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Messages - Mélinda Warren

Pages: [1] 2 3 ... 236
1
Quand Doli avoua qu’il n’était plus vierge, un léger murmure traversa l’assemblée. Cette information était... Contrariante, en effet. Malheureusement, Mélinda n’avait aucun moyen de confirmer cette théorie, car Doli était une personne androgyne. Elle ne pouvait pas « renifler » son sexe pour voir s’il y avait un hymen, ce qu’elle aurait pu percevoir, l’hymen étant gorgé de sang... Mais, avec une verge, la chose était bien plus difficile. D’un point de vue sanguin, il n’y avait aucun indice, ce qui l’amena à se pincer les lèvres, contrariée. Non seulement elle n’offrait pas une femme, mais elle offrait un homme qui n’était pas vierge ! Une succube pouvait se courroucer par ce présent indigne d’elle. La vampire fit donc la moue, tout en constatant aussi certaines... Incohérences dans le comportement de leur jeune proie.

Pourquoi ne paniquait-il pas plus que ça ? Pourquoi ne les menaçait-il pas ? Pourquoi ne semblait-il pas plus effrayé que ça, gardant au contraire un air serein ? Et les membres du club d’occultisme avaient clairement ressenti un pic magique jaillir de son corps il y a quelques instants. Cet homme... Il n’était pas aussi ignare qu’on pouvait le croire, ce qui amena donc logiquement Mélinda à conclure que Shidaru n’avait peut-être pas pris le meilleur parti.

*Mais il est trop tard pour changer d’offrande... Il existe des succubes qui apprécient les hommes androgynes, non ? Je l’espère...* songea-t-elle intérieurement, se répondant à elle-même.

La vampire n’était pas du genre à se laisser ébranler facilement, et commença rapidement à envisager les autres hypothèses. Pouvait-elle encore faire quelque chose de lui ? Il aurait été regrettable d’annuler cette réunion, car les membres du club étaient toujours très impatients à l’idée de pouvoir forniquer avec une succube. Mais, là, rien de tout ça ? Il n’y aurait donc aucune réjouissance ? C’était tout simplement inacceptable !

Toutefois, Calamila ne semblait pas pressé de partir, et demanda à consulter le livre. Mélinda resta encore silencieuse pendant quelques secondes, puis fit signe à Shidaru.

« Notre invité n’a pas l’air d’avoir envie de partir, Shidaru... Libère-le. Et puisqu’il est adepte d’occultisme... »

Elle le laissa consulter le bouquin. Celui-ci avait été traduit dans un dialecte compréhensible, du japonais, mais comprenait quelques phrases d’invocation dans la langue des sorcières, car la traduction d’une langue à une autre ne pouvait pas retranscrire le puissant pouvoir qui se dégageait de ces formules magiques.

« Tu t’y connais en magie, hein ? Je peux le sentir. »

Mélinda ne ressentait rien, mais le bluff était une arme efficace.

« Si cela peut te rassurer, Calamila, il ne te serait rien arrivé de regrettable... Sauf de perdre ta virginité avec une succube. La moitié des membres du club sont passés par là... Mais je ne sais pas trop sur quoi jouer, maintenant, les succubes peuvent vite se vexer si l’offrande n’est pas à leur goût. Ceci dit... Ton côté androgyne pourrait peut-être intéresser une succube ou deux, non ? »

Espérons-le, Mélinda ne pouvait tout de même pas offrir une offrande déjà utilisée à une succube ! Il en allait de sa crédibilité à l’égard des démons !

2
Dictature d'Ashnard / Re : La Vache du Bonheur [Cassandre Harmington]
« le: lundi 04 mars 2019, 01:02:53 »
Même une créature nocturne comme Mélinda avait besoin de dormir. Elle ne dormait d’ailleurs jamais seule, car elle faisait des cauchemars. Il lui fallait donc être entourée de corps endormis pour la bercer, ce qui lui garantissait des nuits sereines et reposantes, des nuits où elle n’était pas assaillie par les souvenirs de son passé, de l’époque où elle était encore une simple humaine, faible et fragile, et où elle était une esclave, victime de maltraitances de la part de son père. En compagnie de Mikoto et de Cassandre, Mélinda connut donc une très belle nuit, utilisant la poitrine de la belle Ushi comme un oreiller, tandis que Mikoto dormit en se lovant contre sa Maîtresse. La vampire dormit donc paisiblement, et, vu qu’elle s’était tout de même beaucoup dépensée avec Mikoto, et en allant chercher Cassandre, elle dormait encore quand Cassandre et Mikoto émergèrent.

Le manoir était doucement en train de se réveiller. Les pensionnaires s’agglutinaient dans la salle à manger principale, faisant un petit-déjeuner, se préparant ensuite à devoir aller au lycée. D’autres se préparaient à passer la matinée à nettoyer le manoir de fond en comble, ce qui impliquait généralement de nettoyer chaque chambre. C’était toute une organisation, et la literie revenait très chère au sein du manoir. Mélinda avait tout un service de nettoyage, avec une véritable blanchisserie intégrée dans le manoir. Dans des tenues de maid affriolantes, elles se préparaient donc. Cassandre et Mikoto, elles, apprirent que le manoir avait quantité de salles de bains individuelles, mais aussi des salles de bains plus collectives. L’hygiène était très importante au sein du manoir, et ce malgré la débauche continuelle !

Cassandre et Mikoto se nettoyèrent donc, et rejoignirent ensuite la cuisine, pendant que Mélinda hébergeait progressivement… Et que sa nuit se terminait par de doux rêves érotiques. De fait, le sexe masculin de la vampire était resté hors de son corps, et, pour le dire simplement, elle allait se réveiller avec une envie furieuse entre les cuisses, quelque chose qui la démangeait sérieusement, et ce d’autant qu’il n’y avait personne pour accueillir son sexe ! Or, Mélinda aimait beaucoup se réveiller en pénétrant l’une des femmes qui dormaient avec elle. C’était aussi pour ça que les esclaves de Mélinda la bordaient jusqu’à son réveil, afin d’avoir l’immense honneur d’accueillir la verge de leur Maîtresse. Malheureusement, personne n’avait cru bon d’indiquer ce petit rituel matinal à Cassandre et à Mikoto… Faute de quoi, il était sûr que ces dernières seraient restées au lit pour accompagner doucement leur Maîtresse !

« Hmmm… »

Mélinda ouvrit les yeux en tâtonnant autour d’elle, sa main filant dans le vide. Elle heurta le coussin, sentant le tissu de ce dernier au lieu de sentir la tête de l’une de ses partenaires. La situation était d’autant plus déplaisante que sa queue l’élançait douloureusement, signe évident de l’excitation qu’elle ressentait en ce moment.

*Mais… Il n’y a personne ?*

La vampire entendit soudain la porte s’ouvrir, et les deux femmes entrèrent brusquement. Mélinda se redressa et se retourna, la couverture dissimulant encore ses jambes et son bassin, pour voir un plateau-repas.

