Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Akita Celebrindal

Pages: [1] 2 3 ... 10
1
Le coin du chalant / Re : De quoi occuper mes journées
« le: lundi 02 décembre 2024, 17:58:40 »
Notre rp est toujours actif.  ;)

2
Prélude / Re : Petite P....
« le: mercredi 08 mai 2024, 11:22:54 »
La fiche fait penser à l'atmosphère des chansons de Mylène, du moins cela m'en donne l'impression.
La lire c'est comme boire un café noir, sans sucre. C'est bon, mais un peu amer. Je comprends le besoin de liberté du personnage. Et même si je ne cautionne pas forcément son pointe de vue, je le respecte. Et elle assume ses choix, ce qui est appréciable. Même si le café noir est trop fort pour moi.

Je note que le personnage est basé sur la liberté, là où le mien est basé sur la survie. Donc niveau moralité, je serais mal placé pour juger. ::)

P.S: j'apprécie la petit référence à "La môme vert-de-gris", polar des années 50. Je croyais être l'un des rares à connaître cette référence. :)

3
Les coups de butoirs donnés par Akita sont violents. Écrasant littéralement les fesses de sa prisonnière avec son bassin, elle enfonce aussi profondément qu’elle peut son long et épais membre vert. Ce dernier enfle à chaque mouvement de reins, dilatant un peu plus l’orifice étoilée de l’être de chair. Les vrilles de la dame-plante forcent le corps de l’humaine à se cambrer, forçant celui-ci à ressentir plus intensément les coups de reins exercés par un être végétal très en colère. Le sexe végétal change et prend la forme d’un alignement de sphères, prenant de plus en plus de volume en arrivant vers la base du membre. Des vrilles viennent s’enrouler autour des cuisses et des seins de la proie de la femme-végétale. Tel un lierre grimpant sur un mur, elles progressent et forment un étrange tissage, un canevas de vrilles formant un entrelacement semblable à un shibari. Le shibari végétal est fait de telle façon qu’il rehausse les seins, pointant leur tétons vers le ciel. Il met en avant les lèvres intimes, tout les écartant, exposant l’intérieur du vagin. Il écarte les fesses exposant leur orifice étoilé, subissant de violents assauts.

Assauts qui se concluent par une jouissance, Akita plaque violemment la jeune femme contre elle. Sa semence jaillit au creux de ses fesses, se répandant profondément. Ses coups de butoir ne s’arrêtent pas pour autant. Elle continue de malmener la croupe de sa proie, jusqu’à ce que la dernière goutte de sa semence se soit perdue dans l’orifice. Le membre annelé se retire lentement de l’orifice étoilé, le laissant inonder de semence, tout comme le deviennent lentement ses cuisses et ses fesses. Ces dernières sont violemment claquées, laissant une marque écarlate en forme de main sur chacune d’elle.

Elle tourne autour de l’humaine et glisse trois de ses doigts dans son sexe, sans douceur. Elle les remue à l’intérieur. Après les avoir ressorti complètement souillés, ils sont glissés dans la bouche humaine, la forçant à goûté à son propre fluide.

"-Akita va remplir ton corps, jusqu’à ce qu’il déborde. Tu vas être le jouet d’Akita

Les vrilles changent la position de leur proie, présentant les jambes écartées, exposant la vulve et le vagin. L’humaine se trouve désormais, jambes, fesses et sexe écartés, suspendue au-dessus du sol. Malgré sa colère, Akita s’assure que ses vrilles ne lui causent aucune douleur. Elle veut la soumettre au plaisir, mais pas à la souffrance. Le membre change de forme, prenant une forme plus compacte. Il est si large et si long que lorsqu’il pénètre le sexe féminin, ce dernier est dilaté au maximum, la verge atteint l’entrée de l’utérus et le pénètre même. Il prend la forme du vagin, ne laissant aucune parcelle des parois intimes sans contact. La vessie est comprimée par le membre humainement trop volumineux. Les mouvements de reins recommencent, brutaux, puissants, mais lents. Ils produisent des bruits de succion ne laissant aucun doute sur leur origine. Les yeux de l’être végétal sont fixés sur ceux de sa proie et ils n’expriment que de la colère. Ses vertes mains agrippent ses tétons et tirent dessus sans douceur, avant des les relâcher. Elle joue ensuite avec le clitoris, une vrille creuse vient l’aspirer et le masser avec des mini-vrilles internes.

4
Devenir un être supérieur à tous les autres, après avoir été un être aussi simple qu’une plante, n’a pas fait comprend à Akita le comportement complexe et parfois très étrange des êtres qu’elle représente. Pourtant, elle peut facilement reconnaître un sentiment aussi simple quel a frustration, car c’est le sentiment majeur qu’elle sentait émané de sa visiteuse. Il lui facile de ressentir ce sentiment s’il est majoritaire et surtout s’il est facilement exprimé. Et pour être frustrée, la magicienne l’était. Et son hôte ne peut apaiser ce sentiment, car certaines des réponses qu’elle recherche sont en elle et les autres viendront de la déesse quand l’humaine aurait découvert les premières.

L’être divin observe ses tentatives, sans sentiment particulier. Ne comprenant aucune d’entre elles, la magie et la technologie ne sont pas ses domaines de prédilection. La jeune femme se repose sur ses connaissance magiques et scientifiques pour analyser son environnement et découvrir un chemin. En quoi un bout de papier pourrait-elle l’aider ? Concentrée sur les sens de la jeune femme, elle peut ressentir ce qu’elle ressent. Et elle peut être témoin de son incrédulité, celui de constater que cette magie lui serait inutile. Non seulement cette magie était sans effet. Mais ce que la magicienne ignorait, que son esprit n’était pas en phase avec cet endroit, un peu comme s’il rejetait son existence et il ne peut donc en contempler l’étendue infinie.

