Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Rubis Starling

Pages: [1] 2 3 ... 79
1
Son petit regard pétillant de mille feux ne le quittait pas un instant, lui disant bien au travers de ses jolies mirettes qu’elle avait bien l’intention de mettre à exécution « ses menaces » de le chevaucher sans aucunes protections. Tenant donc un bout de son pantalon et de son boxer entre l’une de ses mains, la jeune serveuse tira dessus les vêtements, commençant à les faire glisser doucement le long des hanches du videur. Et ce fut encore plus aisé quand il y mit du sien et souleva ses hanches, la faisant esquisser un sourire ravie contre ses lèvres, n’hésitant donc pas un instant à tirer un grand coup dessus tout en restant douce, baissant rapidement les tissus qui la privait de ce qu’elle voulait ardemment.

C’est ainsi qu’elle libéra enfin la belle lame de son séduisant collègue dans sa main qu’elle câlinait, la faisant glisser entre ses doigts et sa paume douce, ne cessant pas un instant ses vas et viens de sa main autour pour continuer à s’occuper de lui.

Bien entendu, elle n’avait pas cessé un instant de l’embrasser et non plus d’onduler sur lui, ayant pu savourer avec bonheur de sentir son corps contre le sien au moment où il leva son bassin, ayant adoré le sentir contre elle et ayant hâte de pouvoir se coller à lui pour sentir toute sa musculature contre son petit corps. Quant à sa main qui s’occuper avec intérêt de sa fleur, elle en gémissait plaintivement tant c’était bon, adorant ce qu’il faisait, quant à la seconde qui vint la griffer avant de venir se saisir d'un de ses seins, elle en trembla de tout son corps à en avoir une délicieux chaire de poule sur sa peau, esquissant un sourire aux anges tellement c’était bon.

Et quand elle entendit sa voix sensuelle, elle en souffla doucement d’amusement par le nez, venant ensuite à son tour se saisir de ses lèvres qu’elle tira entre ses dents, avant de les relâcher et leur donner un lent coup de langue dessus en le défiant du regard.

« Bien… Je vais donc vous montrer cela professeur… »

Souffla-t-elle d’une voix chaude et tout aussi sensuelle que lui, tandis qu’elle lâchait le tissu de ses vêtements en faisant remonter sa main sur ses hanches à elle, venant soulever un peu plus sa jupe en cambrant plus son bassin sur lui. Puis, elle fit glisser sa main sous sa jupe, venant la poser sur son bas-ventre en caressant du bout des doigts la dentelle de sa petite culotte, attrapant l’un des côtés pour mieux tirer dessus et bien dévoiler sa jolie fleur.

Tout en faisant cela, elle ondula plus lentement, venant faire frôler son intimité humide contre sa lame qu’elle tenait toujours en main, caressant sa pointe humide entre les portes de son jardin tout autant humide, jouant un petit peu ainsi avec lui, avant de finalement craquer à force de trop jouer. Lâchant son emprise autour du membre gonflé et pulsant de Karl, le laissant entre ses pétales et le bas de son petit bourgeon gonflé de désir, Rubis fit un dernier mouvement de hanches pour le faire pénétrer d’un coup en elle, le faisant glisser jusqu’au fond de son jardin à en faire claquer leurs deux bas-ventre l’un contre l’autre dans un long soupir de plaisir, fermant ses petites mirettes quelques instants sous cela avant de les rouvrir et le regarder avec insolence et amusement.

« Est-ce assez vrai pour vous cher professeur ? »

2
Rubis gémissa en sentant les dents de Karl venir se saisir de ses lèvres, les mordillant et l’excitant d’autant plus au passage, la rendant encore plus folle qu’elle ne l’était après son aveu de folie de lui. Et en entendant les mots qui suivirent, son cœur fit un bond dans sa poitrine, ses prunelles tremblant sous cette question qui remettait en doute son aveu, lui donnant encore plus envie de craquer et lui prouver ce qu’elle disait. C’est donc ainsi qu’elle en vint à s’occuper sans plus attendre de sa belle lame cachée, venant chercher celle-ci dans l’optique de la libérer.

Enfin, la libérer pour venir l’emprisonner dans son chaud et humide fourreau qui attendait son retour avec impatience plutôt. Et là, calinant son membre entre ses doigts, pouvant avoir le bonheur de ressentir toute la chaleur qui s’en dégageait, sentant toute sa puissance pulsait et sa dureté en main, la jeune serveuse se mit à le faire glisser dans sa paume en l’enlaçant de ses doigts, commençant dans de longs et lents vas et viens sur la belle épée de son séduisant professeur. En retour, elle put avoir l’immense plaisir de le sentir la bichonner lui aussi à son tour, la faisant gémir et onduler de plus belle sur lui, mais ce qu’elle adorait par dessus tout c’était le sentir jouer de ses hanches sous elle, constatant son envie pas seulement par l’apparence de sa lame en main, mais aussi par sa pointe trempait et qu’elle sentit se décalotter sous sa peau tant il bougeait, la faisant sourire ravie contre ses lèvres chaudes en ne cessant de le dévorer des siennes.

« Mmmmh moui, tout à fait sûr cher professeur… Vous me faites tellement tourner la tête que j’ai envie de danser tout de suite sur vous, sans aucune tenue de danse… »

Chuchota-t-elle en venant répondre d’une voix chaude et base, parlant très sensuellement sur un ton joueur mais emplie d’envie, tandis qu’elle accélérait le mouvement autour de sa lame, venant la caresser plus rapidement et plus fort, serrant ses doigts autour d’elle. Évidemment, pour amplifiait l’effet, elle ondula de plus belle sur lui, pouvant sentir ses doigts jouaient sur sa fleur à l’en rendre folle, la faisant gémir plus fort, soupirant plaintivement d’envie, ayant terriblement envie de ne plus écouter sa tête et s’enfiler sur lui sans plus attendre.

