Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Freya

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Les terres sauvages / Re : Le passé tel un poison { Pv ~ Freya }
« le: jeudi 13 avril 2023, 23:07:39 »
Jurpim avait mis un terme aux promptes retrouvailles après l’invitation hâtive de la sorcière. De retour avec la commande de Darth, elle la déposait sur le comptoir. Freya serait la suivante, condamnée à une courte attente. Après tout, elle avait fait irruption sans se soucier de la présence d’un autre client. Cela la conduisait, d’une part à revoir un vieil ami et d’une autre à se délecter d’une joute verbale acérée. Elle se trouva bien déçue que la transaction se termine si vite tant leurs mots la divertissaient. A son habitude froide, son visage s’était tourné vers un mur, une main devant ses lèvres pour masquer son rictus et contenir son hilarité. Un spectacle rare qui s’effaça au départ du vampiroïde.

Son visage immuable revint à cette façade glacée que l’on lui connaissait. A son tour, elle se présenta à la vieille marchande et obtint un accueil bien chaleureux. Elle ne manquait une occasion d’y venir chercher quelques raretés nécessaires à de nouvelles expériences ou pour la matriarche occupée. Mais la mention de ses comparses ne l’étonna. Il suffisait d’observer les nouvelles venues, dont celle qu’on lui avait mise dans les pattes contre son gré. Il y avait tant à faire que les amener à Jurpim semblait être le cadet de leur soucis. Seules des anciennes, à son image, parvenaient encore jusqu’à sa roulotte quand elles n’étaient pas dispersées aux quatre coins du monde.

« Sigrid m’envoie. Elle est débordée par la nouvelle génération. Plus stupide que l’ancienne, elle ne volait guère haut. C’est un fait : Le niveau décroît. Si tu tiens à le constater, je t’emmènerais la prochaine fois l’apprentie qu’elle a osé me coller entre les pattes. Un spécimen rare, tu y trouveras peut-être une utilité. »

Dans sa longue vie, aucune matriarche n’avait osé lui affecter un apprentissage. Jusqu’à aujourd’hui. Exaspérée, encore, cette seule pensée lui rappelait toujours cette effroyable créature qu’il l’attendait. Elle en venait presque à se dire que la vendre à Jurpim serait un bon sort pour la faire disparaître. Or, la cruauté de Freya ne s'étendait pas au point d’offrir cette souffrance à une sorcière aussi respectable.

« Notre première rencontre date… Et il est bien différent de cette époque lointaine. Tes conseils ne tombent jamais dans l’oreille d’une sourde. » La différence flagrante pouvait en inquiéter plus d’un ; Freya a toujours été attiré par les puissants, qu’il le soit par le sang, leur autorité ou leur pouvoir. Sa fascination naquit à leur première rencontre, se renouvella aujourd’hui. « Sigrid a besoin de larmes de banshee et… »

La liste continua.

*
* *

Quelques longues minutes, le galbe gracile de la sorcière se dévoila à l’entrée de la roulotte. Une sacoche pendait dans l’une de ses mains qui finit accrochée à l’extrémité de son balais. Il resterait là, à côté de la roulotte jusqu’à être appelé pour le retour. Freya aimait garder les mains libres. Les commissions demandées par la matriarche ne craindraient rien.

Ainsi, elle s’avançait dans le marché animé en quête de la haute silhouette de Darth. Il avait annoncé se dégourdir les jambes ; l’humaine le trouva à quelques pas, sans efforts. Il lui était impossible d’affirmer combien d’années s’étaient écoulées depuis leur dernière rencontre. Pourtant, la familiarité lui donna son nom, comme une évidence prononcée dans la roulotte. A l’extérieur, devant lui, elle pouvait admirer sous la lumière artificielle ses traits reconnaissables.

Ses doigts s’étaient saisis sans préavis de son menton, tournant son visage à droite, puis à gauche. Ses pupilles vermeils détaillaient les différences que ses vagues souvenirs lui permettaient de remarquer. Elle finit par le lâcher, visiblement satisfaite.

« Tu as changé. J’ai failli ne pas te reconnaître, Darth. Il est toujours agréable de constater que tu n’es pas seulement mort, seul au fond d’un ravin. »

La conversation s’entamait. La sorcière se dévoilait comme une vieille amie, curieuse de connaître ce que les années passées lui avaient apporté. Elle ne se dotait, pas encore, de mauvaises intentions et de cette irrésistible envie de comprendre et d’apprivoiser sa puissance. Pour l’heure, avancée de quelques pas, Freya l’invitait à la suivre à travers le marché animé.

Cette fois-ci, à la lueur des étales, il pouvait mieux l’observer : identique. Sa démarche était aussi assurée qu’élégante. Son imposant chapeau pesait sur le sommet de son crâne tandis qu’un coup de vent souleverait sa courte jupe pour dévoiler ses courbes envoutantes. Bien similaire aux vêtements qu’elle portait auparavant. Seule sa puissance ne connaissait la même immuabilité, ayant grandi au cours des siècles accompagnées de ses connaissances. Enfin, rien n’était comparable au vampiroïde à côté de qui elle faisait pâle figure.

Elle attendit ainsi quelques secondes qu’il vienne à sa hauteur pour continuer le chemin. Son regard n’accordait qu’un coup d'œil distrait aux différentes étales. Quand une telle créature marchait à ses côtés, le reste lui paraissait bien fade à côté.

