Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Uma Shura

Pages: [1] 2 3
1
Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« le: vendredi 05 octobre 2012, 12:14:45 »
http://www.youtube.com/watch?v=rsjJAL_DGPY&feature=relmfu
En fait, je réécoute tout l'OST, mais je poste l'opening en guise d'illustration.

2
Le coin du chalant / Re : The Maze [Organisation]
« le: jeudi 04 octobre 2012, 14:44:32 »
Etant donné la taille des portes, tu pourrais y faire entrer un éléphant que t'aurais réussi à faire tenir debout. Encore faut il que tu puisse l'ouvrir, la porte. Après, si tu parles de la largeur des orifices... c'est un autre sujet.

3
Ville-Etat de Nexus / Re : The Maze [Libre]
« le: jeudi 04 octobre 2012, 12:00:50 »
Du côté de Kha Upic :
Le gamin électrique sembla déçu de sa première expérience. D'un autre côté, il venait de s'exciter sur une porte... jusqu'à quel point une plaque de marbre pouvait elle être considérée comme étant représentative de tous les délices de la luxure ? Certainement pas. D'un autre côté, ce panneau sombre n'était pas là pour satisfaire les désirs de celui qui s'en servait, mais davantage pour qu'on satisfasse ses besoins. La rapidité du coït, symptôme de l’inexpérience, ainsi que l'électricité déchargée par Kha Upic n'étaient pas tellement favorables à l'être crépitant. Toute personne normalement constituée aurait d'ailleurs accueillis pareille tentative comme un outrage, si tant est qu'elle y ai survécu. Et, de fait, la porte ne sembla pas beaucoup apprécier le traitement : Kha, au terme de son bref jeu de hanches, se retrouva avec le sexe coincé entre les muscles vaginaux. Ces derniers se contractèrent puissamment autour de sa trique tesla, l'empêchant résolument de se retirer. Pire, même, la sensation chaude, la souplesse naturelle de la chair s'évaporèrent, tandis que le froid du marbre les remplaçait. En quelques secondes, Kha Upic était prisonnier d'un vagin de pierre. Comme quoi, il fallait toujours se méfier de ce qui était gratuit, surtout lorsqu'on en ignorait l'origine...

Ainsi bloqué pendant une petite minute, qui dut probablement lui paitre une éternité, l'être jaune était observé par la populace présente. Des murmures s'élevèrent ainsi, certains se moquant, d'autres s'interrogeant sur la cause de son immobilisme. Quelques uns, enfin, n'avaient pas encore comprit qu'il se passait quelque chose d'anormal. Mais le bonhomme jaune, lui, dut bientôt faire face à de nouvelles évolutions de sa situation. La paroi, de marbre fut prise de remous, en plusieurs endroits, comme s'il s'était agit d'une mare dans laquelle on avait jeté une poignée de graviers. Du centre de ces vagues, sortirent des mains sombres, faites de la même matière, mais parfaitement agiles. Elles se saisirent de Kha Upic, le tirant contre la porte, l'y pressant, pour finalement l'y incruster. Pour un publique extérieur, la scène avait de quoi effrayer, mais l'inexpérimenté de la luxure n'en ressentait aucune douleur. Le marbre se fissurait, tout autour de lui, jusqu'à ce qu'il disparaisse totalement dans le panneau de pierre. Panneau qui, après son passage, se régénéra, comme si rien ne s'était passé...

Kha Upic se retrouva bien vite plongé dans l'obscurité, dans une mer de ténèbres enveloppante, presque rassurante. La sensation de se trouver dans un liquide était déroutante, à peu près autant que celle de ne rien voir, ni de rien entendre. Mais il respirait tout à fait normalement. Rapidement, le jeune homme eut la désagréable impression qu'on l'observait. Ce n'était pas seulement la sensation d'un regard posé sur lui, comme à l'extérieur, lorsque la populace l'observait. Quelque chose, quelqu'un, le sondait, scrutait son corps, détaillait son âme, analysait sa chair. Puis un sol dur se fit sentir sous ses pieds, avant que l'endroit. La créature électrique se trouvait au milieu d'un cercle de lumière. Les murs restaient invisible, l'obscurité s'étendant au delà à perte de vue. Au bout de quelques secondes, une forme se dessina dans cette obscurité, s'en détachant, pour avancer d'une démarche chaloupée vers Kha. Cette silhouette s'arrêta à la frontière de l'éclairage, permettant ainsi au bonhomme jaune de mieux la détailler : C'était une femme, au corps plantureux, aux formes avantageuses... qui n'était pas sans rappeler la grande statue que le garçon avait pu voir, malgré quelques différences notables. Sa peau était noire, veinée de blanc. Si elle n'avait été capable de bouger, l'on jurerait qu'elle était faite de marbre. Autre aspect particulier, la tête de la demoiselle était parfaitement lisse, aucun relief ne venant créer de quelconque faciès, aucun cheveux n'en sortant. Cette fille n'avait tout simplement pas de visage. Pourtant, tout le reste de sa plastique semblait sculpté avec le plus grand soin : chaque repli de peau, le grain éclaircis de ses mamelons, la ligne séparant ses lèvres intimes... Car oui, cette dame de marbre était nue. Après avoir regagné une immobilité de pierre, l'apparition prit la parole. Malgré son absence évidente de bouche, la voix suave, quoiqu'un peu froide, provenait très clairement d'elle.