Puis, très rapidement, elle vint faire glisser sa main de son torse, le griffant avec envie au passage en le marquant bien entre ses pectoraux jusqu’au bas de son ventre, venant faire longer sa main jusque sur son pantalon. Attrapant l’un des côtés sur ses hanches tout en se saisissant d’un bout de son boxer, venant à tirer dessus pour le faire baiser de ses hanches tout en ne cessant pas un instant d’onduler sur lui et de bichonner sa lame tout en l’embrassant comme une damnée, menaçant de le découvrir pour venir le chevaucher sans aucunes selles de protection.

3
« Je comprends tout à fait cher professeur, elles sont sacrées pour moi aussi. Je vous garantis qu’elle ne sera pas rompue, je vous le promet…  »

Venant répondre sur le même ton que lui, prenant une intonation plus douce et solennelle sur la fin de ses mots en le regardant dans les yeux, ne cessant de l’admirer et se perdre quelques instant dans son regard, comme si elle lui promettait aussi mentalement qu’elle n’irait pas voir ailleurs après ce soir. Puis la demoiselle retrouva son petit air malicieux et ses yeux joueurs pétillant d’amusement, venant le titiller un petit peu en jouant de ses lèvres, de son souffle chaud et de sa langue sur ses lèvres, voulant aguicher et excitait un peu plus son séduisant professeur de danse.

Mais voilà, à force de le torturer, elle se torturait elle aussi, et… Elle craqua, doucement mais sûrement, venant enfin coller ses lèvres contre les siennes et l’embrassait passionnément. Et quel bonheur de sentir la délicieuse langue du videur venir se glisser entre ses lèvres pour venir chercher la sienne, faisant ainsi danser sensuellement et sauvagement leurs deux langues dans cet ardent baiser, qui la fit soupirer lourdement et fortement de bonheur. Pendant ce temps, son corps n’était pas en reste. Continuant d’onduler et faire danser son bassin contre celui du beau brun, frôlant ou touchant carrément la belle bosse sous son pantalon avec sa jolie fleur humide et brûlante d’envie, alors que ses mains caressait avec désir son torse musclé couvert de quelques cicatrices qu’elle sentait sous ses doigts, ne l'empêchant pas pour autant de venir le griffer au risque de lui laisser quelques souvenirs sur sa peau.

Mais elle n’était visiblement pas la seule à avoir cette envie et idée. En effet, Rubis put sentir Karl venir faire remonter sa main dans son dos pour venir la griffer de tout son long en son centre, le sentant partir délicieusement de sa nuque jusqu’au creux de ses reins, la faisant se cambrer tout en gémissant de bonheur sous ses ongles qui la marquait, adorant cela. Ho qu’est-ce que c’était bon et qu’est-ce qu’elle avait envie de lui. Comment ça pouvait être aussi intense une telle envie dévorante, s’amplifiant de secondes en secondes et la poussant à en vouloir encore plus, toujours plus encore et encore ?

La jeune serveuse l’ignorait, mais c’était la première fois qu’elle ressentait cela, cette puissante envie qui venait se saisir de tout son être corps et âme, qui la poussait à vouloir plus mais aussi à lui donner plus, n’ayant qu’une idée en tête, en plus de danser avec lui bien sûr : le satisfaire et le bichonner. Elle avait terriblement envie de lui enlever son débardeur, de venir ensuite s’occuper de sa ceinture et son pantalon, avant de finir par venir bichonner de ses lèvres sa belle lame cachait sous son boxer ainsi que le reste de son corps, pour finir par s’unir avec lui. Oui, elle avait envie de faire tout ça, venir s’occuper de lui et lui montrer qu’elle serait une bonne élève dévouée et qu’il ne regretterait pas son choix. Mais voilà, l’envie était si forte, si intense, qu’elle était pas loin de craquer et lâcher prise, voulant le sentir en elle au plus vite de nouveau. C’était un véritable combat interne entre ses pulsions, ses désirs et sa tête.

« Tu me fais tourner la tête tu sais ? »

Vint-elle chuchoter sensuellement en continuant de l’embrasser, ses mains continuant de caresser et griffer son torse tout en se mouvant plus lentement contre lui, tremblant et gémissant sous sa main qu’elle sentait câliner son mignon petit pistil et sa jolie fleur alors qu’il la griffait de l’autre, lui donnant encore plus chaud et envie de lui. Puis, continuant ses actes bestiaux de tendresses sous son débardeur, Rubis vint faire glisser lentement une de ses mains jusqu’à la boucle de ceinture de Karl, venant dans un geste rapide l’attraper et la défaire pour ouvrir son pantalon, glissant sa main en-dessous mais également sous son boxer sans plus attendre.

Et au toucher de sa belle et longue lame bien dure et pulsante, elle vint esquisser un sourire contre ses lèvres, l’embrassant toujours tout en gémissant de plaisir, alors qu’elle vint enlacer de ses doigts délicats son membre qu’elle commença à faire glisser doucement dans sa petite main. Commençant donc à lui offrir un petit bichonnage tandis qu’elle se faisait violence de ne pas lui sauter dessus et le chevaucher tout de suite, essayant de lutter contre son envie dévorante de danser immédiatement avec lui. Mais elle était pas loin de craquer, il manquait de peu pour qu’elle craque… Vraiment de très peu.

