Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lord Slaver

Pages: [1] 2 3 ... 13
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Centre-ville de Seikusu / Re : Rose bleue et plume rose [Lissandre Verrières]
« le: lundi 14 septembre 2020, 00:04:58 »
Il y avait un fond d'ironie délicieuse dans l'air. Alors elle n'était sortie que pour trouver l'inspiration? Elle venait de trouver le gros lot. A en croire ses écrits, Nathéo avait amplement de quoi satisfaire son imagination.

Le ballet silencieux des clones dans son appartement reprit une fois qu'il avait fini de transférer tous les fichiers. Les quatre paires d'yeux repéraient et effaçaient toutes traces de sa fouille méthodique, et ils disparurent un à un. Le dernier d'entre eux reverrouilla la porte de l'intérieur avant de s'évaporer à son tour. Ni vu, ni connu.

Le détective déclina la bouteille d'eau d'un geste de main élégant. La concentration de Lissandre semblait... Nébuleuse, et son inattention était un avantage massif. La pression se relâcha légèrement. Il allait pouvoir s'en sortir avec une pirouette.
Il l'aida à se relever et elle tourna cela en une poignée de main incongrue et gênée.

"Moi c’est Lissandre, sinon. Lissandre Verrières. Et vous ?"

Il fallait improviser. Il avait eu tout le temps de potasser n'importe quel mensonge à lui sortir dans cette situation, au cours de l'ascension, mais non. Hébété, il s'était contenté de rester à bonne distance de ce popotin remuant. Pied gauche, pied droit, pied gauche, pied droit. Quelque part, loin, très loin, un Nathéo se fit gifler. Il l'avait peut-être mérité. Mais ici, il se contenta d'un regard malicieux, accompagné de son sempiternel sourire. Un sourire doux à l'épreuve de toutes les situations.

"Rowan Cruxer, et non, mes affaires ne sont pas vraiment stressantes."

Ce n'était pas le nom le plus simple ni le plus discret, mais c'était le seul qu'il avait pu se fabriquer rapidement. Restait à savoir qui était Rowan Cruxer. Diplomate, avocat? Courtier? Non, avocat était exclu. S'il ne les appréciait pas beaucoup, un certain Hiro Atayoshi avait fini de le convaincre: il les détestait purement et simplement. Les courtiers étaient des nerds qui ne s'assumaient pas, et ils étaient trop affairés pour prendre l'air et monter des marches. C'étaient le genre de fragiles qui attendaient devant l'ascenseur pour monter au premier étage. Quant au diplomate, eh bien, c'était une solution facile pour un américain qui parlait couramment japonais, car il était aussi asiatique que Lissandre.
Et puis merde, il y avait une solution simple à ce problème épineux. Il suffisait juste d'être un bel homme armé d'un sourire dévastateur:

"Vous dîtes que vous cherchez votre imagination, right? Alors dîtes-moi ce que je peux bien faire ici. Qui est-il, cet étranger qui rend souvent visite au temple? Et que fait-il donc dans la vie?"

Parce que moi, je n'en ai pas la moindre idée! Il regrettait un peu de lui avoir collé sa montre sous le nez pour l'appâter. Mais au moins, elle lui mâcherait le travail. Elle lui trouverait une histoire farfelue, il dirait oui, non, et broderait au fur et à mesure. Rowan Cruxer, c'était le mec qui allait la fasciner. La porte d'entrée vers la foutue créativité, pour elle comme pour lui.

2
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 07 septembre 2020, 17:23:45 »
Oui, salut, je ne fais que passer, innocemment.

En tout bien tout honneur.

Sans rien suggérer.

17h23

3
Merde, elle s'était assise en haut des marches pour récupérer. C'était encore trop tôt pour un premier contact, mais trop tard pour reculer. A quelques mètres à peine du sommet, impossible de s'arrêter ou de faire demi-tour, il fallait avancer. Même si rien ne le trahissait, Nathéo pestait intérieurement. Les temples étaient de véritables attractions touristiques, et il y avait toujours un coin d'ombre pour que le quidam puisse se reposer après l'ascension. Mais non, bien sûr, s'il y avait une personne qui devait s'asseoir en haut des marches, c'était forcément sa cible, le jour où il commençait à la filer. Le karma était contre lui. Tant pis, elle l'apercevrait dès le début, et il aviserait. Il suffisait de faire un écart, de passer à côté, et d'observer ensuite de loin.

