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Messages - Kenichi Kawamura

Pages: [1]
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Centre-ville de Seikusu / Re : La corruption par le corps [Pv.]
« le: mardi 04 novembre 2025, 10:33:11 »
La dircom avait laissé à Kenichi une chemise en cuir dans laquelle il pouvait consulter des infos concernant Lynn. Aussi, alors qu'elle s'exprimait, il l'ouvrit et feuilleta les pages nacrées dont certaines présentaient quelques clichés. Bien entendu, ce dossier avait soigneusement été épluché par Keiko au préalable et toute forme de négativité en avait été retirée, comme les notes de Lynn par exemple ... qui n'aurait pas été dans le sens d'une présentation exemplaire. En revanche, la diabolique aînée de Kenichi avait bien choisi des photos directement subtilisées dans le disque dur de la jeune femme qui n'aurait jamais osé les publier dans un book.

D'ailleurs, celle où l'on découvrait Lynn penchée vers l'objectif, souriant adorablement mais dont le chemisier ouvert laissait plus qu'entrevoir son naturel très ... proéminent ..., laissa Kenichi pensif un court instant. Il aimait l'art sous la plupart de ses représentations, était ouvert au partage et à la compréhension des goûts de chacun, et se passionnait pour l'originalité comme pour les réalisations classiques. Mais là, outre la beauté pure de Lynn qui était indéniable ... quel était l'objet de la photo sinon harponner le fragile garçon qu'il était....?

Il releva la tête et lui sourit, mêlant dans son esprit ce qu'il venait de voir et la Lynn apprêtée et pimpante qui lui faisait face.

"Youri Kouznetsov? Oui, je connais bien Youri. Il a eu l'occasion d'exposer chez nous et sa vision du corps humain est captivante. Il sait mettre en avant un détail pour en développer toute la particularité ou la splendeur. J'ai particulièrement aimé sa série consacrée à la beauté mature des personnes âgées qu'il présentait entre autre par la profondeur de regards cernés de rides ou de gestuelles inspirant assurance et sagesse.
Ainsi donc, il vous a capté. J'imagine qu'il a décelé en vous  une muse car il est difficile dans ses choix. Félicitations! Cela prouve que vous êtes aussi adaptable que persuasive; des qualités que je recherche chez mes collaborateurs."


Et puis, Lynn disposait aussi d'une aisance relationnelle remarquable pour une jeune femme qui était sensée découvrir un milieu inconnu. Sa gestuelle et son attitude ne trahissaient aucune hésitation ni aucun doute ... sauf ... cette dernière petite accroche bien évidemment involontaire.

Kenichi pinça ses lèvres pour réprimer un sourire amusé. Quelle fraicheur! Lui qui côtoyait principalement des filles de bonnes familles qui ne sortaient pas un mot sans que celui-ci soit savamment calculé ... La maladresse de Lynn en était même inspirante.

Elle dissimulait son trouble et c'était d'autant plus adorable.

"C'est une eau des Alpes françaises et en effet, elle est délicieuse ..."

Il se cala bien dans le canapé dont le cuir lisse plia sans un crissement sous son poids. Cette fois ci, il prit soin de bien l'observer, de lui rendre son assurance et de l'entreprendre sur l'objet de sa présence auprès de lui. Bien entendu, il passa sous silence le changement de programme puisqu'il n'aurait jamais dû s'occuper d'elle. Ce n'était pas son job de président de cette branche du groupe mais il venait de décider qu'il pouvait faire l'effort de s'intéresser à ce petit bout de femme envoutant.

"Bien puisque vous êtes méritante et que je suis sûr  qu'un bel avenir se profile pour vous, je vais donc vous prendre tous les soirs ... à mes côtés. Vous observerez, apprendrez, noterez, tout ce que bon vous semblera, sauf les points que je vous indiquerai. Vous allez signer une clause de confidentialité personnelle et professionnelle, liée à ma personne tout comme à l'entité de l'hôtel. Ainsi, vous et moi serons protégés de toute forme de corruption. J'entends par là qu'il est facile de faire une erreur, bien souvent involontaire, mais qui peut avoir des conséquences graves pour la suite. Je sais déjà que vous n'en ferez pas."

Kenichi se leva, passa derrière son bureau et appela brièvement son fidèle directeur juridique pour aborder  ce sujet et produire le document qui arriverait bien assez tôt.

"Je vais maintenant vous présenter l'hôtel et son fonctionnement, puis vous assisterez à une réunion de préparation en vue de la venue prochaine d'un émir koweïtien. Il occupera un étage complet de l’hôtel pour une semaine avec sa suite. Les raisons de sa présence ne concernent que lui mais s'il se déplace, c'est que des investissements massifs dans le pays sont programmés. Donc nous nous devons de lui assurer une prestation exemplaire sur toute la durée de son séjour. Venez, suivez moi."

