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Blabla / Re : J'épouse, j'esclavagise, je tue
« le: mercredi 26 novembre 2025, 01:27:01 »
Dei, Rubis, Lynn
Les alentours de la ville / Re : Comme un poisson dans l'eau~ [Lyli]
« le: mardi 07 octobre 2025, 06:08:16 »Mais qu'est-ce qui s'passe, putain de merde de sa mère la sorcière en rut!?
J'arrive plus à monter! Et j'ai tellement plus assez d'air que, même morts, mes poumons s'enflamment. La lumière de la surface, la lumière de l'éclairage de la plage, s'éloigne! Putain, mais qu'est-ce que…
- Tu nageais vers le haut, et te voilà de nouveau au fond ! Qu’est-ce que tu ressens ?
Ah non, hein! Ca va bien, les voix dans ma tête, je croyais qu'on avait réglé ce problème en '40! Et en plus, c'est bizarre, ça ne sonne pas du tout comme mes voix. Non, c'est plus hautain, plus posé aussi, et moins dans les injures. Oh putain. C'est pas les voix dans ma tête, c'est la voix de quelque chose d'autre… de quelqu'un d'autre.
- Tu as peur ? Ca te fait mal ? Oh tu dois avoir tellement envie de respirer pauvre chose…
-Blblblbl! BLBLBLBLB!
Alors, oui, je sais; pas super malin de gaspiller les quelques bulles qui me reste dans les poumons, mais dans la panique, m'exprimer me semble tout à fait adapté! Et quoi que c'est, ca me tourne autour. Alors, j'dis pas que je crois être la seule saloperie morte-vivante au monde, ou même la seule créature non-humaine qui se fait passer pour, mais alors, déjà, des trucs sous-marins, déjà que ça me fout une angoisse pas permis, mais en plus, ce truc-là a une tête de meuf. Des cheveux roux. Et la capacité de respirer sous l'eau.
Oh putain.
C'est la P'tite Sirène. HAH! Nique ta mère, Hans Christian Andersen, espèce de Danoise sans saveur! T'as peut-être écrit une histoire déprimante sur elles, mais moi, j'en ai zyeutée une! DANS TES DENTS! Pareil pour toi, Friedrich de la Motte Fouqué!
- Tu sens bizarre toi, dis donc… mais dis moi plutôt, petite psychopathe, c’est toi qui est à l’origine de ce macabre petit jardin sous-marin ? Si tu es sage et que tu promets de ne pas recommencer, je veux bien te laisser respirer… à moins que tu ne préfères suffoquer, à toi de voir.
Alors, d'abord, de quoi j'me mêle, et puis, j'suis peut-être pas grand fan de la littérature classique, d'autant plus que j'ai les pédérastes en horreur et qu'Homère s'est probablement tapé plus d'un élève de son temps avant même que l'église catholique ne s'y mette, mais je suis pas mal sûr que les sirènes peuvent pas se la faire noblesse comparé à moi! C'est pas pour rien, le stéréotype de la blondasse qui traine les gros marins musclés dans la flotte.
Mais j'peux pas vraiment protester, et plus je traine, moins je suis confortable, et je suis pas prêt de pouvoir chasser mon Feu de Vie. Elle veut une promesse, l'autre? Okay.
Je lève ma main droite, la gauche sur le cœur.
-Blalole d'lolle.
Mais aha! Elle ne saura jamais que pendant que je donnais ma parole, j’avais les jambes croisées!
Alors, je sais ce que vous vous dites; "Mais Em, c'est les doigts qu'il faut croiser, pas les jambes, sinon, ca veut rien dire!" Eh bah, quand on a mon âge, mes p'tits cons, faut trouver de nouveaux trucs. Le truc des doigts croisés, ça date d'avant les Sopranos, et comme les Sopranos, ça a trainé trop longtemps, et les gens ont pigé la combine. Donc, maintenant, je croise les jambes, et ça fait pareil! Et en plus… j'ai pas à me justifier. Surtout pas à vous autres. Qui que vous soyez.
Les alentours de la ville / Comme un poisson dans l'eau~ [Lyli]
« le: mardi 30 septembre 2025, 00:27:39 »Température? 42 putains de degré, et en pleine nuit.
Normalement, c'est pas un problème, la température, mais c'est pas normal de ne pas avoir chaud et de ne pas suer dans ces températures, et comme ce con de Kenzo s'est fait un plaisir de me trimballer à la plage, ben, j'allais quand même pas rester tout sec. Donc, un petit coup de Vigueur dans les veines et hop, je me retrouve à mouiller mon t-shirt comme si j'étais de retour à Târgoviște à éviter les Chasseurs et ce gros con de Dracula.
Enfin, bref; il y a une raison à ma folie.
Voyez-vous, Kenzo, c'est pas un mec lambda que j'ai trouvé. C'est un mec dont le monde pourrait se passer. Si j'suis pas un enfant de cœur, Kenzo, c'est le mec qui les a tous enculés. Je parle d'un mec qui a buté sa mère, piqué le blé de son père, a passé le plus clair de son lycée à harceler, violer et voler, et les quelques jeunes années de vie adulte qu'il a accumulée avant de tomber dans ma mire, il faisait pas bien mieux.
