Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Nathan Joyce

Pages: [1] 2 3 ... 22
1
Après cet orgasme monstrueux, même la Bête aurait pu être rassasiée... Si la Bête n’avait pas été si frustrée, et si Catalina n’était pas si... Bandante. Ce que la créature symbiotique ressentait s’apparentait à une forme d’amour, ou, plutôt, à ce que la créature pouvait concevoir comme étant de l’amour. Et, pour elle, l’amour ne pouvait s’exprimer qu’à travers le sexe. Or, il était difficile de ne pas tomber amoureux d’une femme comme Catalina. Ferme, souple, ample, elle avait toutes les qualités requises pour lui plaire. La Bête gronda encore, et retira l’une de ses verges, libérant la chatte de Catalina, une chatte inondée, que ce soit de mouille ou de sperme... Et qui ne resta à l’air libre qu’une infime poignée de secondes, avant qu’une autre verge bien tendue ne s’y enfonce.

Celle-ci émanait du clone symbiotique, et la Bête gronda, venant à nouveau la pénétrer doublement, puisqu’il subsistait entre le symbiote et son clone un lien intense. Tout ce que le clone ressentait était également éprouvé par la Bête. Plus le temps passait, et plus la créature prenait une apparence humaine, ressemblant ainsi à un amant très bodybuildé, son torse faisant apparaître de multiples lignes musclées et bosselées, tout son corps adoptant une forme de plus en plus humanoïde. Deux amants chauves et musclés, dont de longues langues baveuses et reptiliennes sortaient pour lécher le cou de Catalina, ou pour s’enfoncer dans sa bouche.

« Hrrrrrrr... grogna le clone qui avait enfoncé sa langue dans sa bouche.
 -  Cata... Ma Catalina... !! »

La Bête grondait encore, et, peu à peu, les deux gommes la baisaient mutuellement. D’épaisses triques s’enfonçaient en elle, tant dans sa chatte que dans son cul, et le Nathan occupé à fourrer sa langue en elle l’enfonçait. Il l’enroulait autour de la langue de Catalina, lui imposant un rythme terrible, et posa ses mains sur les fesses de Catalina, qu’il palpa, griffa, pinça, les malaxant fermement. Quant à l’autre Nathan, celui occupé à la sodomiser, il posa ses mains sur la poitrine de Catalina, et tira sur les tétons. Leurs doigts étaient griffus, mais la Bête s’efforçait de ne pas couper Catalina, de ne pas la faire saigner, grattant davantage sa peau avec ses ongles, tout en continuant ses coups de reins.

Les deux monstres de chair adoptaient un rythme simultané, ce qui faisait que, fréquemment, Catalina pouvait sortir leurs queues s’éloigner, avant de s’enfoncer brutalement en même temps, remontant dans son corps, tapant contre son col de l’utérus, ou remontant dans le rectum, imposant à la femme une séance particulièrement soutenue, et sans aucun doute très douloureuse.

Catalina peinait d’ailleurs à rester éveillée. Mais, après tout, elle avait offert une prestation exceptionnelle ce soir. Quelle humaine aurait pu tenir autant ? Il y avait d’abord eu Nathan, qui avait été dans sa forme des grands soirs, puis la seconde mi-temps avec la Bête, après l’agression échouée, et d’ores et déjà oubliée, et dont le but avait été de permettre à la Bête de se rapprocher de la femme. Mais difficile, à ce stade, de dire si Catalina réagissait encore.

En tout cas, la Bête continua à la prendre pendant de longues minutes, avant de s’abandonner encore dans son corps. Une jouissance violente, et la Bête gronda ensuite, puis relâcha la jeune femme, qui s’effondra sur le sol, sur une épaisse flaque blanchâtre qui s’était peu à peu répandue sur le sol, mélange de leurs fluides internes.

« Haaaa... Ma-Magnifique Catalina... Tu es l’humaine la plus belle que je connaisse... »

Il se pencha vers elle, et caressa tendrement son ventre, légèrement gonflé après avoir accumulé tout ce sperme.

« Repose-toi bien, mon aimée... »

La Bête alla jusqu’à la prendre dans ses bras, et la coucha dans son lit. Il se lova dans son dos, et caressa encore son ventre, laissant Nathan reprendre ses droits...

...Sans que Nathan ne sache que, à l’intérieur du ventre de Catalina, un spermatozoïde de la Bête venait de rencontrer un ovocyte.

2
Nathan comprit rapidement que cette femme... N’était pas d’ici. Elle aurait pu être une ganguro, sauf qu’elle n’en avait pas le look... Et que sa peau ne sembla pas avoir bronzé suite à un bombardement massifs de rayons ultraviolets. Face à elle, Nathan la vit paniquer, tandis que, dans son corps, la Bête gronda, salivant sur place devant cette beauté fatale. Nathan loucha d’ailleurs brièvement sur sa poitrine, exagérément mise en avant, tandis que la jeune femme précisa être originaire d’Ashviria, où elle était une sorcière de feu s’appelant Cathari. Tout cela ressemblait à un délire de poivrots, mais, fort heureusement, Nathan avait beau être un Long-Nez, il savait que Seikusu était une ville particulière... Particulière, car située près d’un autre monde, un monde dimensionnel que Nathan connaissait.

Il resta face à la jeune femme, croisant quelques rares promeneurs, puis se racla la gorge :

« Calmez-vous, Madame, je sais ce qui vous arrive. Je m’appelle Nathan Joyce, je suis officier de police. »

Adoptant une voix douce, il se rapprocha encore elle, et sentit la femme se recroqueviller. Elle était visiblement en panique, et il lui semblait que ses mains s’illuminaient. Nathan laissa passer quelques secondes, prenant conscience qu’il risquait sans doute de recevoir une attaque magique. Il était fréquent que la police arrête des énergumènes avec des oreilles pointues sur la tête et une longue queue caudale dans la tête. Ils étaient transférés à un service spécialisé de la police, et donnaient lieu à l’émission d’un procès-verbal décrivant l’individu comme un forcené. Mais Nathan avait déjà arrêté des personnes de ce genre, et avait pu constater de lui-même qu’ils n’étaient pas des forcenés, que les queues n’étaient pas factices... Mais, à Seikusu, personne ne parlait de ce genre de choses. Le gouvernement y veillait, et notamment le SHIELD, qui centralisait tous les éléments concernant cet autre monde.

Autant dire que, si Nathan conduisait cette femme au poste, elle risquait vite de finir dans une salle d’interrogatoire du SHIELD. Et il n’avait guère confiance dans les organismes de contre-espionnage. Nathan se racla encore la gorge, et fléchit le genou, retirant sa casquette, découvrant ainsi sa tête.

« Je ne partirai pas, Madame, et vous n’allez rien faire de répréhensible. Je suis là pour vous aider, okay ? »

Sa main s’approcha lentement de son poignet, tandis qu’il la fixait du regard, comme pour qu’elle se calme en voyant l’assurance et la détermination dans ses yeux.

« Vous êtes au Japon, à Seikusu, loin de chez vous. Votre village se trouve loin d’ici, mais on va vous y reconduire, d’accord ? Faites-moi confiance. »

Il ne pouvait pas savoir que la femme avait vécu un drame avec son village, mais elle semblait être sur le point de craquer. Sa main se saisit alors de son poignet, et il attendit quelques secondes, sachant que, si la femme comptait l’attaquer, elle risquait de le faire maintenant...