"Bonjour ! Difficile cette ascension, n’est-ce pas ?"

Raté. Elle l'avait salué d'une voix guillerette avant même qu'il n'ait atteint sa hauteur. La vitesse à laquelle il s'attirait les sympathies de la gent féminine l'étonnait toujours, mais cette fois c'était frustrant. Être victime de son succès, c'est souvent les prémices d'une situation hors de contrôle. Ironiquement, Lissandre était pourtant dans une situation similaire sans en avoir conscience. Il lui adressa un sourire amical, et retira son veston pour le replier sur son avant-bras, comme s'il avait trop chaud.

"Éreintante, oui. La tradition des cent visites au temple doit être une astuce de cardiologue."

Son regard passa au-dessus de la tête de la jeune femme en direction du temple. Après toutes ces années à Seikusu, le détective se foutait pertinemment de la teinte mystique et l'aura sacrée du lieu. Il avait eu plus que son content de mystère, de paranormal et de magie. Il était bientôt midi, et le lieu était bardé de touristes qui papillonnaient d'un recoin à l'autre, de sportifs qui sautillaient sur place, et quelques locaux qui essayaient tant bien que mal de se tenir à l'écart du reste. Mais aucune divinité qui lui aurait accordé de se fondre discrètement dans cette foule. Il lui fallait une stratégie. Il regarda sa montre, pas tant pour vérifier l'heure que pour agiter une Rolex sous le nez de Lissandre:

"Vous attendez quelqu'un? Je peux vous faire visiter si vous voulez, je suis déjà venu."

Il n'y avait pas de mauvaise réponse à lui donner. Il saurait -ou essaierait de deviner- s'il s'agissait d'un rendez-vous secret avec cette seule question, si innocente en apparence. Qu'elle réponde à l'affirmative et il aurait le champ libre. Un non, et il pourrait recommencer à l'observer de loin, au prix du double de précautions. Mais il était primordial pour lui de savoir exactement quelle position il devait adopter.

Au moins, son appartement n'avait aucune mauvaise surprise. Passé le soupçon d'un éventuel amant ou animal de compagnie caché dans une pièce, l'infiltré sortit des gants et se mit à fureter partout dans l'appartement. Alors qu'il commençait à copier le contenu de l'ordinateur sur son téléphone, trois autres Nathéo évoluaient dans les autres pièces, discrets comme des souris et coordonnés comme une troupe d'opéra. Ils ouvraient chaque tiroir, chaque placard, chaque plaque de ventilation dans les murs, vérifiant même la chasse d'eau et la ventilation du four à la recherche d'une pépite. Dans la bibliothèque, effectivement, beaucoup de livres sur la cinématographie, mais également de la romance, de l'érotisme. Lorsqu'il put enfin accéder aux ébauches "manuscrites" de Lissandre, Lord Slaver fut comblé. Le détective et le marchand d'esclave allaient pouvoir travailler main dans la main. "Soyez créatif", avait dit miss Won. Et l'inspiration venait de lui sauter au nez.

4
Trois jours, c'est tout ce qu'il avait fallu à Nathéo pour pouvoir monter le dossier Verrières. Trois jours à explorer chaque piste de chaque bribe d'information qu'il trouvait sur le web, et à écumer la ville en versant quelques liasses à ses informateurs habituels. C'est par des moyens douteux et détournés qu'il avait trouvé son adresse exacte, mais il avait rapidement pu dresser un portrait de sa cible en se basant sur des témoignages. Lissandre était une femme qu'on remarque au quotidien, et elle était assez excentrique pour marquer les esprits. Elle n'avait malheureusement pas d’attaches connues à Seikusu, et donc aucune relation douteuse à faire éclater au grand jour. Résigné, le détective commença à considérer ses options en matière de "créativité".