Enfin, là, c'était spécial; Kenzo s'en est pris à une de mes goules. La p'tite Mia. Treize ans de bons et loyaux services, et voilà que ce bâtard la chope, l'embarque dans sa bagnole, la traine jusqu'à un terrain vague, lui passe dessus et finit le tout en lui trouant la peau à coup de tournevis. Même pas un couteau, le salopard; un tournevis. Si ce n'était pas des capacités des goules à encaisser, elle serait morte, la p'tite. Alors, pas le choix; il a touché à ce qui est à moi, donc, j'vais m'le faire.
C'est remarquable ce qu'un site de rencontre peut aider à organiser. Même un mec aussi crashé dans la tête que Kenzo cherche une meuf, et donc, une opportunité. Et ça n'a pas été bien difficile pour moi de l'chopper; le mec, déjà, a probablement glissé à droite sur tout ce qu'il a vu. Après, fallait juste vendre l'idée d'être en besoin d'un homme beau, grand, fort pour me protéger et me tenir la main dans la vie. Ah ouais. Alors, j'veux pas être méchant envers Rubis, mais j'ai littéralement calqué son profil psycho. J'vais lui devoir un cadeau.
Le jeu de chasse n'a même pas duré plus de quelques semaines; dès la première conversation, le mec avait déjà rempli mon téléphone avec sa puante. Quelques semaines plus tard, et il se la jouait comme quoi il allait me laisser en plan et se casser. Mais il revenait de suite, avec plein d'excuses. Et donc, après quelques semaines de plus à le faire trainer, il m'invite à la plage, un tête à tête romantique.
Bingo.
Connard.
La plage est déserte, donc même pas besoin de se la jouer discrète. Je marche avec lui, et je vois à son regard ses pensées. Il n'est pas vraiment venu pour draguer, ni pour séduire; son œil est dérangé, et je vois le sang affluer à sa tête. J'entends ses veines lui péter aux tempes. Je vois aussi que son sac est bien lourd, et pas avec de l'équipement de plage. Tant mieux.
Je fais genre que je suis contente, et je m'approche.
En moins d'une seconde, il sort un point américain de sa poche et il me frappe à la tempe. Le Vitae absorbe le coup, mais je fais genre je tombe au sol. D'autres coups, encore, et j'encaisse, je fais mine d'avoir mal pour satisfaire ses pulsions, puis j'arrête de bouger. Il me traine vers la flotte. Il continue de me trainer, et il commence à nager, toujours avec son sac dans l'autre main.
Il nage pour un bon moment, j'ai envie de dire quinze bonnes minutes. Les rares fois où je respire, c'est quand je parviens à discrètement me faire flotter jusqu'à la surface, avant qu'un autre geste ne me tire sous l'eau.
Et, lorsqu'il s'arrête, je frappe à mon tour.
Je lui fous un coup de pied en plein visage, et mon gros orteil déloge son œil. Il va pour hurler, mais je l'agrippe à la gorge et je lui enfonce la tête dans l'eau. Je lui enfonce alors mes dents dans la nuque, et je déverse mon poison dans ses veines. Il lutte avec l'énergie du désespoir, mais il est déjà trop tard; ses bras commencent à peser plus lourd que du plomb, ses poumons se figent, son sang s'épaissit, et ses derniers instants sont une série d'anévrismes et de blocages cérébraux.
Alors, je le draine. Jusqu'à la dernière goûte. Et je fouille dans son sac pour en tirer les poids de gym avec lesquels il allait me faire couler au fond. Hah. Au moins, on avait la même idée.
Je lui attache les poids aux lacets, et je le fais couler de plus en plus bas; là, il rejoint les autres.
Je sens mes joues s'étirer dans un sourire satisfait; enfin, une bonne chose de faite.
Je regarde vers le haut, et je me rappelle, à la sensation de brûlure qui me prend les poumons, que je ne suis pas encore tiré d'affaire.
Je commence à nager vers le haut.
Prélude / Re : The Crimson - A votre saignée !
« le: mardi 26 août 2025, 21:06:50 »Y'A QUE DES LUPINS DE MES COUILLES EN NORVÈGE!
JE LE SAIS!
C'EST L'AUTRE TEPU QUI ME L'A DIT!
MENSONGE! ARNAQUE!
*Em se fait trainer dans le couloir vers la sortie, en continuant d'insulter le nouveau vampire*
(Rebienviendue)
Centre-ville de Seikusu / Re : Quand la musique est bonne [PV Em]
« le: vendredi 22 août 2025, 01:39:52 »Je laisse tomber mon analogie, et je la redresse sur le canapé. Je me penche sur elle, et je lui roule un autre french kiss, choppant ses jambes et la tirant vers moi, la forçant un peu à faire épart des jambes pour me laisser la place, et j'm'approche plus. J'l'embrasse dans le cou, et je presse mon buste contre ses nichons pour les écraser un peu entre nous, et j'lui suce la lèvre inférieur alors que le baiser se briser avec un gros *shlop* bien sonore.
"Si tu veux plus, alors, reste comme ça, et ferme les yeux."
J'attends qu'elle s'exécute, parce que la connaissant, elle est juste parfaitement incapable de désobéir, et j'lui pose un baiser sur les paupières.
"Triche pas, hein~"
Et je descends du canapé, toujours penché sur elle, et je pose un baiser sur sa joue, puis son cou. Je suis tenté, j'avoue, de lui faire un Baiser, en bonne et due forme, encore une fois, mais je me retiens. C'est pas bon d'abuser des bonnes choses, et elle était déjà un peu drainée. Ah, y'a encore un peu de sang ici. Je règle la situation d'un coup de langue. Alors que je lui bécote le cou, je lui retrousse encore la jupe, et mes mains trouvent sa culotte. Et quand je la retire, je remarque que cette salope cachait une surprise de taille, alors que je fais lentement descendre son sous-vêtement vers le bas de ses jambes.
