Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Sherny

Pages: [1] 2 3 4
1
Le coin du chalant / Re : Une américaine au Japon, carnet de voyage
« le: jeudi 08 août 2024, 12:52:26 »
Je m'excuse auprès de mes partenaires, je ne vais pas pouvoir répondre avant mardi/mercredi, c'est ça quand la famille arrive à l'improviste. À plus  :D

2
C'était un travail de colosse pour ne pas baisser mon regard pour regarder ce que Takezo cachait sous cette serviette et mon coussin. Mon bras pendait dans le vide, essayant de trouver plusieurs angles pour être sûr de ne pas louper mon coup. 

- Après l'émission ? 

Je me tourne pour regarder la télévision et voir ce qui se passe, je n'y avais pas fait attention jusqu'ici. 

- C'est l'émission avec les humoristes, c'est ça je crois, oui, tu peux finir de regarder si tu veux. Je crois que ça dure encore une bonne demi-heure. 

Ça n'allait pas me déranger qu'il reste avec moi. De mon côté, j'avais assez filmé, je remontais mon téléphone pour aller dans la galerie pour me mettre à visionner mes images. Qu'est-ce qui se cachait là en dessous ? Mon visage restait de marbre, je me retenais de ne pas ouvrir mes jeux en grand, de ne pas ouvrir ma bouche ou me la pincer… Rien ne pouvait transparaître à ce niveau, ce qui n'était pas le cas plus bas. Mes tétons se dressaient encore plus sous mon T-shirt, tirant le tissu pour le déformer. Encore plus bas, au niveau de mes lèvres collées à mon tanga, c'était une tâche bien plus humide que les autres qui fit son apparition d'un coup. Et qui ne faisait que de s'étirer. J'avais plusieurs bouffées de chaleur qui me traversaient le corps à chaque fois que je voyais la taille de son engin qui se camouflait là. 

- Pas besoin de te presser, tu voulais finir de regarder ton émission Va-y. Tu iras prendre une douche après et, promis, je ne vais pas regarder quand tu iras à la salle de bain. 

Je n'allais pas le laisser s'échapper si facilement, aller prendre une douche le laisserait décompresser. Je voulais le faire monter en température et moi aussi, par la même occasion, j'avais toujours aussi chaud, surtout que je me repassais toutes ces images dans ma tête. J'en avais la gorge sèche. 

- Tu veux boire encore un verre ? 

Qu'importe ce qu'il allait me répondre, je me levais de ma chaise, lui offrant encore mes fesses pour aller à la cuisine. Je sortais deux verres d'un placard, une bouteille d'eau du frigo que je mettais sous mon bras pour pouvoir prendre la cafetière avec moi. Je ramenais le tout sur la table du salon, me penchant en avant pour poser ça. Je me servais d'un grand verre d'eau fraîche, que je portais à ma bouche pour tout boire d'un coup. La tête levée vers le haut, juste à côté du fauteuil, sûrement mon intimité humide à quelques centimètres de son visage, je ne voulais pas en laisser une goutte. J'étais si pressée que des ruissellements dégoulinaient sur mon cou pour tremper encore plus mon T-shirt.

- J'en avais besoin. Je vais regarder si j'ai des choses à grignoter. 


Encore un voyage à la cuisine, ça permettait de me calmer de bouger ainsi. Je prenais un paquet de biscuits et un autre de chips pour les apporter sur la table. 

- Sers-toi. 

Et cette fois, au lieu de retourner sur ma chaise, je me mettais à côté de lui. Je m’éventais d’une main en regardant la télévision. 

- Je ne me souviens plus ce que tu m'as dit sur le chemin : ça fait combien de temps que tu pratiques le judo ? 

Je lui laisse le temps de répondre avant d'ajouter. 

- Je fais beaucoup de sport depuis des années, mais je n'ai jamais eu l'occasion d'essayer le judo. 

Je me tournais vers Takezo pour me mettre à genoux sur le canapé à côté de lui. Dans cette tenue, je n'avais jamais été aussi proche de lui. Ma poitrine à quelques centimètres de lui. 