- Je suis la Porte Ouest. Je suis la première gardienne du sanctuaire de ma Maîtresse et tu as piqué ma curiosité. Je ne m'ouvre que pour ceux qui sont dignes, ceux qui savent comment me donner du plaisir. Je ne m'ouvre pas pour toi. Je ne devrais pas. La demoiselle marqua un temps d'arrêt, sans bouger d'un pouce, avant de poursuivre : Tu manques d'expérience, voilà pourquoi tu as échoué. D'ordinaire, l'inexpérience ne devrait pas être considérée, mais ta nature en est la cause. Je t'offre une seconde chance. Une dernière chance... Donne moi du plaisir et je m'ouvrirais. Tout en parlant, la dame de marbre écarte les jambes, pour mieux dévoiler le fruit défendu sculpté dans son entre-cuisses. Les étincelles crépitantes de ta peau ne pourront me faire de mal car, après tout, je suis une porte de marbre.

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Du côté d'Hypocras :
Tandis que, d'un côté, se rejouait une pucelle célérité, un vieux loup de mer prenait son temps, navigant en terrain connu. L'orifice qui lui faisait face, la parcelle de cet édifice sensé mettre les curieux à l'épreuve était mise elle même à rude épreuve. Son doigté ravissait la rosette plissée, incrustée au milieu de la porte, lui provoquant relâchement et contractions incontrôlés. En véritable artiste, il ne se contentait pas de crocheter cette serrure de simples caresses, de simples intrusion digitales. S'aidant de tous ses atouts, l'individu ne tarda pas à joindre sa langue au jeu, faisant céder les derrières barrières, terminant d'assouplir l'anneau musculeux. L'immense panneau de marbre se permit même quelques grincements rauques, bruits caractéristique du raclement de la pierre contre la pierre. Hypocras pouvait même sentir le marbre frémir, comme si l'ensemble du panneau était vivant, comme si cet anus qu'il titillait habilement n'était que la composante d'un tout bien plus grand.

- Lui, il va entrer...

Ces paroles provenaient d'un des spectateurs qui, ayant déjà vu passer plusieurs concurrents, savait à peu près ce qui était nécessaire pour déverrouiller l'accès à l'intérieur de l'édifice. Le talent, l'expérience, voilà des armes qui assuraient le succès des participants. Et celui qui faisait gémir un morceau de marbre, celui là était assuré de sa victoire... Immédiate, tout au moins. Pourtant, la porte ne s'ouvrait pas, malgré toute la science de son assaillant. Peut être attendait elle qu'il continue, qu'il plonge plus loin dans les délices de la chair, s'enfonce plus profondément en elle. Véritable entité, ce panneau de pierre espérait que le bonhomme sorte sa verge pour lui en mettre un bon coup. Mais elle n'était qu'une porte, une porte avec un rôle à accomplir, une épreuve à faire passer. Et cette épreuve venait d'être réussie. Comme pour l'ouverture Ouest, cette grande plaque sombre se rida de vaguelettes, tandis que des mains ténébreuses en sortaient. Elle repoussèrent gentiment l'individu, caressant son visage, frôlant son torse, retraçant l’arête de sa mâchoire avec une douceur, une affection plutôt étrange. Puis, une fois que l'homme fut suffisamment éloigné, elles disparurent comme elles étaient apparues, replongeant dans le marbre froid et dur qui les avait vu naitre. Puis, dans un grincement sonore, le panneau pierreux commença à se soulever.

Hypocras pouvait très bien attendre, l'accès demeurait libre et personne n'essayait de profiter de l'occasion pour s'introduire dans le bâtiment. Peut être que certains avaient déjà essayé, sans succès, ce genre de tricherie... Ce ne fut qu'une fois passé son seuil que la porte se referma, enfermant le satyre à l'intérieur de l'immense édifice, sans possibilité de fuite. S'il avait prévu de ne faire que jeter un coup d'oeil, l'orfèvre de la luxure se retrouvait désormais piégé de l'étrange endroit. D'un autre côté, si toute la bâtisse se révélait aussi accueillante qu'à l'entrée, il n'y avait aucun soucis à se faire.

