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Les landes dévastées / Re : l'appel de l'horizon [Don]

« le: samedi 21 février 2009, 23:23:51 »

Cet sexe énorme allai et venait violament d'entre ses seins jusqu'à sa glotte .
Don ensserait les poignets de Lilura et appuyait ses main sur les coté de sa poitrine, etraignant dans la douceur la moitié de son pénis et ses testicules. Son gland s'imposant dans la bouche de la petite terradienne, inondé de salive.
La contradiction fie encore son apparition alors quelle tentait de repoussé le membre de sa langue.
Produisant une pression sur le bout de ce sexe du plat de sa langue, mais elle glissait a chaque reprise jusqu'à la base de son gland.
Les coups de reins de Don entre ses seins lui fesait tourné la tête, alors quelle se massait elle même la poitrine, ses petit tétons toujours aussi réceptif. Inconsciemment la pression quelle exerçait sur ces derniers devenait de plus en plus forte et incontrôlé, sans quelle ne s'en rende compte, c'est elle qui caressait le sexe entre ses seins. Le plaisir prenant encore une fois le dessus sur sa sauvagerie.

Sa tête était bloqué par le membre assis dur que l'acier logé dans sa bouche, et elle cherchait a nouveaux le moyen de l'extirper maladroitement. Sa langue donnant de puissante caresses sur toute la surface du gland. Elle tenta d'ouvrir la bouche mais la salive abondante dégoulina sur le sexe jusqu'entre ses seins. Ce dernier était si gros par rapport a la petite bouche de Lilura qu'a chaque respiration, l'aspirait plus profond dans sa gorge. Et il lui était impossible d'inspiré sans avaler tout liquide dans sa bouche.

Elle contemplait le visage de Don les yeux quasi revulcé par le plaisir.

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Les landes dévastées / Re : l'appel de l'horizon [Don]

« le: samedi 21 février 2009, 22:23:06 »

Lilura ne s'étonna te voir ou fe trouvait la queue chez les humains.
Mais les caresse a rebrousse poil que Don exerçait sur la sienne lui donnait des frissons dans le dos.
Elle fie la grimasse quand il colla se membre quelle senti brulant sur sa joue.
Elle donna un coup de langue rapide a son extrémité et fixa aussi tôt le visage de Don pour voir sa réaction d'une mine craintive.

L'inexpérience etit flagrante chez elle. Elle apprenais de son corps et de celui de Don. Ce quelle ressentait l'enivrait, les choses du sexe étant inexistante dans sa tribu a par pour la procréation.
Son instinct sauvage lui dictant de désobéir.

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Les landes dévastées / Re : l'appel de l'horizon [Don]

« le: samedi 21 février 2009, 21:10:10 »

Elle était a présent complètement nue et offerte devant cet inconnu .
Le liquide chaud que Lilura prenait pour de la salive formait des filaments transparent entre son sexe et la main de Don. La terradienne mouillait abondamment.
Les yeux clos, tremblante et gémissante, elle ne retenait plus les mouvements du marchand.
N'osant s'avouer quelle provoquait elle même son plaisir en avançant légèrement son bassin pour que Don puisse pleinement exploré son inimitée.

Elle avait découvert son point faible. Mais se refusait encore secrètement a une vie de certitude, planifiant son évasion ou le meurtre de sang froid de Don au moment ou il s'y attendrai le moins.

Retrouvant peu a peu l'usage de ses bras Lilura voulue se jeter a la gorge de Don mais elle savait pertinemment que la drogue mettrait un long moment a s'évaporer. Et que ce dernier pourrait la maitriser d'un seul doigt.
Elle releva la tête, croisa le regard du marchand et l'adossa a l'arbre mort. Une expression de dégout et de honte sur son visage en larmes.
Elle releva lentement les bras et les replia sur sa poitrine, posant ses poignet sur ses mamelons en manque de contact, a la vue de Don.

Les genoux encore l'un contre l'autre elle étudiait et se délectait de cette délicieuse torture.

"Jamais une vie a servir... mais comment pourrais je me passer de tan de plaisir. Suis-je a lui a tout jamais? Je ne veux pas mourir et je ne peux pas fuir, une vie de caresses aussi exquise serait elle vivable? Non pas dans la certitude!" pensa elle.

Mais toute ces questions fures chassé alors quelle découvrait que son corps pouvait être la voie du paradis.
Ses bras fessant des mouvement de bas en haut, massant ses tétons encore mouillé.