4
Tandis qu’elle continuait à garder la tête baissée après s’être excusée, continuant de cacher ses lèvres qui avaient frôlé les doigts de son bel ami, la jolie albinos pouvait sentir son cœur battre à mille à l’heure à cause de ce contact à la fois gênant mais… Étrangement plaisant aussi elle devait reconnaître, ce qui la fit rougir de plus belle à ses pensées bien entendu !

Puis, soudainement, elle sentit la chaleur des doigts du mignon brun sur sa peau, le sentant venir chercher ses mains et les attirer vers lui. Cela fit rougir encore plus la demoiselle qui était bien rouge, tandis que son cœur tambourinait de plus belle à ce geste qui vint la surprendre et la mettre en émoi. Et en peu de temps qu’il en faut, Rubis compris où venait en venir Laslow, le voyant rapprocher ses petites mains délicates près de son visage, permettant à ses doigts de frôler de nouveau les lèvres du jeune homme tandis qu’il prenait la parole, venant rassurer la petite tête blanche sur ce qui venait de se passer.

« Heu… Je suis désolée, j’ai tendance à paniquer pour rien… Je… C’est gentil, merci Laslow. »

Répondit-elle d’une petite voix en esquissant un timide sourire en le regardant dans les yeux, l’admirant quelques secondes avant d’ouvrir de grands yeux et devenir rouge jusqu’aux oreilles quand le mignonnet déposa un baiser sur sa main droite avant de la relâcher. C’est donc toute timide qu’elle ramena ses petites mains vers elle, souriant timidement et embarrassée de cette gentille attention qui l’a surpris autant qu’il l’attendrissait.

Mais voilà, histoire de ne pas rester comme une idiote assise bien droite sur sa chaise toute timide, restant toujours aussi rouge qu’un joli coquelicot des champs, l’albinos essaya de trouver quelque chose pour rompre le potentiel silence qui risquait de s’installer entre eux. Et donc, elle chercha des yeux sur la table ce qui leur restait à déguster, son regard tombant sur le fameux milkshake qu’on leur avait offert à se partager. C’est donc tout naturellement qu’elle vint demander à son bel ami s’il avait une petite soif, l’invitant ainsi s’il le souhaitait à goûter ce désert, permettant à la jeune femme de penser à autre chose et faire baisser le rouge de son jolie minois.

En entendant le début de la réponse du mignon brun, la Blanchette esquissa un sourire ravie que sa suggestion lui plaise. Mais quand elle entendit la suite, elle cligna plusieurs fois des yeux avant de laisser échapper un petit rire en hochant la tête, touchée par son côté gentleman.

  « Et bien soit, j’accepte d’ouvrir le bal. A conditions que tu suives ensuite et… » rougissant légèrement en venant jouer avec ses cheveux du bout de ses doigts, détournant légèrement le regard « Et qu’on le partage pour finir car… Bah il y a deux pailles et c’est pour partager la boisson ensemble je présume… »

Alors qu’elle arrêtait de jouer avec ses cheveux, Rubis reporta son regard vers Laslow, lui souriant timidement en riant de nouveau avec douceur. Venant ensuite se saisir entre ses mains de la boisson glacée et lactée, rapprochant le verre de son visage et une des pailles venant frôler ses lèvres, la demoiselle attrapa le bout de plastique entre ses lèvres puis commença délicatement à goûter ce délicieux breuvage.

C’était frais mais pas trop non plus, c’était sucré mais tant que ça, c’était crémeux et doux en bouche puis… Ça goûtait terriblement bon qu’elle en gémissait encore de bonheur ! En revanche, impossible d’identifier le parfum, même si cela n'enlèvait pas au délice qu’était ce merveilleux désert. Retirant ses lèvres de la paille et poussant ensuite le verre vers le jeune homme, la mignonnette l’invita à son tour à goûter le mystérieux milkshake.

« À ton tour ! Et tu me diras si tu arrives à deviner le parfum car moi… J’avoue ne pas avoir trouver… Mais c’est vraiment délicieux et rafraîchissant ! »

5
Elle adorait ressentir les réactions de ses muscles ainsi que de sa peau sous ses mains, ho oui, c’était excitant et plaisant à souhait. La jeune serveuse s’en pinça les lèvres d’envie en esquissant un beau sourire ravie en regardant le videur de haut, le surplombant de son petit corps redresser sur lui en le chevauchant, ne cessant pas un instant d’onduler son bassin contre le sien en faisant jouer ses hanches de temps à autre pour s’éloigner de sa belle bosse bien caché pour le moment, alors que sa petite fleur trempée était à la merci des doigts du bellâtre, frémissant et gémissant à ses caresses délicieuses. Puis, elle se mit à cambrer son dos en sentant son autre main venir se lové dans le creux de ses reins, venant jouer avec le tissus de sa jupe et de son chemisier, la faisant doucement trembler en sentant sa main se glissait en-dessous, ce qui la fit doucement soupirer d’impatience de la suite.

Et la suite était des plus surprenantes et délicieuses, pouvant avoir le plaisir d’entendre la séduisante voix de son beau professeur, lui arrachant un sourire ravie en laissant échapper un soupir amusé entre ses lèvres, adorant la mise en garde qu’il lui adressait. Puis, elle rougissa doucement en sentant l'agrafe de son soutien-gorge sautait, venant relâcher sa voluptueuse poitrine de sa prison de dentelles, la faisant lâcher un nouveau mais long soupir de soulagement d’être libérée, mais surtout d’impatience en ayant hâte de passer à la suite des événements.

