Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Jack Taylor

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Jack Taylor

Pages: [1] 2 3 ... 18
1
One Shot / Re : Emprise [PV]
« le: mercredi 26 octobre 2022, 15:38:03 »
“Ah oui ? C’est bien ça, ma grande.”

Je n’écoute plus vraiment ce que tu me racontes et ne songe qu’à un moyen de me sortir de ce bourbier. Si je ne quitte pas rapidement les lieux, je risque de déraper. Mes doigts se crispent nerveusement sur ta petite main. “Oui, la fusion acquisition… Ton papa t’en as probablement déjà parlé, j’imagine.” Ma respiration s’accélère. Je jette un regard éperdu vers mon ami, qui semble définitivement avoir sombré dans les bras de Morphée.

“Nous allons probablement… Travailler ensemble plus régulièrement, désormais. On se verra davantage et tu pourrais revoir mon fils, qu’est-ce que tu en penses ?”

Au fil des années, Kenzo et moi nous sommes souvent amusés de la perspective de marier ensemble nos deux progénitures et, à l’âge qu’ils ont aujourd’hui, force est de constater qu’ils feraient un fort joli couple même si, à la différence de Canelle, mon fils est un fieffé cancre, bien plus intéressé par le sport et les jeux-vidéos que par ses études. “Oh, dommage, dommage.” Le changement dans ton attitude ne m’a pas échappé, non plus que la lueur de colère que je lis désormais dans tes jolis yeux verts. Je fronce les sourcils, surpris. je t’ai toujours connue douce et conciliante. Soumise même, pourrait-on dire. Peut-être que tu as davantage en toi de Mariko que je ne le supposais.

“Oh je sais bien. Ton père n’arrête pas de s’en vanter. Il est très fier de toi, tu sais.”

Le léger sourire qui étire mes lèvres se crispe lorsque je sens le moelleux de tes petits seins s’écraser contre mon bras. “Canelle ? Tu es fatiguée ? Tu veux aller te coucher ?” Mon coeur manque un battement. Le parfum délicat mais musqué que tu portes chatouille mes narines, ton souffle tiède sur ma peau me donne la chair de poule. Te repousser, il faut impérativement que… “Hmm.” J’ai un long frisson. Mon gros chibre bandé, compressé entre le boxer et la braguette de mon pantalon suinte. Plusieurs de tes mèches brunes caressent ma nuque. Mon regard affolé, passe de Kenzo à tes longues jambes diaphanes. Impossible de m’illusionner davantage. Tu n’es plus la petite fille sage que j’ai connu. Comme un automate, je vois mes propres doigts se délier, lâcher ta main pour se poser sur ta cuisse offerte, glisser légèrement sous l’ourlet de ta robe et.. Déraper. sur la peau humide, vers ton entrejambe. “Canelle.” Ma voix est rauque, sourde. Tu mouilles. Comme une sale chienne. Les trois mots que tu prononces ensuite, que tu craches même, tout contre mon oreille me font sursauter, hoqueter. Mes gros doigts se crispent sur la chair  de ta cuisse, y laissant des traces rouges.

Punir.

Je me redresse autant que possible, tournant la tête vers toi, pour plonger mes yeux marrons et fiévreux dans les tiens. J’ai envie d’enrouler tes cheveux autour de ma main, de les tirer brusquement vers l’arrière pour te forcer à te cambrer. De te cracher à la gueule avant de remplir ta petite bouche rose avec ma grosse bite. Sans vraiment m’en rendre compte, mes jambes se sont éloignées l’une de l’autre, dévoilant l'obscène et volumineuse protubérance qui déforme mon pantalon. “On ne peut pas.” Pourtant, ma main glisse vers l’intérieur de ta cuisse, lentement sournoisement. De l’autre, j’écarte des mèches brunes de ton joli minois pour les replacer derrière la branche de tes lunettes. Mon front se rapproche du tien, jusqu’à le heurter. “Ta mère. Me. Tuerait." Mes lèvres sont à quelques centimètres des miennes, ton petit nez frôle le mien. La pulpe de mes gros doigts glisse sur ton… Ton sexe. Nu. Humide. Nouveau rush d’adrénaline. Je grogne, comme l’animal en rut que je suis. Trop tard, c’est trop t…

La sonnerie de mon téléphone me sort de ma torpeur. Presque choqué, je me recule, retire ma main du dessous de ta jupe, décroche et pose le téléphone contre mon oreille de mes doigts souillés.

“Oui chérie ? Non non… Ah oui ? Figure-toi que j’étais justement en train de parler d’elle !” L’occasion est trop belle. Rassemblant toute ma volonté, je m’extirpe du canapé pour me redresser, et m’éloigner de ton corps tiède et moelleux, t’observant à la dérobée du coin de l'œil. “Parfait, parfait, j’ai signé le document avant de partir de toute façon, je ne comprends pas comment j’ai pu l’oublier en partant, il était en évidence sur mon bureau… Je m’approche du fauteuil de ton père, posant ma grosse patte sur sa frêle épaule. Il s’éveille, sourcils froncés pour me sourire et je lui adresse un signe de tête appuyé pour lui indiquer que je prends congé. Il hoche la tête en baillant, tapotant mes phalanges de la paume de sa main. “Ecoute, je devrais revenir peu après minuit, j’ai encore un rendez-vous à assurer avec un fournisseur…”

Et sans t’accorder un regard, je tourne les talons pour quitter la pièce, puis le pavillon. C’est nécessaire. Si je reste plus d’une minute de plus en ta compagnie, un drame risque de se produire. Qui plus est, contrairement à ce que je viens d’affirmer à ma femme, ce n’est pas avec un partenaire commerciale que j’ai rendez-vous, mais avec Ashley, une étudiante que j’entretien grassement, en échange de faveurs sexuelles notoirement dégradantes. Une fois dans la rue, j’hésite un court instant à commander un taxi, mais soucieux de m’éloigner le plus rapidement possible de toi, je décide de partir à pied et remonte la rue pour rejoindre l’avenue d’un pas chaloupé.



2
One Shot / Re : Emprise [PV]
« le: mercredi 19 octobre 2022, 15:25:07 »
Je sens ta présence dans mon dos, alors qu’un léger courant d’air transporte les effluves fruitées de ton parfum qui me chatouille les narines. Je déglutis, m’efforce de garder contenance. D’un geste je sors mon téléphone portable de la poche poitrine de ma veste. Aucun message de ma rencontre du soir. La voix de Kenzo est lasse, lorsqu’il te donne la permission de rester. Je sais qu’il ne s’est jamais trop préoccupé de l’éducation de sa fille unique. Ayant moi-même quelque peu négligé l’éducation de mon fils Toshio, je suis mal placé pour lui en tenir rigueur. La pression de ton regard sur ma nuque m’incite à me retourner, un peu gêné, pour croiser ton regard trouble. Du menton, je te désigne un fauteuil libre, sur ma gauche, mais c’est sur l’accoudoir à ma droite que tu décides de poser tes jolies petites fesses bombées.

