Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Bastien Hachimato

Pages: [1] 2
1
One Shot / Re : Le dîner de tous les dangers [PV]
« le: lundi 09 octobre 2023, 23:53:54 »
Canelle continuait à faire comme si de rien n'était, j'allais donc faire de même. Cela s'annonçait toutefois difficile. Bien que je faisais tout mon possible pour fixer les marches que je gravissais, je ne pu résister à laisser mon regard remonter le long de ses cuisses. Elle tenait habilement sa jupe, comme pour ne pas la froisser, et il me semblait bien qu'elle remontait d'un centimètre à chaque marche. Arrivé au sommet, je devinais tous les contours de ses fesses galbées.

C'est à ce moment précis, alors que mon membre gonflé déformait mon pantalon, qu'elle fit chuter sa culotte et se pencha pour la ramasser. Ma verge gorgée de plaisir vint se plaquer entre ses deux fesses qu'elle frotta allègrement contre moi. Elle devait être ravie de son effet.

Sans attendre, je m'engouffra enfin à l'abri des regards dans la salle de bain désignée. Je comptais bien emprunter un pantalon à mon hôte et redescendre le plus vite possible. Avec un peu de chance, Canelle ne reviendrait même peut-être pas à table et je pourrai alors profiter sereinement de la soirée.

 
Je me rapprocha du côté de la salle de bain qui semblait être utilisé par le père de la jeune femme. Je me regarda dans la glace, j'avais l'air d'avoir sacrément chaud. La disposition de la salle de bain était atypique mais collait finalement bien à l'image d'une famille assez rigide que je me faisais.

 
Ma tentatrice réclame alors mon pantalon, tout en fermant la porte. 


Inutile de le laver, votre père pourra me le rendre ultérieurement sans problème. Si vous pouviez simplement me donner un pantalon de rechange...

 
Je parlais haut et fort, reprenant le vouvoiement, au cas où un employé de maison était dans les parages. Je n'aimais pas trop l'idée d'être surpris avec la fille de mon client en sous-vêtement sans motif solide. D'autant plus que ce n'était manifestement pas sa salle de bain à elle.


Je n'allais toutefois pas encore patienter longuement: plus vite cela serait terminé plus vite je serai redescendu.

 
Je me tourne donc dos à la jeune femme et je déboucle ma ceinture. Seul problème, mon érection encore puissante était plus qu'apparente. Ma verge tendue sous le tissu jaillit immédiatement de la braguette ouverte. 


Discrètement, je glisse ma main dans mon boxer pour tenter de mettre mon sexe à la vertical, le moins visible possible.

 
J'essayais en parallèle de penser à de multiples souvenirs tristes ou douloureux (la mort de mon chat en tête), mais rien semblait fonctionner pour atténuer mon érection. Au contraire, je pouvais sentir mes testicules bouillonner de plaisir à l'idée de la savoir nue sous sa robe. Mon imagination tournait à plein régime, et je m'imaginais glisser ma langue entre ses cuisses avant d'y glisser autre chose.


Sans la regarder afin de garder mon dos face à elle et ma pudeur intacte, je lui tend alors le pantalon, gardant ma main tendue afin de récupérer celui de rechange.

 
De l'autre côté de la salle de bain, j'aperçois une pile de serviettes. J'aurais du commencer par là. Mais trop tard. 

 
Si vous ne trouvez pas de pantalon de rechange, dites-moi où je peux en trouver un moi-même. 

 
Je réalisa alors qu'elle pouvait faire désormais ce qu'elle voulait de moi puisque sans pantalon je ne pouvais tout simplement plus redescendre. Encore moins avec une érection si forte que je pouvais voir les battements de mon cœur faire bouger mon boxer.

2
Events / Re : Jeu d'Halloween n°1, le Skoopictures
« le: lundi 09 octobre 2023, 23:43:02 »
Je mise tout sur C7!

3
One Shot / Re : Le dîner de tous les dangers [PV]
« le: vendredi 28 avril 2023, 20:12:07 »
Il fallait l'avouer, l'excuse de la serviette était bien trouvée, elle avait du talent. L'art et la manière de ne pas se laisser déstabiliser et arriver à ses fins malgré son jeune âge. Et une répartie d'enfer.


Je ne laissa toutefois absolument rien transparaître de ce petit échec et lui retourna un sourire hypocrite. Je n'en revenais pas que son père ne soit même pas capable d'identifier une culotte d'une serviette. Ca en disait long sur sa vie sexuelle.
 

Canelle n'avait manifestement pas fini de jouer. Mais je n'imaginais pas un seul instant jusqu'où elle était prête à aller.


Soudain, dans un grand fracas, les verres vinrent se mirent à trembler suite au choc entre le corps frêle de la jeune femme et la table. Je regarda bouche bée en direction de Canelle et compris sans difficulté qu'il s'agissait d'un nouveau stratagème de sa part, le choc étant totalement disproportionné. Sans aucun complexe, et presque en me regardant, sa main vint de manière faussement accidentelle heurter le verre le plus proche de moi. Son contenu vint se renverser généreusement sur la table et je ne pu que regarder le liquide se déverser sur mes cuisses en atteignant le rebord de la table.


La colère de son père était à la hauteur de l'immense tâche mais ce n'était après tout qu'un accident à ses yeux. Je craignais le pire en entendant ma voisine de table indiquer qu'elle allait réparer son erreur.

 
Je n'avais pas d'autres choix que de la suivre, même si j'aurais largement préférer rester sous l'œil protecteur de son père.

 
Je me redressa donc, et me pencha en avant en direction de mes hôtes pour m'excuser par avance pour mon absence momentanée.

 
Je parvins à dissimuler derrière ma serviette mon sexe gonflé dont le tissu mouillé épousait parfaitement la forme.