« Oh…
 -  Nous avons préparé ça avec tout notre amour, Maîtresse ! »

Mélinda étouffa un bâillement qui remonta de son corps, et les observa toutes les deux en papillonnant des yeux.

« Je vois… C’est très gentil à vous, mes belles, mais je crains que vous n’ayez oublié l’essentiel… »

Mikoto regarda brièvement sa Maîtresse en étant inquiète, puis celle-ci écarta alors la couverture, révélant son sexe en érection.

« Oh… Maîtresse est d’énergie… »

La vampire sourit lentement.

« C’est pour ça que les filles dormant avec moi ne se réveillent jamais avant moi. Elles ont envie de sentir ma queue les pénétrer dès le matin… Mais, puisque vous êtes déjà propres et habillées, je ne vais pas vous imposer cela… »

Mélinda se déplaça sur le rebord du lit, et posa le plateau-repas à côté d’elle.

« Allez, ma belle Mikoto ! En piste ! Désolée pour toi, Cassandre, mais je préfère boire le lait à la source ! »

Elle avait beau avoir les cheveux légèrement en bataille, Mélinda n’en restait pas moins somptueuse. Mais quoi de plus normal ? Elle était une vampire, après tout, et n’avait pas de maquillage. Elle était tout simplement très belle au naturel, même si quelques épis venaient parsemer sa longue chevelure sauvage. Tandis que Mikoto s’agenouillait devant sa Maîtresse, Mélinda croqua dans une biscotte, et, tandis qu’elle avait encore le morceau en bouche, alla poser ses lèvres contre l’un des seins de Cassandre, et téta joyeusement, faisant fuser le lait dans sa bouche.

Avec Mélinda, le sexe était continuel !

3
Ville-Etat de Nexus / Re : Relation d'affaires [Vierna]
« le: lundi 04 mars 2019, 00:57:28 »
Mélinda ne se laissait pas soumettre si facilement. Elle n’était pas de cette trempe-là, et, si Vierna pouvait la soumettre, ça ne serait toujours que ponctuellement, à l’occasion d’un jeu, et parce que Mélinda l’admettait elle-même. La vampire couinait longuement, la sodomie se poursuivant avec grand plaisir. Elle avait partagé ses souvenirs à Vierna, ce qui pouvait confirmer aux yeux de la succube la puissante expérience de la vampire. Joueuse, Mélinda avait aussi l’habitude de coucher avec des démons. Le simple fait d’être une succube ne conférait donc pas à Vierna un statut supplémentaire qu’elle aurait pu utiliser pour tenter de soumettre la vampire au-delà de ce que celle-ci voulait. De fait, appeler Vierna « Maîtresse » allait être difficile, car, même dans cet état de pure débauche, Mélinda conservait certains réflexes.

« Hmmmm... Oh-oh, bordel... »

Elle avait du mal à conserver sa salive, qui s’échappait parfois de ses lèvres. Tout en se déplaçant, Vierna s’appuya sur la moquette, et empoigna les jambes de Mélinda, continuant à la baiser, se servant de sa queue caudale pour la fouetter régulièrement, ce qui arrachait à Mélinda des cris supplémentaires. Ses lèvres intimes exhalaient de la mouille en abondance, venant s’égoutter sur le lit, glissant le long de ses cuisses pour tomber également sur le sol. Les griffes de la vampire se déployaient, d’autant que Vierna la provoquait en émettant dans son esprit des images très lubriques, comme une bande-annonce pour la suite.

Autour des deux femmes, les esclaves de la vampire salivaient sur place, observant ce spectacle de haute volée, aussi intense que durable. Il fallait assurément l’expérience sexuelle de leur Maîtresse pour réussir ainsi à tenir la cadence, à suivre le rythme d’une succube aussi assoiffée et aussi talentueuse que Vierna ! Sa queue s’enfonçait profondément dans le cul de Mélinda, la labourant sans vergogne, sans ménagement, continuant à arracher à la femme une série de cris et de hurlements.

Mélinda avait déjà eu un premier orgasme avant que Vierna ne jouisse, mais elle n’aurait cessé cela pour rien au monde.

« Haaaaa... O-OUUUIII, hmmm... En-ENCORE, hnnnn... Haaaaaaaaaaaaannn... !! »

C’est ce qu’on arrivait à comprendre au milieu des borborygmes et des hurlements, tant de plaisir que de douleur. Voir leur Maîtresse s’épanouir sexuellement était toujours un véritable régal pour ces femmes joyeusement asservies. Et la vampire aimait clairement ce pilon dans le cul, l’énergie de Vierna, toute cette douleur qui éclatait en elle. Son corps était capable de l’endurer, et elle tenait donc le rythme, tout en admirant l’endurance de Vierna, qui arrivait à soutenir le rythme de la sodomie tout en tenant Mélinda par les jambes, la maintenant ainsi dans cette position forte et puissante.

Pour autant, les esclaves de la vampire ne restèrent pas totalement inactives, et ce fut Yukie qui finit par réagir.

« Il n’est pas juste que Maîtresse soit la seule à se faire fouetter... » se justifia l’intéressée.

Le fouet de Yukie ondula sur place, et alla claquer les fesses de Vierna, rebondissant sur ses fesses rouges à plusieurs reprises.

4
Mélinda n’était pas magicienne, mais avait avec elle quelques esclaves versés dans cette discipline. Ils purent ainsi constater que, sous l’effet d’une subite panique, Calamila libéra quelques pulsations magiques. Mélinda fronça alors les sourcils, tandis que la jeune femme (ou homme ?) exprimait ses appréhensions sur ce qui se passait.

*J’espère qu’il est vierge, vu son innocence...*

Les succubes étaient toujours friandes d’amants vierges comme cadeaux sacrificiels, et il valait mieux ne pas flouer une succube sur le contenu de la marchandise. Mélinda essayait de se concentrer pour essayer de le sentir, mais elle n’avait aucun moyen particulier de le savoir. Elle poursuivit donc, n’ayant après tout rien à lui cacher, maintenant que Calamila avait vu le cœur du club d’occultisme :

« Les réunions du club ont pour but d’invoquer un démon, Calamila... Une succube, plus précisément. Mais les succubes ne s’invoquent pas si facilement. Nous organisons donc nos réunions quand nous trouvons un bon candidat potentiel... Et, ce soir, ce sera ton tour ! »

Un programme qui pouvait sembler délirant... Invoquer un démon ! Pourtant, Mélinda était très sérieuse, et elle était convaincue que Calamila ne la croyait pas si folle que ça. Les signes avant-coureurs ne mentaient pas, et le pentagramme tracé sur le sol servait effectivement aux invocations. Dans le dos de Calamila, Shidare s’était rapprochée, et posa ses mains sur les poignets de la jeune femme, l’immobilisant ainsi, l’empêchant de pouvoir la repousser.