...Ce qui présenterait le risque de réveiller la Bête.

3
Ce matin, Nathan était de surveillance au parc central de Seikusu. Ce vaste parc avait été conçu sur le modèle new-yorkais de Central Park, visant à doter la ville d’un grand ensemble végétal. Il y avait donc plusieurs activités connexes : un lac pour la pêche, des promenades, des aires de jeux, des terrains de sport... Grand, le parc donnait aussi accès à un sous-bois menant en-dehors de la ville. C’était un parc très apprécié, mais aussi très mal famé sur certains points. Le long du sous-bois, la nuit, les prostituées étaient multiples, bénéficiant à ce titre d’une sorte de complicité policière. De quoi faire bondir Nathan, mais il n’était pas en odeur de sainteté. Honnêtement, c’était encore un miracle qu’il n’ait pas été viré des forces de l’ordre. Le simple fait qu’il soit un gaijin suffisait à hérisser ses supérieurs, outrés qu’un Long-Nez puisse être policier au Japon. Et, pour ne rien arranger, Nathan avait des problèmes avec l’alcool. Des problèmes qui étaient en grande partie liés au fait qu’il portait en lui « la Bête », le nom qu’il avait attribué à un symbiote extraterrestre anthropophage, violent et brutal, une créature qu’il peinait à contrôler... Si ce n’est quand il était bourré, où la Bête semblait être également anesthésiée.

Mais, au-delà de ça, Nathan était plutôt un bon flic, de sorte que les quelques affaires qu’il avait réussi à résoudre lui avaient permis d’éviter d’être radiés des forces de l’ordre. Il était au lieu de ça souvent mis à pied, ou rétrogradé... Comme ce matin, où il avait été affecté à la surveillance. Une tâche qui consistait, en gros, à trouver les poivrots et les drogués de la nuit, à leur demander de partir, ou à les emmener en cellule de dégrisement. Il s’avançait donc dans les allées, croisant quelques lycéens se rendant en cours, des hommes d’affaires partant travailler, de simples coureurs. Portant son uniforme avec une casquette vissée sur le crâne, Nathan était assez aisément reconnaissable, même s’il n’avait pas de collègue avec lui. C’était là sans doute une entorse au règlement, mais il ne risquait rien.

« ...Cette nana, putain, on aurait dit un cosplay...
 -  À poil, ou quasi... On pouvait voir son cul ! »

Nathan entendit à plusieurs reprises des gens parler d’une femme peu vêtue, et en arrêta un à un moment.

« Ce qui parlez-vous, Monsieur ? »

L’individu, en question, un étudiant, sursauta brièvement, avant de lui parler d’une « nana » qu’il avait croisé plus loin, vers le sentier menant au sous-bois.

*Une pute qui fait du tapin ?*

Toutefois, il faisait jour. Soit les Yakuzas qui l’embauchaient avaient décidé de les provoquer, soit il s’agissait d’une indépendante. Nathan hésita un peu, puis s’y dirigea, sentant la Bête gronder doucement en lui.

*Tu veux te la taper, Nattie-boy ?
La ferme, c’est peut-être une droguée...*

Nathan remonta le sentier, mais ne vit aucune trace de la jeune femme. Il regarda à droite et à gauche, en se demandant si elle n’avait pas filé entre les arbres.

« Madame ? Madame ? Vous allez bien ?! »

Après quelques secondes, il se massa l’arrière de la nuque, se demandant juste si la prostituée n’avait pas foutu le camp.

*Il y a quelqu’un qui se cache ici... Je le sens !* siffla la Bête.

Nathan avait déjà pu constater que la Bête était plus sensible que d’autres aux émanations magiques, et, sur ce point, il décida de lui faire confiance, et s’approcha d’un banc... Nathan fronça alors les sourcils, et porta nerveusement sa main à sa ceinture, là où il y avait son taser. Puis l’illusion magique se rompit, et il écarquilla les yeux sous la surprise, en voyant une superbe femme dont les yeux n’avaient pas l’air vitreux, mais dont la tenue était clairement indécente.

« Je... Qui êtes-vous, Madame ?! »

4
Il était impensable qu’elle s’effondre, impensable qu’elle s’écroule. La Bête ne le voulait pas, et elle avait donc mis en œuvre ses impressionnants pouvoirs pour cela. Elle était à la fois hors du corps de Catalina et à l’intérieur, ayant usé de ses toxines pour renforcer l’endurance de celle-ci, pour augmenter son adrénaline, faisant ainsi sauter les blocages inconscients de l’esprit humain, pour qu’elle profite pleinement de cela. Évidemment, le risque était qu’elle en perde la raison, mais la Bête ne s’inquiétait pas. Catalina lui avait prouvé être une femme forte et endurante, d’une beauté incroyable. À sa manière, la Bête découvrait cet étrange phénomène, typiquement humain, qu’on appelait l’amour... Une étonnante affection, qui s’exprimait chez ce monstre extraterrestre de manière bien particulière. Sa longue langue baveuse retournait fréquemment dans la bouche de la femme, s’enfonçant en elle, tapant contre sa gorge. Au vu de l’épaisseur de cette membrane, on aurait presque pu dire qu’il lui faisait une gorge profonde.

En tout cas, la Bête se régalait, au point d’avoir créé un clone d’elle-même, ce qui était le signe qu’elle commençait à mieux comprendre ses pouvoirs. En effet, Nathan avait toujours refusé cette symbiose avec le symbiote, et avait toujours cherché à réprimer la Bête, ce qui faisait que ses pouvoirs étaient encore primaires, latents... Ce qui n’était pas sans poser problème face à Sylvie, l’ex-femme de Nathan, qui avait, elle, totalement accepté sa transformation. Et, là, avec Catalina, qui agissait comme une sorte de vaccin, la Bête était unifiée à Nathan, et pouvait ainsi, à travers le sexe, augmenter ses pouvoirs.

Son clone maltraitait les seins de Catalina, des seins opulents, les pinçant, tirant sur les tétons, tandis que ses propres mains maltraitaient le cul de Catalina. Il malaxait son postérieur, écartant ses fesses les unes de l’autre, facilitant ainsi le passage du membre de son clone en elle. D’ailleurs, tout autour de cette verge, de fins tentacules noirs avaient jailli, se posant sur les cuisses de Catalina, enserrant sa chair, facilitant cette intense sodomie.

Très rapidement, la Bête se retrouvait face à un dilemme. D’un côté, la créature adorait embrasser sa dulcinée, sentir ses lèvres tendres, sa salive suave glisser le long de sa langue, mais, de l’autre... Il adorait l’entendre crier. Et, vu l’intensité de cette double pénétration, Catalina hurlait beaucoup, ses cris se mélangeant aux claquements spongieux des symbiotes s’écrasant contre elle. Deux torses luisants et musclés, saillants et solides, légèrement humides, un mélange de sueur et de cette peau symbiotique, gluante et collante. Aucune irritation n’était à craindre sur le corps parfait de Catalina.

« Hmmm... Si bonne, si bonne, ma Reine... » grogna la Bête.