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Les landes dévastées / Re : l'appel de l'horizon [Don]

« le: vendredi 20 février 2009, 20:23:46 »

Toute ses certitudes s'effritait une a une.
L'honneur du combat bafoué par des drogues qui l'avais paralysé. La courtoisie des gens civilisé remplacé par la manipulation et l'asservissement. La souffrance de la torture provoquant en elle un désire charnel insoutenable, mais répugnant.

Lilura ne pue retenir un crie, tant elle feue terrorisé par le vacarme de cette arme inconnue.
Et soudait dans son esprit tout s'emboita a nouveaux. Autan de violence l'avait elle rendu folle?
Elle n'avais qu'une certitude a present mais il lui etait impossible d'agir pour l'instant, et la langue de Don aspirant et mordant ses petit tetons rose pale, ne fesait que confirmé ses idées.
Elle ne pouvait que pleuré a chaude larmes, retenant des hurlements de rage derrière des soubresauts gémissant.

Elle découvrait peu a peu que tout son corps pouvait pleuré. Ses yeux déversait de grosse larmes dégringolant de ses joues. Une odeur suave émanait de son corps en sudation. Sa bouche était pleine de salive, comme devant un repas appétissant. Et son entrejambe ruisselait jusqu'entre ses fesses, imbibant le drap de bure.
Elle tortillait des reins, unique moyen de se debatre. Mais ce mouvement la fesait bruller de l'interieure. Horrible choix que de subir les caresses du marchand, ou ce plaisir répugnant mais tellement délicieux.

Son petit ventre tendre, trahissant une respiration hors de contrôle. Qui se fessait plus forte au fur et a mesure quelle gigotait pour s'extirpé.
Appartement une racine sous sa robe s'était logé a l'épicentre se son plaisir.


 

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Les landes dévastées / Re : l'appel de l'horizon [Don]

« le: vendredi 20 février 2009, 19:14:33 »

Lilura n'osai plus regardé le marchand. Les dents serré, La tête penché vers le sol elle tentait de faire abnégations de toutes ces sensations inconnue qui parcourrait son corps.
La main de don parcourait le duvet d'une douceur angevine qui recouvrai la poitrine proéminente de la jeune terranide.
Elle avais les seins volumineux et ferme, si duveteux que l'on aurai pue les caressés durant des nuit entière sans s'en lassé. Le même pelage d'un blanc immaculé recouvrait son visage, son ventre, l'entrejambe et son postérieur. Constitué d'innombrable poils fins de 1 a 2 centimètres donc la douceur rappelai le plumage d'un poussin.

Lilura serrait les genoux plus fort, agrippant le reste de robe qui masquait ses jambes. Le massage de plus en plus prononcé, elle ne savait pourquoi, la fessait bouillonné du bas ventre a l'entrecuisse.

"Je te tuerais, mille fois je te tuerais!!!!"

Grogna elle sans desserré les dents entre deux sanglots.

"Quand mon frère et mon père viendrons me cherché, ils te ferons payer jusqu'à l'éternité de m'avoir touché!!"

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Les landes dévastées / Re : l'appel de l'horizon [Don]

« le: vendredi 20 février 2009, 00:54:53 »

La langue de Don caressai la sienne, elle voulue le mordre mais les plante du brevage agissait sur son système nerveux empêchant tout effort et geste brusque.
Ne pouvant donné comme seul signe de contestation, quelque tortillement lent et faible accompagné de gémissement étouffé.

Les mouvement de sa langue n'ajoutant que plus de langueur au baisé. Lilura tentait tout ce qui était dans la mesure du possible pour le repousser. Fermer la bouche ou même mordre était sans aucun effet, la poigne du marchand était trop forte. Ouvrir la bouche affin de se retirer, elle le regretta bien vite quand le baisé redoubla d'intensité.
Lilura se dégouta elle même quand lui traversa l'idée que ce contact n'était pas si désagréable alors que leurs langue se blottissait l'une contre l'autre quand elle tentait de l'expulsé d'entre ses lèvres.
Elle essayai de hurlé, de se recroquevillé. Mais arrêta tout de suite quand elle vie qu'en se rabaissant sur elle même elle se mettait de plus en plus a nue.

Son poncho n'était maintenant plus retenu que par la pointe de ses seins devenue mystérieusement dure et le drap de bure qui lui servait de jupe menaçait de glisser de chaque coté de ses cuisses, dévoilant son entre jambe nue.

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Les landes dévastées / Re : l'appel de l'horizon [Don]

« le: vendredi 20 février 2009, 00:01:07 »

[HRP]désole c'est retenu[HRP]

Adossé a l'arbre la petite terranide contemplai a présent son sabre plié. De grosse larmes commençait a perlé a ses yeux alors que sur son visage se mellait désespoir, haine et effroi.
Les bras le long du corps, les genoux l'un contre l'autre. La dose quelle avait absorbé l'avait completement paralisé.
Son petit corps si fragile et vulnérable a présent n'était plus qu'une peluche tremblante produisant de léger gémissements de terreur a chaque mouvement du marchand.
Ses yeux plein de larme ne quittait pas un seul instant ce dernier.