Il s'était posté en planque dans une voiture, à guetter devant son domicile depuis six heures du matin. Si la surveillance était une tâche aussi ardue et ennuyeuse pour tout le monde, Nathéo avait l'avantage d'avoir l'esprit ailleurs, littéralement, tout en restant vigilant. Difficile de véritablement gouter l'ennui lorsqu'on gère tout un empire commercial outre-monde. Il se félicita intérieurement du fait que chacun de ses corps puisse faire la part des choses, auquel cas il en perdrait totalement la tête. Avoir des centaines de consciences, c'était aussi jouissif et terrifiant que de côtoyer les frontières de la folie. Sans compter cette angoisse pernicieuse qu'il ne fût déjà complètement cintré.
Il y eut du mouvement en fin de matinée, quand la belle se décida enfin à quitter son nid. Le moment tant attendu était arrivé. Sa cible était habillée de rose et d'or, dans une tenue qu'il considéra un instant comme idée d'uniforme pour certaines de ses esclaves. C'était voyant, en effet, et tellement aguicheur qu'il souffla du nez en réfrénant un rire moqueur.

"Fuck's sake, là si je la perds de vue, je peux fermer boutique."

Il tourna la tête côté passager, où son regard croisa celui de sa copie conforme. Ledit passager se contenta d'attendre, puis ouvrit la portière avec nonchalance peu après le passage de Lissandre. A partir de là, il allait devoir agir vite: il fallait rejoindre l'appartement sans se faire remarquer, et entrer par effraction pour pouvoir enfin mettre le nez dans ses affaires personnelles. Sitôt qu'il avait pénétré dans la cour, le détective mit le contact et commença sa filature.

C'était tout un art qu'il mettait à profit: observer le digicode toute la matinée pour pénétrer dans l'immeuble, compter les fenêtres pour trouver l'étage, mémoriser quel mur correspond à quelle façade une fois à l'intérieur. Combien de fois avait-il entendu ces histoires d'un amateur qui s'était retrouvé chez un voisin par erreur? Arrivé devant la porte de l'appartement, cependant, il n'y avait pas de "truc": il allait falloir crocheter.

Quelques minutes plus tard, notre cher détective était en train de gravir les marches d'un temple, les yeux rivés sur un derrière en latex rose qui se dandinait plus haut en amont. Au point où il en était, de toute façon, ne pas contempler le spectacle aurait été suspect, justement. D'autant qu'il n'était pas le seul à se délecter du balancement de ces hanches et des discrets halètements qui accompagnaient les efforts de l'enthousiaste européenne.
Restait à savoir ce qu'elle faisait là. Cette excursion surprise était-elle enfin la piste qu'il espérait? Un rendez-vous honteux? Un trafic quelconque? La réponse se trouvait en haut des marches, et il n'avait pas à se plaindre du chemin à faire.

5
"Voici ma sœur. Enfin, demi-sœur. Elle s'appelle Lissandre Verrières, elle est française."

Nathéo ne put se retenir de plisser le front. Il y avait un monde entre la beauté plastique qui posait sur la photo qu'il tenait en main, et la quasi-trentenaire qui venait de lui remettre. Si elle ne l'avait pas dit clairement, il aurait mis un moment à deviner un lien de parenté, tout détective fut-il. Son regard n'avait de cesse d'aller et venir entre sa cliente du jour et l'image sous ses yeux.
D'un côté, il y avait cette beauté blonde et haute en couleur, pimpante, maquillée. Ses yeux et son sourire suintaient de bien-être, ses vêtements laissaient transparaitre une vie plus que confortable. Une bien belle jeune femme, un train de vie aisée. En une recherche et quelques clics, Nathéo avait déjà toutes les photos et stories de Lissandre qui défilaient à vive allure sur son écran. Selfies, selfies, cosplay, selfies, cosplay. Deux types de personnes alimentent autant leurs comptes: les influenceurs, et ceux qui ont beaucoup de temps libre.
En face de lui, en revanche, se trouvait une métisse au physique quelconque, les yeux légèrement rouges de fatigue, les cheveux noués en un chignon de manière assez spartiate et désordonnée. Derrière une de ses oreilles, une mèche de ses cheveux semblait déterminée à prendre la tangente et ondulait à l'horizontale. Un chemisier usé aux couleurs délavées ne faisait que brosser un portrait pathétique de cette femme aux yeux perfides, qui dégageait un vague fumet de tabac. Elle ne semblait même pas avoir les moyens de s'offrir ses services.