« Ne t’inquiète pas, ce ne sera pas douloureux, Calamila-chan, bien au contraire ! Tu vas juste t’allonger au milieu du pentacle, nu, et nous allons invoquer la succube, qui prendra ta virginité en guise du prix à payer ! »

Et, comme pour signer cela, Shidare embrassa la jaune femme sur la joue. Évidemment, Calamila n’avait pas vraiment le choix, et ne pouvait pas refuser.

« Tu sens la magie qui suinte du pentacle, non ? C’est ce que nous faisons à chaque fois, les deux tiers des membres de ce club sont passés par là. Nous consignons leurs noms dans ce registre, tu peux le consulter si tu veux. »

Chaque page comprenait les traces des multiples contrats passés entre les invocatrices du club d’occultisme et les succubes. Tout cela était en effet très sérieux, et Mélinda ne plaisantait à aucun moment !

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Ville-Etat de Nexus / Re : Le jour de la renaissance [Mélinda Warren]
« le: lundi 04 mars 2019, 00:56:59 »
Mélinda n’avait à aucun moment menti sur Katya. La jeune neko était une véritable poupée en porcelaine. Elle aimait le sexe, et elle aimait même la violence... Mais sans la paniquer. On pouvait la fesser, on pouvait lui pincer les seins, évidemment la sodomiser... Mais sans la heurter ! Katya était paradoxale, certes, mais c’était là le lot de tout être humain, non ? Elle était en tout cas une fragile peluche, très belle, mais dont il fallait prendre soin. Et il suffisait de voir sa confiance et son naturel pour constater que Mélinda l’appréciait beaucoup. Autrement dit, laisser Matthieu s’en approcher sans surveillance était aussi le signe de la confiance que Mélinda portait au jeune homme, car, s’il se transformait en Lycan, Katya risquait bel et bien de paniquer, et de déchirer les cœurs en pleurant !

Fort heureusement, Katya ne fit pas attention au subit grognement de son partenaire. Yeux clos, elle ronronnait délicieusement, se transformant en une petite turbine à réaction. Le potentiel de sympathie et de mignonnerie qu’elle dégageait en ce moment crevait le plafond ! Ronronnant, elle griffait involontairement le torse de Matthieu en s’appuyant dessus, même si ses gants fins et délicats atténuaient un peu l’effet de ses petites griffes... Griffes qui étaient d’ailleurs régulièrement limées pour être les moins tranchantes possibles.

« Nyyyyuuuu... Mrrraaaaawwww... Haaaaaaaannn... Nyyyyuuuu... !! »

De longs et aigus miaulements de plaisir s’échappaient des lèvres de Katya, entrecoupant ses cris et ses gémissements. Elle mouillait abondamment, continuant à danser sur sa queue, sur cette délicieuse verge qui remontait joyeusement en elle. Nyu ! Nyu ! Quel plaisir ! Foi de neko, Katya débordait de plaisir en ce moment ! là, oui, comme ça, haaa... Très spontanée, et très sincère dans son approche, Katya adorait profondément le sexe, elle adorait sentir une verge en elle, presque autant que les câlins, si ce n’est plus ! Il fallait bien avouer que, avec l’éducation de sa Maîtresse, Katya avait vite appris à adorer ce que sa Maîtresse appelait les « gros câlins ».

Et un gros câlin, c’était très précisément ce que Katya voulait ! C’était tout ce qu’elle souhaitait, et elle ronronnait doucement sur place, mouillant avidement sur la queue de son partenaire. Mathilde n’osait même pas la toucher, et Katya n’hésita pas à se pencher en avant, venant embrasser copieusement sur les lèvres son partenaire, faisant durer le plaisir.

« Nyaaaaawwww, c’est si booon, mraaaawww... »

Katya continuait à ronronner furieusement, jusqu’à atteindre, à son tour, l’orgasme... Elle expulsa de belles quantités de mouille en fermant les yeux, et se pinça les lèvres, rougissant fortement en se relâchant. Et... Et... Oh, oh, quel plaisir ! Elle jouit copieusement, sombra pendant quelques secondes, avant de reprendre peu à peu ses esprits. Katya sentait en elle un long frisson de plaisir la traverser, remontant le long de son échine.

C’était une sensation très agréable, qui l’amena à planer un peu, frétillant des oreilles, avant que Matthieu ne se rappelle à elle, lui demandant si elle n’avait pas un sous-vêtement

« Hmm... J’ai la tenue idéale pour toi ! »

Et Katya s’empressa d’aller chercher un nouveau sous-vêtement, qu’elle récupéra dans ses affaires : une belle culotte rose à dentelle, mais dont la surprise était le dos de la culotte, puisqu’il y avait... Une belle ouverture en forme de cœur.

« Regarde ! C’est parfait, non ? Comme ça, tu pourras garder ta culotte devant Maîtresse... Chaque fois que je l’enfile, je sens qu’elle me fera un gros câlin, comme ce qu’on vient de faire tous les deux ! »

Et c’était là une fantastique nouvelle, non ?

6
Dictature d'Ashnard / Re : Warren's Clan [Décatis Cryptinna]
« le: dimanche 03 mars 2019, 02:30:35 »
La mystérieuse gelée de Décatis se montrait redoutablement efficace. Mélinda en avait la démonstration en ce moment, alors qu’elle était occupée à lécher le pied de Décatis. La « soumise » vampire pouvait sentir le sang de Décatis remuer dans ses veines. Trop habituée à renoncer à ses pouvoirs vampiriques, Décatis devait maintenant se former un peu, afin de mieux apprendre à les contrôler. Mélinda continuait à lécher son pied, sentant donc le plaisir affluer dans le corps de Décatis. Et, au bout d’un moment, l’enchanteresse vampirique lui demanda d’utiliser la gelée pour laisser parler à son inspiration. Mélinda sourit doucement, et, après un dernier baiser sur le pied de Décatis se redressa.

« Je me demande ce qui va se passer si… »

Elle ne finit pas sa phrase, et se concentra un peu. Mélinda serra les poings, et poussa un léger cri, avant que le sang ne se concentre fortement à hauteur de ses cuisses… Puis sa verge émergea. Un joyeux phallus se dressa fièrement, et elle s’amusa ensuite à le recouvrir de gelée, se masturbant pour cela devant les yeux de Décatis. Un spectacle aussi sensuel que pervers, pornographique et érotique, qui amena ensuite Mélinda à se rapprocher de la femme. Les rôles reprenaient peu à peu leur fonctionnement normal, comme si, instinctivement, former et dresser Mélinda était contre-nature.

La vampire se redressa donc, et caressa le visage de Décatis, leurs combinaisons se frottant l’une à l’autre. Mélinda l’embrassa sur les lèvres pendant quelques secondes, puis, souriant à nouveau, elle s’agenouilla, et mordilla avec ses dents la fermeture de Décatis. Elle l’abaissa ainsi doucement, libérant l’accès à l’intimité de sa partenaire, puis déposa un baiser sur son sexe, avant de se redresser.

