Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Vael Aurea

Pages: [1] 2 3 ... 7
1
Vous nous quittez déjà ? / Re : Départ du forum
« le: lundi 25 juin 2012, 17:47:37 »
Nous qui avions des projets de RP, c'est vraiment dommage que tout cela se termine ainsi... Je ne peux donc que vous souhaiter une bonne continuation à tous les deux, et ne peux que déplorer la perte de deux bons rôlistes.

A un de ces jours !  :)

2
Vous nous quittez déjà ? / Petite absence.
« le: jeudi 21 juin 2012, 17:54:00 »
Je poste ici pour vous prévenir de mon absence du 22 au 29 juin. Je suis désolé de ne pas avoir été très présent ces temps-ci, et je m'excuse en particulier auprès de mes partenaires de RP qui vont je le crains devoir patienter encore un peu.

A très vite, je l'espère.

3
Acte Premier : Quand un salaud et une garce se rencontrent, que se disent-ils ?

Chapitre Treizième : Ca, c'est pour moi.

Le glissement qui venait de s'opérer s'était fait tout naturellement. Alors qu'il avait passé toute la soirée à vouvoyer Snow, il avait employé très naturellement le tutoiement, comme si l'intimité et l'indécence de la situation avait définitivement brisé la glace entre eux et fait disparaître toutes les barrières qui pouvaient encore les séparer. En temps normal, Vael prenait toujours une infinie précaution à établir une certaine distance avec ses interlocuteurs. Cela permettait d'avoir un certain ascendant sur eux, se refusant à toute familiarité, il se mettait d'emblée en position de supériorité certaine, comme s'il était impossible à atteindre. En vérité, il jouait beaucoup sur la psychologie humaine, dont il prenait un soin tout particulier à comprendre chacun des rouages bien qu'il ne fût jamais au niveau d'un spécialiste en psychologie.

Elle semblait d'ailleurs avoir finalement intégré sa défaite. Celle-ci n'avait d'ailleurs rien d'humiliant. En effet, après une bataille acharnée entre les deux amants pour définir qui allait décider de la suite des opérations, il lui semblait qu'elle attendait qu'un homme puisse la dompter pour découvrir de nouveaux plaisirs. Plus violents, plus pénétrants que ceux qu'elle avait pu connaître. Il en voulait d'ailleurs pour preuve la façon dont elle accueillit ce baiser qu'il lui imposa, sa main maintenant fermement ses cheveux. Leurs langues poursuivaient leur ballet effréné avant qu'elle n'interrompe leur baiser pour lui lancer, toujours provocatrice :

« Tu ne m'en veux pas si je ne t'applaudis pas ? J'ai quelques soucis avec mes mains.... Il semblerait qu'elles ne répondent plus à mon commandement... Quel dommage que je ne puisse pas te féliciter... »

Il sourit devant cette remarque, avant de laisser ses lèvres s'étirer en un sourire carnassier, comme s'il était prêt à la dévorer sur place. Il sentit d'ailleurs avec contentement qu'elle entreprit d'onduler du bassin, cherchant à effleurer son membre durci d'excitation. Elle n'allait pas être déçue du voyage, c'était certain. Il la contemplait, ainsi positionnée, à sa merci la plus totale, devenue totalement inoffensive. Il pouvait faire ce qu'il voulait d'elle, il le savait et comptait bien en user et même abuser au maximum d'elle. Cette rude bataille l'avait plongé dans un état d'excitation dont il serait difficile de se sortir. Elle revint à la charge alors qu'il détaillait sa poitrine rebondie :

« Fini ou ne fait que commencer ? Tu veux que je sois tienne ? Tente donc de me prouver que tu es mon vainqueur en te saisissant de ton du ! »