"Charmante, oui. Elle a répondu à un tweet il y a sept minutes, je suppose que vous ne cherchez pas à recomposer la famille..."

Il allait lui parler de ses tarifs, du fait qu'il doutait qu'elle eut de quoi payer ses honoraires. Mais une lueur mauvaise parcourut les yeux de cette Isabelle Won -c'est ainsi qu'elle s'était présentée en arrivant-, et son visage beaucoup trop large fut davantage déformé par une parodie de sourire empreint de malice qui dévoilait une dentition relativement inégale.

"C'est la principale héritière de la formule familiale. Notre père est... jusqu'à il y a encore un an, il envoyait de l'argent à ma mère, en Chine, en échange de... Son silence. A propos de moi. Mais depuis qu'il a appris qu'elle n'en avait plus pour longtemps, il a arrêté de nous soutenir. Je vais devoir revendiquer mes droits de succession, mais pour cela je dois faire tomber Lissandre."

Les yeux du privé virèrent rapidement sur les photos qu'il avait devant son écran. Du point de vue de sa vie publique, la blondinette semblait fantasque et fantaisiste, mais elle ne semblait pas avoir de gros scandale à cacher. "On dit que vous êtes le meilleur de la région de Kyoto", ajouta-t-elle comme pour se justifier. L'américain se contenta d'opiner du chef distraitement.

"Donc vous voulez que je produise des photos ou des vidéos compromettantes, qui puissent faire assez de bruit pour que l'enfant chérie deviennent la honte familiale, correct?" Elle acquiesça et il poursuivit: "Fine. Vous avez une piste, un lieu par lequel je pourrais commencer?"

Elle répondit cette fois par la négative, et le fringant jeune homme se laissa aller sur son fauteuil, paumes vers le haut. Ce n'était pas un réel signe d'impuissance, mais il cherchait à presser davantage sa nouvelle employeuse.

"Écoutez, j'ai les moyens. En réalité j'ai mis suffisamment de côté pour... M'occuper de chacune de mes très chères sœurs. Tous les moyens sont bons. Si vous ne trouvez rien qui puisse salir cette poupée Barbie, soyez créatif!"

Voilà, à présent le tableau était beaucoup plus clair. Une cliente aussi cupide que perfide, qui justifiait son appât du gain par son lignage discutable. Une sangsue prête à tout pour mettre la main sur le pactole d'un père qu'elle n'avait jamais connu, en évinçant ses sœurs innocentes. Quitte à les tuer. "Tous les moyens sont bons". Voilà qui était Isabelle Won. Quant à Nathéo...

"Pour commencer, je prendrai un acompte de 150 000 yens. J'adapterai ensuite mes tarifs selon le temps passé et la "pertinence" de mes résultats. Par la suite, toutes les traces de mon investigation seront détruites dix jours après le règlement total de mes frais."

Alors qu'elle se voutait comme un charognard pour signer le contrat qu'il lui présentait, Nathéo jubilait intérieurement. Ses yeux étaient rivés sur la splendide poupée de chair qui souriait gaiement à l'objectif. Et il avait carte blanche pour faire d'elle une paria.

6
Le coin du chalant / Whatcha gonna do when they come for you?
« le: jeudi 19 mars 2020, 13:48:52 »
Bon, y en a marre de jouer les gentils.

On se refait pas, j'ai grand besoin de ressortir les deux plus gros criminels de mon placard. J'y peux rien, je préfère jouer les méchants. Moi j'veux du sang, d'la violence, de la chair calcinée, la panique dans les rues, UNE PANDÉMIE MOND- Oh wait.
Du coup, je ressors les deux bad boys. Mesdemoiselles, mesdames, introducing X-SMYLE and Lord Slaver.