Il invita Lynn à le suivre et ils quittèrent le bureau pour un tour des services, du plus humble au plus important. Kenichi était un dirigeant apprécié. Son sens de la gestion du personnel notamment, marquait par sa proximité avec ses gens. Un petit mot gentil par ci, un commentaire agréable par là, une question au sujet de la famille ou concernant une bobologie connue et il avait son staff dans la poche.

La réunion vint bien assez vite. Elle avait lieu dans l'une des innombrables salles de conférence des élites de l'hôtel et chaque directeur de service était présent. La machine était rodée et tout fut calé. Seul hic, la présence de Keiko qui en tant que directrice de son propre groupe, était concernée par la venue de l'émir en question, principalement sur les questions de publicité. Elle n'échangea pas un mot avec Kenichi, laissant ses sbires gérer les détails. Cependant, plus d'une fois, elle darda son regard de vipère maudite sur Lynn qui siégeait un peu en retrait de sa cible.

La réunion prit fin et une nouvelle fut aussitôt programmée pour la semaine suivante. Après avoir signé un certain nombre de documents présentés pour l'occasion, l'héritier fortuné se tourna vers la petite créature que sa sœur envisageait de détruire en cas d'échec.

"Alors Lynn, avez vous des questions au sujet de ce que vous venez d'écouter? C'était assez technique j'en conviens mais utile en terme de gestion de nombreuses équipes amenées à travailler de concert."

Suivi à distance par son staff intime, il les emmena vers le restaurant privé du dernier étage. L'heure était au repas et le chef étoilé avait comme toujours préparé un buffet d'exception pour le maitre de l’hôtel. Caviar: oui, homard: évidemment! , baudroie bleue: un standard incontournable! , vin: blanc sec et français, bourgogne, millésime introuvable.

Kenichi aimait choisir ses plats et quantités et se servit lui même au buffet après une présentation du chef. 

"Régalez vous Lynn, usez et abusez, les plaisirs de la table sont ma petite faiblesse."




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Centre-ville de Seikusu / Re : La corruption par le corps [Pv.]
« le: dimanche 19 octobre 2025, 20:44:39 »
"Elle arrive monsieur."

Kenichi ne fit pas attention au pronom utilisé. Il termina de parapher un feuillet et tendit le signataire au personnel de son secrétariat particulier qui repartit au trot. Par "elle", cela signifiait la voiture. La voiture arrivait. Tout était en place, on le lui confirma, aussi il tira légèrement sur sa veste et porta son regard sur l'entrée de l'hôtel. L'énorme Mercedes s'arrêta devant sans un bruit et un portier se précipita pour ouvrir l'une des portes arrière.
Kenichi soupira. Encore quelques minutes et il pourrait retourner s'occuper d'affaires autrement plus importantes et ...
Il se figea. Comme beaucoup d'autres d'ailleurs. Quelque chose clochait. C'est bien d'un étudiant qu'on lui avait parlé non? Un regard à son secrétaire lui confirma que celui-ci ne lui apporterait aucune réponse, tant il paraissait aussi surpris que lui.
Par étudiant, le King Hotel avait décroché le gros lot. "L'étudiante", puisqu'il s'agissait d'une demoiselle, n'avait de ce statut que le nom tant elle détonait. Sa place était sur un stage, ou à arpenter un catwalk. Belle, elle l'était assurément. Canon aurait été le terme dans un langage plus commun. Elle avait l'air plus mature que pourrait l'être une étudiante et son assurance dénotait alors qu'elle s'approchait de Kenichi, ses talons claquant fort sur le marbre du hall.

Le jeune homme n'eut que quelques secondes pour l'observer sans que cela devienne gênant et il s'attarda à détailler ce corps et ce visage si parfaits dans leur particularités. Il oublia aussitôt ses entrées agenda à venir et cligna une fois des yeux, seul signe apparent du trouble qui l'avait assailli. Quand elle fut tout à fait proche, son parfum l'enveloppa et définitivement, Kenichi tomba sous ce charme dont il n'arriverait pas à se défaire. Oubliée les bimbos qui lui tournaient autour, envolées les riches héritières de son âge qui redoublaient d'ingéniosité pour tenter de décrocher un rendez-vous avec lui, disparues les promesses de fiançailles au paternel quand il posait la question avec insistance. Non, là, l'univers de Kenichi venait de se recentrer sur ... Lynn ... lui chuchota t'on tout près.

Il tendit la main pour serrer celle qu'elle lui proposait et ce premier contact fut électrique, lourd de proximité et indicateur d'une tension très positive.
Quelques flashs crépitèrent et le caméraman usa de professionnalisme pour effectuer son meilleur cadrage.
On était au Japon donc la liberté de démonstration était réduite. Il ne l'invita pas à l'appeler Kenichi mais lui pouvait bien l'appeler Lynn en revanche.

