Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Otto Schultz

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1
Il n'arrivait pas à s’arrêter de sourire, la regardant, admirant son visage en l'écoutant rire avec lui, trouvant ce son des plus doux et plaisant, qu'est ce qu'il aimerait pouvoir l'entendre tout les jours qui lui sont donnait de vivre se dit-il en cet instant. Puis il l'écouta lui répondre qu'elle allait donc vite arranger le fait que son ventre réclamer encore de cette délicieuse nourriture, la voyant tendre de nouveau une bonne portion dans ses ustensiles, ouvrant la bouche pour déguster cela avec grand plaisir à nouveau

Elle se mit ensuite à s'excuser, lui disant que cela devait être froid et ajoutant qu'elle allait bien s'occuper de lui pour se faire pardonner. Il manqua de s’étouffer sous ses mots, rougissant un peu en avalant sa dernière bouchée, se disant que, heureusement qu'aucune personne de sa compagnie n'était là à cet instant, il déformerait à coup sur ses propos et les taquineraient jusqu'à la mort. Déglutissant une dernière fois, un vint déposer un doux baiser de nouveau sur la joue de la lapine, venant alors lui dire d'une voix douce.

" Ne t'en fait pas, c'est parfait, tu .... tu es parfaite."

Lui avoua t-il en même temps, continuant donc son repas avec un grand plaisir, mais non sans hâte de savoir ce que leur avenir proche allait leur réserver.

2
Le sourire qu'elle lui offrit en lui disant qu'elle allait s'occuper de récupérer son assiette le fit fondre encore une fois, un sourire tendre venant se coller sur son propre visage. De la où il était, il ne risquait  pas de pouvoir voir son décolleté et, même s'il aurait put  sûrement apercevoir la fin de ses bas et la peau de ses cuisses se dévoiler, son regard c'était en réalité porté sur sa petite queue blanche si mignonne qui lui paraissait si douce, mais surtout, qui l'amusait de la voir frétiller de joie.

Bien sûr, avec toute les pensées peu recommandable qui lui passèrent par la tête, il se mit à rougir et à prendre un coup de chaud avant de se mettre mentalement une gifle en remontant son regard avant qu'elle ne revienne s'asseoir sur lui, lui souriant toujours et même un peu plus quand elle lui dit avoir tout récupéré, ayant hâte de penser à autre chose grâce à elle et à manger aussi.

Quand elle lui fit fasse de nouveau, il ne pouvait pas se mentir, mais, l'envie de l'embrasser était devenue bien plus forte, comme si, chaque fois qu'il pouvait de nouveau voir son visage angélique, son sourire si ravissant, il avait envie de sentir ce que ses lèvres pouvait avoir comme goût, si cela se rapprochait de ce qu'il ressentait pour elle, de ce qu'il imaginait, mais, bien vite, il dut revenir hors de ses pensées, venant à ouvrir la bouche pour commencer à prendre son repas. Il engloutit sa fourchette sans difficulté, toujours en souriant et en mâchant tranquillement, se disant tout de meme que le plat avait quelque peu refroidis, mais qu'elle avait raison

" Oui, c'est bien meilleure et je sens que mon estomac va vite en réclamer à nouveau."

Dit-il en riant joyeusement auprès de celle qu'il aimait.

3
Il riait toujours gêné sous ses mots, même si, il était rassuré, car, dans un sens, c'était un geste assez intime à ses yeux qu'il venait de faire, passer son doigt sur ses lèvres, en y repensant, il se rendit compte de la sensation que cela lui avait donné, de la douceur de sa peau et de sa bouche sous ses doigts, qu'il en déglutis lourdement en prenant chaud.

Mais il fut tiré de ses pensées quand la belle margaliti se mit à lui tirer le bras, il se laissait totalement faire, n'opposant aucune résistance sous ses adorable petite main si délicate à ses yeux alors qu'il pouvait l'entendre le rassurer sur son geste, lui disant même que cela lui avait plut, que cela l'avait touché. Sur ses mots, et même sous les suivant, son regard se porta sur les lèvres de la lapine, son cœur bondissant dans son torse, un désir grandissant en lui, ce désir de savoir si, comme sur son pouce, ses lèvres seraient tout aussi douce contre les siennes ou peut être même plus et quel goût elles avaient.