Par un signe de la tête, je fis comprendre à Canelle que je la suivais. Sa main était tendue vers moi, j'ignorais s'il s'agissait simplement de me montrer le chemin ou si je devais la saisir. Je préférais au maximum limiter le contact physique.

 
Dans un silence de plomb, nous quittons la salle.

 
Je comptais bien trouver un pantalon de rechange et revenir immédiatement. Une absence trop longue serait suspecte. Même si elle renouvelait ses avances, je ne craquerai pas. Je n'en avais pas le droit.

 
Alors que nous arrivons au bas des marches, je fais l'erreur monumentale de la laisser passer devant. J'aurais du oublier ma galanterie quelques instants. C'est en apercevant dans sa main le fin tissu de sa culotte que je réalise que marcher derrière elle alors qu'elle ne porte plus de sous-vêtement n'allait pas aider à réduire le barreau enserré dans mon boxer.

Je préfère te prévenir, ton petit jeu à intérêt à s'arrêter immédiatement.

4
One Shot / Re : Le dîner de tous les dangers [PV]
« le: vendredi 14 avril 2023, 17:40:13 »
L'incident sur mon pantalon n'avait évidemment pas échappé à l'œil acéré de ma jeune voisine de table qui sauta sur l'occasion pour voler  à mon secours.

 Je cru un instant qu'il n'y avait là qu'une aide innocente, bien que j'aurais préféré m'occuper seul de cette tâche.

 C'était mal connaître la jeune femme.

 Si le passage rapide d'une cuillère sous les billes ébènes semblait bienveillant, ses mains habiles s'étaient bien vite emparées d'une serviette humide qu'elle appuya avec force sur mon sexe gonflée.

 Je pouvais sentir ma verge pressée par ses doigts contre mes testicules pleines de semence.

Ca ira, je vous remercie...

 
Son père, qui n'imaginait rien de la scène, semblait apprécier les manières prévenantes de sa fille et l'encourageait presque du regard à prendre soin de moi. Canelle ne se gêna donc pas pour continuer malgré mes protestations polies.

 Je voyais définitivement clair dans son jeu et ne me laissais plus tromper par son sourire innocent.

 Elle savait que je savais et pourtant, alors que son regard était plongé dans le miens, je perçu le son de ma braguette s'ouvrir, imperceptible pour les autres convives. Elle n'oserait quand même pas....

 Et bien si, elle avait osé.

 Ses doigts s'étaient introduits dans la fente de mon pantalon pour se coller à mon gland à travers le tissu humide de mon boxer et me stimuler au plus haut point.

 J'aurais pu exploser ainsi si elle n'avait pas retiré ses doigts, sentant déjà la sève monter dans ma queue. Je me précipita pour refermer ma braguette, imaginant une nouvelle fois les conséquences pour ma carrière si quelqu'un avait surpris la scène.

 Je ne pouvais évidemment pas la réprimander verbalement mais ne pouvait pas laisser passer ca. Je devais lui faire comprendre qu'elle devait arrêter à tout prix même si dans un autre contexte, je l'aurais déjà retournée sur la table.


 A côté de moi, elle continuait de se tortiller sur sa chaise pour dévoiler toujours plus ses cuisses, s'assurant ainsi de maintenir mon érection tandis que son parfum de rose m'enivrait. 

Cette question vous reviendra, j'en suis certain. 

 Elle savait que pour continuer à jouer avec moi son père ne devait rien savoir. Elle l'utilisait comme une arme, m'empêchant de protester. Mais je pouvais aussi m'en servir...et c'est-ce que je fis.

 Mon regard plongé dans le sien et sans sourciller, je glissa ma main sous la soie qui cachait sa cuisse et attrapa sur sa hanches le tissu de son sous-vêtement que je fis descendre à hauteur de genoux. Cela fut suffisant pour que la gravité face le reste du travail et que le fin tissu termine sa course au sol. D'un geste habile, je vins alors le faire tourner autour de ses pieds et le prendre à pleine main en le sortant de sous la table.

Je viens de trouver cela à mes pieds... De quoi s'agit-il?

 J'interrogeais ainsi son père avec un air d'incompréhension.

 Je n'avais pas trouvé mieux pour la mettre dans l'embarras.

 Avec un peu de chance, son père outré lui demanderait de quitter le repas.

 Pour ma part, tant que j'étais à table, j'étais en sécurité, protégé par l'aura et la surveillance de son père. Je devais quitter sa protection sous aucun prétexte.

5
Le parc et son sous-bois / A l'état sauvage (PV Ayumi)
« le: mercredi 01 mars 2023, 23:32:38 »
J'attendais ce weekend dans la nature avec impatiente. Une manière de me couper du tumulte de la ville et de la pression du quotidien. J'avais quitté la ville aux aurores, vêtu d'un pantalon de randonnée moulant et d'un haut proche du corps, emportant dans mon coffre mon sac à dos. Après m'être garé sur le parking absolument vide de la forêt, je chercha ce nouveau chemin que je voulais inaugurer. Il me fallut presque 20 minutes rien que pour en dénicher le départ. Il n'était manifestement pas souvent utilisé, la nature ayant largement repris ses droits. La destination était toutefois prometteuse car j'étais censé arriver après 7 heures de marches au bord d'un lac immaculé.

 Après 10 heures de marche, je compris que quelque chose clochait: aucune trace d'un lac ni même d'une rivière. Au loin, de la fumée s'échappait de la cime des arbres. Peut-être un autre randonneur qui pourrait me renseigner. J'accéléra le pas pour finalement découvrir que ce n'était pas un feu de camps mais la cheminée d'un large manoir. Tant pis, j'allais quand même tenter ma chance. 