"Enchanté mademoiselle. Le groupe King Hotel vous souhaite la bienvenue et à titre personnel, je vous adresse mes sincères félicitations. Je ne doute pas que vos efforts et votre ardeur à réussir vos études sont à l'image de ... (il faillit dire votre apparence tant Lynn était magnétique) ... ce que l'on m'a rapporté de vous."


Cette fin de présentation n'était pas la meilleure qu'il ai pu sortir mais personne ne se souciait généralement des quelques premiers mots d'introduction préparant des suites plus intéressantes.

"Si vous voulez bien me suivre ..."

Il surprit tout son staff, et lui même aussi en vérité, car quelqu'un aurait dû prendre en charge l'étudiante. Mais il l'invita à l'accompagner et prit tout naturellement l'itinéraire menant aux ascenseurs.  Comment avait-elle fait pour se payer des Louboutins? Peut être était-ce des copies mais il en doutait. La prestance de Lynn n'était pas feinte et ses vêtements sentaient le luxe. Il avait l'œil pour ça mais à contrario, perdait sa capacité à analyser la situation comme il le fallait. Troublante cette Lynn, mais si elle était là, c'est qu'elle avait passé tout un tas de filtres essentiels. La triche n'était pas possible pour accéder à une récompense comme celle qu'elle venait d'obtenir.

L'ascenseur était spacieux et leur proximité interrompue par la présence du secrétaire personnel de Kenichi et celle de la directrice de la communication qui avait réussi à s'immiscer in extremis aux côtés de son boss. Ils atteignirent vite le dernier étage de l'hôtel et passèrent dans le bureau de Kenichi où ils s'installèrent autour d'une table basse. Café? Non, trop jeune, Thé? Non, trop jeune aussi. De l'eau suffira.
Ce court voyage avait permis à Kenichi de reprendre ses esprits et de redevenir l'homme d'affaires et PDG qu'il était. Aussi, malgré l'arrogance de la poitrine de la jeune femme qui le narguait, il présentait sa véritable nature, en tout cas celle qui faisait la une de bien des journaux.

"Et si vous me parliez un peu de vous mademoiselle."

Une légère vibration du smartphone du secrétaire l'incita à quitter la pièce et quelques instants après, il faisait signe à la com de le rejoindre. Kenichi et Lynn se faisaient face et pour la jeune femme, c'était peut être l'épreuve qui lui permettrait d'aller plus loin dans le projet machiavélique de Keiko.

3
Centre-ville de Seikusu / La corruption par le corps [Pv.]
« le: mercredi 30 juillet 2025, 07:16:24 »
Hiro Kawamura était un homme de réflexion. Il avait bâti sa fortune à l'aide d'idées murement réfléchies et aujourd'hui, son groupe se portait au mieux de sa forme. Ses affaires touchaient de nombreux secteurs allant des nouvelles technologies à l'hôtellerie de luxe. Pour gérer cet empire financier, il s'était entouré de personnes compétentes et sa relève était assurée en la présence de sa fille Keiko et de son fils Kenichi. Ses enfants étaient brillants, prometteurs, et dignes de lui succéder. C'était d'ailleurs là le seul sujet de discorde de la famille. Le vieil Hiro, qui avait malgré tout encore du temps devant lui, n'avait pas désigné le successeur de son groupe. La fille ou le fils? A une certaine époque pas si lointaine, c'est Kenichi, parce qu'il était un homme qui en aurait hérité. Mais les temps avaient changé et le Japon s'était un peu ouvert à l'égalité des sexes. Et si cette égalité pouvait faire gagner plus d'argent, alors elle était la bienvenue.

Kenichi n'était pas obnubilé par cette affaire de succession. PDG du Star Hotels Group, il avait assez à faire avec la gestion de cette chaîne d'hôtels de très grand luxe. Mais Keiko, elle, avait les dents longues et son obsession d'accéder au sommet de la pyramide avait poussé leur relation frère-sœur au rang de conflit ouvert. Keiko s'était montée le bourrichon toute seule et s'imaginait exclue du conseil du Groupe principal si Ken en prenait la tête alors qu'initialement, son frère n'envisageait rien tant que leur père couvait les affaires familiales.

Les nombreux coups bas et tentatives de déstabilisation de Keiko envers Ken avaient ouvert une forte antipathie entre les deux. Keiko haïssait Ken au point de se réveiller certaines nuits, trempée de sueur, et s'imaginant l'éliminer définitivement. Et le jeune homme, lui, en venait à développer une répulsion farouche pour son aînée. Il passait beaucoup de temps à désamorcer les pièges de sa sœur et quand il rendait les coups, il s'arrangeait pour faire mouche sans avoir à la préserver.