La créature libéra les lèvres de la femme, et lécha ensuite son cou, mordillant sa chair. Les minutes défilaient, témoignant de l’endurance impressionnante du monstre. Catalina devait vivre une sorte de rêve, de paradis sexuel tandis que, inlassablement, les deux monstres continuaient à la besogner. Et le clone était lié à la Bête, qui sentait le plaisir croître. La créature elle-même commençait à perdre la raison, subissant cette double dose de plaisir. Elle accélérait encore le rythme, pénétrant encore et encore sa partenaire, donnant lieu à une séance incroyablement jouissive et violente.

« Ca-Cata, hmmm... Catalina... !! »

La Bête avait perdu le compte. Depuis combien de temps prenait-il ainsi en duo sa beauté ? En tout cas, il sentit le plaisir atteindre l’étape suprême. Ses deux queues bien grosses se relâchèrent alors, un puissant orgasme, le sperme semblant exploser dans le corps de Catalina. Un afflux massif de foutre qui gonfla le ventre de la femme. La Bête grogna longuement en se relâchant, donnant des coups de reins pour jouir, ses giclées de foutre jaillissant de ses queues encore et encore. Un orgasme disproportionné, à la hauteur de ce qui se passait, et la Bête se relâcha ainsi pendant une bonne minute, jouissant joyeusement dans la chatte et dans le cul de Catalina, venant remplir son ventre de spermatozoïdes extraterrestres.

À jamais sienne, la Bête venait de marquer Catalina dans le stupre et la douleur !

5
La Bête était une créature ayant une conception très particulière du consentement. Il fallait partir du postulat que cette créature ignorait la notion de viol, car elle était originaire d’une planète où le sexe était naturel, et où les symbiotes copulaient presque continuellement. De plus, les symbiotes étaient par nature asexués, ce qui faisait que, face à des espèces sexuées, la Bête avait tendance à placer sur un piédestal le sexe féminin, car abritant la vie, et donc bien plus utile à la survie que le sexe masculin. Mais, du fait de son origine particulière, la Bête pouvait tout aussi bien être considérée comme une brute épaisse. Elle ne pouvait tout simplement pas comprendre la notion de refus sexuel, le sexe étant pour cette créature quelque chose d’enfouie et d’innée. Et, là, sur place, le désir se réveillait. Sa queue devenait de plus en plus grosse, veineuse et tendue, l’empêchant de réfléchir. Catalina, tout en soupirant, lui demanda ce qu’il envisageait. Le visage de Nathan disparaissait alors progressivement sous le symbiote, jusqu’à recouvrir intégralement sa tête.

Ses puissantes mains maintinrent alors le fin corps de porcelaine de Catalina contre lui, ses muscles saillants et visqueux retenant sans difficulté la femme tandis qu’il se relevait, et l’embrassa alors, fourrant une longue langue baveuse et visqueuse en elle. Une langue fourchue, un véritable appendice qui remplit la bouche de la femme, tapant contre sa gorge, le corps de la Bête se crispant alors sur son corps.

« Hmmm... »

Nathan rompit le baiser au bout de plusieurs secondes, tandis que, dans le dos de Catalina, une masse spongieuse se formait. Une masse noirâtre qui se mit à grossir, encore et encore, remontant jusqu’aux fesses de Catalina, puis encore... Et un corps massif émergea. Nathan venait de générer un clone de lui-même, une autre créature symbiotique, qui grogna dans le dos de Catalian, et posa ses mains griffues sur ses seins, les pinçant furieusement.

« Tu n’as aucune idée de ce que je peux t’offrir, Catalina... Je suis incomplet, imparfait... Là d’où je viens, j’étais à la fois homme et femme, asexué. Ici... Ici, je suis limité aux capacités physiques de mon hôte, et toi... Toi, tu es là pour me compléter. »

La langue baveuse de Nathan avait répandu dans le corps de Catalina une salive très particulière, aphrodisiaque. Un tentacule s’enfonça alors dans le fondement de Catalina, aussi épais qu’un doigt, et remua en elle, tournoyant et ondulant sur place, afin de dilater ses fesses, préparant le passage à un sexe de plus gros calibre. Le clone de Nathan pinçait et tirait sur les tétons, tandis que Nathan palpait avec ses mains le cul magique de Catalina, le pinçant et le malaxant fermement. Le clone embrassa ensuite Catalina, après avoir sensuellement et bestialement léché son cou, sa longue langue glissant ensuite sur les lèvres de Catalina, avant d’aller l’embrasser.

Et, ensuite, la verge du clone s’enfonça dans le cul de Catalina, les deux hommes venant la prendre de plus en plus fougueusement, mettant à rude épreuve l’endurance de Catalina.

La jeune femme se faisait baiser de manière surhumaine par des chibres disproportionnés, et devrait alors réaliser, alors qu’elle manquait peut-être de tourner de l’œil, que Nathan utilisait sur elle une substance particulière, son aphrodisiaque, qui la maintenait sur place, l’empêchant de s’effondrer, afin qu’elle savoure ce moment le plus longtemps possible...

6
Il avait conservé sa verge en elle. Même s’il avait joui, la Bête était loin d’être pleinement rassasiée. Cette jeune femme était comme un buffet royal jeté à la figure d’un affamé sur une île. Elle était un véritable volcan, et, maintenant qu’il avait pu prendre les rênes, le monstre comptait bien exploiter cela pleinement. Inconsciemment, Nathan s’était toujours opposé à lui, convaincu que laisser la Bête agir totalement pourrait avoir de graves conséquences. Mais là, Catalina avait réussi à rendre ce policier strict incroyablement comblé, lui rappelant un bonheur qu’il n’avait plus ressenti depuis des mois, depuis l’époque où il était marié. Ce que la Bête ressentait à l’égard de Catalina était assez confus, mais il y avait indéniablement une forme d’amour... Un amour sauvage, bestial, préhistorique, animal, à la hauteur de la nature très atypique du monstre.

La Bête souriait doucement, et il suffisait de voir les veines noires saillantes le long de ses joues pour comprendre que ce n’était pas vraiment Nathan qui était là. Et Catalina, blottie contre lui, ondulait doucement des hanches, telle une nymphe envoûtante, maintenant le feu pulsant entre les cuisses de la Bête. Nathan avait encore un état d’érection  lancinante, mais il était calme, apaisé, suffisamment pour pouvoir discuter avec elle... Et pour explorer ses entrailles, tant physiques que psychiques. Il sourit en constatant que Catalina se défiait de lui, et caressa le visage de la femme... Puis l’embrassa alors.

« Tu l’auras sans doute compris, mais... Je ne suis pas vraiment humain. En fait... J’ignore ce que je suis. Je viens d’un autre monde, mais j’ai grandi dans un laboratoire. Je suis le fruit orphelin d’une organisation à la dérive... Un peu comme toi, en quelque sorte. Mes créateurs me recherchent. Toi et moi, Catalina, nous partageons un lien très spécial. »

Nathan se montrait étonnamment affectueux, et l’embrassa une nouvelle fois, mordillant ses lèvres.

« Tes souvenirs affluent en moi, Catalina. »

Ceci n’avait rien de surprenant. Que ce soit le foutre dans son corps, ou le symbiote collé à elle, il y avait de multiples terminaisons nerveuses reliant Nathan à Catalina. Et il y avait aussi les souvenirs des gens qu’il avait dévorés, qui avaient fusionné avec lui.