 Alors que le soleil s'apprêtait à se coucher, j'arriva enfin face aux lourdes portes de la belle bâtisse baroque. A l'entrée, une inscription: "Café Kôsho ". Ca alors! Un café dans la forêt et de surcroit dans un manoir ce n'était pas courant. Mais c'était une très bonne nouvelle, avec un peu de chance je pourrais même y passer la nuit avant de faire le chemin du retour le lendemain matin.

 En rentrant, je m'arrêta net et me demande si ce n'était pas un mirage. L'endroit était tamisé, joliment décoré et accueillant mais un détail le rendait très original. Les quelques serveuses que je pouvais apercevoir était vraiment très légèrement vêtues. A cette heure là, il n'y avait pas d'autres clients de sorte que j'attira immédiatement l'attention.

 Gêné, je pris place dans un coin. Je ne parvins pas à trouver un menu et fit un signe à la jeune femme la plus proche pour qu'elle puisse m'aider.

Je suis navré de me présenter dans cette tenue... je suis un randonneur perdu.

Face à moi, le corps dénudé de la serveuse était tout droit sorti de ses rêves les plus fous. Seuls quelques éléments de latex venait sauver in extremis sa pudeur. Je tenta toutefois de faire comme si de rien n'était. Après tout, c'était peut-être simplement une communauté écolo ou naturiste.

Je ne veux surtout pas abuser de votre gentillesse, je souhaiterais simplement me restaurer un peu et éventuellement passer la nuit dans votre belle auberge. J'ai de l'argent évidemment, ce n'est pas un problème.


Il fallait quand même éviter qu'elle pense que j'étais là pour profiter de leur hospitalité sans aucune contrepartie.

6
Le quartier de la Toussaint / Re : Fenêtre sur cour (PV)
« le: mercredi 01 mars 2023, 23:11:49 »
Mon corps était toujours suspendu dans les airs à travers le trappe, à la force de mes bras. Je gesticulais tant bien que mal, balançant mon bassin dans tous les sens, mais rien à faire. Tel un bâton, ma verge tendue ne voulait pas passer la trappe. Mon excuse de la ceinture qui bloquait n'allait pas marcher très longtemps, d'autant plus qu'elle devait avoir une vue directe sur mon entrejambe.

 Pire encore, mes testicules étaient si pleines que cela en était douloureux. La faute à la chaleur de sa chatte sur ma bouche. 

 Lorsqu'elle m'annonça qu'elle allait m'aider, je tenta de plus belle de m'extraire de cette satanée trappe par mes propres moyens, mais rien à faire. Je n'avais d'autres choix que de la laisser m'aider.

 Si elle était VRAIMENT naïve, peut-être penserait-elle que ma ceinture était coincée sous mon pantalon...

 Ses doigts se refermèrent sur la couture de mon pantalon. J'ai cru quelques secondes que mon subterfuge avait marqué mais la paume de sa main vint bien appuyer en même temps sur mon érection de taureau.

 C'est dans cette position relativement humiliante qu'elle commença un décompte à l'issue duquel j'étais supposé pousser de toutes mes forces pour enfin dépasser la trappe.

 Alors qu'elle progressait dans le décompte, sa paume s'appuyait de plus en plus sur mon sexe. Mon imagination me jouait des tours car j'avais l'impression que sa paume parcourait un peu ma verge, comme pour en jauger la taille.

 Arrivé à la fin du décompte, je force franchement mais mon gland gorgé de sang est coincé contre le rebord de la trappe. Je sens alors une seconde main venir en renfort qui vient involontairement caresser mon membre gonflé, augmentant encore sa taille. Je force alors à nouveau, tandis que ses doigts s'agrippent désormais à mon érection pour la plaquer contre mon corps.

Enfin! Vous m'avez bien aidé...Désolé pour ma ceinture.

 
Mon bassin réussit finalement à passer et je m'étala de tout mon long sur le toit de l'ascenseur. Je me redressa bien vite en sentant une toile d'araignée sur mon visage.

C'est assez bas de plafond, il faudra bien rester à quatre pattes sinon vous allez vous cogner la tête.


Sans perdre une seconde, je récupéra ses chaussures et son sac qu'elle me tendait par la trappe. Déjà, elle s'apprêtait à s'élancer vers la main que je tendais dans sa direction. Nos paumes se collèrent et nos doigts s'entrelacèrent tandis que je la tira vers le haut.

Le haut de son buste passa sans difficulté mais sa poitrine exubérante avait plus de mal. Ses deux mains occupées, je tenta tant bien que mal de l'aider à faire passer ses deux seins. Je posa mes paumes avec la plus grande délicatesse sur le côte de ses seins pour les presser l'un contre l'autre, espérant réduire leur volume. Leur contact doux et chaud raviva immédiatement mon érection dont la bosse était à quelques centimètres seulement de son visage. Petit à petit, sa poitrine épousa la forme de la trappe pour finalement en jaillir. Sa robe par contre n'avait pas passé l'épreuve de la trappe était s'était enroulée sous sa poitrine. Face à moi, reposant sur le bord de la trappe, sa poitrine nue aux formes irréelles m'était offerte. Ses magnifiques tétons étaient tendus, et mon imagination ne fit qu'un tour: je m'imaginais y refermer mes lèvres pour les sucer délicatement.

 Je me ravisa bien rapidement afin de garder mon sérieux pour la sortir de cette situation humiliante. Je tenta de faire comme si de rien n'était, même si mon érection me trahissait.

Ca va aller, je vais vous tirer les deux bras pour que le reste du corps suive.

 
J'attrapa alors chacune de ses mains et tenta de la tirer. J'étais alors assis face à son buste sortant de la trappe, une jambe de chaque côté de ses épaules et mon érection en direction de son visage. 

