Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Red King

Pages: [1] 2 3 ... 12
1
Le casque était retenue avec un clip, facile à retirer, mais encore faut-il l'attraper.
Je la suivis à l'intérieur, m'étirant en chemin. Sa faisait du bien de se stopper, tirer les jambes et le dos.
Elle prit du chocolat chaud, cela me fit sourire, c'était un peu enfantin, mais j'évitais de rajouter de l'essence dans notre "relation". Je me servis plutôt un thé froid. Et ce fut... Tout. Soudain elle me parla des toilettes, j'haussais un sourcil, je n'avais pas besoin qu'elle m'en parle.

J'allais lui répondre quand soudain je tilte.

- Ah oui... le lien.

J'en soupire et lui fait signe d'avancer, me disant que sa, c'était le début des emmerdes. Je me posais ainsi le long du mur des toilettes, à deux mètres de la porte. Espérant que la distance devrai aller, si du moins cette sorte de "fil invisible" traversait aussi le mur, sinon ce serait cinq dix ? mètres au sol. Bien moins moins qu'en ligne droite.

Elle n'avait pas apprécier ma réaction, bah moi je n'appréciais pas franchement devoir m'approcher ainsi des toilettes pour femme. Je pris donc mon tel et fit de nouvelle recherche sur le couple. Quand je sentis mon poignet se faire tirer, je grognais énerver et ne voulant pas faire d'elle une furie, glissais contre le mur jusqu'à ce que cela aille. Les femmes me jetaient des regards, mais dès que je relevais le mien, énerver, se taisait.

Heureusement, elle ne tarde pas à sortir, sentant le lien se détendre, je m'éloigne déjà pour éviter qu'on ai l'impression que je la stalke et me retenir de la prendre a parti aussitôt.

Dès que je la vois sortir, je lui fais signe. Une fois proche, au lieu de l'emmerder sur cette "longueur" de lien problématique. J'entre sur le dur du sujet.

- Bon, on peu parler un peu de cette histoire. Tu t’y connais en malédiction ? Tu connais des lanceurs de sort ?

Elle soupira et m'apprit à ma grande surprise qu'elle fut elle-même une victime d'une malédiction, bien que j'en fus plus curieux. Je ne voulais pas qu'elle se renferme et passa à autre chose.

- En effet, ainsi soit on va voir les derniers maudit, soit on cherche des infos sur cette malédiction. Enfin… sa c’est si on savait ou avoir des infos. Je ne mis connaissais guère en "bibliothèque" magique, surtout sur Terre. Mais peut-être en aurait-elle ?

Et... non. Elle continuai sur notre lancé la plus sur, les descendants.

-C'est le plus sur. S'ils avaient vécu ensemble durant des années, on devrai en apprendre plus ou moins, sauf s’ils n’étaient aucune mènent curieux de leur situation.

Réfléchissant en parallèle, je m'éloigne pour acheter une bouteille d'eau et reviens ensuite terminé cette discussion.

- Bon sinon, on sait pas combien de temps sa va nous prendre pour cette histoire. Tu me parle un peu de toi ?

Je lancais en espérant qu'elle se mette à dire ce qu'elle voulait et... non. Elle voulait que je la questionne, moi qui n'était pas des plus sociables.

- Humm… t’es riche ? C’est de famille ? Un travail ?

Je voulais laisser de côté mon jugement ou le confirmer d'ailleurs, à son propos. Fille à papa ?
Et sa réaction fut plus vive, n'appréciant guère, je ne l'interromps pas malgré la méprise... quoi que si, c'était un jugement indirecte, mais un jugement.

- je te juge pas. Je cherche simplement un sujet de discussion. Mais je trouve sa mieux que « ta couleur préférée ». Tentais-je de calmer la situation.

Ce à quoi elle plaisanta ? Je rigole à mon tour.

- Je ne l’aurais pas deviner. Du coup… tu dois beaucoup t’aimer. La taquinais je avant de reprendre. Disons que j ai pas mal de casquette, je suis mercenaire, garde du corps, détective privé. Chasseur de prime. On va dire que j’aide les gens à retrouvé des objets… ou personne disparu.

Vue ainsi, j'étais la personne parfaite pour notre situation, mais... me manquais pas mal d'info pour commencer ma recherche.

- Oui… même si en générale je sais qui je dois retrouvé et j’ai un peu plus d’infos qu’une histoire datant de… J’haussais un sourcil en tiltant sur un point. Y avait pas de date… disons de plus de cent ans. Faut vraiment trouver des infos sur ces deux là. S’ils proviennent d’ici.

Je devais trouver les bonnes question pour trouver les bonnes réponses. Je pris mon temps pour revenir à la question suivante, sur mes origines familialles indirectement.

- Non suis orphelin de guerre. Et toi ?

N'ayant pas de honte à cela, ni de gêne, je balancais sa. Et sa réponse... était similaire ? En tout cas, plus de parent. Je reste silencieux… dur à reprendre la conversation

- on y va ? On pourra continuer sur la route à papoter

Changement de sujet, elle me suivit et nous sortires, je lui montrais le clips et me remis en selle, avant de repartir pour quelque heure de route.

2
On peu mettre la tenue pardessus des vêtements, par contre on en vite chaud. Moi je me déshabillais donc pour la mettre et être un peu plus tranquille. Ainsi fait, j'attendis qu'elle me dise avoir terminé pour me retourner vers elle. Sa la moulait plutôt bien d'ailleurs... Mais là n'était pas la question.

- Je monte et tu te mets derrière moi.

Sans franchement attendre de retour, je pris donc position sur la moto et termine.

- Imite moi, mais mets tes bras autours de mon corps, comme pour m'étreindre.

A ce moment donné, je ne connaissais pas les effets de notre "malédiction" face à nos contactes. J'attendis donc tranquillement qu'elle me rejoigne avant d'allumer le moteur. Je sentis sa proximité et bientôt ses bras passèrent autours de moi, ne me tenant pas franchement, mais sa irai tant que je ne fais pas de grosse accélération. La sentant dans mon dos, mon coeur sembla légèrement accélérer ? Ou c'était l'exaltation d'une nouvelle aventure ?