« Tout-à-fait clair mon cher professeur… Je ne prendrais aucuns cours avec d’autres professeurs… »

Répondit-elle d’une petite voix joueuse mais emplie de désir tant il la mettait en feu, lui donnant terriblement envie de lui arracher ses vêtements et danser sur ce canapé sans plus attendre. Mais, elle se devait de se retenir un peu, jouait encore un peu avec lui, puis lui montrer aussi qu’elle serait une très bonne élève, prête à bichonner son professeur adoré pour le remercier de ses cours, qu’elle ne manquera pas de suivre avec assiduité. Rubis continua donc à caresser le torse de Karl sous son débardeur, jouant de longs et lents vas et viens sur tout son torse, s'amusant parfois à titiller ses tétons du bout de ses doigts ou à griffer légèrement la peau de son torse, tout en continuant à onduler son bassin sur lui en le laissant faire ce qu’il voulait de sa fleur brulante d’envie pour lui, la faisant gémir de bonheur en venant sourire radieusement, avant d’avoir un petit sourire amusée, venant se pencher de nouveau sur lui, son visage proche du sien et son regard insolent mais emplie de désir refusant de lâcher le sien. 

« Et je vous promet ma totale dévotion cher professeur… Je serais exclusivement votre élève et celle de personne d’autres… Cela vous convient-il ? »

Et là, tout en ne cessant de le regarder, esquissant un sourire séducteur, elle vint frôler ses lèvres des siennes, lui offrant un baiser très léger, venant ensuite lui donner un petit coup de langue sur ses lèvres, avant de venir enfin lui offrir ses lèvres pour un long baiser passionné, tout en ne cessant pas un instant de jouer de son bassin sur lui et de ses mains avides caressantes voire griffantes son torse sous son débardeur, brûlant d’envie de danser avec lui et se retenant encore, voulant bien joindre les actes à la paroles de ses propos en tant que bonne élève.

6
Ses réponses à ses baisers, ses caresses, son sourire, son regard et sa respiration, tout, tout l’a rendait complétement folle de lui. Cela ne faisait que nourrir davantage le brasier en elle qui s’enflammait de plus belle, jusqu’à en devenir un feu passionnel des plus brûlants, et surtout impossible à éteindre, tant il s’était embrasé à grande vitesse comme un bel incendie dont il était le seul et l’unique responsable. C’est donc tout naturellement qu’elle se lâcha, se laissant aller autant par la frustration que le désir qui la dévorait, le voulant absolument par-dessus tout.

Une fois lancée, la chaude petite demoiselle n’avait pas hésité un seul instant à débarrasser le séduisant videur de sa cravate et de sa chemise, tout en commençant à marcher et le poussant à en faire de même à reculons, le dirigeant vers le canapé en ne cessant un seul instant de l’embrasser affamé, avant de finir par le pousser sur le meuble en cuir et venir le chevaucher pour ensuite se pencher au-dessus de lui en jouant de ses doigts sur son débardeur qui cachait son torse musclé, venant lui susurrer quelques mots d’une voix joueuse en ne le quittant pas des yeux.

En sentant la main du bellâtre venir se glisser dans sa chevelure, la jeune serveuse se mit à trembler doucement de tout son corps en gémissant doucement, adorant beaucoup trop cela en se pinçant les lèvres. Puis en entendant la réponse de son bien beau professeur, elle souffla d’amusement par le nez, relâchant ses lèvres pour esquisser un sourire amusée. Mais alors qu’elle s'apprêta à lui répondre, elle se mit à trembler de nouveau en sentant sa main sur sa cuisse, soupirant doucement de bonheur au contact de ses doigts sur sa peau. Et elle trembla encore plus intensément, lâchant même un petit cri en le sentant s’aventurer sous sa culotte et jouait avec sa fleur, la faisant onduler encore plus sur lui, venant caresser sa belle bosse entre ses jambes, ayant encore plus envie de lui en ce moment.

Ne cessant d’onduler son bassin au-dessus de lui, elle essaya de reprendre de sa contenance et pas se laisser faire par son charmant collègue, venant reprendre la parole pour répondre dans un chuchotement rieur.

« Vous allez donc pouvoir admirer ma motivation à suivre vos cours cher professeur… »

Soufflant chaudement de nouveau sur les lèvres de Karl, Rubis vint donner un petit coup de langue sur ses lèvres, le frôlant tout juste pour se venger un petit peu, tandis que ses doigts jouaient à caresser ses pectoraux de haut en bas lentement par-dessus le tissus, continuant d’onduler son bassin contre le sien, le soulevant parfois juste pour le torturer un peu à son tour, tout en reprenant la parole sur un ton joueur.

« En revanche professeur, je vous préviens… Je suis du genre très déterminée et… Je n’aime pas partager l’attention non plus avec d’autres élèves… »

Esquissant un petit sourire narquois en ne le quittant pas des yeux, haussant un petit sourcil amusé en lui jetant un regard qui en disait long, la jolie alibinos se redressa sur lui, restant bien assise sur lui tout en faisant glisser ses mains le long du torse du beau brun, venant les déposer au niveau de son ventre avant de les glisser sous son débardeur, pour commencer à caresser son ventre tout en remontant et glissant ses mains sur sa peau, parcourant et caressant son torse en-dessous du tissu, savourant les réactions de ses muscles sous ses doigts mais surtout celles de son joli minois.

7
Continuant de l’embrasser sensuellement avec envie sans s’arrêter en ondulant son corps contre lui, sa main caressant avec fougue ses cheveux qu’elle décoiffait à sa guise, la demoiselle trembla et gémissa aux caresses dans son dos que le videur lui faisait, la faisant instinctivement tirer encore plus sur sa cravate pour le garder près d’elle, comme s’il risquait de s’enfuir ou s’évaporer à tout moment devant elle. Mais les nouvelles caresses du beau brun la firent trembler et gémir de plus belle, le sentant tourner autour de ses fesses et venir frôler la peau de ses gambettes, restant distant dans ses gestes malgré tout ce qui commença à la frustrer.

