Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Saori

Pages: [1]
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One Shot / Re : Retrouvailles charnelles [PV]
« le: dimanche 08 mai 2022, 22:24:51 »
Le cours de Saori allait débuter pour ne plus faire d’erreur et devenir une idéale secrétaire, elle laissait son client venir derrière elle pour l’englober entre ses bras et saisir son stylo pour commencer à écrire des choses sur sa feuille. La prostituée avait énormément de mal à parler, lire le japonais était encore plus difficile quand ça dépassait le stade des bandes dessinées pour les enfants. Dieu merci, son directeur dessinait aussi des sexes, des seins pour rendre le tout plus compréhensif.

- Je comprendre, explications Directeur.

Il lui redonna le stylo pour qu’elle lui montre qu’elle avait bien interprété les explications en profitant pour cajoler sa poitrine à pleines mains. Pendant, qu’il prenait satisfaction à la tripoter au point de faire sortir ses seins de son haut, dévoilant ses deux gros tétons dressés, Saori dessinait à son tour des queues sur la feuille, s’appliquant à détailler les veines, les poils au niveau des bourses, puis une vulve avec un clitoris gonflé au-dessus.

- Saori bien apprise !

La prostituée était contente de ses dessins, continuant avec l’illustration de ses seins, une grosse paire au milieu de la feuille tout en commençant à pousser des soupirs grâce aux caresses de son directeur. Qui lui demanda de gémir, pour accroître la productivité de l’entreprise. En bonne secrétaire qui ne voulait pas trahir son patron et surtout ne pas faire sombrer l’entreprise, Saori allait tout donner pour être rentable. Commençant à geindre plus fort avec les caresses de son directeur chéri.

- Ehnnn… Ehnnn…

Les lèvres à peine ouvertes, elle soufflait, la main qui tenait le stylo descendit vers son ventre pour parvenir à son entre-jambe.

- Directeur va être fière de secrétaire.

Saori tira sur le tissu de son assortiment blanc pour faire sortir sa petite chatte rose, s’appuyant contre le dossier de la chaise pour que son client puisse bien voir ce qui allait se passer. Elle faufila le stylo entre ses lèvres pour l’appuyer contre son clitoris.

- EHN.

Un gloussement puissant sortit de ses lèvres, sous la pression vigoureuse qu’elle venait d'exercer et ça allait persévérer, la prostituée descendit le stylo pour trouver l’entrée de sa vulve afin de le faire rentrer à l’intérieur. Il était fin et pourtant qu’il était coriace de le faire rentrer à l’intérieur de sa mignonne chatte.

- Ehn. Ehn. Ehn.

Des gémissements à chaque fois que le stylo rentrait un peu plus en elle, Saori bascula sa tête en arrière pour apposer son visage contre le pantalon de son client, frottant sa tête sur son vif bien gonflé sous le tissu.

- Ehn Directeur. Ehn. Ehn.

La main libre de Saori se leva vers la feuille toujours sur le bureau, son doigt se mit à pointer au-dessus tournant en rond, avant s'abattre sur un des mots que son directeur avait écrits lors des explications.

- Secrétaire veut faire ça pour augmenter argent.

Son doigt s'était posé sur le mot uriner, même si elle avait lu Saori n’aurait pas su qu’elle était cette pratique, la découverte allait être surprenante.

2
Saori gigotait contre le canapé pour se dégager, voulant ramper plus loin, attrapant une table basse pour purement renverser le contenu qu’il y avait dessus sentant le démon lui descendre entièrement son short de cycliste jusqu’à ses genoux dévoilant ses fesses dodues avec sa petite rondelle plissée et surtout ses lèvres intimes toutes roses, serrées semblables à une pucelle. L’homme avait beau dire qu’il n’était pas un diable, pourtant la prostituée ne connaissait pas d’humain capable de faire surgir des oreilles sur sa tête et d’avoir des temps aussi pointues.

- Nonnnn…

Un couinement de désapprobation, alors qu’elle mettait toute sa vigueur dans ses bras qui venaient s’appuyer contre le bas du canapé pour avancer sentant quelque chose aborder de ses lèvres intimes. Elle était assez expérimentée pour deviner que c’était bien le vif de son soi-disant rédempteur qui venait les écarter pour s’y coincer. Pour entamer une pénétration lente…

- NON EHN. EHN.