Mais sous sa nouvelle phrase, il cligna des yeux rapidement pour revenir à la conversation, riant un peu pour chasser ses pensées en remontant son regard dans le sien, souriant d'autant plus en admirant ses prunelles avant de lui répondre

" Euh .. o .. oui, oui je .... enfin ça ... oui."

Plus pris sur le fait, il n'y avait pas, car dans sa tête se mélangé d'autre pensées, tel que le fait que, c'était surtout ses lèvres qui lui donnait faim, mais, il s'efforça à se secouer mentalement les méninges pour ne pas penser qu'à cela et revenir à la réalité, reprendre ses esprit, tournant son regard un instant vers la deuxième assiette.

" Il ... il va falloir que tu attrape ton assiette pour moi alors, parce que ... elle est un peu loin pour que je le fasse."

Dit-il sur un ton joviale et réaliste, car, s'il voulait l'attrapait, il risquait de la presser entre la table et lui pour cela et il n'avait pas envie de risque de lui faire mal ou de la faire tomber.

4
Il souriait simplement en soufflant légerement du nez quand elle lui rétorqua que oui, peut être que ce n'était que la première fois qu'elle mangeait ici, mais, par rapport à ses premières bouchée, cela restait meilleure ainsi. Puis, sous sa prochaine phrase, elle l'amusa beaucoup, l'entendant lui dire qu'elle voulait voir si son sourire deviendrait plus .... souriant, quand ce serait à son tour de lui donner à manger.

" Je sourirais toujours plus à chaque moment passé avec toi."

Lui dit-il d'un coups, sorti droit de son cœur, sans aucune réflexion, seulement ce qu'il ressentait pour elle. Le repas continua donc tranquillement, comme sur un petit nuage, plus que ravis de pouvoir s'occuper d'elle, de pouvoir la chouchouter, sentant son cœur battre chaudement pour elle sous chacun de ses sourire, sous chacun de ses regard et de ses bruit de plaisir, complètement gaga d'elle. Il se mit donc à s’enquérir de savoir ce qu'elle avait pensé de cette expérience et fut plus que ravis et rassuré de l'entendre lui dire qu'elle avait trouvé cela superbe, riant doucement sous ses mots. Il venait de remarquer quelque chose à cet instant, regardant les lèvres de la demoiselle, mais, il n'eut le temps de dire quoi que ce soit qu'elle lui posa de nouveau des question, voulant savoir si ce petit moment lui avait plut à lui aussi. Son sourire eut un spasme, s’agrandissant sous ses mots avant de hocher la tête vivement pour lui répondre

" J'ai adoré."


Dit-il, simplement, une phrase courte, mais sortie toute naturellement. Mais bien-sur, comme elle le disait, c'était à son tour de manger, alors, il lui répondit en riant

" Oui, j'ai toujours faim, ne t'en fait pas, mais avant."

Son regard était toujours rivé sur ses magnifique lèvres et, maintenant qu'il avait reprit la parole, il put enfin faire ce qu'il souhaitait. Il rapprocha sa main droite de son visage, venant caresser délicatement sa joue à son contact avant de laisser son pouce passer sur le coin de sa bouche, venant retirer un grain de riz qui était resté collé à cette endroit, ensuite, sans réfléchir, comme pour ne pas gaspillé, il porta son pouce à sa propre bouche pour venir manger le dit grain de riz, venant a réaliser après cela les gestes qu'il venait d'avoir, il se mit à rougir, gêné en reprenant vite la parole

" JJe ... ex .. excuse moi ... c'était, je ... je n'ai pas vraiment réfléchit "

Puis, il se mit à rire quelques peu gêné de son geste, se frottant la nuque en la regardant.