D'ailleurs Kenichi soupçonnait Keiko d'être derrière la dernière décision prise par leur paternel. L'image d'un groupe comme le leur était l'assurance de sa réussite. La direction de la communication occupait une place de premier ordre dans l'organigramme général et son directeur avait l'oreille du grand patron. Donc Hiro imposait à ses présidents de secteur de se plier à sa dernière idée. Le Groupe se voulait moderne, ce qui signifiait faire preuve de générosité, de montrer qu'il était ouvert à l'ascenseur social, que tous y avaient leur chance de réussir ...
Chacun des présidents aurait à gérer un étudiant sélectionné selon des critères définis par la direction de la communication. L'objectif était de valoriser l'image du groupe auprès de la population, ce qui d'une manière ou d'une autre, influait toujours sur les bénéfices engrangés. Mieux valait passer pour un riche gentil que pour le cliché des fortunes arrogantes et méprisantes ...

En soi, l'idée était bonne, un peu simple mais la simplicité favorisait souvent l'efficacité. Permettre à un jeune d'apprendre auprès d'un expert sous le format d'un stage de moyenne durée, c'était généreux. Bien entendu, il était prévu que le staff des différents chefs de secteurs s'occupent des étudiants concernés mais pour Kenichi, Keiko avait peut être souffler sur les braises.

C'était le grand jour! Kenichi allait accueillir aujourd'hui l'heureux élu en question. Il n'avait rien eu à préparer, ce n'était pas son job de jouer les baby-sitters. Cet accueil était seulement l'une des entrées de son agenda du jour et une fois les présentations faites, son staff prendrait le relais. Sauf qu'il ne savait pas encore à quel point Keiko s'était investie dans cette histoire. La proximité de Ken avec l'étudiant ne relèverait pas de la gestion lointaine, non. On allait lui mettre le paquet dans les pattes et se serait arrêté par une bonne séance photo à paraitre sur le site officiel de la famille Kawamura!

L'heure approchait et Kenichi ajusta sa cravate en observant son reflet dans le dressing jouxtant son bureau. Le grand brun était aussi austère qu'élégant. Il respirait l'assurance des puissants et son regard un peu froid était celui de ceux qui savent prendre une décision cruciale. Il roula des épaules sous sa veste Pierre Cardin et quitta ensuite son bureau pour rejoindre le grand hall du King Hotel Seikusu. L'établissement était ce qui se faisait de mieux en matière de luxe et sa position dans l'hyper centre de Seikusu en faisait un édifice à ne pas manquer: superbe, alliant modernité et tradition en parfaite harmonie. Les matériaux de construction et de parement venaient d'italie, de France et d'Allemagne principalement. Le luxe débordait dans tout son raffinement. Rien que le grand hall faisait la taille d'un petit palais. On y offrait tous les services possibles et les employés, en tenue impeccable s'assuraient que le moindre désirs des clients soit considéré avec soin et empressement.

Une équipe de com avait monté un trépied avec caméra et terminait de caler des panneaux réflecteurs afin d'optimiser la prise de vue à venir. Le secrétaire particulier de Ken lui présenta des documents à consulter alors qu'ils attendaient que la mise en scène se termine. Une berline de l'hôtel, une des Mercedes VIP, devait déposer l'étudiant devant les grandes baies du bâtiment et un staff spécial le ferait entrer pour l'amener "au patron". Tout était prêt.

4
Centre-ville de Seikusu / Re : Change ma vie! Adore moi! [PV.]
« le: mardi 16 avril 2024, 19:24:20 »
Comment une fille si mince pouvait-elle avoir une aussi grosse poitrine? Abasourdi, ou plutôt envouté par la vision de rêve qui s'inclinait devant lui, Kenichi avait le regard rivé sur ce décolleté qui n'en était pas un mais qui en tout cas laissait suggérer deux merveilles. Quelques secondes passèrent, bien plus que nécessaires, avant qu'il ne se reprenne et ne se lève de son siège. Des femmes? Combien lui couraient après? Un bon nombre, dont certaines venaient de familles richissimes. Jusqu'à présent, il avait toujours évité les pièges amoureux ou affectifs, et bottait en touche dès que quelqu'un abordait la question de ses amours. Son père œuvrait constamment à le caser et Keiko lui mettait aussi des greluches dans les pattes. Personne ne comprenait qu'il souhaitait uniquement avoir une relation avec celle qui ferait vibrer son cœur, son âme sœur. Il avait été clair à ce sujet une fois, lors d'un repas de famille et son père ne lui avait pas parlé pendant deux mois.

Kenichi tira sur sa veste pour l'ajuster et se racla discrètement la gorge avant de faire le tour du bureau.