« Raconte-moi. Qu’es-tu devenu toutes ces années ? Bien que j’ai une petite idée. »

2
Magnanime ? Non. Tu ne rêves que d’entourer tes doigts autour son cou pâle… Et de serrer. Jusqu’à ce qu’elle te supplie d’arrêter, qu’une larme coule sur sa joue. Qu’enfin, la mort l’emmène loin de toi !

Tu ne peux. Ni la tuer, ni demander à un lépreux de la violer.
Sigrid se doutait bien de ton comportement. Les directives ont été claires, plutôt que les interdictions. Tu dois lui apprendre et non, la torqturer.

Par chance, ton merveilleux Prince est à tes côtés et prêt à remplir sa tâche. N’est-il pas question de sa récompense ? Ah oui. Si l’envie de le frustrer s’immisce sournoisement, tu t’es décidée à lui offrir plus de liberté qu’à ton habitude.

Tes jolies fesses rondes viennent reposer sur ses genoux. Et comme il a remarqué, ta jupe s’est raccourcie pour n'être une entrave. Les pans de tissus ébènes s’arrêtent au sommet de tes cuisses. Entre vos corps trône sa virilité parfaite que tes doigts habiles saisissent fermement.

« Mon doux prince. Mon adorable chaton. »

Ton humeur s’est adoucie, réchauffée. A l’image de ton esprit, pris d’une nouvelle passion libidineuse. Enfin, à chaque retour à ton manoir, le rituel est similaire. Ton familier est prisonnier de ton désir vorace. Avec lui, s'accompagnent tes caprices.

« Pour ta récompense, tu es libre de tes paroles et de tes actes. »

Ton appétit est désormais égayé d’un sourire malicieux. Tu sais qu’il sera comblé par ce cadeau inestimable. Son enthousiasme te ravit ; l’écart entre la stupide apprentie et toi est bien grand. D’ailleurs, peut-être l’avoir en spectatrice n’était pas le présent pour Chaton… Mais le tien, dans une volonté de l’humilier. Mesquine que tu es, tu n'oublieras pas d’élever la voix et de la faire participer par ce concert à vos activités lubriques.

Il ne te plait de songer encore à cette imprudente. Tes pupilles grenats, brillantes de stupre, plongent dans le regard soumis du chat. Ta main libre se saisit de son menton, tes lèvres des siennes d’un baiser possessif.

Tes doigts ont offerts quelques furtives caresses à son sexe tendu. Puis, ils le guident vers tes cuisses ouvertes, au-dessus de lui.

Il le sait, tu n’aimes que trop le frustrer et lui faire perdre pied… Pour parfois l’abandonner pendant des heures dans cet état douloureux.
Aujourd’hui, ne fait exception : L'extrémité se presse contre le tissu protecteur de ta fleur intime. Une seule chose change : il est libre de mettre un terme à la longue torture que tu prévois de lui faire subir…

Vos lèvres séparées, tu demandes : « Alors, mon Chaton ? Que comptes-tu faire ? Agir pour te libérer de ta frustration ? Ou rester mon Adorable prince, attendant que je t'utilise à mon gré ? »

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Les contrées du Chaos / Re : L'Escorte. - Freyord
« le: vendredi 24 février 2023, 07:02:00 »
Se prélasser dans l’eau chaude permet à la sorcière d’oublier les douloureuses courbatures et de se laver des vestiges de leur longue nuit. Elle ne sait pas trop si le lion la rejoindra mais sa venue tardive la ravit. Le colosse ne passe guère inaperçu entre les larges colonnades. Son entrée dans les bains crée des remous.

Les pupilles grisâtres de la sorcière ne l'ont pas quitté, appréciant toujours la vue de sa puissante musculature et de sa nudité obligatoire entre ses murs.

Elle se lève pour sortir et s’asseoir au bord. Sa poitrine pend sous le nez du mercenaire, à croire que Brunehilde le fait exprès. Pourtant, cette fois-ci, aucune obscène pensée ne l’anime ; sur plusieurs jours de voyage, ils ont bien le temps de se laisser aller, encore. Elle ne refusera pas cela dit une avance de Freyord.

Les premières lueurs du soleil se lèvent timidement à l’horizon et la route en ce premier jour est la plus aisée de leur périple. Ils n’atteindront la frontière du royaume de Nexus qu’au soir. Les chemins sont à peu près sécurisés, jusqu’à cette extrême limite.

Ensuite… La nature sauvage reprend ses droits jusqu’aux murailles d’Urde.

L’humaine ne se fait pas soucieuse du chemin. L’escorte est suffisante ; ses préoccupations sont bien éloignées.

« Es-tu prêt à partir, une fois propre ? s’enquit-elle, loin de connaître son nécessaire au voyage. Ne seras-tu pas trop lent à pieds ? »

Tant d’autres interrogations brûlent les lèvres de la sorcière mais elle s’arrête à l’essentiel pour ne pas perdre de temps dans une conversation futile.
Or, il en reste une plus sulfureuse et bien superflu que Brunehilde ne peut manquer, encouragée par sa curiosité et son désir endormi.