En attendant, l'aventurier se retrouvait dans une large pièce circulaire, qui ne disposaient, à part la porte par laquelle il était arrivé, ne disposait que de trois ouvertures. Chacune d'elle menait à un escalier descendant, menant vers les profondeurs obscures de l'édifice. L'une conduisait au Nord, tandis que les deux autres bifurquaient respectivement au Nord Ouest et au Nord Est. La décoration était on ne peu plus sobre, puisqu'il n'y en avait presque aucune. Mis à part les statues de taille humaine qui trônaient entre chacune des arches, rien. L'éclairage lui même provenait d'une source inconnue, plongeant le lieux dans une ambiance tamisée. Les dites sculptures représentaient des corps féminin, gracieux, aux courbes étrangement similaires à l'immense dame de pierre qui surplombait l'entrée. Leurs postures étaient différentes cependant. Toutes deux à genoux, le dos bien cambré, la croupe relevée, elles offraient leur petite porte à la vue d'Hypocras d'une main, en miroir, tandis que l'autre dissimulait avec avec pudeur leurs intimités, en interdisant ainsi l'accès. Partiellement encastrées dans le mur, ces statues ne disposaient ainsi que de dos aux reliefs sensuels. Même leur poitrine demeuraient inaccessibles, se terminant elles aussi dans la paroi. A l'instar de la porte d'entrée, ces demoiselles de pierre semblaient pourvues d'un anus véritable, palpitant, coloré. Leurs fesses, même, étaient d'une couleur sensiblement différentes du reste de la pierre qui les composait. Leur texture même, pour peu que l'homme décide de venir toucher, rappelait étrangement un épiderme tout ce qu'il y avait de plus normal...

Aucun des accès n'était bloqué, cependant et il n'était nul besoin de s'arrêter sur ces étranges œuvres d'art, taillées dans une roche visiblement magique.


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Du côté de Yamie Kuroïe :
Et, tandis que certain se prêtaient au jeu d'une divinité à l'esprit tordus, d'autres faisaient ce pourquoi ils existaient. Pensant et agissant d'une manière totalement étrangère aux raisons de l'existence de la curieuse bâtisse, la déesse de la mort s'introduisit dans le bâtiment. Comment était elle entrée, alors que la porte ne s'était pas ouverte ? Où avait elle trouvé les escaliers montants, après avoir emprunté un passage supposé s'enfoncer vers les profondeurs de la terre ? Peut était ce juste là l'expression de sa puissance divine. Après tout, le monde fonctionnait différemment pour les dieux. Ou peut être que le bâtiment lui même, ses entrailles, n'était pas clairement définit.

Au fur et à mesure qu'elle avançait, Yamie était scrutée, observée au plus profond de son être par la maîtresse des lieux. Le chemin qu'elle empruntait était issus de son propre esprit. Tout ce qu'elle voyait, jusqu'à la décoration, venait de son imagination... Jusqu'à ce que ses pas la conduisent dans une pièce vide, dépourvue de la moindre porte, de la moindre fenêtre. En se retournant, la déesse de la mort put se rendre compte que même cette entrée qu'elle avait emprunté pour arriver là n'existait plus. Après quelques secondes de silence, une voix féminine raisonna :


- Tu n'as pas ta place ici.

Le silence retomba, puis une flamme s'alluma au centre de la pièce. Cette flamme se changea bien vite en brasier, flamboyant, chauffant Yamie de manière presque douloureuse. Cette grande langue crépitante sembla se courber, se compresser, prenant peu à peu une forme, une silhouette... la silhouette d'une femme aux formes plantureuses. Après quelques secondes, des yeux s'ouvrirent sur ce qui devait être le visage de cette cuisante incarnation. Des yeux parfaitement normaux, si ce n'était leurs iris de rubis... qui tranchaient bizarrement avec le reste de ce corps éthéré. Tendant la main vers Yamie, pointant un doigt crépitant, accusateur, dans sa direction, la dame de feu reprit la parole :

- Tu n'as pas ta place ici. Tu es une créature de mort, une incarnation de la destruction. Tu es faible, limitée à un seul thème, lui même tourné vers le Néant, la Fin et la Pourriture. Tu n'as pas ta place en ce lieu, car c'est un lieu de vie et de découverte. Tu n'as pas ta place, car tu as triché. Sans passer par la porte, tu es pourtant entrée. Sans te soumettre à mes conditions tu as décidé d'avancer. Tu n'as pas ta place, car telle est ma volonté.

Ses paroles, bien que suave, brûlaient d'une fureur un rien inquiétante. Peut être que Yamie n'éprouvait pas la moindre peur, étant, après tout, la déesse de la mort... Le sol sous ses pieds se mit à "couler" sur son corps divin, remontant ses chevilles, défiant les lois de la gravité, défiant les lois de la nature. Pourtant, malgré son aspect liquide, il s'agissait bel et bien de pierre et ses jambes se retrouvaient bientôt emprisonnées dans un carcan parfaitement solide. Et ce sol fluide continuait de monter contre son corps, changeant peu à peu la déesse en statue. En cet instant, ses pouvoirs divins lui faisaient cruellement défaut. Yamie avait beau essayer d'invoquer sa puissance, mais quelque chose clochait... Ils ne répondaient plus. L'incarnation de flammes baissa le bras, poursuivant sa tirade, impitoyable.