Elle venait enfin de concéder sa victoire. A première vue on aurait pu croire qu'elle voulait encore le pousser à bout, qu'elle ne s'avouait pas vaincue. En réalité, il en était persuadé, elle cherchait à s'offrir à lui la tête haute, sans tomber dans une soumission totale. Ce compromis lui allait d'ailleurs parfaitement. Il pouvait gonfler son ego, et son membre, d'avoir dompté la lionne et elle pourrait prendre du plaisir à se faire prendre par son vainqueur. Il la reprit alors, dans un sourire, ne pouvant s'empêcher de lui désigner sa place :

« C'est toi qui vas devoir te montrer digne de ton homme. De celui qui t'a domptée. »

Venant glisser ses mains sur les épaules de Snow, pour la bloquer et la dominer de toute sa hauteur, il planta son regard dans le sien, lui signifiant qu'elle allait devoir subir à partir de maintenant. Ses main glissèrent progressivement le long de son corps jusqu'à sa poitrine qu'il caressa d'abord lentement... Puis il vint saisir ses deux seins à pleine main, ses prunelles profondément ancrées dans les siennes avant d'entreprendre de déchirer littéralement sa robe au niveau du décolleté, dévoilant ainsi sa poitrine toujours retenue par un soutif. Se léchant les babines, il lui dit alors :

« Ca, c'est pour mes vêtements. »

Il vint alors saisir son couteau dont le fourreau se trouvait au niveau de sa taille. Le dégainant, il découpa au beau milieu, le soutif de la jeune femme, libérant ainsi du même coup sa poitrine pour de bon. Il le rangea précautionneusement dans sa pochette avant de l'envoyer valser sur la table, assez loin de la journaliste, avant de recommencer ses caresses sur sa poitrine. Toujours à califourchon sur son bassin, il vint saisir ses tétons du bout de ses doigts... Les tirant d'abord légèrement avant de les pinces franchement... les rendant ainsi encore plus durs et sensibles qu'ils ne l'étaient déjà. Il lui glissa alors, pétrissant de ses mains sa poitrine :

« Ca, c'est pour m'avoir tenu tête. »

Relâchant sa poitrine, il se leva sur le matelas, avant de baisser son boxer, dévoilant son membre tendu. Il se dressait fièrement, impérieux, et prêt à offrir à la jeune femme le plaisir le plus violent et le plus délicieux qu'elle ait jamais connu. Vael s'approcha de son visage, se mettant à quatre pattes au-dessus d'elle. Il lui présenta cette verge dure, caressant d'abord ses lèvres de celle-ci avant d'appuyer de sa main sur ses joues pour qu'elle ouvre la bouche. Ainsi, il enfonça sa queue d'un coup sec, lâchant un gémissement de contentement.

Ainsi positionné il pouvait aller extrêmement profondément dans la bouche de Snow, et littéralement lui baiser la bouche. Avec lenteur toutefois, il commença des vas et viens entre ses lèvres, y allant par saccades lentes mais puissantes. Toujours plus profond, toujours plus fort. Il accéléra la cadence venant saisir ses cheveux alors qu'il la pilonnait purement et simplement. C'était là le début de sa punition et il y avait fort à parier que la nuit allait être longue. C'est ce qu'il confirma en déclarant, entre deux souffles qui témoignaient de sa grande excitation :

« Ca, c'est pour moi. »

4
Prélude / Re : Le Grand Blanc ( Validhéra ! )
« le: samedi 16 juin 2012, 19:45:19 »

Le célèbre maître William Dolan, l'avocat du Diable...

Il faudrait nous mettre en relation à l'occasion, nous pourrions éventuellement avoir besoin de vos services, qui sait...

5
Je vous suggère de poursuivre votre petite joute verbale ailleurs, je doute que nous ayons le droit de trop flooder par ici.

Allez ça suffit !  ;D

6
C'est bien pour cette raison qu'il convient de ne pas se tirer dans les pattes. Ce n'est pas une balle de foot qui pourrait se perdre si nous ne restons pas unis.  ::)

7
Le personnel devrait surtout rester discipliné. Je vous prie de cesser vos petites chamailleries, nous avons bien assez à faire comme cela.