Ce fut au tour d’un étrange objet. Les mortels appellent cela une boussole. Akita sait comment il fonctionne, mais elle sait aussi son inutilité dans son domaine. Certaines boussoles restent inertes d’autres, comme celle-ci, se mettent à tourner sans s’arrêter. La science n’a aucun pouvoir dans un lie où la nature règne sans partage. Après un parchemin, c’était une boussole qui se révélait inopérante pour la jeune femme. Voilà qu’elle prend des notes, elle doit penser que sa venue est liée purement à l’étude du domaine ou celle de son hôte. Alors que sa raison est bien différente de cela. Akita eut un petit rictus en la sentant se mordre que pour se réveiller d’un rêve. Un acte compréhensible, mais une douleur inutile. Visiblement, en dépit de sa rationalité, la jeune humaine ne semble pas vouloir utiliser des moyens destructeurs pour comprendre son environnement. Une bonne chose pour éviter d’être purement et simplement éjecter du domaine.

Mais voilà, qu’une autre idée semble traversé l’esprit de la jeune humaine. A quoi ses étranges pierres pourraient-elles bien lui servir ? Si elle se repose sur leur magie, alors elle va être déçue. Malgré tout ces tentatives magiques et scientifiques, elle n’oubliait pas la phrase que la divinité lui avait formulée. Mais en comprenait-elle le sens et la portée ? Pas encore. Il lui restait encore beaucoup de chemin à faire. Comme prédit par la divinité, les pierres ne pouvaient l’aider dans sa quête. Leur magie ne trouve aucun écho en ce lieu et donc ne peut que se dissiper rapidement, comme un feu ne trouvant plus rien à brûler, ne provoquant que l’égarement pour l’infortunée magicienne. Akita sait que cette épreuve est dure à surmonter, abandonner tout ce que l’on sait pour appréhender ce lieu est déroutant, voir terrifiant, mais néanmoins indispensable. Sa nervosité faisait peine à voir, mais elle sait pouvait trouver son chemin. La divinité ne pouvait ou ne voulait l’aider plus que nécessaire. Être plus habitué à la ville qu’à la nature est un handicap assez sérieux pour la visiteuse.

Voilà qu’elle se reprend à noter et à se mordre les lèvres une nouvelle fois. Est-ce un rituel ? Si telle est le cas, alors il faut qu’elle arrête, car en dehors de la douleur, cela ne lui apporte rien. Akita peut sentir sa peur et décide d’intervenir, la méditation de la jeune femme lui en offre l’opportunité. Alors que la jeune magicienne rouvre les yeux, le feuillage devant elle a pris la forme d’un immense visage féminin, celui-ci s’adresse à elle avec la même voix douce et rassurante que la brume lui ayant parlé plus tôt.

« Le chemin est dur pour qui n’a pas l’habitude de la nature. »

Avant que la jeune humaine ne réponde, la divinité reprend une forme de brume, mais plus tangible et place un doigt sur la bouche de la jeune mortelle, comme pour lui intimer le silence.


« Accepte cet endroit, accepte ce que je suis, comme tu acceptes ce que tu es. Laisse ton instinct et ton cœur te guider. Et n’oublie pas la véritable raison de venue. Et maintenant, je vais te laisser marcher sur le sentier, il serpente et descend jusqu’au lac. Le sentier est long, alors apprécie-le. Rien ne presse et tu pourras prendre du temps pour réfléchir. Je te parlerais, de nouveau, au lac. Essaie d’apprécier ses eaux, j’espère que tu as prévu de quoi te baigner. Et surtout, plus de morsures de lèvres. »

Sans prévenir, l’étrange brume pose ses lèvres sur celles de l’humaine. Le baiser dure t-il une seconde, une minute, une heure ? Qui pourrait le dire ? Mais lorsque la brume se dissipe, la jeune magicienne se trouve désormais dans une clairière d’où part un petit sentier, entre deux arbres.

5
Des forêts immenses, infinies et de toutes les sortes, des lacs, des fleuves, des mers, des océans, des montagnes, des plateaux, des plaines, des steppes, des déserts, tout ce qui existe dans tous les mondes trouvent son équivalent dans le domaine. Tous les êtres vivants se trouvent également dans le domaine, exceptés ceux dont la conscience est trop développée. Ici, les odeurs et les bruits ont des équivalents parfaits de ceux qui est existent à l’extérieur du domaine. Il n’existe aucun sentiment de peur, de haine ou de d’agression, juste un calme, une quiétude irréel. Une nature à l’abri de toute souillure. Le domaine est éternel et sans fin, peu importe la direction ou le temps pris pour le parcourir, il est impossible de l’explorer en totalité.

Jardin éternel, paradis perdu, éden interdit, les mortels de tous lieux ne manquent pas de mot, de noms, de métaphores, voir de concepts pour expliquer ce qu’est le domaine où réside la matérialisation de toutes vie. Et pourtant, tout ce qu’un mortel peut imaginer ou appréhender est bien en-deçà de la réalité. Car, il est impossible pour aucun mortel, voir même pour quelques dieux de comprendre ou d’appréhender tout cela, cela les dépasse et de loin. Même s’ils pourraient vivre éternellement dans le lieu, ils ne pourraient le comprendre. Mais est-ce un lieu ? Une illusion issue de l’esprit de celui qui y vient ? L’illusion d’une divinité au-delà de l’explicable ? Une magie ? Un sortilège ? Une malédiction ? Ou juste un rêve commun ? Qui sait ? Qui peut savoir ? Et même quel intérêt de le savoir ? Une fois dans ce domaine féerique, où un calme inimitable règne, où l’âme trouve une paix inattendue, la recherche de sa réelle nature en devient presque impensable, voir blasphématoire, comme si un tel lieu devait rester un mystère, pour pleinement l’apprécier.