« Là… Voilà qui promet ! »

Maintenant que Décatis était enfin prête, Mélinda put passer aux choses sérieuses, et la pénétra d’un coup sec, sentant un délicieux frisson la traverser, tandis que son membre s’enfonça dans son corps, et qu’elle se mit à gémir contre sa partenaire…

7
One Shot / Re : Little Bitch [PV]
« le: samedi 02 mars 2019, 21:08:07 »
Quel magnifique spectacle ! Toute une famille incestueuse qui s’offrait devant les yeux ravis de Mélinda. La vampire n’en avait pas perdu une seule miette, mais elle devait bien admettre que tout ça l’avait excité. Certes, Kenji l’avait vigoureusement baisé il y a quelques instants, mais les trois humains face à elle connaissait bien l’appétit sexuel de la vampire. La famille Kimura y avait droit depuis des années. Et, même malgré ses innombrables conquêtes, Mélinda se rappelait de ses séances avec Asuka, de ses séances avec Kenji, des masturbations longues qu’elle faisait à ce jeune adolescent pour en faire un excellent pervers, des multiples fois où Asuka avait fait l’amour… Tout ce qu’Honoka subissait en ce moment, ses parents l’avaient déjà subi, et ce pendant des années.

Asuka embrassait donc tendrement sa fille, la collant contre elle, fourrant longuement sa langue dans sa bouche, la remuant contre ses lèvres, se dandinant doucement sur place. Sa main serrait les cheveux d’Honoka, le sperme de Kenji filant dans leurs bouches respectives. Après cette langoureuse étreinte, Asuka sourit à sa fille, et lui offrit un dernier baiser. Elle était bien évidemment encore prête à lui faire l’amour, mais Honoka leur rappela alors la présence de leur Maîtresse. Kenji, qui était également agenouillé à côté des deux femmes, et qui caressait les hanches d’Honoka, tourna également la tête vers leur Maîtresse.

« Oh…
 -  Tu as raison, ma chérie. Nous avons beau être tes parents, nous resterons à jamais les bienheureux esclaves de notre Maîtresse… »

Et celle-ci se tenait justement devant eux, nue, avec une verge légèrement dressée. Elle les attendait, et, tandis qu’Honoka restait en retrait, Kenji et Asuka filèrent, respectivement à droite et à gauche de Mélinda. Agenouillés sur le sol, ils embrassèrent et léchèrent sa queue, soupirant ensuite doucement quand les mains de Mélinda vinrent caresser leurs cheveux, les empoignant doucement, sa queue venant doucement se durcir, gonflant sur place.

« Tu sais, Honoka, je t’ai tenu dans mes bras quand tu étais un tout petit bébé… J’étais à la maternité, quand Asuka t’a mise au monde. Je me souviens encore de son regard pétri de bonheur, de ses larmes, quand je suis entrée dans la salle. J’ai été la première femme au monde, à l’exception de ta mère, à te tenir dans mes bras. »

Une anecdote touchante, mais qui illustrait aussi une vérité toute simple.

« Depuis ta naissance, ma chérie, tu étais destinée à être mon esclave. La distance géographique ne signifie rien pour moi. J’ai payé tous tes frais scolaires et médicaux. Quand il a fallu te mettre un appareil dentaire, j’ai payé. C’est comme ça… Je vous offre le bonheur, l’argent, et plein d’autres choses, en échange de votre amour inconditionnel et de votre servitude éternelle.
 -  Nous n’avons jamais cessé de vous servir, Maîtresse…
 -  Jamais, haaaaa… »

Ils léchaient encore sa queue, embrassant ses bourses, se frottant sur son sexe. Mélinda gémit encore, puis se rapprocha d’Honoka. Maintenant que son sexe était bien dressé, elle la coucha sur le lit, l’allongeant sur le dos, puis s’allongea au-dessus d’elle… Et la pénétra alors, son regard croisant le sien à ce moment. Son membre glissa sans difficulté dans son corps.

« Là, voilà… Ma queue te démangeait, hein, ma petite chatte ? Ma délicieuse chatonne… Viens ronronner avec moi… »

Et elle alla l’embrasser, tout en continuant à la pénétrer, enfonçant longuement sa queue dans son corps, tandis qu’Honoka et Kenji rejoignaient également le lit, observant ce magnifique duo…

8
De fait, Samara avait rapidement tendance à s’attacher à Sya. Joueuse, mutine, douce et perverse, elle avait bien des qualités, dont une propension naturelle à passer d’un extrême à l’autre. Il y avait « Sya l’Ange », une jeune femme douce et délicate, qui semblait aussi naïve et innocente qu’un bébé, et, de l’autre côté, il y avait également « Sya la mutine », l’Ange de Lust, une femme qui se soumettait volontairement à d’autres femmes, et qui avait une expérience sexuelle digne de tout le harem de Mélinda à elle seule ! Samara sourit quand Sya se blottit encore contre elle. Mélinda et Saikai avaient parlé ensemble de leur futur, un futur qui impliquait Sya, mais celle-ci ne semblait guère concernée. C’était vraiment à se demander qui, dans son couple avec Saikai, dirigeait les opérations ! Samara répondit donc à son baiser, frissonnant sur place, et, quand Sya lui demanda de lui cracher dans la bouche, Samara sourit encore. L’une de ses mains empoigna l’une des fesses de Sya, relevant cette dernière, rapprochant ses lèvres des siennes.

« Tu es vraiment incorrigible, ma belle… »

Incorrigible, tout simplement ! Samara sourit encore, et lui mordilla les lèvres, avant de lui dire de bien ouvrir la bouche, et concentra la salive le long de ses lèvres… C’était un geste assez disgracieux, fort peu élégant, mais la démone se devait bien de faire plaisir à sa fille. Car, avec le temps, ce qui était initialement un jeu sexuel avait fini par prendre une toute autre tournure. Sya et Samara avaient commencé à fonder une belle famille, car les enfants issus de relations angéliques et démoniaques étaient très forts. La possibilité d’avoir des Nephalem, et l’envie d’avoir des enfants, avait déjà conduit Samara à engrosser deux fois Sya, lui offrant deux enfants. Mine de rien, c’était progressivement un véritable cercle qui était en train de se constituer autour de Sya !

Samara lui cracha donc dans la bouche, concentrant entre ses lèvres une boule de salive, avant de la jeter dans la bouche de Sya, et accompagna cela d’un nouveau baiser. Sa petite Sya pouvait effectivement se montrer très perverse, ce qui était loin de déplaire à Samara, qui était également une démone redoutable.