- Tu ne voudrais pas m’expliquer quelques prises simples à faire qu’on rigole ? Tu me dis, je les fais devant toi. 

Toujours agenouillée devant lui, je mettais mes mains sur les genoux : ma poitrine au milieu se gonflait d'un bloc à se faire compresser par mes bras. C'était pour lui l'occasion de me faire prendre toutes les positions qu'il voulait. 

3
Les alentours de la ville / Re : Autour d'un verre.
« le: lundi 05 août 2024, 21:31:36 »
Les jambes écartées en V. Kilian recommence avec ses coups de bassin, sauf que le ballon ne veut pas rester en place. Plusieurs fois, son bassin tape contre ma vulve sans que le ballon soit là. À chaque fois, je serre les dents pour ne pas crier. Je peux sentir cette pointe frapper à ma porte avec force ou contre mon clitoris quand il glisse vers le haut. Pour une meilleure tenue du ballon, il utilise mes fesses tout en profitant pour y plonger un doigt. Mes yeux s'écartent encore plus et mon corps se tend entre ses mains. Personne n'avait mis un doigt là de toute ma vie et Kilian doit le sentir… C'est serré dans ce trou. Le ballon éclate vite après ça, laissant ma porte de derrière tranquille. 

Je tombe au sol pendant que Kilian va chercher le dernier ballon, je souffle les joues rouges. Je n'en peux plus alors que je ne fais rien et je ne vais pas avoir le temps de m'en remettre : mon partenaire est déjà là pour accomplir la dernière position. Il me soulève pour poser mes fesses sur sa cuisse, lève ma jambe pour voir encore mon jardin secret toujours aussi humide. Le ballon est en place entre nous, sa main serre mes cheveux pour changer de prise et le bruit du ballon qui éclate. 

Je me mords la lèvre du bas en fermant les yeux, entre les mains de Kilian, il peut me sentir trembler de partout. Je le sens en moi, au plus profond de ma chatte, écartant tout sur son passage. Je ne respire plus raide pendant que les spectateurs applaudissent cette dernière phase. 

- Bravo, encore une fois, notre couple a été rapide. Ils prennent la première place du classement provisoire, de quoi mettre la pression aux autres participants. Reprenez vos souffles avant de laisser la place. 

Je peux sentir Kilian donner encore quelques coups en moi avant de se retirer, se servant de ma jupe pour remballer sa lame perforante. Il me repose sur le sol, je souffle toujours aussi fort, m'aidant à me redresser. Je n'ose même pas le regarder sans un mot, on s'écarte de l'air de jeu. Entre mes cuisses, ce sont les chutes du Niagahra, je sens de la cyprine couler le long de mes jambes. 

- Je… Je dois aller aux toilettes… 

Sans rien dire d'autre, je file, regardant honteuse les traces de cyprine que j'ai laissées sur le pantalon de Kilian. Si mon partenaire a fait attention, il peut remarquer que je ne pars pas du tout en direction des toilettes, je vais sur le côté du bâtiment me mettre à l'écart des autres invités. Je suis dans tous mes états, je ne sais quoi penser de toute cette histoire : si quelqu'un nous a vu pendant l'activité, j'ai pris du plaisir à me faire malmener comme ça et j'ai eu du mal à me l'avouer, ce doigt dans les fesses, c'était une première fois, mais ce n'était pas désagréable alors qu'on m'a toujours dit que la sodomie, ce n'était pas bien… 

Je lève ma jupe pour voir les dégâts, toute cette mouille qui coule sur l'intérieur de mes cuisses. Comment je vais faire pour enlever ça. Cul nu et celui-ci penché en arrière comme je courrais mon buste en avant, je réfléchissais à ce que j'allais faire pour nettoyer ça… Mais j'avais du mal à me concentrer tant mon minou brûlait de désir. Les idées confuses, je ne faisais pas attention à ce qui arrivait de derrière, penchée ainsi, la jupe levée : c'était une belle invitation à me faire ouvrir. 

