Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Pages: [1] 2 3 4
1
Centre-ville de Seikusu / Re : Le prix de la liberté. - Masa
« le: mardi 09 mai 2023, 03:53:12 »
Il ne faut qu’une brève seconde à Kleora pour se saisir de sa serviette. Sa nudité ne la gêne guère ; elle fait juste l’effort de ne rien laisser traîner par terre. Or, Masa ne l’écoute guère. De ses pupilles améthystes, la neko peut l’observer se tourner vers elle puis constater le tissu tombé à son tour. Un sourcil arqué, son regard remonte vers le visage écarlate de son hôte. La terranide aurait pu éclater de rire tant la situation se fait cocasse. Mais elle retient son hilarité et le fixe avec tendresse.

Enfin ! Le japonais s’exprime. C’est pas trop tôt. Elle lâche tout et se relève d’un mouvement habile. De son corps, Kleora plaque son amant contre le meuble de la cuisine et vole ses lèvres. Ses mains se déposent sur le bord de l’évier puis remontent dans le dos de Masa. Sa voix tremblante en aurait fait rire plus d’une mais sa timidité réussit toujours à la faire craquer. Elle n’a pas le cœur à se moquer.

« Je préfère ça. On va dans la chambre ? La cuisine c’est pas très confortable… On aura d’autres occasions pour. »

D’autres occasions ? Ses propos sonnent comme si la jolie chatte est déjà installée. En réalité, sa situation est bien incertaine et dépendante du bon vouloir de son hôte. Il est probable qu’il décide de se débarrasser de la terranide mais elle n’a pas non plus envie de s’imposer ad vitam ærternam, ni de lui faire croire qu’elle lui offre gracieusement son corps contre ses bonnes grâces.
Kleora ne se laisse guère envahir par ses pensées parasites. Son objectif est clair dans son esprit. Le souffle court, après un baiser sulfureux, sa main se saisit du poignet de Masa pour l’entraîner à travers le petit appartement. Il est tellement minuscule que le chemin est vite comblé de quelques grands pas.

La neko le pousse contre le matelas. Il tombe assis au bord de celui-ci ; elle trouve place au-dessus de lui pour le pousser, encore une fois. Cette fois-ci, au niveau des épaules, pour l’allonger. Kleora est bien installée sur son bas ventre avec l’érection de Masa coincée entre les fesses. Sa queue est relevée pour ne pas le gêner d’une quelconque façon ; elle se tortille de droite à gauche.

« On passe directement à l’action ou… ? »

Toutefois, Kleora lui laisse le choix. Puis, elle l’a emmené si vite dans sa chambre que quelques secondes de répit pour prendre conscience de la situation ne peuvent pas lui faire de mal. Sa main droite se faufile dans son dos ; la gauche attrape les doigts de Masa et les dépose au-dessus de sa poitrine. Tout à l’heure, il n’a pas vraiment eu l’occasion d’explorer son corps. L’occasion de se rattraper lui est accordée.


2
Centre-ville de Seikusu / Re : Le prix de la liberté. - Masa
« le: jeudi 04 mai 2023, 22:50:38 »
La découverte vaste de ce monde est, d’un certain point de vue, épuisante. La féline peine encore à s’y repérer, à situer ces fameux États-Unis par rapport au Japon où ils sont supposés être installés. Elle a tout le temps nécessaire pour faire son éducation, tant ses journées seront longues à se prélasser dans le petit studio. Pour l’heure, Masa a eu une bonne idée de lui mettre un film. Il l’aide à appréhender des différences fondamentales.

Son esprit regorge d’images, de pensées et encore de questions. A peine remise de leur visionnage, la chatte n’accorde guère d’attention à son regard et à peine plus à ses paroles jusqu’à la mention de l’espace. Ils repartent dans des explications ! Dans sa quête de savoir, l’ordinateur de Masa lui sera sans doute son plus fidèle allié. Mais d’abord, il doit lui apprendre à s’en servir… et ne pas croire tout ce qu’elle lira.

Pour ce soir, Kleora a déjà bien assez à digérer. D’autres intérêts sont établis dans son esprit. Une lueur malicieuse illumine ses pupilles ; elle suit son sauveur dans la petite chambre. Le lit est largement suffisant pour eux ! Alors qu’elle s’attend à reprendre leur activité, ses paroles la repoussent ? N’avaient-ils pas un accord tacite ?
Ses sourcils se froncent lorsqu'il disparaît dans la cuisine, sans un mot de plus. Sa décision est peut-être prise mais la neko ne compte pas en rester là. Au contraire, qu’il se passe quelque chose ou non, influencé par la fatigue, le japonais a au moins intérêt à dormir à ses côtés. Il serait bien cruel de la laisser seule pour sa première nuit loin de son monde.

La terranide se meut dans son dos. Ses doigts se déposent sur ses épaules et tombent devant lui dans une étreinte surprise. Elle lui laisse à peine la place de continuer la courte vaisselle. Ses lèvres s’établissent contre sa peau pâle d’un baiser fugace, à la base de son cou.

« Non. Tu as intérêt à venir dormir avec moi. Mais… »

Le choix ne lui est pas donné.