Mais les rares élus qui avaient pu pénétrer dans le domaine ne trouvaient pas ce qu’ils cherchaient réellement. Soit ils s’égaraient et alors leurs esprits finissaient par partir, laissant leurs corps flétrirent et rejoindre l’humus. Soit leurs esprits refusaient de ne pas trouver ce qu’ils cherchaient et leur colère se dirigeait alors vers le domaine. Leur expulsion est alors inévitable ou bien l’endroit idyllique devenait le pire endroit qu’ils pouvaient imaginer et leurs fins étaient alors bien plus cruelles. Certains se contentaient juste de partir, lasser de cet endroit ou désirant reprendre leur vie terrestre. Mais le temps passé dans le domaine est parfois bien différent du temps en dehors. Et le corps devient alors poussière. L’apparence change et le monde d’origine aussi. Mais l’hôte peut décider de préserver le corps de la flétrissure ou bien de le laisse disparaître pour des raisons qui n’appartiennent qu’à elle.

Son hôte est Akita. Du moins ce fut son nom dans une autre vie. Mais elle décide de le garder, comme pour avoir un lien avec le passé, son passé. Aussi douloureux, étrange ou fantastique, fut-il, il fait partie de sa vie, de son existence désormais. Mais cela lui semble un souvenir, si lointain, il est toujours aussi clair que le jour, mais la douleur qu’elle en ressent s’est lentement amoindri. L’être, incarnation de la vie, n’a plus à se soucier de son avenir proche ou lointain, n’avait plus à se soucier de sa survie ou de ses éventuels ennemis. Mais, pour autant, elle n’est pas aussi soumise à l’oisiveté ou à la paresse de nombreux autres être divins et qui seraient enclins à user des mortels comme des jouets, destinés à les divertir. Akita peut ressentir tout ce que ressente tout ce qu’un être vivant peut ressentir, voir par ses yeux, entendre par ses oreilles et tout un tas d’autres sens. Aussi, elle ressent également les mortels victimes de jeux cruels d’être qui les dépasse. C’est peut-être pour cette raison qu’elle préfère son domaine, à tout autre lieu qui puisse exister à travers le temps et l’espace.

Mais voilà quelque chose qui attire la curiosité d’Akita, quelqu’un désirant entrer dans le domaine. Voilà très longtemps que personne n’avait ressenti ce désir. Pourquoi un tel intérêt ? Beaucoup d’êtres, avides de pouvoir, avaient tenté d’y pénétrer. Mais ils avaient échoués. Qui permettrait à des êtres mal intentionnés de rentrer chez soi ? Et il est impossible de tromper l’incarnation de la vie par des paroles trompeuses, des mensonges, des manipulations ou de sorts d’illusions. Elle qui sait, ce que chaque être a pu ressentir au cour de sa vie. Magicien voulant contrôler un pouvoir qui le dépasse, nécromancien avide de souiller ce qu’il qualifiait "d’origine de toute vie", démon agissant seul ou par l’intermédiaire de mortel, divinité voulant trompée son ennui, malgré toute leur puissance, toute leur connaissance, l’usage effréné de rituels, ils n’ont trouvé qu’une porte close. Est-ce pour cela que l’hôte du domaine est perçue comme solitaire ? Avec le temps et son attitude, considérée comme recluse, beaucoup de civilisation ont oubliés son existence et celle de son domaine, jusqu’à la nier et considérer son évocation, comme un blasphème de leur propres croyances. Alors pourquoi ce soudain intérêt de son visiteur ? Un elfe avait déjà été intéressé pour rencontrer et Akita et cette dernière lui avait donné accès au domaine. Il était resté un moment. Il pensait qu’en venant ici et en la rencontrant, il pourrait découvrir les secrets de la vie et devenir un druide bien plus sage. Mais malgré sa détermination et sa sagesse, il comprit bien vite qu’aucun être vivant ne pouvait concevoir de telles choses. Et plutôt que de prendre le risque de perdre son esprit à tenter de comprendre quelque chose au-delà de sa compréhension, il a préféré partir, même si des siècles s’écouler depuis le départ de son monde. Sa vie avait bien changé et son esprit semblait avoir été atteint d’une certaine manière par son séjour. Mais rien de nocif et rien qui ne puisse être changé.

Mais ce nouveau visiteur est différent. Akita peut le sentir, il ne devrait même pas être vivant. Son existence est tenu par un fil, un fil contre-nature, un fil d’origine mystique. L’entité pourrait s’en sentir outragée et pourtant, seule sa compassion s’exprime. Bien qu’elle connaisse ses choix, le jeune femme ne pouvait en mesurer les conséquences. Mais malgré cette compassion, l’entité veut savoir ce qu’elle pense vraiment, ce qu’elle veut vraiment, quel est son véritable but dans la vie. Bien qu’un instant se soit écouler entre l’exécution du rituel et sa réalisation. Il a duré bien plus longtemps dans le domaine, ce qui a permis à son hôte de tout savoir sur son visiteur et autorise son entrée. Après avoir refermé le passage juste derrière elle, l’entité observe la nouvelle venue un moment, le temps pour elle d’avancer un peu dans le domaine. Elle s’adresse alors à elle, d’une voix calme et douce, très maternelle. Cette voix semble, à la fois, émané de tout le domaine et, même temps, résonné dans tout l’être nouvellement venu.