Saori le sentait s’introduire en elle, à sec il écartait sa chatte serrée rentrant centimètre par centimètre sans s’arrêter pendant que la prostituée couinait. Levant sa tête vers le mur, les yeux un peu plissés luisant de la douleur qu’elle ressentait, la bouche ouverte ses cris étaient saccadés. Elle avait arrêté d’agiter ses jambes, les laissant purement retomber sur le canapé juste écartées pour laisser traverser celui qu’elle prenait pour un démon passer. Au fond d’elle, Saori pouvait sentir son vif gonflé, s’allonger encore plus, les cannelures de son intimité moulaient ses veines pour lui fournir un fourreau parfait.

Et très vite, il commença à la besogner, se retirant intégralement d’elle pour y revenir, rouvrant sa mignonne chatte pour cogner son bassin contre son postérieur offert entre les oreillers du canapé.

- Ehnnn. Ehnnn.

Chaque fois qu'il touchait le fond de son antre, Saori était prise d'un hoquet de détresse tout en poussant des couinements puissants et secs. Sa poitrine balançant dans le vide, remontait brusquement proche de venir frapper le bas de son menton vu le volume de celle-ci. Il cherchait sans tarder sa main pour la rehausser, la prostituée essaya de le retarder en claquant sa main quelques fois avant de se faire saisir le poignet.

- HNNNNN.

Un cri de stupéfaction en même temps qu’il s’enfonçait au plus profond d’elle, déformant son ventre plat sous son passage. Son étroite chatte avait commencé à s’humidifier accompagnant sa voix percutante avec des bruits humides à chaque fois qu’il rentrait et qu’il se retirait pour la prendre avec bestialité. 

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One Shot / Re : Retrouvailles charnelles [PV]
« le: mercredi 04 mai 2022, 17:04:41 »
- Je suis contente que vous acceptiez.

Saori applaudi sur les cuisses de son client se dandinant dessus, avant de lever les bras vers le plafond pour lui procurer un énorme câlin, collant le visage de son nouveau directeur une nouvelle fois contre ses seins.

- Secrétaire prend soin de son patron toute soirée !

La prostituée se laisse délicatement poser sur le matelas, reprenant son verre pour absorber des nouvelles gorgées pendant que son client en profite pour ouvrir la penderie et découvrir tous les vêtements qu’elle renferme. Il y a un large choix, pour tous les goûts des clients, des vêtements en cuir intégraux pour ceux qui aiment se faire commander ou des harnais avec des colliers pour ceux qui aiment dominer. Entre ça, il y avait la possibilité de faire de nombreux jeux de rôle, secrétaire, infirmière, professeure, fermière… Tout est n’importe quoi ! Et s’il par infortune il n’y avait pas le costume que le client voulait, il pouvait téléphoner à l’accueil pour faire une réclamation et l’avoir dans l’heure qui suit.

- Saori adore les surprises.

Elle se laisse mettre le bandeau autour de ses yeux pour qu'elle ne puisse pas voir ce que son client allait sélectionner comme vêtement dans la penderie. Saori continue à onduler sur le matelas, ses doigts sur ses genoux n’arrêtent pas de bouger montrant son impatience.

- Monsieur le Directeur à toujours bon goût, je suis hâte de découvrir ma garde-robe nouvelle et celle de patron chéri. 

Saori se laisse diriger par son client pendant qu’elle a les yeux dans le noir, se levant du matelas pour avancer de quelques pas. Elle tend les bras et écarte les jambes pour qu’il puisse plus aisément enlever ses vêtements se retrouvant nue un petit instant, se demandant ce que son directeur doit penser d’elle. De son corps de poupée pour adultes, une grosse poitrine qui tient bien en place, un ventre plat, des petites hanches avec des cuisses plus larges et des fesses dodues. Sans négliger ses lèvres intimes serrées l’une contre l’autre, sans pilosité, un peu plus rose que le reste de son corps avec un petit grain de beauté sur l’une d’elles. Son client finit de l’habiller, n’oubliant pas de lui mettre des chaussures à talons aux pieds.

- Je peux !

Saori lève les bras vers le bandeau, elle sent déjà qu’elle ne porte pas grand-chose sur elle.

- A la un. A la deux. Et à la… La… Quatre !

Elle fait voler son bandeau dans les airs, ouvrant les yeux lentement pour ne pas s’éblouir avec la lumière de la pièce, découvrant dans le miroir un ensemble blanc ajusté à son corps, très ouvert sur sa poitrine et cachant à peine sa mignonne petite chatte. Elle ferme ses mains devant elle, se mettant sur une jambe pendant que l’autre se lève derrière elle dans les airs.

- Saori très contente !!!

Elle se tourne vers son client pour le voir en costume, elle se jette à son cou pour lui déposer un baiser sur la joue.

- Monsieur le Directeur très beau !