« Je peux comprendre que tu ne veuilles pas reprendre notre moment intime.Tu as été déçu par ma performance ? Les pratiques sont différentes ici, peut-être que tu n’oses pas l’avouer. Pire encore ! Tu n’aimes pas les terranides ? »

Sa voix dramatique est exagérée. Kleora a une confiance quasi absolue en elle, à l’inverse du jeune homme. Elle se sait capable de séduire n’importe qui ou presque. De plus, les réactions du japonais ne mentent pas. Mais… Étant donné qu’il a décidé de manière subite d’instaurer une distance non désirée, la féline l’utilise pour le taquiner et se jouer de ses réactions.
Dans son regard matois brille la luxure. Sa queue s’agite sous la courte serviette qui remonte au bas de ses fesses.

« L’avantage est que tu pourras facilement dormir ! Dépêche-toi, j’ai envie d’aller me coucher. »

La féline se fait impatiente. Elle a oublié cette histoire de lavage de dents ? Il a tout le temps de lui expliquer quand elle aura sa propre brosse à dents ! Pour l’heure, Kleora s’amuse toujours à embêter le pauvre humain.
Ses mains se baladent de son torse au-dessous de ses bras et entourent sa taille dans une chaleureuse étreinte. Son corps est pressé contre le sien mais la serviette se défait et ne tient plus que par sa proximité. Un demi-pas en arrière, le tissu tombe au sol.

« Bouge pas, le prévient-elle s’accroupissant pour la ramasser. »

3
Centre-ville de Seikusu / Re : Le prix de la liberté. - Masa
« le: lundi 10 avril 2023, 23:53:59 »
La féline se satisfait que la conversation ne se prolonge sur Terra. Elle n'est pas dérangée de répondre aux questions, d’en esquisser les grandes lignes pour qu’il puisse mieux la comprendre. Mais ils sont sur Terre, son nouveau foyer pour l’heure.

Ainsi, elle est bien plus heureuse de voir la discussion s’avancer sur la façon de tenir les baguettes. Les explications de Masa sont loin d’être claires et l’éclat brillant et avide d’apprendre régnant dans ses pupilles s’effacent bien vite sous la frustration et ses sourcils froncés de mécontement.

Aucune véritable colère ne transparaît. Non, juste une moue mi-boudeuse mi-vexée d’être incapable de réussir une tâche qui semble inée pour le japonais.

Les baguettes tombent de sa main.
Une fois, deux fois, trois fois…

Jusqu’à ce qu’il prenne sa main pour la guider dans son geste et la mimique du crabe. Avec son aide, tout paraît plus simple. Sans l’échec la guette de nouveau.
Pourtant, Kleora n’abandonne pas vraiment et s’exerce. Peut-être pas aujourd’hui, ni demain, elle finira par les dompter !

Les oreilles dressées au sommet de son crâne, elle attend quelle autre invention farfelue il va lui sortir. De nouveau, ses sourcils se froncent à cette vue.

« Occidentaux… Ça se rapproche de ce que je connais. Mais pourquoi ils ne sont pas de taille normale ? Entre les baguettes et ça… Vous avez vraiment une manière de manger étrange. »

La féline ne connaît pas vraiment les ustensiles de cuisine. Elle n’y passait qu’en de rares occasions quand tes petits creux frugales demandaient à être servi. Le Chef la contentait et elle partait immédiatement après.

« Bon appétit. »

Son regard se tourne vers l’écran. Dès le générique, des questions s’immiscent. Intriguée et passionnée par les images défilant à l’écran, Kleora entend tout de même les mots de Masa.

Elle aussi est bien heureuse d’être ici. La vie est dépaysante, le monde totalement différent. Le studio est minuscule, plus petit que son ancienne chambre et elle ne connaît absolument rien de ce pays que ce soit son histoire, ses traditions ou autre…

Pourtant, Masa est agréable, gentil et bienveillant. Des qualités qu’elle a rarement trouvé là d’où elle vient où les masques hantent les visages de chacun et où sa condition la privait de liberté.

Sa seule présence est une véritable bouffée d’air frais.

« Merci de m’avoir tendu la main, souffle-t-elle à demi-voix quand le film commence. »

Puis la neko se plonge dedans. Aussi fascinée que horrifiée par moment, coupant toutes les cinq minutes le visionnage pour assaillir Masa de questions en tout genre.
Mais si elle a retenu une chose : ceux sont bien les hélicoptères.

A la fin du film, l’hybride poussa sa chaise en arrière pour se lever, s’étirer.

« C’était incroyable ! »

4
Centre-ville de Seikusu / Re : Le prix de la liberté. - Masa
« le: vendredi 24 février 2023, 06:24:51 »
Par chance, Masamitsu parvient à lui donner une explication claire sur l’Amérique, en omettant les détails les plus complexes. Il est bien difficile pour la terranide de se projeter dans ce monde inconnu mais différents aspects commencent à se dessiner. Comme si on vient de finir une partie du contour, d'un immense puzzle. Le plus difficile reste à venir mais pour l’heure, cela suffit. D’ailleurs, pour mieux comprendre l'étendue de cet univers, Kleora songe à lui demander une carte. Un support visuel permettrait d’organiser au mieux ses connaissances croissantes.