« Hmmmm… Ma chérie, hmmm… »

Elle l’embrassa encore, blottissant son corps contre le sien, amenant ainsi Sya à enrouler ses jambes autour de sa taille, tandis que leur baiser s’éternisait. La main de Samara tira doucement sur la culotte de Sya, libérant l’accès, tandis que, entre ses cuisses, la fermeture de son corset s’ouvrit, jusqu’à libérer un beau membre durci qui tapa contre la robe de Sya, glissant sur le tissu, s’enroulant dessus d’une série de plis.

« Là, là… Il faut t’entretenir, ma belle, si tu veux encore nous donner un troisième enfant… »

Et Samara, tout en joignant le geste à la parole, glissa sa queue, et l’enfonça dans la chatte de Sya. Tout cela restait pour autant encore très doux, car la démone ne le baisait pas énergiquement contre une bibliothèque, mais continuait à la maintenir contre ses bras, à l’embrasser de nouveau, tout en laissant son membre s’enfoncer dans le corps de Sya, fusionnant à elle, comme les deux femmes en avaient tellement l’habitude…

9
MÉLINDA WARREN

Rejoignant doucement la scène, Mélinda ne put que sourire devant ce ravissant spectacle. Tout cela était en même temps assez prévisible ! Samara avait pour elle deux ravissantes Anges, dont l’une était une Ange délurée, et l’autre une Ange bien plus timide. Comment ne pas craquer ? De plus, Harmony était très largement redevable à Samara pour tout ce que l’Archimage avait fait pour elle. C’était Samara qui avait aidé Harmony à avoir une vie plus accomplie, et le sens de l’honneur était très fort chez Harmony. C’était d’ailleurs principalement pour ça qu’elle servait volontairement Mélinda, afin de rembourser sa dette. Cette dette était donc également assez forte envers Samara, qui en profitait volontiers.

À quatre pattes, Harmony se faisait donc pénétrer par Sya ainsi que par Samara. La belle Ange semblait ravie de pouvoir coucher avec une sorte de consœur. Sentait-elle l’essence angélique d’Harmony ? Mélinda avait envie de le croire, et se rapprocha encore un peu. Elle salua Sya du regard, levant brièvement la main, mais ne dit rien, ne voulant pas perturber le trio. Elle perçut l’excitation sanguine chez Sya, et cette dernière se mit à jouir, se relâchant dans le corps de la jeune femme, puis se rapprocha ensuite, donnant quelques instructions à Harmony.

« Tu es tellement énergique, ma fille d’amour, tu as déjà joui, hein ? Tu n’as qu’à aider Harmony, hmmm... Lèche-moi ma porte arrière, comme tu sais si bien le faire. »

Il est vrai que Sya et Samara ne se refusaient pas grand-chose en matière sexuelle ! Mélinda vit donc Sya s’agenouiller dans le dos de sa mère. Rapidement, la queue caudale de Samara vint caresser le corps de la jeune Ange, glissant sur sa peau, la caressant tendrement, tandis que Sya allait lécher sa porte arrière, plaquant son visage contre ses fesses. Elle titilla son anus, tandis que la queue de Samara enfla légèrement, tournoyant sur le corps de sa partenaire pour finir par se glisser entre ses jambes. Et, là, comme ça, elle se mit à la masturber, venant enrouler la pointe de sa queue autour de sa verge pour la presser, et pour tirer dessus.

Sur le devant, Samara continuait à caresser les cheveux d’Harmony.

« J’ai peur que notre belle Harmony ne s’ennuie sans personne pour s’occuper d’elle... Pas toi, Mélinda ? »

Samara pouvait mettre du temps à jouir, surtout qu’elle aimait le fait qu’on la suce longuement. Mélinda ne put qu’acquiescer, et s’avança. D’un mouvement sur ses seins, elle fit sauter le lacet retenant sa robe, puis marcha. Sa culotte tomba également, et, ainsi nue, elle rejoignit Harmony, faisant également parler sa verge. Celle-ci caressa les fesses d’Harmony, et Mélinda, après quelques instants, écarta avec ses pouces les fesses d’Harmony... Et enfonça brusquement son membre dans son fondement.

La douleur jaillit d’un bloc dans le corps d’Harmony, mais la belle servante, depuis le temps qu’elle servait Mélinda, avait sans aucun doute déjà eu l’occasion de s’habituer à la sodomie... Non ? Sinon, ce serait là une excellente occasion de s’y mettre !




Le plan suicidaire d’Hardos offrit à Karin une occasion inespérée de piéger les ennemis en déclenchant un sort de Brume. Une diversion momentanée, mais que la femme accompagna en déployant ses tentacules et ses sortilèges. Elle fouetta ainsi plusieurs guerriers proches d’Hardos, et jeta avec ses doigts des éclairs, qui zébrèrent l’air. Hardos se rua vers la prêtresse, sonnée, tandis que Bolder, furieux, puisait dans ses tatouages, qui s’illuminèrent dangereusement.

« Par la Putain ! »

Le trio se mit à fuir rapidement. Pour retarder les ennemis, Karin généra de nouveaux sorts d’Eau, et lança des explosions aqueuses dans le couloir, tout en suivant les conseils d’Hardos. Elle fit ainsi s’effondrer un mur à l’entrée d’un escalier permettant de sortir, et rejoignit la surface. Le trio se retrouva ainsi dehors, et Karin soupira lentement, peu habituée à courir ainsi. Sa robe n’était pas pensée pour !

« Bordel... Oh, la vache, je crois qu’on a eu chaud ! Comment se porte la prêtresse ? »

Difficile de croire que Bolder et sa clique allaient se tenir sages là-dessous, mais il allait désormais falloir prévenir les autorités impériales... Afin que le temple soit sécurisé. Mais, pour l’heure, la priorité était de s’assurer que la prêtresse allait bien.

Cependant, très rapidement, des bruits de pas se firent entendre. Karin fronça les sourcils, et vit alors plusieurs monstres approcher. Il s’agissait de créatures reptiliennes ressemblant à un étonnant croisement entre un lézard et une araignée, des endriagues.

« Tiens-toi prêt, Hardos, le repos n’est pas encore pour tout de suite ! »

Et la priorité restait toujours de protéger la prêtresse...

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Dictature d'Ashnard / Re : Le rêve de toute une vie [PV Mélinda Warren]
« le: mardi 26 février 2019, 07:21:30 »
Il était assez difficile de cacher quelque chose à Samara. Mélinda était bien placée pour le savoir, et elle salua brièvement Samara, avant que Sya ne vienne se blottir dans les creux de ses bras. Samara l’embrassa doucement sur les lèvres, puis sourit quand la petite Ange indiqua que Saikai avait besoin de la voir.

« Oh, vraiment ? Tu n’as donc rien à me dire, ma belle ? »

Sya savait que Samara était une magicienne. Pouvait-elle lire dans les esprits ? Ou avait-elle rapidement compris ce qu’on lui demandait ? Sya n’osait sans doute pas demander à sa mère, tandis que la main de Samara continuait à caresser sa tête, glissant sur ses cheveux. Elle la grattait tendrement, sentant sa douce chevelure soyeuse. Mélinda se rapprocha alors, et décida de creuser l’abcès. Voir Sya devenir... Si timide avait quelque chose d’amusant ! La vampire souriait légèrement, en constatant combien Sya pouvait se montrer gênée à évoquer ce genre de choses. Mais, de son côté, Mélinda ne ressentait pas ce genre de doutes.