4
Couchée sur le sol, j'entends mon nom au loin. C'est qui ? Je tourne la tête pour voir, mais je ne vois personne aux fenêtres. Est-ce le choc qui me donne des hallucinations auditives ? Suis-je tombée plus lourdement que prévu ? J'entends à nouveau mon prénom quelques secondes plus tard. Je tourne la tête immédiatement, tombant nez à nez avec une de mes voisines.

- Mademoiselle Hatamoto… Bonjour.

Je tire sur ma serviette pour camoufler mon corps comme je peux. Pour une journée de repos, ce n'était pas ça. Je redresse mon buste en me massant l'arrière de la nuque.

- Ça va, la chute a été un peu rude, mais rien de grave.

Je vois la main tendue de mademoiselle Hatamoto et la saisis pour me relever, en bouclant ma serviette devant moi. Mes fesses sont douloureuses. Je vois par terre la poche arrachée ainsi que des papiers.

- Merci, allons voir ça chez moi, si vous voulez bien ?

Je n'avais pas vraiment envie de rester en serviette plus longtemps dehors. Vu comme je venais de crier, des voisins curieux allaient peut-être venir aussi. Et je n'avais pas envie que tout le voisinage me voie ainsi. Je ramassai les papiers par terre, provenant peut-être du fuyard. On allait peut-être y trouver un numéro de téléphone, un nom ou une adresse. Je fis signe à ma voisine de rentrer chez moi, pendant que je la suivais pour fermer ma fenêtre.

- Ça ne doit pas être la première fois qu'il vient ici. J'avais perdu des culottes ; je pensais que le vent les avait emportées.

Mon appartement est petit et très simple, une cuisine qui fait aussi office de salon. Avec très peu de meubles, vu que je ne suis pas au Japon depuis longtemps.

- Je vous sers un verre le temps que je parte me changer ?

Je n'allais pas rester en serviette pour mener l'enquête sur notre individu.

5
Les terres sauvages / Derrière les buissons
« le: lundi 05 août 2024, 21:20:24 »
J'allais vivre aujourd'hui une aventure des plus inattendues, quelque chose que je pensais impossible. La journée avait commencé comme d'habitude. J'étais à l'université, et à midi, j'étais allée à la cafétéria me prendre un onigiri et une boisson pour manger vers le terrain de basket. C'était calme pendant le temps de midi, avec des coins d'ombre vers les arbres, ce qui était pratique pour réviser. J'avais mon cahier sur les genoux pour relire mon cours d'histoire. Posant le plastique de mon onigiri sur le côté, je n'avais pas anticipé le coup de vent qui allait l'emporter dans le sous-bois derrière. Je soupirai en posant mon cahier pour aller le chercher. En petite foulée, je courus le récupérer entre les buissons. Je poussai les branches en me penchant en avant pour le ramasser quand je sentis une force m'entraîner vers le bas. On aurait dit un aspirateur puissance 1000, je n'ai rien pu faire. Je me fis happer vers le sol avant de disparaître sans laisser de trace sur terre hormis mes affaires.

C'était le trou noir de mon côté, jusqu'au moment où je me fis recracher. Le soleil me brûlait les yeux alors que j'étais allongée sur le sol. Je me tortillai comme un ver, en me tenant la tête dans l'herbe.

Outch…

J'avais l'impression d'être passée dans un mixeur. Je me tournai difficilement sur les genoux pour me redresser. Je ne reconnaissais pas le lieu, ni les petites créatures qui étaient autour de moi. De la taille d'un renard, elles avaient des museaux allongés comme ceux des crocodiles. D'un geste de la main, j'en fis reculer un, et au dernier moment, il tenta de me croquer le doigt, révélant ses nombreuses dents. J'enlevai mon doigt juste à temps pour ne pas le perdre. C'est quoi ces bêtes ? Elles étaient nombreuses et semblaient décidées à me prendre pour casse-croûte. Je tentai de me lever, mais j'avais trop mal partout, me retrouvant clouée au sol à moitié nue, mes habits semblant s'être déchirés lors de la téléportation vers Terra.