Ces chers gentlemen ont évidemment quelques trames prédef' en stock, mais bon, pas la peine de les proposer puisque who gives a fuck anyway, la seule chose bonne à mentionner c'est que je veux les jouer. Urgemment. C'est un besoin vital. AAAARGBL. Voilà.

Mais le temps c'est comme les putes, plus on en a, moins on sait quoi en faire, donc pour le moment je ne prendrai qu'un ou deux RP pour chacun de nos deux lascars.

Des bisous!

7
Blabla / Re : Les origines de votre personnage
« le: mercredi 19 août 2015, 13:35:35 »
J'AIME REMONTER LES VIEUX TOPICS PUTAIN!

Je reprends avec Milano. Milano, c'est ma petite énigme à moi, mon grand mystère. Il représente l'insouciance face à un avenir incertain, un personnage avec mille possibilités qui n'en exploite aucune. Il est né de mon grand amour pour les faux semblants, les vérités voilées et les secrets. Milano est un personnage qui manipule pour le plaisir de manipuler et aime à révéler aux gens leur vraie valeur quitte à leur être néfaste. Ajoutez à ça un mépris des règles et un gout prononcé pour l'interdit, et voilà Milano. Le potentiel héros d'un conte prophétique, mais qui néglige cette perspective d'avenir en préférant suivre une destinée différente. Puisque le secret est une thématique importante chez Milano, sa fiche dissimule un indice sur une chose qu'il ignore à propos de lui-même.  Je suis un tordu.
Au sujet de ses pouvoirs, les Ka'karis sont une référence aux romans de Brent Weeks -Ma référence pour bien des personnages, et même certains posts RPs- dans lesquels il s'agit d'artefacts étant apparus dans l'histoire et en ayant changé le cours, inscrivant plusieurs noms dans la légende. Milano est un personnage dont les pouvoirs ont une emprise sur lui et son quotidien, au lieu d'en avoir une pleine maîtrise, ce qui renverse la tendance par rapport à nombre de mes personnages. Les noms revoient à l'idée d'incertitude, puisque je fais cohabiter dans un même ensemble des noms de mythes et d'origines très différents (nordiques et grecs, notamment).
Les noms de Milano et de sa mère Haruka sont respectivement des références à Murder Princess et Guilty Crown. Je me suis rendu compte après coup que le nom Milano m'était venu à l'esprit parce que je passais devant un "Café Milano" tous les matins en allant à la fac. Les joies du subconscient.
En matière de physique, le tatouage dans son dos et l'acceptation à contrecœur de tenues vestimentaires "normales" renvoient directement à son joueur (càd moi, pour les deux cons au fond à côté du radiateur!). A noter qu'il a eu son tatouage avant moi, cependant.

Alexander est simplement né de l'envie de faire une fiche dont je serais fier pendant longtemps et c'est une réussite. Il a l'histoire la plus complète et la plus aboutie que j'aie pu écrire jusque là. Ses thématiques principales sont la loyauté et la bienveillance, et également la perspective d'une vie immortelle privée d'amour. Alexander est condamné à une existence sans fin et au bonheur limité, tout ayant la chance de pouvoir vivre au travers de l'Histoire. Le choix de son allégeance est une référence à ce RP, et plus généralement à mon fanatisme ma propre admiration envers la joueuse d'Héra sur le forum.
La fiche contient bien entendu quelques références, surtout au niveau des noms: Marluxia est un personnage de Kingdom Hearts, le nom d'Alfheim se référence aux portails d'Alfheim dans Bayonetta, le roi Clavius est un personnage de Dragon Quest VIII et Ulrich renvoie à Code Lyoko. La scène de la mort de ce dernier est une réécriture d'un passage d'un roman de Brent Weeks.

La suite une autre fois, parce que j'ai la flemme.