Ho oui, elle commençait à être frustrée un peu, beaucoup, passionnément et à la folie même ! Venant à en soupirer impatiente, tirant encore plus sur sa cravate de laquelle elle fit remonter très rapidement sa délicate main dessus, venant attraper le nœud de celle-ci pour le défaire avec une dextérité impressionnante et rapide avant de la jeter au sol sans quitter un instant ses lèvres. Et alors qu’elle commençait doucement à devenir plus sauvage dans ses baisers, attrapant entre ses dents les lèvres de Karl, Rubis lâchait un petit grognement d’impatience tout en soufflant du nez, tirant et mordant même ses lèvres, avant de les relâcher pour venir lui donner un petit coup de langue en ne le quittant pas de ses yeux empli d’un désir brûlant.

Puis, très rapidement, elle fit glisser sa main de sa chevelure pour venir rejoindre son autre petite mimine près du col de la chemise du bellâtre, venant à deux mains déboutonner sa chemise très rapidement, arrachant même deux-trois boutons au passage tant il l’avait frustré et qu’elle bouillonnait sur place, entre l’agacement et le désir qui la consumait. D’ailleurs, tout en faisant cela, elle commença à marcher, le poussant à marcher en arrière, ne lui laissant pas le choix que de se laisser faire et avancer à reculons en continuant à l’embrasser comme une affamée.

Et là, après quelques pas, finissant par ouvrir totalement sa chemise, elle vint faire remonter ses mains sur ses épaules, les caressants lentements avant d’attraper chaque extrémités de sa chemise et tirait dessus d’une geste rapide pour la baisser, l’attrapant dans l’une de ses mains pour la jeter à l’arrière d’elle, afin de ne pas la faire tomber derrière lui et risque de le faire trébucher dessus. Tout en continuant à le faire reculer encore un peu, l’embrassant et mordant ses lèvres en grognant et gémissant sans s’arrêter, elle attrapa les bretelles de son débardeur pour s'agripper à lui et le maintenir près d’elle, avant de le faire s’arrêter net quand ils arrivèrent devant un canapé.

Puis sans crier garde, elle relâcha son emprise sur son débardeur tout en quittant ses lèvres, puis elle lui jeta un regard qui laissait autant transparaître la frustration qu’il avait fait emmagasiner en elle et l’envie qu’elle avait pour lui qui la faisait s’enflammer comme un joli feu de joie. Esquissant un petit sourire mutin de petite renarde en le regardant, elle pencha doucement la tête puis vint le pousser de toutes ses forces avec ses mains, le jetant sur le canapé avant de lui sauter dessus et le chevaucher. Venant s’accroupir ensuite pour se pencher sur lui, laissant ses doigts courir sur son torse recouvert de son débardeur, elle vint souffler doucement sur ses lèvres de son souffle chaud, le taquinant un peu et le torturant à son tour, faisant onduler son bassin contre le sien pour rajouter à la torture, venant lui susurer tout bas d’une petite voix joueuse.

« Je vais vous faire regretter de me faire languir cher professeur… »

8
Alors qu’elle se cachait presque derrière son verre, le visage complètement rouge, ne le quittant pas des yeux un seul moment pour autant, son petit cœur n'arrêtant pas de faire son concerto dans sa cage thoracique, la jeune serveuse cherchait comment reprendre pied face à son séduisant collègue.

Elle avait l’impression d’être dans une pièce en feu, son corps totalement brûlant et son esprit en panique ne sachant où donner de la tête. Et ce fut encore pire quand Rubis entendit les mots de Karl, lui donnant un coup de chaud supplémentaire en la faisant encore plus rougir, pendant que son cœur accélérait comme une voiture lancée à fond les ballons sur la route. La demoiselle s’en pinça les lèvres contre le verre qu’elle buvait doucement, le regardant finir son verre avant de détourner son regard d’elle, la laissant un peu perplexe sur le moment.

Cela dura à peine quelques secondes, mais pour elle ça parut une éternité, venant se perdre dans ses pensées en se demandant quoi faire ou dire. Puis, sans réfléchir, ne finissant même pas son verre, elle vint le poser sur la table basse à côté du sien et se rapprocha de lui rapidement, attrapant sa cravate pour l’attirer à elle.

« Je… Permettez-moi d’avoir un doute sur le fait que vous n’êtes pas sorcier Professeur… »

Puis là, elle vint se saisir de ses lèvres avec passion, venant l’embrasser langoureusement dans un baiser brûlant, se collant totalement à lui, tirant davantage sur sa cravate à s’en faire blanchir les phalanges tant elle tirait dessus de toutes ses forces. Puis après une bonne minute à l’embrasser avec faim, elle relâcha ses lèvres quelques secondes, venant ajouter d’une petite voix désespérée et chaude.

« J’ai l’impression d’être ensorcelée à autant te désirer… Tu me rend complételement folle…  »

Et après ses mots, elle vint se saisir de nouveau des lèvres de Karl sans perdre un instant, gémissant de bonheur de goûter à ses lèvres encore et encore. Reprenant son baiser endiablée et langoureux, ondulant son corps contre le sien en se mettant sur la pointe des pieds par moment, venant de sa main de libre se saisir de l’arrière de son crâne pour commencer à caresser sa chevelure dans des caresses rapides et envieuses, Rubis lâchait enfin prise et craquait, ayant bien l'intention de lui sauter dessus comme il le disait si bien tant il l’avait envouté.