Elle me lança enfin un "prête" et le moteur vrombit, inutile de dire que maintenant on ne s'entendrai presque pas, les casques ayant un concel-noise, le bruit était bien diminué... mais aussi nos voix toutefois.

Talk : Si tu veux me parler, le casque à un système pour. Tu dis "talk" avant de parler, tant que tu parle il continue de partager, si tu attends, il coupe la communication.

Elle pouvait donc m'entendre, directement dans le casque, et inversement.
Le moteur en marche, je lançais la moto en suivant le GPS, et... bon sang, on arriverai demain. 15 heures de route, on devrait prendre le train en fait ? Malheureusement après une rapide vérification, on avait aussi 12h de route à cause des changements de train, autrement dis... s'arrêter, reprendre, changer, un truc chiant. Et puis un long tripe en moto... c'était pas mal !

Je la sentais tendus dans mon dos, me forçant à éviter de zigzaguer ou dépasser trop souvent les voitures en ville.

Talk : Une fois sortis de la ville, on sera moins secouer. Tu veux qu'on roule tous de suite jusqu'au plus tard ou on s'arrête pour manger ?

Je n'avais pas encore faim, mais il était pratiquement midi, donc ça pouvait attendre, mais autant se mettre à la même page, surtout si elle avait besoin d'aller au petit coin !

La réponse de Anna n'est... pas des plus claire, quoi que ma question n'a pas été bien formulé. Je rigole, ce qu'elle n'entendra.

Talk : Très bien. Profite du paysage alors, parce que l'on en a pour un petit moment !

En dix petites minutes, nous sommes sorties de la ville et j'accélère. Le côté pratique du casque audio, les décibels, si jamais elle crie par peur de ma conduite, le volume sonore est bloqué à un maximum pour éviter de me surprendre et de me faire peur. Donc au moins on ne peut pas s'engueuler.
Chose qu'elle découvrira rapidement, les sensations entre voitures et motos sont... incomparables ! Tu vis les mouvements, la trajectoire, tu sens le vent contre toi. ... Et tu double pas mal de voiture. Oui, le poids étant plus léger, une meilleure accélération et respectant presque les limites de vitesses, je dépasse régulièrement des voitures.

Je reste pas mal concentré, heureusement, les autoroutes sont longues avant de changer, ce qui me permet de regardé autours de moi et d'apprécier le paysage moi aussi. Les couleurs changent, les collines sont montés puis descendus, pour le moment elle peut apprécier des routes simples, pas de gros virages ou de traverser de montagne, en hauteur.
Et au bout de deux heures, quatorze heures à passé...

Talk : J'ai besoin de me dégourdir les jambes, ont va s'arrêter, pour boire, manger un peu.

Je me retiens de rajouter "vider la vessie" pour rester polie mais je rigole discrètement tandis que l'on ralentie en entrant dans une aire. Je fini par nous garer et après m'être relever de la moto, glousse en la voyant peiner à retirer son casque. Bon au moins il est bien attaché, je l'aide et range les casques.

- Petite pause, on mange sur place, on prendra tout le nécessaire sur place ou quand on a besoin. La prévins-je tout de même, qu'elle ne fasse pas un sac de nourriture encombrante qui irai cramer sous la chaleur.

3
Je posais donc des questions pour comprendre ce qui se passait, les effets, conséquences et l'origine de tout ça. La jeune (et belle) femme intervint en parlant d'un coup de foudre, trouvant que c'était beau. ... La seconde d'avant elle était folle de rage, mais ça va si c'est une histoire d'amour ?
Je me retenu de tout commentaire, la regardant un peu, curieux. Puis reparti sur le vieux et... ce fut peut-être une erreur de lui rentrez rapidement dans le lard.

S'il n'avait rien à cacher, il nous aurait répondu, là... on fut mis dehors. Il avait un lien pour sur, avec cette histoire !
Je balayais la fumée autours de moi, reconnaissant la ruelle, il avait changer de dimension ? J'en grognais de frustration.
La femme, Anna, déterminé à avancer, pris le pas, je ne réalisas que tardivement ce qu'elle pensait et fut tirer d'un seul coup, par une "corde" invisible, venant m'étaler au sol en ayant perdu mon équilibre. Elle se moqua de moi tandis que je frottais mon nez, heureusement pas cassé, mais il avait pris un coup.

- Aouch...

Cela confirmais une chose, on ne pouvait s'éloigner et... je n'avais pas envie de vérifier ce qui se passait si nous étions tire malgré nous par la distance, genre deux voitures en sens inverses. Là on tombait, mais si cela faisait l'effet de corde en acier... je ne donne pas chère de notre peau.
Ne perdant pas le Nord, et peut-être pour ne pas en remettre une couche, elle me lanca sur l'adresse et sa question sur le moyen de déplacement.
Mon nez rougis par la chute, je regardais Anna en me rapprochant d'elle, me grattant la nuque.

- Vous me demandez ça parce que vous en avez un ? Où le contraire ?

Je passais à côté d'elle, en tachant de ne pas aller trop loin, je n'avais guère envie de m'étaler de nouveau, me rapprochant plus de la route et du parking. A mon passage, elle sembla me regardé... méfiante ? En tout cas sa réponse manqua de me faire éclater de rire lorsqu'elle sorti son téléphone... pour acheter une voiture. Une fille à papa quoi.

- Garde ton argent pour plus tard, on ne sait jamais. J'évite de la regardé pour garder ce petit sourire un brin moqueur. Viens par là. L'obligeais-je un peu en pointant la zone des véhicules motorisés. Tu as déjà monté une moto ?

Lui tournant le dos, je m'approche d'une moto rouge à éclair noir, dont je sortis deux casques avant de lui faire face pendant qu'elle me répondit, lui en tendant dans tous les cas. Sa réaction... On va pas être dans la mouise. Elle n'a jamais monté une moto... ça commence bien. Pire, lorsqu'elle regarde le casque, soit elle le trouve jolie, soit...
Je lui arrache le casque et lui met de force sur la tête, un brin agacé par la situation.

- Je n'ai pas envie de perdre de temps à ce que tu achète une voiture, donc oui, on est obligé. Allez enfile ça.