“Toujours un poids plume hein ?”

Avec affection j’effleure tes omoplates de ma grosse main calleuse, en résistant à l’envie de la faire glisser jusqu’au creux de tes reins. Si fragile, si pure. Tes jambes fuselées s’échappent de ta jupe plissée. Ta peau est pâle, délicate. De toute évidence, elle doit bien marquer.

“De l’avenir. Et de détails juridiques ennuyeux. Comme tu le sais, la société de ton père va absorber la mienne et…”

Le contact de ta main sur la peau de mon avant-bras me fait sursauter. Je déglutis, t’adresse un sourire factice, baisse les yeux sur tes longs doigts fuselés, aux ongles propre, soigneusement entretenus. Je les imagine glisser sur ma queue érigée, en découvrir fiévreusement chaque aspérité. Le sang cogne sur mes tempes et mon cœur bat la chamade. Sournoisement, je sens qu’entre mes jambes, mon chibre gonfle. Je referme doucement les jambes, en espérant que du haut de ton perchoir, ce détail t’aura échappé. C'est d'une main tremblante que je repose mon verre de champagne vide sur la table basse.

“Hmm. Enfin. Il se fait tard…”

Je soupire, m’efforçant de trouver en moi la résolution de m’enfuir. Mais mon regard fiévreux accroche tes yeux d'un vert profond, s’égare sur ton orgueilleuse petite poitrine qui tend le tissu de ton chemisier. Juste encore un peu. Je ne fais rien de mal. Ma main libre vient se poser sur tes petits doigts. Du coin de l'œil, je constate que ton père semble s’être assoupi.

“Comment va ta mère ? J’aurais bien aimé la voir avant de partir.”

Ces derniers temps, je ressens une certaine nostalgie quand je repense à mes ébats avec Mariko. Je crois n’avoir jamais rencontrée une femme aimant autant se faire souiller que cette fière catin. Je fronce les sourcils en observant ton joli minois. Dire qu’elle avait l’air aussi sage que toi, à ton âge. Alors qu'elle couinait comme une chienne quand je lui démolissais le cul.

Et si… Non. STOP.

“Et heu. A l’école. Ça se passe bien à l'école ? Tu as de bonnes notes ?”




3
One Shot / Emprise [PV]
« le: samedi 15 octobre 2022, 16:41:14 »
“A la tienne mon cher Kenzo, et à ce nouveau partenariat, que j’espère fructueux !”

Affalé dans le canapé de Kenzo X, un de mes complices de toujours, je savoure le champagne français qu’un domestique vient de nous servir. C’est bien la troisième fois que nous trinquons en l’espace de vingt minutes, mais les circonstances le permettent, sinon l’exigent. Nous venons de conclure un accord financier entérinant mon entrée au capital de son entreprise ainsi qu’au conseil d'administration. Dans l’opération, la société de Kenzo absorbe plusieurs de mes sociétés - dont une société-écran, mais le très honnête Kenzo n’en a pas été informé. Le très honnête Kenzo qui dodeline déjà de la tête, passablement ivre. Il n’a jamais très bien tenu l’alcool et à l’époque de la fac, c’est souvent moi qui le ramenait chez lui en taxi. je m’affale contre le dossier du canapé en cuir blanc immaculé. Sur la table basse qui me sépare de Kenzo, les contrats, signés, ainsi que ma cravate dénouée. Il fait bon dans la villa, et ma chemise en popeline blanche est largement ouverte sur mon torse musculeux. J’ai également remonté les manches sur mes avants-bras. Ma veste de costume en tweed bleu marine est soigneusement pliée sur l’accoudoir.

“Est-ce que monsieur désire que je le resserve ?” Je hausse un sourcil en direction de la jeune domestique qui me sourit avec sollicitude. Rousse, blême. Jolie, mais un peu grasse. Non merci. "Ça ira. Je ne vais pas trop tarder, j’ai un rendez-vous, juste après.” Et pour cette rencontre, il est préférable que je sois en forme.

“Ma femme ne va pas tarder. Tu veux l’attendre un moment ?”

Je me suis toujours bien entendu avec Mariko. Peut-être est-ce que parce que je la baisais bien avant Kenzo, et que j’ai continué à le faire pendant de nombreuses années, avant de rencontrer ma femme - par son entremise. Nous avons complètement cessé de nous voir - sexuellement parlant - lorsqu’elle est tombée enceinte de Cannelle.

“Avec plaisir. J’imagine que c’est à elle que nous devons l’impeccable rédaction des clauses de la fusion-acquisition, pas vrai ?” Le sourire de Kenzo est éloquent. Mariko est tout aussi brillante que lui, dans des domaines connexes. Lorsque la porte d’entrée s’ouvre dans mon dos, je jette un regard par-dessus mon épaule, sourire aux lèvres. “Mariko-chan ? On parlait justement de t… Ah, Cannelle, c’est toi ! Cannelle. Un prénom doucereux pour une ravissante petite confiserie interdite. L’adolescente est adorable, plus belle encore que sa mère ne l’était. Parce qu’elle me la rappelle au même âge, j’évite, dans la mesure du possible, de me retrouver seul avec elle, bien qu’elle semble globalement apprécier ma compagnie. Je connais mes pulsions et me refuse à y exposer une mineure.

“Il est tard ma chérie, tu devrais aller te coucher…” Kenzo, la tête renversée sur l'appuie-tête de son fauteuil, semble être sur le point de s’assoupir. Quant à la domestique, elle s’est éloignée et s’affaire à la cuisine.

4
Prélude / Re : Les apparences sont trompeuses...
« le: lundi 03 octobre 2022, 01:40:56 »
Intéressant.

Bienvenue.

5
One Shot / Re : Le sang des orcs [PV]
« le: jeudi 22 septembre 2022, 17:17:43 »
La petite femelle s’avance, et l’orc fulmine, les yeux rivés sur ses belles mamelles qui glissent sous le tissu soyeux de sa robe. Il sent son odeur doucereuse, entêtante. “Un orc ne supplie pas”, grogne-il, sombrement. Son énorme chibre, désormais entièrement érigé, pointe vers l’abdomen de la jeune femme, suintant de semence poisseuse.

“Qu’est-ce tu fous, sale catin ?”