"Bienvenue, jeune être."

Une brume prend la forme d’une femme entièrement nue  aux formes opulentes  et se tient à quelques pas de la jeune femme.
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

"Je t’en pris prend le temps de parcourir le domaine. Parcoure les chemins, perds-toi dans les détours. Et quand tu auras trouvé la véritable raison de ta venue, viens par delà le lac, par delà la grotte, par delà les buissons."

L’étrange brume semble sourire à la visiteuse.

"Et ici l’apparence n’a aucune importance. Seul compte le cœur, même si celui-ci n’est pas né de la nature."

Sur ces paroles, la brume se dissipe alors lentement. Et un courant d’air semble caresser la joue de la nouvelle venue. La nature laisse à la visiteuse du domaine le soin d’apprécier sa sagesse sans chercher à l’influencer. La divinité sait qu’elle venue pour elle, mais la nature prend toujours son temps.

6
Blabla / Re : Vos Track-ID !
« le: lundi 29 avril 2024, 21:54:25 »
Sympa comme concept, j'en suis.

Le premier album acheté de ta poche ? U2 The Best of 1990 - 2000
Ta chanson quand tu étais gosse ? Donna Lewis - I Love You Always Forever https://www.youtube.com/watch?v=SqdWTeXWvOg
Une chanson marquante de tes années ado ? Let it rain - East 17 https://www.youtube.com/watch?v=xkc8WI4twAI
Une chanson pour te reposer ? Children – Robert Miles https://www.youtube.com/watch?v=QwqmJilXxJY
Un morceau pour vider la piste ?  Rammstein - Feuer Frei! https://www.youtube.com/watch?v=ZkW-K5RQdzo&pp=ygUKZmV1ZXIgZnJlaQ%3D%3D
Le morceau que j'écoute le plus en ce moment ? L - Drâa https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=eI_qr1LpuRI
La meilleur bande son (film ou jv ?) ? Time BO d’Inception Hans Zimmer https://www.youtube.com/watch?v=7YFJ3JSFubU
La chanson que tu ferais écouté au gouvernement ? Aux arbres citoyens – Yannick Noah https://www.youtube.com/watch?v=U8DD1c24bwk
La chanson qui t'a le plus émue  ? Ode To My Family – The Cranberries https://www.youtube.com/watch?v=Zz-DJr1Qs54
La chanson pour faire un slow ? Demis Roussos - Quand je t'aime https://www.youtube.com/watch?v=s7pK1p33jow
Mon guity Pleasure ? Eiffel 65 - Blue (Da Ba Dee) (J’assume ma période eurodance.) https://www.youtube.com/watch?v=68ugkg9RePc
La chanson qui me définie le plus ? Sonata Arctica - World in my Eyes (reprise de Depech Mode) https://www.youtube.com/watch?v=PYNh5ez6ZTA
La chanson a gueuler en manif ? Scorpions - Wind Of Change https://www.youtube.com/watch?v=n4RjJKxsamQ
Le morceau que tu enverrais aux aliens ? Scorpions - Send Me An Angel  https://www.youtube.com/watch?v=1UUYjd2rjsE
La chanson pour te calmer ? Robeast – Dance with the dead https://www.youtube.com/watch?v=nBvViQnjRk4
Une performance qui ta marqué ? Josef Salvat - Diamonds https://www.youtube.com/watch?v=eDEoC3Xr-fY
La meilleur chanson pour faire l'amour ? Mylène Farmer - L'Amour n'est rien
NSFW bande de petits coquins ou de petites coquines.  :kappa:
Le morceau de ton mariage ? Whitney Houston - I Have Nothing https://www.youtube.com/watch?v=FxYw0XPEoKE
La chanson quand j'ai pas le moral ? Les gens qui doute de Marc Nammour et Loic Lantoine https://www.youtube.com/watch?v=EAwWPadFsOA
La chanson pour faire le ménage ? The Pointer Sisters - I'm So Excited https://www.youtube.com/watch?v=8iwBM_YB1sE
Une chanson qui vous a fait découvrir un style de musique ? Le rap pour moi : IAM – Je danse le MIA https://www.youtube.com/watch?v=7ceNf9qJjgc

7
Les terres sauvages / Re : De l’animal et du végétal. [PV Kana]
« le: vendredi 05 avril 2024, 18:50:35 »
Si Akita n’est jamais embarrassée lorsqu’il s’agit de toucher quelqu’un. Elle trouve surprenant qu’autrui fasse de même sur elle. Les êtres de chair ne sont pas comme les êtres végétaux et donc, elle ne comprend pas qu’ils puissent agir de la même façon qu’elle. Rarement l’être végétal est caressé et elle trouve la sensation plaisante, où que se porte le contact sur son épiderme vert. Elle trouve aussi la question surprenant.

-Une préférence ? Akita est Akita. Elle est ce qu’elle veut. Et elle est ce qu’elle est. Elle ne change pas. Les êtres de chairs changent, Akita ne change pas.

Mésinterprétant, les paroles et les gestes de Kana. La femme-plante se rapproche de la féline créature, leurs poitrines s’effleurent légèrement. Ses mains végétales se saisissent de ses poignets délicatement. Elle pose une des mains félines sur son membre végétale et l’autre sur son intimité. Cette dernière change de forme, se dotant de trois vrilles. L’un d’elle vient effleurer l’intimité de Kana de haut en bas, une autre effleure l’orifice étoilé entre ses fesses et la dernière joue avec la base de la queue féline. Son membre prend diverses formes sous la main désormais posée dessus.

-Kana est douce. Kana est intéressé par le pénis d’Akita ? Akita veut bien lui donner du plaisir, si elle est intéressée.