Saori se décolle pour aller vers l'armoire pour chercher des derniers accessoires, elle fouille dans un tiroir pour sortir une fausse paire de lunettes avec une monture ronde qu’elle dépose sur son nez pour ajouter une touche à son uniforme de secrétaire coquine. Et un classeur avec des papiers quelconque à l’intérieur. Elle regarde son client, en mettant un doigt dans sa bouche tout en se mettant de profil pour montrer ses belles formes dans sa tenue, serrant le classeur contre sa poitrine.

- Monsieur le Directeur, je crois avoir fait faute dans les comptes de entreprise, il faut expliquer à moi comment faire.

Sans attendre, Saori fait claquer ses talons sur le sol, elle pose ses affaires sur un bureau qu’elle vient tirer pour le mettre au milieu de la pièce, tirant une chaise pour se mettre assise dessus en face de son client. Elle écarte les cuisses pour qu’il puisse voir en dessous du bureau son ensemble blanc s’écarter à quelques centimètres de laisser voir son bourgeon. Elle pose ses seins sur la table, prenant un crayon pour le glisser sensuellement dans sa bouche attendant que son client commence son explication. Prête à prendre des notes très chaudes.

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One Shot / Re : Retrouvailles charnelles [PV]
« le: mardi 26 avril 2022, 16:14:32 »
- Saori est très contente de vous connaître Yao.

La prostituée passa sa main dans ses cheveux tout en souriant à son client, pendant qu’il s’occupait de servir le mousseux dans les verres, lui tendant sa coupe pour trinquer.

- Santé !

Saori pencha son verre vers celui de Yao pour faire retentir une brève mélodie quand les deux venaient à se croiser, elle trempa ses lèvres dans le fluide pour en prendre une petite gorgée. Avec le temps, elle avait appris à apprécier le champagne, à en boire des bouteilles, comparé à ses débuts où elle n’arrivait pas à en boire une seule coupe.

- Je venir d’un autre pays !

Elle se mit assise sur le lit juste à côté de son acquéreur, se collant à lui, imposant sa poitrine sur son bras, prenant une autre gorgée dans sa coupe.

- Je n’ai pas le droit de dire, mes managers ne sont pas contents.

Dans les bordels de la dynastie Hua, il y avait énormément des filles qui n’avaient pas de papier, qui étaient mineures, qui avaient disparu de la circulation pour être forcées à coucher avec des hommes. Pour contourner les problèmes avec la justice, les filles n’avaient pas le droit de parler d’elle, où elle devait élaborer une fausse histoire. Saori ne préférait pas s’aventurer sur ce terrain, ne parlant pas bien japonais, inventer une histoire était difficile, alors elle préférait dire la vérité.

- Et vous n’êtes pas ici pour parler de moi, c’est Saori qui doit prendre soin de vous.

Saori ricane venant déposer ses moelleuses lèvres sur la joue de son client pour l’embrasser, reculant pour lui transmettre encore une fois un doux sourire pour le mettre à l’aise et le détendre à peine voyant qu’il était timide.

- C’est première fois que vous venez ?

Saori attendit la réponse de Yao, même si elle se doutait de ce qu’il allait répondre.

- Je vais expliquer à vous.

La prostituée se leva pour venir se mettre assise sans attendre sur les genoux de son client, en amazone, pour qu’il puisse venir cajoler sa tendre peau s’il le voulait. Sa poitrine était postée au niveau de son visage, il pouvait sentir son doux parfum, Saori passa sa main libre derrière sa tête pour lui câliner les cheveux.

- Je sais tout faire et vous, le droit à demandez tout ce que vous voulez. Patron a dit que vous avez pris forfait tout compris.

Yao avait la possibilité de rester le temps qu’il voulait jusqu’au lendemain et bénéficier de Saori de toutes les manières possibles, il pouvait employer des préservatifs ou non, utiliser des accessoires ou non, changer ses vêtements à sa guise, exiger tout ce qu’il voulait avec le téléphone disponible dans la chambre.

- Yao est roi pour journée.

À cette nouvelle, Saori se trémousse sur son client, levant son verre vers le haut pour célébrer ça, collant ses seins contre son visage en guise de câlin affectif envers son client.

- Saori aime qu’on lui donne surnom quand on s’amuse, vous avez idée pour moi ? Et vous aussi, vous voulez surnom ?

La prostituée se penche vers la table pour placer son verre dessus et empoigner la bouteille pour remplir le manquant dans le verre de Yao, glissant la bouteille glacée entre ses cuisses et sur le vif de son client qui durcissait en dessous. Saori leva la tête pour faire mine de réfléchir à un surnom, tapotant son menton de ses doigts. 