La nourriture est prête ; sa demande est reportée.
De ses grandes pupilles améthystes, la féline observe le repas et s’enivre des délicieuses odeurs qui s’en échappent. Elle attend le retour de Masa et les couverts pour goûter cette cuisine qui lui donne à la bouche. Mais les deux bâtonnets déposés ne lui parlent guère. N’y a t-il pas de fourchette au Japon ? Ou peut-être, dans ce monde, ces étranges couverts sont répandus ?

La terranide préfère patienter afin de l’observer et apprendre.
Or, avant, le japonais répond à ses curiosités au sujet des esclaves. Ils ont disparu ? Mais pas tout à fait ? Au moins, ils sont absents de ce pays… Elle n’a qu’à éviter les autres ! Voyager n’est pas au programme, de toute façon.

« Oui, enfin… J’y ai grandi et j’y vivais. Il en existe pleins : des humains, des terranides ou diverses créatures. On l’appelle plus couramment la dictature d’Ashnard. Le cruel empereur possède le droit de vie et de mort ; la liberté ne garantit ses faveurs. »

De son regard habitué, Kleora a observé bien des hommes glisser des mots imprudents au sujet de Sa Majesté. Se sentant libre de leurs mots sous l’ivresse du vin et dans la réception du Comte, ils n’ont pris gare aux oreilles indiscrètes. Les jours suivants, leurs biens sont vidés, leurs corps disparus et leur famille abandonnée à la misère. Tout sujet d’Ashnard connaît le poids de sa cruauté.
Peut-être plus encore les jeunes terranides à l’instar de Kleora séparaient des siens.

« Ailleurs, où il fait bon vivre, les esclaves sont eux aussi monnaies courantes. Peut-être mieux traités. Dans mon monde, la loi du plus fort règne. »

Des exceptions règnent mais les terres sauvages de Terra ne font guère de cadeaux aux faibles.
A l’instar de son peuple, dont Kleora a appris à ne pas penser. Leur incapacité à grandir leur a coûté la vie.

« Comment mange-t-on avec ça ? conclut-elle, en changeant de sujet pour désigner les baguettes. »

La faim lui pèse ! La féline ne peut plus attendre.

5
Dictature d'Ashnard / Re : Convaincre à tout prix. - Gerd
« le: dimanche 19 février 2023, 05:45:33 »
Les mains calleuses posées autour de ses oreilles lui arrachent un frison de dégoût. Le sorceleur n’en est pas responsable, à proprement parler. Tout individu lui aurait provoqué la même réaction, face à ce contact. Kleora ne le supporte pas ; il pourrait lui saisir la queue ou les cheveux, elle n’en dirait rien. Pour l’instant, la bouche occupée, il est difficile d'émettre le moindre son de protestation. D’autant que Gerd fait preuve d’une étonnante douceur, elle lui aurait plus imaginé à se ruer entre ses lèvres et abandonner la tendresse. Connaît-il au moins ce mot ?

Son maître ne lui a accordé que peu d’information sur l’homme mais une particularité est restée ancrée : Les sorceleurs sont puissants, mais manquent d’éducation. D’après une légende, probablement inventée par le Comte, les rouages de la lecture leur sont inconnus et le vocabulaire n’est guère leur fort. Ils ne communiquent que par la violence comme quelques bêtes sauvages. Ses connaissances basées là-dessus et ses premiers échanges avec Gerd, son opinion personnelle de l’homme ne vole guère haut.

Plus encore, quand il frotte sa virilité à sa joue. Que gagne-t-il à ce petit jeu ?

« Vous êtes en forme, je le reconnais. Vous m’avez ménagé, mais il n’y pas besoin. Ne suis-je pas là pour répondre à vos envies et gagner la vie de mon Maître ? » Sous ses airs, Kleora commence à se prendre au jeu ; elle ne s’est jamais forcée, à venir ou accomplir cette besogne. Mais si elle y trouve un semblant de plaisir, elle aura tout gagner, non ? « Gentil ? Commencez par ne plus toucher mes oreilles, de la soirée et j’y songerais à vous affubler ce qualitatif. » Elle était prête à terminer sa tâche mais il l’a obligé à se relever.

Ses paroles et ses gestes ne correspondent pas aux yeux de Kleora. Elle s’imaginait qu’il userait de sa bouche pour sa jouissance, sans l’ombre d’une pitié. Mais n’est-ce pas cela les choses sérieuses que le sorceleur annonce ? Un peu perplexe, la féline prend plusieurs secondes pour réfléchir à la suite, trouver la meilleure façon de servir l’enfoiré. L’idée se glisse, la chatte monte sur le lit. Un genoux, après l’autre. Au bord, elle s’installe à quatre pattes, le dos courbé et sa croupe à disposition. Et sa queue féline relevée, ondulant de droite à gauche.

Elle est prête à la suite. Depuis le début, en somme. La virilité de Gerd ne l’effraie nullement malgré son gabarit. S’il avait été impuissant, ça aurait été pratique. C’est sûr. Mais cette perspective, aussi éprouvante s’annonce-t-elle, possède son côté excitant.

6
Centre-ville de Seikusu / Re : Le prix de la liberté. - Masa
« le: dimanche 19 février 2023, 02:37:14 »
Le commentaire sur le jeu d’acteurs arrache un discret rire à Kleora. Son attention s’est tournée une seconde vers Masa et la cuisine. L’odeur délicieuse envoûte ses papilles et ouvre son appétit. Elle n’a pas à se plaindre, un repas plus simple lui aurait convenu. En arrivant ici, la chatte s’attendait à une vie plus rude, à devoir s’en sortir quitte à fouiller les poubelles. Malgré sa nouvelle vie, quitte à plonger plus bas que terre, la terranide s’est promis de survivre.