9
Le quartier de la Toussaint / Re : Accords Inatendus - Rubis & Livie
« le: lundi 31 mars 2025, 21:29:59 »
Tout s’était passé si vite : Rubis qui avait félicité les artistes pour leurs performances, un timide sourire échangé entre elle et le chanteur, le patron du bar qui arrive pour embarquer celui-ci à l’abri des regards, la jeune serveuse attendant toujours sagement sa commande tandis que l’autre artiste continuait de siroter sa pinte de bière, le patron revenant en intimant Rubis de retourner fissa à son travail avant de tourner les talons pendant que la jolie albinos récupéra sa commande et salua les deux artistes à la va vite en se sauvant en salle, avant qu’un brouhaha de stupéfaction emplisse l’ensemble de l’établissement.

Toute cette agitation avait bien entendu attiré le regard de la petite tête blanche, la faisant reporter son regard dans la salle afin de voir ce qui se passait. Puis c’est avec étonnement qu’elle put apercevoir son patron au sol, pestant tout en se tenant le bas de la mâchoire, tandis que des clients ainsi que des employés le regardaient choqués par ce qu’il venait de se passer.

Rubis n’ayant rien vu, elle alla vers un de ses collègues demander ce qui s’était passé. Et quand il lui raconta le petit spectacle qu’elle avait raté, la demoiselle cligna plusieurs fois des yeux, surprise et intriguée, se demandant pourquoi l’un des artistes en était venu aux mains. Elle se doutait bien que son patron avait dû faire une proposition qui ne leur avait pas plu, essayant peut-être de renégocier le prix de leur performance après concert ou cherchant la petite bête sur leur contrat pour avoir quelque chose à gagner. Mais ô grand jamais elle se serait douté que c’était à cause d’elle que tout ça était arrivé, ho non !

Alors que des employés tentèrent de proposer leur aide au patron, celui-ci les envoya valser en hurlant qu’ils retournent bosser, tout en criant après les clients qui le regardaient qu’il n’y avait rien à voir en finissant par se relever.

Admirant la scène au loin, Rubis soupira en voyant son patron aussi aimable avec les gens, le voyant pester après quiconque qui s’approcha de lui alors qu’il retourna comme si de rien n’était faire son tour de la salle, sûrement pour aller faire du zèle auprès de ses clients VIP. Soupirant encore une fois à cette idée, la demoiselle espérait que ce soir elle n’aurait pas encore besoin de refuser ou de devoir se plier face à ses demandes d’extra. Chassant cette idée qui lui filait des angoisses, la belle serveuse retourna à son travail, apportant leurs commandes aux clients, en prenant d’autres ou bien débarrassant les tables pour les prochains à venir.

Une bonne petite heure passa ainsi, la soirée continuant son avancée tranquillement, de nouveaux clients arrivants et d’autres se sauvant pour retourner chez eux, car il commençait à se faire tard mais la fin de service était encore loin pour le moment.

C’était enfin l’heure de la pause pour la jolie albinos, qui profita de ce moment pour retourner au bar. En y arrivant, elle put avoir le plaisir d’y retrouver les deux artistes musiciens qui n'avaient visiblement pas bougé de là. Esquissant un sourire en croisant leurs regards à tous deux, Rubis les salua avant de prendre place près d’eux en commandant encore une boisson soft pour elle.

« Re-bonsoir ! Ça va ? Vous avez tout ce qu’il vous faut ? »

Demanda-t-elle d’une voix douce en les regardant, récupérant son verre de diabolo fraise déposé devant elle par l’un de ses collègues, le saluant avec la tête pour le remercier avant de reprendre la parole, essayant de faire un peu la conversation et d’en apprendre un peu plus sur eux, curieuse à leur sujet.

« Heu… C’était vraiment super votre concert tout-à-l'heure… Vous… Vous faites ça depuis quand ? Et vous avez déjà fait d’autres concerts avant ? »

Et après un petit moment durant leur échange, la demoiselle cligna plusieurs fois des yeux, venant se donner une tape sur le front en rougissant, affichant une mine gênée.

« Ho je suis désolée, quelle impolie je fais ! Je ne vous ai même pas demandé vos noms, pardon… Mais je vais me rattraper ! »

Dit-elle en levant un doigt en l’air, une petite mine déterminée au visage qui la rendait terriblement mignonne et enfantine aussi.

  « Donc… C’est quoi vos petits noms alors ? »

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Hochant doucement de la tête aux mots du videur, la jeune serveuse ferma un instant ses mirettes en sentant sa main glissait sur l’arrête de sa mâchoire, la faisant doucement frissonner et avoir la chaire de poule, venant se pincer discrètement les lèvres tant ça lui faisait un de ces effets. Puis elle rouvrit doucement les yeux pour le regarder, les joues légèrement rouges en venant esquisser un petit sourire avant qu’il ne s’éloigne.

Profitant de l’absence de son séduisant collègue qui alla s’occuper des boissons avant de débuter leurs cours, la demoiselle se mit à l’aise comme il lui avait suggéré, venant se déchausser à son tour et enlever ses talons aiguilles, les posant à côté des chaussures de son charmant professeur. Puis une fois cela fait, elle retira sa veste en cuir, dévoilant de nouveau sa chemise qui faisait de la résistance avec ses quelques boutons, la faisant doucement rougir en repensant à ce qui s’était passé. Cherchant ensuite du regard un endroit où déposer ça, elle put apercevoir un porte-manteau près de l’entrée, y allant donc doucement pour poser sa veste ainsi que son sac et sa casquette, histoire d’être totalement débarrasser.