- Ne résiste pas, Déesse de la Finitude, car tu ne le peux. Ton concept est définit, limité, je suis Infinie, Illimitée... je te suis supérieure en tout et tu es à l'intérieur de mon être. Tu n'as pas ta place ici, tu ne vas pas rester. Ne reviens pas réclamer vengeance pour l'affront que tu m'as imposé, n'essaie pas de tourmenter ceux qui se plient à mes règles. Je ne serais pas aussi clémente la prochaine fois. Mais si tu reviens, sache que les portes ne te seront pas fermées... pas plus qu'à n'importe qui. Trouve le moyen et tu pourrais entrer, explorer les entrailles de ma demeure.

Et, sur ces dernières paroles, la fournaise s'éteignit, disparaissant aussi brusquement qu'elle était apparue. De son côté, Yamie était presque totalement recouverte de cette oppressante pellicule de pierre. Quand finalement il n'y eut plus que les ténèbres et l’immobilisme, quelque chose se fissura. Sa coquille se fendilla, avant de tomber en pièces. La déesse de la mort sentait tous ses pouvoirs revenus, de nouveau maîtresse de sa puissance et de son corps. Et, en regardant tout autour d'elle, Yamie se rendit compte qu'elle n'était plus dans le labyrinthe... elle n'était même plus dans la Ville-Etat de Nexus.

4
Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« le: mercredi 03 octobre 2012, 12:17:47 »
L'épique fait toujours son petit effet.
Bon choix Raigorn... mais y a tellement d'épiqueries différentes, du côté d'Audiomachine, Two Step From Hell, X-Ray Dog... et tant d'autres.

Sur un autre registre, on a un groupe Nantais.
Ils chantent en anglais, en arabe, utilisent des mélodies techno, électro, arabisantes et du violon.
Et tout ça, ben... ça fait un joli mélange :
http://www.youtube.com/watch?v=0mlHOvaJ5aQ
Si si, j'vous jure qu'ils sont français ^^'

5
Le coin du chalant / The Maze [Organisation]
« le: samedi 29 septembre 2012, 15:07:56 »
Pom polom...
J'ai eu la petite idée de faire ce sujet, pour le fun, mon fun et votre fun.
The Maze est une création d'Uma Shura, comme vous vous en serez probablement doutés. Ceux qui auront l'audace, le courage ou la curiosité de tester l'aventure peuvent venir le dire ici. De plus, ce topic est soumis à quelques règles que je vais vous exposer :

- Vous ne pouvez faire qu'un et un seul poste entre chacun des miens.
- Je jugerais de la qualité de ces postes et vous répondrait en conséquence, décrivant votre progression, ce que vous trouvez, ne trouvez pas, etc. Notez que mon jugement est forcément subjectif (car je ne prétends pas être meilleure que tout un chacun... même en étant une déesse ^^)
- Le but du jeu est d'arriver au centre du bâtiment. Ce que vous y trouverez ? Mystère et boule de billard !
- La quantité de participants n'est pas limitée, mais vous vous doutez bien que plus vous serez nombreux, plus je mettrais du temps à répondre ^^
- Vous pouvez prendre l'aventure "en route" n'importe quand. Seulement vous commencez par l'entrée et, donc, en tardant trop, avez moins de chances d'atteindre le centre qu'un participant arrivé à mi chemin (mais ça reste possible).
- Enfin, quand j'estimerais qu'un des participants met trop de temps à répondre, son tour sera sauté, je répondrais en considérant qu'il n'a rien fait et n'a pas avancé, afin de ne pas pénaliser ceux qui sont actifs.
- Oh et, lorsque vous avez choisis une porte et l'avez traversée, il est trop tard pour faire machine arrière pour en prendre une autre.

Voilà, voilà. J'espère que des gens voudront bien venir participer à cette petite aventure ^^
Je ne commencerais à répondre qu'à partir du moment où deux participants auront fais leur apparition aux portes.

Au plaisir !

6
Ville-Etat de Nexus / The Maze [Libre]
« le: samedi 29 septembre 2012, 14:57:04 »
[Ce RP est libre et ouvert à tous, mais est soumis à un certain nombre de règles, que vous pourrez trouver ICI].
Bonne chance et ne vous perdez pas ^^

Cette nuit, quelque chose de parfaitement anormal s'est passé dans la Ville-Etat de Nexus. Anormal ? Peut être pas tant que ça, avec toutes les créatures étranges et puissante qui arpentaient le monde. Pourtant, les habitant de l'immense cité, ceux qui connaissaient son architecture, ses rues et ses recoins pouvaient le jurer : Cet énorme bâtiment n'était pas là avant. Une structure titanesque était apparue, comme par enchantement, en l'espace d'une soirée, sans que personne ne s'en soit rendu compte avant le levé du soleil. Le plus étrange, dans le phénomène, n'était pas tant cette génération spontanée, mais l'endroit où on elle s'était produite. Là où se dressaient les murs de roche grise, se trouvait tout un quartier, la veille. Pourtant, le quartier en question n'avait pas disparut, quelqu'un - ou quelque chose - l'avait "repoussé", changeant les maisons de place, comme on aurait balayé un tas de cailloux sur une table... et ce sans qu'aucune des habitations ne subisse le moindre dommage, sans qu'aucun meuble ne soit renversé, sans qu'aucune secousse ne se soit faite sentir lors du processus. Evidemment, la nouvelle ne tarda pas à se répandre, inquiétant autant la garde que les rebelles, les touristes et les simples citoyens. Beaucoup de monde s'était amassé autour de la structure, parfois par pure curiosité ou mus par un désir de découvrir de quoi il retournait.