5
Il lui tendit avec joie sa fourchette chargé d'un bon repas pour elle, voulant qu'elle se nourrisse en première, voulant être sur qu'elle mange à sa faim. C'était un traumatisme qui le poursuivait, la peur de manquer de nourriture, la peur de devoir à nouveau subir une faim si fort qu'elle en était douloureuse et, il ne voulait surtout pas que cela lui arrive aussi, alors, il voulait être sur qu'elle aille bien, qu'elle profite autant qu'elle le puisse. Son sourire ne le quitta pas en la regardant prendre en bouche sa fourchette, en admirant son visage si lumineux, si beau, son petit gémissement de joie sous le plat qu'elle mangeait ce qui fit s’agrandir son sourire, si heureux qu'elle aime cela.

Il se mit à rire doucement alors qu'il reprenait à manger pour elle, venant lui répondre

" Après, c'est aussi la première fois que tu mange ici, mais je suis content que tu aime ça et ... je .... j'adore ton sourire quand tu mange quelque chose que tu aime."

Lui avoua t-il, la trouvant si belle et lumineuse en cet instant. Ensuite, il continua, coupant de petit bout de cote d'agneau, alternant ou mélangeant les aliment avant de les lui donner, jusqu'à finir l'assiette la plus proche, prenant le temps, le temps qu'elle voulait pour manger et mâcher, le temps pour l'admirer, pour sentir cette envie de l'embrasser monter en lui, sentir cette chaleur de l'avoir contre lui monter en lui, ce plaisir et ce désir que cette proximité lui offrait. Bien-sur, il faisait aussi attention à ce qu’elle boit, ne voulant pas qu’elle s’étouffe avec son plat. Une fois l’assiette bien fini, il reposa les couvert dedans, puis lui dit

" Alors ? Cela t'a plut ? "

6
Son sourire fut d'un coup plus franc lorsqu'elle confirma que oui, ce qu'elle disait était vrai et, cela lui fit un bien fou, car c'était la première fois que l'on lui disait, c'était la première fois qu'il pouvait se dire que, sa présence auprès de quelqu'un la rendait heureuse.

Puis, avec tout cela, il devança la demoiselle dans ses souhaite de vouloir le nourrir, profitant de sa position pour venir couper à manger pour la demoiselle et venir lui tendre un bout de cote d'agneau, un grand sourire au lèvres. Il avait beaucoup aimé la sentir se serrer contre lui, la douceur de son corps contre le sien, la chaleur de sa présence contre lui, lui offrant un plaisir immense qui se lisait facilement sur son visage.

Mais le moment qui lui plus le plus fut de la voir sourire grandement, de voir ses si belle lèvres s'étirer sous son repas, l'admirant totalement en cet instant avant qu'elle ne lui dise que c'était trop bon et qu'il avait donc raison, ce qui ne manqua pas de le faire rire. puis, quand elle finit par ajouter une autre phrase à laquelle il ne put s’empêcher de répondre

" Je pense que le mélange des deux est encore mieux non ? "

Riant joyeusement avec elle en admirant ce sourire sur le visage de la belle Margaliti qui l'avait tant conquis. Là, elle lui demanda si il pouvait lui prêter ses couvert afin de lui rendre la pareil. Mais, Otto, taquin comme il était, hocha la tête à la négative, venant lui dire

" Tututu  .... tant que ton assiette ou plutôt la mienne, n'est pas vide, c'est à toi de manger."


Venant alors se pencher pour venir prendre dans sa fourchette une portion de l'assortiment fournis avec les cotellettes avant de le lui tendre, un regard amoureux et un sourire apaisé au lèvres en l'admirant.

7
La douceur de sa peau sous ses lèvres, la chaleur de sa joue, cela avait été très agréable pour lui de sentir cela, le faisant grandement sourire en voyant ses petites pommettes si proche se mettre à rougir de son geste, l'amusant énormément.

Puis, les nouveaux mots de la lapinette vint le toucher énormément, son sourire tremblotant d'émotion avant de lui répondre.