8
Archives / Re : Kama sutra
« le: samedi 16 juin 2012, 04:35:01 »
+1 à Sakura pour son premier post dans cette section, ça se fête !  ;D

+1 à Héra pour un rêve en commun.

+1 à Snow parce qu'elle me fait vibrer avec notre RP.

+1 à la Princesse Alice parce que notre RP prend une tournure intéressante.

9
Disons qu'il a une dette envers moi.  ::)

De ce fait il va devoir travailler avec nous durant quelques temps. C'est un vrai professionnel et il est parfait comme homme de main. Le travail n'est pas toujours propre parce qu'il a une tendance à être un peu sanguinaire, mais il nettoie.  ;D

Soyez le bienvenu dans l'organisation.

10
Les alentours de la ville / Re : Devotion ( Pv )
« le: vendredi 15 juin 2012, 16:47:08 »
Acte Premier : Dévotion

Chapitre Cinquième : Sur le capot d'une voiture.

Il avait conscience qu'il pouvait paraître un peu dirigiste mais dans ce genre d'opérations l'erreur n'était pas permise. S'ils pouvaient remonter sa trace, c'en était fini de sa future carrière politique. Il songea d'ailleurs qu'il ne devrait sans doute pas s'exposer autant s'il souhaitait se protéger un minimum. La jeune femme ne sembla d'ailleurs pas s'offusquer qu'il fût si autoritaire, après tout c'était tout de même elle qui avait accepté de le suivre, il lui paraissait donc normal de donner ses directives. Plus il y songeait, plus y pensait que cette femme devait être folle. Franchement chercher à se mettre dans des situations impossibles relevait de la folie. C'est à ce moment-là que l'idée germa dans sa tête. De toute évidence, la belle avait des ennuis et il comptait bien profiter de cela pour l'attirer dans ses filets.

En échange d'une certaine protection, peu importent quelles que soient les dettes qu'elle ait à rembourser, elle pourrait ainsi travailler pour lui et rejoindre son organisation. Il avait assurément besoin de personnes comme elle, qui n'avaient pas froid aux yeux, qui aimaient se mettre en danger et surtout sur lesquelles Vael pouvait avoir un moyen de pression. La loyauté était une bonne chose et il n'en était guère dépourvu, mais il ne se faisait pas d'illusions sur le sujet, elle n'arrivait que bien plus tard, il lui fallait s'assurer de sa dévotion de façon immédiate. Alors qu'il allait commencer à la questionner à ce sujet, elle parla la première, lui demandant :

« Dites-moi ... Quel est votre nom ? »

Reportant son regard sur elle, il n'allait pas lui répondre son véritable prénom. Il ne pouvait pas prendre ce risque, pas tout de suite. Si elle se montrait digne de sa confiance, sans doute lui révélerait-il son identité mais pour le moment elle devrait se contenter de cela :

« Je me nomme Masao Minamoto. »

Il le dit avec aplomb, sans hésitation, il préparait toujours ce nom d'emprunt pour ce genre de situation. Il n'avait certes pas de papier pour le prouver mais il doutait fortement qu'elle le soupçonne de mentir sur son identité. Il devait amener le sujet qui l'intéressait sur le tapis, mine de rien, pour pouvoir ensuite l'attirer sur son terrain mais elle ne semblait pas décidée à le laisser préparer son piège :

« Je vous emmène vers une de mes anciennes planques, près des falaises. On pourra y attendre que tout se calme, puis nous irons vers votre domicile, ou votre propre planque. Ils doivent être encore agités, là-haut ... »