Une fois plus à l’aise, Rubis s’avança doucement à petit pas dans l’appartement, comme un animal qu’on ramène chez soi la première fois et qui découvre son nouvel environnement. Attendant sagement le retour de Karl qui ne tarda pas à revenir d’ailleurs, elle se saisisat délicatement du verre qu’il lui tendit, venant incliner doucement la tête pour le remercier, son regard de nouveau plongé dans le sien et qui faisait battre son petit cœur.

« Merci… »

Esquissant un petit sourire en ne le quittant pas des yeux, la jolie albinos se mit à rougir de nouveau sous son regard tandis que son petit cœur continuait de tambouriner. Et la suite ne fit qu'amplifier tout cela en entendant ses mots, faisant trembler ses petites prunelles écarlates en ne cessant de le regarder, resserrant doucement ses doigts fins et graciles autour du verre.

« Heu… Je… Heu… O-oui, il parait… »

Répondit-elle d’une petite voix toute timide en n'arrêtant pas de le regarder, son cœur résonnant dans ses oreilles tant il battait, la faisant doucement déglutir en essayant de se reprendre et de rajouter sur le même timbre de voix.

« Tu… Toi aussi tu sais… Heu, tu es ravissant… Heu, je veux dire que tu es très charmant… Très séduisant… Tu es très plaisant… Heu… Tu… Tu es trop beau ! »

Balbutiat-elle en élevant la voix sur ses derniers mots, devenant rouge comme une belle tomate jusqu’aux oreilles en le regardant, ses yeux tremblant de panique après tout ce qu’elle venait de dire. Ne sachant plus où se mettre et se sentant idiote d’avoir dit tout ça sans parler de sa réaction, elle se mit à tousser doucement avant de coller ses lèvres à son verre et boire quelques gorgées d’eau pour se faire taire, ne voulant pas paraître encore plus pour une idiote qu’elle ne l’était en ce moment, enfin à ses yeux à elle.

« Bon sang de bonsoir, c’est pas vrai… Je… Tu es un sorcier ma parole… Je perds complètement pied avec toi… Tu me rend toute chose… Je… Ha ! »

Marmonna-t-elle en le regardant derrière son verre, continuant de siroter son verre en ne le quittant pas des yeux pour autant malgré tout ce qu’elle venait de dire et qui la gênait terriblement, craignant de passer vraiment pour une idiote et une rebelle à deux sous qui fichait le camp sous le regard brûlant du videur qui mettait la jeune serveuse dans tous ses états.

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En entendant son bel ami acceptait sa surenchère à sa proposition, la jolie ablinos esquissa un magnifique sourire en le regardant de ses yeux pétillants, visiblement heureuse qu’il apprécie son idée un peu folle. Et là, venant imiter le mignon brun, elle attrapa délicatement un des mochis à la cacahuète entre ses fins et délicats doigts, venant croiser son bras avec celui du mignonnet afin de lui présenter la petite gourmandise près de lui. C’était une drôle de situation de se retrouver ainsi, c’était à la fois drôle et gênant mais tellement amusant. Pour preuve, Laslow manqua de s’étouffer en riant, arrachant à son tour un léger petit rire à la demoiselle qui ne pouvait s’empêcher de le trouver amusant.

Et après ce petit instant cocasse, nos deux jeunes gens reprirent de leur sérieux, revenant à leur dégustation de manière atypique. Ses jolies prunelles écarlates plongeaient dans celles de son ami, Rubis se mit doucement à rougir de nouveau par cette connection visuelle, esquissant un petit sourire timide en le regardant tandis que le moment fatidique approchait. Ouvrant délicatement et timidement sa bouche, la petite blanchette attrapa délicatement entre ses jolies lèvres rosées la moitié de la petite boule de riz sucrée tout comme son partenaire de dégustation, reculant doucement sa petite frimousse pour mâcher tranquillement ce petit mets.

Qu’est-ce que c’était bon ! Le mélange de sucré salé en bouche, le goût de l’arachide ressemblant à celui du beurre de cacahuète qu’elle adorait tant, la faisant fermer les yeux quelques instants en soupirant de bonheur sous ce goût terriblement délicieux qui lui plaisait énormément. D’ailleurs, tout comme Laslow, Rubis se rapprocha pour prendre la seconde moitié de son déssert, voyant au passage le joli sourire de son bel ami qui était sur un petit nuage dégustative, lui arrachant un tendre sourire tant elle le trouvait attendrissant et mignon avec sa petite bouille.

Alors qu’elle saisit l’autre moitié de son mochi entre les doigts du mignon brun, les lèvres de Rubis frolérent ceux-ci, la faisant devenir complètement rouge comme une belle tomate et faisant emballer son cœur à toute allure à ce contact. Ne reculant point pour autant, car elle tenait toujours l’autre moitié de cette petite merveille sucrée salée entre ses doigts que le mignonnet vint saisir entre ses lèvres au même instant, la mignonette toussota légèrement à son tour, avant de réussir à finir de mâcher la fin de cette petite gourmandise.

Une fois leur dégustation finie, l’albinos se redressa en venant libérer le bras de son bel ami, venant à se redresser sur sa chaise toute gênée en venant toucher ses lèvres, le visage complètement rouge et ses jolies yeux tremblotant en regardant le brun.