" C'est ... c'est vrai ? "

Il avait envie d'y croire, mais en meme temps, cela  paraissait si important à ses yeux qu'il avait du mal à le faire, à être sure que ce qu'elle disait était vrai, tandis que, quelques secondes plus tard, il fut tiré hors de ses pensées quand il sentit le pelage doux et touffu de sa queue se trémoussant, caressant le dos de sa main, trouvant cela très agréable, mais surtout, adorable et amusant, le faisant caresser un peu son dos en réflexe à cela, restant juste entre son pompom et son dos. Puis, après ces révélation touchante, elle se mit à lui parler de la suite de leur soirée, ou plutôt de leur repas, le faisant hocher de la tête, acceptant sa proposition avant de lui dire

" Rester ici avec toi me rend déjà heureux, mais ... d'abord. "

Ses mains relachèrent la belle demoiselle, venant se pencher un peu en avant pour atteindre son plat, venant couper un bout de cote d'agneau, ce qui le fit se coller d'autant plus à elle, puis, il ramena sa fourchette vers elle, la regardant amoureusement avant de lui dire

" Toi d'abord."

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Quand elle prononça son prénom, son cœur s'emballa de nouveau, attendant impatient, nerveux, de savoir ce qu'elle allait lui dire. Chaque mot de sa part en valait dix de certains, chacun avait un poids immense sur son cœur, sur son âme meme. Elle commença en cherchant à le rassurer, le faisant sourire sous ses mots, sous la douceur de sa voix, sous son regard, desserrant doucement son étreinte autour d'elle en perdant lentement sa peur de la voir fuir. Puis, il fut des plus ravie en la sentant frotter à nouveau son petit nez sur le sien, le faisant grandement sourire sous ce geste si agréable à ses yeux.

Il se mit à rire doucement sous ses mots, l'entendant lui dire qu'elle serait ravis de lui piquer à manger, mais aussi de lui donner à manger, ce qui lui fit vraiment chaud au cœur, n'ayant jamais connu cela a part au bord de la mort, quand les dames de camps devait s'assurer qu'il ne meurt pas. il se mit à rire un peu, laissant tomber un peu sa tête en avant, puis, la regardant de nouveau, il lui dit d'une voix des plus douce qu'il puisse

" Tu ne m'a pas blessé, ne t'en fais pas et .... je t'aime .... je t'aime tellement je .... "

Il déglutis d'un coup lourd et long, n'ayant jamais dévoilé autant de sentiment de sa vie, cela était dur, effrayant meme, mais, il voulait le lui dire, elle en avait le droit

" Je veux te rendre heureuse aussi, autant que je le peux. "

Ensuite, sous ses mots, il vint se pencher un peu en avant, venant à craquer sur ses principes, se disant que, ce ne serait pas mal vu ainsi, déposant à son tour un baiser sur la joue de la demoiselle. Attendant de voir sa réaction à cela, ayant totalement oublié le monde autour d'eux et, sûrement Hilda caché quelques part en train de les épier .

9
Ses mots le touchaient beaucoup, un sourire timide et  presque gêné. Lui qui était tant tourné à vouloir que tout soi parfait pour elle, en avait oublié que, peut être, juste le fait d’être ensemble tout les deux serait amplement suffisant pour atteindre ce point. Il avait un peu honte de lui en cet instant, mais, il tenta de le cacher, de ne pas le laisser paraître, il ne voulait pas mal paraître devant elle, jamais et pourtant, il avait tant de défauts à ses yeux qu'il se disait que cela serait impossible.

Mais, il voulu tout de meme se changer les esprits, chassant ses mauvaises pensées en croisant le magnifique regard de la jeune femme si près du sien, si beau, si .... parfait. Là il trouva un moyen de changer de conversation, venant à plaisanter sur le fait qu'elle souhaiter manger ainsi, disant que c'était sûrement pour avoir l'excuse de piquer dans son assiette. Mais apparemment, il était bien trop convaincant à son goût, car ce fut l'effet contraire de ce qu'il souhaitait qui apparut sur le visage de celle qui avait volé son cœur, la voyant gêné, puis, désolé avant de l'écouter s’excuser.

Il tenta bien de l'interrompre pour le lui faire comprendre mais, il n'y arriva pas, ses mots ne trouvant de temps entre les siens, alors, a la fin de ses paroles, alors que son cœur se serrait douloureusement dans son torse, ayant l'impression de lui avoir fait du mal sous cette plaisanterie, ses bras se resserrèrent naturellement autour d'elle, comme pour l’empêcher de partir, l’empêcher de fuir, l’empêcher de disparaître de sa vie.