« Et j’aimerais connaître tes préférences, Freyord. Sexuelle, bien entendu. Je suis sûre que ça pourra nous être utile. »

Elle s’est penchée au-dessus d’une de ses oreilles pour cette ultime question susurrée d’une voix sensuelle. Comme à son habitude, Brunehilde ne tourne autour du pot et entre sans nul artifice dans le vif du sujet qui l’intéresse.

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Les contrées du Chaos / Re : L'Escorte. - Freyord
« le: lundi 20 février 2023, 05:47:41 »
La sorcière est bien contente qu’il ne soit arrêté malgré ses paroles. Elle désire le sentir encore, le laisser prendre possession de son minuscule orifice. Le lion, aveuglé par le plaisir, se retire, entre. Son petit manège commence ; les voyages de sa virilité sont chaotiques mais délicieux. Il lui fait sentir chaque millimètre de son imposant gabarit, la ravit de plusieurs orgasmes. Il la démonte, comme précédemment mais accélère suffisamment pour ravager son intérieur étroit. Le mercenaire prend et possède son corps, à se lâcher plusieurs fois et la faire crier à travers la petite auberge où personne n’aura trouver le sommeil durant cette nuit exceptionnelle.

« Oui... »

Son souffle est court, sa poitrine se soulève et s’écrase contre le sol dans un rythme effréné. Cette fois-ci, l’humaine a bien besoin d’une pause. Après quelques secondes, Brunehilde se tourne et s’allonge contre le sol. Les jambes écartées, malgré sa magie et ses capacités, elle est assurée de boiter le lendemain. Plus encore, s’ils remettent ça, lors de leur voyage. La sorcière a bien l’intention de profiter de chaque seconde en la présence du terranide, de manquer une occasion quitte à mettre son corps face à de très rudes épreuves.

« C’était exceptionnel… Laisse-moi quelques minutes et on pourra reprendre. »

Ils n’ont pas fini.

*
* *

Après une nuit sportive, c’est peu dire, Brunehilde n’eut le droit qu’à deux brèves heures de sommeil. Les premières lueurs de l’aube se sont glissées à travers la fenêtre, baignant leurs visages assoupis. La sorcière se tire du lit dans une légère douleur. Chaque muscle se souvient des heures passées dans des courbatures bien douloureuses. Le sol privilégié pour leur ébat ne les a pas épargnés. Mais elle ne montre ses faiblesses, sert les dents et sort dans le but de retrouver leur vêtement.

Un généreux passant leur a laissé au pas de la porte. Elle dépose le lourd pagne sur la commode et enfile sa robe. L’humaine n’est pas du genre à rester les bras croisés et attendre le réveil de son amant. Elle laisse un mot pour lui indiquer être partie préparer leur voyage et faire un tour bien mérité au bain public. Souillée par le lion, une baignade ne lui fera aucun mal. Bien sûr, la sorcière ne perd jamais le nord et l’invite à la rejoindre si le cœur lui en dit.

Elle se charge de réunir quelques provisions : de l’eau et quelques fruits. De trouver des montures, sans savoir si le mercenaire sera capable de chevaucher et finit sa route aux bains. A cette heure matinale, nul âme ne s’aventure dans l’eau délicieusement chaude. Brunehilde profite du silence et du calme.
Si Freyord ne la rejoint pas, c’est elle qui arrivera à l’auberge ensuite.

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Les contrées du Chaos / Re : L'Escorte. - Freyord
« le: lundi 20 février 2023, 04:35:26 »
Installée sur ses avants-bras, Brunehilde maintient son corps et son fessier galbé surélevé vers Freyord. Il se positionne. Seulement quand le gland épais appuie contre sa petite entrée, qu’elle comprend l’intention du terranide. Un fâcheux quiproquo que la sorcière n'a pas anticipé. Elle désirait lui donner un autre axe de pénétration pour s’empaler dans sa féminité lubrifiée, la prendre sauvagement. A la place, le lion s’impose à son orifice le plus étroit, bien loin d’être prêt à accueillir un tel monstre. Elle est bien incapable de l’arrêter et use de sa magie, en dernier recours.

Mais loin d’être parfaite, par son utilisation empressée, une pointe de douleur se mêle à sa venue. Y enfoncer l’extrémité de sa virilité veineuse est déjà un effort surhumain. Le plaisir est différent, intense et brusque. Il y est à peine qu’elle se sent combler. Le front collé contre le parquet, les lèvres grandes ouvertes pour laisser s’exprimer les sensations inconnues. Peut-être que le terranide aurait fait demi-tour pour mieux la préparer à son arrivée ? Non. Chaque minuscule millimètre est senti par son anneau de chair, écartelé sous sa présence.

Son intérieur le compresse, l’étouffe alors qu’il essaye de s’y frayer sa place.

« Freyord... Ce n’était… pas… Les mots se perdent. »

Brunehilde est incapable de continuer, de l’implorer de continuer son chemin. Les grondements du lion l’excitent davantage alors qu’elle se perd dans le stupre. Ses doigts s’accrochent comme ils peuvent entre les lames de bois. Mais seules les puissantes mains du lion la tiennent vraiment dans cette position et lui permettent de le recevoir jusqu’à sa garde. Le chemin a été long ; plusieurs longues minutes se sont écoulées avant que sa verge ne s’impose entre ses chairs.