 Cette fois, pas le temps pour un compte à rebours. Je tire sans crier gare. Son ventre musclé apparut rapidement mais ses fesses, bien plus volumineuses que ses seins, posèrent un nouveau problème.

Accrochez vos mains à mes cuisses, je vais utiliser les miennes pour faire passer vos... votre bassin.

 
Mes mains ainsi libérées, je renferme mes paumes pour la seconde fois de la soirée sur ses fesses galbées. Je tente tant bien que mal de les malaxer pour gagner petit à petit quelques centimètres. Pour renforcer ma prise, mes doigts glissent le long de ses courbes pour se rapprocher dangereusement du carré de soie de son string entre ses cuisses. Je retrouve alors soudain l'humidité que j'avais remarqué sur le tissu quelques minutes plus tôt. Au contact de mes doigts, je réalisa que ce n'était pas ma salive mais quelque chose d'un peu plus dense qui coulait le long de ses cuisses... Mes doigts commencèrent alors à glisser sur son épiderme. Ma mains s'enfonça alors entre ses fesses, seul moyen d'avoir une prise solide. Je parvins alors à la hisser pour finalement faire surgir ses fesses de la trappe. Sa robe n'avait toutefois pas suivi et s'était enroulée autour de ses cuisses afin finalement de tomber en abs de l'ascenseur sous l'effet de la gravité. Il ne lui restait donc que ses bas et son string.

 Epuisée, la jeune femme se laissa tomber sur moi de tout son corps. Nous étions collés l'un à l'autre dans l'espace étroit, elle sur moi. Mon érection était à peu près cachée par la pénombre de ce nouveau lieu. Son poids appuyait toutefois dangereusement sur mes testicules mais je n'osais pas bouger d'un centimètre.

Il ne nous reste plus qu'à forcer la porte du palier pour nous y glisser et nous serons libérés.

7
Centre-ville de Seikusu / Re : Un dîner mémorable[Pv]
« le: mercredi 01 mars 2023, 22:26:33 »
La jeune restauratrice dont les mains glissaient dangereusement le long du torse de Bastien s'arrêtèrent heureusement à son ventre, sans quoi elles auraient percuté la bosse de son pantalon. La jeune femme disparut ensuite pour ramener l'entrée.

Bastien profita de cette courte absence pour glisser une main sous sa ceinture. Il vint saisir sa verge gorgée de sang pour tenter de la plaquer contre sa jambe et cacher un peu son érection.

Dès qu'il entendit à nouveau des pas, il replaca à la hâte son pantalon comme si de rien n'était. Il dégusta à nouveau de grandes gorgées d'alcool, accentuant sa sensation de lâcher-prise.

C'est donc sans résistance que Bastien laissa Catherine lui attacher un bandeau autour des yeux, lui bloquant totalement le champs de vision. Il laissa même sa tête retomber en arrière afin de lui faciliter l'attache, et se rendit compte que sa nuque reposait sur sa lourde poitrine.

Je suis prêt pour la suite.

 Bastien sentit un corps le contourner tandis que la poitrine de Catherine était toujours collée derrière sa tête, l'empêchant presque de se dérober de l'entrée qui l'attendait.

Quitte à décupler mes sens, autant également me priver du toucher. Je vais me servir exclusivement de ma langue.

 A tâtons, Bastien se pencha légèrement en avant, les lèvres entrouvertes, le bout de la langue prêt à déguster ce qui se présenterait à lui.

 C'est une crudité connue qu'il rencontra d'abord. Du bout de la langue, il avait en effet identifié la douceur d'une courgette délicatement accompagnée d'une sauce à base de fromage blanc et de ciboulette. Il se croyait dans la Provence de ses grands-parents. Il fit glisser la courgette sur sa langue avant de la déguster avec plaisir. Il lui semblait qu'il restait un peu de sauce, Bastien replongea alors sa langue afin d'essuyer l'assiette. Alors qu'il s'attendait à rencontrer la dureté froide de la vaisselle, sa langue lécha une surface chaude et douce. Peut-être s'agissait-il d'une feuille d'arbre sur laquelle était disposée l'entrée. Le mystère demeurait mais cela n'empêchait pas Bastien de déguster la crème jusqu'à la moindre goutte.

 Bastien poursuivi son chemin sur cette surface mystère et rencontra son légume préféré, une délicate tranche d'aubergine marinée dans de l'huile d'olive. Il devinait également un arrière-goût de feta.

C'est un délice!


Le petit légume était gorgé d'huile d'olive qui coulait sur son support. Bastien en suivi alors la trace du bout de la langue et s'aperçu qu'en plus d'être tiède, la vaisselle n'était pas droite mais courbée. A tel point que son visage, voulant suivre le filet d'huile d'olive qui avait coulé, vint se perdre entre deux protubérances. Malgré tout, cela ne l'empêcha pas d'en récupérer le nectar le long de ces courbes.

 Bastien repartit ensuite à l'aventure du bout de ses lèvres, à la recherche du contact avec de la nourriture ou d'une odeur familière. Il rencontra cette fois une mousse aux milles saveurs: il arrivait à deviner une touche de radis, de betteraves, de menthe et de butternut. Ses lèvres  se refermèrent dessus et rencontrèrent au centre de cette mousse une petite protubérance, comme une tétine. Il la suça pour en extraire une éventuelle saveur, tenta de la mordiller pour voir si elle était comestible puis finalement se contenta de jouer avec du bout de la langue.

 Je sais pas sur quoi est servie cette entrée mais c'est ludique!


La suite n'allait décidément pas le décevoir.