Je prenais alors une tenue de motard femme et lui enfila, forçant pour qu'elle se dépêche et ne cherche pas à résister. Le zip de la veste mis, je lui donnais un pantalon de sécurité pendant que moi-même je me déshabillais en parti pour mettre ces vêtements de sécurité, qui tienne chaud, mais ne sont pas à prendre à la légère, je n'ai pas envie de finir brûler au 5ième degrés par une mauvaise glissade qu'elle m'aurait faite faire.

4
Je tentais au moins de nouer un lien, parce que d'après ce que j'entendais, nous allions être lié d'une manière peu conventionnel. Je n'ai pas dis que je souhaitais faire bonne impression, mais au moins savoir comment on se nomme, afin d'éviter de l'appeler "Miss Green" pour ses cheveux verts, ou encore "hey toi".

Elle me fixait et après un instant, fini par me répondre, en s'excusant même. Signe comme quoi elle pouvait reconnaitre ses tords, bon à savoir ! Lui tendant la main, nous la serrions et... presque comme si je l'avais brûlé, elle retira sa main, choquée ? Puis découvrit un tatouage, que, en vue de sa réaction, ne portait pas, je levais donc mon poignet, confirmant la ressemblance... Oui, nous étions bien lié maintenant.

L'homme revint avec des informations... ma foi assez limité. Un peu comme une personne qui ne s'intéresse pas vraiment à cette histoire. C'est là que c'était louche, Anna était un peu trop choqué pour le réaliser. Mais il semblait avoir plus d'information que ça, je regardais rapidement sur internet si les infos donné, nous apporterais quelque chose d'utile.

Le couple en question possédait une galerie d'art à Okinawa, enfin... Leur enfant ? Vue qu'eux étaient morts... Il le savait donc, mais comment ? Il s'en était informé ou... Mon regard revint sur le coffret que je soulevais et regarda dedans. Il était maintenant vide, par contre, il y avait un double fond et derrière celui-ci. Un sceau magique qui semblait actif, mais ne rien faire... pour l'instant. Quoi que j'en devinais presque l'utilité. Je me retournais vers le comptoir et lui montrai l'intérieur.

- Bon, il va falloir m'expliquer quelque trucs... Si vous savez que ce coffret était maudit, pourquoi le gardez vous en public et pourquoi la malédiction serait de retour alors qu'elle a déjà fait des victimes. Je le fixais l'air sévère, il sourit et se posa confortablement sur sa chaise, comme s'il allait nous raconter une histoire.

- La malédiction est contenue dans ce coffret et reviendra tant qu'elle n'est pas allez jusqu'au bout de sa mission.

- Qui est ?

- Impatient va, tu me coupe en pleine explication. Gromella-t-il, je me retenue d'en remettre une couche et l'écouta. Lié deux âmes entre elles. Même si je ne suis pas bien sûr de ce que cela signifie. Haussa-t-il les épaules.

- Vous connaissez le nom de la malédiction et savez comment elle fonctionne. Expliquez moi comment c'est possible. Il nous cachait encore des choses...

- C'est écrit à l'intérieur. Pointa-t-il le coffret.

Je fus surpris et regarde, mais... rien. Fronçant les sourcils, il rigole et pointe nos poignets. Rapprochez vos mains, le texte apparaitra.

Oh, un truc qu'on n'aurai fait par pur hasard quoi, après un soupire, je proposais à Anna d'approcher sa main et en effet, un texte en argent s'inscrivit à l'intérieur.

"Dès que nos regards se sont posés l'un sur l'autre
J'ai su que nous étions fait pour être ensemble
Nous voici éloignés par les nôtres
Mais cette Amour nous rassemble
Et ce pouvoir nous unira
Aux travers de nos Âmes
Le Destin nous ramènera
Scellant notre vie sans lames"
- Roméo Amor à Juliette Philiandre


- Amor Philiandre... Amorphiliandre. Voici donc pourquoi ce nom. C'est un peu mélodramatique comme poème. Mais le but n'est pas bien clair pour autant... Il c'est maudit avec la femme qu'il aime ? Forçant une relation ?

- Je ne sais pas, soit il ne se rendait pas compte, soit il n'était pas au courant du mauvais sort. Répondit le vieil homme.

Je réfléchissais à ce que je venais d'apprendre, un détail me revint alors.

- Vous dîtes que la malédiction revient, mais comment le savez-vous ?

- Et bien, à chaque fois que le coffre se refermait. Je découvrais que le "couple" formé était mort, ensemble. Je crains que si l'un meurt, l'autre le suive.

Cette nouvelle n'était pas réjouissante, mais quelque chose d'autre me titillait... mais quoi ? Son air calme malgré la situation ? Se moquait-il de nous ? Comme si lui ne craignais rien, comme si lui... Attendais quelque chose. Posant le coffret sur le comptoir, je le fixais durement. Il avait habillement esquivé une question... Alors je la remettais sur le tapis.

- Pourquoi le coffre n'est pas enfermé, détruit ? Vous ne seriez pas en train d'attendre... le grand Amour ?

Il allait répondre quelque chose, quand son visage eut l'air d'être plus serein, voir même, triste ?

- Montrez-le moi s'il existe.

Et avant que je n'ai pu dire quelque chose, un brouillard épais monta dans la boutique et s'effaça tout aussi rapidement. Pour nous laisser en dehors de la boutique, dans la ruelle... qui maintenant terminait sur un cul-de-sac.

- Putain il nous a eus !


5
J’écoutais ce vieil homme, essayant de comprendre ce dont il se moquait et la réponse… me fit rire intérieurement. En bon dieu du chaos voilà un événement chaotique, mais je ne devais pas le laisser allez. Le chaos est toujours pour nous forcer a avancer et ne pas rester sur nos acquis.

Reste que tout le monde n’en n’a guère envie. Beaucoup s’en plaigne et ne feront rien, sauf fuir.
Bon là apparement on ne pouvait pas… se fuir l’un l’autre en tout cas. Du moins c’est ce qu’il disait je n’avais rien vue.
Toutefois… je n’appréciais guère qu’il se doute de nous et qu’en plus il garde la malédiction à vue d’œil. Même pas cacher.

- Donc vous aimez bien piéger vos clients ?