Ce bâtiment, donc, était grand, très grand, ses parois - ou devrais-je dire sa paroi - formaient un cercle parfait, donnant à la structure une allure d'immense disque de pierre. La toiture se composait d'un immense dôme, du même gris granitique que le mur d'enceinte. Autre détail marquant, cette fameuse enceinte était couverte de bas reliefs finement taillés, au détail et à la perfection résolument impossible. Ces sculptures représentaient toutes la même femme, une créature ravissante à la crinière flottante et au corsage aguicheur. Chacune de ces représentations la montraient dans une posture différente, toutes semblant destinées à éveiller le désir chez le spectateur, de manière plus ou moins subtile. Quelqu'un faisant le tour de la bâtisse finirait par se rendre compte que ces bas reliefs se faisaient de plus en plus coquins, de moins en moins chastes, en convergeant vers les quatre points cardinaux. A force de chercher, n'importe qui finirait par trouver les quatre portes présentes...



Porte Nord.
La porte avait une forme particulière, formant un triangle massif qui montait jusqu'au sommet de la paroi. De part et d'autre, il ne s'agissait plus de simple reliefs sortant à peine du mur, mais bel et bien de statues entières. Elles représentaient toujours la même femme, placées en miroir. Leur taille dépassait largement la stature humaine car, même si ces dames de pierre étaient à genoux et outrageusement cambrées, un terranide normalement constitué se faisait dépasser d'une bonne tête. Cette posture soumise qu'adoptaient les femmes granitiques était couplée à une attitude pour le moins évocatrice : Mains jointes dans le dos, les statues levaient la tête, bouche ouverte et langue tirée. Inutile d'être particulièrement perspicace pour se rendre compte de la connotation sexuelle derrière cette représentation de pierre, d'autant plus lorsque l'on avait tourné autour du bâtiment... Outre ces deux belles pièces qui ornaient chaque côté de la porte, cette dernière était étrangement dépourvue de toute décoration. De par sa noirceur polie, veinée de blanc, l'on pouvait conclure qu'il s'agissait d'un unique panneau de marbre. Il n'y avait pas non plus de poignée ou de quelconque serrure, aucun moyen apparent de l'ouvrir.
Excepté... une bouche.
Une bouche, véritable bouche, aux lèvres charnues, résolument féminines, était posée sur la porte. Il ne s'agissait pas ici de sculpture, mais bel et bien de chair et de sang, un ajout vivant sur un minéral froid et sombre. D'ordinaire immobile, ces lèvres s'ouvraient parfois pour laisser échapper un bâillement, ou pour être léchées par une langue gourmande. Essayer de regarder à l'intérieur ne permettait que de voir ce qu'on pouvait trouver dans n'importe quelle bouche : des dents, des amygdales, une glotte... Ce gosier ne semblait pas relié à l'autre côté, rendant toute estimation d'une épaisseur de la porte plutôt difficile. Quand à sa position sur la porte, cette buche se situait à peu près au niveau du bassin des passants... une hauteur idéale.



Porte Sud.
Les choses étaient sensiblement différentes ici. L'ornement, notamment, n'était pas le même. Plutôt que de disposer de deux grandes dame de pierre, cette ouverture là n'était dôtée que d'une unique géante de granit. Cette statue massive représentait toujours la même personne mais qui, cette fois, avait perdu tout vêtement en dessous de la ceinture. Ses longues jambes nues demeuraient bien droites, parallèles aux côtés de la porte, vormant un délicieux triangle. Vu d'en bas, l'on ne pouvait voir l'intimité de la belle minérale, car cachée derrière une de ses mains fuselées. Par contre, l'autre main écartait l'une de ses magnifiques fesses, révélant à tous le mignon petit trou, comme une invitation. Du reste, la statue était penchée en avant, cambrée pour mieux offrir sa croupe aux spectateurs, tandis que sa poitrine était comprimée sur le dôme du bâtiment. Sa posture évoquait une femme penchée sur une table, attendant la saillie d'un amant inexistant.

La porte elle même était identique à sa jumelle nord, faite du même marbre, arborant la même forme triangulaire et dépourvue de toute serrure ou poignée. Cependant, à l'instar de sa jumelle, il existait un détail pour le moins étrange, situé exactement au même endroit, à la même hauteur. Mais plutôt que d'être une bouche, il s'agissait là d'un anus. Une jolie rosette, délicieusement plissée. Sa vie était perceptible par les quelques contractions et palpitations qui troublaient parfois son immobilisme. Cette petite porte placée dans la porte était, également, aussi chaude au toucher que l'étaient les lèvres de l'entrée Nord... et sa souplesse remarquable permettait l'intrusion de larges objets, sans aucun problème.