Stupéfait, l’orc regarde l’elfette au dehors si dignes se baisser, pour écraser sa cuisse de poulet contre son gland sale, frissonne à ce contact saugrenu. Il écarquille les yeux lorsque sa langue serpentine vient laper son foutre épais sur la chair pâle et tendre de la volaille.

“T’es complètement dégénérée.”

Mul’had a toujours considéré les elfes comme des créatures pusillanimes et frigides. Le comportement ouvertement provocateur et sexuel de Galadriel le prend au dépourvu. Presque hypnotisé par le spectacle de sa petite bouche souillée de foutre, l’orc s’abstient de tout commentaire supplémentaire et décide de se murer dans le silence, non sans frissonner une nouvelle fois lorsqu’elle réitère son acte.

Il s’efforce de retourner son visage du pilon qu’elle destine à son visage, mais l’os maculé de sperme glisse sur son visage, s’étalant sur ses lèvres, son nez et sa joue. L'odeur âcre et entêtante de sa propre semence remonte dans ses sinus. La situation est en train de lui échapper, l’orc le sent. Lorsqu’elle se presse contre lui, que ses lèvres roses se referment sur l’une de ses canines, pour la téter, il lui suffirait d’un geste pour planter sa mâchoire dans son cou diaphane et se repaître de sa chair, mais… Il n’en est pas capable. Les yeux exorbités, presque fous, il soutient le regard sournois de la princesse. A quelques centimètres de sa robe, son chibre pulse. Le son de succion résonne dans sa boite crânienne et un long grognement rauque lui échappe lorsque les jolis petits doigts fuselés de la jeune femme glissent sur son gland poisseux pour venir l’écraser.

“Haaaaa….”

Son regard se trouble. Une brève giclée de foutre épais dégouline entre les doigts de l’elfette, dont les petits mouvements circulaires produisent un discret bruit mouillé.

Au bord du précipice, Mul’had s’efforce de rassembler ses esprits. Contrairement à ce qu’il affirme, il craint que cette putain elfe soit en mesure de le faire céder s’il ne trouve pas un expédient rapide, si bien qu’il tire sur ses chaines pour onduler du bassin et ainsi  faire coulisser son énorme membre entre les doigts de sa tortionnaire, avec la ferme intention de l’asperger de son jus brûlant.

“Hmmmf, hmmmm…”

Il n’est pas si loin de l’orgasme. Une affreuse grimace déforme sa sale gueule, alors qu’il se branle avec ses doigts. Quelques giclées, et il sera à l’abris des tentations de l’odieuse putain.   

6
One Shot / Re : C'est meilleur quand c'est court [Jack Taylor]
« le: jeudi 22 septembre 2022, 15:59:10 »
Un salon, non un studio dépouillé, propre mais pas rénové depuis une vingtaine d'années. Les murs sont recouverts d’un papier peint démodé qui se décolle aux angles, noirci par l’humidité au niveau des fenêtres mal isolées. Un canapé-lit défoncé au milieu de la pièce, une table basse recouverte de cartons de pizza. Un frigo et un petit bureau métallique devant lequel se trouve un homme blanc musculeux et tatoué, les yeux rivés sur l’écran de son ordinateur portable. Il s’empare de sa tasse, vide le fond de café froid, puis envoie le mail qu’il vient de rédiger, non sans y attacher un fichier audio, sobrement intitulé extrait n°1, pour bien faire comprendre à sa destinataire qu'il y en aurait d'autres.

Citer
Hiromi. Tu es une chienne.

J’ai des preuves accablantes de ta débauche. Ne contacte pas la police, ou tout sera rendu public et ta carrière brisée.

Tu auras prochainement de mes nouvelles.

V.

Il a longtemps hésité sur la manière de signer son message, avant de s’arrêter sur V. Comme vengeance, vice et violence. L’homme renifle, repousse sa chaise pour se redresser. Il était déjà sportif avant d’échouer en prison, mais il y a pris une dizaine de kilos de muscle et de nouveaux tatouages sont venus recouvrir sa chair. Il se dirige vers le frigo, y prend une bière, qu’il s’ouvre, avant de s’affaler dans le canapé. Son regard est un peu vitreux, mais embrasé. Il a hâte que Hiromi ouvre le fichier audio de la pièce-jointe. Elle aura la désagréable surprise de s’entendre soupirer, gémir, prononcer des insanités surprenantes. En fond, le bruit irrégulier et brutal du bassin qui heurte le sien. Elle n’y prononce aucun nom, il s’est assuré de choisir un extrait approprié. A priori difficile de remonter jusqu’à lui.

Et puis, cette salope l'a probablement oublié.

7
One Shot / Re : Le sang des orcs [PV]
« le: samedi 17 septembre 2022, 20:12:36 »
Les menaces n'ébranlent pas l’orc. Il a été génétiquement programmé pour peu souffrir de la crainte, de la douleur et de la compassion. Il a déjà été torturé par le passé, et n’en garde pas un sourire ému. Sa chair a été irrémédiablement marquée, mais son cerveau n’a conservé aucune séquelle. En revanche, le stupre est présent à l’excès dans les préoccupations des orcs et Mul’had ne fait pas exception à la règle. Le simple fait de voir la princesse lécher sa salive l’émeut. Il détourne le regard, pour ne voir la jolie petite langue rose et serpentine de l’elfette tournoyer autour de son doigt fuselé et crache sur le sol en réponse. “Foutue chienne”, murmure-il, le souffle court. Pour une elfe et, qui plus est, une princesse, il la trouve bien vulgaire.

“Rien. Tu n’auras rien.”

Il l’observe de son regard jaunâtre, buté, avec un mélange de haine et de concupiscence. A son grand désespoir, Galadriel fait quelque chose qu’il redoute depuis qu’il a senti le fumet boisé du poulet rôti lui chatouiller les narines ; elle ôte le torchon qui le recouvre. Mul’had serre les dents, jusqu’à en avoir mal à la mâchoire douloureuse et s’efforce une nouvelle fois, de détourner le regard, mais n’y parvient pas. Le spectacle de ses petites quenottes blanches perforant la chair cuite et blanche, le jus qui dégouline sur ses lèvres luisantes. Le monstre a un sursaut brusque, bandant l’ensemble de ses muscles pour chercher à briser ses liens, mais ne parvient même pas à les ébranler.

“Je peux te dire ceci.” Pantelant, le souffle court, l’orc défie sa geôlière du regard. Il n'est pas aussi serein qu'il le voudrait. L'odieuse putain elfique use du bâton et de la carotte avec une dextérité surprenante.

