Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Draven Dairn

Pages: [1] 2 3 ... 11
1
Prélude / Re : L'église est ouverte [Validée]
« le: vendredi 13 décembre 2024, 19:35:59 »
Bienvenue !

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Vous nous quittez déjà ? / Re : Ohlala
« le: jeudi 21 novembre 2024, 08:22:20 »
Plein de courage ! Fias comme tu le sens, prends le temps ! On t'attendra ne t'en fais pas ! ;)

3
Ville-Etat de Nexus / Re : La vampire domestique [ Draven Dairn ]
« le: jeudi 21 novembre 2024, 08:18:30 »
Elle avait supplié et ce simple fait était nouveau. Cela montrait jusqu’où je l’avais poussée, et je n’allais pas le cacher : je jubilais. Elle n’avait jamais été mise dans cet état et je ne pouvais que savourer cette manière qu’elle avait de me surprendre aujourd’hui. Une supplique, un gémissement, une envie qui couvait en elle de sentir qu’elle était possédée, n’est-ce pas ? Alors pourquoi n’aurai-je pas dû en profiter ?  le fouet avait eu un effet dévastateur sur la vampire et je m’en félicitais.
Ses yeux clairs montraient toute sa situation : al détresse d’une envie qu’elle avait besoin d’assouvir, une drogue que je pouvais distiller, et que j’étais le seul à pouvoir distiller. Et rien que pour ça, rien que de sentir que là, maintenant, j’avais réellement le pouvoir sur elle. Parce qu’elle avait abdiqué complètement.
On eut presque dit une personne différente dans ses manières et dans ses attentes. L’hautaine, l’égotiste et dangereuse vampire semblait n’être qu’une petite chose, soumise et envieuse qui attendait tellement de son maitre qu’elle aurait pu crever de dépendance à lui… ce n’était pas une nouvelle facette, je l’avais déjà entraperçue. Mais disons que nous atteignions des sommets que je ne me souvenais pas de l’avoir déjà vue atteindre…

Le sol même semblait la ravir pour subir la besogne de son maitre et je ne savais pas si j’aimais ou détestais ça. en fait, dans son état actuel, elle était en train de sombrer dans une telle servilité et une telle dévotion avide au plaisir, c’était presque décevant, et cela aurait presque supprimé la simple envie de la prendre ainsi, comme elle le méritait, et comme elle l’aurait probablement détesté dans ses phases plus dignes.
Je la relâchais pour admirer son corps blême, menu et élancé, la cambrure de ses reins, l’arrondit de son joli fessier, le haut de ses cuisses, luisants de son envie, les petites lèvres toujours tiraillées par les poids. Une putain sans pudeur, c’était le moins que l’on puisse dire. D’un autre côté, elle semblait ne plus raisonner sur le sujet et offrir sur un plateau ce qu’elle pensait que je puisse désirer….
Elle léchait le sol, tâchant de récupérer les maigres traces de sang au sol, sa nourriture, la seule qu’elle ait eu depuis un certain temps…

« Oui, tu n’es qu’un objet… un morceau de viande existant juste pour mon plaisir, ma chérie… »

Je glissais mes doigts contre sa peau, et jusqu’à son sexe que je caressais, constatant son envie plus qu’abondante d’avoir à subir mes assauts. Je laissais mes doigts errer, glisser jusqu’à son clitoris que je chahutais d’une petite pichenette à la puissance modérée. Je lui fis un sourire et je venais lui offrir ce qu’elle voulait ; je retirais tout rempart de tissu qui aurait pu éloigner nos chairs. J’approchais mon sexe de sa fente moite, faisant courir le gland contre les lèvres avide de celui-ci.