Le pire n'est pas arrivé. Il est tombé sur Masa, aussi adorable que serviable. Elle ne sait combien de temps, il l’acceptera chez lui et prendra soin de lui apprendre à vivre dans ce nouveau monde mais elle en profitera et le remerciera à sa manière…  Son attention se porte de nouveau sur la télé où une jeune étudiante défie l’un des garçons les plus populaires de son université, après qu’il a cassé son téléphone.

Un spitch un peu bâteau qui prépare à une romance future, pas forcément des plus saines. Mais ça suffit à captiver l’attention de Kleora qui est intriguée par les décors et leur quotidien.

« Oh ! »

Le théâtre, comme elle l’a pu l’observer, sert souvent de caricatures, aux traits exagérés et forcés. Puis y a l’opéra, mais ils ne chantent ni ne comptent d’épopées fantastiques. Enfin, ceux sont les seuls que Kleora apprécie. Il lui faut de l’action !

 « Forrest Gump ? répète la chatte avec une prononciation approximative. »

Elle écoute vite fait pour tenter de comprendre. Mais certains concepts lui échappent, elle penche la tête sur le côté.

« C’est quoi l’Amérique ? Un pays comme le Japon ? Ou Ashnard ? »

La dictature d’Ashnard fait partie de ses propres références. Kleora ne prend pas garde à ses propres paroles. Si elle ne connaît rien de ce monde, l’inverse est vrai. Masa n’imagine pas les dangers, créatures et cruautés que renferment le sien. A commencer par son statut d’esclave en fuite. Peut-être devrait-elle le prévenir ? Il n’est pas du genre à la dénoncer. Mais la chatte refuse de perdre ses brides de liberté acquise.

Alors, elle tente de demander, sans contexte :

« Vous avez des esclaves ? »

7
Dictature d'Ashnard / Re : La liaison secrète. - Red King
« le: dimanche 19 février 2023, 01:10:16 »
Dans ce salon de fortune, isolé du manoir, Kleora se sent libre, d’apprécier et de céder à la passion qui l’unit au fougueux prince. Il prend si ardemment possession de son corps qu’elle ne cesse d’en réclamer plus au travers de ses soupirs enflammés. Mais l’erreur est commise ; il s’énerve, à raison. Le ton change, l’atmosphère avec. Prise dans l’élan de luxure, c’est l’habitude du vouvoiement qui a pris le dessus mais loin des raisons qu’Alexis lui prête.

Pourtant, avant d’éclaircir la situation, la féline préfère lui laisser déballer ce qui lui pèse. La position change dans le même temps. Il la soulève et la décolle du sol, pour l’enlacer dans une position aussi sensuelle que tendre. Une que la chatte n’avait jamais expérimentée mais dont la douceur la ravit autant que le plaisir demeurant par sa virilité ancrée dans son antre brûlante.

Les baisers se succèdent contre sa délicate peau et en oublient presque ses mots. Entre ses bras, la terranide quitte son statut d’esclave, pour n’être qu’une simple femme liée à son amant dans les plaisirs de la chair. Au-delà de l’habitude, le vouvoiement n’a de fonction à la rabaisser à son rang d’asservie mais de respecter la royauté d’Alexis. Pourtant, elle se fera un véritable plaisir de l’abandonner dans leur intimité.

« Je ne me force, ni ne rejette mes envies avec toi, Alexis. Si je t’ai posé la question, c’est que la perspective m’enchantait tout autant que j’appréciais rester dans cette même position. Ne te prends pas tant la tête… J’apprécie le respect que tu m’offres. Et je me cède à toi car tu te donnes entier à notre plaisir. »

Kleora a parlé d’une traite quand le prince eut fini de s’exprimer. Pour ne pas lui laisser l’occasion de répondre, ses lèvres s’emparent des siennes dans un baiser doux.
Ses hanches ondulent pour accentuer les sensations autour de leur plaisir et de sa virilité piégée.

« Si tu veux connaître mes envies… J’ai envie que tu te lâches et qu’on connaisse ensemble l’extase… »

8
One Shot / Re : L'invocation du héro. - Red King
« le: dimanche 19 février 2023, 00:36:52 »
L’emprise de ses doigts se raffermissaient sur l’érection. Ils descendaient, remontaient dans des caresses plus appuyées. Elle descendait du lit, dans le même temps, pour venir entourer son gland de ses lèvres pulpeuses. C’était bien différent de leur première fois ; la sainte le sentait plus réceptif à ses doigts, à ses flatteries. Elle doublait d’efforts pour lui offrir un véritable plaisir.

Sa langue jouait avec l'extrémité gonflée ; elle la léchait, l’entourait et appuyait contre. Puis, après quelques secondes, la virilité s’enfonça dans sa petite bouche. Au plus profond… Mais son imposante érection ne pouvait se frayer un chemin jusqu’à sa garde. Ses doigts complétaient la base inaccessible, en rythme avec ses premiers mouvements. Elle débutait avec lenteur et intensité, prenant le temps de découvrir chaque parcelle de son pieu.