Mais la femme-plante hésite un instant. Elle réfléchit sur la nature de son être. Elle ne voulait pas faire de mal à Kana et préfère la prévenir sur ce qu'elle peut faire. Du moins, elle essaie d'expliquer à sa façon.

-Mais Akita produit du liquide qui donne du plaisir, beaucoup de plaisir. Elle a des fruits qui font tout plein de choses sur les gens, des fleurs qui font tout plein de chose sur les gens. Aussi du sang, très poison pour les êtres de chair. Alors Kana ne doit pas mordre Akita, attention.

8
L’entité incarnant la vie même pose une main sur les fesses offertes de cet être étrange. Ce dernier s’offre à elle, se soumet à elle, sans chercher à combattre, sans chercher à se dresser face à elle. Elle qui avait du combattre pour survivre, qui avait du se dresser pour punir, qui avait du se cacher pour vivre. Rares sont les êtres qui se sont offert à elle, en sachant qui elle était vraiment. Une seconde main vient se poser sur l’arrière-train offert. Les mains glissent lentement sur l’épiderme inconnu, la créature divine prend son temps. Les globes fessiers sont écartés exposant  l’orifice étoilé à la chaleur moite du lieu, puis ils sont relâchés. Une main se glisse entre les cuisses caresser l’intimité débordant de nectar de plaisir. Les doigts en caresse chaque contour, chaque repli est examiné méticuleusement. Malgré les suppliques de l’étrangère, Akita prend son temps, comme si elle voulait punir cette dernière d’avoir menacer l’existence d’une nouvelle vie. Les doigts parcourent la vulve, de sa base proche de l’anus à son sommet sur le clitoris. Ils écartent les lèvres pour exposer l’entrée l’inondation du vagin.

Les deux mains migrent alors vers le haut du corps de la nouvelle venue. Elles empoignent les menus seins et se met à la masser avec peu de douceur. Le centre des mains s’ouvrent et les orifices viennent aspirer les sommets de la poitrine. Deux phallus verts poussent et se dressent lentement, venant appuyer entre les fesses et les cuisses de la vampire, cuisses qui sont écartées avec autorité. Les deux membres verts sont d’une épaisseur et d’une longueur bien supérieurs à celles que pourraient avoir n’importe quel bipède sur Terra ou sur Terre. Les membres pénétrèrent les orifices intimes de la vampire lentement, mais fermement. Dilatant l’anus et le vagin de son amante comme rarement ils ont du l’être, ils progressent, s’adaptent aux chairs intimes qu’ils touchent. Le vagin est traversé, même l’utérus est pénétré.

Alors que les phallus ne peuvent plus avancer, la déesse se dote de nouveaux bras. Une main se saisit fermement du bassin de la vampire et l’autre claque furieusement les fesses immaculées. Akita donne, soudainement, un coup de rein lent mais violent écrasant le petit postérieur blanc de son amante si dévouée. Les deux mains sur les seins de la vampire assurent celle-ci que ses parois intimes ressentent la totalité deux membres qui la pénètrent. Les coups de reins s’accélèrent et leur puissance augmente sensiblement. Les râles, les couinements et les halètements trahissent le plaisir intense ressenti par la divinité. Sa forte poitrine vient appuyer contre le dos de son amante. Après de longs ébat où la vampire n’est qu’une poupée de chiffon dans l’étreinte imposé par sa divine amante, cette dernière jouit et sa semence jaillit au creux de ce corps étrange et nouveau. Le liquide chaud, épais, blanc et à l’étrange odeur sucrée se répand à l’intérieur de la croupe vampirique et déborde même à l’extérieur, glissant sur l’épiderme fessier. La semence présente dans le vagin et l’utérus est telle qu’elle fait enfler le ventre de la vampire, lui donnant l’apparence d’une femme enceinte de jumeaux, voir de triplés. Akita maintient son étreinte, afin de répandre sa semence jusqu’à la dernière goutte.

Puis, elle relâche lentement son étreinte et se retire doucement, et à regret, de ce corps nouveau. Elle présente alors les long et épais phallus souillés au visage de la femme vampire, afin qu’elle se régale de leurs fluides mêlés, une récompense de leurs intenses ébats. Des vrilles viennent écarter les jambes, les fesses et le sexe vampiriques, faisant s’écouler l’épais liquide blanc. Des vrilles viennent caresser le clitoris et une autre, très fine, s’amuse s’immiscer lentement dans l’urètre. D’autres vrilles, bien plus massives, pénètrent le sexe et les fesses de la femme vampire. Cinq dans son vagin et quatre dans ses fesses. Elles commencent à remuer rapidement dans des bruits de sucions pervers.

9
One Shot / Re : S.O.S. Mariage Indésiré -Akita Celebrindal-
« le: mercredi 13 mars 2024, 18:42:42 »
Cela faisait bien longtemps qu’Akita ne s’était approché du village. Pourquoi prendre un tel risque . Même si les êtres de chair de ce village ressemblaient moins aux êtres qui avaient causés tant de destruction et de douleur, une survivante, comme elle, ne peut prendre le moindre risque. Une survivante, la dernière représente de tout un peuple. Comment un être de chair pourrait supporter d’être le seul et unique représentant de son espèce, après avoir assisté à la destruction de toute celle-ci, à la destruction de celui qui l’avait créé, à sa souffrance d’être un simple sujet d’étude soumis à d’horribles expériences ? Heureusement ou malheureusement, son être n’est pas de chair et son esprit non plus. La femme-plante ne ressent pas la souffrance de la même façon, même elle ressent la solitude. C’est, peut-être, cette solitude qu’il l’avait conduite à s’approcher de ce petit être de chair.