- Monsieur Yao ? Monsieur ? Chéri ? Daddy ? Papa ? Maître ? Directeur ? Monsieur le Directeur… Monsieur le Directeur et moi votre secrétaire ou surnom que vous voulez.

Saori aimait les jeux de rôle, cela permettait de pas uniquement baiser et de s’amuser, laissant grimper le plaisir dans la chambre. Si Yao le voulait il pouvait approuver sa proposition ou rejeter pour assouvir ses instincts primaires sans tarder, il pouvait quand même noter que les yeux de la prostituée brillaient à cette idée. S’il acceptait, il allait devoir changer de vêtement pour devenir un directeur et principalement relooker Saori pour faire d’elle la secrétaire de ses fantasmes. Dans les armoires dans la chambre, il allait pouvoir trouver son bonheur et faire d’elle sa poupée à sa guise.

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Saori voulait échapper à ses adversaires contre tout au monde, elle ne voulait pas savoir ce qu’ils allaient bien pouvoir lui faire pour se venger, c’était un réel soulagement quand l’homme lui prit la main pour la relever et la traîner chez lui fermant la porte. La prostituée était en sécurité contre à la rigueur une petite fellation ou simplement écarter les jambes quelques minutes ce n’était pas grand-chose pour sauver sa vie. Sauf que l’homme se montra violent au premier contact, signalant à Saori qu’elle était peut-être tombée chez la mauvaise personne.

Elle poussa un sifflement de souffrance au contact du mur dans son dos, fermant les yeux sous le choc avant de rouvrir ses deux petites amandes sombres pour fixer l’inconnu qui lui avait ouvert la porte pour mieux la dévorer.

- Aïe ! Doucement…

Saori essaie de se débattre, posant ses mains sur les épaules de l’homme pour tenter de le pousser en arrière, y mettant toute sa force, serrant ses dents en poussant des sons de désespoir. Et sous la peur, la prostituée lâcha prise voulant se replier sans pouvoir y parvenir, sur la tête de son détracteur des oreilles venaient d’apparaître, elle pouvait voir s’agiter derrière son dos une queue et ses dents alors qu’il ouvrait la bouche étaient acéré.

- Tu es quoi ? Un monstre ?

Les terranides, Saori ne connaissait pas et voir cette chose devant ses yeux, c’était incompréhensible pour l’humaine. La prostituée était attachée au folklore de son pays, les démons, qui peuvent prendre l'apparence d’animaux pour venir terroriser les humains et bien plus encore.

- Tu es démon !

Le soi-disant démon venait attraper la main de Saori pour la glisser vers la serviette alors qu’il plaquait ses lèvres contre les siennes, pendant qu’elle bougeait la tête pour se dégager de l’homme. Il ne restait pas en place, attrapant la prostituée pour la traîner dans le salon, alors qu’elle essayait de résister, mettant le poids de son corps en arrière pour retarder ses plans.

- Démon, lâche-moi.

De son bras libre Saori attrapait ce qu’elle pouvait, se tenant aux meubles, laissant exploser sur le sol des affaires qui traînaient là. Arrivant au salon, l’homme dominait encore la valse, la poussant, arrachant son haut avec des griffes laissant sa poitrine surgir sans en profiter préférant la faire s'asseoir sur le canapé pour frotter son vif encore protégé de la serviette contre son doux minois.

- Saori pas faire ça ! Un démon ne mérite pas.

Pas de doute pour la prostituée, elle venait de se faire duper par un démon, tout ce qu’elle lui avait dit en à l'extérieur de l’appartement ne tenait plus. Il avait dissimulé sa véritable identité pour profiter de la situation, si Saori avait su qu’il était un déchu elle n’aurait jamais accepté de tout lui offrir.

- Va en enfer, démon !

Saori lui donna un coup de boule dans le bas de son ventre pour le faire régresser un peu en arrière, pour pouvoir s’échapper de son influence, elle se tourna sur le canapé pour prendre la fuite à genoux. Le souffle court, elle passa son buste par-dessus les dossiers laissant les derniers morceaux de son haut choir sur le sol. La tête vers le bas elle tirait le reste de son corps coincé entre les gigantesques coussins, son short de cycliste descendait contre sa peau laissant surgir la raie de ses fesses et ses lèvres intimes éternellement aussi bien moulées dans ce tissu noir.