Elle se racla doucement la gorge, avant de parler :

« Nous aimerions te parler de rassemblement familial, Samara...
 -  Oh, rien que ça ? » ironisa la démone.

Samara sourit légèrement, et continua à câliner la jeune Ange. Sya semblait heureuse en étant lovée contre sa mère, et il faisait de moins en moins de doute, aux yeux de Mélinda, que Samara devait déjà être au courant de leur stratégie... Ou alors, elle feignait la surprise à merveille. Mais, après tout, au-delà de sa beauté exceptionnelle et de ses talents magiques, elle était avant tout une redoutable politicienne. Face à elle, difficile de s’imposer, ou de jouer au plus fin.

Mélinda n’y alla donc pas par quatre chemins, et poursuivit :

« Je pense qu’il n’est pas très sain pour Sya d’avoir une famille dispersée aux quatre vents de Terra...
 -  Ah, ça, tu sais ce que j’en pense, ma chérie... » s’adressa la démone à Sya.

Leur discussion au Paradisio de Novac était encore en mémoire. C’était la seule fois que Samara avait vu Sya pleurer, car la démone lui avait reproché son oisiveté, et avait essayé de lui inculquer le sens des responsabilités, en lui expliquant qu’elle ne pouvait pas se contenter d’être une simple mère-porteuse. Difficile de dire si ce sermon avait porté ses fruits, mais il semblait en tout cas que Sya s’était mise à y réfléchir.

Mélinda exposa donc son idée, qui était que Samara reconnaisse Sya comme sa fille, ce qui permettrait de légitimer son mariage avec Saikai, et de pouvoir faire d’elles des citoyennes ashnardiennes, ce qui leur offrirait une protection suffisante, et les empêcherait de devenir des esclaves.

« Je vois... »

Cette stratégie supposait toutefois que Samara accepte d’adopter Sya. Quelques secondes passèrent, avant que Samara ne reprenne :

« Je ne devrais pas te demander ça, Mélinda, et je t’en présente mes excuses à l’avance, mais... J’ai besoin de m’entretenir seule avec Sya. Pourrais-tu aller chercher Saikai, je te prie ? »

Faire de la vampire une simple messagère avait de quoi l’agacer, mais elle acquiesça, en se disant que, seule avec sa mère, la timidité de Sya s’atténuerait peut-être. Samara expliqua à Mélinda qu’elle se trouverait dans un proche salon avec Sya, puis s’y téléporta ensuite.

La démone s’installa sur un fauteuil, maintenant toujours Sya contre elle, et l’assit sur ses cuisses.

« Allons, ma belle, tu es gênée de me le demander ? Une Ange devenant la fille adoptive d’une démone, c’est vrai que ce n’est pas banal... Surtout que je me demande comment qualifier notre fille, du coup... C’est ta fille aussi, mais, techniquement, ce sera aussi ta petite-sœur... »

L’inceste était courant dans les clans ashnardiens, et la fille de Samara et de Sya serait juridiquement considérée comme la sœur de Sya... Même si Sya était sa conceptrice biologique. Samara ne pouvait en effet pas être la grand-mère de sa propre fille. Elle embrassa alors Sya sur les lèvres.

« Nous pouvons formaliser cela, ma chérie, j’accepte de t’adopter... » déclara-t-elle finalement, mettant fin au suspens.

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Évidemment, se rendre dans les caves du lycée n’avait, en soi, rien d’attirant. Mais, en réalité, Shidare s’était attendue à plus d’opposition de la part de Calamila. Soit le jeune homme (ou femme, Shidare avait quand même un doute) était insouciant, soit il avait une confiance aveugle en Shidare, soit, comme bien des personnes à Mishima, son apparence était trompeuse. Impossible en l’état de dire ce qui était vrai. Ce qui était sûr, en revanche, c’est que Shidare le menait tout droit vers le club, et qu’elle avait noté que le jeune homme semblait étrangement assez intéressé par Mélinda Warren. Quoique, cela n’avait rien d’étrange, vu la beauté et le magnétisme de Mélinda ! Shidare n’était pas son esclave pour rien, après tout, et elle se rapprocha donc de la porte, s’aventurant dans un couloir froid et métallique, jusqu’à laisser Calamila toquer à cette dernière.

Le jeune homme entra le premier, et se tomba devant une assemblée de personnes dont les corps étaient dissimulés sous des bures. Mélinda en portait aussi une, et était au milieu de la pièce. Des bougies éclairaient faiblement le cœur de la pièce, et le pentagramme luisait, vibrant d’une énergie magique résiduelle. Dans le dos de Calamila, Shidaru referma la porte, et resta contre celle-ci, empêchant ainsi le jeune homme de ressortir, si cette envie devait lui traverser l’esprit.

« Bonsoir, Calamila ! Je te souhaite la bienvenue dans notre club d’occultisme ! » s’exclama Mélinda.

Elle avait auparavant abaissé sa capuche, révélant ainsi son somptueux visage aux yeux verts, ses cheveux bouclés tombant en cascade le long de sa figure. Un sourire léger sur les lèvres, la jeune femme observa Calamila.

« Je suis heureuse de te voir, Calamila, car nous comptons nous livrer à une expérience... Dont tu seras, en tant que nouveau membre de notre confrérie, l’élément central ! »

Peut-être allait-il commencer à s’inquiéter ? Mélinda et ses suivants se tenaient en tout cas prêts à réagir le cas échéant...

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Ville-Etat de Nexus / Re : Le jour de la renaissance [Mélinda Warren]
« le: lundi 25 février 2019, 01:01:41 »
Plus Matthieu restait ici, au manoir de Mélinda, et plus il découvrait les joies des plaisirs simples, comme le sexe à outrance, et surtout le fétichisme. Car, malgré la diversité des visages et des goûts, il existait entre les esclaves de Mélinda certaines similitudes, un terreau de plaisirs communs. La vampire avait un certain talent pour faire partager son plaisir aux autres, et il était en réalité assez difficile de lui résister. Matthieu en avait fait l’expérience, et, face à Katya, il se couchait également. Comme une paire de deux face à un flush royal, il était incapable de lutter. Comment le lui reprocher ? Avec sa bonne humeur naturelle, sa délicieuse odeur, et son corps de poupée qui semblait être taillé dans le meilleur diamant, Katya était irrésistible. Une petite coqueluche qui recevait continuellement des cadeaux et des gâteaux de la part des convives et des clients venant passer du temps avec elle, à tel point qu’on aimait autant la câliner que la pénétrer. À ce stade, Mélinda aurait volontiers pu en faire une sorte de mascotte du manoir. Katya l’aurait mérité, d’ailleurs !