"Quand je pourrai a nouveau bouger ne serait-ce qu'un doigt, tu mourra pour ce que tu vient de faire!" dit elle la rage dans les yeux mais la voie noyé de sanglots.

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Les landes dévastées / Re : l'appel de l'horizon [Don]

« le: jeudi 19 février 2009, 23:11:51 »

"Êtes vous désireuse de savoir comment ça marche?Et être heureuse a jamais?"

Quand Don releva les yeux du Katana Lilura se trouvait a quelque mètres en face de lui toute griffe dehors.
Elle avait reconnue l'odeur sur son poncho, une drogue que l'on donnai au bêtes les plus féroce ou massive pour les immobiliser avant la chasse et qui lors ce que l'on mangeai la viande assurai un repas joyeux et une bonne nuit de sommeil. Mais les femelle n'était pas convié a la chasse et Lilura ne sue ce quelle avait avalé que trop tard.

Elle se tenait devant lui en position de combat, de longue et fine griffes, transparente et asseré (signe de jeunesse) terminant ses mains. les lèvres retroussé dévoilant de petite dents blanche et pointue dans une expression de fureur.
Mais la drogue en était a son stade terminal et les jambes musclé de la petite terradienne tremblaient sous son poid pourtant si léger. Son regard plein de colère trahissait la difficulté quelle éprouvait a garder son équilibre et sa concentration.

"Maudit soit tu! Je vais te faire gouter et filles du nord! Et quand je t'aurais arraché mon sabre tu servira de pâture au oiseaux!"

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: jeudi 19 février 2009, 22:36:05 »

22:35

Ça me fait plaisir ca veux dire que je n'écrit pas trop mal ^^ en tout cas j'aime beaucoup ton style aussi .

[ecoute Manson car pas de son en ce moment vous avez du bon rock francais ? Deja fan des fatal picard et de Melle K pour le style decalé]

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Les landes dévastées / Re : l'appel de l'horizon [Don]

« le: jeudi 19 février 2009, 22:25:24 »

"Je vous suis volontiers ^^! Mais en quoi voulez vous me dédommager?" Elle emboita le pas au marchand pour rejoindre la caravane." Nexus, Nexus ... C'est une tribue d'ici ? J'ais hate de connaitre leurs coutumes!"

En un battement de cil Lilura dégaina son sabre, la force de l'habitude n'altérant en rien ses faculté. Pourtant après se mouvement souple mais brusque la terradienne fue prise d'un léger vertige.
Son arme était une lame noire plutôt large dont l'unique tranchant sans aucune imperfection rayonnait sous le soleil. Le manche était de bois et de soie cloué, les gravures sur la garde représentait un paysage enneigé et le pommeau une tête de félin.
Il paraissait très lourd et produisait un son grave en fendant l'air, malgré ça Lilura le maniai et le fessait tournoyé autour de ses main comme on manipule un couteau a écorcher les lapereau.

"Il a été forgé par mon frère et enchanté pas mon père pour m'apporter force et chance.Mais ils ne savent pas que je suis partie, ils ne m'auraient pas laissé quitté la vallée de toute façon. Pour eux je suis trop jeune et trop inexpérimentée pour affronté l'inconnu."

Au fur et a mesure qu'elle avançait Lilura commençait a tituber. Mais malgré tout maitrisai parfaitement l'arme quelle fesait tournoyé devant elle. Ses pieds devenait de plus en plus lourd et trainaient a chaque pas.

"Ou est votre caravane Mr le marchand ?"

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Les landes dévastées / Re : l'appel de l'horizon [Don]

« le: jeudi 19 février 2009, 21:15:44 »

"Mon nom est Lilura et je viens d'une tribu des terre froides. Le temps m'était pesant dans ma vallée natale, j'ai ressenti le besoin de découvrir de nouvelles choses et de voir ce qui se qui se cachai au delà de l'horizon."

Sons souffle devenait lourd, Lilura écarta légèrement les jambes pour stabiliser sa position. Mettant sur le compte du soleil qui paraissait de plus en plus chaud, l'étourdissement qui la prenait peu a peu.

"Marchand vous dite? Je n'en ais connu que très peu (les pauvre était passé a la casserole au sens propre du terme lors des périodes de famine) mais c'est un métier de rêve! Vous contemplez tout ce que le monde peu offrir. Me  montreriez vous votre étalage?"