" Excuse moi je .... c'était juste une plaisanterie, c'est ... on m'a dit que c'est souvent ce que font les personnes qui sont ensemble, se piquer à manger dans l'assiette l'un de l'autre tout en trouvant des prétextes pour cela. Excuse moi si je t'ai blessé."

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 Il se mit à rire doucement sous la remarque de Margaliti au fait que oui, ce repas n'était pas que pour elle non plus, mais bien sur, il ne put s’empêcher d'y répondre, voulant tout de meme que ce soit surtout tourné pour son bien être.

" C'est vrai oui, mais c'est la première fois que tu mange ici, ce serais dommage de gâcher ça non ? "

Lui demanda t-il un instant. Mais bien-sur, l'envie de la laisser partir n'était pas là, bien au contraire, cependant, il ne pouvait pas la retenir, ce n'était pas bien à ses yeux, alors, il avait desserré ses bras pour la laisser s'en aller quand elle se sentirait de le faire. Mais pour le moment, cela n'avait pas l'air d’être le cas, la sentant continuer de frotter délicatement son front contre le sien, continuant à lui donner très chaud, l'entendant alors reprendre lui lui demandant si cela serait bizarre si elle restait là. Il pencha un peu sa tête en l'écoutant, la sentant resserrer son étreinte sur lui, sentant son corps plus pressé contre le sien, son cœur battant la chamade alors que ses respirations se faisaient lourde en pressant contre elle.

Lorsqu'elle s'excusa, il ne put s’empêcher de rire doucement, son torse sautillant contre elle sous son humeur avant de venir lui

" Je trouve qu'il y a plus bizarre que ça et puis, ça ne fait pas de mal."


Oui, il n'avait jamais mangé avec quelqu'un sur ses genoux, donc c'était un peu étrange, mais en meme temps, il s'en fichait un peu, les gens faisait bien plus bizarre tout les jours et beaucoup moins innocent à ses yeux, alors, il ajouta

" Ce ne sera juste pas très pratique pour manger, en tout cas pour moi."

Ajouta-il en riant d'amusement d'avance sur ses futur tentative si elle choisissait de rester, parce que oui, avec quelqu'un sur soi, cela limitait la longueur de son allonge pour chercher son repas et surtout, l'assiette de la demoiselle se faisait bien loin pour elle aussi. C'est alors que, il eut une illumination, clignotant des yeux un instant avec de lui dire avec amusement

" Tu veux juste picorer dans mon assiette en fait c'est ça ? "

Bonne stratégie de sa part que d'agir ainsi, mettant totalement à défaut le mercenaire qui ne pouvait en aucun cas riposter face à elle, beaucoup trop envoûté.

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Otto avait très envie de la garder comme ça contre lui, de garder dans ses bras, de sentir son poids, sa présence, sa chaleur et son délicieux parfum encore très longtemps. Il n'avait jamais put ressentir cela, ce sentiment si fort, beaucoup plus que toute les fois où ils avaient dansé ensemble. C'est la sensation d’être aimé, cette affection, cette proximité, tout ce qui faisait de cette instant qu'il n'avait jamais eut le droit d'avoir avant, qui le chamboulait entièrement. Cela lui faisait un bien fou, peut être meme trop, car tout son corps en réagissait, sa respiration lente et lourde, son cœur battant avec force et vitesse, sa température montant et ses hormones venant à le travailler, se faisant se sentir serrer dans ses vêtements.

Mais, il y avait bien un mais, s'il devait rester ainsi, leur repas allaient refroidir et, cela serait dommage, surtout au vu de la qualité des plats. Alors, Otto le lui dit, mais, vint rapidement rire en l'écoutant s'excuser et se morfondre dans ses bras où il répondit

" Tu n'a pas à excuser, c'est simplement une indication, ce serait dommage que tu ne puisse pas profiter d'un repas bien chaud."