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Centre-ville de Seikusu / Re : La découverte de la bestialité. - Tani Rei
« le: mercredi 20 avril 2022, 23:56:29 »
Saori tambourinait à toutes les portes, se collant contre les œillets pour espérer voir quelqu’un à l’intérieur d’un des logements ne comprenant pas que l’objet fonctionnait dans l’autre sens. Dans sa maison close c’était pourtant comme ça que ça marchait, les managers devaient constamment avoir un œil sur les filles depuis l’extérieur pour garantir la sécurité ou en tirer profit en se masturbant. Dans ce cas ne voir personne alors que Saori était sur d’entendre des bruits à l’intérieur des pièces ne l’aidait pas à garder son calme, attrapant les poignées de porte pour les secouer de haut en bas.

- Quelqu’un j’entends ! Ouvre-moi !

Dans la confusion, Saori n’arrivait pas à enchaîner des phrases précisément construites, son japonais était déjà approximatif à la base alors là les gens pouvaient croire à une enfant de quatre ans essayant de s’exprimer. Cela ne jouait pas en son avantage, ajoutons qu’elle soit étrangère avec des fous furieux qui voulaient démolir la porte d’entrée personne n’allait lui ouvrir la porte. Sauf cet anonyme qui venait de lui adresser la parole à quelques portes d’où la prostituée se trouvait. Saori tourna la tête en une fraction de seconde, avant de trotter vers lui, c’était son seul espoir à cet instant. Son visage criait à la panique, à l’épuisement de cette course folle dans la ville juste avant.

- Non, je veux pas mettre la merde à… Ici. Eux me veulent du mal pour plaisir.

Saori s’étranglait en parlant, elle donnait tout pour se focaliser sur ce qu’il disait et ce qu’elle répondait pour être la plus ordinaire possible. Sauf que son cœur allait encore plus s’emballer quand elle comprit que l’homme était prêt à ouvrir la porte d’entrée si elle ne proposait pas une offre alléchante. Une goutte de sueur descendit instantanément de la racine de ses cheveux jusqu’à son menton.

- Pas ouvrir porte ! Moi, Saori. Moi très gentille personne.

Saori se retourna sur l’arrière, entendant les hommes crier de plus en plus fort, demandant aux habitants d’ouvrir la porte pour venir la chercher et après ils allaient partir. Elle trépignait sur place, sa poitrine se soulevait sous son t-shirt à cause de sa respiration qu’elle n’arrivait pas à canaliser. Et brutalement elle se laissa tomber sur le sol à genoux, les mains serrées devant son visage en guise de supplication.

- Je faire tout ce que tu veux, si tu m’aides.

Son buste bascula en avant, elle lança ses bras au-dessus de sa tête pour empoigner les jambes de l’homme qui lui avait ouvert la porte, se prosternant à ses pieds.

- TOUT. Je suis sur le table.

Saori n’avait rien de mieux à offrir que sa propre personne, elle le faisait tous les jours en échange d’argent et cette fois c’était pour épargner sa vie. Elle approcha sa tête des pieds de l’inconnu sans trop forcer pour qu'il ne referme pas la porte, embrassant la base de ses orteils donnant une démonstration qu’elle était vraiment prête à tout pour réussir à s’en sortir et ne pas tomber dans les mains des dégénérés qui allaient bientôt rentrer à force.

La prostituée baisait les pieds de son potentiel sauveur, le buste en avant sa poitrine fructueuse qui touchait le sol et ses fesses relevées vers le haut, son t-shirt oversize glissant contre son dos découvrant son short de cycliste qui moulait son postérieur et ses deux petites lèvres intimes laissant juste un creux minime entre ses deux falaises légèrement gonflées.

7
One Shot / Re : Retrouvailles charnelles [PV]
« le: lundi 18 avril 2022, 23:11:41 »
Dans la maison close, le rez-de-chaussée et le premier étage étaient dédiés aux services et le second accueillait les filles, des chambres à plusieurs où les prostituées s'entassaient pendant leur temps de répit. Quelquefois, le gestionnaire venait chercher une fille pour lui indiquer qu'elle avait un client et qu'elle devait se préparer.

- Saori c'est pour toi !


La prostituée était sur un lit à étage regardant des bandes dessinées pour enfants afin d'apprendre à lire. Elle ferma son magazine, pour descendre de son lit à l'aide de l'échelle sur le côté, sans un mot elle alla dans la salle de bain pour se préparer. Son manager avait posé les vêtements qu'elle allait devoir porter pour retrouver le client, il pouvait après les modifier à son goût, comme une poupée. La prostituée portait une chemisette noir translucide remontant au-dessus de son nombril, en dessous un soutien-gorge noir, sur ses hanches remontait les ficelles de son string assorti avec une minijupe par-dessous allant à peine plus bas que son intimité. Finissant elle faufila ses pieds dans ses chaussures à talons noirs.