Une main se libéra pour tomber entre ses cuisses. Le tissu de la culotte poussé, son index trouvait le chemin dans son orifice accueillant. Elle ne voulait pas lui faire perdre de temps tant son érection semblait douloureuse… Ou était-ce la plus impatiente de le ressentir entre ses chairs ? Qu’importe… La suite s’annonçait aussi chaude. Ses doigts se frayaient un passage un à un, loin du regard de Red. Ses soupirs s’étouffaient contre sa virilité.

Elle accéléra le mouvement et ralentit ensuite. Isadora varia les plaisirs et se montra plus sûre, plus inventive que la dernière fois. Mais cette fois-ci, après quelques minutes, elle ne le laissa venir entre ses lèvres. Alors qu’il devait se rapprocher de la jouissance, elle s’éloignait lentement. Pour le libérer, la prêtresse désirait lui offrir plus, beaucoup plus. Des sensations différentes et nouvelles.

Enfin, la sainte ne connaissait pas son inexpérience ; elle le pensait même grand séducteur dans son monde. Elle se leva, un peu angoissée d’échouer mais déterminée à lui offrir une nuit dont il se rappellera. Sa culotte rejoint le sol et elle revint sur ses genoux. Son gland rencontra son intimité luisante d’une excitation débordante.  « Dis-moi… Si c’est désagréable… »

Écartant ses lèvres intimes, la prêtresse le guida contre son étroite entrée, préparée à sa venue. Malgré ses efforts lui faudrait faire preuve de précaution pour accueillir l’imposant gabarit du héros. Son bassin s’appuya délicatement contre l’extrémité de sa virilité. Lentement, très lentement, son gland écarta ses chairs. Isadora avait déposé son front contre son épaule, masquant les rougeurs qui s’emparaient de ses joues.

Elle prit le temps nécessaire pour lui permettre de se frayer un chemin. Après de très longues secondes, son épée trouva son fourreau serré et chaud.  « Mmh… C’est… Bon ? » Le moindre mouvement faisait réagir la pauvre Sainte qui découvrait une sensation intense, au-delà de toute imagination. Ses bras s’aggripaient à lui alors qu’elle entamait un second mouvement. Ses lèvres pincées, elle tentait d’empêcher sa voix de s’élever dans la chambre. En vain.

Chaque friction lui arrachait d’obscènes soupirs.

9
One Shot / Re : L'invocation du héro. - Red King
« le: vendredi 03 février 2023, 01:18:02 »
« Bonsoir. Excusez-moi de vous déranger à une heure si tardive… »

Un sourire bienveillant fleurit sur les lèvres de la Sainte. Elle accepta la proposition d’entrer avant d’être vue par un domestique nocturne. Rien d’inhabituel n’avait été remarqué jusqu’à ce que le héros se tourne vers elle. La surprise l’envahissait ; le rouge lui montait aux joues. Mais il était bien difficile de détourner le regard de l’impressionnante érection, dissimulée sous le peignoir.

Elle désirait lui demander si tout allait bien, si sa situation ne lui était pas trop inconfortable… Mais aucun mot ne réussit à se frayer en dehors de ses lèvres. Red prit la parole en premier ; elle secoua la tête à ses excuses. Il n’avait guère besoin de prononcer de tels mots… La Sainte comprit mieux sa position grâce à ses explications un peu bancales.

A ses propos, la honte l’envahit… Il était vrai que la prêtresse avait osé faire une proposition aussi indécente. Elle ne pensait pas après le refus qu’elle reviendrait sur la table, de cette manière. Or, Isadora était prête à lui tendre la main. Ses objectifs étaient un peu différents, moins égoïstes. Au contact du héros, elle avait appris à l’apprécier ces derniers jours et avait eu honte de chercher à l’utiliser pour sa protection.

La Sainte avait pris la décision de lui parler de sa situation, de lui laisser le choix de l’aider. Mais là… La situation ne s’y prêtait guère. Repoussant cette discussion à plus tard, elle décida toutefois de saisir sa paume. « Je vous promets de jamais divulguer ou user de cette opportunité contre vous, Red. » Dans ce monde, une telle promesse était naturellement scellée d’un engagement magique qui empêcherait Isadora de la trahir sous quelque forme.

« Nous devrions maintenant nous occuper de ton érection… » Elle laissa tomber son manteau sur le sol pour dévoiler sa courte nuisette. La prêtresse tira ensuite les pans du peignoir du héros pour dévoiler sa massive queue à son regard ingénu. Ce n'était pas la première fois mais cette fois-ci… Tout était différent. Elle le poussa doucement jusqu’au lit pour l’obliger à s’asseoir puis s’allonger. « Tu préfères que je m’occupe de toi ou passer directement… »

Les mots peinait à sortir clairement. Elle grimpa sur lui, s’assit sur ses cuisses. Dans l’attente de toute réponse, Isadora se saisit de sa vigoureuse érection entre ses doigts pour la longer et la gratifier de délicates caresses. Ses nuits avaient été peuplées de songes indécents, les mettant en scène dans des positions des plus éloquentes. Elle allait pouvoir y goûter pour la première fois. Elle appréhendait un peu le fait de n’être à la hauteur… « J’ai envie de te faire plaisir, pour commencer… »

10
One Shot / Re : Modèle masculin. - Asmodeus
« le: mercredi 01 février 2023, 19:43:26 »
Le rythme des poses convient parfaitement à Chiyo qui alterne entre des croquis grossiers avec d’autres plus détaillés où la jointure des muscles transparaît. Le physique de Kango est une véritable aubaine tant chaque aspect de sa carrure ressort lors de ses mouvements. Le détailler permet à l’illustratrice de mieux comprendre les différents points-clés pour obtenir des positions naturelles et séduisantes.