- Oh non, la malédiction ne s’active que si deux personne là touche en même temps. Sa n’arrive presque jamais, le dernier datait d’il y a dix ans.

Je l’aurais bien attrapé par le col, mais quelque chose me disait que si je l’agressais, il ne nous aiderais pas.

- bon ok personne n’a gagné contre cette malediction. Mais elle vient bien de quelque part. Ce genre de magie a toujours une histoire, c’est de la qu’elle tire ta force et permet de perdurer encore longtemps après la mort de son lanceur.

Non intentionnellement je ne m’occupais pas de la jeune femme, du moins pour l’instant. Un peu trop agacer par cet homme qui se moquait de notre destin, ou qui croyait en celui-ci, et se disait que c’était une bonne chose ?

- Humm… il faut que je vois mon registre pour pouvoir vous donner une piste. Je reviens, en attendant faite connaissance.

Avec un grand sourire il nous laissa en allant dans l’arrière boutique. J’étais à deux doigt de l’interdire de s’en aller, mais c’était sa boutique, il n’irai pas loin. Non ?

Je me tournais alors vers la femme et la fixe un peu mieux. Elle était jolie, mais sur la défensive. Normal vue la situations. Après un soupire, je pris l'avant de la conversation.

- bon… on pourrais reprendre depuis le début alors. Enchanté, je me nomme Ruy Asekura. Et vous ?

6
La boutique n'était pas immense, et les objets assez variés. J'étais sur de pouvoir trouver ce qu'il me fallait afin de répondre à la demande.
Mon regard voguait un peu partout, avant d'atterrir sur une boite qui, je le sentais, était spécial. J'y ressentais une faible magie s'en émaner et m'en approcha. Restant un peu à distance, j'observa la boite, finement décorer avec un sigle ma fois fort intéressant.

Non pas un, mais deux serpent, ce mangeant la queue en un huit pencher, soit le signe de l'infini. Je me demandais maintenant ce qu'elle renfermait et m'approcha pour la prendre. Au même instant, une chevelure verte eut la même idée que moi et attrapa l'autre poignet.
Tout se passa en une seconde, la boite s'ouvrit et la magie contenue dans le coffret s'en échappa, nous frappant tout les deux au passage.

Avec mon expérience, je roulais pour me stabiliser un mètre plus loin. La chevelure verte, que je voyais mieux maintenant était une jeune femme aux physiques des plus élégants, séduisant. Si elle aurait pue être d'une grande beauté, sa réaction fut... Tout est de ma faute. Ce qui me fit hausser un sourcil, une réaction plutôt agressive et me considérant en tort à cause d'un souffle magique... La surprise lui a fait perdre toute notion, à moins qu'elle n'en n'ai aucune à ce sujet là.

Je n'avais guère envie de m'énerver pour cela et ne lui retorqua rien, venant plutôt me gratter les cheveux.

- Hein ?

Quelque chose venait d'attirer mon regard à mon poignet gauche. ... Un tatouage que je n'avais pas fait faire, celui d'un serpent entourant mon poignet. Certes il m'était arrivé de boire un peu trop et d'oublié la soirée, mais ce matin encore, je n'avais pas ce tatouage. Je l'observais, quand soudain, mon poignet fut tirer sec vers la porte d'entrée, manquant de me faire tomber, alors que j'entendais un petit cris de surprise. En sortant du rayon, je vis la femme qui se tenait à l'encolure de la porte, comme pour se rattraper.

- Oh... je vois que mes chères clients ont étés réunis par le destin. Fit une voix un peu enraillé, mais au ton guilleret.

Je me retournais et vit un vieille homme fumant la pipe derrière son comptoir, souriant amuser visiblement. Je m'approchais donc pour avoir un peu plus d'explication.

- De quoi parlez-vous ?

- Vous avez ouvert à deux le coffre d'Amorphiliandre. Et vous êtes victimes de sa malédiction maintenant. A vous la vie à deux. Rigola-t-il ne se sentant pas du tout concerné par ce qui se passait.

Ce nom ne me disait rien et de quelle malédiction s'agissait-il ?

- Vous pourriez être plus précis sur cette "malédiction" ? M'agaçais-je en jetant un coup d'oeil au coffret encore au sol, ouvert sur un intérieur... vide.

7
La zone industrielle / Re : Ce temps qui nous a manqué - ft Claire
« le: vendredi 09 août 2024, 23:21:08 »
La suite fut de très loin ce que j'aurais pu imaginé... La coiffeuse semble perdre tout contrôle d'elle, voilà qu'elle gémit presque à mon simple contacte ? Mon ascendance divine à déjà connu des succubes et autres être lié à la luxure, mais quand c'est aussi soudain, sa me rend toujours un peu confus, surtout sans acte libidineux.

J'ouvre de gros yeux, avant de l'observer plus attentivement, son allure change véritablement, tant que je ne reconnais plus Claire, j'aurais plus tendance à voir une goule, ou une vampire venant tout juste de naître et ne contrôlant pas sa soif. Elle désire quelque chose de moi, c'est évident, et j'ai bien quelque idée, chose qui se concrétisent lorsqu'elle se frotte langoureusement contre moi et termine par ma ceinture. Bon au moins elle ne cherchera pas à me sucer le sang.

Si elle n'avait pas eu l'air autant... sur le déclin, j'aurais pu être excité par son "agressivité" mais en vue de son état, sa pâleur soudaine, son regard et sa voix, j'aurais plutôt de la pitié pour elle.
A son propos, je ne sais quoi lui répondre, elle n'a pas tort, et si je peux l'aidé, je le ferais, de toute manière je suis célibataire donc je n'aurais aucun problème à répondre à son "besoin" si tel est bien le cas.

Telle une prédatrice, elle m'agresse, oui, un homme aussi peut-être une victime, d'ailleurs, elle me fait bander de force, ce qui est plus long et douloureux, mais comme je suis en tord, telle ses propos, j'assume. Mon membre s'érige et j'essaie d'apprécier au moins la chose, pour que cela ne soit pas une torture pour nous deux.