“Si tu ne me tue pas, princesse Elfe, je te ferais danser sur mon chibre, jusqu’à ce que tu en perdes la raison. Je t’engrosserai pour que tu peuples la terre du milieu de mon engeance.”

Comme pour illustrer ses propos, l’énorme chibre qui pend entre ses jambes se gorge lentement du sang. Les saillies suivantes de la princesse l’amusent, à défaut de le vexer et il secoue la tête. Un sourire atroce déforme sa sale gueule alors qu’il la déshabille du regard, des pieds à la tête. La princesse est fine, mais elle a les hanches bien larges. Son vit a un nouveau frémissement et un liquide pré-séminal épais et blanchâtre suinte de son urètre, gouttant sur le sol en pierre de la cellule. Il veut la ravir, la souiller, la réduire en esclavage.

“Libère-moi et je te montrerai ce que je fais des catins impudentes.”


8
One Shot / Re : Le sang des orcs [PV]
« le: vendredi 09 septembre 2022, 23:29:11 »
Les orcs ont un odorat particulièrement développé, semblable à celui des limiers humain les plus racés. A l’odeur de la nouvelle venue, il reconnaît une créature puissante et de très haut rang. S’il pouvait apporter sa tête à son maître alors peut-être que Morgoth lui accorderait son pardon. Lorsque la jeune femme congédie sa garde, la puissante créature s’étonne et redresse sa silhouette musculeuse à l’approche de la nouvelle venue. Bien qu’il soit enchaîné, il faut avouer que la femelle fait preuve d’un certain courage. A la première remarque - cinglante - qu’elle lui adresse, Mulh’ad ricane. Un rire rauque, guttural et particulièrement désagréable pour les délicates oreilles des elfes.

“Ton peuple n’est que du bétail pour mes Moissonneur, femelle. Ils sont morts comme ils ont vécu : comme des insectes. Mais soit, tu ne me verras pas supplier pour une seule goutte d'eau.”

A ces mots, l’orc s'assoit sur le petit banc de pierre creusé dans la roche. De son regard sombre, il détaille l’inconnue. Un corps svelte et diaphane, de long cheveux brun, une paire de sang plutôt honorable, pour un individu de cette race. Mulh'ad est peu coutumier des modes vestimentaires elfiques, mais il comprend rapidement, à la richesse de la tenue arborée par sa visiteuse, que son odorat ne l’a pas trompé et qu’il s’agit bien d’une haute dignitaire, voire… de Galadriel elle-même. Son énorme chibre a un léger frémissement à l'idée de se savoir aussi proche d'une ennemie mortelle de son maître.

“Je n’ai rien à te dire, maudite princesse. Je me trancherais la langue de mes dents plutôt que de te donner la moindre information.” Malgré sa bravade, un grognement furieux remonte dans sa gorge lorsqu’il voit la gorge offerte et laiteuse se dilater à mesure que l’elfette se désaltère. Il a si soif qu’il lécherait avec plaisir le visage de son ennemie pour s'abreuver de l’eau qui dégouline le long de son joli menton volontaire. “J’ai tout mon temps moi aussi, petite idiote, d’autant que tu n’es pas tout à fait désagréable à regarder”, fanfaronne-il. L’instant d’après, il se racle longuement la gorge, avant de lui cracher brusquement au visage. “T’es encore plus belle comme ça, chienne.”

Un temps d’arrêt. Le colosse s’efforce de s’étirer, mais ses entraves l’en empêchent. Il soupire.

“Va chier, Galadriel. Tu perdras cette guerre, ce n’est qu’une question de temps. Ton peuple s’éteint, alors que le mien ne fait que se multiplier. Bientôt, Morgoth tranchera ton joli petit cou de son épée.”

9
One Shot / Le sang des orcs [PV]
« le: jeudi 08 septembre 2022, 13:18:27 »
Un son inarticulé s’échappe des lèvres meurtries du colosse entravé. Sa gorge est sèche, son estomac crie famine depuis des heures, mais les matons qui le surveillent n’en ont cure. C’est de bonne guerre. Il a massacré de sa propre main des dizaines de leurs frères d’armes. Mulh’ad, le fléau des plaines s’efforce de remuer sa musculeuse carcasse nue, d’arracher ses entraves du sol, mais son corps entier n’est qu’une plaie béante. Ses nombreuses blessures ont néanmoins été sommairement nettoyées, voire cautérisées pour certaines d’entre elles, lui évitant l’infection, mais il a perdu beaucoup de sang et son estomac est vide depuis bientôt trois jours. Ses muscles lui semblent faibles, atrophiés, sa volonté, vacillante. Même son énorme chibre mou lui semble avoir été drainé de sa légendaire vitalité.

“De l’eau, Elfe. Je me dessèche."

Il s’exprime aisément en langue commune, mais avec un accent guttural, à couper au couteau. Les orcs sont réputés pour leur stupidité, mais tel n’est pas le cas de ceux qui sont nés pour les diriger. Les seigneurs de guerre, comme Mulhh’ad allient à la brutale force brute orque à l’intelligence et la ruse de la race dont ils sont en réalité issus : les elfes. Le colosse enchaîné est l’un des plus brillants stratèges de l’armée de Morgoth. Pourtant, il a été défait. Bien que la prison soit plongée dans l’obscurité, Mulh’had, nyctalope, comme tous les individus de sa race, distingue avec précision les traits poupins et veules de l’elfe qui l’observe avec un mépris évident, sans daigner lui répondre. Foutue race de pleutre. Il les hait, du plus profond de son être, et ne souhaite que la victoire totale et absolue de Morgoth et son règne éternel sur la terre du milieu. Quant à lui, parce qu’il a été vaincu et humilié par les faces pâles, il n’aspire qu’à une mort rapide et indolore que, de toute évidence, on lui refuse. peut-être les elfes ignorent-ils qu’un général orc vaincu sur le champ de bataille est considéré comme indigne de son rang et mis à mort s’il est restitué à ses semblables ? Mulh’had ricane sombrement. Il a vécu comme un guerrier, il est résolu et préparé à mourir sans regrets.

Dans le silence des geôles, il se repasse néanmoins les images de sa défaite. L’attaque de nuit, sur un camp désert, dans une cuvette rocheuse, l’encerclement par les troupes elfes, huit fois plus nombreuses. La pluie de flèches enflammées sur sa horde, prise au dépourvu.  L’élégante silhouette de l’elfette blonde, juchée sur un puissant destrier, qui s’était jetée, l’épée au clair, dans la mêlée. Il aurait aimé l’affronter, la vaincre, la souiller ensuite. Mais, dépassé par un nombre croissant d'adversaires marchant sur les cadavres fumant de leurs camarades pour le pourfendre de leurs glaives. Et Mulh’ad avait fini par chuter, dans la boue, le sang et les boyaux de ses ennemis, perdant conscience en observant la silhouette gracile de la blonde elfette, dans son armure étincelante. Lorsque le bruit de plusieurs paires de bottes se rapproche, l'orc ne daigne pas lever les yeux. L'air buté, tête baissée, le musculeux colosse attend ses visiteurs, un sourire carnassier sur ses lèvres fendues. A la moindre occasion, il les massacrera tous, avant de violer leurs femelles.