"Bonjour, bienvenue! J'attendais votre venue mais je ne me doutais pas que vous ... (boulette) ... hum ... que vous arriveriez si tôt (ouf!)"

Il se surprit à lui tendre la main pour serrer la sienne et même le ton aimable qu'il avait employé l'étonna. Nul doute qu'il était sous le charme et il s'en rendit compte aussitôt. En soi, cela ne représentait rien de grave, elle ne le connaissait pas et ne pouvait pas déceler son changement de comportement.

"Je suis heureux de vous accueillir au sein de notre entreprise. J'espère que vous pourrez apprendre auprès du "Star Hotels Group"." Et d'ajouter ... "Si vous vous montrez investie, vous pourriez même envisager d'y travailler ..."

Ca aussi, c'était inhabituel mais il lui fallait un peu de temps pour se remettre les idées en place. Et pour cela, Alice ne lui facilitait pas la tâche. Bien que très respectueuse, elle occupait tout son horizon par sa présence ultra sexy et son parfum envoutant.

"Asseyez-vous je vous en prie. Un thé? Un café?"

Le sofa du coin salon du bureau était immense mais curieusement, ils se retrouvèrent côte à côte. Cela n'échappa pas à Jun, l'ami de toujours de Kenichi. Ils se connaissaient intimement et Jun était aussi le confident et un précieux conseiller pour son ami. Lui aussi avait prit une claque quand Alice s'était inclinée. Il avait eu droit à au spectacle ravissant qu'elle lui offrait ... vu de derrière. Se calfeutrant dans son rôle de secrétaire, il put faire fonctionner son cerveau plus vite que Kenichi. Qu'est ce que ça voulait dire? Ca sentait le coup foireux de Keiko à plein nez. Il n'incriminait pas Alice  qui avait l'air absolument innocente derrière son corps de fou mais quelque chose sonnait étrange. et si piège il y avait, alors Kenichi sautait dedans à pieds joints. Le directeur du groupe avait comme un dérèglement du regard qui tendait à plonger une dizaine de centimètres sous le menton de la jeune femme. Là, la veste du tailleur peinait visiblement à conserver ce qu'elle dissimulait tant bien que mal. Jun disparut pour aller chercher les boissons.

Kenichi reprit, allant chercher un dossier sur son bureau. Son staff avait prévu un programme assez dense pour Alice. En fait, elle allait le suivre pour observer le monde des affaires sans pour autant assister aux réunions ou rencontres trop importantes. Il lui exposa tout cela, ne pouvant s'empêcher de lorgner sur ces lèvres divines.

"Vous avez un ami? ... (Oups) Euh, je voulais dire que vous allez avoir un emploi du temps chargé alors prévenez les vôtres que vous serez souvent absente."

Il avait rougi et son cœur battait fort dans sa poitrine. Bon sang! Quel effet elle lui faisait! Et puis, il adorait sa voix et sa gestuelle précise mais discrète.

5
Centre-ville de Seikusu / Change ma vie! Adore moi! [PV.]
« le: mercredi 05 juillet 2023, 19:46:03 »
"Ainsi donc, c’est vous Alice Makaï, le jeune prodige de la grande Université de Seikusu …"

Keiko dardait sur la jeune femme son regard vipérin. L’aînée de la famille Kawamura siégeait à son bureau et tenait parfaitement son rôle de présidente-adjointe du groupe familial, juste après son père dans la hiérarchie. Elle recevait aujourd’hui une étudiante particulièrement méritante puisqu’elle avait décroché la première place aux résultats scolaires de cette fin d’année. Depuis toujours, le groupe Kawamura avait édifié un partenariat avec la prestigieuse université et acceptait de recevoir en stage ses meilleurs étudiants qui bien souvent terminaient recrutés par ce même groupe. Ce n’était pas innocent. En effet, l’entreprise assurait d’embaucher les meilleurs éléments dans tous les domaines possibles, et préserver ainsi sa place dans le podium des groupes les plus fructueux du Japon.

Dans ce monde-là, tous les coups étaient permis et seuls les plus forts survivaient. La famille Kawamura n’échappait pas à la règle. Le père régnait d’une main de fer sur son empire mais il se faisait vieux et se posait la question de la répartition de son héritage. Diviser ses biens entre sa fille et son fils affaiblirait la puissance de l’entreprise aussi il pensait léguer au plus performant la totalité de son incommensurable fortune. Parce qu’elle était l’aînée, Keiko avait reçu le poste de vice-présidente du groupe mais qu’il devait aussi avoir sa chance, Kenichi le cadet était le directeur du groupe hôtelier et de la branche aéronautique de l’empire Kawamura. Incitant ses enfants à donner le meilleur, l’ancien avait déclenché une guerre où la pitié n’existait pas.
Mais là où Kenichi ne voulait pas s’investir dans cette lutte, alors Keiko faisait en sorte d’écraser son petit frère par des manœuvres vicieuses et tordues. Et aujourd’hui, l’Université de Seikusu venait de lui fournir une arme mortelle dont elle n’allait pas se priver de se servir.