"Tu sais, pour une nana qui rougit à tout, tu portes des trucs fort indécents~"
Je jette le sous-vêtement dans un coin de l'apartement, et je reviens contre elle, cette fois descendant jusqu'à ses mamelles, et putain, quelle paire. Non, je dis pas ça légèrement; c'était presque grossier pour une nana aussi frustrante d'avoir un corps roulé comme une actrice porno. Gâchis de potentiel. J'pourrais faire tellement de thune à la filmer!
Oh, puis, encore une fois, j'laisse tomber.
"T'as d'la chance que j't'aime bien, Ru~"
Parce que normalement, j'ai pas de scrupule; un petit coup d'hypnose, et dans trois mois, elle est au milieu d'un gang bang de rue dans une toilette publique en train de se faire tringler par dix mecs dont elle ne connait ni le nom, ni la provenance. Mais j'réserve juste ce genre de trucs aux connasses. Et pour toutes ses failles, Ru n'était pas une connasse. P't'être une conne, mais dans ce monde, tout le monde est con.
Je lui dévore les nichons, tout en glissant une main entre ses cuisses. Je joue pas souvent avec des nanas, mais je connais les trucs, et j'ai fait assez le tapin pour savoir ce que je fais, et donc, je frotte mon majeur contre sa petite perle d'orgasme, et je la fais tourner sous mes doigts.
Et je ne la fais pas attendre trop longtemps. Juste un peu; j'aime pas utiliser mes mains. Je dirais même, je suis plus… oral.
Je me laisse glisser plus bas, et je lui agrippe les cuisses, pour la tirer jusqu'au bord du canapé.
"Bouge pas, sinon, tu perds~"
Et je tire la langue; hop, sur la cuisse. Et je fais lentement glisser ma langue sur sa cuisse, remontant lentement vers le haut, posant des baisers sur sa peau, et remontant vers sa chatte. Et encore une fois; quelle chatte. Enfin… chatte… un minou, quoi.
Est-ce qu'elle se rase? Ou est-ce qu'elle n'a juste pas de poil en bas?
Oh, et puis, que m'importe.
J'enroule mes bras autour de ses cuisses et je lui tire le bassin vers ma tronche, et je pose ma bouche sur ce petit minou sans défense, et lèche le rubis de Rubis. Je le lèche, je le suce, je le mordille, et je le suce encore, et je l'empêche de se faire violence; elle doit encaisser, et c'est tout.
Centre-ville de Seikusu / Re : Quand la musique est bonne [PV Em]
« le: lundi 17 février 2025, 03:06:16 »Et voilà le sourire de con qui revient ; comment voulez-vous que j’fasse autrement ? Même moi, qui suit plus du genre à me rouler sur le ventre et offrir le cul à qui veut, qui a plus d’hommes sur mon tableau de chasse que je n’aurais le temps de le remplir de nanas, j’peux pas faire autrement que la regarder se trémousser sous moi ; comment elle bouge, comment elle soupire, comment elle s’accroche. J’suis p’t’être une petite merde des rues, mais quand une nana comme Rubis criait ses petites suppliques en piaillement d’oiseau.
–C’est vraiment injuste… pourquoi… pourquoi t’es pas un homme ?
Alors, je vous vois venir, les petits yeux dans ma tête qui regardent la scène. Vous vous dites « Ouais, mais Em, il va lui flasher sa queue et la frapper avec en lui criant ‘SURPRISE, SALOPE !’ », hein ? Oui, je sais que c’est ce que vous pensez. Eh ben, vous apprendrez, bande de petits connards à deux ronds, qu’Em, c’est une ordure. Il prend avantage des nanas innocentes et vulnérables. Il devrait assurément être banni de l’université depuis qu’il a sucé l’équipe de foot universitaire pour leur soutirer les sous de papa et la coke de maman. Il fait passer le chapeau de ses meurtres occasionnels sur des sans-abris. Tout ce que vous voudrez ! Mais Em, il a des standards. Lesquels, j’suis pas sûr, j’les ai jamais vraiment observé, mais des standards tout de même.
Et donc, non, Em ne va pas flasher sa mimi-queue à Rubis. À la place, je lui colle un autre patin, et je lui saisis ses hanches rondes et fines, et je retrousse sa jupe un peu plus, dévoilant ses cuisses et l’attirant contre mon bassin. Je me colle à elle, je lui mord les lèvres, je la dévore en couvrant sa bouche de rouge à lèvres noirs, je me penche sur l’autre côté de sa gorge et je lui suce le cou, non pas pour le mordre, cette fois, mais pour y faire des suçons.
– Mec, meuf, bébé… ca veut rien dire…
Je la pousse contre le fond du canapé, et je me place derrière elle pour la coincer entre mon corps et le dossier du canapé, avant de glisser mes mains sur elle, une main dans son chemisier ouvert, et d’un geste des doigts, je fais sauter son soutif pour libérer ses seins, dont je viens en emprisonner un dans ma main, l’autre se retrouvant donc écraser contre le tissu du canapé qui se frotta contre son téton alors que je massais sa mamelle. Et putain, je savais qu’elle était roulée, la mimine, mais ca m’étonne encore moins que les mecs lui courent après maintenant que j’ai la main dessus ; c’est du marshmallow, ses nichons ! C’est tout mou et tout doux !