8
Le quartier de la Toussaint / Re : Fenêtre sur cour (PV)
« le: mardi 21 février 2023, 15:06:08 »
Sans perdre de temps et aussi déterminée que moi à sortir de cette prison nocturne, ma jolie voisine glisse ses cuisses musclées autour de mon cou, la frontière de ses bas caressant mes joues. Je sens sa prise se resserrer, devinant ses jambes se croiser derrière moi tandis que sa main agrippe mes cheveux. Je suis obligé de garder ma bouche grande ouverte pour capter de l'air dans les interstices de sa dentelle, ma langue collée au tissu et la chaleur de sa fente irradiant mes papilles.

Alors que mes doigts s'enfonçaient dans le muscle de ses fesses afin d'avoir une bonne prise, je réalisais qu'elles étaient non seulement musclées mais aussi très volumineuses. Le passage de la trappe, à la condition évidemment qu'elle s'ouvre, allait être sportif!

La belle inconnue tambourine encore et toujours contre la trappe, son corps se soulevant avant de retomber brutalement à chaque coup. A chaque fois, sa fente frotte de bas en haut sur mon visage, avalant mon nez à travers le tissu avant d'épouser ma bouche. 

Au fur et à mesure, ses gémissements s'accéléraient, jusqu'à ce qu'elle annonce carrément qu'elle allait venir. Parlait-elle toujours de la trappe ou bien de son plaisir intime? Totalement confus et dans le doute, j'exagère alors l'appuie de ma bouche sur son string pour stimuler son clitoris entre mes lèvres. J'aspire légèrement sa protubérance tout en massant sa vulve de mon menton, toujours encouragé par ses râles.

Soudain, un bruit sourd retentit, annonciateur d'une bonne nouvelle: la trappe avait cédé et venait de violemment se retourner sur le toit de l'ascenseur. Je relâche alors un peu la pression sur ses fesses pour me permettre un peu de respirer et libérer ma bouche pour m'exprimer.

-Bravo!! Je n'y croyais plus.

Le visage dégagé, mon menton posé sur son pubis, je pu regarder en haut en sa direction. Je ne voyais pas son visage mais sa poitrine juste au dessus de moi qui ne tenait plus que par un angle de robe d'une fragilité extrême.

-On va faire une pause! Redescendez et on va me faire passer en premier comme ca je vous hisserai de la haut.

Délicatement, je m'agenouilla sur le sol de l'ascenseur pour lui permettre de retirer ses cuisses de mes épaules et de poser pieds à terre. Un dernier coup d'œil au triangle de dentelle noire face à moi et j'aperçus une tâche humide en son centre. Probablement ma salive...

Dans mon pantalon étroit, mon sexe était lourd et gonflé depuis que ma bouche s'était aventurée entre ses cuisses. J'allais faire de mon mieux pour qu'elle remarque rien mais cela s'annonçait difficile. Je me redressa face à elle, tentant difficilement de me mettre de côté pour ne pas qu'elle sente mon érection appuyée sur son corps.

-On a fait le plus dur. A mon tour de faire des acrobaties.

Tel un basketteur, je me projette alors verticalement dans la cage d'ascenseur et mes mains parviennent à saisir les rebords du trou. Toutes ces heures passées à la salle de sport servaient enfin! Je me hisse à la force de mes biceps, abdos tendus, et parviens à passer mon torse dans l'espace plongé dans l'obscurité situé au dessus de la cage d'escalier.

-Je ne vois pas grand-chose mais on devrait pouvoir y tenir à deux! Par contre c''est très bas de plafond.

Je tente alors de me hisser complètement mais mon bassin refuse de passer: mon sexe tendu à travers le tissu bloque. 

-Je vais...je vais y arriver..  Je crois que ma ceinture bloque.

9
Le quartier de la Toussaint / Re : Fenêtre sur cour (PV)
« le: samedi 18 février 2023, 23:39:16 »
"UN"

 
Le compte à rebours avait commencé.

Je tenais fermement entre mes mains son pied, prêt à la hisser le plus haut possible. Plus agréable que ses talons qu'elle avait retiré, le contact de ses collants était toutefois assez glissant.

Ne vous inquiétez pas, tout va bien se passer.

 
Je n'y croyais pas du tout mais il fallait bien tenter de la rassurer un peu. Si par miracle la trappe s'ouvrait, il faudrait encore qu'elle se hisse et que j'arrive à la rejoindre pour qu'ensuite nous cherchions ensemble un moyen d'ouvrir la porte coulissante du premier étage. Ses mains vinrent se poser sur mes épaules, le décollage était imminent. 

"DEUX"

 
Je regarde avec concentration son pied que je ne devais pas laisser s'échapper, et je pouvais déjà remarquer sa robe ultra moulante remonter un peu sous l'effet de la flexion de sa jambe. De toute façon il n'y avait pas vraiment de place pour la pudeur dans notre plan.

"TROIS"

 
Alors que je la soulève d'un coup, son second pied vint se glisser entre mes deux mains. Il n'y a plus de retour en arrière quand ses mains quittèrent mes épaules pour tenter d'atteindre la trappe. Difficile de maintenir l'équilibre dans cette cage sombre et étroite mais étonnamment haute de plafond. Surtout, impossible pour moi de lui faire garder l'équilibre juste en bougeant ses pieds. Très vite, la gravité était en train de gagner le combat, basculant son corps vers l'avant. Son bassin vint s'appuyer droit sur mon visage, le tissu de sa robe se plaquant sur ma bouche et mon nez appuyant sur son pubis.

 N'ayez pas peur, tendez vos jambes!