Porte Ouest.
Sur le même principe que les autres entrées, cette porte ci était ornée d'une statue symbolique, représentant toujours la même personne, dans une posture toujours aussi évocatrice. Ici, la sculpture était adossée à la parois, une bonne partie de son camouflant même le triangle de marbre qui devait servir d'ouverture. Complètement nue, la femme granitique se tenait les seins à pleine main, les faisant pigeonner, tout en pinçant l'un des mamelons. Accroupie, les cuisses largement écartées, cette statue là ne cachait rien de son intimité, semblant même provoquer les spectateurs de façon pour le moins vulgaire... Ici aussi, l'invitation était clair, la connotation sexuelle n'étant plus vraiment une connotation, mais plutôt une évidence.

Du reste, le panneau sombre avait, pour sa part, troqué gueule ou cul pour un con. Un sexe féminin ornait le marbre à hauteur idéal. Comme pour les autres portes, le beau fruit était fait de chair et de sang, sa chaleur palpable. Jouer avec pendant suffisamment ou avec assez de doigté pouvait même l'humidifier... et à en juger par les coulées présentes en dessous de ces lèvres intimes, quelqu'un s'était déjà prit au jeux.



Porte Est.
Cette entrée là était particulière, comparée aux trois autres. Elle comportait évidemment plusieurs similarités, mais un détail rendait le tout bizarre. Ici, la statue était debout devant la porte, aussi grande que la sculpture située au Sud ou à l'Ouest. Les jambes écartées, parallèles aux côtés de la porte triangulaire, cette femme minérale faisait face aux spectateurs, droite et fière. Tout aussi nue que sa jumelle située à l'ouverture opposée, cette statue était tout aussi féminine... si l'on oubliait le fait qu'à la place d'un joli abricot, cette représentation là était dotée d'un imposant service trois pièce : une verge fièrement érigée, accompagnée de ses deux bijoux de famille. La dame de pierre tenait son épieu de roc d'une main, se léchant un doigt de l'autre.

Quand à la porte en elle même, vous aurez deviné ce qui l'ornait : Un phallus lui aussi fait de chair et de sang. A première vu, l'organe mâle était flasque, mais le toucher et le stimuler ne tardait pas à le faire raidir. Et, à en juger par les petites flaques blanches devant l'entrée, quelqu'un s'était non seulement déjà amusé avec, mais ce sexe masculin semblait également parfaitement fonctionnel. Qui sait, peut être même qu'une femme pourrait tomber enceinte... d'une porte ?



Cet étrange bâtiment, donc était évidemment une œuvre de luxure. Il était difficile de savoir ce qu'il y avait à l'intérieur, l'on pouvait facilement deviner que ce ne serait pas chaste. Une des questions qui se posait, outre le comment pareille structure avait pu apparaitre de la sorte, était la raison de son existence : Pourquoi diable ce bâtiment était il là ? A quoi servait il ? Les plus curieux se demandaient surement comment entrer à l'intérieur, ouvrir les portes... les organes présents sur les grands panneaux triangulaires devaient très certainement avoir une lien avec le mécanisme d'ouverture. Mais parmis les habitants de Terra, il en serait forcément d'assez curieux pour essayer de s'y introduire... et d'autres suffisamment malins ou doués pour y parvenir.

7
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 29 septembre 2012, 13:46:20 »
Métalleux anticonformiste... ça s'défend.
Communiste... rien d'étrange là non plus (mais bon, faut être conforme à une doctrine).
Qui boit pas... Wut ?
Au look emo ?
*Va voir ailleurs si elle y est.*

13h46
Ca fait 4 heures que je suis debout, j'ai dormi trois heures, je suis crevée, mais je peux plus m'endormir. Aaaah, les joies d'avoir besoin de peu de sommeil...
Rrrrroooooon....zzzzzzz...
*Cligne des yeux.*
Vivement le moment où j'pourrais m'endormir plus de quelques secondes.

8
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: samedi 29 septembre 2012, 13:23:24 »
Citer
Wouhouhou ! Y a deux nichons qui m'attendent 
Et je suppose que ça émeut ton service trois pièces.