« Je… Désolée pour… Je… C’était un accident, je… J’espère ne pas t’avoir sali avec mon rouge à lèvre ou… Autre chose… Désolée… »

Baissant doucement sa tête toute timide, continuant de cacher ses lèvres derrière sa petite main en le regardant, la petite tête blanche le regarda un peu perdue, ne sachant plus quoi dire ou faire tant elle était gênée de la situation. Puis, comme pour chercher quoi dire ou rajouter à la situation après la réaction ou non de Laslow, Rubis reporta son regard sur la table, cherchant quoi dire ou faire, avant que ses yeux ne tombent sur ce qu’il restait dans leurs assiettes. Là, elle vit qu’il lui restait encore les nougats à goûter, mais elle remarqua quelque chose au centre de la table. C’était le verre du milkshake avec les deux pailles que leur avait offert le gérant. Clignant des yeux plusieurs fois en regardant la boisson glacée et lactée, la demoiselle qui ne cessait de rougir vint faire une nouvelle proposition au mignonnet.

« Heu… Une petite soif peut-être ? »

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Hochant la tête en entendant la réponse de son séduisant collègue, tout en continuant de marcher, la demoiselle le suivit donc jusqu’à la porte principale. Et là, une fois dehors, ils marchèrent donc une bonne dizaine de minutes, avant d’arriver devant un immeuble dans lequel ils entrèrent.

Restant sagement non loin de lui, la mignonnette avait suivi sans un mot le bellâtre, finissant par se retrouver devant la porte de son appartement avant de pénétrer dans celui-ci à sa suite. Tandis que le beau brun refermait la porte derrière eux, la jolie albinos zieuta discrètement ce qui l’entourait, admirant l’ensemble de la pièce qui se trouvait sous ses yeux. C’était spacieux, plutôt vide et assez sobre, décoré à la locale. Ce n’était pas déplaisant, c’était même plutôt reposant un appartement aussi simple aux yeux de la petite tête blanche. Mais quelque chose avait attiré son attention : une armure dans la pièce. Et cela l’intrigua, se demandant avec curiosité ce que c’était exactement, à quoi cela servait, pourquoi, etc, venant à se demander s’il collectionnait les armures comme certains.

Mais la jeune serveuse sortit de ses songes en entendant la voix du videur derrière elle, pivotant doucement sur elle-même pour se tourner vers lui. Et puis là, son palpitant cardiaque se mit à battre encore plus vite par la proximité nouvellement retrouvée, rougissant de nouveau en sentant sa main sur sa joue qu’il caressait en venant la questionner.

« Je… Heu… Je pense que ça serait une bonne chose de s’hydrater avant de commencer les cours en effet… »

Répondit-elle d’une petite voix en le regardant, plongeant son regard de ses prunelles légèrement tremblantes dans le sien, ses joues toujours rosées autant par leur rapprochement que le câlinage de sa joue qui n’était pas pour lui déplaire, au contraire.

Esquissant un petit sourire ensuite en ne le quittant pas des yeux, Rubis releva timidement sa main pour venir la poser sur celle de Karl. Et là, elle caressa délicatement sa main qui la cajolait, avant de tourner légèrement sa tête vers celle-ci pour déposer un baiser dans la paume de sa grande main.

« Et je prendrais la même chose que toi… »

Venant le devancer sur la suite avec une potentielle question qu’il aurait pu poser en lui demandant ce qu’elle souhaiterait boire, prenant donc les devants en lui annonçant le copier tout en lui faisant un peu de charme au passage.

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Après que la demoiselle est lancé sa petite phrase à la tronche de leurs deux collègues qui étaient postés devant la porte des vestiaires, elle put admirer son charmant partenaire de danse prendre les devant et continuer leur chemin, venant à se frayer un chemin entre eux en avançant sans un mot. Cela surprit les deux loustics qui s’écartèrent sans broncher, laissant passer le videur en le regardant un peu sonnés par son initiative qui ne leur laissa pas le temps de dire quoique ce soit.

Et la suite les laissa sans voix, venant même les choquer en entendant les mots que Karl adressait à Rubis, venant les tacler tous les deux au passage. Sakura manqua de s’étouffer, venant se taper sur la poitrine pour se reprendre, tandis que Haku passa d’un regard surpris à assassin en regardant Karl, n’appréciant visiblement pas la pique qu’il venait de leur lancé, mais il n’y avait pas que ça bien entendu qui lui foutait la rage. Quant à Rubis, elle souffla du nez amusé en laissant échapper un léger rire d’entre ses lèvres en même temps, esquissant un sourire mutin aux mots taquins du beau brun.

« Mmmh mmmh moui, j’arrive Karl ! » répondit-elle en fredonnant presque, avant de jeter un dernier œil à leurs deux collègues en leur faisant un petit clin d'œil tout en tirant la langue « Amusez-vous bien ! »

Et ni une ni deux, elle fonça pour passer entre eux deux, rejoignant Karl gaiement en fredonnant amusée sans se retourner, marchant avec lui dans le couloir pour rejoindre la sortie du bar. Tandis qu’ils marchaient le long du couloir tous les deux, la jeune serveuse releva son regard vers le séduisant videur, haussant doucement un sourcil intrigué.

« Quelle est la sortie la plus proche de votre salle de cours cher professeur ? Celle de la porte de service ou celle de la porte principale ? »

Continuant de marcher à ses côtés sans s’arrêter en attendant sa réponse, quittant enfin le couloir qui les firent rejoindre la salle du bar, Rubis attendait sagement sa réponse, prête à l’écouter s’il souhaitait lui répondre ou bien à le suivre s’il lui montrait le chemin. Dans tous les cas, elle n’avait pas l'intention de fuir ce kidnapping dansant en sa compagnie, au contraire, elle ne demandait que ça maintenant.

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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: vendredi 28 mars 2025, 20:01:50 »
Et 2 \o/
*va patpater les cornes de Regalis* ça faisait longtemps vous !

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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: vendredi 28 mars 2025, 08:44:49 »
Ouiiiiii  :D
Et 9 \o/ !

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