10
Bjr.

- Milf X personnage masculin inexpérimenté.
- Switch (vraie switch, pas "je te mordille la lèvre inférieure".)
- Très sale.
- One shot.

=> MP.

Bisous.
 

11
“Je ne suis pas…” Il ne termine pas sa phrase, adressant un regard courroucé à Mizuho. Inutile de lui mentir. “Bref. T’es un peu tordue, Mizuho-sempai. La plupart des filles préfèrent les garçons plus âgées et expérimentés.” Akira est un garçon assez brut de décoffrage, mais il n’est pas stupide. Il a parfaitement conscience de servir de sex-toy à la jolie garce et l’idée l’excite autant qu’elle le contrarie, si bien qu’il essaye de reprendre un peu de contrôle sur la situation. Pour autant, lorsqu’elle lui fait signe de s’asseoir il obéit sans discuter, comme un petit toutou, collant ses genoux contre les siens. Sa grosse bite gonfle encore davantage lorsque leurs cuisses se touchent et qu’elle approche sa bouche de son visage.

“Mi… Mizuho-sempai. Il y a encore du foutre sur ton uniforme…” l’adolescent écarte les jambes lorsque les ongles de la jeune femme glissent sur le tissu déformé de l’entrajambe de son pantalon. “Nooon…Elle est encore toute sale… “ les yeux vitreux, Akira se laisse aller contre le dossier du petit banc en bois verni, alors que son énorme bite gicle littéralement de son boxer. L’urètre dilaté suinte déjà de liquide pré-séminal visqueux et épais, sur lesquelles les jolies lèvres de Mizuho ne tardent pas à s’écraser, enveloppant son épais gland violacé dans un écrin tiède et mouillé. L’énorme chibre déforme bientôt ses joues et Akira ne tarde pas à apposer une main un peu tremblante sur la nuque de la jeune femme pour accompagner les mouvement de sa tête… Avant de se figer lorsque la porte en métal s’ouvre en grinçant.

Avec un air particulièrement stupide, Akira esquisse une grimace à l’attention du surveillant - davantage qu’un sourire - alors que son teint passe rapidement au cramoisi lorsqu’il constate que la pauvre boite de bento ne camoufle qu’en partie sa belle verge dégoulinante de bave. Mais Mizuho gère, une nouvelle fois. Cette salope est probablement coutumière de la situation. Il sent une onde de colère jalouse le traverser, lorsqu’il songe à tous les mecs qui se sont vidés les couilles entre ses lèvres luisantes. Brutalement, sa main se referme sur la gorge de Mizuho et il écrase ses lèvres contre les siennes, sans réfléchir, fourre sa langue entre ses lèvres sales. C’est son premier baiser. Il fait ça avec pas mal de maladresse et beaucoup de salive, caressant la langue de la jolie salope avec la sienne. Lorsqu’il se recule, un filet de bave sépare leurs lèvres respectives. “Putain c’est dégueulasse.” Il a le goût de son propre sperme sur le palais. Sa main glisse du coup vers la nuque de Mizuho et il plaque sa jolie petite queue directement sur sa grosse trique, son joli petit nez sur son gland. “Là, là…” Putain, il a des frissons d’impatience. Il remue un peu les fesses pour se décaler, puis glisse sa grosse bite entre les lèvres ouvertes, sans douceur. Il n'en a plus rien à foutre, il veut la remplir encore plus que tous les autres réunis ! Alors il commence à remuer. nerveusement, avec empressement, à un rythme brutal, désordonnées, sans se soucier du fait que le gros gland percute les joues et la glotte de la jeune femme avec une brutalité excessives. Un odieux bruit de succion étouffé mêlé à des gargouillements mouillés ne tarde pas à s’échapper des lèvres de la pauvre Mizuho jusqu’à ce que d’un coup sec, il enfonce sa grosse verge jusqu’au fond, et que ses couilles percutent le menton ruisselant de bave de l’adolescente. Position dans laquelle il se maintient pendant quelques secondes, en effectuant de petits mouvements du bassin. “Putainputainputain… Mizuho-sempai… Grosse chienne…” Le pauvre lycéen délire presque… Avant de la relâcher d’un coup, lorsqu’il se rend compte qu’il l’empêche carrément de respirer, faisant gicler son membre hors de sa gorge défoncée.

“Mi…Mizuho-sempai, ça va ? Je suis désolé…”

12
One Shot / Re : Infernal Modern Slavery || PV. Jack Taylor
« le: jeudi 23 juin 2022, 13:49:24 »
La seule et unique raison pour laquelle la queue du laquais n’est pas érigée, c’est parce qu’il vient à peine de se branler, de copieusement juter dans ses sous-vêtements usagés. Mais ça, la sale petite garce ne le sait pas. L’air courroucé qu’elle affiche lorsqu’il la délaisse l’amuse, et un léger sourire se dessine sur ses lèvres entrouvertes. Eden a un besoin maladif, pathologique de plaire. Il en est certain, le fait qu’il reste de marbre en enduisant son joli petit corps diaphane de crème est vécu comme un rejet. Et Eden n’aime pas du tout se faire rejeter par son chien. Il a malgré tout un geste de recul lorsque la garce se redresse, agitant ses petits seins laiteux juste sous son nez, pousse sur ses jambes pour se relever, mais la petite princesse le prend de vitesse et il frissonne lorsque ses longs doigts fuselés glissent dans ses cheveux de jais. Jolis petites mains toutes douces et toutes propres, qu’il est si facile d’imaginer coulisser sur son gros chibre.

“Loin de moi l’idée de vous fuir, Mademoiselle Eden. Mais j’ai à faire dans la maison.”

Il sursaute, cligne des yeux lorsqu’elle le frappe, la foudroie brièvement, mais intensément du regard. Son corps s’est tendu à l’agression, et avec une moins bonne emprise sur lui-même, il l’aurait giflée. A l’ordre donné, il obéit silencieusement, avec un sourire de façade. “Merci Mademoiselle Eden.” Néanmoins, sa voix est un peu rauque, altérée. En dépit de son récent orgasme, il sent le désir refluer dans ses entrailles. Il a toujours eu de gros besoins. Difficiles à satisfaire. La jolie petite garce est proche, bien trop. Sous le tissu de son uniforme, les muscles de ses biceps et de ses avant-bras sont contractés à l’extrême, et il peine à ne pas serrer les poings. Il a envie de la ravir, de la ravager, de la souiller.