Saori sortie de la salle de bain avec une touche de maquillage, les cheveux bien coiffés et une fragrance délicate aux fleurs. Son manager était encore là calculant le temps qu'elle mettait à se dresser.

- Bien. Tu peux aller à la chambre 103.

Elle descendit les escaliers, devant les autres prostituées et clients, arrivant promptement devant la chambre où un plateau d'accueil était placé. Même si le bordel se situait dans le quartier pauvre, la grande patronne Li Hua voulait maintenir un standing pour les clients, s'ils se sentaient bien ils reviendraient systématiquement. Saori prit le plateau pour le poser sur sa main telle une serveuse, dessus un pot à mousseux avec une bouteille encore fumante après l'ouverture, deux flûtes et un éventail de toasts. Elle se mit à sourire avant de pousser la porte pour entrer.

- Monsieur, bonjour !

L'accent mi-coréen mi japonais venait en aimable mélodie dans la pièce, accompagné du tempo de ses hauts talons quand son bassin chaloupait à chacun de ses pas. Elle s'approcha de la table basse pour y placer le plateau de bienvenue, penchant seulement le haut de son corps pour tendre ses fesses au client, sa jupe si minime qu'elle ne cachait rien. Elle se redresse, un large sourire illumine son minois, croisant les mains devant sa jupe pour honorer l'homme devant elle.

- Je suis Saori ! Je suis servante de vous pour le soirée.

Les étrangères dans les bordels étaient monnaies courantes, de la main-d'œuvre pas chère. Et pour éluder les mauvaises surprises, Saori donnait le ton sur son niveau de langue, pas adroite et un manque de vocabulaire conséquent.

8
Centre-ville de Seikusu / La découverte de la bestialité. - Tani Rei
« le: vendredi 15 avril 2022, 16:16:49 »
Aujourd’hui était une piètre journée pour la petite Saori, elle avait été trop ferme avec un client, celui-ci était parti le froc en bas des jambes en criant que c’était inconcevable qu’une prostituée agisse de la sorte. La barrière de la langue, Saori avait mal interprété la demande du client… Encaisser des coups de fouet sur les fesses lui avait refroidi les idées. Gueulant à travers le bordel, coupant l’envie à des clients, effrayant les autres prostituées… Saori avait reçu un sacré savon de la part du responsable de l’établissement. Pour la sanctionner, elle devait faire le ménage de toutes les salles, de l’argent allait être retenue sur son salaire et pour terminer elle était chargée d’aller faire les courses ce soir. Personne ne voulait aller faire les courses, une corvée que les filles préféraient céder… Les sacs étaient lourds, les filles en profitaient pour fournir une liste d'achats personnels qui allongeait celle générale…

Saori finit son activité dans le bordel, le nettoyage lui avait pris une importante partie de l’après-midi, c’était épuisant elle avait qu’une envie c’était s'allonger dans son lit attendre que le temps passe. Par malheur elle devait filer faire les courses, toutes les filles lui avaient laissé un mot avec de la monnaie avec ce qu’elle devait acheter en plus… Des friandises, des CD, des vêtements, des livres… Elle soupira simplement en voyant ça. Saori prit une douche précipitée pour retirer cette odeur de transpiration, elle attacha ses cheveux mouillés en chignon au-dessus de sa tête et mit des vêtements propres très simples. Un t-shirt oversize bleu azuré avec des motifs d’animaux, qui lui arrive à peu près aux genoux et en dessous un short de cycliste noir si son haut venait à se lever avec le vent. En dessous elle avait un soutien-gorge pour relever sa poitrine et dissimuler ses tétons qui pouvaient émerger, mais Saori n’avait pas pris la peine de mettre une culotte, son short se montrant autosuffisant.

Armée de ses sacs de commissions, de ses listes de courses et de son argent, Saori prit le bus pour se rendre vers le grand magasin, le soleil commençait déjà à descendre annonçant bientôt le début de soirée. Le bus s’arrêta à deux pas de la grande surface, Saori descendit et écarquilla les yeux devant les individus qui se trouvaient devant… C’était son client de tout à l’heure, elle leva la main devant son minois en même temps qu’elle baissait la tête pour se dissimuler.

- Salope ! Encore toi !

Saori ne réagissait pas, contournant le groupe pour tenter de rentrer dans le magasin, quand l’homme lui attrapa le bras pour la retenir.

- Je te parle pute, ne m'ignore pas ! Ton patron n’a pas voulu me restituer l’intégralité de mon oseille, alors tu tombes bien tu vas me rembourser.