Mais, pas le temps de la laisser languir. Je fais glisser mon autre main sur sa cuisse, et je remonte jusqu’à son aine, griffant doucement la peau sur mon passage, alors que je lui suce et lèche l’oreille.
– Je peux tout faire, chérie ~ Je peux te rouler des patins, bouffer tes nichons, mordre tes cuisses, caresser ton cul, et si t’es gentille, j’vais peut-être même te grignoter en bas… et si tu veux plus encore…
Je lui souffle doucement dans la nuque.
– Tu vas devoir le demander~
Centre-ville de Seikusu / Re : Quand la musique est bonne [PV Em]
« le: jeudi 30 janvier 2025, 22:22:07 »– J’crois pas qu’tu peux payer mon prix, puce.
Mais Em, que vous dites, ignares que vous êtes, t’es qu’une trainée de bas étage, tu peux pas coûter bien cher ! Eh bien, détrompez-vous. Toute pute, même occasionnelle, que je suis, je charge pas que du fric, mais je fais mon déjeuner, aussi. Alors, peut-être bien que j’veux faire quelques suçotements à cette tête en l’air, mais j’veux qu’elle prenne son pied à un tel point qu’elle s’en rendrait pas compte.
Oh, et puis, après, pourquoi pas ?
Je la renverse sur le canapé, et je lui grimpe dessus.
– Tu sais quoi ? P’t’être bien qu’tu l’peux.
Et j’me penche sur elle, cachant complètement la vue à Seto alors que je colle ma bouche à la sienne, et je lui roule une pelle. Mais une bonne, hein, une vraie. Avec la langue, la salive, les frottis de sa langue contre la mienne. Six bonnes secondes, puis une pause de deux, avant de revenir à l’assaut à pleine bouche, passant mes bras autour de son cou fragile, resserrant mes cuisses sur les siennes, l’empêchant de bouger.
Seto se lève, et je l’entends dire un truc du genre ‘j’vais pisser’, mais avec des mots plus polis, comme un mec qui essaie de pas trop s’imposer ; et il ferait mieux. Ce con a tout ruiné, deux fois de suite. Alors, ouais, casse-toi. Si t’es trop une lopette pour pécho une nana comme un homme, j’ai pas besoin d’toi.
Et je m’applique, mais sérieusement. Si je me fies aux mœurs sexuelles de Rubis, j’peux parier qu’elle n’a jamais été galochée comme ça. Ou du moins, que l’autre pétouille qui a clamsé ne s’est jamais soucié de lui en mettre plein la vue. Je lui roule des pelles, les unes à la suite des autres, en la serrant un peu plus fort, puis je brise les pelles, et je viens lui bécoter, la joue, et je viens lui mordiller l’oreille.
–Relaxe,que je lui dis, j’ferai rien de trop inapproprié. Profite. J’embrasse bien, alors, embrasse-moi. J’ai des jolies hanches, et un beau cul, alors, touche-les si tu veux. Si tu veux pas, tu aimes les câlins, non ? Alors, câline comme tu veux.
Et je reprends les galoches, je remue les hanches contre les siennes, je presse mon torse contre ses seins et je l’écrase sous mon ‘poids’, même si y’a pas moyen que je sois plus lourd qu’elle. J’suis maigrichon, après tout. J’lui touche tout ; les hanches, les flancs, les côtes, les seins, le cou. Puis, je viens lui embrasser la mâchoire, et je descend jusqu’à son coup, et je lui fais un suçon. Un gros suçon. Un suçon qui prend un bon deux minutes.
Et un suçon qui, par la même occasion, lui envoie vague après vague après vague d’un plaisir si intense qu’il est comparable à une série d’orgasmes. Une chaleur se répand partout en elle, comme un venin ; son cerveau s’embrouille, ses tétons s’érigent, ses cuisses deviennent moites, son abdomen devient chaud comme la braise, parce que je ne me contente pas de lui faire un suçon ; j’en profite pour la drainer un peu. Et enfin, enfin, mon appétit se calme. Je ne bois pas beaucoup, peut-être juste un bon petit litre de sang, mais juste assez pour calmer mon estomac. Une fois rassasié, je retire mes lèvres de son cou et je lèche la plaie saignante, faisant disparaître les quatre marques de morsure dans son cou.
Et je reviens à la charge de ses lèvres extasiées.
Centre-ville de Seikusu / Re : Are you a genie ? [Jessica Rabbit]
« le: mardi 21 janvier 2025, 06:23:30 »Et bordel, ca me fout le trac ; parce que je peux pas résister, je peux rien faire pour me prémunir, et j’suis un vampire, merde, une putain de créature pluri-centenaires ; les humains, ils ont écrit des bouquins sur nos capacités (bon, okay, ils ont vachement exagéré des trucs, et simplifié d’autres, mais c’est pas le point). C’est pas censé fonctionner, ces trucs-là. Mais là, c’est comme si deux putains de perceuses essayaient de me perforer le cerveau par les tempes. Je peux presque les entendre crisser contre ma boite crânienne.
Jessica est devant moi, et putain, je sais pas si ce sont ses fringues ou le regard qu’elle me jette, mais juste à la voir, je comprends immédiatement pourquoi l’autre trouduc la voulait pour lui. De fait, c’est même pas son apparence, c’est juste sa proximité ; je la sens dans ma peau, je sais qu’elle est là pour me servir, pour me plaire, et qu’elle ferait pas mal tout ce que je veux. Un humain normal, qui n’a jamais résisté à une pulsion de toute sa vie de merde, n’avait aucune chance de résister à cette conviction secrète. Pour eux, c’est game over. Mais moi, c’est pas pareil. Moi, j’ai la Bête.