 
Rien à faire, elle restait recroquevillée sur moi, les jambes fléchies. Soudain, son corps bascule en arrière, ses mains ayant probablement quitté le plafond. Là ou je suis j'y vois strictement rien, alors que mes mains glissent sur ses pieds à cause du collant. J'arrive heureusement à rétablir l'équilibre en me penchant à mon tour en arrière pour contrebalancer. Son entrejambe me revient alors en plein visage avec force, ses seins fermes étaient désormais posés sur mon crâne. Elle écarta alors lentement ses cuisses pour tenter de reposer ses genoux contre mes épaules et se stabiliser. Face à mon visage, la robe moulante remonta alors petit à petit jusqu'à faire apparaitre la frontière entre sa peau et les collants qui se révélèrent finalement être des bas.

 Malgré l'effort physique et la panique ambiante, c'est assez excitant et largement suffisant pour dessiner la forme de ma verge à travers mon pantalon. Pas le temps d'apprécier la vue que déjà elle gigote à nouveau. La trappe semble résister, je peux la sentir forcer, ses seins retombant sur ma tête après chaque tentative. Elle commence alors à tambouriner dessus pour faire céder les joints. A chacun de ses coups, son corps se tend et sa robe remonte. Bloqué sous le poids de son corps, j'aperçois inexorablement le tissu disparaitre face à moi. En une poignée de secondes, sa robe s'est transformée en un bandeau reposant sur ses hanches. Mon visage fait désormais face à la dentelle d'un magnifique string noir, si proche que mes lèvres effleurent les siennes à travers le tissu. Entre la dentelle, je peux deviner ses plus intimes détails, tandis que le bout de mon nez est lui appuyé sur son clitoris. Mon cœur s'accélère et je ne peux que difficilement réfréner mon souffle chaud sur sa peau, tandis que ma circulation sanguine converge vers mon sexe désormais bien gonflé. Concentre-toi Bastien, c'est ta voisine et on est coincés en pleine nuit dans un ascenseur. Il faut sortir d'ici.

 Enroulez vos cuisses autour de mon cou et croisez vos chevilles derrière ma tête. J'aurai les mains libres et je pourrai vous aider à garder l'équilibre.

 
Elle gagnerait un peu de hauteur et de stabilité. Pour faciliter la transition, je laisse l'un de ses pieds pour glisser ma main derrière sa première fesse dénudée, puis une fois fermement tenue, je lâche la seconde qui vint saisir à pleine paume sa seconde fesse au galbe parfait. Elle était désormais parfaitement plaquée contre mon visage, même si ses cuisses qui ne tarderaient pas à se refermer autour de mon cou allaient forcer encore plus cet intime contact. C'était inévitable, sinon elle risquait de retomber en arrière. Intérieurement, j'espérais bien que la trappe allait résister un peu, son parfum était enivrant

10
Le quartier de la Toussaint / Re : Fenêtre sur cour (PV)
« le: vendredi 17 février 2023, 16:37:31 »
 Je ne pu m'empêcher de sourire en l'apercevant se retourner pour tenter d'ouvrir à mains nues les portes de l'ascenseur rongées par la rouille. Ses ongles manucurés n'allaient pas apprécier.


"Je crois que c'est peine perdue, cette vieille machine est centenaire et le dernier entretien doit dater d'avant votre naissance."


L'avantage c'est que la jeune femme était alors dos à moi et que ses fesses rebondies était venues s'appuyer délicieusement sur mon entrejambe. Il y avait pire position pour être coincé dans un ascenseur. Heureusement que ce n'était pas la vieille du 3ème!  La belle inconnue semblait toutefois de plus en plus agitée, se tortillant dans le minuscule espace de la cage d'ascenseur. J'espère que cela ne présageait pas d'une crise de panique. A chacun de ses mouvements, ses courbes venaient se frotter à mes muscles, éveillant en moi une douce chaleur.


Pourquoi n'y ai-je pas pensé plus tôt! J'ai effectivement mon portable.

 

Je plongea tant bien que mal ma main dans ma poche, appuyant généreusement sur sa fesses pour y accéder et ressorti le smartphone noir.

Ca serait trop beau..... pas de réseau entre les étages. 

 

Je regarda une nouvelle fois dans la direction de la trappe au dessus de nous, utilisant le flash de mon téléphone à portée de main.


Je crois que j'ai une idée... mais ca risque de ne pas vous plaire. A priori notre seul moyen de sortir c'est la trappe qui se situe sur notre plafond. En y accédant on devrait déboucher sur le haut de l'ascenseur qui n'est qu'à quelques mètres du palier.  Je doute que vous puissiez soulever mon gabarit donc je vais vous faire la courte échelle. 

 
Je jeta quand même un œil en direction de ses pieds. Sa tenue n'allait pas simplifier l'opération.


Enlevez vos talons, je tiens quand même à mes mains. Je vais vous soulever jusqu'à la trappe. 

 
Mes mains étaient jointes, prêtes à venir saisir son pied pour la hisser au dessus de moi, alors que j'étais désormais face à elle. Je ne savais pas encore si j'allais réussir à la soulever suffisamment longtemps pour qu'elle ouvre la trappe. Si la trappe était aussi rouillée que le reste, cela risquait d'être un peu plus long. Dans le pire des cas, je poserai ses cuisses sur mes épaules. L'essentiel étant simplement de ne pas trop faire trembler l'ascenseur dont la solidité semble assez relative.

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Centre-ville de Seikusu / Garde à vue nocturne (PV)
« le: jeudi 15 décembre 2022, 21:00:43 »
Bastien venait de rentrer chez lui après une journée épuisante au travail. Il laissa tomber ses vêtements dans le salon et entra nu dans la salle de bain, se glissant sous l'eau brulante de la douche à l'italienne. C'est à ce moment là que son téléphone dédié aux urgences sonna.


-Mais c'est pas possible!


Furieux, Bastien sortit de la douche et attrapa le smartphone la main dégoulinante.