« Cet homme... T’aimait. Je n’ai pas fait que le tuer, Catalina, il fait partie de moi, maintenant. Je visualise ses souvenirs, ses émotions... Il était devenu obsédé par toi, au point de trahir votre organisation, une obsession qui a confiné jusqu’à une jalousie morbide au fur et à mesure que tu te mariais et que tu provoquais la mort de tes maris. »

Il lisait cela, il voyait les dossiers de Smith, les dossiers de Catalina, chacune de ses cibles. Elle avait délibérément quitté l’organisation, renonçant à cette vie faite de meurtres, de trahisons, de souffrance et de cœurs brisés.

« Nathan n’en saura rien... Lui et moi, nous tombons amoureux de toi, Catalina. Il est veuf aussi, à sa manière... Sa femme, Sylvie, a aussi fusionné avec l’un de mes congénères, mais il ne l’accepte pas. Elle est dangereuse. Mais cela ne change rien. »

Plus il parlait, et plus sa queue enflait en elle, tandis que le symbiote continuait à remuer. Des liens noirâtres se formaient déjà autour du ventre de Catalina, remontant jusqu’à son dos, la maintenant ainsi contre lui, tandis que son visage recommençait à se transformer. Sa queue devenait de plus en plus douloureuse, une sensation... Tout simplement délectable. Nathan frémit encore, et se pencha de nouveau vers la femme, venant frotter son nez contre sa joue, léchant ensuite sa peau, une longue langue abyssale finissant par sortir, déposant un filament de bave sur sa joue.

« L’organisation qui t’a embauché te recherche, Catalina. Ce tueur en moi était doué, il a remonté la piste seul, et il n’a rien dit. Il voulait s’enfuir avec toi, fonder une nouvelle vie... Mais ils te retrouveront. Et je ne les laisserai pas te faire du mal, Catalina. Je vais t’améliorer, te transformer... Et tu seras la femme qui convaincra enfin Nathan de s’abandonner pleinement. Notre fusion est incomplète, car il refuse de voir le potentiel que je lui offre. Il a besoin d’une femme, d’une guide... Comme toi. »

Et il l’embrassa encore, avant de doucement se relever, ses liens maintenant le corps parfait de Catalina contre lui. Une main sur ses cheveux, l’autre alla en appui sur ses fesses, les malaxant fermement, et sa queue commença doucement à onduler en elle, devenant de plus en plus grosse et épaisse, un vit turgescent qui se complaisait en elle...

7
La Bête se mit à grogner longuement, reprenant son souffle. Un orgasme fulgurant traversa le monstre, et son corps symbiotique continuait à recouvrir celui de Catalina, influant également à l’intérieur de son corps, jouant avec l’organisme de la femme, la stimulant au-delà de ce qui était raisonnable, l’empêchant ainsi de fatiguer, ou même de ressentir le plaisir de la satisfaction. Quand Nathan l’avait embrassé, et quand il avait fourré sa langue en elle, le symbiote avait relâché des particules de lui-même, qui se nichèrent dans le cerveau de Catalina. La créature jouait ainsi avec les neurotransmetteurs du plaisir pour empêcher Catalina de se reposer. Il existait en effet plusieurs neurotransmetteurs qui jouaient dans le désir sexuel. L’hormone du plaisir pur était ce qu’on appelait l’endorphine, et, au moment de l’orgasme, l’organisme humain relâchait une quantité phénoménale d’endorphines. La Bête pouvait jouer avec ça, mais aussi avec un autre neurotransmetteur, qui se chargeait de diffuser le désir dans le corps humain, la dopamine. Et, juste après avoir fait jouir Catalina, la Bête relâcha la dopamine de Catalina dans son organisme, la stimulant fortement, l’amenant à se tortiller sur place, venant mordre son cou, plantant ses dents dans la peau symbiotique. Elle pouvait s’y enfoncer, laissant ses marques, et même arracher un peu du symbiote.

Pendant ce temps, le symbiote avait recouvert le bassin de Catalina, formant une couche noirâtre qui ondulait sur elle, tandis que d’autres tentacules enserraient ses jambes autour de ses cuisses. Il continuait à la bourrer, et c’est dans ces conditions que le monstre jouit, répondant à la question de la femme sur son patronyme en jouissant énergiquement. Ses verges explosèrent de plaisir, relâchant des filaments de foutre. Le symbiote amplifiait fortement le désir sexuel, permettant à Nathan de relâcher un taux d’endorphines deux fois supérieur à ce qu’un être humain larguait normalement lors de l’orgasme. Et la sensation était d’autant plus forte que Nathan jouissait par toutes les queues tentaculaires.

Autrement dit, une véritable tempête de foutre s’abattit sur le corps de Catalina. Le sperme éclata dans le vagin de son amante, dans ses fesses, mais aussi sur ses deux seins, les tentacules jouant avec ses mamelons se relâchant aussi.

« Hmmmmmmmmm... »

La peau symbiotique sur les fesses de Catalina protégea cette dernière, car les griffes de Nathan étaient largement déployées, pétrissant cette chair. Même à travers la peau symbiotique, Catalina put sentir ses griffes, qui griffèrent ses fesses, la faisant saigner, mais sans lui arracher la chair. Intuitivement, la Bête protégeait son amante, tout en jouissant copieusement, pendant une bonne minute, avant de se relâcher.

Le sperme éclatait depuis les seins de la femme, et éclaboussa également le visage de Catalina, lui offrant un véritable bukkake. Catalina se retrouva couverte de sperme, et Nathan s’assit ensuite sur le sol, maintenant la femme contre lui, retirant ses tentacules de ses seins, de son fondement, mais conservant sa verge plantée en elle, même si elle avait diminué.

Rassasiée, la Bête observa le corps englué de blanc de sa proie, et la tête de Nathan apparut alors, le haut du symbiote se retirant.

« Haaaa... Je n’ai pas de nom, Catalina... Les créatures comme moi n’existent que quand elles se greffent à un organisme... Je suis donc Nathan. »

Il embrassa doucement son sein, venant le lécher, le mordillant légèrement.

« Mais Nathan a du mal à m’accepter... Alors, j’émerge quand je peux. Là, tu étais en danger, alors Nathan m’a laissé inconsciemment prendre le contrôle. »

Le contrôle de la Bête sur Nathan était total, mais, tant que Nathan refuserait sa présence, la Bête n’aurait jamais son potentiel développé à fond. Toutefois, la créature repensait encore aux souvenirs des individus qu’il venait de tuer, tout en continuant également à malaxer le délicieux cul de Catalina.

« Et toi, hein ? Ces types n’étaient pas de simples cambrioleurs, ma beauté... J’ai encore du mal à contrôler mes pouvoirs, mais j’ai vu des souvenirs de ce type... De toi dans une robe de mariée. Tu n’aurais pas, toi aussi, ton lot de secrets, ma belle ? »

8
Vu de l’extérieur, on aurait effectivement pu croire à une scène de torture, à une femme qui se faisait violenter par un époux alcoolique rentré chez lui fou de colère, et cherchant n’importe quelle excuse pour foutre une rouste à sa ménagère. La Bête était une bonne élève, et, si elle n’était pas originaire de la Terre, et n’en comprenait guère les codes, il y avait des choses qu’elle comprenait. Nathan n’était pas du genre à se laisser aller envers des femmes, et, dans ces conditions, il compensait sa grande frustration sexuelle (essentiellement liée à la présence du symbiote en lui) par une surconsommation de films pornographiques. Toutes ces images avaient éduqué la Bête en matière sexuelle, et c’était ce genre de scénario qu’il s’efforçait de reproduire, en bourrant sauvagement la femme. L’anal, par exemple. C’était une situation à laquelle il n’aurait jamais pensé, et qu’il avait découvert par le biais de l’ingéniosité humaine. Comme quoi, les Terriens avaient beau avoir une logique incompréhensible à ses yeux, le fait est qu’ils avaient parfois d’excellentes idées.