Rien de mieux qu’un modèle vivant !

Kango est une perle rare, tant par sa gentillesse que par sa plastique sculptée avec soin. D’un côté, Chiyo le compare intérieurement avec les adonis grecs. A un détail près… La nature l’a gâté à un endroit insoupçonné. Elle ne s’en plaint guère. La vue est fort agréable malgré qu’elle reste professionnelle dans son attitude et il est exactement ce qu’elle cherche comme modèle.

Ses fans et clients ne s’arrêteront pas aux sous-vêtements.

L’entendre parler de lui détend l’atmosphère. En apprendre un peu plus sur son modèle rend la situation plus agréable et balaye la gêne qui hante ses joues. « Je suis ravie que ça t'aide à mieux te sentir dans ta peau. J’espère que tu perceras aussi. Tu es vraiment doué ! » Un fin sourire fleurit sur ses lèvres alors qu’elle relève la tête pour le détailler une nouvelle fois.

« Quand je serais une artiste riche et célèbre, sois sûr que je t’embaucherais ! »

Enfin, ils continuent de vaquer à leurs différentes tâches jusqu’à, ce qu’à son tour, Kango entame la discussion. Un peu surprise, Chiyo dépose son crayon sur le côté pour l’observer. Ses joues rougissantes, à cause de la chaleur ou l’embarras de recevoir un compliment d’un homme si séduisant ? Son cœur s’emballe, comme une lycéenne qui connaît ses premiers flirts. Quelle honte !

« Merci… Oui, mon père est américain ! On ne me le demande pas si souvent, en réalité… »

Elle replonge le nez dans ses dessins pour masquer sa gêne.

« Je suis contente de savoir que mon travail est apprécié ! S’emballe-t-elle, les compliments sur son travail font toujours mouche. Intimidé ? » Le carnet posé sur la table, elle se lève pour le rejoindre et s’assit simplement au bord du confortable lit. « Comme tu peux le voir, je suis une personne tout à fait banale ! On va d’ailleurs faire une petite pause, ça fait un moment qu’on a commencé. »

Est-ce le thermostat qui s’emballe ou la soudaine proximité qui enflamme sa peau ? Chiyo ne saurait y répondre… Pourtant, elle n’a pas vraiment envie de s’éloigner du modèle.

11
Dictature d'Ashnard / Re : Convaincre à tout prix. - Gerd
« le: mercredi 01 février 2023, 19:42:32 »
Son corps devient la monnaie d’échange contre la vie du comte. Comme si le destin retrouve son fil initial après un court détour. Mais une nette différence demeure : Si ses mots se sont calmés, la fierté de l’esclave demeure. Son seul regard met au défi le sorceleur de prouver ses aptitudes.
La terranide n’est arrivée à sa position, en se fiant à des contes pour effrayer les enfants. Si leurs prouesses guerrières ne sont à prouver, leurs combats incessants ont peut-être endormis à jamais leurs attributs virils. Des mots qu’elle contient toujours, ancrée dans cette optique de sauver la peau de son maître.

Mais est-ce là la seule raison ? Qui la pousse à ôter ses vêtements sans défaillir, à suspendre ses pupilles aux siennes, le coin des lèvres relevé d’un discret et malicieux sourire. Ou sous ses bien nobles intentions, quoi qu’elle n’a jamais caché leur nature égoïste de préserver un mode de vie qui lui est propre, se cache une curiosité bien malsaine, menée par un curieux désir.
Kleora n’a jamais été prête à donner son corps pour son maître ; elle a été capable de faire preuve de remarquables stratagèmes pour éviter ces situations.

Cette fois-ci, c’est différent. Sous ses nombreuses excuses et un véritable dédain à l’idée de changer de maître se cache une volonté de découvrir les prouesses du sorceleur. Si sa seule intention avait été de le sauver, la féline aurait préféré la mort, à la souillure de son corps.
Ses doigts graciles tombent et poussent ses étroites bretelles, le long de ses bras. Sa poitrine se découvre ; le tissu longe son corps pour habiller le sol de la chambre.

« Je n’attends ni douceur, ni prévenance de votre part. J’accomplirais ma part du marché alors tâchez au moins de… »

Kleora ! Ses pensées l’appellent à l’ordre, juste avant que le mot de trop ne sorte.

Céder à la provocation est si facile mais risque de la conduire sur un chemin bien épineux. En réalité, objet d’un autre, la tuer reviendrait à simplement casser le vase d’un noble. Sa vie n’a si peu de valeur aux yeux de la société ashnardienne qu’elle devrait apprendre à mieux tenir sa langue en présence d’une brute, capable de lui tordre le cou d’une main. Le simple solde donné pour cette mission suffirait à dédommager son maître. Bien que lui n’accepterait peut-être pas une justice si ridicule.