Mais oui, il n'avait pas bien envie de finir cet instant si doux non plus, ses bras se resserrant un peu autour d'elle, pouvant sentir sa silhouette a travers ses vêtements, collé l'un contre l'autre. Elle vint de nouveau le chatouiller, mais cette fois, ce ne fut pas avec ses oreilles, mais, avec ses cheveux, alors qu'elle frottait son front contre le sien. Il ne put s’empêcher de déglutir lentement, le cœur battant plus fort sous la proximité de son visage, si beaucoup, si attirant, sous son regard si proche, sous son odeur enivrante et ses lèvres qui lui donnait tant envie.

Il avait encore plus envie de l'embrasser en cet instant, une envie dévorante, presque possédé par celle-ci, mais, il savait que ce ne serait pas bien, devant tant de monde et sans sa permission, alors, il utilisait toute sa volonté pour ne rien faire, malgré cette envie puissante qui courrait en lui.

" Malheureusement oui. "


Dit-il simplement d'une doucement voix en l'admirant, desserrant lentement ses bras comme pour lui laisser la possibilité de pouvoir retourner sur sa chaise.

12
Son cœur toujours affolé, son corps brûlant, lui envoyant vagues après vagues des hormones dans tout son corps sous la présence si proche de la belle jeune femme sur lui, il déglutissait lourdement, alors qu'il la sentait resserrer son étreinte tout en frottant sa tête contre son épaule et son cou. Heureusement pour lui, ses pensées furent gêné alors qu'il sentit, sous les mouvements de tête de la lapine, ses grandes oreilles venant frôler son visage, son pelage caressant sa joue ainsi que son nez, laissant quelques poil blanc chatouilleur se poser dessus. Il tenta d'agiter son nez pour faire partir ce dit poil qui le chatouillait et menaçait de le faire éternuer, mais sans grand sucés.

Puis, son attention fut de nouveau tourné sur la demoiselle, la sentant pivoter sa tête contre lui pour de nouveau pouvoir apercevoir son doux visage ce qui ne l'aidait pas à calmer tout ce qui se passait dans son corps. Si proche, si beau, pouvant, voir à cet instant, le moindre détail de son visage, de ses yeux, de ses lèvres, son regard, ses petites larmes accroché à ses joues. Ensuite, la demoiselle ne put se retenir de venir lui infliger de nouvelle sensation, lorsqu'elle lui avoua que c'était à cet instant le plus beau jours de sa vie, avant de déposer un nouveau baiser sur sa joue. Elle pouvait très bien voir ses pommettes rougir et tendu par son sourire, sa respiration saccadé trahissant sa joie à cet instant. Il avait envie de l'embrasser lui aussi, il en avait très envie, mais, il n'osait pas, elle arrivait à le rendre beaucoup trop timide, elle arrivait si facilement à le déstabiliser.

Sa gorge se serrait alors que son regard oscillai entre celui de la belle lapine et ses lèvres qui lui paraissait si douce, qui lui donnait envie de sentir contre les siennes, mais, il se reprit, s'éclaircissant la gorge en continuant de lui sourire

" Je .... c'est .... je suis très heureux de l'entendre et ...... "

Il se mit à rire pour détendre un peu l’atmosphère ou plutôt pour se détendre lui

" Je crois que l'on va finir par manger froid."

13
Est ce qu'Otto s'était attendu à cela ? Non, pas le moins du monde. Elle le prit totalement par surprise lorsqu'elle vint s'asseoir sur lui en le serrant fort dans ses bras, venant presque faire exploser son palpitant dans son torse sous ce geste, les yeux ouvert en grand et les bras tout autant ouvert, figé pendant un instant en ne sachant pas du tout quoi faire. Il y a déjà eut des femmes qui se sont assise sur ses genoux dans diverse taverne, mais, aucune qui était elle, aucune qui avait réussi à voler son cœur, ses pensées et son âme.