Il fût étonné de ce qu'elle venait de lui annoncer. Elle semblait donc lui faire bien plus confiance que lui. Etait-ce de l'insouciance de sa part ? Ou peut-être cherchait-elle à le mettre en confiance pour pouvoir lui soutirer quoi que ce soit. Il ne pouvait en réalité par s'empêcher de se méfier de ces démonstrations de confiance venant d'une femme qu'il venait de rencontrer. Il ne dit rien, bien trop absorbé par ses propres pensées. Il ne remarqua même pas que la voiture était à l'arrêt. Ce fût le bruit de la porte s'ouvrant qui le tira de ses rêveries. Il sortit donc à son tour alors qu'elle venait se loger sur le capot de la voiture, exactement comme il l'avait rencontrée quelques instants auparavant. Alors qu'il venait à sa rencontre, elle lui lança, en plaisantant :

« Vous avez intérêt à me payer une nouvelle voiture. »

Il rit devant cette remarque, s'installant à son tour sur le capot. Il avait toujours sa pipe sur laquelle il tirait de temps à autres, faisant face au paysage alors que l'adrénaline de ces derniers instants s'estompait tout à fait. Il entreprit donc de lui répondre, l'air de rien avec un sourire en coin :

« Je vais même faire mieux. Vous allez travailler pour moi. »

Il avait littéralement jeté un pavé dans la mare. Il lui fallait frapper un grand coup pour espérer cette femme dont le visage blasé témoignait de nouveau de son ennui profond. Qu'est-ce qui pouvait la faire vibrer ? Une course poursuite ? Une fusillade ? Des trafics en tous genres ? De prendre sa revanche sur ses créanciers ? Ou d'être prise sur le capot de cette voiture. Il ne serait pas mauvais pour les accueillir en tous cas ce capot. Il retira sa pipe de la bouche, plongeant son regard dans celui de son interlocutrice, avant de reprendre son argumentaire, d'une voix plus lente comme s'il cherchait à la séduire... Avec l'excitation que procurait le job qu'il lui offrait :

« Imaginez... Des courses poursuites... Des armes... Des produits illicites... Des emmerdes à n'en plus finir... C'est une vie folle, à cent à l'heure que je vous propose... »

Il approchait lentement son visage du sien, comme pour se faire plus persuasif, mais aussi plus entreprenant, avant de lui souffler, dans un murmure :

« Et des nuits sur le capot d'une voiture... »

11
Acte Premier : Quand un salaud et une garce se rencontrent, que se disent-ils ?

Chapitre Douzième : Haute température.

Pour remettre les idées en place d'une femme un petit trop fière, rien de tel qu'une bonne correction. Dans ce cas de figure, il pouvait se passer deux choses plutôt opposées. Soit la femme se laissait finalement dompter et avouait avec une honte à peine dissimulée tout le plaisir qu'elle prenait d'être ainsi maltraitée. Ou alors la femme n'avouait pas tout le plaisir honteux qu'elle prenait à être maltraitée ainsi. Et montait encore d'un cran. Toujours plus loin. Toujours plus fort. Toujours plus excitant... Snow allait bientôt dévoiler de quelle étoffe elle était faite, alors que s'élevaient les fameux gémissements, partagés entre honte, colère et plaisir... La ceinture claquait avec violence sur ces fesses délicieusement rebondies.

Mais il sentait qu'elle commençait déjà à s'agiter, elle n'abandonnait donc jamais même lorsqu'elle prenait manifestement du plaisir. Tortillant ses mains elle vint saisir sa ceinture avec force, la surprise la lui fit lâcher et avant même qu'il ait pu la récupérer elle la balança à l'autre bout de la pièce en lui balançant un :

« Va chercher ton jouet ! »

Il fronça les sourcils, les dents serrées devant la contrariété de s'être fait voler sa ceinture et de se faire traiter comme un petit chienchien qui devrait aller chercher son jouet. Passablement énervé, il vint saisir les cheveux de la belle pour la forcer à se cambrer, pour enfin venir glisser au creux de son oreille :

« Il m'a semblé que la petite chienne était vous à l'instant, quand vous gémissiez d'être battue. »