6
Les alentours de la ville / Re : Autour d'un verre.
« le: lundi 05 août 2024, 16:40:10 »
On finit notre verre avant de retourner vers la première activité. De loin, je vois les positions à effectuer. Je me retourne avec un regard noir vers l'organisateur, comprenant qu'il m'a bien trompé. Il a un regard narquois, content de son coup.

- Vous êtes inscrits, si vous décidez d'abandonner, vous perdez aussi le premier lot.

Je fronce les sourcils de colère, il sait que nous n'allons pas faire ce choix. Même si je connais Kilian depuis peu, je sais qu'il est là pour gagner, et perdre notre premier lot risque de le contrarier. De mon côté, je n'aime pas l'attitude de cet homme qui s'est moqué de moi. J'ai envie de lui faire comprendre que je ne vais rien lâcher. Je regarde les positions ; en tenant bien ma jupe, ça devrait aller, du moins j'espère, car c'est à nous d'entrer dans le jeu. Le chrono démarre et je me mets à quatre pattes sur le sol, où un matelas mou a été mis en place pour ne pas se blesser les genoux. D'une main, je tiens ma jupe sur le côté pour bien la maintenir en place.

Je respire un bon coup quand j'entends Kilian revenir. Il sait que je ne porte plus rien, j'espère qu'il va y aller doucement… Au premier coup de bassin, je comprends que non. Je suis propulsée en avant, obligée de lâcher ma jupe pour ne pas m'écraser sur le sol. Ma jupe remonte vite, je sens le plastique du ballon s'écraser contre mes fesses et surtout ma vulve. Sous les mains de mon partenaire, je me fais pilonner sans ménagement. Le ballon glisse sur mon jardin secret au point de l'humidifier sous les nombreux frottements.

- Qu'est-ce que tu fais ?

Pourquoi le ballon n'explose-t-il pas plus vite ? Au premier tour, tout était allé si vite et là, j'ai l'impression qu'on a déjà dépassé notre temps. Faute de pouvoir tenir l'arrière de ma jupe, je remonte le devant pour éviter qu'un de mes seins ne sorte encore. Je sens les mains de Kilian s'accrocher à mes fesses, à mes cuisses, une passe sous mon ventre… Surprise, il glisse entre mes lèvres pour passer sur mon clitoris. Ses doigts glissent sur ma fente humide, un frisson me remonte l'échine et je pousse un gémissement sans me retenir, car je pars en avant. Le ballon finit par éclater, la première position est validée.

Je me mets sur le dos et écarte les cuisses pour l'accueillir au dernier moment. Cette fois, je ne lâche pas ma jupe pendant qu'il se remet à exploser le ballon… ou moi. À voir son regard, je comprends qu'il prend son pied à me faire ça. Il glisse sans hésitation ses mains sous la jupe pour me tenir les fesses, ses doigts les écartent pour s'approcher de mon anus. J'ouvre les yeux de surprise en sentant ce contact, c'est la première fois qu'un homme s'approche aussi près de ce trou. Soudain, le ballon glisse d'entre nous et remonte vers le haut, je le rattrape d'une main. Son bassin en profite pour exploser contre mon entrejambe, laissant une nouvelle trace humide sur lui.

- Ahhhh… Attends…

Le « attends » prononcé n'était qu'un camouflage pour ce « Ahhhh » qui tenait beaucoup plus du plaisir que du véritable jeu. Le ballon avait tourné, laissant apparaître une grosse trace de cyprine dessus. En place, le ballon se remettait à frotter contre ma fleur et le sexe de Kilian à s'écraser toujours aussi fort. Mon corps ne suivait plus, je me laissais porter par les assauts quand le ballon éclata encore une fois. Je ferme les cuisses pendant que Kilian part chercher le troisième, je ne sais même plus quelle est la position suivante. Quand Kilian arrive, je ne suis pas prête, c'est lui qui me prend les jambes pour les écarter sur le côté. Sans le ballon, il voit mon minou en sueur. J'avais de la cyprine tout autour des lèvres, sur les cuisses et sur ma fente ouverte devant ses yeux. Je tenais ma robe d'une main, tirant dessus pour tout cacher, mais le troisième round arrivait avec le ballon.