" Alice Makaï …"

Elle se leva et fit le tour de son bureau pour y poser les fesses et se placer devant l’exemplaire jeune femme qui se tenait devant elle. Keiko agita le dossier d’Alice.

"Vos résultats sont impressionnants, il semblerait que vous excelliez dans tout ce que vous faites."

Le ton était froid. Pourtant la douce chaleur du soleil inondait l’immense pièce qui occupait tout un pan du dernier étage de la tour d’affaires Kawamura à Seikusu. Keiko n’avait aucune limite dans l’exécution du vice. Elle ne voulait qu’une chose, l’unique première place. Et par hasard, l’enquête de moralité poussée qu’elle avait ordonnée concernant la demande de stage d’Alice l’avait menée à la découverte d’une autre personne intéressante, et d’un fait surprenant.

"Voyez-vous … j’admire les salopes qui cachent bien leur jeu. Regardez-vous, vous êtes l’archétype de la réussite, bien que vous soyez une … populaire." Le mot craché renvoyait une image odieuse de ce qu’elle pensait des gens du peuple.

"Savez-vous qui est Sakura ? Je l’ai découverte quand mes agents très spéciaux ont inspecté votre ordinateur afin de savoir si vous étiez digne de servir chez nous. Digne, vous ne l’êtes pas mais rassurez-vous, j’ai des plans pour vous."

Keiko ouvrit le dossier d’Alice et exhiba des photos et des copies de messages directement liées à la vie cachée de l’étudiante.

"Oh ! Et puis, il y a cela aussi !"

La vice-présidente prit une télécommande et alluma un énorme écran dont la taille défiait l’entendement. La vidéo était prise du dessus et on y voyait Alice sucer le pénis d’un très jeune homme. Le smartphone qui enregistrait pivota pour montrer le sourire hilare d’un gamin qui fit un clin d’œil à l’objectif avant de se concentrer à nouveau sur la splendide suceuse.

"Il semblerait que votre frère soit le premier de vos fans … Bravo Sakura !"

Elle sourit enfin, essayant d’être faussement compatissante.

"Ne faites pas cette tête ! Ce n’est pas comme si vous risquiez de tout perdre, nous n’en sommes pas là et j’ai besoin de vous."

Keiko prit le temps de commander par un interphone un thé, un seul, avant de continuer.

"Vous allez séduire mon frère et m’aider à le faire couler. Je vais vous placer comme stagiaire auprès de sa personne, il ne pourra pas refuser et vous deviendrez sa pute au point de le faire sombrer dans la dépravation, c’est compris ? Vous n’avez pas besoin d’en savoir plus. Vous vous arrangerez pour me donner les preuves de sa décadence, photos, vidéos, messages. Je veux que Sakura devienne la chienne de Kenichi. Vous lui viderez les couilles et le rendrez fou de vous. Il n’est pas habitué aux personnes de basse exaction aussi il sera surpris et ne saura pas quoi faire. Les femmes qu’il côtoie d’habitude sont respectables mais il n’est pas intéressé. Soyez le catalyseur de la perversion et ne faites pas l’erreur de merder sinon … vous, votre débile de frère, vos amis, votre famille, je détruirai tout publiquement !"

Elle la regarda.

"Nous sommes en 2023, les filles aujourd’hui s’habillent comme des putes. Cette tenue ne vous va pas. Avec lui, soyez provocante et utilisez vos loches pour réussir ! Maintenant sortez, mon assistante vous guidera pour le reste."

C’était atroce comme situation mais Keiko s’en moquait. Elle s’affaira à autre chose dès qu’Alice quitta la pièce. Et en effet, tout ce dont Alice avait besoin lui fut fourni. Elle devait se présenter le lendemain au King Hotel de Seikusu, fleuron du Star Hotels Group que dirigeait Kenichi. L’établissement était l’endroit le plus luxueux de la ville et accueillait les plus grandes fortunes du monde. Tout y était démesuré et inabordable pour le commun des mortels. Kenichi y avait son bureau, véritable écrin de raffinement.

D’ailleurs il y était assis, devant son ordinateur portable. L’atmosphère de la pièce était agréable, les panneaux de marqueterie muraux réfléchissants les lumières de deux lustres monumentaux en cristal de Bohême. Le bureau en lui-même coutait le prix d’une maison et un salon Chesterfield permettait d’accueillir des invités sélectionnés sur le volet. En parlant d’accueil, Kenichi attendait une stagiaire envoyée par sa sœur. Encore un coup pourri de Keiko ! Elle lui mettait une môme dans les pattes et l’empêchait de travailler sereinement.