Le cœur à cent à l'heure, les paupières clignotante, la chaleur étouffante, le parfum enivrant de la lapine juste sous son nez et la douceur de sa présence sur lui, il en bégaya un bon petit moment alors qu'elle se mit à lui demander si ce qu'il venait de lui dire était vrai

" Euh ... b..b bah . "


Fut les premier " mots " qui sortirent d'entre ses lèvres, le temps de se reprendre et d'analyser ce qu'elle venait de lui demander. Puis, quand tout fut de nouveau connecté dans sa tête, quelques secondes plus tard, il reprit en s’éclaircissant la gorge dans un premier temps

" B-bien-sur, je n'ai jamais abandonné personne, je ne vais pas commencer avec toi ... sûrement pas et ... encore moins si... si ...bah ... on est .... une famille."

C'était l'une de ses plus grande angoisse, ce qu'il cherchait à éviter coûte que coûte, faire subir ce qu'il avait subit, abandonner quelqu'un, que ce soit un ami, une connaissance de confiance, sa famille et, bien-sur, Margaliti. Là, doucement, ses bras commencèrent lentement à ses rapprocher, respirant lentement, mais fortement, ne sentant presque plus que l'odeur de la douce lapine, sentant ses cheveux contre son visage, le poids de son corps sur et contre lui, c'était si agréable, tel un rêve, un geste qu'il avait toujours fantasmé, il se mit donc à venir faire ce qu'il avait toujours rêvé. Ses bras continuèrent donc de se refermer, venant se poser doucement sur elle, venant l'enlacer délicatement au niveau de son dos, faisant tout de même attention à ne pas placer ses mains de façon inapproprié pour une jeune femme, déja que, sous les émotions qu'il ressentait pour elle et le peu d'experience qu'il avait dans la vie adulte ainsi que le fait de parler d'avoir des enfants avec elle, un effet se faisait présent, mais, sous l'émotion il ne s'en rendait pas compte.

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Il souriait doucement sous ses mots, ses excuses, l'écoutant en attendant de pouvoir lui dire qu'elle n'avait pas à s'excuser pour cela. Elle se mit à le flatter, beaucoup, lui donnant les qualités qu'elle voyait en lui, ce qui le touchait beaucoup, le faisant baisser la tête sur son plat qui refroidissait devant eux. Mais, malheureusement, la douce lapine avait elle aussi beaucoup de doute sur elle meme et, contrairement à sa beauté qui rappelait temps le printemps et l'éclosion des fleurs à ses yeux, son   passé  n'était pas des plus doux.

Tout son attention était tourné sur elle, venant boire ses mots qu'elle lui confiait douloureusement, ça, il l'entendait et le voyait bien, venant alors, poser à son tour sa deuxième main sur les siennes comme pour la soutenir, d'autant plus touché qu'elle se livre à lui. Il avait très mal pour elle et, en meme temps, il était aussi en colère contre sa mère pour l'avoir abandonné, pour lui meme, il pouvait comprendre que ses parents n'est pas voulu de lui, il devait sûrement être un bébé horrible, mais pour elle, il n'arrivait pas à imaginer cela, juste en la regardant, il ne pouvait pas voir de raison valable pour une bonne personne, d'abandonné Margaliti.

Puis, elle lui fit par de doute à son tour, le doute d’être une bonne mère, de peut être, abandonner à son tour ses enfants. Le réflexe d'Otto fut plutôt étrange, peut être meme stupide, mais, il se mit légerement à rire, la regardant, continuant de tenir les mains de la lapine dans ses mains avant de lui répondre.

" ça ce n'est pas possible."

Il souriait, comme à son habitude quand il devait rassurer les autres ou, réconforter quelqu'un, malgré tout ce qu'il pouvait ressentir ou vivre, il souriait pour eux, venant ensuite par reprendre.

" Tu es la personne la plus douce, gentille, attentionné, la plus tendre et tu a tellement de compassion pour les autres, ce n'est pas possible."

Il essayait de capter son regard, se penchant pour l'attirer afin de reprendre. demandant un instant

" Tu sais pourquoi j'en suis convaincue ? "

Il lui laissa quelques secondes à cet instant pour réfléchir, pour lui offrir une réponse, puis, il lui donna la sienne.

" Parce que toi tu souhaite déjà en avoir, tu souhaite avoir des enfants et tu a peur de leur faire du mal, donc, tu ne leur en fera pas. Tu ne sera pas comme elle, tu sera la  meilleure mère du monde et puis, de toute façon je serais là."