Il la relâcha alors, sans même prendre la peine de la déposer. Il avait sans doute été cruel sur ce coup mais elle avait achevé de l'énervé et il n'était désormais plus homme mais bel et bien bête prêt à tout pour soumettre à son volonté cette indomptable lionne. Non mécontent de son effet, il s'apprêtait à abattre cette fois sa main sur le postérieur de la jeune femme, lorsqu'il sentit qu'elle lui saisissait les cuisses. Qu'essayait-elle de faire ? Elle ne comptait tout de même pas le griffer à travers le tissu de son pantalon... C'était tout bonnement impossible. Il fût interrompu dans ses pensées par une curieuse chaleur qui commençait à se faire sentir au niveau des mains de Snow. Il sent alors une odeur de brûlé et avant même qu'il ne s'en soit rendu compte, son pantalon avait brûlé et il se retrouvait de nouveau à serrer les dents de douleur en sentant sa chair chauffée à vif.

Alors qu'elle reprenait la parole, lui reprenait ses fessées, à la main cette fois, en laissant s'abattre plusieurs d'affilée :

« Je crois que vous êtes bon pour refaire votre garde robe à l'avenir mon cher Vael et constatez par la même que je ne suis pas la seule a arborer quelques rougeurs sur une partie charnue de mon anatomie. »

Il n'y tenait plus, elle commençait littéralement à le brûler de ses mains. Il serrait toujours les dents, ne voulant pas lui offrir à nouveau la satisfaction de l'entendre hurler sa douleur. Elle enfonça le couteau dans la plaie ou du moins rajouta du feu à la brûlure en affirmant :

« Si je me laisse aller et se pourrait bien que votre corps se... hmm... consume, mais pour une toute autre raison que celle qui anime votre esprit. Relâchez-moi ou je vous garantie que je vous réduis en cendres. En toute amitié, bien sur... »

Elle ne plaisantait assurément pas, tant il sentait sa chair lui faire un mal de chien. Il n'en supporta donc pas davantage et se leva, se soustrayant à l'étreinte de ses mains brûlantes. Mais il ne s'éloigna pas, son visage déformé par la colère et la violence de l'instant, il saisit avec fermeté les poignets de la journaliste avant de d'écraser les mains de celle-ci sur ses propres cuisses, appuyant avec force. Il commenta à son tour alors que ses propres cuisses lui faisaient un mal terrible :

« Et qu'est-ce que cela vous fait de souffrir de votre propre passion, ma chère Snow ? Là aussi y prenez-vous du plaisir ou voulez-vous peut-être que nous passions aux choses sérieuses ? »

Sur ces mots, il relâcha ses poignets avant de se redresser. Il retira sa veste qu'il envoya valser sur la table avant d'enlever son pantalon. Se déchaussant et ôtant ses chaussettes, il se trouvait désormais quasiment nu devant elle. Seul le boxer retenait sa virilité qui semblait extrêmement excitée par ces évènements. Il s'approcha alors de Snow qui commençait à se relever pour finalement venir saisir la cravate qu'il avait laissé choir sur la table. La saisissant par le bras pour la relever, il l'immobilisa avec une clé de bras alors que de son autre main il glissait la cravate autour de l'un de ses poignets. Relâchant finalement sa clé de bras, il utilisa son autre main pour nouer un noeud extrêmement solide autour de ses poignets.

Les mains ainsi attachées derrière son dos, elle devrait être plus docile. Il le vérifia en la saisissant par le noeud de la cravate pour la tirer sans ménagements jusqu'au lit sur lequel il la projeta. S'asseyant de nouveau à califourchon sur elle, leurs regards se croisant, il finit par lui dire, triomphant :

« La partie est terminée. Je veux que tu sois mienne et que tu t'offres à ton vainqueur. »

Il vint alors la saisir par les cheveux pour venir l'embrasser avec une passion peu commune, introduisant sa langue entre ses lèvres pour une danse enfiévrée. Elle ne devrait plus se rebeller désormais, elle devait bien admettre que la soumission était parfois un mal qui faisait du bien...

12
Acte Premier : Financement occulte de campagne.

Chapitre Quatrième : Enfin seuls.