Un coup toqua à la porte.

"Oui ?"

Le secrétaire personnel de Kenichi qui était aussi un ami d’enfance entra, le visage rouge.

"Que se passe-t-il ?"

"Votre … rendez-vous est là monsieur."

"Et bien fais entrer notre nouvelle stagiaire."

Bien que ce fut contraire aux règles, il tutoyait son ami au travail. Kenichi connaissait cette histoire de partenariat aussi il ne pouvait pas en vouloir à la stagiaire (il savait que c’était une étudiante) pour les misères de Keiko. Il allait se montrer accueillant pour ne pas l’effrayer bien que ce ne fut pas dans sa nature d’être ouvert aux autres.

"Monsieur, je vous présente Alice Makaï."


Elle entra et Kenichi resta tout baba, la bouche ouverte, surpris, et son visage à lui aussi devint tout rouge.

6
@Belphy Mueller AAHH pauvre âme corruptible! Je devine une pointe de jalousie et d'amertume derrière ces propos agressifs. Mais je ne doute pas que toute tekhane et ce, jusqu'aux plus hauts échelons de la hiérarchie, succomberait à l'idée de s'offrir à un homme si beau ET SI RICHE  ;D

L'argent est source de corruption et les femmes sont les premières à s'en délecter (c'est pas de moi ça hein, je l'ai juste entendu, je le précise pour éviter le ban  ;D et les débats houleux).

Donc si Belphy a besoin d'un petit weekend de repos dans un havre de paix luxueux, elle n'aura qu'à fournir une toute petite contribution (surement son popotin) pour profiter des largesses de Kenichi. ^^

Merci pour ton accueil  :)

7
Merci Vittorio et Souta  :)

8
Coucou Anéa ! Merci ^^

9
Top! Merci Koya :)

10
Re-coucou Koya!
Et voilà c'est corrigé! C'est vrai que ça faisait un peu court  :P

@Alronas Merci ^^

11
"Quel est le cours de l'action pour GenTech ?"

"En augmentation de 1,5% par rapport à la semaine dernière."

"Et le positionnement de Star Hotels Group ?"

"Toujours la première chaine d'hôtels de luxe au Japon et en Corée du Sud. Nous perçons en Indonésie et pour Taïwan, la situation géopolitique avec la Chine ne facilite pas le développement du projet à  Taïpeï."

"Organisez-moi une rencontre avec  le ministre du tourisme à Pékin. Il faut débloquer ce projet."

"Oui Monsieur."

Le secrétaire personnel de Kenichi Kawamura s'inclina bien bas avant de tourner les talons. Il s'arrêta après trois pas comme s'il se rappelait soudainement d'une chose à dire. L'homme hésita un instant.

"Votre ... père ... souhaite que vous déjeuniez avec lui au domaine ce midi."

Sans prendre de risque supplémentaire, surtout sur le sujet tabou qu'était la relation entre les père et fils Kawamura, il ne s'attarda pas dans le bureau de son jeune employeur.

Kenichi avait crispé les mâchoires. Son père souhaitait? Non ce n'était pas un souhait, c'était un ordre et bien qu'il n'ai pas envie de s'y plier, il n'avait pas le choix. L'Ancien régnait d'une main de fer sur un empire financier colossal et s'opposer à lui revenait à creuser un trou profond pour s'y enterrer. La famille d' Hiro Kawamura n'échappait pas à la tyrannie du fondateur de nombreuses firmes et groupes dans des secteurs économiques  très variés. Parti de rien, le vieil homme avait construit son empire patiemment à partir de la simple poissonnerie de ses parents et de beaucoup d'ambitions. Sa réussite était légendaire, tout autant que son caractère difficile.

Kenichi est sa sœur ainée, Keiko, avaient été élevé à la dure, dans un luxe certain mais sous des conditions sévères et exigeantes. La mère des enfants était morte lorsque les enfants étaient jeunes, usée par la présence écrasante de son mari qui ne la ménageait pas. Elle s'était éteinte alors qu'elle n'était plus que l'ombre d'elle-même et après avoir donner tout son amour à ses enfants. Lors de son enterrement, le père avait été aussi froid qu'un glaçon.

A partir de ce moment, ce furent les personnels du domaine familial, dans les environs de Tokyo, qui s'occupèrent des enfants. Aucune erreur ne leur était permise et le paternel s'assurait que leur instruction soit à la hauteur de ses attentes. Kenichi et Keiko frôlaient l'excellence dans tout ce qu'ils faisaient et une compétition féroce s'instaura entre eux pour être celui ou celle qui plairait le plus à leur père. Cette compétition est toujours d'actualité, exacerbée par Keiko qui vise l'héritage familial direct.