C’est elle qui parle la première :
- C’est vous désormais ?
– Ouaip. C’est bien ce qu’on dirait.
J’crois que mon ton sort mal, mais en même temps, j’ai mal, bordel. J’suis mal.
– Em ?
Je frisonne quand elle prononce mon nom. Le nom que je me suis donné, et pourtant, de sa bouche, on dirait que c’est le seul nom que je n’ai jamais eu. Si mon cœur pouvait battre, en ce moment, il le ferait. Il essayerait de me sortir de la poitrine, juste du bonheur que sa voix me suscitait. C’est encore plus extatique que l’ecstasy, plus fort que la coke ou l’héroine. Je suis mort, mais je me sens vivant. Je viens de manger, et de bien manger, mais j’ai encore la dalle.
– Quoi ?
– Voulez-vous que l’on se débarasse de...ça ?
Je regarde la loque que j’ai buté. Je ne ressens rien à sa vue. Je me lève, je marche, et je lui flanque un coup de pied au visage, avant de me tourner vers Jessica, marcher vers elle et de tendre la main, trouvant le paquet de cigarette dans la poche de gauche. Je lui en prends une, et je sors un briquer de ma poche. Pas un briquet à flammes ; le feu m’angoisse par sa nature. Un briquet électrique. Je le presse contre la cigarette et je tire un bon grand coup dessus. Une. Deux. Trois fois, et le tabac s’embrase. Je range le paquet dans sa poche et je tire ma première bouffée, puis je passe un bras autour de la hanche de Jessica, et je l’attire plus près, plaquant presque mon pif dans ses bouées, soufflant la fumée sur la droite.
– Nan, je lui dis. Y’a rien qu’on peut faire. Il est vide. Mais quelqu’un viendra ramasser.
Je lève les yeux vers elle, et de la main qui tenait la cigarette, je replace une de ses mèches rousses, en lui caressant la joue du pouce.
– T’as pas l’air bien colère de savoir que j’l’ai buté. J’ai même l’impression que t’es vachement contente.
Okay, peut-être pas à sa tête ; elle montrait rien, mais je le sentais. J’avais l’impression qu’elle jubilait. Qu’elle s’abstenait elle-même de se défouler sur le cadavre frais du mec que j’avais buté. Okay, c’est pas forcément pour elle que je l’ai fait, je dirais même que si ce n’était pas de son attitude de merde, je l’aurais peut-être même pas remarqué, mais le fait est que ça lui a bénéficié.
– J’te l’reproche pas. J’crois qu’y’a rien de pire que d’bosser pour une sous-merde.
Et j’en sais quelque chose ; avant d’être libre de faire ce que je veux, j’avais passé des années à bosser pour mon engendreur, et encore plus à jouer les petites frappes pour les connards de Sydney. Nan, bosser pour quelqu’un qui vous fait chier, c’est un coup à péter une crise de nerfs. Et de là, j’peux juste assumer qu’elle pouvait pas le buter elle-même. Après tout, je ressens pas un manque de désir de liberté, pas que je sache si c’est même possible.
– T’es Jessica ? Jessica Rabbit, right ? J’t’ai vue chanter au Cabaret Bleu.
Je l’observe un moment, puis j’étire un sourire qui montre légèrement mes dents.
– Ouais… je crois qu’on va bien s’entendre, toi et moi.
Je lui prends la main et je la tire vers la porte, puis vers l’étage, et finalement au travers du bar, non sans lancer un pouce rapide à Lily pour lui faire signe que j’avais fini avec son sous-sol et que j’avais fait le plein. On sort dehors, à l’air frais, et je me tourne vers elle.
– T’as une piaule ? Tu veux aller à la mienne ? Qu’est-ce que tu veux, en fait ?
Centre-ville de Seikusu / Re : Quand la musique est bonne [PV Em]
« le: mardi 21 janvier 2025, 06:22:54 »J’avale ma gorgée en clignant des yeux alors que Rubis m’adresse la parole ; non mais de quoi je me mêle, sérieusement ? Si j’ai envie de me tartiner de jus de tomate, je fais encore ce que je veux, non ? J’suis chez moi ! Enfin… chez Seto, mais techniquement, si Seto m’appartient, ce qui lui appartient m’appartient aussi, non ? C’est logique ! Vive le système féodal !
En vrai, j’suis pas vraiment si fâché que ça. J’exagère un peu mais comme je peux pas dire ce que je pense, autant que je le pense encore plus fort, nan ?
Je la vois qui se lève et s’approche. Tiens, bizarre, je croyais qu’elle resterait à distance. Mais comme elle se lève, je sais qu’elle déconne pas, que j’ai probablement effectivement quelque chose sur la gueule, donc j’essaie d’atteindre le bout qu’elle m’indique avec la langue, mais n’ayant pas la dextérité linguale de Scooby-Doo, ca ne semble pas avoir marché.
– J’l’ai eu ?
Rubis m’essuie du pouce, et fait une vanne. Lorsque je la voie approcher son doigt de sa bouche, et simultanément, presque par réflexe, je tends le bras pour essayer de l’arrêter, mais trop tard, elle a déjà goûté. Omerde. Oh merde, Oh putain, oh non. Non mais ça, faut pas !