Son tentacule s’enfonça donc dans le cul de Catalina, répandant rapidement un liquide lubrifiant qui suinta de ses pores, afin de faciliter la pénétration anale. C’est ce qu’il faisait en ce moment, tout en aidant sa partenaire à tenir le coup. Toutefois, même avec cette aide, il était fréquent que les partenaires qu’il choisissait (généralement des prostituées) s’effondrent en pleine action. Il se débrouillait pour ne pas les tuer, mais les laissait dans un tel état qu’elles avaient sans doute besoin d’une longue séance de repos pour pouvoir retourner au tapin ensuite. Mais là… Là, il y avait quelque chose de différent. La Bête l’avait senti dès le début, et cette appréhension se confirmait.

Catalina n’était pas comme les autres.

Il ne s’agissait pas juste de son insolente beauté, du ronflement magnifique et somptueux de son fessier, de sa chute de reins, de ses longs cheveux, de ses formes magnifiques. Elle avait une endurance sexuelle impressionnante, témoignant d’un vigoureux appétit en la matière. Peut-être était-ce cela qui avait amené la Bête à sortir pleinement, à prendre le contrôle, le sentiment ténu qu’il avait enfin trouvé, chez cette femme, son semblable, une femme qui lui parviendrait à oublier Sylvie Joyce, la femme de Nathan, porteuse d’un symbiote similaire au sien, mais qui avait pleinement accepté ce dernier, contrairement à Nathan. La Bête avait trouvé une femme exceptionnelle, et l’honorait à sa manière, de la seule façon qu’il connaisse : en faisant l’amour intensivement.

« Ca… Catalina, hmmm… »

Autre fait notable, là où le sexe faisait perdre la tête aux hommes, le sexe avait tendance à rendre la Bête plus intelligente, à purifier la créature de sa forte frustration, et à lui permettre de réfléchir calmement. Plus il bourrait Catalina, et plus il réfléchissait calmement. D’où venait la subite intensité de ses sentiments pour elle ? Sans même qu’il ne le réalise, des tentacules supplémentaires avaient jailli de son corps massif, formant des bouches qui se posèrent sur les seins de Catalina. À l’intérieur de ces bouches, de multiples langues rosâtres s’enroulèrent sur ses tétons, tirant dessus, compressant ses seins sous la masse symbiotique.

Il vit alors une scène qui n’était pas la sienne, un souvenir qui n’était, ni le sien, ni celui de Nathan.

Une journée très ensoleillée. Une magnifique femme, vraiment magnifique, dans une belle robe de mariée, qui s’apprêtait à quitter le manoir pour rejoindre le jardin, le kiosque où son époux l’attendait. Et lui attrapa sa main, avant de lui présenter un dossier.

« Steven Doyle. Un promoteur immobilier influent. Tu as réussi à l’approcher, comme nous l’attendions. Notre investigation confirme qu’il se livre à des trafics pédopornographiques. Nous t’enverrons bientôt les éléments pour le supprimer de la meilleure des manières. »


La Bête grogna doucement, chassant cette vision, et embrassa la femme. Un baiser plus humain, tandis que sa gueule difforme s’était contractée pour former une bouche plus humaine, mais avec une langue reptilienne toujours aussi grosse, qui s’enfonça dans la bouche de la femme. C’était les souvenirs de Smith qui remontaient en lui, des souvenirs impliquant Catalina… Et l’amour profond que l’homme lui vouait.

Un amour qui se matérialisait par les coups de reins que la Bête lui infligeait. Il avait senti Catalina jouir, et, fait notable, aucune goutte ne glissa sur le sol. La Bête avait tout absorbé, et se délectait de ce liquide, le plus parfait des nectars, avec un autre objectif en tête.

La faire jouir. Encore. Encore et encore. Jusqu’à ce qu’elle en perde la raison. Ou que lui-même ne finisse par jouir, tant il était excité par la situation actuelle, par elle.

C’était l’amour qui s’exprimait, un amour vorace, brûlant, vif, terrible. Un amour concentré et tourné exclusivement sur elle.

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« Noooonnn... Pas Naaaathaaaannn... » croassa-t-il difficilement, peu habitué au fait de parler.

La Bête grogna encore. Elle copulait avec la Belle, dans un remake sexuel et trash du vieux conte. Toutefois, la Bête n’était pas en état de parler, et amplifia ses propres ondes pour que Catalina ne lui pose pas trop de questions. Il y avait tellement longtemps que cette créature attendait ça. Elle se nourrissait de sexe, presque exclusivement, mais, avec un hôte comme Nathan, qui avait toujours peur de son ombre, la Bête était très souvent frustrée. Cette Catalina tenait donc pour la créature extraterrestre d’une sorte de bénédiction divine, un cadeau magique qu’il comptait honorer longuement. Nathan en avait profité, et c’était maintenant à la Bête d’agir. Son mandrin disproportionné pilonnait furieusement Catalina, et, inconsciemment, il aidait cette dernière, grâce aux substances que Catalina avait ingéré. Par ce biais, il l’empêchait de tomber dans les pommes, et lui permettait de rendre cette situation à peine supportable, dans le sens où, s’il n’atténuait pas la douleur que la femme ressentait, il en amplifiait le plaisir, tout en évitant qu’elle ne tombe dans le coma. Catalina se faisait donc furieusement baiser, et personne, en ce moment, n’aurait pu éloigner la Bête de son repas.

Car, en définitive, c’est tout ce que Catalina était en ce moment : un repas. Un mets onctueux et délicieux, précieux et rare. Un magnifique diamant que le monstre baisait sans vergogne. Ses coups de reins s’amplifiaient, faisant trembler le mur, et sa longue langue revenait souvent lécher le cou de Catalina, glissant dessus, décorant sa magnifique peau de sa salive. Ses mains palpaient les fesses de Catalina, s’appuyant sur son cul, et il grogna encore. Sa queue se tortillait sur place, et des tentacules s’enroulaient autour des cuisses et des jambes de Catalina, et même de son ventre. Des tentacules qui ressemblaient en réalité davantage à des excroissances de son propre symbiote, enchaînant Catalina à son corps, et aidant la Bête à la prendre. En effet, le corps de Catalina remuait d’avant en arrière, tandis que la Bête redécouvrait le plaisir unique, intense, exquis, indescriptible, du plaisir sexuel.

« Hmmmmrrrr... »

La Bête grognait et soupirait en même temps, puis serra dans sa main les cheveux de son amante. Plusieurs tentacules se déplacèrent ensuite, et se posèrent sur les fesses de la femme, à hauteur de sa croupe. Aussi fins que des doigts, ils adhérèrent à sa peau, et écartèrent ses fesses l’une de l’autre, permettant à un autre tentacule, plus gros, et de forme phallique, de se rapprocher. Prisonnière de la Bête, prisonnière de ce torrent ardent qui hurlait en elle, Catalina ne pouvait qu’en réclamer plus.