- Je savais quelque chose allait se produire oui, mais pas quoi. Si j'avais su, je t'aurais éviter cette problématique. Lui répondis je sincère, bien que me mots pourrais ne pas être apprécier. Mon erreur à moi de... réparer. Grimaçais je à cette branlette des plus féroces, certainement en colère de l'avoir "provoquer". Peux-tu me dire ce... que je peux faire ? Tu as... hmmm... besoin de quoi ?

Plus vite ce sera au clair, plus vite je pourrais réaliser... le rituel pour calmer ce mauvais sort. C'était bien la première fois que ce genre de chose m'arrivait, alors même que j'avais eu bien des incarnations. J'étais passif pour l'instant, tâchant de regagner sa confiance pour être plus libre de mes actions, sans qu'on s'entretue. Il y a des malédictions bien sordide, demandant des sacrifices après tout. Quand d'autre ne vampirise pas leur proie.

8
La vie d'aventurier avait ses hauts et ses bas, il n'y a pas toujours de mission trépidante, on passe de la cueillette d'herbe à sauver un chat coincer dans un arbre. Tuer des gobelins à affronter un troll des cavernes, et plus effrayant, une manticore. Ce que j'aime dans ce métier ? On ne sait jamais ce que nous réserve le lendemain, c'est moins chaotique qu'une guerre, mais il faut savoir se reposer de temps en temps.

Et... Ce n'était pas pour aujourd'hui, la mission que j'avais me faisait beaucoup rire. "Trouver un cadeau pour notre anniversaire de mariage", vous le croyez vous ? Une personne avait trop la flemme où le manque de temps pour aller chercher un cadeau pour sa femme/mari ? Evidemment, la requête était anonyme, alors bon... déjà trouvé un cadeau n'est pas toujours facile, mais quand en plus on a que peu d'instruction...

C'était les trois ans de mariages et pour la femme de Mr/Mme inconnue et qu'elle ne désirait pas de bijoux, ou de fleur. ... En toute intelligence, j'aurais du prendre une autre quête, mais vous savez quoi ? Je l'ai prise pour voir la mine défaite, confuse du commanditaire. Pour tout vous dire, ma première idée fut une plante carnivore, sa change des fleurs ! Mais la guilde avait refuser aussitôt ma proposition... Même pas drôle.
Je ne pouvais décemment pas choisir une bricole au hasard.

Alors je faisais le tour du marché, de la nourriture, non, des jouets pour enfant... C'était tentant, s'ils n'ont pas d'enfants ou si elle n'est pas enceinte, le visage confus, voir suspicieux serait parfait, mais je n'étais pas satisfait. Les bijoux non plus... Plus compliqué que prévus et un livre, sa coûte chère à produire, donc trop peu d'histoire intéressante.
En terminant mon tour, je tombais sur une petite ruelle, menant à un antiquaire, franchement, il avait si peu de visibilité, que je me demandais s'il arrivait à survivre... Un loyer pas chère ? ou le propriétaire du bâtiment et de la boutique en même temps.

"Once in Life" jolie nom de boutique, même si le niveau d'alphabétisation de ce monde restait trop bas pour que beaucoup ai pu le lire. Toutefois, la pancarte était intrigante, un triangle avec un cercle à l'intérieur barré en son centre.
Je sentais rien qu'en m'approchant, l'aura mystique du lieu, sûr que j'allais trouvé la perle rare !

J'ouvris la porte et un carillon au son cristallin, rappela ma présence au vendeur, "observer, écouter et vous trouverez ce dont vous avez besoin." fit une voix provenant de plusieurs endroit, tel un écho. Une légère brume au sol et une luminosité orangé, vraiment une ambiance... mystérieuse. J'étais ravie de ma venue et me mis à faire le tour des étagères, il y avait de tout, des objets banals à ceux plus intriguant qu'on dirait aisément provenant d'une cabane de sorcière.

Ainsi que ce coffret à deux poignets, sur un piédestal qui m'attirait, j'en sentais la magie et m'approcha lentement, oubliant ce qui m'entourait ainsi que l'entrée d'une autre cliente.

9
La zone industrielle / Re : Ce temps qui nous a manqué - ft Claire
« le: samedi 20 juillet 2024, 14:34:01 »
J'avais demandé, curieux à Claire, quelle genre de jeux elle aimerait faire. L'attachiante me fit sourire, je l'imaginais vaguement à ce petit manège. De "je t'aime, mais non en faite".
Cependant, j'avais la tête ailleurs, toujours curieux de cette odeur familière mais dont je ne savais rien. Du moins, pour l'instant, je lui proposais alors un petit truc. Elle ne disait pas non, mais pas oui. Donc elle savait que cela existait, mais n'en gardais pas un bon souvenir j'imagine.
Je tente alors quelque chose et... La réaction est immédiate, son visage se décompose presque et je ressens cette magie en elle qui vient faire barrage ou du moins, qui ne se mêle pas trop. Pas une bonne magie, mais pas une agressive, quoi que...

Elle semble inquiète et m'agrippe, me tombant dessus, et à vrai dire, avec ces propos, je m'attends même à ce qu'elle reprenne sa vrai forme. Cependant, rien ne se passe... pas visuellement du moins. Un effet psychique ?
Et bien qu'elle me demande d'arrêter, ce que j'ai fait dès qu'elle m'eut relâcher la main, cela n'a pas empêcher, si ce n'est au moins ralenti la réaction magique.

- Désoler, je me demandais ce que tu cachais, mais visiblement ce fut une erreur. Tu vas bien ? Que se passe-t-il ?

Si elle ne reconnaissait pas à mon aura un être non humain, c'est qu'elle n'avait aucune connaissance... Un sort lancer sur elle pour... se venger ? Simplement foutre le chaos dans la vie d'une personne au hasard ?
Sa me ferait presque plaisir, si ce n'est que ce genre de chaos n'apporte pas grand chose.
Comme elle me semble bien fragile, je tente de l'aider à se tenir droite. Je vois bien, autant dans ses paroles, que dans ses mouvements tremblants qu'elle se retient. Mais de quoi ? En tous cas, c'est une pulsion violente auquel elle ne veut pas se donner. Une tentative de meurtre ? Si son sort n'apprécie pas mon pouvoir, il serait normal de la pousser à vouloir m'éliminer, non ?