“Mademoiselle Eden.” Il pose doucement  ses mains sur ses poignets lorsqu’elle agrippe les pans de sa veste. “Ce n’est pas correct.” il lui suffirait d’une torsion pour les briser, Eden Blanc est si fragile.. Et pourtant si impérieuse. Il finit par se laisser faire. Il n’a pas vraiment le choix. Il coopère, en espérant qu’elle n’aille pas trop loin. Ce qu’elle fait. Une fois sa coûteuse veste jetée comme un vulgaire chiffon en travers d’une chaise de jardin, les doigts fuselés de l’adolescente s’attaquent au bouton de sa chemise, dont la lourde respiration d’Arthur tend le tissu soyeux. Il sent ses ongles effleurer sa peau, à travers la boutonnière, plisse les yeux, respire par le nez lorsqu’elle expose son torse pour le plaisir de ses jolis yeux. Le jugement qu’il y lit toutefois, manque de le faire vriller. Mademoiselle la petite pute fait la difficile. La pression de son ongle sur ses abdominaux ciselés le fait frémir, le contact de ses deux petites mains fraîches le fait sursauter. Un grognement involontaire rauque, animal, s’échappe des lèvres entrouvertes du laquais. De nouveau, le sang afflux vers sa grosse queue, mais la sale petite garce s’est déjà détournée, affectant le désintérêt le plus complet. Soupir de soulagement. Prudent, il recule d’un demi pas, pour ne pas que sa croupe s’écrase contre la grosse bosse naissante. Trop proche, toujours trop proche.

“Oui Eden, bien Eden”,[/color] balbutie-il. Sa main tremble lorsqu’il s’empare du sous-vêtement. Il est si perturbé qu’il en oublie ses formules de politesse. A ses pieds, Nimbe se redresse paresseusement, lui jetant un regard courroucé, avant de s’éloigner d’un pas tranquille. La chienne doit probablement être sensible au déferlement de phéromones qui agite l'atmosphère. Lorsqu’il passe les bras autour de ses hanches, il se penche légèrement, par-dessus son épaule, la gratifiant de son souffle brûlant sur sa nuque. Mais alors qu’il s'apprête à poser le tissu sur ses petits seins, Eden remue légèrement, volontairement ou non, et la paume de sa main droite dérape sur le renflement de son téton érigé. “Hmmpf.” Eclair blanc. Les battements de son cœur s’accélèrent, et Arthur vrille. Il avance son bassin, écrasant sa monstrueuse trique contre le dos de la jeune femme, ses pectoraux contre ses omoplates. Sa grosse main droite  lâche la bande de tissu pour se refermer sur son petit sein de la jeune fille. L’autre se referme délicatement sur sa gorge, comme par réflexe.

“Mademoiselle Eden. Vous. Devriez rentrer au salon.”

Le ton est haché, fiévreux. Et il ne la lâche pas. Sournoisement, son bassin remue contre la croupe de sa petite maîtresse. Il se penche légèrement déposant un baiser fiévreux sur sa nuque, puis entre ses omoplates. Ses doigts calleux, habitués aux basses besognes, enserrent désormais sa gorge laiteuse et vulnérable. Sans effort, il relève le menton autoritaire de la jolie petite brune, pour écraser ses lèvres avides contre les siennes, enfonçant sa grosse langue entre les petites lèvres entrouvertes. Il est foutu, et il le sait. Perdu pour perdu… “Il est temps de passer à la caisse maintenant, Mademoiselle.” Malgré son excitation, malgré la rupture de tous ses engagements, il reste dans son rôle, sans trop savoir pourquoi, si ce n’est que ça l’excite. Sa main droite glisse de son sein, sur son abdomen plat, encore poisseux de crème, jusqu’à s’insinuer entre ses jambes. Du bout de ses doigts, il effleure le renflement de sa petite vulve à travers le tissu de sa culotte rose pâle. “Hm ? la petite princesse, serait-elle mouillée ?” Il persiflent tout proche de son oreille, dont il vient brièvement mordiller le lobe. La prison lui tend les bras. S’il apprend son dérapage, Monsieur Blanc n’hésitera pas une seule seconde, sauf s’il décide de lui faire sauter la cervelle dans le salon. Seule la perspective de tringler cette sale petite garce qui le torture depuis des mois apaise son angoisse croissante. “Elle a besoin d’être lavée.”

Sans ménagement, il la pousse vers l’avant, pour qu’elle se réceptionne sur la chaise de jardin. “Cambre.” Le ton est impérieux, sans réplique. Arthur n’est pas né de la dernière pluie. Il a senti le mol abandon de la jolie brunette sous son assaut brutal. Il sait qu’il peut aller plus loin, même s’il en paiera probablement les conséquences plus tard. Si elle s’exécute, il se jette à genoux derrière elle, comme un foutu clébard, pour abaisser sèchement sa culotte sur ses genoux et la lui retirer. “Le pied droit d’abord Mademoiselle. Puis le second.” Putain de merde, cet adorable petit cul. Il le claque sèchement, l’écarte délicatement, pour dévoiler la corolle brune et nervurée de son anus, et, au-dessous, les lèvres baveuses de sa petite chatte qu’il sait vierge. Nouveau frisson. Cinq bonnes secondes passent, comme pour lui laisser la possibilité de s’échapper, même si son souffle court et brûlant caresse son intimité. Puis, il tire sa grosse langue et une première fois, la promène lentement de haut en bas sur la vulve de la jeune femme, avant d’embrasser fiévreusement son sexe, avec un odieux bruit mouillé. Entre ses propres cuisses, sa grosse main fait lentement glisser la tirette de sa fermeture éclair.

13
Akira passa les deux heures suivantes dans un état second, partagé entre la béatitude et l’incrédulité. Plutôt habitué à le voir renfrogné, le professeur l’interroge sur la raison de sa mine réjouie, ce à quoi Akira balbutie une réponse incompréhensible qui suscite l’hilarité générale de la classe - du moins celle des filles, les garçons tenant à conserver l’intégralité de leur dentition. Agacé, le petit caïd note soigneusement que Yun et Kaito se sont permis de ricaner. Il s’occupera d’eux à l’interclasse. Quoiqu’il en soit, il passe la majeure partie du cours à rêvasser. Il a un peu honte de la rapidité avec laquelle Mizuho l’a fait gicler, mais lorsqu’il se remémore sa mine ravie, il se rassure en se disant qu’elle semble avoir apprécié ce petit interlude. Peut-être qu’il aurait dû prendre son numéro de téléphone, au cas où elle voudrait remettre le couvert à l’occasion. Lorsque la sonnerie annonce la fin du cours, Toshio et Makuro se rapprochent de son bureau, les mains dans les poches, aux ordres de leur capitaine.