Elle la sent comme coincée et bien incapable de sortir. Toute sa largeur s’inflige à la sorcière. De nouvelles gouttes de sa propre excitation coulent le long de ses cuisses, mêlé de la semence du lion. Si elle a été capable de résister aux assauts du lion, le moindre mouvement aussi infime soit-il, la condamnerait sans doute à un nouvel orgasme sans que l’humaine puisse le retenir.


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Les contrées du Chaos / Re : L'Escorte. - Freyord
« le: lundi 20 février 2023, 03:27:27 »
Brunehilde ne s'attend pas à cette synchronicité parfaite avec le lion. Mais cette sensation inégalable de sentir son amant venir en même temps la ravit. De plus, il est loin de l’homme ordinaire. A son membre qui occupe tout l’espace et force son impérieuse présence, s’ajoute sa semence obligée de se frayer une place lors des jets brûlants. Elle le sent se vider, plus qu’il ne lui a offert dans les escaliers. Ses sensations incroyables ouvrent un peu plus l’appétit vorace qui ne cesse de louer et réclamer le mercenaire.

Par chance, il est bien décidé à la satisfaire et à prendre son pied. Plus d’une heure passe, les orgasmes se succèdent sous ce rythme langoureux. Son corps est bien incapable de s’habituer à son gabarit, le plaisir est toujours intense, au cours des longues minutes. Et ils se sont tant vidés que le fruit de leurs ébats jonchent le vieux sol. La sorcière n’a pas une pensée pour la pauvre âme qui s’occupera de nettoyer leur bordel, le matin venu.

Au-delà de son physique, Freyord se montre être un amant attentionné dont les flatteries ne cessent de la charmer. Que ce soit sa bouche explorant sa peau, ou ses mains jouant de ses seins. Il peut observer que malgré le temps écoulé, ses pointes rosées ne faiblissent pas entre ses doigts.
Puis, elle le sent prêt à lui offrir à nouveau cette bestialité qu’elle affectionne tant. Mais ses mains le repoussent, doucement.

« Attends… Le souffle saccadé, épuisé par leurs ébats, l’humaine prend une respiration pour continuer. Changeons de position...  »

Plusieurs options se sont offertes à Brunehilde. Tant lui donnent envie de s’y affairer tout de suite. Comme l’idée de chevaucher le lion et de le pousser par elle-même entre ses retranchements. Mais la belle, quand il accepte, opte pour une option. La sorcière lui laisse le temps de retirer son envoûtante verge. Le vide laissé fait naître immédiatement une cruelle frustration.

Elle se redresse et s’installe devant lui, à quatre pattes cette fois-ci. Sa croupe lui est offerte avec une imprenable sur ses orifices : l’un épargné, l’autre souillé.
Surtout, sa place est plus qu’adaptée à une reprise sauvage du terranide.

« Freyord… Vient Brunehilde le supplier ensuite.  »

7
Les contrées du Chaos / Re : L'Escorte. - Freyord
« le: lundi 20 février 2023, 01:56:58 »
L’immense lion dépose son corps malmené contre les lattes usées du plancher. Son dos n'est pas à son aise, une légère gêne se fait sentir. Mais être ainsi possédé par le terranide lui permet vite d’oublier les inconvénients pour se concentrer uniquement sur son puissant vît. De cette manière, ils n’ont à craindre qu’un nouveau meuble s’écroule sous la force brutale du mercenaire. Il peut se donner à fond et contenter la belle. Mais après de longues minutes, à ne lui avoir laissé de répit, Freyord change de rythme.

Il la besognait si fort, qu’elle avait hurlé son prénom à travers l’auberge. Désormais, elle récupère un peu de souffle, coupé de gémissements plus faibles. Pourtant, son plaisir lui n'est pas atténué ; au contraire, la sorcière apprécie le changement. Difficile de se lasser avec un tel gabarit mais pouvoir sentir chaque sensation de son membre disproportionné est un véritable régal. Il s’insinue avec lenteur mais assurance et la comble de plaisir.

Son antre se fait hostile, incapable de s’habituer à un tel monstre. Mais elle est bien obligée d’épouser ses formes veineuses, pour le plus grand bonheur de l’humaine. Elle ne cesse d’en réclamer. Les nuits avec Brunehilde risquent d’être bien plus intenses que la périlleuse route qui les attend.

Ses longs doigts trouvent refuge sur le torse musclé du terranide dont elle explore le doux pelage. Les lèvres du lion se déposent les siennes ; la frontière s’entrouvre pour laisser passer sa langue et jouer avec sa comparse. Leur baiser diffère du précédent, à l’image de ses allées-et-venues, il est lent et langoureux, empreint de passion et de désir.

Dans un énième voyage de sa puissante verge, Freyord amène la sorcière à son premier orgasme. Il est si bon de le sentir, au fond de ses entrailles qu’elle est bien incapable de se retenir plus longtemps. Son bustier se lève, sa tête est rejetée en arrière. Le prénom du mercenaire hante ses lèvres dans ses longues secondes d’extase.
Son corps comme sa féminité sont plus sensibles aux assauts du terranide. Pourtant, elle est loin d’avoir atteint ses limites.