Ce petit être et le peuple de son village se nomment elfes. Ils sont physiquement différents de ses êtres de chairs, qui se nomment "humains". Différent de ceux qui l’avaient tant fait souffrir et si petite, elle ne représentait pas une menace. Bien qu’elle pouvait ébruiter son existence, la dame-plante lui avait fait promettre de ne pas divulguer sa présence à qui que ce soit d’autre. Elles passèrent alors des jours, puis des mois, des années peut-être. Pour un être végétal, le temps qui passe n’est que l’alternance de jours et de nuits et l’alternance des saisons. La seule différence notable est que l’être qu’elle a connu n’est plus si petit, mais prend de la hauteur et des formes. Leurs discussions évoluent et passent de sujets triviaux à des sujets plus sérieux. Évidemment Akita répond aux questions du mieux qu’elle peut et autant qu’elle peut, ne comprenant pas toujours ces étranges interrogations, voir répond de manière évasive, étrange ou complètement en dehors du sujet, sans trouver cela ridicule.

Mais il arrive un moment où l’attirance de l’elfe adulte n’est plus que le fruit de sa curiosité, mais celui d’un désir charnel. Désir que la femme végétale ne tarde pas à assouvir. Son corps végétal explore le corps de chair de mille manières, d’abord de l’extérieur, puis de l’intérieur. Néanmoins, elle refuse de prendre la virginité, consciente de la douleur que cela pourrait lui infliger. Devant ce refus, la jeune elfe lui a juré que ce sera à elle de franchir son hymen et nul autre être. Ne comprenant guère les sentiments qui peuvent animer les êtres de chair, son amante végétal ne lui avait rien répondu.

Ce jour, elle n’avait pas vu. Pourquoi cette absence ? Elle qui s’était toujours débrouillé pour être là, ne serait-ce qu’un court instant. L’inquiétude pris la verte femme sans qu’elle puisse donné un nom à ce sentiment qui l’envahit. Le village elfe semble être en fête, mais cela n’a ni sens ni importance pour un être végétal. Et elle s’avance, rampant au milieu des buissons et des herbes. Elle connaît la maison où se trouve la jeune elfe, du moins sa localisation. Une porte largement ouverte lui offre un accès facile à l’intérieur de la masure. Tout à leur fête, les elfes ne remarquent pas cette étrange vrille qui se faufile. Mais une fois entré où aller ? Lieu lui est inconnu et aucune indice ne lui ai donné. Mais une voix la fait se cacher et une personne, visiblement très contente, s’avance et sort alors de la maison en refermant la porte derrière elle. Le bruit du verrou indique que personne d’autre ne risque de rentrer avant un moment, du moins sans surprendre l’intruse végétale. Akita prend la direction inverse de cette femme elfe qu’elle a croisé.

Suivant la trace invisible que cette femme a laissé sur son chemin, la vrille mouvant n’a aucun mal à remonter la piste. En reprenant sa forme de femme-plante, elle franchit une porte et entre dans une pièce. Croyant qu’elle voulait sauter par la fenêtre par peur, Akita agit vite. Elle se transforme en vrille et entoure la belle elfe. Et reprenant sa forme humanoïde derrière elle, de multiples mains vertes se posent sur les courbes de Caliawen, ainsi que sur les parties les plus intimes de son corps, lui ôtant le peu de tissu qui la couvre. Les mains soutiennent la poitrine, autant qu’elle la masse et s’amusent avec ses sommets. Elles caressent l’entrejambe, les cuisses, l’entre-fesse et les fesses. Elles massent les épaules pour détendre la jeune elfe. Elles tournent légèrement sa tête pour qu’Akita l’embrasse doucement et longuement sur les lèvres. Elle rompt le baiser pour lui parler. Son étreinte se desserre, les mains restent à leurs place, mais n’exerce aucune pression qui pourrait entraver les mouvements.


"-Akita était inquiète, alors elle est venue. Elle sent que Caliawen est contrariée. Akita peut l’aider."

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Un vide, c’est la plus simple des explications pour expliquer cette étrange sensation.
Personne mieux que la déesse de la vie peut avoir cette sensation. Et pourtant, elle-même, se demande ce qui peut bien créer une telle sensation. Quelle qu’en soit la source, cette dernière se déplace. Même loin dans son domaine, qui à la fois ici et ailleurs, maintenant, autrefois et plus tard, elle peut sentir cette béance mouvante au sein du monde mortel. Mais comment satisfaire sa curiosité, comment atteindre cet être du monde mortel vide de toute vie, sans l’effrayer ou la faire commettre l’irréparable ?

Au début, la déesse, qui incarne la vie, ne peut que ressentir sa présence, par l’intermédiaire d’autres corps. Mais toujours furtivement, trop furtivement. Mais une occasion se présente, un être proche de  l’un de ses temples. Cet être, étant né et ayant grand près de ce temple, a été baigné par l’énergie de la déesse. Ainsi proche, elle peut ressentir bien plus intensément ce qu’elle ressent et si proche de cet étrange vide qu’elle peut l’observer à loisir, sans que sa présence soit ressentie.

Mais ce vide est étrange, ancien, dévoré par des ambitions et des faims que la déesse ne peut comprendre et qu’elle n’aurait pas pu comprendre, même avant d’accès à un autre plan d’existence. Malgré son incompréhension, elle continue d’observer, sans agir, imperturbable. Malgré tous les évènement dont elle est la témoin. Après tout, la vie est faite ainsi. Libérée de sa servitude, l’esclave subit l’influence de la déesse. Cette influence lui fait surmonter sa méfiance envers son ancienne maîtresse et lui permet indiquer son lieu d’origine. Désormais, il y a un lien entre la créature divine et cette étrange créature sans vie. Et ce lien sera pareil au fil d’un pêcheur. Avec patience, le temps fera son œuvre et la déesse pourra bientôt satisfaire sa curiosité.