Il appuyait sur son bras, la bougeait dans tous les sens, les passants s’écartaient ne voulant pas s'immiscer de cette histoire.

- Je... Excuse, pas comprendre.

L’homme parlait trop rapidement pour que Saori arrive à suivre ce qu’il racontait et avec la pression elle n’arrivait pas à se focaliser. Il insistait devenant de plus en plus brutal avec elle, quand sa main lâcha son bras… Saori ne chercha pas à comprendre et elle prit la fuite dans la ville laissant ses sacs sur place. Elle courait aussi vite qu’elle pouvait, bousculant les promeneurs en s’excusant, pendant que les hommes lui collaient aux fesses, elle se faufila dans l’entrée d’un immeuble quand un garçon en sortie fermant la porte derrière elle. Ses poursuivants ne pouvaient pas rentrer, frappant derrière la fenêtre en continuant de lui brailler dessus. Saori ne perdit pas de temps et avança dans l’immeuble pour cogner aux portes pour chercher de l’aide…

- Je cherche aide… Aide-moi… Allô ?

Saori entendait des bruits derrière les portes, mais personne n'osait lui ouvrir.

9
Le coin du chalant / Sur la route du plaisir.
« le: jeudi 14 avril 2022, 11:02:56 »
Bonjour, Bonsoir.

Saori est à la recherche de ses premiers Rps sur le grand jeu.

Saori est originaire de Corée du Nord, après avoir fui avec sa famille, elle habitait dans un quartier pauvre avant que Li Hua l'achète. La jeune fille est devenue une prostituée dans un des bordels de la famille Hua, contre une énorme somme d'argent elle peut obtenir sa liberté.

Dans ses relations, Saori va prendre la dominance quand c'est envisageable avec des partenaires dociles et vice-versa, elle va être plus soumise si son partenaire est dominant sans pour autant se transformer en une étoile de mer. Saori aime être active et chercher à reprendre le dessus.

Dernier point, elle parle mal le japonais.

Trames :

--> Saori est une prostituée, il est possible de venir la voir quand vous voulez.

--> Client ou prostituée jalouse, vous lui volez l'argent qu'elle a mis de côté et vous allez la faire chanter pour lui restituer.

--> Une horrible journée, Saori est au bout et va fuir le bordel :
           -->propriétaire du club vous allez lui faire passer l'envie de fuir.
           -->Propriétaire du club vous allez lui faire une fleur et lui faire découvrir la ville pour la calmer.

--> Aujourd'hui rien ne va, Saori n'arrête pas d'enchainer les sottise et en tant que client ça ne va pas passer.

--> Vous avez la chance de pouvoir vous payez les services de la prostituée à domicile.

Spéciales :

Inceste --> Son père va venir dans un bordel et va se retrouver dans la même chambre que sa fille.

Orgie --> Vous êtes un client riche qui organise une soirée chic, pour divertir les hommes des filles sont à disposition dont Saori.

Métro --> Saori a eu le droit de sortir faire les magasins, elle va prendre le métro bondé de monde et se faire tripoter.


10
Prélude / Gagner sa liberté. [Keiralidée]
« le: dimanche 10 avril 2022, 23:45:04 »
Identité : Saori de son vrai prénom Kimimo Atshi
Age : 18 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Sexualité : Bisexuelle

Physique : Saori est une jeune demoiselle dans la fleur de l'âge, elle respire la fraîcheur, le bonheur et avec de l'anticernes on ne remarque pas le surmenage sous ses yeux. Son visage d'adolescente est une aubaine dans ce qu'on peut qualifier son métier. Adepte des lentilles de contact décoratives pour élargir ses yeux, Saori en a une importante collection. Elle prend soin de ses longs cheveux, héritage de sa mère, ils lui arrivent au milieu du dos et les laissent sans entrave une grande partie du temps.

Saori ne dépasse pas le mètre soixante, sa petite envergure la rend ravissante vers la gent masculine et très populaire. Certains la qualifient de chubby, ce qu'elle trouve erroné. Elle a des formes certaines qu'elle doit mettre en valeur dans son travail, pourtant Saori est loin d'être potelée. Plutôt svelte, elle a des petites hanches, un ventre plat laissant voir quelques abdominaux, des bras sans excédents qui frétillent quand elle les lèvent. Saori est soumise à une diète spéciale, ne pouvant se faire plaisir qu'une fois dans le mois, ce qui ne l'empêche pas de dissimuler des bonbons et des barres de chocolat dans sa chambre.