Elle panique. Bien sûr qu’elle panique ! Moi aussi, je panique ! Pourquoi elle met des trucs randoms dans sa bouche !? Attends, non, pourquoi elle met des trucs randoms que je ne VEUX PAS qu’elle mette dans sa bouche ? Elle aurait pu sucer le petit bout rouge de Seto, à la place ! Mais non, à la place, elle me met dans la merde. Dans la panique, alors qu’elle me choppe la tronche et m’examine comme une auscultatrice à deux ronds ! De réflexe, je lui enlève les mains et je les tape, répétitivement alors qu’elle essaie de me reprendre le visage.
–Non mais ça va, arrête ! Arrête ! C’est rien !
Elles sont chiantes, ces mortelles ! Encore une fois ; mais de quoi je me mêle ? J’entends Seto ricaner derrière elle ! Il se paye ma tête, le batard ! OoooOOoh, je vais tellement le cogner… non, pis ! PIS ! je vais le topper, le fils de pute ! J’vais lui défoncer sa rondelle et le forcer à m’appeler daddy ! Merde ! On rit pas de son domitor ! Ça ne se fait pas ! Je bois l’intégralité de ma bouteille, je me lève, je la jette dans l’évier, je vais chercher un carton de lait, je reviens vers Rubis, j’ouvre le carton de lait et je lui enfonce le bec dans la bouche.
– ALLEZ ! GLOUGLOU !
Alors, on se calme, je lui fais pas boire l’intégralité du truc, juste assez pour noyer le goût ferreux. Alors, faut que je trouve une excuse à ce qui pourrait donner à du jus de tomate un goût de sang… et je déclic. Putain, idée de génie.
– C’est rien, c’est juste du jus de tomate avec lequel j’ai déconné un peu ! J’ai fait des mélanges chelous, mais j’veux pas gaspiller, c’est tout !
Haha ! Sauvé !
Même Seto me regarde avec un air de ‘attends, c’est quoi ces conneries’, et surtout n’est pas 100% convaincu que cette explication puisse satisfaire Rubis, mais ça va, quoi, sans être conne, Rubis, elle a pas non plus inventé l’eau chaude, et elle sait pas ce que je fais de mes temps libres, alors, j’ai de bonnes chances de m’en tirer, même si c’est un peu bateau.
– Nan mais sérieux, bois pas ces trucs. Y’a que moi pour boire ces trucs, et c’est bien comme ça.
Je la pousse de nouveau vers le canapé, et je m’assoie en biais de Seto, qui avait repris sa place, avec elle. Seto lui tend donc son brevage, et je le tiens pour Rubis, gardant celle-ci assise entre mes cuisses.
Centre-ville de Seikusu / Re : Quand la musique est bonne [PV Em]
« le: samedi 18 janvier 2025, 01:20:41 »Encore il me tire une balle dans les pattes, l’autre ! Il veut quoi, que je lui shoote dans les testicules avec une batte !? Et il se prend pour qui, lui ? Son père porte des short shorts en décembre, il a pas de leçon à faire aux autres !
Aaaaaaah. Merde. Oh, et puis, à quoi bon, finalement ? Mes plans sont déjà foutus. D’accord, elle a pris un peu sur elle pour faire des baisers, mais putain, quoi. J’suis peut-être pas très ‘viol’, parce que j’suis passé au travers et ça m’a pris trois décades pour m’en remettre, donc je vais pas lui faire le coup de l’hypnose. Ma soirée est fioutue. Et j’ai faim, en plus. Allez. On décolle, et je la laisse se relever, en lui rendant sa culotte par la même occasion, arrachant un regard surpris à Seto, qui n’avait manifestement pas pigé jusqu’où j’étais allé pour essayer de faire passer la soirée à grande vitesse. À son regard, je réponds par un discret doigt d’honneur, pour bien lui faire comprendre à quel point j’suis colère, mais que je peux pas lui exploser à la gueule parce qu’on a une invitée, et que je compte pas brûler les ponts avec celle-là pour le moment.
Je me relève, je remets mes cheveux en place avec mes ongles, et je vais ramasser ma culotte et mes chaussures. Un pied après l’autre, je l’enfile, et je relève ma jupe pour faire remonter le vêtement jusqu’en haut, faisant claquer l’élastique sur mes hanches avant de la laisser retomber et de la lisser.
Cachant au mieux mon moral, je m’assois sur le canapé pendant que Seto reboutonne sa chemise et reboucle sa ceinture, toujours avec son putain d’air digne et décontracté. Si je pouvais, j’lui en collerais une, en ce moment. Ah, il fait bien le malin, lui. Mais plus tard, je le fous au lit et je vais prendre mon déjeuner en lui mordant la bite. Rien à foutre. Il a le buffet Emmy à volonté, je le suce aussi souvent qu’il le veut, je le SAUTE aussi souvent que possible, et il me fait le coup du chevalier blanc. Connard. Après, il a probablement raison ; si j’pousse plus loin, ca risque de déraper dans un sens où je ne pourrais pas rattraper.
Une fois tout ce beau monde de nouveau présentable, je me dirige vers le salon, et j’entends Seto parler à Rubis, à voix très basse :
– Elle fait la gueule, mais ca va lui passer, t’inquiète pas.
Je tourne la tête vers lui, et il fait mine de regarder ailleurs, comme s’il avait vu quelque chose d’intéressant au plafond.