8
Les contrées du Chaos / Re : L'Escorte. - Freyord
« le: dimanche 19 février 2023, 03:24:02 »
Entre le mercenaire et la sorcière, la bestialité règne. Il s’empale dans son antre, faisant céder sous sa force toute forme de résistance. Son sexe, bien inadapté à son frêle corps, ne connaît aucune limite pour venir la posséder, encore et encore. Il la noie dans les tréfonds de la luxure ; elle se fait obligée de ses plus bas instincts, à n’attendre qu’une chose du lion : qu’il la besogne et la fasse crier son plaisir, jusqu’à ce que sa voix s’éteigne, fatiguée.

Il la bloque de ses pattes sur ses épaules, pour éviter que son corps ne s’enfuit face à ses assauts brutaux. Pourtant, ce dernier se soulève à chaque fois tandis que Freyord s’enfonce, jusqu’à rencontrer les limites de la sorcière. Il ne s'arrête pas et grimpe les marches sans que la belle n'ait conscience du mouvement de leur corps. Elle est aveuglée par le plaisir, incapable de réfléchir. L’humaine ne cherche pas le repos, ou une pause.

Brunehilde cherche ses lèvres félines ; son museau se plaque contre sa bouche. Sa langue s’en échappe pour combler sa bouche malmenée et trouver sa comparse. Son baiser est à l’image de leurs ébats : sauvages, où toute forme de tendresse se fait absente. Il quitte ses lèvres et la laisse à bout de souffle.
Ses mamelons rosées sont pressés contre le torse imposant du félin et frottés sans qu’il n'ait à s’en occuper.

Il arrive à l’étage. La sorcière en prend conscience que ses fesses sont posées sur la commode. Vite détruite, cela dit. Elle espère juste que le mobilier saura tenir la force du puissant colosse. Sans un lit, ils profiteront de leur nuit sur un tapis, si elle ne reste que la seule option.
Ses mouvements ralentissent. Loin de déplaire à l’humaine, elle peut sentir son membre hors norme et chaque centimètre s’enfoncer et prendre place, avec une douceur délicieuse.

Ils sont désormais debout. Brunehilde est portée et coincée sur la trique imposante du terranide. Son corps tressaute dessus, pour venir s’empaler profondément. Près d’une porte, qu’elle devine être leur destination, elle tend la main pour l’ouvrir et découvre un intérieur bien simple : Un grand lit, deux tables de chevet, une table et une commode. Ainsi qu’une fenêtre au rebord suffisant pour installer la sorcière.

Aucun point d’eau n’est en vue. Les voyageurs se rendent principalement aux bains publics de Nexus.

« Mmh… Freyord, plus… tente la sorcière de réclamer, entre des respirations fortes. »

9
Les contrées du Chaos / Re : L'Escorte. - Freyord
« le: dimanche 19 février 2023, 01:50:52 »
Freyord a cédé à son petit jeu pour lui offrir quelques caresses fugaces. La sorcière le pensait à y enfoncer ses gros doigts pour lui offrir un avant-goût et combler un instant son impatience. Mais il préfère jouer de sa hâte, l’effleurant en surface sans lui accorder la moindre satisfaction. C’est un soupir frustré qui dépasse ses lèvres quand, sous sa propre impulsion, sa main finit par la quitter. De meilleures horizons l’attendent, une fois installée dans les marches.

L’ombre immense du félin la couvre. Son sexe se calle entre ses cuisses ouvertes à sa venue et son extremité peut rencontrer ses lèvres intimes, loin d’être prête à le recevoir. Brunehilde a toutefois prévu le coup ; si elle est naturellement insensible à la douleur, conséquence de sa nature de sorcière, elle a surtout usé de sa magie pour mettre à son anatomie d’accueillir le gabarit hors-norme du mercenaire. Sans que leur plaisir n’en soit impacté. Elle agit plutôt comme une protection.

Décidément, Freyord aime le faire attendre. Il s’empare de ses lèvres, se joue de son corps, lui arrachant quelques soupirs éhontés. Avant qu’elle n’en vienne à le supplier, il la pourfend de toute sa longueur. Sa voix résonne à la taverne, mêlée de surprise et de plaisir. La sorcière n’attend de lui ni cruauté ni bienveillance mais simplement qu’il se lâche à ses plus bas instincts. Et il le fait. D’une entrée brutalement, où elle pensait que le lion la ménagerait un peu.

Le mercenaire a réussi à entrer d’un seul élan pour se loger entre ses chairs serrées. Son antre est ni adaptée, ni préparée à son intrusion ; elle compresse avec force l’énorme monstre qui vient d’y faire son nid. Brunehilde ne doute plus de la force du terranide qui la cale entre ses mains et commencent à le besogner sans aucune forme de ménagement.

Si la discrétion n’a jamais été au programme, ses cris répétés mêlés claquements brutaux de leurs corps ne laissent l’ombre d’un doute sur leurs ébats sauvages.

Le lion ne lui laisse pas une seconde de répit ; elle tente de s’accrocher à lui, tant bien que mal. Se maintenir est difficile sous la puissance de ses assauts. A chaque fois, la sorcière se sent libérée pour mieux le sentir prendre possession de son frêle corps de tout son gabarit. Il n’a à s’inquiéter de la briser. Brunehilde est capable d’encaisser sa bestialité et le plaisir brusque qui en découle.

Le souffle court, les jambes tremblantes, le mercenaire lui offre de nouvelles perspectives et la plonge dans le stupre.
D’une main hésitante, elle tente de s’accrocher à sa nuque, d’approcher Freyord. Les lèvres entrouvertes, Brunehilde cherche à partager un baiser aussi sauvage que leurs ébats.