8
Archives / Re : Karaoké-bar
« le: mercredi 19 août 2015, 08:25:27 »
Lykke Li - Until We Bleed

I'm naked
I'm numb
I'm stupid
I'm staying
And if Cupid's got a gun
Then he's shootin'

Lights black
Heads bang
You're my drug
We live it
You're drunk, you need it
Real love, I'll give it

So we're bound to linger on
We drink the fatal drop
Then love until we bleed
Then fall apart in parts

You wasted your times
On my heart
You've burned
And if bridges gotta fall
Then you'll fall too

Doors slam
Lights black
You're gone
Come back
Stay gone
Stay clean
I need you to need me

So we're bound to linger on
We drink the fatal drop
Then love until we bleed
Then fall apart in parts

Now we're bound to linger on
We drink the fatal drop
Then love until we bleed
Then fall apart in parts

9
Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« le: mercredi 19 août 2015, 08:18:36 »
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10
L'Art / Re : Faîtes-moi une bôôôté!
« le: lundi 17 août 2015, 21:50:53 »
Approuvé et adopté, un grand merci à vous deux o/

11
L'Art / Re : Faîtes-moi une bôôôté!
« le: lundi 17 août 2015, 02:12:07 »
Waaah, genre j'ai droit à deux graphistes qui travaillent en équipe, quel privilège o/

En fait Joana, comme je disais ce genre d'effet j'aime bien, je l'attribuerais juste pas à mon détective esclavagiste. Ce serait passé crème sur des persos qui ont un bon fond comme Hitomi ou Tokito, en revanche.

12
L'Art / Re : Faîtes-moi une bôôôté!
« le: dimanche 16 août 2015, 20:02:02 »
Mh, pour être franc les effets du cadre me paraissent un peu... Féériques?

J'aime bien hein, ça collerait même à certains de mes persos, mais c'est pas vraiment dans les tons que j'attribuerais à Nath' =X

13
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 12 août 2015, 17:47:32 »
J'ai passé ma journée à changer la disposition des meubles dans ma piaule. Fallait juste que ça tombe le jour où il fait chaud, lourd, où on se paye trois pannes de courant et où on tombe à court de soda.

"Dude, avec toi vous tombez à court de soda tous les deux jours!"

17h47

14
L'Art / Re : Re : Faîtes-moi une bôôôté!
« le: mardi 11 août 2015, 15:14:44 »
"I fucking love benefits!"

Ouiii, battez vous pour ma reconnaissance o/

Et sinon, Tour Montparnasse Infernale.

Mec, je l'ai même pas fait consciemment.

15
L'Art / Faîtes-moi une bôôôté!
« le: lundi 10 août 2015, 21:44:20 »
... Vous vous en doutez, ceci est un énième topic de demande de kits. D'ailleurs on devrait songer à les effacer quand ils sont résolus parce que sans déconner, ça sert grave à rien de les garder et

Bref, je voudrais refaire une beauté à Nathéo avec un joli kit étou, le problème c'est que je suis plus doué pour trouver des images que pour les modifier.

Donc, pour le matos fourni:



Ce sont les deux options de base pour l'avatar. Celle de gauche est la même que l'actuel parce que pour être franc je l'aime beaucoup et donc ça me dérangerait pas de le réutiliser. Mais quitte à avoir un kit assorti, mieux vaut avoir l'image de base. J'aimerais cependant que celle de droite figure dans le kit d'une façon ou d'un autre, que ce soit avatar ou signa, en transparence, en débordement peu importe, mais je la veux. Elle représente pas mal le côté détective de Nath' à mes yeux.

Le reste, pour les créatifs qui veulent avoir de quoi piocher:



A noter cependant que toute trace de katana doit disparaître: Nathéo est bien des choses, mais pas un épéiste.

Pour le détail, la couleur dominante doit être bleue et j'aimerais quand même voir figurer la rose bleue et des ronces (Les ronces pourraient même servir de cadre). Si la signa est pas trop surchargée, vous pouvez y mettre le "Be grateful, be honest, be precious, be mine!" qui est dans ma signa actuelle et moche et que j'ai écrit ça à l'arrache dedans  histoire de dire.

Faites-le et vous gagnerez euh... Ma reconnaissance. Et beaucoup d'autosatisfaction. Et vous aurez fait une bonne action. Donc vous irez au paradis des joueurs de hentai, où on peut avoir des tentacules et s'enfoncer des pastèques entières dans la ch

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