Mais, pour l’heure, elle laissait Matthieu lécher son petit minou, à travers sa fine culotte. Le contact était très agréable, et ne tarda pas à provoquer chez elle moult gémissements et délicieux ronronnements, de tendres vibrations qui se mirent à résonner dans la pièce. Un spectacle très attendrissant, tandis que le corps agréable et svelte de Katya remuait sur place, se frottant d’avant en arrière.

« Haaaa... Nyyyuuuu... !! »

Elle se dandina encore sur place, jusqu’à offrir à Matthieu un beau petit orgasme. Sa culotte se remplit de mouille, et Katya se relâcha joyeusement. Pendant toute la durée de ce cuni’, elle avait fini par enrouler ses jambes autour du cou de Matthieu, accompagnant ainsi à sa manière cette sensuelle séance. Matthieu commençait à devenir très doué, mais Katya pouvait aussi se montrer insatiable... Et cette séance n’avait, somme toute, fait qu’accroître sa propre soif, qui remontait à présent en elle comme un torrent ardent et assoiffé.

Katya repoussa alors Matthieu, l’allongea sur le sol, puis se redressa ensuite. La verge de son amant s’était elle aussi bien tendue, et Katya abaissa sa culotte, puis, sans plus attendre, s’empala sur lui, poussant un long soupir de plaisir, et se tortilla sur place. Elle s’empala sur sa verge, et gémit longuement, sentant une vague furieuse remonter en elle.

« Nyyyaaaaawwww, Matthieu... !! »

Et de nouveaux ronronnements se mirent à résonner furieusement dans la pièce !

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Dictature d'Ashnard / Re : La Vache du Bonheur [Cassandre Harmington]
« le: lundi 25 février 2019, 01:00:17 »
La petite vachette eut droit à une très belle fin de soirée. Elle couinait sur place, heureuse, à bout de souffle, totalement submergée par le bonheur, par un plaisir furieux qui tambourinait dans tout son être. Mélinda s’était efforcée à l’amener à la limite, à lui offrir de quoi oublier son kidnapping et la peur qu’elle avait ressenti. Elles s’embrassèrent longuement, mais Mélinda sentait la fatigue pointer, perler dans le corps de l’Ushi. Aussi endurante soit-elle, sa petite Terranide avait vécu une nuit explosive. Tentacules, pénétrations intensives, elle avait été remplie de sperme, et elle était encore en train de se faire baiser. Mikoto, très excitée, continuait à bourrer la belle Ushi, qui finit par contracter un ultime orgasme. Elle se relâcha dans un meuglement, après un dernier baiser baveux et tremblotant contre les lèvres de sa Maîtresse... Puis s’effondra mollement sur le lit.

Ses yeux devinrent vitreux pendant quelques secondes, et elle s’affaissa sur le lit, incapable de lutter contre la vague de sommeil qui vint l’envahir. Mélinda sourit alors, tout en sentant son ventre reprendre peu à peu une forme normale, au fur et à mesure que le sperme dégoulinait le long de ses cuisses. Sa main caressa tendrement le visage de la belle Ushi, et elle l’embrassa sur la joue, sentant cette dernière remuer faiblement.

« Repose-toi, ma jolie... Tu l’as bien mérité. »

Elle prenait encore soin d’elle, avec tendresse, comme toute Maîtresse digne de ce nom se devrait de le faire. Elle la coucha ainsi sur le dos, ce qui faciliterait l’écoulement du sperme dans son ventre sans trop de douleur, et l’embrassa une dernière fois. Cassandre réagit faiblement, mais sans pouvoir remonter. Mélinda se redressa ensuite doucement... Et sentit Mikoto se blottir contre son dos.

« Ma parole, tu es insatiable, ma chérie...
 -  Je sais que vous avez été entraînée par les prêtresses de la Déesse Lust, Maîtresse, je connais votre endurance ! »

Mikoto l’embrassa dans le creux du cou, remontant ses mains pour presser les seins de Mélinda... Qui constata alors que Mikoto avait rangé sa verge. Elle frémit alors, et força alors le passage. La vampire se mordilla les lèvres, et gémit en libérant sa propre verge. Son phallus se redressa fièrement, et elle se retourna vers Mikoto, un sourire malicieux sur les lèvres, repoussant la belle magical girl, qui finit couchée sur le dos.

« À mon tour de jouer avec ton corps, alors, Mikoto..., lâcha-t-elle, avec un soupçon de malice et de menace dans le timbre de sa voix.
 -  Haaaa... Maîtresse !! »



Quelques heures après, Cassandre sentit comme premier contact un tendre baiser sur ses lèvres Elle dut ensuite émerger progressivement, pour sentir qu’une masse était tendrement couchée contre elle. Il s’agissait de Mikoto, qui venait de lui voler un baiser, avant de rester lovée contre son corps. Dehors, un fin rayon de soleil venait les éclairer, signe que le soleil s’était levé, qu’une nouvelle journée était en train de commencer.

Et c’était surtout le signe que la vachette disposait désormais d’un nouveau foyer...

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Dictature d'Ashnard / Re : Le rêve de toute une vie [PV Mélinda Warren]
« le: samedi 23 février 2019, 17:21:23 »
Les choses commençaient enfin à s’améliorer, un terrain d’entente commençait à être trouvé. C’était assez inespéré, vu la manière dont les choses avaient commencé. Allait-elle enfin réussir à convaincre Sya et sa petite famille aux oreilles pointues de venir s’installer à Ashnard ? C’était en tout cas en bonne marche. Mélinda sourit même légèrement quand un ronronnement s’échappa du corps de Saikai. La verve de la vampire était aussi redoutable que son indéniable capital beauté, et la petite neko venait d’en faire l’expérience. Elle accepta donc de suivre son idée, ce qui impliquait d’en parler à Samara. Le mariage sous l’égide de Lust semblait être particulier, et Mélinda espérait que cela ne poserait pas de difficultés. Elle avait toutefois suffisamment expliqué à Sya les problèmes qu’il y aurait à avoir une famille nombreuse et démembrée, avec un morceau ici et un autre morceau là-bas. Ce n’était sûrement pas ce que Sya voulait, mais la jeune Ange était encore pleine d’angélisme et d’une certaine forme de naïveté... Une naïveté assez touchante, mais que Mélinda ne pouvait pas se permettre.