Non mais je vous ai dis, hein. C’est un connard. Un gros connard. Enfin… subjectivement, bien sûr. Après, c’est sûr que s’il n’était pas là, quitte à ne pas sauter Rubis, j’lui aurais probablement sauté dessus juste pour me faire mon déjeuner. Ah là là. À avoir sû, j’aurais drainé son collègue avant de lui foutre la tête dans les chiottes. Qui aurait cru qu’un jour, je regretterais un toilettage en règle ?
Je fais un détour vers le frigo, et je choppe une bouteille rouge avec un sticker fait à la main sur lequel était écrit ‘jus de tomate fait maison’. Un autre nom pour parler de sang, lorsqu’on essaie de se faire passer pour humain ; c’est pas du sang ! C’est du ketchup ! Mais non, monsieur l’agent, c’est juste ma copine qui a eu ses règles sur mon t-shirt ! Ah bah, ça, mon bon monsieur, c’est du jus de tomate, faut pas vous inquiéter !
Je m’assoie sur le canapé, et je ronchonne, pendant que Seto, pour sa part, s’assoit avec Rubis, lui sourit et la serre contre lui. Awai, carrément, le mec, il va jouer le réconforteur ? Devant moi !? Rien à foutre, moi ! Je suis un grand garçon ! Je me fais pas avoir dans ses conneries ! Je mets le fi---
– Aahn ! Mhh ! Harder, daddy, give it to me! Give i––
ARGH!
VITE! CHANGER LE CANAL! VIIITE!
J’appuis sur un chiffre au hasard pour changer de chaîne, et je regarde vers Seto, qui lève une main en mode ‘qu’est-ce que tu fous ?’
– Oui, bon, ça va, j’avais oublié que j’avais mis la pause dessus ! Ca arrive !
Je mets un film populaire du moment, une comédie romantique. J’aurais préféré un film d’horreur, mais Rubis avait déjà assez les chocottes comme ça. Gamine, va.
Centre-ville de Seikusu / Re : Quand la musique est bonne [PV Em]
« le: jeudi 16 janvier 2025, 06:16:53 »Et attends, c’est pas comme si j’avais sorti un coup d’éclat ou un plan machiavélique à dix dimensions, hein ! Non, c’était tout simple, basique. Genre, le niveau ultra mild. Le truc que même une universitaire un peu à l’aise avec la biologie pourrait gérer. Mais elle ? Elle plante. Elle bugue. Comme un vieux Windows Vista en plein écran bleu de la mort. Sérieux, j’en reviens pas.
Et là, je me retrouve comme une conne à essayer de rattraper le coup. Mais t’as déjà essayé de relancer quelqu’un qui est en mode error 404 ? Spoiler : c’est impossible. T’as beau faire des grands gestes, tenter de lui parler doucement, ou même balancer une petite pique pour la booster, ça bougera pas. Elle est juste là, à clignoter entre « j’ai peur » et « je comprends pas ce qui se passe ». J’te jure, c’était presque fascinant de voir à quel point elle était bloquée.
Et le pire, c’est que je peux sentir que Seto, monsieur-toujours-plus-malin-que-tout-le-monde, se paie ma tête intérieurement, en plus. Alors, il est peut-être plus doux et plus adroit que moi, j’veux bien, mais merde, quoi ! J’suis quand même cent fois plus… ‘fin bref. Connard. Mais j’dois me calmer. Ca sert à rien de rester énerver ou de faire monter la pression. Rubis est juste… pas dégourdie, c’est tout.
Je relâche Seto et je me glisse sur le lit, réajustant mes cheveux derrière mes oreilles –moi qui essayait de donner une ambiance un peu plus hot à la soirée, et je pose les mains sur le lit, croisant les jambes et regardant le plafond.
Alors que je prends une pause, Seto, lui, ne se laisse pas prier. Avec ce suave travaillé, ce talent pour la gente féminine –je le sais, c’est justement cette manière séductrice qui a fait sauté ma culotte la première fois–, il prend le visage de l’autre platinée avec une de ses grandes mains de monsieur et, avec une douceur à me faire vomir, il l’approche de lui, et pose un baiser sur son front, puis sur sa pommette et sa joue. J’entend chaque baiser, et franchement, j’ai envie de juste… cogner un truc tellement c’est rose bonbon et innocent comme approche.
Et là, il sort une phrase du genre :
– Tu n’as pas à l’écouter, Rubis. Prend ton temps. On peut même retourner dans le salon, si tu es plus confortable.
Ah, le bâtard ! Sa mère la pute ! Il tire une balle dans mes plans, en plus ! Retourner dans le salon ! Mais merde !
Je lâche un soupir, et je me gratte furieusement la tête, pour essayer de reprendre un peu de sang-froid. Autant ça me fait bien chier de l’admettre, j’crois bien qu’il a peut-être raison. J’ai peut-être trop poussé. Mais peut-on vraiment blâmer une meuf de s’être essayé ? Je veux dire… Rubis a autant l’air d’avoir besoin d’une bonne baise bien décadente que j’ai besoin de faire le plein de sang dans les jours qui viennent. Mais… peut-être que ma méthode lui fait peur.
Enfin, je dis ça, ca me parait gros, quand même, parce que là, à ce rythme, elle peut pas regarder Scary Movie 3 sans supervision. Et c’est une putain de blague.
– J’m’excuse, Rubis.
C’est la première fois en… [insérez un nombre d’années ici] que j’ai pas vraiment ressenti de l’embarras, ou de la culpabilité. Et j’suis même pas sûr que c’en est, mais même moi, je sais que la diplomatie, des fois, ca paie mieux que le bâton… bien que je ne suis absolument pas contre l’idée d’utiliser une matraque pour arriver à mes fins si cette fois, ca marche pas encore.