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Les contrées du Chaos / Re : L'Escorte. - Freyord
« le: dimanche 19 février 2023, 00:18:57 »
Prevenant jusqu’ici, la sorcière s’attend à être prévenue de sa venue prochaine. Or, le terranide lui laisse la surprise de se déverser au fond de son grossier puis de lui remplir la bouche. Son nectar épais gonfle ses joues alors qu’elle tente d’avaler sans perdre une goutte. La troisième fois, c’est sur son nez et ses lèvres fermées que la semence s’écrase. Elle coule le long de son visage et se perd sur son opulente poitrine. La surprise a rendu sa jouissance meilleure ; l’humaine se satisfait qu’il se soit laissé porter par son plaisir, plutôt qu’enchaîné par sa bienveillance.

« Délicieux… »

Le lion peut s’attendre à recevoir de nombreuses fellations au cours de leur route… Il n’a guère à s’inquiéter du plaisir de la sorcière ; elle saura très bien le trouver dans l’absence de retenue du lion et le stupre.
Sa langue caresse le gland pour y laper la dernière goutte. Ses doigts viennent le combler de quelques flatteries. La suite est évidente, désormais. Faut-il encore savoir où elle aurait lieu ? Dans le couloir ? Ou devraient-ils tester la résistance des meubles de la taverne ou de la chambre ?

« On continue ? »

A la différence de taille, Brunehilde est bien en peine pour guider son épaisse verge vers son antre. Elle pointe toujours vers ses seins dont l'extrémité frotte contre la peau douce et la chair moelleuse. A l’avoir ainsi, sous le nez, l’impatience la guette d’autant plus… Une nuit est si courte. Il serait dommage de reporter de quelques heures leur départ pour de précieuses minutes perdues ici et là.

Par dépit, elle se saisit d’une des grandes mains du lion pour la glisser entre ses cuisses, à peine ouverte. Ses doigts peuvent sentir la chaleur et l’humidité de ses lèvres intimes. Peut-être même observer quelques gouttes d’excitation s’échapper sur ses longues jambes galbées.

Une idée parvient à l’esprit vicié de la sorcière. Entraînant le lion à la suivre, elle s’installe sur quelques hautes marches de l’escalier montant. Jambes écartées, elle tire le poignet de Freyord pour qu’il se loge entre ses cuisses. Encore, son membre viril impose face à son corps humain. De sa carrure, le mercenaire pourrait l'écraser sans aucun mal.

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Les contrées du Chaos / Re : L'Escorte. - Freyord
« le: samedi 18 février 2023, 22:39:18 »
A son apogée, son vit, déjà impressionnant au repos, prend des proportions inhumaines. Face à un tel équipement, Brunehilde ne s’étonne que de frêles humaines ont reculé. Il est un défi de taille de recevoir une telle chose et subir l’endurance du grand guerrier en serait une autre. Pourtant, la sorcière possède bien des atouts. Autant que le lion la comblera, elle lui permettra de se vider jusqu’à ce que la satisfaction l'éteigne. Un programme haut en couleur les attend pour leur long voyage.

Pour l’heure, le terranide est animé d’une nouvelle volonté, différente des pensées qui animent l’esprit de l’humaine. Il se montre prévenant et annonce son intention : rentrer. Son esprit vicié ne peut lui refuser un tel plaisir et ses lèvres s’ouvrent pour permettre le passage de son imposante virilité. Le lion entame sa lente avancée ; elle participe s’efforçant de recevoir centimètres après centimètres. Ses doigts s’enroulent autour des lourdes bourses du mercenaire.

L’avancée est compliquée ; un soupçon de magie usée par la sorcière rend l'impossible possible. Peut-être triche-t-elle mais leur plaisir mutuel passe avant ces préoccupations futiles. Il réussit à s’enfoncer, entier. Sa bouche déformée par l’ampleur de son membre. Son gland est coincé, profondément, l’étouffant un peu. Or, Brunehilde prend la suite en main. Sa tête part en arrière ; sa langue caresse sa peau. Jusqu’à ce que seul son gland gonflé possède sa bouche étroite.

Elle s’avance de nouveau. Ses lèvres se promènent le long de son vit, n’allant pas toujours jusqu’à sa garde. Elle varie les plaisirs, accélère pour mieux ralentir. Il possède si bien sa bouche, qu’elle se fait impatiente de le sentir ailleurs. Mais avant, Brunehilde n'oublie pas une étape essentielle : lui accorder une première extase.

Un premier passage se fait dans l'étroit couloir. Le regard surpris ne l’arrête guère bien que la scène soit excitante pour ce client innocent. L’étonnement passé, il observe quelques secondes curieux, cette sorcière s’étouffant sur la queue du lion.

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Les contrées du Chaos / Re : L'Escorte. - Freyord
« le: samedi 18 février 2023, 20:53:09 »
Le fracas du métal surprend Brunehilde, dans la semi-obscurité dans laquelle ils sont plongés. Mais les contours de son imposant équipement se dessinent mieux sous ses pupilles grisâtres. Elle apprécie la vue, comme le toucher. D’autant plus quand l’éveil se profile et le sang afflue pour gonfler l’épais membre. Il n’est en érection mais la sorcière peut déjà apprécier des proportions à la hauteur du lion ; elle se fait curieuse de savoir jusqu’où la surprise s’étend.