En tout cas, elle retenait les informations à propos d’Iinari, ce qui l’amena rapidement à poursuivre sa suggestion :

« Si ta sœur aime tant le sexe, mon harem pourrait lui convenir, tu sais... Il est grand, vaste, et elle pourrait s’adonner à tout type de fantasme, jusqu’à être rassasiée. Tu sais, c’est comme quand on a faim, une fois rassasiée, on est calme. Le sexe fonctionne par pulsions et par vagues de désir. »

Mélinda hésitait à souligner à Saikai que Sya aurait tout à fait pu la renseigner là-dessus. Même si Saikai était nécessairement au courant des activités extraconjugales de sa femme, et qu’un mariage auprès de Lust n’imposait pas la fidélité sexuelle, il aurait peut-être été malavisé de lui dire que Sya avait participé à moult orgies. En tout cas, Saikai proposa d’aller voir Samara, ce qui amena Harmony à se proposer spontanément, et à Sya de suggérer que Mélinda les accompagne. La vampire acquiesça doucement.

« Volontiers. Je pense que Saikai pourra veiller seule sur tes filles, non ? »

Autant ne pas les avoir face à Samara ! Non pas que la démone n’aimât pas les enfants, mais le sexe avait toujours tendance à rendre Samara plus attentive à ce qu’on lui demandait. Mélinda s’était souvent demandée si l’arbre généalogique de la démone n’incluait pas quelques succubes dans le lot. Mélinda sortit donc avec Sya, Harmony sur le devant, et en profita naturellement pour glisser sa main dans celle de Sya, joignant leurs doigts ensemble. Un léger sourire se dessina sur ses lèvres.

Tandis qu’elles marchaient, Mélinda observait le décor. Le palais de Sha était immense, et assez impressionnant, avec une succession de couloirs, de jardins, de halls, d’escaliers, et de pièces assez grandes abritant d’énormes statues. Si certaines étaient à l’effigie de Sha, d’autres montraient des membres du culte, des figures légendaires du culte de la sorcellerie... La Déesse des Sorcières n’était pas connue pour être mégalomane, et avait construit ce vaste temple suite à son union avec une autre Déesse, Sanguilia, et pour permettre d’étendre le culte.

Un poids notable dans le palais était la recrudescence de chats. Régulièrement, Mélinda vit des chats se frotter à ses chevilles. Aussi terrible que soit Sha, il était de notoriété publique que la Déesse appréciait beaucoup les chats. Pour venir lui faire sa demande, Mélinda lui avait d’ailleurs offert une chatte. Ceux-ci n’étant pas castrés, ils pullulaient dans le château, et il était déconseillé de leur marcher sur la queue. Mélinda n’avait jamais trop compris le rapport entre les sorciers et les chats, mais elle savait que Samara avait aussi un chat. La démone lui avait expliqué qu’un chat était un compagnon utile pour un magicien, car il agissait comme une sorte d’éponge magique, même si elle n’avait pas spécialement compris.

Harmony les guida vers Samara, qui se trouvait dans la bibliothèque du palais. Une belle pièce avec de multiples étagères abritant de multiples grimoires et autres parchemins. Et, effectivement, le trio vit Samara, qui se tenait devant une étagère, amenant à elle des livres par la force de la télékinésie, les ouvrant pour les consulter. Elle s’interrompit en les voyant approcher, et leur sourit brièvement.

« Tiens donc, bonjour à vous, mes belles... La grossesse se passe bien, Sya ? »

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Au sein du lycée Mishima, Mélinda Warren était une sorte de célébrité locale. Quiconque se serait plongé dans son dossier aurait vite compris qu’il y avait quelque chose de profondément anormal chez cette adolescente à la beauté virginale... Comme le fait qu’elle était au lycée depuis de nombreuses années sans prendre une ride. Mélinda avait eu le temps de faire son trou, usant de séduction et de corruption (ses armes préférées) pour obtenir le soutien de l’administration locale, et usant plus rarement de la menace, de l’intimidation, du chantage, face à des fonctionnaires un peu trop récalcitrants et un peu trop désireux de savoir ce que cette femme était. De cette manière, personne ne songeait à se demander pourquoi Mélinda Warren était encore élève du lycée après de nombreuses années, ni pourquoi son dossier scolaire comprenait tant d’irrégularités. Officiellement, Mélinda Warren avait, aux yeux de l’administration scolaire, des parents assez absents, qui ne se rendaient presque jamais aux réunions parents/profs, et qui, en réalité, étaient des esclaves de Mélinda. D’ailleurs, la vampire disposait même de personnes très proches parmi les enseignants... Comme Sochiya-sensei, qui était à l’origine une esclave de Mélinda, et qu’elle avait utilisé pour l’amener à exercer le métier de professeur au sein du lycée.

Sochiya-sensei lui servait de couverture pour les quelques clubs parascolaires que Mélinda entretenait. Parmi ces clubs, il existait un club d’ésotérisme qui était une couverture. Le club avait officiellement pour but de se renseigner sur les forces mystiques locales, sur les légendes et les superstitions, une sorte de club découverte qui s’insérait plutôt bien dans un pays comme le Japon, qui était resté très superstitieux. Le club disposait ainsi d’un petit salon dans le lycée avec quelques bibliothèques abritant des livres fictifs, comme le Malleus Maleficarum, ou encore le Necronomicon... Et quelques grimoires qui, eux, étaient en revanche véritablement magiques. Car, sous ses allures de club hippie, Mélinda utilisait surtout ce club pour « sacrifier » des élèves vierges, ou très innocents, afin d’invoquer des succubes. Les sacrifiés ne craignaient en soi rien, si ce n’est de finir ensuite esclaves de Mélinda, et dépucelés par une succube, ce qui, somme toute, restait un bien modique prix à payer, et qui tenait d’ailleurs généralement plus du fantasme que de la punition.

Ce soir, Mélinda présidait une nouvelle réunion du club. Les séances d’invocation avaient toutefois lieu, pour plus de mysticisme, et pour moins de curiosité, dans la cave du lycée. Leur « sacrifié » était, ce soir, un jeune androgyne qui était récemment arrivé au lycée. D’ailleurs, l’individu avait reçu à la base un uniforme scolaire féminin, car, en voyant sa photographie et ses mensurations, le prestataire s’était trompé. Mélinda avait vu en lui une cible idéale, et avait chargé l’une de ses esclaves, Hotaru Shidare, de se rapprocher de lui.

« Il manifeste un intérêt certain pour l’occultisme, Maîtresse, lui avait expliqué Shidare. Bien plus que pour ma poitrine » avait-elle ensuite noté, non sans une certaine pointe d’amertume.

Autant dire qu’il n’avait pas été difficile de l’appâter en lui proposant de rejoindre le club. Et, là, en fin de journée, le club attendait donc. Les cultistes portaient de longues bures noires dissimulant leurs formes, mais, sous ces tenues de prélats, ils étaient, soit tout nus, soit portaient des tenues d’un érotisme très prononcé. Une tenue inutile pour le rituel, mais autant donner à ce rituel une touche de mysticisme, non ? En tout cas, au milieu de la salle, on avait tracé à la craie et à la chaux un pentagramme complexe, des bougies étant posées à des endroits très précis.

Une certaine énergie magique résiduelle émanait de cette construction magique, qui n’attendait désormais plus que son « sacrifice »... Soit l’arrivée du jeune Doli.

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