Elle la sent désormais, cette béance se place  au sein même de la mangrove, au sein de ces eaux marécageuses grouillantes de vie. Tous les être vivants de ce lieu sont liés au temple de la déesse, comme s’ils étaient liés à elle, comme des extensions de sa propre nature divine. Elle peut voir, entendre, sentir, toucher par l’intermédiaire des millions, des milliards d’êtres qui peuplent ce lieu. La visiteuse est laissée à la merci des surprises et des surprises que recèlent le lieu. Aucune protection divine ne lui est accordé, mais ce n’est pas le cas des créatures qui croisent sa route. Sa main est donc retenu les quelques fois où elle risque de prendre une vie.

Le chemin de l’étrange visiteuse croise, inévitablement, le village. Là, elle est laissé à sa nature, visiblement habitué à dominer autrui et obtenir tout ce qu’elle désire. Mais la déesse n’est pas un être de moral, d’équité ou de justice. Elle laisse donc la visiteuse assouvir ses différents soifs de désir charnel et de sang. Mais, cette étrange va au-delà de ce que la divine créature peut tolérer, elle menace une vie à naître, ce qui ne peut-être accepté sur ces terres. L’essence divine prend possession du chaman du village, après avoir empli son esprit de vision. Sa conscience est épargné, mais il est complètement sous l’influence de la déesse. Ses mots sont ceux d’un mortel, mais la volonté est divine. Le chaman intervient habité par la volonté de sa déesse et d’une partie de son pouvoir, rendant ses ordres impossible à transiger, même pour un être dépourvu de vie. La visiteuse est punie d’une envie, qui ne sera pas assouvie, comme sentir un nectar que l’on ne pourra pas boire.

Chassée du village, la visiteuse n’échappe plus à l’emprise de la déesse, toujours courroucée. Désormais, elle ne la laisse plus faire un écarte sur le chemin qui la mène au temple. Tel un pêcheur agacé par un poisson qui lui a donné tant de mal, elle tire furieusement sur le lien, qu’elle a tissé. Néanmoins, elle partage avec sa visiteuse, la vision de la naissance de l’enfant, sans conséquence néfaste pour le nourrisson ou la mère. La déesse s’est assurée qu’aucun mal ne leur soit fait, malgré le comportement de son invitée.

Arrivée à destination, au cœur même du sanctuaire, au plus profond du marécages, la déesse laisse son invitée contempler les lieux, alors qu’elle quitte son domaine pour apparaître face à la nouvelle venue. Une immense fleur, à l’apparence pareille à celle d’un lotus, fleurit, s’accroît, puis s’ouvre, dévoilant la déesse sous une forme humanoïde, celle d’une femme aux formes opulentes mais harmonieuses. La peau et les longs cheveux de la déesse sont d’un vert aux multiples teintes. Elle est entièrement nue et chacun de ses pas est assuré. A chaque fois que la plante de ses pieds touche le sol, des fleurs et de herbes jaillissent. Le temple entier est baigné par un sentiment de calme, d’apaisement et de sécurité. Arrivée devant la nouvelle venue, elle dresse une main devant le visage de celle-ci, sans dire un mot. Le visage de la déesse affiche la contrariété, mais sans animosité.

Des vrilles se dressent lentement du sol autour de la nouvelle venue et déshabille celle-ci. Puis, elles la soulève du sol et lui écarte les jambes en les pliant, offrant ses orifices intimes à la vue de la déesse. D’autres vrilles viennent écarter ses lèvres intimes. D’autres encore s’élèvent, surmonter d’une fleur qui s’ouvre, elle redescendent et pose la fleur éclot sur les seins de la visiteuse. Les fleur, dotées d’une ouverture en leurs cœurs, aspirent lentement les mamelons et les massent grâce à des mini-vrilles dont elles sont pourvues. Une autre vrille similaire vient aspirer le bouton d’amour de l’invitée de la déesse. Cette dernière pose une main derrière la tête de sa captive, tandis que son autre main se pose entre les cuisses de cette dernière. Un doigt se glisse alors dans l’antre humide et chaude, s’allonge et parcoure l’intimité sur toute sa profondeur. Remuant en tous sens, il n’épargne pas la moindre parcelle sensible de cette intimité inconnue. La déesse se penche légèrement sur son invitée et lui mure à l’oreille.


"-Un être dépourvue de vie qui recherche la vie. Quelle étrange rencontre."

Une vrille vient alors se glisser entre les fesses de la vampire et progresse lentement en enflant. Il remue à l’unisson des autres vrilles. Forte de ses  connaissance sur les être vivants et les moyens de les mener à l’extase, la déesse poursuit ses attentions, avant que sa captive atteigne le paroxysme de son plaisir. Puis elle relâche lentement son étreinte, la laissant lentement se remettre sur le sol du temple. La créature divine regarde sans mot dire son invitée, avec un regard sévère, mais une attitude calme, la dominant par la taille, les formes, la position et la nature même de leurs êtres.