9
Les alentours de la ville / Re : Une simple soirée cosplay [Uma Shura]
« le: vendredi 28 septembre 2012, 18:39:58 »
Dans la pièce, personne ne disait rien. Pas un otage, pas un des sbires du Joker... pas même le gamin qui avait finit par se calmer. Le seul qui babillait encore, c'était le timbré, le chef de cette bande de criminels déguisés en commandos clownesques. Cet homme dérangé ne cessait de ricaner, ne pouvant visiblement pas s'en empêcher. La vision de Batgirl qui lui présentait bien gentiment sa croupe était un ravissement pour les yeux. Clic Clic ? Un des gardes avait sortit son portable et venait de prendre une photo. Un second, inspiré par son collègue, décida de faire de même. Un troisième, plus malin, se servit de son dernier appareil tactile dernière technologie pour filmer la scène. Pour sa part, le Joker s'était agenouillé derrière la justicière. Un sourire dément aux lèvres, il reprit son petit jeu en taquinant les orifices de la belle au travers de son costume. Après ce qui pouvait sembler être une éternité à se faire tripoter, Batgirl sentit que son bourreau pinçait à l'endroit de son scrotum, effectuant l'opération plusieurs fois avec une précision diabolique. Etait ce encore une taquinerie perverse de sa part ? Lorsque le tueur obtint finalement ce qu'il désirait, la jolie blonde se rendit compte qu'en réalité, il cherchait juste à décoller le costume de sa peau. Une fois chose faite, il attaqua la zone de son couteau, avec délicatesse et en s'y reprenant à plusieurs fois, pour ne pas blesser la succulente croupe de sa proie. Le son de son uniforme déchiré raisonna aux oreilles de Stephanie, avant qu'un courant d'air ne vienne effleurer son entre-cuisses. Le Clown Prince du Crime avait ouvert la zone qui couvrait son intimité, ses intimités. Tout éventuel sous vêtement fut lacéré sans autre forme de procès, jusqu'à ce que le chemin soit enfin praticable. Brusquement, la pauvrette sentit quelque chose presser contre son anus, le perforant jusqu'à la garde. Mais ce n'était pas le sexe du criminel qui venait d'être introduit entre les divine fesses de la justicière, non, c'était autre chose... quelque chose qui ressemblait à un manche de couteau. Donnant quelques pichenettes à la lame, Joker faisait bouger la poignée de l'arme dans le fondement féminin, en ricanant bêtement. Puis ce petit jeu cessa et le clown se redressa. D'où elle était, Batgirl ne voyait pas ce qu'il fabriquait mais, au moins, il ne la touchait pas. Jusqu'à ce que...
Chlick
Ce son là n'augurait rien de bon. Si la justicière ouvrait les yeux, elle pouvait voir le publique avec des yeux ronds, certains reculant même d'un pas. Puis elle sentit qu'on pressait quelque chose contre ses lèvres intimes, quelque chose de rond et d'assez gros, semblable à un oeuf. Au fur et à mesure que ses chairs s'écartaient, épousant la forme de l'intrus, la pauvre blonde put mieux se faire une idée de sa forme : Des stries régulièrent quadrillaient tout le "corps" de l'oeuf, et une bande de métal partait de son sommet, pour longer un de ses côtés. Ce taré de clown venait d'enfoncer une grenade dégoupillée dans le puits à plaisir de sa proie ! La présence du bouchon signifiait que l'objet n'exploserait pas, mais si on retirait l'explosif de l'intimité féminine sans faire extrêmement attention, la détonation ne tarderait pas à arriver. Après avoir asséné une nouvelle claque au ravissant postérieur de Batgirl, le Joker souffla gaiement :


- Héhé, voilà comment on cuisine une dinde, en la fourrant d'épices !

Suite à cette blague douteuse, le criminel monta sur la table, s'accroupissant sur la justicière en posant une main sur chacune de ses fesses. Non sans avoir retiré le couteau de son nouveau fourreau de chair, le Joker se planta d'un coup dans la rondelle de la blonde. Une fois bien au chaud, il poussa un profond soupire. Se saisissant de la chevelure féminine, tirant dessus comme on le ferait des rênes d'un cheval, le clown commença ses déhanchés. Il était rapide, brutal, son but était, visiblement, de faire souffrir sa proie tout en se faisant plaisir. Rapidement, le lieux raisonna des claquements que provoquaient les bourses blafardes sur les lèvres inférieures de Batgirl. Malgré le fait qu'il venait de jouir, quelques minutes auparavant, le criminel n'avait rien perdu de sa vigueur. Sa verge, toujours aussi dure, coulissait dans le rectum féminin à un rythme diabolique. Le clown ralentissait, de temps en temps, dans le but évident de retarder sa jouissance plutôt que de soulager Stephanie. Puis, une fois son excitation retombée, l'individu reprenait sa sodomie avec d'autant plus de violence, d'autant plus de force. Se courbant comme un chien sur la pauvrette, il parvint à s'exprimer sans cesser de pilonner l'arrière train de la belle :

- Ah.. Ah... ah... ahahah... héhé... Hmmpf... T'as le cul accueillant, petite chauve... hmpff... souris. Tout en parlant, le Joker dirigea une de ses mains vers un des seins de la blonde, le pressant cruellement au travers de son costume. Huhu... houuu... Je suis sûr que tu... adooo-OH-oore ça. Dis le ! Que tu adores ça. Regarde l'autre abrutit qui fiiiiilmmmpf... ouh... ah... l'abrutit qui filme... et... dis lui... combien tu aimes... te faire enculer... Ah... Combien tu as envie que... tonton... Joker t'explose la rondelle...

Le clown ponctua son ordre en tirant un peu plus fort sur la crinière féminine, la forçant à tordre le cou pour faire face au sbire en question. Et pendant que son patron enchainait coup de butoir après coup de butoir, sans pitié pour la pauvre rosette de sa proie, l'homme de main en question se rapprocha, pour avoir un meilleurs angle sur la scène. Un autre, bien inspiré, contourna la table basse pour se mettre placer derrière, copiant son camarade en décidant de filmer ce mandrin qui malmenait le petit cul de la justicière.