Caractère : Les parents de Saori lui ont constamment dit de ne pas répliquer, de se faire toute petite et de se plier aux règles. N'étant pas du Japon, famille d'immigrés, ils voulaient pouvoir se mélanger facilement dans la foule de la basse ville. Elle a suivi de longues années les recommandations de ses parents, le fait de ne pas parler japonais à aider à les écouter. Ils évitaient au maximum de se mêler aux Japonais, sortant en ville exclusivement pour remplir des papiers avec l'aide d'un traducteur.

Saori n'avait pas une grande connaissance de cette nation ni même de son pays natal, un flou qui ne l'a pas aidé quand elle a dû commencer à interagir avec des clients. Des collègues à son activité lui ont appris les bases de la langue pour pouvoir se débrouiller. Et lui ont signalé qu'elle ne devait pas tout tolérer, qu'elle devait avoir du tempérament si elle voulait s'en sortir.

Même après des années, Saori a encore du mal à s'imposer entièrement dans ce métier surtout face à des fortes personnalités, mais elle ne démérite pas ! Quand elle peut prendre les devants elle le fera sans peur et sans hésitation comparée à sa jeunesse. Et ça même dans un japonais approximatif.

Histoire : La famille Atshi a quitté la Corée du Nord avec énormément de difficultés, ils avaient rémunéré un contrebandier qui s'est enfui ultérieurement avec l'argent sans laisser de trace. Dans l'urgence, ils ont jeté leurs ultimes économies à un homme moins sûr et surtout au chemin plus périlleux. Si bien que le petit frère de Saori périt dans la traversée emportée par le courant suite à une tempête…

Suite à des multiples péripéties, la famille arriva au Japon sans papiers et ne parlant pas un mot de japonais ils n'ont jamais réussi à s'intégrer. Ils avaient élu domicile dans un quartier pauvre non loin de la ville, ils vivaient à l'aide du troc et des services rendus. Ce n'était pas la vie de rêve qu'ils imaginaient, pourtant comparé à la Corée c'était un eldorado. Saori n'aimait pas sortir de la tente familiale, les gens à l'extérieur lui faisaient peur. C'est en grandissant qu'elle commença à se risquer à l'extérieur et constamment de journée pour être un minimum en sécurité.

C'est vers ses quinze ans que sa vie changea radicalement, une femme magnifique arriva dans la boue du bidonville perchée sur des hauts talons rouge. Une image irréelle dans cet univers sombre, des hommes en noir la suivait pour regrouper tous les filles ainsi que leurs parents. Saori et sa famille était là, devant la femme sans savoir ce qu'il allait arriver jusqu'au moment où elle commença à parler, ses hommes venaient à traduire dans différentes langues son monologue.

Cette dame, Li Hua venait proposer un futur pour les enfants oubliés, elle se proposait de s'en occuper, de leur offrir une nouvelle vie. Elle prenait en charge, le logement, la nourriture, l'éducation, elle proposait un travail pour les plus grands. Et pour les parents qui venaient à accepter l'offre, ils recevaient une somme d'argent considérable pour les réamorcer dans la vie. La demande camouflée sous des paroles mélodieuses voulait juste dire qu'elle venait acheter les enfants. Des papillons dans les yeux de nombreux parents venaient à approuver, ceux de Saori en outre.

Ce jour-là un dernier aurevoir, Saori se retrouva dans une voiture pour quitter le bidonville pour la grande ville. Un jour dans un hôtel à manger à sa faim, prendre un bain, dormir dans un vrai lit sans les puces. Et le lendemain, elle se retrouva dans un bordel à rencontrer son premier client qui lui prit sans hésitation sa virginité. Madame Hua n'avait pas la moindre intention de s'occuper des enfants, c'était seulement de la marchandises à moindre coups. Si les enfants étaient rentables elle les gardaient sinon ils venaient rejoindre les donjons d'opium.

Saori était populaire avec son jeune âge, ses formes naturelles, son accent coréen et le fait qu'elle ne comprenait pas la langue. Les clients pouvaient tirer parti de sa naïveté pour faire ce qu'ils voulaient. La prostituée grandit dans le même bordel, elle avait le droit de sortir en dehors de ses heures de travail toujours en groupe. Si elle venait à déserter, les hommes de Li seraient prêts à la retrouver pour l'abattre. Ici, on ne rigole pas avec les fuyardes… Le seul moyen de partir était d'acheter sa liberté, de réunir une somme colossale pour retrouver un semblant de vie. Saori était déterminée à sortir de ce bordel, la tête haute et non les pieds devant, économisant tous les centimes possibles.

Autre : Saori travaille dans une maison close de la famille Hua.

Comment avez-vous connu le forum ?Double compte de Li Hua.

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