7
Un dimanche de repos. J’avais beaucoup donné cette semaine, entre les cours et le sport, j’avais besoin de calme pour mon corps et mon esprit. Je ne devais pas me surmener au point de tomber malade. J’ai donc fait une bonne grasse matinée. En me levant, j’ai mangé une tartine avec de l’avocat et des tomates. J’ai pris une bonne douche pour me rafraîchir de cette journée chaude, laissant ma serviette autour de la taille. J’étais chez moi, je n’avais pas besoin de me préoccuper de ma tenue. J’avais fait tourner une machine la veille, et avec ce soleil, je suis allée étendre le linge sur ma terrasse rapidement. Je n’avais plus qu’à profiter de la journée, flâner devant ma télévision, me mettre du vernis sur les ongles, me couper les cheveux qui commençaient à être un peu trop longs à mon goût. Je me suis installée sur mon canapé, allumant la télévision, tout en gardant un œil sur ma terrasse pour m’assurer que le vent n’emporterait pas mes vêtements. Sauf que ce n’allait pas être le vent.

Après une bonne heure, mon regard est attiré par des mouvements ; j’ai l’impression de voir une ombre. Toujours en serviette, je me lève du canapé pour aller voir, me collant à la fenêtre. C’est là que je vois un homme arracher mes sous-vêtements pour les coller à son visage.

- Asshole !

Une insulte en anglais fuse de ma bouche alors que je tape sur la vitre de ma terrasse, cherchant la poignée de l’autre pour l’ouvrir. Je n’allais pas me laisser faire et surtout pas le laisser filer sans réagir.

- Reviens ici !

J’arrive enfin à ouvrir la porte pour me mettre à sa poursuite. Je n’aurais pas dû crier et le prendre par surprise. Maintenant, je dois courir, presque nue et en serviette, pour le rattraper. Je tiens le haut de la serviette pour ne pas qu’elle tombe en route. Lui, il tente d’escalader la barrière pour s’échapper. Je lui saute dessus, ma main libre s’accroche à la poche arrière de son pantalon.

- Stop fucking…

Je serre les dents, ne pouvant plus parler, mettant tout mon poids en arrière pour le faire lâcher. Malheureusement, c’est la poche qui lâche. Je suis projetée en arrière. Pour arrêter la chute, je suis obligée de lâcher ma serviette, me retrouvant allongée sur le dos, totalement nue. Le voleur de culottes en profite pour s’échapper, le cul à l’air. Dans ce malheur, je n’avais pas encore remarqué que dans la poche que j’avais arrachée se trouvaient des indices pour le retrouver. En attendant, je restais allongée nue sur ma terrasse, sous le choc de l’impact.

8
Si mon premier but était de laisser la porte ouverte à Takezo pour qu'il puisse admirer mon corps, l’autre objectif était de passer du bon temps sous l’eau chaude et de me détendre après cette journée. C’était très agréable d’être dans mon petit cocon même si tout n’était pas encore parfait ici. Finalement, le fait que le concierge du lycée ait fermé la porte des vestiaires avait du bon. Mes mains glissaient toujours sur mon corps, soulevant mes lourdes poitrines, dessinant les mamelons, butant contre les pointes tendues. Je descendais ensuite sur mon ventre, frottant toujours pour me nettoyer, jusqu'à atteindre mon jardin secret. J’avais une épilation intégrale, laissant mes lèvres apparentes. Avec tout le sport que je faisais, c’était devenu une habitude d’enlever tous les poils indésirables. Souvent, les vêtements sont courts, et que ce soit en bikini à la plage ou ailleurs, il vaut mieux ne pas avoir un buisson qui dépasse du tissu.