Jouer ainsi la personne gênée aurait certes pu paraître un peu gros compte tenu de la situation mais il comptait sur l'intelligence de la Princesse pour comprendre qu'il ne souhaitait en aucun cas que toute cette cour ne s'intéresse de trop près à cette conversation. Il imaginait d'ailleurs sans mal que la cour se mettre immédiatement à jaser après son départ en compagnie de la Princesse... Cela ne lui était d'ailleurs pas du tout acquis, ces lèches-bottes semblaient être accrochés à leur souveraine comme une moule à un rocher. Ce qu'il pouvait exécrer ces aristocrates, si bienséants, si hautains, si ridicules aussi. Ils ne semblaient jamais manquer une occasion de se faire remarquer, de se mettre en avant, pour pouvoir bénéficier des faveurs de leur Princesse.

Il souhaitait pouvoir obtenir cet entretien en privé ne serait-ce que pour frustrer et faire un pied-de-nez à toute cette bande de noblions en culotte courte. Comme il fallait s'y attendre, sa requête provoqua une vague de chuchotements et de commentaires. Jusqu'à ce que l'un des suivants, visiblement inquiet murmure quelques paroles à l'oreille d'Alice. Elle leva la main pour l'interrompre avant de déclarer :

« Je sais ce qui est sage et avisé. »

Il ne retint pas un léger sourire en coin devant la réaction de la jeune souveraine, elle était décidément assez autoritaire malgré son jeune âge et son apparence de poupée de porcelaine. Elle reprit rapidement la parole, informant son invité, en langage diplomatique, qu'il n'avait pas le moindre droit ici :

« Avant de répondre à votre requête, je tiens à vous rappeler quelques points. Les lois de l’hospitalité nous obligent à garantir la sécurité et l’intégrité de nos invités, mais ces lois ne s’appliquent pas pour quelqu’un qui n’est pas ressortissant de l’Empire. En tant que simple Terrien, vous ne pouvez prétendre à bénéficier d’aucun droit, qu’il soit sylvandin, ashnardien, ou même... Divin. Les Dieux de Terra ne sont pas ceux de la Terre, et les religieux affirment sans arrêt que l’Olympe a abandonné la Terre. »

En un mot comme en cent, il n'était guère le bienvenu dans ce monde, mais il se doutait bien que ce serait le cas. Les nobles lui avaient d'ailleurs rapidement confirmé cela. La Princesse semblait le mettre en garde de quelque chose, comme si elle essayait de lui dire qu'il était vain et futile de tenter quoi que ce soit contre elle, qu'il y laisserait de toute façon la vie, s'il réussissait à venir à bout d'elle. Il n'a de toute façon aucun intérêt à attenter à sa vie, s'il venait ici pour s'attirer ses faveurs et obtenir un financement, ce n'était pas en la menaçant qu'il y parviendrait. Il hocha la tête en signe de compréhension, la laissant reprendre la parole peu après :

« Néanmoins, vous avez éveillé ma curiosité. »

Il sentait à ce moment-là qu'elle allait répondre favorablement à sa requête, mais il ne laissa rien transparaître, se contentant de rester coi et d'attendre patiemment la suite, qui ne tarda pas :

« Je suis curieuse de savoir ce qu’un Terrien peut bien vouloir de la part de notre royaume, et j’accorde l’idée d’un entretien en privé. Comme il est toutefois impensable que nous ne soyons que deux dans une même pièce, pour des raisons évidentes que vous comprendrez, ma sécurité sera assurée par le Limier, le Lord Commandeur Sandor Clegane. »

Il jeta un oeil vers la personne en question, qui était assise un peu plus loin, à la table. C'était effectivement typiquement le genre de type à qui il fallait éviter de chercher des noises. Alors que la Princesse descendait de cet immense trône, et que s'approchait d'eux le fameux Lord Commandeur Sandor Clegane (Le Trône de Fer inside ;D), ils se mirent en route vers une autre partie du château, laissant derrière eux cette horde indisciplinée de noblions à laquelle il lança un ultime regard de dégoût avant de s'engouffrer dans le salon qu'on lui indiquait. C'était une pièce d'apparence plus accueillante que celle qu'ils venaient de quitter. Les tapisseries, le feu qui crépitait dans la cheminée, les livres soigneusement rangés et les fauteuils qui semblaient confortables, tout ici respirait l'apaisement.