« Il y a d’autres auberges sur notre chemin… »

Nul besoin de se presser à descendre. Brunehilde est bien installée, à l’ombre de l’agitation. Bien d’autres occasions se présenteront à eux. Il leur faudrait tout autant occuper les prochaines nuits. Or, elle apprend un peu plus sur le lion, les limites qu’elle pourra franchir aux prochaines occasions. Elle s’était retenue, pour ne pas le gêner mais les prochaines fois, le terranide subirait son audace, au milieu des festivités. La porte est ouverte à de nombreuses opportunités.

Il exprime son propre désir. Son attention était perdue à découvrir et s’étonner de ses dimensions. Mais elle compte bien lui donner satisfaction. A peine éveillé, la virilité commence à tendre vers sa poitrine. La sorcière a à peine besoin de s’abaisser pour enlacer son membre de ses deux monts de chair. Ses mains les soulèvent et les guident pour que sa délicate peau parfumée cajole le vit coincé.

Sa poitrine opulente, pour une simple humaine, semble modeste face au membre calé entre chaque sein. Brunehilde sait user de son atout pour faire monter le plaisir. Ses lèvres se déposent sur la peau tendue. Sa langue accompagne les langoureux voyages. Elle trouve sa destination contre le gland du lion ; il se fraye un chemin et trouve le refuge chaud de sa bouche. Il est cajolé par son habile langue alors qu’elle s’empresse toujours de le faire durcir entre ses seins.

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Les terres sauvages / Re : Le passé tel un poison { Pv ~ Freya }
« le: samedi 18 février 2023, 05:21:36 »
Le matin, une lettre ensorcelée se glissa au-dessous de son imposante porte. Son familier lui amena jusqu'à son laboratoire au sous-sol. Sigrid, Grande Matriarche du Coven, lui réclamait une nouvelle mission. Comme si lui mettre une stupide apprentie entre les pattes ne suffisait pas ! A mi-chemin de sa lecture, Freya manqua de déchirer le courrier à trois reprises, sans être arrivé  au cœur de sa requête. L’agacement provoqué par la présence indésirable d’Astrid amenait la sorcière dans ses derniers retranchements. Elle s’y isolait plus qu’à son habitude, ou sortait sans but pour esquiver la tête flamboyante. Sa patience s’amenuisait, l’écrit traînait en longueur. Enfin, l'objectif était apparu.

Un article à récupérer chez Jurpim ? Les devoirs de la matriarche l’empêchaient de s’éloigner du centre névralgique du coven. Qui de mieux pour se déplacer que l’habituée du marché des Arts ? Freya ne manquait une occasion de parcourir les marchandises uniques qu’on y trouvait. En ces journées épuisantes, il lui ferait une agréable distraction. Elle enverrait la détestable apprentie terminer la commission. De toutes les manières, elle s’en trouvait grandi et épargné de ses nouveaux malheurs. La décision prise, la sorcière consulta son calendrier pour trouver le moment opportun de rendre visite à sa consoeur.

*
* *

La nuit est tombée. La caravane s’éclairait sous les jolies guirlandes. Sigrid l’avait amené, il y a bien longtemps. Les responsabilités ne pesaient pas encore sur ses épaules et Freya était une jeune sorcière bien ambitieuse. Son aînée l’avait postée devant l'habitacle trois nuits de suite, lui ordonnant de découvrir par ses propres moyens comment entrer. Quelle galère ! La sorcière avait tourné le problème dans tous les sens jusqu’au point de tenter de casser quelques loupiottes de verre avec la stupide idée qu’une clé s’y trouvait peut-être.

Aujourd’hui, plus aguerrie qu’à ses débuts chaotiques, l’humaine trouvait son chemin sans que nul n’impose d’obstacle à sa venue. Il lui était curieux de trouver un autre client, déjà affairé avec la vendeuse. De plus, sa présence avait quelque chose de familier sans qu’elle ne soit capable d’y mettre la main dessus. Un nom revenait à son esprit mais la créature à ses côtés était bien plus puissante que l’ami connu.

Dans un élan d’audace, Freya tenta sa chance alors que les portes se fermaient derrière eux.

« Darth ! »

L’obscurité les enlaçait ; elle ne distinguait aucun de ses traits. De même, la sorcière était bien incapable de savoir s’il distinguait sa silhouette fluette. Freya n’a guère changé depuis leur dernière rencontre. Peut-être ses cheveux sont plus courts, coupés au ras de ses épaules. Comme à chaque occasion, elle portait une robe noire, courte, frôlant son joli fessier malgré des températures souvent inadaptées.

Elle se doutait que Jurpim était affairée dans l’arrière-boutique. Son attention se focalisait sur sa vieille connaissance qui avait bien changé, à son contraire. L’humaine était surtout curieuse de cette puissance magique qui s’émanait de la créature… Bien sûr, elle ne pouvait le laisser partir si facilement.