Alors même si je la soutiens, je me tiens prêt à l'empêcher de... m'étrangler. Je ne vois pas d'arme ou d'objet utilisable en ce sens. Même si bon, on peu toujours frapper quelqu'un avec n'importe quoi et les files peuvent étrangler.  Ainsi, je serais presque curieux de savoir ce qu'elle va tenter à mon propos.

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La zone industrielle / Re : Ce temps qui nous a manqué - ft Claire
« le: mardi 16 juillet 2024, 15:15:54 »
J'écoutais la femme m'expliquer une chose qui, jusqu'alors ne m'avais pas franchement intéresser, ou plutôt, que je prenais pour acquis, j'étais donc un peu offenser de ne pas connaître ce genre de chose. Je prenais soin de moi, mais pas autant que certains apparemment, pour avoir vue la différence.
Je ne me douchais pas tous les jours, sauf si je faisais du sport, une douche faisait énormément de bien. D'ailleurs, elle était tellement occupée à discuter qu'elle mit un peu de temps à s'apercevoir que sa petite poitrine se collait à moi. C'était plutôt gênant, sa tenue frottant au lieu d'une peau délicate !

- Oui, c'est ma couleur naturelle, je n'en changerais pour rien au monde. Quant à votre gamme pro, je veux bien voir, je suis assez fier de ma couleur et si cela me donne un beau brillant, pourquoi pas.

Elle termine son ménage et plaisanta en disant me laisser dans cet état là, j'hausse un sourcil amuser, si elle cherchait le directeur ainsi, elle le trouverai rapidement à fustiger. Se reprenant, on passait à la suite, mais depuis qu'elle avait fait son contacte avec moi, je laissais échapper doucement mon aura divine sur elle, curieux de sa réaction, loin de me douter que cela aurait un effet sur sa malédiction !

En bonne coiffeuse, elle continua sur sa lancée et me demandait des infos sur mon rôles. Cela me fit rire, j'étais charmeur pour sur, mais pas cette fois-ci.

- Pas vraiment, on m'a proposer le rôle du "chien fou". C'est un jeune homme souriant, joueur et assez violent pour protéger son maitre.

Bien sur, mon perso était plus complexe que ça, mais plus, sa aurait été du spoil !

- Et vous Claire, vous auriez aimé avoir un rôle ? Femme forte ? Discrète ? Folle d'internet ? Gameuse ? L'attachiante ?

Entre temps, son test avait fait effet et continuant notre conversation, elle fit moulte chose à mes pauvres cheveux. Je commençais même si je ne le regretterais pas ! J'étais heureux de ne pas me voir dans un miroir pour le coup... je me serais fait pitier, j'eus un petit rire pour moi-même.
Claire se posa alors à mes côtés pour faire la conversation et me tendis la perche... Qu'elle allait regretter amèrement à mon avis.

- Hum, j'aurais bien une question et selon votre réponse, une demande. Rien d'incroyable, ne vous inquiétez pas. Lui rassurais-je avec un faux sourire malicieux.  Est-ce que vous croyez à la... magie ? Si oui, prêter moi votre main.

En fait, je devrais dire sorcelerie, vue que la magie n'est normalement qu'une illusion. Mais que selon les oeuvres, elle devient un vrai pouvoir. Là ou la sorcellerie relève toujours d'une source mystique.
Je lui tendais ma main, pour qu'elle pose la sienne dessus, l'observant. Une fois sa main poser sur la mienne, je lui transmettais une plus grande dose d'énergie divine en la fixant.

- Ressentez-vous cette source de magie couler en moi vers vous ?

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La zone industrielle / Re : Ce temps qui nous a manqué - ft Claire
« le: mardi 25 juin 2024, 21:15:44 »
Je pensais avoir calmer le jeu mais... la tension remonte lentement, j'en soupire. Même si l'acting est très intéressant, cette expérience va être moins fun que je ne l'aurais cru à cause de ces angoisses. Bon, tant pis, je dois aussi laisser les choses se faire, on ne peut pas toujours tout contrôler !
Je me rend donc à la partie "coiffure" qui... Laisse à désirer, là aussi, s'il y a une prochaine fois, je choisirais des studios et pas dehors.

Je suis bien plus robuste, ou résistant mentalement que mon apparat ne le laisse penser, m'enfin bon, j'attends que l'on vienne s'occuper de moi. Une jeune femme à l'allure de garçon manquer vint me retrouver, elle avait une drôle d'odeur, cela titillait mes narines et mon subconscient divin. Où avais-je déjà ressenti cela ? Pourtant elle n'avait rien de divin... ni de démoniaque, qu'est-ce que c'était ?

Dans son style, elle était plutôt mignonne et elle était prête pour son travail.

- Enchanté Claire, je me nomme Axel Red.

Sur ces paroles banales, je la suivis. Un coin moins... boueux, mais pas moins miteux, même si plus confortable et avec le minimum, je crois, pour les coiffures. Rebelle et rose, j'avais déjà des cheveux mi-long d'un rouge pâle qui devrais aidé, par contre, ces propos suivant me firent hausser un sourcil. Je ne prenais pas soin de mes cheveux ? C'est ce qu'elle sous-entendait ? J'aurais pu le prendre mal, mais bon... je me contente d'un shampoing cheveux lors de mes douches, cela me semblait suffisant. D'après une coiffeuse non ? Ou d'après une femme en générale ? A chacun ses attentes et les miennes étaient plutôt moyenne.

Je me contentais pour le moment de l'écouter, ne voyant pas grand chose à y redire. Je n'avais pas penser au fait d'être allergique, mais je pouvais facilement imaginer les démangeaisons au crâne, à éviter. Elle me retourna et prépara la suite, validant effectivement que mes cheveux étaient un cas... Bon ok, là j'étais un peu vexer.

- Je pensais qu'utiliser du shampoing pour cheveux une fois par jour suffisait, aurais-je commis des impaires quelques pars pour que mes cheveux soit dans un tel "état" ? Lui demandais-je plutôt curieux et désireux d'éviter que d'autres n'ai à me redire quoi que ce soit.