Et elle en eut plus. Le tentacule se planta dans son cul, venant la prendre avec le même tact que les coups de reins devant. En réalité, les tentacules entourant le corps de Catalina servaient aussi à la protéger, à atténuer l’intensité des coups que la femme recevait. Dans le cas contraire, la Bête aurait en effet pu lui briser les reins. Vu sa corpulence, sa masse musculaire, et sa soif de sexe, c’était presque comme si la jeune femme se faisait baiser par un minotaure.

Et il fallait tout de même éviter que sa belle amante ne finisse à l’hôpital aux termes de leurs ébats.

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Les minutes passèrent ainsi, sous ce gang bang effréné. Les hommes possédés étaient en train de la baiser furieusement, comme ils n’avaient jamais baisé quelqu’un auparavant. Smith et ses hommes avaient indéniablement joué de malchance en débarquant le jour où Catalina avait été contrôlée par ce policier. C’était l’une de ces histoires improbables qui faisait la richesse des faits divers sur Internet... En occultant la baise sauvage et les symbiotes extraterrestres.  La présence de Smith avait toutefois permis de réveiller la Bête, dans une sorte de réflexe de survie inconscient de Nathan. Le policier laissait le monstre prendre le contrôle pour protéger Catalina, et la faire sienne. L’éducation, la civilisation, l’apprentissage de l’égalité entre les sexes... Tout cela n’était que des fioritures, une couche superficielle qui ne permettait pas de dissimuler la véritable nature des gens. Une nature préhistorique, sauvage, fondamentale, qui était simple à comprendre : l’Homme avait un phallus pour prendre la Femme. Ce simple constat justifiait tout le reste. Il appartenait à l’Homme de protéger la Femme et de l’engrosser. La Bête avait d’ores et déjà décidé de se débarrasser de Smith et de ses alliés. Plus ils souillaient le corps de sa Femme, et plus la Bête était furieuse. Le monstre savait qu’il aurait été dans l’impossibilité de les empêcher de profiter d’elle, alors il avait donc développé une nouvelle stratégie, avec la bénédiction inconsciente de son hôte.

Smith et les siens se mirent à jouir en elle. Celui dans sa bouche se relâcha en elle, lâchant un sperme très particulier, qui se répandit dans le corps de Catalina, tout comme Smith. Leurs corps étaient alors entièrement recouverts, et, tandis que Catalina était à genoux, la Bête se déploya. Lentement, elle avait recouvert tout le corps de Nathan, et la créature apparut finalement dans le salon.

« Rrrrrr... !! »

Le reste fut particulièrement rapide, et sans doute difficile à comprendre pour Catalina, qui devait être sonnée. La Bête les attaqua avec efficacité... En les dévorant sur place. Les symbiotes qui les recouvraient se collèrent au corps principal, et la Bête les avala, tout simplement. C’était l’une de ses capacités, qu’elle utilisait normalement pour changer d’apparence. En quelques secondes, il ne resta plus rien des inopportuns, et la Bête se retourna vers Catalina.

Nathan faisait plus de deux mètres de haut, avec un corps massif, musculeux, recouvert de noir, et présentant un chibre monstrueux, ainsi qu’une flopée de tentacules noirs ondulant dans son dos, et même autour de son sexe. Une grande gueule déformait son visage, avec une longue baveuse, de la salive s’égouttant doucement.

« Catalina... » gronda-t-il d’une voix forte.

Nathan était désormais face à elle, et l’un des tentacules situés sous son sexe se déplaça, et se posa sur le menton de la femme. Il était gluant, et releva ainsi son menton.

« Tu es... À moi ! »

Il l’empoigna par les cheveux, et la souleva sans difficulté, puis retourna la pénétrer, tout en plaquant le corps de la femme contre le sien. Inutile de dire que Catalina ne touchait même plus le sol, tandis qu’un mandrin de gros calibre s’enfonçait en elle. Il lui offrit un baiser intense, relativement baveux, sa langue reptilienne s’enfonçant en elle, tout en usant des parties de lui qui étaient dans le corps de la femme. Ainsi, et ce malgré la répulsion légitime qu’elle devait ressentir, il jouait avec ses hormones, afin que son corps ressente du plaisir. Il la prenait sèchement, le corps de Catalina collé contre le sien, et se déplaça, venant l’envoyer contre le mur. Un choc sourd à côté de la table de la cuisine, et le pied de Catalina vola au passage, renversant une carafe sur le sol. Celle-ci s’explosa en heurtant le carrelage, et le monstre commença à la prendre vigoureusement.

La soirée surréaliste de Catalina devenait maintenant une virée monstrueuse face à un colosse noir bien décidé à épancher en elle sa soif de stupre !

11
Nathan ne répondait plus. Il était aux abonnés absents pour la nuit. Profitant de son plaisir, de sa fatigue, la Bête avait pris le contrôle de ses synapses, de son corps, et exploitait ses capacités redoutables. C’était un symbiote extraterrestre puissant, agissant comme un virus. Et là, les hommes qui étaient entrés ici furent attaqués par lui. Leur libido l’aidait à les contrôler, et l’agent Smith était sous son contrôle. Ses grognements étaient de plus en plus inhumains, mais il en allait de même pour les autres, qui se transformaient également. Et, dans leur dos, une fine ligne symbiotique partait à chaque fois, remontant jusqu’à Nathan. Le contrôle mental était sans aucun doute facilité par les traitements que ces hommes avaient reçu. La Bête ignorait d’où ils venaient, mais elle sentit que leurs esprits avaient déjà été modifiés, qu’ils avaient déjà subi des conditionnements hypnotiques. Un champ béant que le monstre n’eut qu’à franchir également, pour se synchroniser avec eux, et les contrôler lentement.

C’est ainsi que la verge de Smith se recouvrit d’une excroissance noirâtre, sa queue atteignant alors la dureté et l’épaisseur de la verge d’un chien, avec une concentration à la base, formant comme une sorte de nœud qui empêchait l’homme de se retirer. Et même Catalina ne pouvait pas lutter. Nathan avait joui en elle, et même à plusieurs reprises. Et son sperme, tout comme le reste de son corps, était contaminé. Dans le ventre de Catalina, d’infimes parties de la Bête s’étaient dilués, et, comme la Bête appréciait beaucoup Catalina, ces infimes morceaux de lui se mélangeaient pour stimuler davantage sa libido. Un luxe sans aucun doute superfétatoire, vu la perversité naturelle de Catalina, mais qui aurait des conséquences à long terme. Pour le dire autrement, Catalina était incapable de ressentir autre chose qu’un plaisir profond à l’idée d’être pénétrée par Nathan, ou par l’une de ces créatures. Et, soucieuse d’offrir à cette femme un spectacle digne de ce nom, la Bête se surpassait.

« Gnnn... Haaaaa... !!
 -  Hnnnn... !! »

Les minutes s’écoulaient, tandis que Smith n’arrivait pas à jouir. Il en avait envie, pourtant, furieusement envie, et sa queue lui faisait mal, très mal, mais il ne pouvait pas s’arrêter. Il la bourrait encore, ne retenant plus sa salive, une longue langue reptilienne jaillissant de ses lèvres, tandis qu’il giflait furieusement le cul de  Catalina.