– J’veux juste te faire passer un bon moment, quoi.
Blabla / Re : Les phrases qu'on ne veut pas entendre
« le: mercredi 15 janvier 2025, 23:16:50 »Dans une mine.
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: mercredi 15 janvier 2025, 23:15:04 »J'suis en mode mitraille, j'essaie de rester à jour.
Si un ancien (non banni) devait revenir, ce serait lequel que vous préfèreriez?
Centre-ville de Seikusu / Re : Quand la musique est bonne [PV Em]
« le: mercredi 15 janvier 2025, 23:09:33 »Elle veut l’amour, mais elle vit à Seikusu, au Japon. L’amour est tellement secondaire que le mariage arrangé y existe encore.
– Rôh, fais-je. Allez, quoi, Rubis. Depuis quand une petite sauterie fait d’une fille une pute, quoi. C’est quoi, dans trente minutes, tu vas m’traiter d’pute ? J’ai dû baiser quatre mecs juste cette semaine. L’âme sœur, ma grande, elle va te trouver. P’t’être pas ce soir, ce soir, c’est toi, moi et Seto, mais qui sait. Et quand elle va te trouver, crois-moi, tu vas vouloir lui faire une baise digne de ce nom. Tu vas le jeter au sol, tu vas lui grimper dessus et tu vas le prendre en entier, parce que tu vas rendre ce mec complètement fou de toi et incapable de s’passer d’tes cuisses.
Je glisse mes mains sous son chemisier, jusqu’à m’emparer de ses généreux atours, et de les masser entre mes mains, comprimant la chair sous mes doigts au travers du tissu et du rembourrage de son soutien-gorge, avant de poursuivre en suçant son lobe d’oreille :
– T’as un corps parfait, Ru’. Et quel intérêt d’avoir des atours pareils s’ils ne t’accordent pas un peu de plaisir à l’occasion ? J’te dis pas de t’jeter dans des gangbangs ou de tourner dans un porno –quoi que si tu veux le faire, je connais un excellent producteur, y’a max de thunes à se faire–, je te dis juste de profiter un peu. Et pour répondre à ta question…
Je lève la main droite, révélant la culotte subtilisée de Rubis, et je la fais tomber au sol.
– Je crois que c’est une putain de bonne idée.
Elle enchaine avec un bisou sur la joue. Putain d’allumeuse, même pas foutu de me rouler une pelle. Quoi, j’suis pas assez bien pour ses quelques expérimentations lesbi– ouais, bon, j’suis pas une meuf, d’accord, mais elle en sait rien. Mais elle va bientôt le savoir. Ça, il n’y a aucun doute possible.
On retourne donc vers Seto, qui depuis avait fini encore quelques verres. Peut-être pour se donner du courage, ce qui serait étonnant vu que j’ai fait tout le travail pour lui… enfin, pour moi, principalement, mais il allait aussi en bénéficier. Et elle lui demande alors quel était la suite du programme. Et comme je sais que Seto risque de m’interroger du regard, je les prends tous les deux par la main et je les emmène vers la chambre des maîtres.
Une fois à l’intérieur, je pousse Seto vers l’avant –bouge ton cul, tocard– et je me tourne vers Rubis.
– Là, ma belle, le programme, c’est ‘Rubis prend son pied’. Tu demandes plus rien ; t’as envie d’un truc, tu le fais. Tu le prends. Tu t’affirmes, meuf, tu fais ce que tu ferais si t’avais pas constamment peur de vexer un autre.
Et j’crois que c’est peut-être la chose la plus difficile que personne n’a jamais demandé de Rubis. Mais je suis excellent pédagogue, et donc, je la pousse contre la commode, et je lui roule une pelle endiablée, fichant ma langue dans sa délicieuse petite bouche aux lèvres sucrées, en glissant un doigt sur son chemisier et faisait sauter les boutons du bout d’un doigt, révélant son soutif, mais également son buste et son abdomen. Je lève les mains, et je les glisse dans ses cheveux. Je les mêle, je défais sa coiffure, comme pour chasser sa bienséance par la même occasion.
Je la pousse contre la commode, mettant fin au baiser, avant de lui tourner le dos. Je me penche et, faisant tâche de montrer mes fesses à ma « copine », je retire mon propre sous-vêtement, puis mes chaussures, avant de m’approcher de Seto, roulant des hanches moins pour son bénéfice que celui de Rubis, pour lui montrer ce que je veux dire par "arrêter d'attendre" et "Prendre les choses en main."
Au tour de Seto d’être bousculé. Il tombe assis sur le lit. Je lui agrippe la mâchoire et je lui roule une pelle digne de ce nom. Je n’attends pas, je lui agrippe la chemise et je tire les pans ; les boutons cousus sautent et tombent en partie au sol, les autres pendant lamentablement au bout de leur fil. Je me penche et je lèche son pectoraux, avant de grimper sur le lit, passant derrière lui, et promenant mes mains sur lui. Le regard de Seto, cependant, ne lâche pas Rubis une seule seconde. Malgré mes avances, son regard n’est que pour elle. Comme si je n’étais qu’un accessoire au tableau d’homme sexuel qu’il se tâchait de dégager. Je pose mon menton sur son épaule, et je regarde Rubis par-dessus, la fixant avec un air d’invitation, tout en glissant une main plus bas, sur la ceinture du Yakuza, et la débouclant d’une seule main.
– Viens, ma belle~