« J’aime t’entendre réclamer et supplier comme si tu connaissais enfin ta place, et cela mérite une petite récompense, je suppose. »

Je me penchais sur elle, la redressais pour jouer avec poids de ses mamelons. Puis je glissais une main dans ses cheveux, et je la retenais un peu redressée comme ça pour forcer la gravité à reprendre ses tortures sur son corps. De mon autre main, je guidais mon sexe pour venir l’appuyer, et forcer son anneau rectal, qui n’avait probablement pas prévu une telle intromission. Je forçais pour rentrer et m’offrir tout le plaisir que je voulais en molestant son corps.

« Savoure, mon adorable putain… »

4
Vous nous quittez déjà ? / Re : (Mini ?) Pause !
« le: samedi 02 novembre 2024, 09:44:06 »
Bon courage à toi pour la refonte. ;)

5
Ville-Etat de Nexus / Re : La vampire domestique [ Draven Dairn ]
« le: samedi 26 octobre 2024, 20:33:42 »
La corde et les entraves ‘argent avaient un air étrange, et beaucoup auraient pu penser que cela n’allait pas ensemble, mais  c’était bien l’inverse, l’harmonie était parfaite pour la simple et bonne raison que chacune des deux matières avaient une cible différente :  largent entravait la vampire, le chanvre entravait la femme, d’une certaine manière…. Et ainsi, je lui prenais tout, et je ferai tout ce que je désirerai d’elle. Bon gré mal gré, c’était une évidence. Quant à savoir si elle voulait, ça, c’était une autre paire de manche. Elle voulait sans doute justement obtenir sans avoir à laisser de côté son égo. Au fond, que je la force était sans doute le meilleur compromis qu’elle espérait, indubitablement.
Je la sentais vibrer, se livrer, l’offrir, se ravir. C’était un spectacle sublime…

Les cris qui accueillirent les pinces et les lourdeurs de ses petites lèvres se montrèrent comme une symphonie tant visuelle qu’auditive, les plaintes doucereuse et le spectacle de ses chairs qui étaient meurtries étaient magiques… je savourais et je l’admirais alors que la séance de flagellation continuait. Son corps était libre de subir toute souffrance que je désirerai lui faire subir. Elle allait être magnifique, j’en étais persuadé. Cette fois, je savais qu’elle avait souffert de plaisir suffisamment pour mériter une petite goutte de sang. Son petit air extatique à la simple goutte de sang suffisait à montrer à quel point elle était prête à se briser. Et si elle était prête à se briser, alors les aiguilles achèveraient le travail sur son corps, quand le sang qui perlait de mon doigt achèverait de ruiner son esprit. Je la voyais ne perdre des yeux aucune goutte de sang qui lui était refusée… et je savais qu’elle était magnifique, comme ça.
Sa voix semblait là, mais sans qu’une quelconque cohérence ne vienne ou qu’aucun son ne soit pleinement audible. Alors, je lui caressais les cheveux avec douceur, enfin, quand elle fut en mesure de prononcer une phrase cohérence et que je pu comprendre.

Avait-elle déjà supplié de la sorte ?
Non, sans doute jamais. Ou aucune autre occurrence ne me venait comme ça. Si je n’en profitais pas, aurai-je une autre opportunité du genre ? J’en doutais vraiment… alors, je renonçais un peu, et avec une petite dose de dépit, aux aiguilles pour venir la faire descendre de son perchoir, la privant de chanvre.
Je ne retirais pas les pinces, je ne comptais pas le faire. Non, je ne comptais pas la priver d’une douleur qu’elle avait cent, mille, un million, de fois, mérité. Tout simplement. Je lui fis un sourire tendre et je lui caressais la joue, éloignant ma main si jamais elle essayait de la mordre.

« Chaque chose en son temps, ma chérie… »

Je lui liais les poignets dans le dos, fermement, pour l’entraver de nouveau. Mais je ne lui offrirai pas le luxe de ma chambre, non.

« Tu ne mérites pas d’avoir un lit moelleux sur lequel t’allonger afin d’être besognée. Là, ici, tête contre le dallage et cuisses bien écartées. Réclames de la plus belle et de la pire des manières, alors je t’offrirai une délivrance que tu ne mérites pas mais que je daigne t’accorder… »

Et pour la guider, le la tirais par les cheveux pour l’approcher d’une zone évidente : si elle plaquait la joue au sol, sa langue pourrait laper les maigres gouttes de mon sang qui étaient tombées.