-Maître Hachimato, excusez-nous de vous déranger. C'est le commissariat central. Nous avons une jeune femme en garde à vue. Elle ne veut pas dire son nom mais elle dit vous connaître. Elle vous veut comme avocat.

 
Cela faisait bien longtemps que Bastien ne prenait plus de nouveaux clients et il était certain de ne défendre aucune jeune femme en matière criminelle. Cela l'intriguait quand même. Et si elle l'avait fait appeler, c'est que normalement elle avait de quoi s'offrir ses honoraires exorbitants.

 
-Très bien, je serai là dans 30 minutes.

 
Bastien termina rapidement sa douche et enfila un nouveau costume, bleu sombre. Il attrapa son attaché case et téléphona à son chauffeur qui pensait à tort sa journée terminée.


Une trentaine de minutes plus tard, Bastien poussa les portes du commissariat. Certains policiers le détestaient car il avait l'art de faire libérer les prévenus sur des nullités de procédure. D'autres l'admiraient secrètement. De son côté, Bastien s'en fichait totalement: seul lui importait de faire libérer son client, à tout prix. Il salua la policière en charge de l'enquête de sa cliente inconnue et parcouru un dédale de souterrains pour arriver dans une petite salle sans fenêtre avec en son centre une table et deux chaises. Il s'installa en attendant sa cliente: il avait droit à une heure en tête à tête avec elle loin des oreilles des policiers afin de la préparer à l'interrogatoire qui allait suivre.


La porte s'ouvrit finalement et il aperçut sa cliente. C'était certain, il ne la connaissait pas. Elle avait donc menti à la police. Surtout, il fut surpris par son jeune âge. Elle n'avait probablement même pas 20 ans. Il fallait reconnaitre toutefois que son physique était loin des femmes qui fréquentaient d'habitudes les cellules du commissariat et qui ressemblaient souvent à des joueurs de rugby. La jeune femme était de petite taille avec de longues nattes et surtout des formes à rendre fou n'importe quel homme.


-On ne se connait pas.. Et vu votre âge je doute que vous soyez en mesure de régler mes honoraires, je suis navré. Je vous invite à demander un avocat commis d'office. Et d'ailleurs, que vous est-il reproché?

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Visite en terre inconnue (PV)
« le: jeudi 08 décembre 2022, 18:30:39 »
Les questions s'enchainaient à un rythme soutenu, Bastien n'avait pas fait le déplacement pour rien. Les interrogations étaient toutefois loin d'être toutes juridiques et s'éparpillaient un peu. Les élèves profitaient surement de l'absence de leur professeur et de son inexpérience à gérer une classe, pour notamment s'intéresser à sa situation personnelle. Il remarqua que presque tous les élèves avaient participé, sauf une jeune femme au premier rang. Derrière ses lunettes et ses cheveux noirs, il pouvait deviner une grande beauté pleine d'innocence. Elle soutenait son regard et l'écoutait attentivement. Contrairement à ses camarades qui prenaient la parole sans la demander, elle leva la main timidement. Il lui donna alors bien volontiers son attention. 

 
-Monsieur?... Quels sont les procédures à suivre pour poursuivre des gens? 

 
Après quelques secondes de réflexion, il apporta une réponse à sa question.


-La procédure pour poursuivre quelqu’un en justice est très complexe, c'est pour ca que la plupart des gens ont besoin d'un avocat pour le faire. Au Japon, cette procédure coûte malheureusement très cher... 

 

Il était gêné d'apporter cette réponse à la triste et timide jeune femme mais c'était la réalité. Sans un avocat et un compte en banque bien garni, il était illusoire de réussir à poursuivre quelqu'un en justice. Il se doutait toutefois que cette question la concernait directement. Peut-être était-elle-même en danger. Au fond de la classe, la grosse horloge murale affichait déjà qu'une heure s'était écoulée, il était presque 17h30. Il ne devait pas trainer s'il voulait être à l'heure à son rendez-vous galant de 19H de l'autre côté de la ville.


-J'espère que cette classe un peu particulière vous a plus. L'heure avance et je vais devoir clôturer mon intervention. Si l'un d'entre vous a des questions trop personnelles, il ou elle peut venir me voir librement. Pour les autres, je vous remercie de votre écoute et vous invite à sortir, la classe est finie!

 

Il s'adressait évidemment à la jeune femme du premier rang lorsqu'il proposait aux élèves de rester éventuellement. La plupart des élèves quittèrent d'ailleurs la salle en une poignée de minute, et il pu répondre brièvement à une ou deux questions. Bastien, assis au bureau du professeur, se retrouva alors seul avec la jeune femme brune qui manifestement voulait continuer à lui parler.

 
-Je suis désolé de ne pas avoir pu plus vous aider. Puis-je faire quelque chose de plus pour vous?

 

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Le quartier de la Toussaint / Re : Fenêtre sur cour (PV)
« le: lundi 05 décembre 2022, 13:10:30 »
Alors que la porte en bois de l’ascenseur était enfin en train de se refermer dans un craquement angoissant, une voix féminine vint m’interpeller depuis le hall pour me demander de l’attendre. Au dernier moment, je glissa la main dans l’interstice de la porte pour stopper sa fermeture, priant pour que l’ascenseur soit équipé d’un détecteur de mouvement évitant que je perde ma main. J’avais manifestement le dieu des ascenseurs en ma faveur puisque je parvins à retenir la porte qui s’ouvrit à nouveau. Je resta bouche bée en apercevant la jeune femme. Elle détonait complètement avec l’immeuble. Ses vêtements de grande marque, son élégance et sa manière de se mouvoir ne ressemblaient en rien au style du quartier. J’étais sur de ne l’avoir jamais vu dans la copropriété. La jeune femme accélérera le pas comme elle pu pour me rejoindre, perchée sur de célèbres talons français et le corps moulé dans une robe étroite qui faisait ressortir ses formes idéales.