Je prenais mon temps pour bien me savonner partout, me penchant en avant pour atteindre mes jambes et mes pieds. Je prenais une brosse pour me frotter le dos. Takezo pouvait se rincer l'œil sous toutes les coutures. Je finis par me retourner pour allumer l’eau afin de rincer mon corps. L’eau coule à flot, signalant au lycéen que j’avais bientôt terminé. Propre et sentant le lilas, je sors en m’enroulant dans une serviette. Je fais de même avec mes cheveux, les enroulant dans une serviette plus petite que je redresse sur le haut de ma tête. Je regarde dans le miroir pour voir si Takezo a osé bouger depuis mon départ. Je le vois sur le canapé juste en face de la salle de bain avec un coussin sur les genoux. J’ai l’impression qu’il a quelque chose entre les jambes, mais d’ici, il est impossible de voir ce que c’est. Un morceau de son kimono ? Sa coque ? Ou… Un nouveau frisson me fait me trémousser sur place alors que des pensées indiscrètes me traversent l’esprit. Je secoue la tête pour me reprendre.

- J’arrive bientôt !

Je crie fort pour qu’il puisse m’entendre et continuer de jouer le jeu de la porte fermée. Je me sèche rapidement, laissant ma peau humide. Pour le bas, je mets un tanga blanc, et pour le haut, un t-shirt blanc également. Ce n’est pas pour rien : avec l’eau sur ma peau, je peux voir dans le miroir que les tissus deviennent déjà transparents. Mon tanga se colle à mes lèvres, les moulant et les faisant apparaître, tandis que mon haut fait de même avec ma poitrine, dessinant la rondeur de mes seins libres, de mes tétons pointés et de mes mamelons.

- Je m’excuse d’avance pour ma tenue, mais je n’ai plus rien à me mettre. Je tourne avec peu de vêtements et tout est encore dans les cartons. Je n’y pensais plus, mais je devais faire tourner une machine à laver.

C’était l’excuse pour ma tenue. J’en avais profité pour mouiller mon linge sale sur le sol, m’assurant de ne pas pouvoir les porter. Je me tourne vers le miroir pour découvrir, surprise, que la porte était ouverte. J’ouvre la bouche pour marquer mon étonnement, sans rien ajouter.

- Ça va, je n’ai pas été trop longue ?

De retour au salon, je suis en petite tenue avec ma serviette sur la tête. J’ai envie de voir ce qu’il cache entre les jambes. M’asseoir sur le canapé ne va pas m’aider, alors je passe rapidement à ma cuisine pour y prendre la chaise qui traîne, poussant les affaires dessus. Je la pose en face de lui, à côté de la télévision, le dossier face à lui pour m’asseoir à califourchon dessus. Je veux voir, mais je veux continuer mon petit jeu aussi. Sur cette vieille chaise en bois, mes cuisses s’écartent face à Takezo, et ma poitrine passe à travers les barreaux, les faisant ressortir plus gros encore.

- Tu veux y aller ?

Je ne regarde pas son entrejambe directement, je dois être discrète pour ne pas me faire prendre. C’est difficile, car je vois cette forme appeler mon regard à baisser. Cette excitation me fait inévitablement respirer plus fort, mon cœur soulevant ma poitrine sous ce t-shirt qui semble bien trop serré pour moi. J’ai profité de mon passage à la cuisine pour récupérer mon téléphone. Je commence à pianoter dessus. J’ouvre l’application de l’appareil photo, je place l’objectif et je lance l’enregistrement vidéo. Avec ça, j’aurais de quoi me faire une vraie idée.

9
Les alentours de la ville / Re : Autour d'un verre.
« le: lundi 05 août 2024, 13:18:18 »
Après la première activité, nous divaguons en parlant de tout et de rien. Nous arrivons près d'un groupe qui va lancer le jeu des 12 mois, un jeu que j’aime beaucoup. Mais après le jeu des ballons, je sais que je ne peux pas me permettre des folies avec ma robe. Je motive Kilian à y participer, il y aura peut-être un cadeau à la fin, d'après ce que les autres disent. Tout le monde se prépare pour l’activité jusqu’au moment de lancer le jeu sous les applaudissements des spectateurs comme moi.

- Allez Kilian ! Tu vas y arriver chéri !

