puisse faire à une femme, pas vous ? »

Dans ce genre de situations, Shani pouvait très vite se montrer perverse, comme les deux filles hermaphrodites en avaient la démonstration. Elle retira ensuite sa main de la verge de Mirabelle, tout en maintenant l’autre sur la queue de Skoon, et approcha son visage. Plutôt que de le sucer directement, elle préféra donner dessus une série de baisers, et glissa même des coups de langue, remuant longuement dessus, descendant jusqu’à la base, agrémentant ce phallus de baisers et de coups de langue. Shani agissait lentement, de manière contrôlée, soufflant sur cette verge, la sentant légèrement remuer, et continua à descendre, jusqu’à pouvoir lécher les testicules, avant de remonter encore.

Ses yeux se levèrent vers Mirabelle, tandis qu’elle positionna son visage sur le devant de cette queue, sentant le membre tendu de Mirabelle se poser sur son visage. Elle appuya doucement dessus, son nez venant frotter contre la pointe de sa queue, et précisa ensuite, lueur toujours malicieuse dans les yeux :

« J’aime renifler l’odeur de bites en érection, tu sais... Mais il va falloir me motiver à vous sucer bien fort, les filles... Je suis sûre que vous trouverez des mots d’encouragement ! »

Joueuse, perverse, avec elle, Mirabelle et Skoon n’étaient pas au bout de leurs surprises ! Quoi qu’il en soit, Shani ouvrit la bouche, et goba le bout de ce sexe, puis commença à remuer dessus, glissant sur sa queue, d’avant en arrière. Elle soupira ensuite, puis, cessant de regarder Mirabelle, se concentra ensuite, utilisant sa main libre pour la poser sur la base de sa queue, en soutien. Ses joues enflèrent sous la taille de ce phallus, creusant sa bouche, et elle commença à le sucer, aspirant l’air, provoquant une série de bruits de succion, puis fila d’avant en arrière, soupirant légèrement.

Rapidement, elle sentit la queue atteindre le milieu de sa bouche, puis se recula, remonta sa langue, et l’entoura autour de ce chibre, avant de recommencer, d’avant en arrière.

« Hmmm... Mmmhmm... »

Parallèlement, sa main continuait à s’activer sur le chibre de Skoon, remuant dessus, l’approchant de son visage... Maintenant, il ne tenait qu’à elles de bien la motiver !

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