« Hmmm... Rrrrrr... !! Que... Nyyaaaarrghhh... !! »

De la salive coulait abondamment, et une main noirâtre et griffue saisit les cheveux de Catalina, la soulevant violemment, sans ménagement. Devant elle, l’un des comparses de Smith s’approcha. Il avait, lui aussi, une très belle verge, noirâtre, surhumaine. De petits tentacules tournoyaient autour de cette verge, et les mains de l’homme se posèrent sur le visage de Catalina, serrant fort... Avant qu’il n’enfonce d’un coup sec son bracquemart en elle, et ne commence à remuer, sans ménagement.

« Hrrrmmmm... Rrrrrrrraaaa... !! »

Les violeurs étaient en train de se transformer en espèce de démons noirâtres, le symbiote recouvrant peu à peu l’intégralité de leur chair, faisant d’eux des amants endiablés, assoiffés... Et totalement insatiables.

12
Nathan avait besoin de dormir. Même avec la Bête qui sommeillait en lui, il avait ce besoin physiologique de devoir dormir. De fait, la Bête ne faisait que renforcer la fatigue, car contrôler continuellement cette créature était un effort éreintant, une lutte de tous les instants. Ce que Nathan ignorait davantage, en revanche, c’était que, la nuit, la Bête prenait le contrôle. Contrairement à lui, la créature qu’il portait n’avait nullement besoin de dormir. Le symbiote extraterrestre ignorait le concept de sommeil. Il n’en avait pas besoin, et, la nuit, il profitait des faiblesses de son hôte pour prendre le contrôle. La relation entre Nathan et la Bête était loin d’être paisible. Elle était conflictuelle, contradictoire, ambivalente. La Bête avait besoin de Nathan et savait qu’elle ne pouvait pas se développer si Nathan s’opposait trop à elle. La nuit, elle en profitait, et, cette nuit, la Bête était pleine d’énergie, revigorée. Nathan avait copieusement fait l’amour avec Catalina, et le sexe avait nourri la Bête. Tout le sperme qui avait jailli dans le corps de Catalina avait permis à la Bête d’avoir une sorte de relation fusionnelle avec elle. Oh, rien qui ne permette au monstre de la contrôler, ni de la contaminer, mais suffisamment pour pouvoir se connecter à elle, et pouvoir, à sa manière, influer sur les autres.

C’est ainsi que, pendant que les voyous entrèrent, le symbiote maintint Nathan dans le sommeil. Là encore, si quelqu’un venait attaquer Nathan, venait le frapper, ou lui hurler dans les oreilles, le policier se réveillerait. Mais, là, dans le lit, il baignait d’un sommeil réparateur, et, après avoir fait longuement l’amour avec son hôte, se sentait inhabituellement heureux, apaisé... De quoi aider la Bête à mieux le contrôler. De fait, quand Catalina se réveilla, la Bête sentit également la menace, et se mit en position défensive. Le corps de Nathan se recouvrit de tâches noires gluantes, brillant légèrement, et les petites portions de lui dans le corps de Catalina sentirent la panique de cette dernière.

Smith, de son côté, examinait les lieux avec ses hommes, quand ils entendirent des bruits de pas. Il savait la réputation de cette femme au sein du cartel qu’il avait quitté, et sourit donc. Finalement, ses hommes la maîtrisèrent sans difficulté, et l’un d’eux, un Noir chauve plutôt bien baraqué, sortit un couteau, le mettant contre la gorge de la femme, tout en utilisant son autre main pour palper son corps. Smith sourit malicieusement devant Catalina, et s’approcha d’elle, juste assez pour qu’elle puisse voir son visage.

« Évidemment qu’elle est bonne, c’était l’agente la plus roulée du service ! Tu te souviens de moi, Catalina ? Parce que moi, je ne t’ai jamais oublié... »

Smith n’était évidemment pas le vrai nom de cet individu. Il était encore suffisamment malin pour pouvoir le masquer aux autres. Difficile de dire si Catalina pouvait le reconnaître.

« C’est toujours moi qui ai recouvert ton joli cul, ma chérie, et j’ai jamais pu en profiter pleinement. Merde, tu n’imagines pas à quel point c’est compliqué de maquiller douze meurtres. Douze, putain ! Les mecs, cette salope, c’est une véritable beauté infernale ! »

Il s’approcha d’elle. Catalina étant nue, il admirait volontiers ses formes, un sourire sur les lèvres. En fait, Catalina et elle avaient déjà eu l’occasion de se rencontrer. Maquiller des cènes de crime était tout un art pour l’agent Smith, qui avait dirigé une petite équipe de nettoyage. Il rencontrait à chaque fois Catalina pour qu’elle organise son discours auprès de la police locale. Mais, à chaque fois, Smith avait été suffisamment professionnel pour ne pas s’impliquer outre mesure. L’organisation dans laquelle ils avaient tous les deux travaillé fonctionnait beaucoup sur le principe de la compartimentation. Smith et Catalina appartenaient à deux cellules différentes, qui ne pouvaient que se croiser. Quand Catalina avait quitté l’agence, c’était également lui qui s’était chargé de nettoyer toutes les traces de sa présence. Mais le fait est qu’il n’avait jamais pu oublier cet insolent fessier, ce corps de rêve...

Ken se rapprocha donc, et caressa le visage de la femme, descendant ensuite, massant ses côtes, et serra ensuite ses fesses, sa queue en érection déformant son pantalon pour caresser les cuisses de la femme. La langue du grand Noir glissa alors sur la joue de la femme, et il ricana grassement.

« Merde, elle est si bonne, putain !
 -  Tu n’as pas idée... Elle a toujours fait jouir ses maris avant de les tuer. »

L’homme défit alors son pantalon. Pendant ce temps, la Bête s’étirait. Elle entendait ce qui se passait, et percevait l’aura sexuelle ambiante... Mais s’agaçait aussi fortement de la situation. Non pas qu’elle veuille en soi protéger Catalina, mais la Bête considérait Catalina comme sa femelle. C’était donc au symbiote de décider quoi en faire, et il n’était pas dans ses intentions de la partager gratuitement. Lentement, les tentacules s’étiraient, difficiles à voir dans la pénombre, surtout que Ken et les siens étaient très occupés par le corps délicieux de Catalina. Celle-ci avait été jetée à terre sans ménagement, et Smith se glissa dans son dos, posant ses mains sur ses hanches, avant de gifler son cul à plusieurs reprises.

« Merde, merde... Depuis le temps que j’avais envie de te baiser, ma salope... »

Il la pénétra alors, sans guère plus de cérémonial, mais, au bout de quelques secondes, l’un des tentacules de la Bête le frappa dans le dos. L’homme en poussa un grognement, inaudible en raison de sa position, mais son corps se mit rapidement à évoluer, tandis que d’autres tentacules frappaient également ses acolytes.

« Haaaa... Mais... Mais que, bordel... »

L’homme grogna encore, et poussa un hurlement inaudible, bestial, tout en accélérant brusquement ses coups de reins. Sa queue se mit à gonfler et à s’épaissir, s’allongeant, tandis que tout son corps évoluait, se recouvrant d’une couche noire gluante.