Je mets mes mains en cône devant ma bouche pour que ma voix porte plus loin et qu’il puisse m’entendre. Je le vois courir partout pour chercher ce qu’il faut, j’applaudis quand il parvient à rapporter les objets, comme tous les autres spectateurs qui se prêtent au jeu. Certains crient pour indiquer les objets aux participants, des femmes vont vite chercher des verres pour y mettre des traces de rouge à lèvres. C’est une ambiance bon enfant qui règne pendant ce jeu. On voit les participants perdre avec un gage à réaliser plus tard pendant un mois précis, c’est le but du jeu. On arrive assez vite au trio final et l’objet à récupérer me concerne directement : la culotte d’une demoiselle d’honneur. Je le vois foncer dans ma direction sans hésiter, suivi d’un autre participant. Je suis déjà prête avant qu’il n’arrive vers moi.

- ALLEZ !

J’ai placé mes doigts sous l’élastique de mon tanga, prête à le descendre quand il arrive. Pas besoin de me dire quoi que ce soit, à peine je le vois arriver que je baisse mon sous-vêtement et le plaque contre son torse, me retrouvant les fesses nues sous ma robe.

- Va la donner, vite.

Grâce à moi, il arrive le premier avec la culotte de la demoiselle d’honneur. Je me lève de ma chaise pour l’applaudir, levant la main en l’air pour le saluer en même temps. Les autres participants cherchent encore, suppliant les autres demoiselles d’avoir leurs dessous. On arrive ensuite au duo final. Kilian, comme depuis le début du jeu, gère en se ruant vers la mariée pour chercher son bouquet. La partie gagnée, tout le monde applaudit les participants. Je le vois revenir de loin, ravi, avec dans sa main une grosse bouteille de champagne, le lot de la victoire. Je me remets à applaudir.

- Félicitations mon amour.

Je tends la main pour récupérer mon tanga, mais je comprends vite qu’il y a un problème… Dans la main de Kilian, mon sous-vêtement dégouline encore. Je lève les yeux vers lui, interrogative. Il m’explique qu’il y a eu un accident et ajoute que ça devient de plus en plus amusant. Mouais, je ne suis pas certaine, ce n’est pas lui qui se retrouve les fesses à l’air. Je reprends quand même mon tanga. Il est vraiment trempé, impossible de le remettre sous peine d’avoir une sensation immonde et de tacher ma robe… Je le fourre dans le sac que j’ai eu en cadeau et regarde le sous-vêtement que j’ai eu dedans en cadeau. C’est un string avec très très peu de tissu. Bon, tant pis, je vais rester comme ça et faire attention.

- Il va bien sécher, ce n’est pas grave. Allons boire un verre.

J’en avais bien besoin. Nous allons vers le bar. Pendant que le serveur arrive, je prends une verrine avec du fromage frais et du saumon. Deux verres nous sont servis selon ce que nous avons demandé, pour ma part un cocktail de fruits sans alcool. Je bois très peu, car je ne supporte pas l’alcool et je fais attention à ma santé. Nous parlons de la soirée, des jeux, des invités, quand une tête familière se joint à nous : l’organisateur de la première activité, celle avec les ballons.

- Je suis content de vous retrouver. Notre jeu est tellement un succès que nous avons décidé d’ouvrir une deuxième manche. Cette fois, c’est monsieur qui doit tout donner pour faire éclater les ballons.

Il me regarde et doit comprendre que je ne suis pas spécialement partante pour un deuxième round. Me retrouver dans des positions comme la première fois sans mon tanga, non merci.

- Il y a un lot pour les gagnants cette fois encore.

Il s’approche de nous pour murmurer.

- Si c’est vous, je vous promets de vous donner un lot avec la première récompense.

Mon visage est moins négatif, mais ce n’est toujours pas ça.

- Et n’oubliez pas, cette fois c’est monsieur qui va devoir tout faire.

Je réfléchis à cette phrase. C’est vrai que la première fois, c’était à moi de tout faire et de prendre des positions bizarres. Kilian était juste resté sur une chaise, sauf la dernière fois où il avait dû être debout. Rien de bien dérangeant, si c’est la même chose, cela ne devrait pas poser de problème.

- Bon d’accord, je veux bien. Et toi chéri ?