6
Prélude / Re : Ce n'est plus vraiment un club, mais... [Vanéalidées !]
« le: dimanche 20 octobre 2024, 17:01:27 »
Yeah Welcome back !

7
Prélude / Re : Fouine, un rat des villes.
« le: mardi 15 octobre 2024, 21:13:41 »
Bienvenue !

8
Prélude / Re : Dany [Validoulalidée]
« le: vendredi 27 septembre 2024, 08:35:26 »
Bienvenue !

9
Ville-Etat de Nexus / Re : La vampire domestique [ Draven Dairn ]
« le: mardi 24 septembre 2024, 08:17:36 »
La vampire, tenant toujours le crochet métallique, m’impressionnait, forcément, par sa tenue. Usuellement, j’avais besoin de l’attacher à son « perchoir » mais là, non, pour le moment, elle tenait le coup sans perdre son attache. Ça promettait d’être intéressant que de la voir perdre vraiment pied au point de « lâcher ». je caressais les marques dans son dos, dans ses bras, et même au visage qui en avaient pris aussi. Elle supportait la douleur comme personne et la savourait. En jouirait-elle ? Probablement pas. Mais elle permettait de me défouler sans casser mon jouet. C’était important, n’est-ce pas ? Je faisais le tour pour revenir devant elle, pour l’admirer.
Elle, elle savait crier. Ses cris qui mêlaient désir, plaisir, douleur, étaient toujours un vrai régal, et je venais embrasser la peau marquée, caresser le sexe meurtri.

Je la voyais lutter contre les sensations et je savourais la palpitation que ses lèvres intimes  exprimaient contre mes doigts. Elle savait très bien que ce n’était qu’un début ; donc forcément… je jouais à tirer doucement sur les poids ornant sa poitrine menue, et je l’écoutais dire une grande vérité. Mes lèvres s’étirèrent en un rictus qui monta jusqu’aux oreilles. Elle me connaissait si bien… la lueur émeraude dansa devant mes yeux.

« Oui, tu as raison, il manque quelque chose entre tes cuisses… c’est quelque chose de très important… »

Je m’écartais avant de revenir avec de la corde. Un chanvre rugueux, qui ne serait pas faits pour la tendresse. Et je commençais par attacher une cheville à  sa cuisse, et sa cuisse à sa taille, ainsi, sur un pied, elle ne pourrait plus fermer les cuisses, même si elle le voulait. Ce qui me permettait de venir prendre des pinces égales à celles ornant ses mamelons pour venir enserrer ses jolies petites lèvres intimes. De cette manière, elle savourerait encore plus, non ?

« Voilà, comme ça il ne manque plus rien, n’est-ce pas ? Tu vois ce que tu me fais faire parce que tu n’es pas capable de garder les cuisses écartées ? »

Je reprenais alors mon arme, et je venais donner une nouvelle fois un cinglement de lanière sur son sexe impatient, et je regardais les nouveaux poids danser, d’un revers de la main je fis cingler les lanières plus haut afin que les quatre poids dansent de concert. C’était un bien joli spectacle.

« Après nous passerons aux aiguilles, qu’en penses-tu ? »

Je venais caresser sa joue et venais même, volontairement glisser mon doigt contre sa canine, prononçant les mots adéquats pour lever de manière momentanée le sceau et faire perler une petite goutte de sang je savais qu’elle ne perdrait pas une miette de cela. Puis, doucement, je pressais à intervalle régulier à côté de la plaie pour faire perler goutte à goutte. Chaque goutte venant heurter le sol.

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Coucou toiiii o/

Je te valide ! Muahahaha !  :-*

En espérant que tu ne resteras pas trop dans la peau de ton frangin ! D:

Le vrai souci serait qu'elle ne trouve que la peau de son frangin, surtout....