S'il prenait la peine d'étudier chaque pièce avec attention c'est parce qu'il considérait que cela avait son importance lorsqu'il s'agissait de négocier. En effet, cela avait une influence indéniable sur les humeurs des personnes et se trouver dans un lieu qui paraissait si familier, pouvait pousser à davantage de familiarités, voire d'intimité. Il ne s'y risquera d'ailleurs pas, si la Princesse était promise voire déjà mariée, il lui serait fatal d'agir de façon trop légère. Il se contentera donc de garder une bonne distance avec celle-ci. Elle ne tarda donc pas à l'inviter à s'asseoir d'une façon curieusement familière, ce qui sembla valider sa thèse :

« Prenez vos aises, M. Aurea. De vous à moi, ce fauteuil n’a pas du tout été conçu pour mes pauvres petites fesses. »

Il reçut la confession avec un sourire amusé alors qu'il s'installait dans l'un des fauteuils qu'elle lui avait désigné. Croisant les jambes et joignant les mains, il reporta son attention sur son interlocutrice alors qu'elle en venait aux faits, observant pour sa part le feu qui crépitait dans la cheminée :

« Alors, allez-vous mettre un terme à vos mystères, et préciser la raison de votre venue ? »

Il comprenait aisément que la Princesse commence à s'impatienter. Il se présentait à elle comme venant d'un autre monde, apportant une requête, puis rechignant à la formuler. C'était un comportement curieux, il le concevait parfaitement mais c'était un mal nécessaire pour lui permettre de réussir l'entreprise qu'il s'était confié. Il prit donc la parole, répondant sur un ton calme à la jeune femme :

« Certainement Votre Majesté. Il se trouve que je m'apprête actuellement à lancer ma candidature à l'élection municipale de l'une des plus importantes villes sur Terre. La démocratie est un concept très surfait mais pourtant bien implanté dans mon Monde. Et ce qui était censé être le pouvoir du peuple pour le peuple est devenu le pouvoir du fric pour faire plus de fric. Je désire donc ce siège et pour cela j'ai besoin de votre soutien financier. »

Il marqua une pause, laissant à la jeune souveraine le temps d'assimiler sa requête avant de reprendre peu après, précisant un peu plus ses explications :

« Il existe des lois bien contraignantes sur Terre, notamment concernant le financement des campagnes électorales. Si l'argent provient d'un autre monde que le notre, il serait impossible de m'épingler là-dessus. »

Il comptait en rester-là pour le moment. Il était bien-sûr venu avec une proposition qui pourrait intéresser Alice mais il ne fallait pas lancer les enchères trop rapidement, c'était souvent synonyme de défaite et celle-ci n'était tout simplement pas permise. Il s'attendait donc à ce qu'elle lui demande en quoi cela pouvait lui apporter un quelconque intérêt et il savait exactement quoi répondre... Toutefois, peut-être imposerait-elle ses propres conditions, ce qui était tout à fait concevable.

13
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 15 juin 2012, 00:18:30 »
Certes, mais Hera ne semble guère concernée par nos querelles de mortels.  ::)

Même à 00:18...

14
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 15 juin 2012, 00:16:26 »
Je m'insurge ! Ca déséquilibrerait totalement tout !  :o

C'est génial si Catwoman se joint à vous ! Je voulais RP avec elle en plus ! (Idole d'enfance  ;D)

Euh... 00:16

15
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 15 juin 2012, 00:12:18 »
Ah oui ? Lolita, SP, toi, et...?

00:12

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