“J’ai racketté le bento de ce petit con de Kotei”, crâne le premier, déclenchant l’hilarité du second. Toshio est grand et maigre, là ou Makuro est plutôt petit, trapu et carrément enrobé. Akira fusille Toshio du regard, avant de se lever de sa chaise pour contourner son pupitre. “Rend-le lui, ou je t’éclate ducon.” Le crédo d’Akira est simple. Il ne s’en prend qu’à ceux qui lui manquent de respect, et jamais aux plus faibles. Kotei est un binoclard au regard un peu insolent, mais parfaitement inoffensif. D’un pas chaloupé, Akira se dirige vers la sortie, ses lieutenants sur les talons, avant de se figer net sur le pas de la porte, lorsqu’il aperçoit Mizuho, tranquillement adossée au mur d’en face.

“Mizuho-sempai.” Sa voix s’étrangle dans sa gorge, et il trébuche lorsque, par mégarde, Makuro le percute en sortant à son tour. Agacé, Akira le repousse sèchement du plat de la main. “Mizuho-sempai, c’est Mizuho sempai !”, chuchote le gros lard à son acolyte, dont les grands yeux s’écarquillent. Comme la plupart des garçons de l’établissement, ils ont passé de longues heures à se masturber frénétiquement en imaginant les exploits buccaux de la lycéenne.

“Heu… Ouais… Ouais !”

Le pauvre garçon ne s'attendait pas à le revoir si vite. Un long frisson lui remonte le long de la colonne vertébrale. Elle a beau s’être arrangée, il y a encore ça et là des traces de son foutre sur son uniforme et sur son joli visage angélique. Entre ses jambes, son chibre pulse, presque douloureusement. Il se demande ce qu’elle lui veut déjà. Est-ce qu’elle souhaite lui demander de sortir avec lui ? Le cœur battant il s’avance vers elle, avant de congédier les deux ahuris à ses basque d’un geste de la main assorti de quelques insultes. A regret, rongés par la jalousie et la curiosité, Toshio et Makuro se contentent de les suivre de très loin, et de continuer leur chemin lorsqu’Akira et Mizuho bifurquent dans les escaliers. Entièrement sous l’emprise de la jeune femme qu’il suit à la trace comme un petit chien, il la laisse l’emmener sur le toit de l’établissement qui est désert. La plupart du temps, les élèves privilégient le parc pour déjeuner. Un peu gêné, le regard fuyant, Akira finit par poser son sac sur le sol, contre la rambarde qui les sépare du vide, avant de s’y adosser.

“Tu voulais parler de quoi ? je suis désolé d’avoir… Joui si vite tout à l’heure, je n’ai pas trop l’habitude… Tu as faim ? J’ai un bento si tu veux.”

Rougissant de honte et d’inconfort, les mots d’Akira se précipitent au bord de ses lèvres, alors que ses yeux glissent sur le corps gracile de Mizuho qu’il devine sous son uniforme froissé et souillé et sournoisement, son gros chibre sale et poisseux gonfle le tissu de son boxer et de son pantalon.

14
Akira hésite à se pincer pour vérifier s’il est en train de rêver, ou s’il est bien en train de se faire bouffer le chibre par la meuf la plus canon du campus, mais il n’en a pas besoin. La petite langue agile de Mizuho le fait tressaillir, presque sursauter lorsqu’elle s’enroule autour de son gland sale, qu’elle titille l’orifice de son méat, qu’elle lape consciemment le foutre qui en dégouline. Son énorme bite palpite, vibre sous ses caresses. Lorsqu’elle l’y invite, il place de nouveau l’une de ses mains sur la nuque de l’adolescente, alors que de l’autre il écarte une mèche châtain collée par la salive sur sa joue gauche. Il n’ose pas s’opposer à l’ordre qu’elle lui donne mais… Pour quelqu’un qui se branle minimum huit fois par jour, la promesse risque d’être difficile à tenir.

“O… Okay sempai. Je vais essayer."

Lorsque la porte s’ouvre, il se fige. Son premier réflexe est de penser à remonter son pantalon, mais c’est le moment que choisit l’adorable brunette pour faire glisser ses lèvres tiède sur son gros gland, le faisant hoqueter de plaisir. Le cœur battant, terrifié à l’approche du bruit des talons qui foulent le carrelage, il plaque le dos de sa main contre sa bouche, mordant furieusement dans ses phalanges pour s’empêcher de grogner. Putain de chienne ! Mizuho est littéralement en train de téter sa bite avec dévotion. Le pauvre jeune homme fléchit les jambes, hoche stupidement la tête à l’ordre silencieux de la brunette. D’une main, il s’appuie dorénavant à la cloison opposée à celle de la cabine dans laquelle se trouve l’intrue. Lorsqu’elle pète avant d’uriner, il ne peut s’empêcher de sourire devant le rocambolesque de la situation, mais parvient à s’astreindre au silence, en dépit des obscènes cajoleries de sa sempai. A plusieurs reprises, elle retire sa grosse queue de sa bouche avec un petit pop sonore, avant d’écraser son joli minois dessus, un peu à la manière d’un chat contre la main qui le caresse. Elle est givrée, réalise-il, avec un mélange de stupéfaction et d’excitation. Le contraste entre son joli minois souillé de bave et le chibre veineux, boursouflée et luisant de bave est obscène, mais fascinant. Il frissonne lorsque les mains de l'adolescente glissent sous sa chemise, effleurent ses abdominaux musculeux pour venir montrer ses tétons érigés. Akira ne savait même pas qu’il était sensible de cette partie de son corps, et c’est avec une certaine surprise qu’il soupire d’aise lorsqu’il sent ses pointes rouler sous la pulpe des doigts fuselées, qu’elle pince de temps à autre entre ses ongles.

“Hmmpff…”

Lorsqu’enfin les bruits de pas s’éloignent et que la porte se referme sur l’intru, il soupire longuement, les yeux écarquillés. Son poing s’abat sèchement contre la cloison lorsque ses petites quenottes s’enfoncent délicatement dans son gland violacé et une première petite salve de foutre s’échappe de son méat pour s’écraser contre le palais de la lycéenne. “Putain de merde, sempai…” L’alarme lui passe carrément au-dessus de la tête. La prise de ses doigts s’est raffermie sur la nuque de la brunette. Le regard plongé dans les beaux yeux bleus de sa camarade, galvanisés par les obscènes bruits visqueux de succion, un son guttural s’échappe de ses lèvres entrouvertes.