« Que dirais-tu de m’accompagner visiter le marché après ? »

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Les contrées du Chaos / Re : L'Escorte. - Freyord
« le: samedi 18 février 2023, 04:53:48 »
Savoir le lion capable d’accomplir son devoir malgré un manque de sommeil ne présage que le meilleur pour l’escorte future. La journée sera calme, tandis que la nuit sera l'œuvre de la luxure. La sorcière est plus endurante que sa frêle silhouette ne peut laisser présager. De là à satisfaire l’appétit d’un si grand terranide ? Peut-être pas. Elle mettra en œuvre ses capacités pour répondre à ses attentes. Le savoir réceptif à ses avances ouvertes, si proche de l’animation de l'auberge, éveille ses plus bas instincts.

Ses longs doigts parcourent, caressent et découvrent son imposante stature malgré sa torpeur. Sa seconde main s’y ajoute pour être capable d’entourer le relief imposant. Sous le pagne, elle s’affaire à l’explorer et le cajoler de flatteries. La sorcière y met sa force et des efforts pour l’aider à s’éveiller. Sa taille la surprend mais elle se fait curieuse de la voir élever à son apogée, prête à tenter l’aventure.

« Je me doutais qu’elle correspondait à ta carrure. Elle ne m’effraye, au contraire, elle met à l’épreuve ma patience… »

Un tel homme ne s’est jamais manifesté sur son chemin. Mais Brunehilde est au fait de ce qu’il attend… Pour cette raison, son choix s’est fait si assuré. Elle désire découvrir ce que le puissant félin lui réserve encore.
De ses paumes posées sur ses flancs, il ne lui fallut aucun effort pour libérer sa généreuse poitrine. Un atout dont elle est si fière, qui paraît maintenant ridicule entre ses mains.

« J’ai déjà usé de ma courte patiente pour éviter de commencer notre nuit, sur la table de la taverne. Tu es gêné à l’idée que quelqu’un passe ? »

L’audace de la sorcière n’a que peu d’égal. Avoir un public est loin de la déranger si ses désirs sont satisfaits… Une de ses mains quitte sa virilité pour pousser le pagne et la dévoiler à son regard.
Le couloir n’est illuminé que d’une bougie vacillante. Ainsi, elle n’aperçoit que les grossiers contours de son membre mais la vue est bien suffisante pour songer à la suite dès plus intéressante.

« Si tu es pudique, je peux faire un dernier effort. »

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Les contrées du Chaos / Re : Le supplice de la sorcière. - Prince Chaton
« le: samedi 18 février 2023, 03:28:52 »
Face à toi, ton prince et ton apprentie. Le premier est affalé entre les coussins du divan. La seconde s’est lovée à genoux entre ses jambes écartées. Elle cherche à comprendre son plaisir, à user de ses doigts maladroits, angoissée par ton regard amusé.

Ton coude repose contre l’accoudoir ouvragé ; ta joue se presse contre ta paume.  La scène t’amuse, tu peux cacher ta joie face à la défaite de la jolie rousse. Si ingénue, qu’elle n’est capable de remplir à bien son unique mission. Pour quelle stupide raison Sigrid a désiré la mettre entre tes pattes ?

« Le temps s’écoule, Astrid. »

La néophyte se trouve au pied du mur. Quand enfin, un brin de confiance l’envahit et elle met en échec le chat orgueilleux.
Sa poigne se fait présente et ses lèvres rosées entourent le sexe érigé. La maladresse demeure mais l’oublie pour se donner entière.

La vierge rencontre son plaisir. Elle double d’efforts, inspirée par l’illusion de connaître sa première fois avec le beau prince.

Une pointe de jalousie pince ton cœur. Tes lèvres se pincent ; tu n’envisages que son échec cuisant. Il est hors de question que cette odieuse apprentie profite de ton familier.

Cette perspective t’agace et t’horripile.
Tu n’es peut-être pas totalement dénué de sentiment, ma douce.

Alors que sa posture se complique, sous plusieurs minutes de torture. Tu te lèves brusquement et tes talons claquent contre le carrelage poussiéreux.

« Tu as échoué. Quelle déception. »

Odieux mensonges, que voilà. Mais es-tu capable d’exprimer ta perfide jalousie ? Non. Ton Prince apprécierait.

« Laissez-moi une minute de plus ! Je peux y arriver ! s’empresse-t-elle, le sexe sorti de ses lèvres et debout, défiante.
- Si Mon prince avait eu un quelconque désir pour toi, il aurait déjà bandé. Je vais te montrer… Tel était sa récompense.
- Après mes efforts, vous n’avez à en fournir pour réussir ! J’ai tout fait !  »

Oh ! La gentille demoiselle se rebelle. Un comportement que tu ne peux apprécier, en déduit ta main qui s’écrase contre sa joue, son visage lancée sur le côté sous l’impulsion violente.

« Monte et reste dans ta chambre. La première à gauche. »

Ton ton glacial n’appelle à la protestation. Tu t'assois sur les genoux de ton chaton.

« Trouve-lui un manant dans le village voisin. Ni vieux, ni malade. Je ne suis pas un monstre, non plus. Mais avant, désires-tu ta récompense ? Elle ne sera toutefois complète. »

La jalousie et l’envie ne tordront les traits ingénus d’Astrid. La scène aurait été délectable… De la voir incapable d’obtenir satisfaction à son désir.
Tes doigts froids explorent le corps du prince.

« Détends-toi. »

Tu viens mieux t’installer face à lui, à califourchon sur ses cuisses. Tes plans ont changé ;  Il te faut le laver de cette souillure… De ton corps.

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