Elle continuai son travail, lavés, rincés, mousse et massage, j'en profitais, fermant les yeux à ce moment-là. Elle avait les doigts agiles et délicats, c'était vraiment plaisant. Toutefois, cette proximité me faisait vraiment humer son parfum et une autre touche non-naturelle, pas humaine... non, ce n'était pas une odeur, mais autre chose, qu'est-ce donc ? Je l'écoutais d'une oreille distraite maintenant.

- Non, ça va. L'eau est bonne et vos doigts experts. La complimentais je sans penser une seconde à une autre manière de les utiliser...

De l'autre côté, le tournage avançait... un peu, il fallait faire et re-faire mainte fois la prise pour satisfaire le directeur. Sa n'allait pas être simple de garder tout le monde motivé !

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La zone industrielle / Ce temps qui nous a manqué - ft Claire
« le: lundi 17 juin 2024, 18:36:58 »
Sur le plateau de tournage, tout le monde est en branle bas de combat, du moins, c'est ce qu'aurais aimé le directeur. Sauf que ce n'est pas une grosse série à gros budget, qu'est-ce que sa change ? Bah que c'est sa 2ième série et qu'il a dû embaucher des techniciens débutants, pareils pour les acteurs, et actrice. Que tout le monde est nerveux et que personne n'est clairement assuré, de son rôle ou de ses compétences.

Même ceux qui ont dû métier sont un peu en difficulté, car ont ne leur donne pas les directives, tout prend du temps à se mettre en place et chacun peine à trouver son emplacement. SA bonne loge, sa place de parking, etc...
Est-ce que le directeur est trop nerveux ou juste un type chiant ? En tout cas il gueule au microphone et sa n'aide pas grand monde. Il s'y croit trop ? Certainement, sa première série fut un huit clos, donc encore moins de budget et de personne, là il a au moins tripler le nombre de salarié et donc de personne à gérer.

Je l'observais s'époumoner sur ces pauvres techniciens, qui, ne se rappelleront certainement pas de tout, temps le brouhaha les forces à se boucher les oreilles. Bien que j'aime le chaos, j'apprécie aussi de voir les choses évoluer, tirant une dernière bouffé d'une fausse cigarette (m'entraînant à feindre de fumer quoi), je vins dans son dos et lui claqua celui-ci, le stoppant net.

- Allons Hinotsuki-sempai, je sais que vous êtes excité, et je le suis tout autant que vous, mais vous faites peur à vos kouhai. Inspiré et souffler, sa va vous aidé.

Se retournant il me fusilla du regard et ouvrit la bouche avant que je ne plonge mon regard dans le sien, un regard de braise, mais pas celui qui vous exulte, plus celui qui aurait la tendance à vous brûler si vous l'approchez trop. Son poing lever, il resta silencieux et le redescendis en détournant le regard.

- Je veux juste que tout le monde soit au top.

- Détendez vous, ils le seront. Ecrivez vos directive comme ça personne n'oubliera rien et il n'y aura pas de doute sur ce qui a été demandés.

Il grommela ne souhaitant pas perde la face et je m'inclinais discrètement en reculant pour aller vers ma loge. J'avais hâte de pointer le bout de mon nez dans cette série, ayant non le rôle principale... mais secondaire pas moins important. Le synopsis m'avait bien titiller, le voici :

"Il y a de cela dix ans, Sarada Ayakura sortait au lycée avec Kiba Kameya, fils d'un chef de clan yakuza. Mais du jour au lendemain, celui-ci l'ignora et se trouva une autre petite amie, Ino Watanabe. Dépité, elle parti faire ses études à l'étranger avant de rentrer au bercail pour son nouveau travail d'enquêtrice. Dès sa première enquête elle retomba sur Kiba qui avait bien changer, maintenant héritier du clan. Mais l'attraction reprend entre eux, alors que tout les opposes maintenant."

Si le synopsis restait assez basique, les retournements de situation m'avait bien amusé et suivre le questionnement de tous m'intéressait. Est-ce que les uns et les autres allait deviner ce qui se tramait ou pas du tout ? Comme il y avait des "yakuza" dans l'histoire, il y avait quelques corps de métiers surprenant. Genre un ou deux tatoueurs qui venait donner conseils sur la signification ou carrément faire de faux tatouages. On avait aussi cinq coiffeuses et vue les différents styles, elles allait bien trimé pour toute cette semaine.
Etant la main droite de Kiba, j'avais le droit à un beau costume et une extravagante coiffeur rosé, j'étais le "chien foufou" - Akira, un orphelin "recueillit" par le clan Kameya.

La première scène, la rencontre allait commencer et je n'avais pas à être présent, par contre il fallait qu'on me trouve la bonne coloris de rose pour éviter que cela soit trop criarde ou moche. C'est pourquoi je venais dans un moment tranquille à "l'atelier coiffure" et pris place en attendant que l'on vienne s'occuper de moi. Ecoutant d'une oreille distraite les ragots du début de tournage.

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Ville-Etat de Nexus / Re : Mais....Tu es un intrus? -Red King-
« le: dimanche 28 janvier 2024, 10:02:43 »
J'étais surpris par notre compatibilité intime, était-ce parce que nous étions tous deux des lapins ? En tout cas, sa féminité semblait épouser parfaitement la forme de mon érection en elle. Je n'étais pas à sa place, je ne pouvais être sûr, mais mon sexe glissait en elle avec aisance, ce qui me donnait des fortes sensation !
Et j'aurais certainement continuer si les deux vieux n'étaient pas dans les parages... Heureusement, Zola était pour que la nuit ne s'arrête pas aussi tôt !

Je me dépêchais ainsi de la ramener à ma chambre, trop impatient pour me laisser guider à la sienne. A peine entrée, et la porte refermé, que je jetais mes habits sur une chaise et retira mon peignoir. J'étais vraiment un chaud lapin... Je craignis pendant un instant que mon approche fut trop rapide, mais je bandais tant que c'était difficile à retenir !

Heureusement, Zola, se déshabilla à son tour avant de me sauter dessus, je l'étreignis d'une main et posa la seconde sur son pompon. Répondant avec passion à ses lèvres. Hors de l'eau nos corps nues pouvaient mieux se frotter, et se ressentir. Sa chaleur et son doux pellage, sa main sur ma carotte... Ma langue vint chercher la sienne, alors que je me mis à caresser son pompon.