“Vide-moi, vide moi… Salope !”

Enhardi par l’excitation qui lui vrille les reins, il ahane désormais comme un damné, au rythme des jolis doigts vernis qui astique désormais son énorme verge. “merde merde merde merdeee….” Le corps de l’adolescent se crispe. Sa main lâche la nuque de la jeune femme pour se plaquer contre l’autre cloison afin de conserver son équilibre alors qu’il s’arque vers l’arrière en gémissant. Son énorme bite vibre entre les doigts serrés et un véritable geyser de foutre brûlant s’échappe de son méat pour inonder non seulement sa bouche, mais l’ensemble de sa jolie petite gueule d’ange. Akira, lui-même sidéré par l’abondance des giclées qu’il expulse de ses couilles, remue nerveusement les hanches d’avant en arrière. De nouvelles salves atterrissent dans les cheveux de l’adolescente, et jusque sur le mur du fond. “Mhhhghh… !!” Ce n’est plus une branlette, c’est une traite, qu’elle lui inflige. La pression des doigts de Mizuho ne faiblit pas, au contraire; elle écrase littéralement sa grosse bite et il sent ses ongles s’enfoncer sournoisement dans la peau de son chibre, alors qu’elle semble s’appliquer à la rediriger vers ses lèvres.

“Viens là…” parvient-il à articuler. De nouveau, sa main s’abat sur la nuque de la jeune femme et d’un coup de bassin, il enfourne sa queue entre ses lèvres, pousse son glande au fond de sa gorge. Il se branle littéralement entre ses lèvres pendant de longues secondes, l'étouffant de nouvelles salves brûlantes, avant qu’enfin le flot de semence ne se tarisse, et qu’il retire délicatement son chibre poisseux et débandé de son fourreau malmené. En nage, hébété, il recule, se cogne le dos contre le battant en bois, contemplant son œuvre avec un mélange de stupéfaction et de fierté. Mizuho est couverte de son foutre, qui dégouline lentement le long de sa jolie gueule. Le col de son uniforme est détrempé, et sa jupette, tâchée à de multiples endroits, l’ensemble étant parfaitement inutilisable.

“Je… je dois y aller Mizuho Sempai !”

Sans demander son reste, le garçon remonte promptement son caleçon et son pantalon, avant de soulever de loquet de la cabine de s’enfuir sans demander son reste en remontant fébrilement la tirette de sa fermeture éclair.

15
Surpris par la poigne de son aînée, Akira manque de la percuter de plein fouet lorsqu’elle l’attire à l’intérieur. Dans son dos, le loquet claque sèchement dans sa charnière, scellant son destin. Un sentiment proche de la panique, l’étreint, lorsque ses yeux glissent sur l’ourlet des lèvres de la lycéenne quelque centimètres au-dessus des siennes. Lorsqu’elle s’approche, ses seins s’écrasent sur ses pectoraux, les doigts fuselés et verni de sa main s’emparent de son gros chibre à travers le tissu en coton du pantalon de son uniforme scolaire.

“Pour… Quoi… Faire ?”
Question stupide. Réponse stupide. “Pas tout le temps… Parfois”. Il ment, il y a des mois qu’elle l’obsède. Il est incapable de soutenir son regard, non plus que de tourner les talons et de s’enfuir. A supposer qu’il en ait vraiment envie, malgré l’appréhension qui lui tord les boyaux. Lorsqu’elle lui lèche la joue, surpris, il essaye de reculer, mais son dos heurte le battant en bois de la porte de la cabine. Il y a, derrière l’indolence de cette fille, l’ombre d’une gourmandise féroce qui l’impressionne.

“Non. Jamais.”

Inutile de mentir, Mizuho s’en rendrait compte, de toute manière, d’autant qu’entre ses doigts serrés, il est déjà au bord de l’éjaculation. Lorsqu’elle s'assoit, il la contemple, pantelant. Il se sent gauche, ne sait pas trop quoi dire, ni quoi faire de ses bras qui pendent mollement le long de son buste. “Attends Mizuho-senpai, ça va…” Trop tard. L’énorme chibre jaillit de sa prison de coton. Sa masse épaisse et veineuse décrit un arc de cercle vers la droite en sifflant et, si la brunette ne s’était pas écartée, le gland violacé l’aurait giflée. “Hmmpf.” Surpris du ravissement de sa camarade, Akira ne peut s’empêcher d’esquisser un sourire timide.

“T’as vu, elle est grosse hein ?”

Sa fierté lui permet de reprendre un semblant de contenance… Qu’il perd immédiatement lorsque l’ongle de l’index percute le sommet de son gland. La grosse trique vibre, et Akira grogne, se mord la lèvre jusqu’au sang pour ne pas se laisser submerger par l’orgasme, frappant du plat de sa main sur la paroi gauche de la cabine. Il y parvient de justesse, en haletant, mais pour autant une belle coulée de foutre tiède s’échappe de son méat, pour dégouliner le long de sa hampe avant de souiller le carrelage des toilettes.

“...Non. Non plus. Jamais rien.”

Pas même un baiser. Mais les baisers, ça n’a pas l’air d’être le fort de Mizuho senpai. Alors que la jolie garce se penche en avant, frôlant sa queue odorante de la pointe de son petit nez, Akira s’interroge. Aurait-il aimé que sa première fois se déroule différemment, avec une jeune fille douce et timide ? Pas certain. “Oh putain”, murmure-il, quand la brunette écrase sa jolie petite gueule sur son énorme chibre, souillant d’elle même ses lèvres, son nez et son front de son foutre tiède. Il a un nouveau sursaut, mais cette fois, par réflexe, c’est sur la nuque de Mizuho que sa main se crispent, alors que sournoisement, il ondule lentement du bassin, afin de sentir le renflement de lèvres et du nez de l’adolescente contre sa tige érigée.

“Ah ! Pardon” s'exclame-il, lorsqu’il se rend compte qu’il y a une bonne dizaine de secondes qu’il se branle littéralement contre son visage radieux. “Senpai”, murmure-il, réalisant que les rulmeurs qui courent sur la jeune femme sont très probablement en deçà de la vérité. “Ca te plaît de… faire des trucs pareil ?” Putain. Il ne pensait pas qu’une meuf pouvait être aussi entreprenante, et aussi vicieuse. c’est carrément excitant, mais également un peu effrayant, mine de rien.

Pages: [1] 2 3 ... 18