« Etes-vous satisfait de la vue ? Demande-t-elle dans un excès d’orgueil. Les gaupes que vous usez à vôtre habitude ne sont que de vieux chiffons, utilisés par d’autres. »

Kleora ne reste immobile, à attendre sa sentence. D’un pas assuré, ses mains se déposent sur le torse du sorceleur et s'arrêtent à sa ceinture. Nul jeu de séduction n’est nécessaire entre eux ; il n’attend que la satisfaction pure de ses instincts animaliers. La terranide compte lui donner contentement et prouvée qu’elle n’est une hybride lambda trouvée au bord d’un foutoir.

La boucle défaite, le pantalon tombe à ses chevilles. Ses probables sous-vêtements suivent pour dévoiler sa virilité endormie. Ses doigts l’enlacent, ses genoux s’écrasent contre le parquet inconfortable. Si Kleora n’attend aucune douceur de sa part, elle ne prend de gant, ni n’attend une quelconque autorisation. Les lèvres ouvertes, le gland s’engouffre dans sa bouche.

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One Shot / Re : L'invocation du héro. - Red King
« le: mercredi 01 février 2023, 19:41:57 »
Dans une énième bourde, la Sainte trébucha sur lui. Assise sur ses genoux, son regard surpris se perdait dans le sien. Le relief déformant son pantalon épousait à merveille son fessier délicat. La sensation se diffusait dans son corps comme une décharge électrique. Son attirance pour le héros s'imposait à son esprit supposé resté chaste. Pourtant, elle était bien incapable de se relève ou de rompre ce délicieux contact.

Quelle était sa surprise quand il la renversa dans son lit. Obligée de ses désirs, le héros aurait pu profiter de cette situation de mille façons possibles, pour assouvir ses plus basses envies. Mais il restait maître de lui, de son corps. Il la repoussait pour mieux l'inviter une autre nuit. Avait-il déjà une amante qui devait visiter sa couche ce soir ? La Sainte ne s'en formalisa pas. La maîtrise de soi du héros forçait son admiration et respect à son égard. Isadora acceptait sa décision.

« Très bien. Je vous laisse vous reposer. »

Après une courte révérence, elle quittait la chambre sans plus de cérémonie.

*
* *

Les jours suivants se passèrent dans le plus grand des calmes. La Sainte passa le plus clair de son temps aux côtés du héros autant par envie que par obligation. Elle devait lui apprendre la magie et son fonctionnement. Cet apprentissage les rapprochèrent. Dans l'intimité, quand ils étaient seuls, Isadora lui avait demandé de l'appeler par son prénom et de la tutoyer, ce qui aidait à réduire la distance imaginaire qui les séparait. Mais au final, peu d'occasions se présentèrent à eux de reprendre là où ils s'en arrêtaient.

Jusqu'à ce soir là. Dans l'obscurité de la nuit, le sommeil manquait à la Sainte troublée. Alors que tous reposaient dans de doux songes, elle sortit discrètement de sa chambre pour rejoindre les quartiers du héros, à quelques portes de la sienne. Nul regard indiscret ne remarquerait sa soudaine absence et sa destination.
Vêtue d'une courte nuisette, une épais manteau recouvrait le tissu léger pour lui permettre d'affronter la froideur du couloir.

Elle toqua à sa porte, animée d'aucune volonté déplacée… Bien qu'elle ne refuserait aucune avance de Red.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Le prix de la liberté. - Masa
« le: mercredi 01 février 2023, 19:41:06 »
Le japonais la devance ; sa maladresse lui arrache un franc rire. Il est si honnête dans ses émotions, si différent des hommes qui ont autrefois peuplé son quotidien. La vénalité se cachait derrière leur sourire. Peu osait faire preuve d’un temps soit peu de franchise dans les intentions qui les animait. Ce défilé de masques hautains était propre à la noblesse dans laquelle son maître évoluait et avait embarqué Kleora dans son sillage. Une vie de luxe, à l’abri du besoin où la paresse semblait être la plus noble des qualités.

Les souvenirs de cette vie lui paraissent si lointains alors qu’un mois auparavant, elle évoluait dans ce monde de requins. Comme un songe irréel, d’un monde laissé derrière. Pour le meilleur comme pour le pire. Son arrivée au Japon ne date que de quelques brèves heures. Quand sera-t-il quand son esprit se sera adapté à cet endroit si singulier ? A cette vie paisible qui l’attend ?
Pour l’heure, la serviette tendue par Masa la ramène à la réalité, à profiter de cet instant paisible tant qu’il l’accepte encore dans son studio.

« Merci. » Après s’être séchée brièvement sa crinière argentée, ses oreilles dressées et sa queue touffue, elle enroule le tissu humide autour de son corps pour sortir du bain, presque vide. Seuls ses pieds humides laissent de marques sur son chemin. Elles sècheront, songe Kleora après un regard furtif.

La terranide le laisse patauger dans ses questions étranges. Bien entendu, elle connaît le riz mais préfère le voir pris d'une courte panique sur ses connaissances culinaires. Issue d’un autre monde, malgré le caractère curieux de son interrogation, elle ne la trouve stupide pour autant.
Quitte à s’interroger, le poisson peut aussi poser quelques débats. Après l’avoir torturé dans le bain, elle préfère observer en silence.