Je me serra au maximum contre la paroi de bois pour la laisser rentrer dans l’espace étroit.

-Bonsoir. C’est bien normal, vous avez bien fait. Avec cet ascenseur on ne sait jamais quand il va daigner revenir !

La jeune femme se faufila face à moi comme elle pu, me faisant face. L’espace était tellement réduit que son corps était collé au mien, sa poitrine frôlant mon torse, et nos tailles collées. Son parfum était absolument enivrant et son sourire ravageur: j'étais totalement sous son charme.

On partageait manifestement les mêmes craintes d’une panne mais je n’osa pas lui faire remarquer que ce n’était justement peut-être pas une bonne idée de rentrer à deux.

-Croisons les doigts! Quel est votre étage?

La jeune femme m’indiqua le premier. Je réalisa alors que les boutons étaient cachés derrière ses fesses qui appuyaient sur la paroi. Elle ne pouvait pas les actionner elle-même compte tenu de sa position et je n’avais d’autres choix que de tenter de les actionner. Des efforts surhumains me permirent d’actionner à l’aveugle son étage puis le mien sans toucher sa courbe. Mais le démarrage soudain et immédiat de l’ascenseur fit valser nos deux corps. Ma main se retrouva plaquée entre les boutons et ses fesses dont je découvris la fermeté. Sa poitrine vint s’écraser contre mon torse, et je fus parcouru d’un agréable frisson en sentant ses tétons pointer à travers le tissu venir caresser ma peau à travers ma chemise. Malheureusement, je senti que ma main coincée derrière ses fesses venait de presser par inadvertance plusieurs boutons simultanément. Il n’en fallut pas plus pour que l’ascenseur s’arrête aussi soudainement qu’il avait démarré, alors qu’il n’avait pas atteint le premier étage.

Il ne me semblait pas que j’avais vu un quelconque bouton d’alarme et ca m’étonnerait que des voisins s’inquiètent de ne pas voir arriver cet ascenseur d’un autre temps. On n’allait pouvoir compter que sur nous-mêmes.

-J’espère que vous n’êtes pas claustrophobe.

Je leva les yeux au plafond et aperçu une étroite trappe. J’espère qu’on allait pas devoir en arriver là.

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Salles de cours et bibliothèque / Visite en terre inconnue (PV)
« le: jeudi 01 décembre 2022, 21:31:49 »
Le lycée Mishima, dont il défendait la réputation devant les tribunaux, était de loin son meilleur client. Impossible donc pour Bastien de refuser la requête du proviseur d'intervenir dans une classe pour expliquer son métier d'avocat. Il l'avait déjà fait il y a de nombreuses années et cela c'était relativement bien passé. Le lycée avait fait en sorte de choisir une classe dont plusieurs élèves envisageaient cette profession. Mais la jeunesse avait changé. Il n'était pas sur d'être toujours dans le coup. Il le remarqua dès que son chauffeur s'arrêta devant le lycée grouillant d'élèves pour le déposer: certains élèves fumaient, des couples s'embrassaient à pleine bouche,.. La discipline japonaise était bien loin.

Il n'était pas étonné d'avoir autant de travail pour cacher aux yeux de la ville la réputation sulfureuse du lycée.
 
Il était 16h ce vendredi lorsque Bastien poussa les lourdes portes du lycée, vêtu d'un costume bleu sombre cintré. Dehors, un énorme orage couvrait la ville de brouillard et d'une pluie épaisse. Il fut accueilli en grande pompe par le proviseur, la conseillère d'orientation et la conseillère principale d'éducation, puis fut conduit jusqu'à la classe qui l'attendait en silence. 
 
Face à lui, des visages curieux, d'autres déjà fatigués. Cette classe de terminal jouait pourtant gros car elle aurait rapidement à décider comment elle s'orienterait après le lycée.
 
-Bonjour à tous. Je suis Bastien Hachimato, Avocat. Je vais vous présenter aujourd'hui ma profession et surtout je pourrai répondre à vos éventuelles questions, qu'elles concernent votre volonté de suivre des études de droit ou pourquoi pas vos problèmes personnels.

Par politesse et pour faciliter l'échange, le personnel du lycée dont le proviseur et le professeur quittèrent la salle, le laissant seul face à une vingtaine d'élèves dont l'âge ne devait pas être loin de la majorité voir même au-delà pour quelques redoublantes.
 
-Comme vous le savez, le rôle de l'avocat est de défendre les intérêts de son client. Un peu comme un médecin, il n'est pas là pour juger, et plus important encore, tout ce que vous pouvez lui dire est absolument couvert par le secret professionnel. 

Face à lui, quelques regards s'éveillaient. Le célibat lui pesant, il ne pu s'empêcher de remarquer quelques élèves à son goût. Il se raviva toutefois rapidement: il était hors de question de flirter avec quiconque. Le lycée apprécierait guère si cela était découvert et il risquerait à coup sûr de perdre son plus gros client.
 
-Les études sont longues, mais valent la peine: vous aurez un métier avec lequel on ne s'ennuie jamais et où chaque journée est différente. Avez-vous des questions pour l'instant?

Bastien parcouru du regard la salle, avec un sourire bienveillant. Les questions étaient souvent nombreuses, et il faisait toujours en sorte de rester après son intervention pour répondre aux questions plus personnelles que pouvaient avoir les élèves. Il n'était d'ailleurs pas rares que certains lui parlent de leurs problèmes personnels.
 

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Prélude / Re : La méchante reine
« le: mardi 29 novembre 2022, 20:30:25 »
Bienvenue! Superbe avatar.

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