Je me retourne vers Kilian pour savoir s’il désire y aller. Vu comme il est joueur, il devrait dire oui. En attendant, l’organisateur se frotte les mains d’avoir trouvé de nouveaux participants. Entre les deux sessions, il a changé un peu les conditions de jeu. Principalement les ballons : ils étaient plus épais et moins gonflés donc plus durs à faire exploser. Un seul coup n’allait pas pouvoir les faire éclater, il allait devoir donner beaucoup plus de coups de reins et bien s'accrocher. Deuxièmement, l’épreuve allait durer un peu plus longtemps avec une position en plus.

Hrp :

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)
   

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Centre-ville de Seikusu / Des bonnes habitudes
« le: lundi 05 août 2024, 13:13:39 »
Au Japon et aux États-Unis, en termes de mode de vie, il y a parfois de grands écarts. J'ai déjà eu des réflexions sur mon comportement à l'université, rien de méchant car les autres élèves et professeurs savent que je ne suis pas native d'ici, mais je me dois de faire attention pour les prochaines fois. Le problème, c'est qu'il y a trop à penser et je ne sais pas par où commencer pour tout apprendre. Au restaurant, seule, j'ai planté les baguettes dans mon bol de riz le temps de chercher les sauces. En voyant la tête du restaurateur, j'ai compris que j'avais fait une bêtise.

Ça ne pouvait plus durer comme ça, je devais me mettre à la page sur toutes les us et coutumes du Japon. J'ai lancé un appel à l'aide à des étudiants de ma promotion, en vain. Je comprends qu'avec nos cours à réviser, le sport en dehors pour se tenir à niveau, personne n'ait envie de prendre du temps pour des futilités. Dans une impasse de ce côté, je ne perds pas espoir. Je cherche sur internet des idées quand je vois parler de coachs de vie. Les avis sur cette technique sont positifs, j'y vois de bons retours de ceux qui en parlent.

Je fais une autre recherche pour trouver les coachs de vie autour de chez moi, une liste immense bien sûr. Je fais défiler la liste en cliquant sur les noms qui ont de bons avis, je regarde les présentations, les prix, les disponibilités, la distance entre le cabinet et chez moi, ainsi que d'autres critères. Sur une feuille à côté, je note ceux qui m'intéressent. J'y passe plusieurs heures avant de me fixer sur un coach du nom de Ryo. Il n'est pas loin de chez moi, ses prix sont abordables, il est jeune alors je me dis qu'il pourrait bien comprendre mon point de vue et il a de nombreuses disponibilités. Je réserve un créneau sur internet pour la fin de semaine.

Le jour J, samedi, je me prépare pour mon rendez-vous de 11h. Avec les fortes chaleurs du moment, je mets une simple robe jaune orangé en tissu léger, des claquettes aux pieds et un collier qui produit du froid autour du cou. Mon sac au bras, je pars à pied pour me rendre au cabinet à 20 minutes de chez moi. Mon collier rafraîchissant autour du cou m’aide à supporter les fortes chaleurs. J’arrive devant le bâtiment, je rentre dans le sas d’entrée qui est climatisé puis je sonne à l’interphone. On m'ouvre et on vient me chercher afin de commencer ma première séance avec mon coach.

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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: lundi 05 août 2024, 12:49:36 »
Et si je veux aller jouer avec des amis dans un autre stade ? Ou en dehors des cours.
Mes vdd, pas grand chose vous inquiète, alors que le baseball est un des sports numéro 1 au Japon.

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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: lundi 05 août 2024, 10:21:12 »
Mon vdd je ne m'entraîne pas sur les toits et je ne vais pas laisser mon matériel sans surveillance quand je ne suis pas là

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Prélude / Re : Leena la croqueuse d'êtres [Serevalidionarisée]
« le: dimanche 04 août 2024, 20:33:55 »
Re-bienvenue

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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: dimanche 04 août 2024, 10:38:18 »
Et de trois

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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: dimanche 04 août 2024, 10:38:01 »
Mes vdd... C'est pour mon entraînement :)

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