Des vertiges fessait maintenant tanguer le désert! Lilura avait de plus en plus de mal a lever son bras pour se protéger du soleil, et se sentait a présent bouillonner de l'intérieur. Une odeur familière parvenait a son petit nez sans quelle puisse dire ce que c'était, s'efforçant de se montré courtoise le plus possible comme elle imaginait les relations entres gens civilisés.

"C'est moi ou le soleil tape fort a cette heure ? (essayant de masquer derrière un sourire une mine désemparé) Ou se trouve votre caravane j'aimerais voir ce que vous avez a m'offrir, je n'ai pas beaucoup d'argent mais je voudrais m'excuser d'avoir vider votre gourde."

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: jeudi 19 février 2009, 19:43:40 »

19:43
Je ne traite personne de garçon !
Je dit juste qu'il n'y avais pas beaucoup de perso féminin et que leurs nombre s'amenuise .
A combien de compte avons nous le droit Juste deux ? Alors dans ce cas, a votre avis quelle est la personnalité qui serai le plus apprécié et demandé pour un perso féminin ? Je comptais  me concentrer sur les topic un a un pour avoir un meilleure qualité de récit mais je vais crée plusieurs post a la fois tampi pour l'épopée de Lilura.

Je ne veux que faire vivre le forum et c'est surtout qu'en rentrant chez moi je n'ai rien a faire et je m'ennuie d'attendre les réponses pendant plusieurs jours (n'y voie rien contre toi Don je me doute que tu a autre chose a faire).

J'arrête de flood je retourne regarder soul eater ^^ !

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Blabla / Re : Horloge parlante

« le: jeudi 19 février 2009, 18:46:27 »

18:46

Que des perso masculin, c'est un forum gay que tu aurai du monté lol

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Les landes dévastées / Re : l'appel de l'horizon [Don]

« le: mardi 17 février 2009, 23:22:48 »

Lilura aperçue un homme drapé de noir avancé dans sa direction. La chaleur répercuté sur le sol fesant ondulé la silhouette de l'homme se précisant de plus en plus massif.
Arrivé en face d'elle, après un bref signe de la main l'homme lui tendit une gourde .

"Merci ^^!" Dit elle les yeux clos dans un large sourire en preuve de confiance.

Une odeurs douceâtre de sueur chaude se dégageait de la terranide. Elle saisie la gourde des deux mains et la porta a ses lèvres rose avant d'engloutir quelque gorgées d'eau fraiche. Sa queue inerte se redressa alors pour ondulé de gauche a droite en signe de contentement. Dans l'empressement quelque goutes avaient ruisselé des coins de sa bouche. Lilura très simplement, releva bas de son poncho de fourrure afin de s'essuyer le visage. Dévoilant sa poitrine rebondie et très développé pour son age. Elle ne pue dailleur pas empêché de les serré l'un contre l'autre en joignant les mains tellement ces dernier était proéminents.

"Haaaaaaaa ça fait du bien ! D'où venez vous voyageur? Savez vous par ou passé pour rejoindre la tribue la plus proche ? Je suis parti il y a quatre jours de cela et je doit avoué que sans vous je serai surement morte de soif avant d'avoir traversé les montagnes."

Lilura toujours aussi naturelle et confiante en ce nouvel "amis" ... se tenait une main posé sur le pommeau de son sabre, descendant encore plus sa robe, celle ci deja ceinturé en dessous de sa queue comme le veux la coutume dans sa tribue.

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Les landes dévastées / l'appel de l'horizon [Don]

« le: lundi 16 février 2009, 22:18:20 »

    Cetait le quatrième soleil que Lilura voyait se levé sur les landes constamment déserte, et le manteau de neige resté derrière elle avait laissé place a une terre sombre et sèche. La jeune terranide avait eu beau rationné ses provisions, la nourriture allai venir a manqué. Et les montagnes a l'horizon comme une mâchoire immense dévorant le ciel n'annonçai rien de bon.

    Lilura se demandai ce que ces oiseaux avait a la suivre. Ils était grand et sombre mais dénué de plumage a partir du cou, et quand elle voulue leurs donné quelque caresses ils avaient essayé de lui croqué le doigt. Pourquoi la suivait ils si ils ne voulait pas de calins?  
Quand leurs croassement agaçant eures fini le l'exaspère elle dégaina son sabre large. En décapita trois autour d'elle et en ouvrie quatre qui volaient a quelque mètres au dessus de sa tête de quelque tour de poignet, comme un chasse une mouche agassante.

    L'astre solaire chauffai la terre plus fort quelle ne l'avait jamais vue. Lilura se demandai alors combien de temps elle allai erré seule dans le désert.