Il n'y avait plus de sentiments entre le frère et la sœur. A quinze ans, Kenichi avait été envoyé en Angleterre où il avait suivi des études pointues à Oxford. Brillant, il était revenu au Japon diplômé, avec les félicitations du directoire du prestigieux établissement britannique. Il serait bien resté en Europ mais son père avait exigé son retour pour participer au développement de son empire financier. Reconnu et compétent, Kenichi avait hérité de la présidence de GenTech, une entreprise d'ampleur mondiale spécialisée dans la recherche génétique et la production de technologies révolutionnaires; et de Star Hotels Group, qui disposaient d'établissements plus que luxueux dans les grandes mégalopoles d'Asie. A présent, l'expansion de ces deux entités n'avaient pas de limites alors que Kenichi n'avait que 28 ans.

Sa réussite était principalement dû à son caractère. Kenichi était une Bête de travail, un bloc de détermination inébranlable. Il attendait des autres ce qu'il exigeait de lui-même et avait un œil attentif à tout ce qui l'entourait. Froid, austère, ne délivrant que peu de chaleur et de joie, il renvoyait l'image de son enfance privée des fondamentaux du bonheur familial. Il ne souriait que très peu, et bien qu'il s'interdise de réagir comme son père et d'en avoir tous les défauts, il n'arrivait pas à s'extérioriser normalement. Ses employés le craignaient et l'appelaient l'iceberg ... Pourtant, le jeune homme avait une haute opinion des valeurs humaines et il appréciait chez les autres la franchise, l'honnêteté mais aussi la motivation d'aller chercher au delà des possibilités de chacun. Même s'il ne relatait pas ouvertement sa satisfaction, il n'hésitait pas à récompenser ses employés, parfois même à outrance. Sur un coup de tête et si une situation ou une performance lui plaisait, il pouvait promouvoir une personne de simple exécutant à chef d'équipe voire plus encore. Son impulsivité était un cauchemar pour son staff car quand Kenichi décidait, il revenait difficilement sur son idée première et il fallait être solide pour lui tenir tête.

Pourtant, malgré ce caractère que beaucoup pourraient qualifier de taciturne, Kenichi faisait l'objet des fantasmes de beaucoup de femmes. Il était beau, grand et élancé. Son corps façonné par une hygiène de vie stricte était aussi bien taillé que les statues grecques qui ornaient le hall du domicile du paternel. Ses membres déliés présentaient une musculature discrète mais agréable à regarder et même s'il n'était pas un adepte des salles de fitness à outrance, ses pectoraux et ses abdominaux en faisaient saliver plus d'une. Kenichi était pâle de peau, ce qui rendait son regard gris encore plus intimidant et seule sa masse de cheveux sombres obscurcissait ce teint froid. Cette peau était exempte de toute imperfection, il y veillait. Habitué des salons esthétiques hauts de gamme, il portait une attention toute particulière à l'aspect de ses mains et avait en horreur les travaux manuels. Les lignes de son visage étaient fines, tout comme l'arête de son nez où ses lèvres qui apportaient la seule touche de couleur dans ce tableau de maitre. Enfin, tout son être vibrait d'une intense énergie contenue ; il dégageait une aura particulière, peut être conséquente à la pratique du karaté qu'il avait suivi de nombreuses années avant de quitter définitivement les tatamis.

Sous son complet Pierre Cardin, Kenichi roula des épaules qu'il avait larges. Il referma sa veste et passa devant un miroir en sortant de son bureau. Il était élégant et  portait sur lui de quoi s'acheter une maison, ne serait-ce que par le prix de sa montre. Le jeune héritier allait quitté le siège social de son groupe d'hôtels à Seikusu. Devant le perron de l'édifice luxueux situé au cœur  du quartier des affaires de la ville, un voiturier lui tendit lui ouvrit la portière de sa Bugatti Veyron Noire comme la nuit. Le trajet serait court jusqu'à  Tokyo et le jeune homme espérait que sa soeur serait absente à ce repas. Keiko, qui possédait aussi ses entreprises était devenue une véritable vipère qui distillait son poison dans les oreilles attentives de son père. Pour elle, Kenichi était un obstacle à abattre pour qu'elle s'empare de la totalité des avoirs familiaux, un jour prochain où Hiro Kawamura rejoindrait ses ancêtres. Alors, bien sûre qu'elle serait là à midi, à jouer les faux-semblants, à flatter son frère pour mieux le détruire ensuite. Et lui, ferait comme d'habitude, il botterait en touche, et attendrait de revenir à Seikusu pour lui rendre la monnaie de sa pièce à grands coups de moyens légaux pour torpiller les affaires de sa sœur.

Et puis au fait, si cela peut intéresser quelqu'un, Kenichi est riche, fabuleusement riche ... et célibataire. Donc mesdames et mesdemoiselles, puisqu'il ne puise que dans ce vivier là ...

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