11
rebienvenue !

12
Rebienvenue !

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Plein de courage !

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Ville-Etat de Nexus / Re : La vampire domestique [ Draven Dairn ]
« le: samedi 24 août 2024, 14:41:51 »
Le chat à neuf queues avait été clément dans es griffures pour le moment. Elle le savait comme moi ? mais la combinaison des poids et des longues et lourdes lanières de cuir faisaient leur office. Notamment quand il lui arrachait des cris. C’était tout ce que l’on pouvait donner. Apparemment, user des poids avait été une bonne idée. Une petite option savoureuse.  Elle m’excitait à souffrir de la sorte, c’était évident, n’est-ce pas ? Sinon, pourquoi trouver si facilement prétexte à m’y livrer ?
 Le coup qui heurta son sexe, il me ravit lui aussi, par la musique du cuir, et par ses vocalises de la vampire, qui montrèrent qu’elle avait, elle-même, « apprécié » le moment à sa juste valeur. Je commençais à la connaitre, je savais quand le cri n’était pas de la pure douleur. Mais rien que pour ça, je ne pouvais qu’apprécier la chose, qu’apprécier l’instant, et ce, même si je ne voyais pas ses traits se tordre et se déformer, je les devinais. Mais j’avais eu mon petit effet, elle en avait resserré les cuisses. Oh, juste un instant, mais assez pour essayer soit de cacher la situation de son sexe, soit pour le dérober aux coups suivants.
Mais elle était bien dressée, ou du moins, elle était en passe d’être bien dressée, donc elle rétabli l’écart d’elle-même sans que j’aie besoin d’intervenir. La frêle créature avait le souffle un peu court. Et je sentais la fébrilité de son être. Allait-elle

Ma demande si la force des coups de fouet étaient suffisants ou s’il fallait frapper plus fort était une belle demande. Qu’en dirait-elle ? Son égo ne pouvait pas lui faire dire que c’était trop fort. Ni que c’était juste assez fort, bien sûr. Elle le savait, en se calant contre mon doigt, contre ma main. Son assaut de fierté sur le sujet ne saurait que lui être préjudiciable, c’était l’évidence même.
Alors forcément, sa saillie sur le sujet était clairement une bien belle invitation.

« Soit… je suppose que tu es le seul mérite que frappe plus fort, n’est-ce pas ? Mais avant… peut être devrait-on rajouter des pinces ici ? »

Ma main s’égara, le long de ses lèvres intimes, venant caresser son sexe dans y entrer. Son humidité palpable devait aller de pair avec son attente de la douleur, n’est-ce pas ? pour autant je ne suivais pas mes mots et je donnais une claque aux notes poisseuses à cette zone si sensible de son anatomie.
Cette fois, lorsque j’armais mon bras, la position changea très légèrement. Je venais alors laisser pleuvoir les lanières contre son bras. Le manque d’espace entre son bras et son visage vinrent faire cingler les lanières sur sa joue.
Bis repetita. Le second bras, et l’autre joue, prit le même tarif.

Je choisissais alors de faire preuve d’un peu de cruauté légère, en tachant de ne frapper cette fofos, non ses bras mais ses poignets et doigts joints, afin de rendre la prise, qu’elle savait ne pas avoir le droit de lâcher.

« Vas-tu tenir le coup ? »

Cette fois je frappais fort. Très fort. Faisant de nouveau remonter le fouet aux multiples lanières entre ses cuisses. Mais je ne la laissais pas souffler, car après le mouvement ascendant, le mouvement descendant fut du même acabit, faisant cingler le cuir sur ses reins, et ses fesses. Cette fois, la peau marquait davantage que de simples légères trainées rosâtres.
Toujours pas de répit, les lanières s’enroulèrent autour de son buste, à nouveau.

« Tu as le droit de t’effondrer et de prier pour être épargnée ou pour que je cesse…. Je suis quelqu’un de clément… »

15
Bienvenue !

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