La chaise tirée, elle s’installe face à l’étroite table.
La télévision allumée, le regard de la féline s’émerveille. Quelle incroyable invention ! Certes, une partie des explications lui sont encore inaccessibles mais cela ne l’empêche d’apprécier cette mine infinie d'informations. La télécommande en main, elle change plusieurs fois de chaînes avant de s’arrêter sur une série dramatique, typiquement japonaise.

« Ceux sont des comédiens ? Interroge-t-elle, prise d’un léger doute. » Sa queue se balance de droite à gauche alors que ses pupilles rosées ne quittent plus l’écran lumineux. Kleora s’est toujours plongée avec une facilité déconcertante dans la lecture et différentes histoires qui l’aidaient à s’évader de sa condition servile. La télévision a provoqué le même effet lui faisant découvrir par l’image, un monde qui lui est parfaitement inconnu.

Habituée à être choyée, Kleora ne pense pas non plus à proposer son aide à son hôte.

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Dictature d'Ashnard / Re : La liaison secrète. - Red King
« le: mercredi 01 février 2023, 19:40:08 »
Chaque attention offerte par le prince fait succomber la jeune hybride à son charme. Entre ses bras, elle se sent libre d’apprécier et de désirer un homme que son maître n’approuverait jamais. Pourtant, il est un fabuleux amant qui l’amène vers des plaisirs qu’elle n'a pas encore connus. En cet instant, aucune chaîne ne les retient d’apprécier la volupté qui unit leur corps. Sa peau est brûlante sous ses doigts et ses baisers aussi fiévreux et vorace que ses pupilles améthystes.

Sa virilité la comble si bien, que sous ce plaisir elle entrave parfois ses mouvements pour le sentir au plus profond de ses chairs. Elle le fait prisonnier de ses jambes pour succomber aux frottements intenses de son intrusion.
Il joue avec son plaisir. Quand Kleora l’implore de se lâcher, il ralentit, créant et attisant une cruelle frustration. Mais elle se sent comblé quand il abandonne quelques instants sa douceur pour la posséder plus sauvagement. Sa voix s’intensifie, ses gémissements se mêlent aux sons obscènes de leur ébat dans un mélodieux orchestre.

 « Aaah… Alexis… »

La chatte a cherché à exprimer son plaisir mais les mots n’ont réussi à se former qu'en quittant ses douces lèvres. Seul le prénom de son amant est devenu audible entre ses soupirs indécents.
Encore, il vient torturer la féline, si proche de l’orgasme en changeant de rythme. La profondeur de ses mouvements lui offre des sensations différentes, toujours aussi délicieuses.

 « Désirez-vous… Changer… De position ? propose-t-elle. » Il pourrait continuer ainsi comme bouger, Kleora en prendrait toujours un plaisir immoral. Mais elle pense à son amant, obligé de se maintenir pour ne pas l’écraser. Les opportunités lui sont réduites.

L’emprise de ses jambes ne le quitte pas jusqu’à ce qu’il prononce sa décision… Il pourrait aussi bien se délivrer ainsi, en elle avant de bouger. Ou elle condamnerait son étreinte si jamais la manifestait l’envie de finir ailleurs que dans son intimité. Le plaisir qui lui offre est tel que la chatte se plierait au moindre de ses désirs.


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Dictature d'Ashnard / Re : La liaison secrète. - Red King
« le: vendredi 06 janvier 2023, 06:29:04 »
Après avoir pris sa revanche, jouant avec sa frustration, les suppliques de Kleora font céder le prince. Elle peut sentir son gland ouvrir la voie à sa virilité plus imposante. Elle n’a de mal à la posséder tant le désir intense de la belle lui a facilité la tâche. Avec une aisance particulière, accompagné de premiers coups de rein, il vient la prendre, s’enfonçant jusqu’à sa garde. Son épée est parfaitement adaptée à son fourreau, comme si elle avait enfin trouvé sa véritable place. Et le plaisir décuplé par le jeu de frustration.

Sa voix s’élève dans la petite pièce, parfaitement insonorisée. Il pourrait la faire crier son prénom, que personne ne les entendrait… L’endroit parfait pour se laisser aller. Ses gémissements viennent être étouffés par un baiser torride. Sa langue trouve sa congénère dans une délicieuse danse. Comme son amant, elle appréciait particulièrement les baisers pendant l’acte. Ils offrent une intimité différente à ses yeux.

Elle profite jusqu’à ce que leurs lèvres se séparent. Son souffle saccadé est malmené par les gémissements et soupirs appuyés qui trahissent son plaisir en ce début prometteur.
L’entendre son prénom de sa sensuelle voix fait chavirer la chatte, un peu plus. Ses oreilles sont d’ailleurs dressées au-dessus de sa tête, sa queue a disparu sous leurs corps enlacés.

« Alexis… Montrez-moi… Votre désir… l’encourage-t-elle alors. » La féline veut le sentir se laisser aller et faire tomber ses dernières craintes à son égard. Elle veut profiter de ce moment voluptueux pour oublier ce qui les entourent et les devoirs qui les incombent. Prendre du plaisir ensemble, sans que rien ne puisse les déranger.

Kleora se fait aussi impatiente de voir jusqu’où leur relation les guidera… D’aller prochainement sur le terrain du prince pour continuer leur liaison secrète. Il y a quelque chose d’excitant à trahir ainsi son maître, d’entretenir une telle relation dans son dos.

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