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Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« le: lundi 02 octobre 2023, 18:08:14 »
Sonata Arctica - World in my Eyes (Reprise d'une chanson de Depeche Mode)

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Les terres sauvages / Re : De l’animal et du végétal.
« le: lundi 02 octobre 2023, 18:01:52 »
La femme-plante ne relève pas le lapsus de la femme-chat. Tout simplement, parce qu’elle ne comprend et ne le juge pas utile. Plutôt que de serrer la main qui lui est tendue, tend les siennes. Elle touche la chevelure de l’étrange créature, fascinée par cette étrange couleur bleue qu’elle arbore. Elle lui masse ses oreilles, descend sur le cou. Les mains esquivent l’étrange collier. Elles viennent masser les épaules et le dos. Les bras sont examinés, les aisselles observées. Les seins sont lentement pétris entre les mains végétales et les leur sommets entre les doigts. L’exploration se poursuit en passant sur le ventre et en chatouillant le nombril. Le voyage des mains continue, elles examinent diligemment les jambes et les écarte. Une examine l’entrejambe, elle caresse la vulve, le clitoris. L’autre main caresse les fesses, l’entre-fesse, titille l’œillet brun. Le contact avec la fourrure, un contact qu’Akita ne connaît pas, plus qu’elle ne connaît le mot "fourrure", avait attiré la femme-plante au-delà de tout respect pour l’intégrité physique de la féline créature ou de tout respect des, sans que cela n’émeuve la végétale créature. Sa curiosité satisfaite, elle relâche son étreinte sur le pauvre être qui la saluait.

"-Akita n’a jamais vu cette couleur, ni d’être comme Kana.

Malgré son attitude, la tactile créature ne semble pas montrer de gêne ou de peur. Ses yeux ne reflètent que la curiosité et l’interrogation. Une de ses mains continue de caresser distraitement l’épaule de Kara, appréciant le contact avec son étrange fourrure.

"-Akita est une plante. Mâle, femelle, mâle et femelle, plusieurs fois mâle, plusieurs femelle, plusieurs fois mâle et femelle, tout ce qu’elle veut."

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Les terres sauvages / Re : La nature a tant à offrir. [PV Iriya Owl]
« le: dimanche 24 septembre 2023, 00:13:48 »
Akita a rarement eu l’occasion de ressentir son corps être traité d’aussi belle manière. Cet étrange être félin a une expérience très développée et un réel talent pour l’étreinte. Dans le but de récompenser les attentions de sa féline amante, deux paires de bras supplémentaires poussent sur la femme-plante. Les lèvres vertes se retirent lentement de celles intimes dont elle se délecter et propulse un souffle d’air entre les fesses. Le souffle vient heurter l’œillet. Puis les lèvres se font voyageuses et viennent embrasser les globes fessier rebondies. Elles n’épargnent aucune parcelle d’épiderme se rapprochant de l’œillet sans jamais le toucher. Puis un doigt fin vient titiller l’orifice strié, il en fait très lentement le tour, puis vient appuyer dessus. Il finit par le perforer et commence de doux mouvements de va et vient, remuant de temps à autre.

Tandis que ses lèvres reviennent prendre leur place sur le sexe félin, une de ses mains vient se saisir délicatement de la base de la queue féline et vient la masser. Ses lèvres, ayant retrouver leur position originel, viennent aspirer les pétales de la fleur intime, après qu’une langue mutine les aient caressées. Et tandis que les lèvres délaissent la vulve, des doigts fins et délicats viennent prendre le relais des caresses. Les lèvres viennent aspirer le bourgeon dressé avec gourmandise. La langue, restée en retrait, revient à la charge et après un passage, aussi bref qu’intense, sur toute la longueur de la fleur. Elle plonge au cœur de celle-ci. Chacun de ses mouvements la fait grandir, la plongeant de plus en plus profondément dans sa grotte de plaisir pour atteindre l’entrée de son nid d’amour. Deux mains viennent se saisir délicatement de la poitrine de la féline créature et viennent masser les seins. Au creux de leurs paumes, des orifices ressemblant à des bouches se créent et viennent aspirer les sommets des douces collines. Tout ces mouvements sont fait très lentement, malgré le plaisir qu’elle ressent et celui qu’elle veut offrir

Comme derniers cadeaux, ses jambes s’écartent dévoilant son intimité féminine brillante et luisante. Son membre viril offre un soupçon de sa semence végétale.

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Les terres sauvages / De l’animal et du végétal. [PV Kana]
« le: dimanche 24 septembre 2023, 00:10:23 »
Au fin fond de la forêt, parmi les buissons et les fourrées, navigue un être végétal en quête de discrétion. Sa forme n’a pourtant rien de discret, un amas étrange de vrilles végétales, de racines, de fleurs et de feuilles qui se meut sans bruit. Glissant lentement sur le tapis végétal, malgré sa masse et sa forme grotesque, elle ne fait pas plus de bruit que le bruissement des feuilles soulever par le vent. Sa progression est lente, mais certaine. Mais néanmoins difficile à suivre, l’amas se scindant à chaque arbre ou rocher massif, puis se regroupant une fois l’obstacle passé. Soudain l’amas végétal s’arrête et se rassemble, un bruissement de l’air lui a fait sentir l’approche d’un autre être vivant doué de conscience. L’amas reprendre peu à peu sa forme d’origine et Akita prend sa forme hermaphrodite, une poitrine largement supérieure à la moyenne humain et un membre viril lui aussi supérieur en volume au standard humain.

La femme-plante observe au loin, se qu’elle a sentit grâce aux cils minuscules et très sensibles de son "épiderme" végétal. Un être humanoïde, mais à l’apparence très féline semble chercher quelque chose dans la nature qui l’entoure. Akita n’a jamais vu un être avec une couleur bleu aussi intense et se déplaçant avec une nudité aussi peu gênante pour elle. Curieuse, elle ne cache guère sa présence à l’être qu’elle observe.

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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: samedi 23 septembre 2023, 21:21:16 »
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