« À moi... Haaaa... À moi, MA FEMELLE !! »

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Les alentours de la ville / Re : Boire pour oublier [PV Nathan]
« le: mardi 03 avril 2018, 00:52:15 »
Nathan allait passer un sacré bon temps avec cette nana. Ada était, non seulement bien roulée, mais également très provocante. Son style de garçon manqué était très loin de laisser le policier indifférent. Ils partirent donc, et Nathan, pressé, et bien décidé à montrer à la femme qu’il n’était pas sur le point de suivre le règlement à la lettre, enclencha les sirènes. De quoi enflammer sa partenaire, qui s’extasia sur place en faisant tournoyer les menottes le long de son doigt. Souriant lentement, Nathan la regarda brièvement.

« T’es une vraie incitation au crime sexuel, toi... »

Qui aurait cru, en effet, qu’une femme en salopette puisse se montrer aussi excitante ? Nate était sous le charme ! Le policier continua à rouler, jusqu’à rejoindre son immeuble, le long de la Toussaint. Un quartier plutôt craignos, mal famé, ce qui était notable, le Japon étant réputé pour être un pays plus sûr que des pays comme les États-Unis. Nathan s’arrêta devant son immeuble miteux, délabré, dans un état vétuste. Le bailleur était une obscure SCI qui était une coquille-vide, une société qui était concrètement gérée par les puissants Guramu, le plus puissant clan yakuza de la ville. Nathan s’arrêta donc, et tourna sa tête vers elle.

« Home sweet home. »

Ce n’était clairement pas le palace du siècle, indigne d’une fille pareille. Nathan était en train de trembler, sentant la Bête s’agiter en lui.

*Merde, Nattie-boy, ne me dis pas que tu vas laisser ce joli cul et ses nichons énormes nous passer sous le nez !
Oh que non...*

Pour une fois, l’Homme et la Bête étaient en accord, sur la même longueur d’onde. Il sortit donc de la voiture, la verrouilla, et se retrouva contre la femme, la coinçant contre la voiture. En chaleur, Ada continuait à le provoquer, jouant pour cela avec la sangle de sa salopette, éveillant le désir chez son amant. Elle exhiba ainsi ses seins, et il sourit, appuyant avec son bassin sur le sien, faisant ainsi sentir à Ada sa belle érection. Nathan respirait lourdement, et posa ses mains sur les hanches de la femme, remontant doucement le long de sa tenue.

« Toi, ma belle... Tu m’excites comme jamais ! »

Nathan l’embrassa alors, plaquant ses lèvres sur les siennes, et remonta ses mains pour palper ses seins. Il y avait bien quelques badauds qui passaient, mais Nathan en avait visiblement autant rien à faire d’eux qu’Ada. Il goûta aux fortes lèvres de cette femme, à son corps musclé et bien bâti. Une femme parfaite, tout simplement, et il malaxa ses seins pendant quelques instants, puis déplaça sa main, et la posa sur sa nuque. Là, il serra ses cheveux, et continua à l’embrasser, longuement, passionnément, fourrant sa langue dans sa bouche.

« Là, voilà, un délicieux avant-goût... »

Il tourna la tête vers une petite ruelle sombre longeant l’immeuble, avec des poubelles et une porte de service, puis s’y dirigea, tenant Ada par la main. Là, il la prit contre le mur, et l’embrassa encore, tout en déboutonnant son pantalon.

« J’peux plus attendre, une chaude comme toi... Putain, ma chérie ! »

Il allait la pénétrer... Là, contre le mur ! Une baise sauvage, un prélude pour le reste !

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Prélude / Re : 893 [Valinonnisé]
« le: jeudi 15 février 2018, 19:22:03 »
On ne critique pas la police, vil manant.

Ou ton cigare, je te le fous dans le cul, avec la matraque avec >:(

Re-Bienvenue, anyway.

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Les alentours de la ville / Re : Boire pour oublier [PV Nathan]
« le: lundi 02 octobre 2017, 01:20:14 »
Qui aurait cru qu’on pouvait associer le mot sexy à une salopette ? Nathan devait bien admettre être surpris, mais c’était bien ça qu’il avait sous les yeux. Ada, de plus, n’avait pas une gueule de porte d’amour, avec ses balafres. Pour autant, Nathan lui trouvait un charme assez masculin, assez sauvage. Il l’aimait bien, oui, elle était... Très belle. Et elle ne se priva pas de le titiller, en dégrafant brièvement l’une de ses sangles. Nathan sentit sa gorge s’assécher, et la Bête en lui se mit à grogner, se réveillant doucement, ce qui se manifesta par une tension croissante entre ses cuisses. Il observa son sein, en voyant la forme généreuse, arrondie, avant qu’Ada ne la stoppe. La sangle l’empêcha donc de voir le téton, et, mutine, elle sourit, le provoquant, avant de remettre sa salopette en place.

« Oui... Ne rajoute pas à ton ardoise l’exhibitionnisme... »

Nathan grommela ensuite, conscient qu’ils n’allaient plus rester longtemps dans ce bar. Ceci étant dit, il s’agissait bien d’une « corruption », ce qui le fit doucement sourire.

« J’espère que tu seras à la hauteur, alors... Pour me corrompre... »

Le policier se releva alors, posant ses pieds sur le sol. Son érection ne faiblissait pas, bien au contraire, et il s’approcha de la femme, puis se glissa dans son dos, en attrapant son poignet.

« Mains dans le dos, c’est plus sûr... » siffla-t-il contre ses oreilles.

Et tout, en l’attachant dans le dos, Ada put aussi sentir, contre le renflement de ses fesses, le sexe de Nathan, bien érigé sous son jean. Il fit même exprès de bien s’appuyer contre elle,  afin qu’elle sente bien son érection, pendant que, suivant la pose des menottes, il se livrait à une palpation corporelle. Ses mains se posèrent sur les hanches de la femme, puis remontèrent lentement, jusqu’à palper brièvement ses seins.

« Ça va... Je ne sens rien d’anormal... »

Mais, pendant qu’il l’avait ainsi palpé, et, surtout, massé ses seins, Nathan avait commencé à sentir son érection se raffermir, grossir encore, et il s’avança ensuite, sous le regard surpris de quelques clients. Néanmoins, l’homme fut tellement rapide que personne ne put vraiment voir ce qui se passait, et le duo se retrouva ensuite dehors. L’air frais assaillit l’esprit de Nathan, mais ne calma nullement ses ardeurs, et il se dirigea vers sa voiture.

Rapidement, Nathan ouvrit la portière passager, et assit la femme à côté de lui, puis attacha sa ceinture de lui-même. Ada, du reste, allait peut-être réaliser que Nathan, s’il avait bien serré les menottes, ne les avait pas fermées, de sorte que la jeune femme blonde pouvait tout à fait se libérer. Nathan grimpa ensuite à bord, et démarra rapidement. Sans aucun respect pour les limitations de vitesse, les sirènes hurlantes, il rejoignit rapidement son domicile, dans un immeuble assez miteux, et s’arrêta devant.

« Je te préviens, Ada, je ne suis pas facile à corrompre, il va falloir que tu y mettes du tien... »

Il sortit ensuite, puis ouvrit la portière de la jeune femme... Et, quand cette dernière sortit, et se releva, Nathan posa une main sur ses hanches, et poussa en avant, tout en l’embrassant. Le dos de la femme s’écrasa contre la portière, et il plaqua copieusement ses lèvres sur les siennes, prolongeant volontiers le baiser, savourant le goût des lèvres voraces de la femme, en continuant à l’embrasser, longuement, et intensivement...

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