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Il lui souriait timidement alors que, un silence venait de s'installer entre eux. Il se demandait en cet instant ce qu'elle pouvait penser, commençant lui, de son coté, à douter de lui meme, de beaucoup de choses, ayant un peu peur de sa réponse. Il n'était pas aveugle, il la voyait bien fermer les yeux en cet instant, se demandant alors si, il avait peut être posé cette question trop tôt, son palpitant prenant un rythme désagréable dans sa poitrine. Il se mit presque à reprendre la parole pour lui dire d'oublier ce qu'il venait de demander, mais, c'était trop tard, car la demoiselle avait rouvert les yeux, voyant de nouveau ses prunelles posé sur les siens, sentant sa deuxième main caressant la sienne  avant qu'elle ne prenne la parole.

Otto prit une grande bouffée d'air frais de nervosité, se détendant en l'entendant reprendre et surtout en entendant des notes positive, l'écoutant attentivement. Il souriait sous ses mots, hochant doucement la tête avant de se mettre à rire sous la fin de sa première phrase, venant lui répondre

" Je pense que je devrais pouvoir y arriver en effet."

Il aimait beaucoup les caresses qu'elle faisait sur sa main, la douceur de ses doigts, de ses mouvements, la tendresse qu'il en ressentait et, il trouvait cela amusant aussi de savoir qu'il était donc le plus âgé entre eu deux. Mais voila, il était temps pour la demoiselle de répondre à une question plus épineuse, celle de leur avenir entre eux. Il avait une vie des plus compliqué, il n'avait connu que ça, alors, autre chose, c'était le grand inconnue à ses yeux.

Il put donc l'écouter tenter de lui répondre, bégayant, voyant ses oreilles descendre sur sa tête, ce qui, encore une fois fit un effet yo-yo sur le cœur du mercenaire, s'attendant à quelque chose de mauvais alors qu'elle se mettait à éviter son regard pour lui répondre. Là, lui aussi se mit à déglutir, tendu, tandis qu'elle trouva le courage pour y répondre et, ce qu'elle lui dit eut l'effet d'une bombe. Cela lui fit si chaud au cœur d'entendre qu'elle souhaitait rester à ses cotés, qu'elle souhaitait vivre avec lui, mais, ce qui le déstabilisa le plus était la fin de sa phrase.

Avoir une famille à eu deux. Son imagination se mit à tourner à cent à l'heure, alimenté par son palpitant qui était en effervescence. Elle se voyait donc avec un enfant avec lui, un ? deux ? combien ? Est ce qu'ils auront ses mignonnes petites oreilles ou plutôt les siennes ? Mais, il se mit à rougir grandement quand surtout, il se rappela qu'il fallait bien passer par une certaine étape pour avoir des enfant, quand ceci ne sont pas comme lui, adopté. Il déglutissait lourdement alors que bien des pensées, autant positive, tourné vers la demoiselle, que négative, tourné vers lui, traversaient encore et encore sa tête. Il se mit à rire nerveusement, venant se frotter l’arrière de la tête un instant en regardant ailleurs avant de venir boire à nouveau dans sa choppe pour faire descendre le coups de chaud qu'elle lui avait donné. Ensuite, reposant sa choppe sur la table, déglutissant une dernière fois, il prit enfin la parole à son tour

" Je .... c'est .... j'en suis très très touché aussi ... et je ....ça me plairait beaucoup aussi de.. de fonder une famille avec toi ... c'est juste que ...."

Elle allait sûrement le prendre pour un idiot, de baisser dans son estime ou mal le prendre, mais il préférait être franc avec elle, ne pas la faire souffrir inutilement ou autre, alors il finit par lui avouer

" Je ne sais pas ... si ça se trouve je ne serais pas un bon père je ... je n'ai jamais connu mes parents donc j'ai ... j'ai un peu peur d'etre tres mauvais."

Il ne lui en avait jamais parlé, mais, voila, il se dit que maintenant qu'il discutait de choses sérieuse entre eux deux, ainsi que de leur futur, leur passé devrait être lui aussi important.

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