- J'ai tellement envie de toi Zola... de te prendre partout. De te faire jouir sur ma queue, de baiser ta bouche... Lui sussurais-je entre deux baisers.

Ma main glissa alors de sa petite queue à sa féminité que je vins frotter de ma paume, m'amusant à faire entrer une phalange, sans aller plus loin, puis la ressortir et la rerentrer. Oh cette nuit... Zola allai bien la sentir !

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Ville-Etat de Nexus / Re : Prise la main dans le sac -King Red (Atem)-
« le: jeudi 18 janvier 2024, 09:56:54 »
Sachant qu'elle venait tout juste de me voler... que je la laissais tranquillement faire le tour de la maison. Si elle me volait immédiatement, elle perdrait toute ma confiance. Si elle le faisait sur du long terme, je le verrais moins. Mais le fera-t-elle vraiment ?
Je sais que lorsqu'on est poussé au "pire" on ne le fait pas par plaisir, alors si quelqu'un vous donne sa confiance, le trahirez vous comme même ? Au vous donnerez vous à 100% afin d'être à la hauteur de cette confiance ? C'est ce que je voulais voir avec elle !

On se retrouvait au salon, son regard pétillait, elle semblait avoir apprécier la visite et acceptait le job. Est-ce mon esprit lubrique ou ses mots qui me firent penser autre chose ? Me voilà avec une idée de plus. Que j'arrivais finalement à modifier dans ma tête pour avoir quelque chose d'un peu plus "neutre".

- Ravie, je me nomme Atem et toi ? J'attendis sa réponse et repris. Enchanté Shizuka. Bien, du coup pour le travail, tu peux me dire tes conditions. Voici ce que je peux te proposer et tu me diras ce que tu préfères.

Je l'invitais à s'asseoir en face à face  à table, lui souriant charmeur. Tentant de me mettre bien pour elle, lui faire baisser sa garde et savoir à quel point elle serait suspicieuse à mon égard ou non.

- Ton d'abord, comme tu vas travailler ici, voici le travail proposer. Ranger la maison, faire la lessive. Je te paierais 2 pièces d'argent par jour pour ça. Si tu sais et veux faire la cuisine. Ce sera 5 pièces d'argents, toutefois, si tu manges avec moi, ce sera 4 pièces. Si tu désire loger ici, pour x raison, alors je descendrais à 2 pièces d'argents, mais tu vivras au chaud et sera nourrie. Si cela ne te gêne pas, tu auras le choix entre le canapé ou avec moi, dans mon lit. Plus confortable, mais avec moi dedans. Lui souriais-je faussement embarrasser. Evidemment, tu peux à tout moment changer de "formule", comme tu peux commencer à juste faire le ménage et plus tard décider de vivre ici.

Voilà, tout est dit, a elle de voir dans quelle condition elle voudrai travailler et vivre. Avoir plus d'argent, mais garder une vie difficile, car se loger coûte chère. Où être payé moins, mais... avoir presque une vie de couple, que je tenterais d'ailleurs d'instaurer petit à petit.
Par quoi allait-elle se laisser tenter ?

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Les bas fonds / Re : most wanted - ft Willow Shade
« le: jeudi 18 janvier 2024, 09:34:54 »
J'observais face à moi la pyromane, elle faisait de son mieux pour rester calme, respirant profondément. Elle devait y être un peu accoutumée pour ne pas paniquer. Cela me rendait un peu plus curieux encore sur elle, finalement, j'entendis même son prénom, bien que murmurer, ce fut des plus audibles pour moi. Je n'ai pas de longue oreilles pour rien !

Willow donc, se rendait bien compte que, bien que libre, ce n'était pas sans danger de part et d'autre. Elle tentait discrètement, et vainement de retirer le collier, mais c'était de la bonne qualité ! Le problème d'un collier d'anti-magie de piètre qualité, c'est que si quelqu'un à assez de magie et tente de le retirer... C'est que cela accumule la magie jusqu'au point de rupture et... explose !

Il y a eut quelque mort misérable ainsi, autant du porteur, que ceux pris dans l'explosion magique ! Mais pas celui-ci ! Ce serait trop stupide de privilégier la quantité, à la qualité et de risquer de perdre des clients ou mêmes des filles/hommes de nuit.

La femme ne me quitta pas du regard, regardant parfois mon bas, avant que je ne sorte mon mandrin. Et ses jolies joues rougissantes, se mordillant la lèvre, elle pourrait dire ce qu'elle veut, elle ne semble pas insensible à ma grosse carotte !
Elle me fit alors rire avec un commentaire dessuait dans ce lieu.

- Si tu voulais être sage, fallait pas venir brûler du matos ou descendre dans ce trou à rat. La narguais-je

Et avant qu'elle ai pu me rétorquer quoi que ce soit, j'agrippais son poignet droit et la tirait vers le bas. Perdant l'équilibre, elle tomba sur ses genoux, qui furent amortie par mes pattes, positionner expressément pour éviter qu'elle tape le sol dur et froid de la pièce.
Si elle aurait pu apprécier ce "douceur", elle était maintenant à genoux devant mon entrejambe et...

J'attrape finalement sa chevelure, pour l'approcher de mon pénis, lui faisant frotter son visage contre. Ce qui eut pour effet de me rendre encore plus dur et chaud, avec un sourire sadique.

- Je vais te montrer que je ne suis pas un lapin sage ou patient.

Par là, je lui avais laisser sa chance, chance qu'elle n'avait pas prise et maintenant, j'étais bien décider à me faire plaisir. Plus elle résisterait, moins ce serait agréable, alors autant qu'elle se laisse aller et passe une nuit des plus mémorable !
Pour le moment j'étais encore doux, et je ne voulais pas vraiment la violenter, mais si je devais forcé un peu pour qu'elle se lâche, je ferais. Sinon... j'utiliserais la petite surprise du collier...

- Allez, joue avec Monsieur le Lapin Tyler, ou sinon je vais devoir me forcer à toi. Lui lançais-je donc un dernier avertissement, la regardant chaudement, mon sexe cachant une partie de son visage.

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