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Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: jeudi 27 septembre 2012, 20:11:58 »
Les deux s'il s'agit de l'apprécier.
Aucun s'il s'agit d'en faire.

Hypocras ou hydromel ?

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Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« le: jeudi 27 septembre 2012, 20:10:57 »
http://www.youtube.com/watch?v=jSJHAyj50II&feature=relmfu
Blop, blop, blop...
Tudududu dududu dududù

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Les alentours de la ville / Re : Une simple soirée cosplay [Uma Shura]
« le: mercredi 26 septembre 2012, 20:26:51 »
Les choses se profilaient de mieux en mieux pour le Joker... ou, du moins, c'était ce qu'il pensait. Après tout, la venue d'une seconde Batgirl n'était pas vraiment une bonne nouvelle pour le criminel. Une seule, même novice, pouvait potentiellement venir à bout du plan du clown maléfique, alors épaulée d'une vétérante... Ceci étant dit, le génie timbré avait déjà fais preuve de sa capacité à échafauder des stratégies aussi tordues que redoutables. Après tout, sa némésis était le Batman, un homme dont le talent et l'intelligence surpassait de loin celle de ses disciples. En tout cas, c'était comme ça que le Joker considérait les choses : Batman, le vrai, le premier, était le seul qui valait la peine d'être affronté, tous ces copistes et autres apprentis justiciers à ses ordres n'étaient que du menu fretin. Leur causer du tort, c'était causer du tort à la Chauve-Souris en premier.

Mais le criminel timbré était bien loin de penser à ce genre de choses. Son esprit d'ordinaire si éparpillé, si brillant et analytique - malgré le manque évident de santé mentale - était tourné vers une seule chose : cette jolie tête cagoulée penchée sur son entrejambes. Sans perdre son sourire, le Clown Prince du Crime observait, attentif, chacun des gestes de sa vis à vis. Il restait parfaitement immobile, parfaitement silencieux, tandis que la justicière sortait son vit palpitant de son beau caleçon à fleurs. Malgré son aspect malingre, le criminel fou disposait d'atouts plutôt conséquents en dessous de la ceinture. Après tout, Harley Quinn ne pouvait être amoureuse de lui juste par folie, si ? Quoi qu'il en fut, Batgirl ne se démonta pas et, répriment un dégout par trop évident, commença à lécher la pointe du membre. Le contact de sa langue sur son gland arracha un soupire à l'homme, qui n'en perdait pas une miette. Patient, le clown la laissa faire, la laissant apprivoiser la bête d'elle même. Il se mordit la langue inférieure lorsqu'elle décida enfin de le prendre en bouche, fermant les yeux en savourant la fellation. Son sexe palpitait entre les lèvres chaudes de sa proie, le plaisir grimpant à chaque succion de la part de Stephanie.


- Hmmm... aaah... ahahah... tu suces bien, petite chauve-souris, mais il faudrait y mettre plus... d'entrain !

A la prononciation de ce simple mot, le Joker posa sa main derrière le crâne féminin, appuyant dessus de toute ses force. L'effet fut brutal et immédiat : la pauvre justicière se retrouva avec l'intégralité de la verge enfouie tout au fond de sa gorge. La pauvrette avait le nez perdu dans la pilosité verte du pubis de son bourreau. Faisant preuve d'une force remarquable, le clown la maintint ainsi pendant de longues secondes, observant ses réactions, laissant son autre poing, refermé sur le détonateur, bien en évidence... au cas où quelque élan de fierté aurait poussé la belle blonde à se défendre. Puis, au bout de ce qui parut une éternité, l'individu relâcha sa poigne, permettant à Batgirl de respirer à nouveau. Mais le répits fut court car, déjà, il l'attirait de nouveau vers son entrecuisses. Impitoyable, le clown psychopathe renouvela l'expérience plusieurs fois, ne laissant qu'une seconde ou deux à la justicière pour reprendre son souffle entre chaque pénétration.

Puis le Joker passa à la vitesse supérieure. Se redressant, il fit basculer Stephanie en arrière, le sexe toujours profondément enfouis dans le gosier féminin. Il l'entraina jusqu'à la table basse, s'agenouillant juste devant de sorte que la jeune femme se retrouva avec le rebord du meuble juste derrière la tête. Désormais incapable de fuir, il commença à lui baiser la gorge avec un plaisir malsain. Il ne soupirait plus, ne gémissait plus. Il criait son plaisir, mélangeant les cris aux rires, de manière aussi étrange que lugubre. A chaque fois qu'il s'enfonçait dans son fourreaux chaud soyeux, on pouvait voir la gorge féminine se déformer sur l'épaisseur du membre. A chaque fois qu'il donnait un coup de reins, la justicière nocturne pouvait sentir les bijoux de famille de son violeur venir lui fouetter le menton. La frénésie du clown était telle qu'il ne laissait aucun répis à sa victime, pas même la possibilité de respirer. Et, visiblement, le fait qu'elle s'étouffe ne lui faisait ni chaud ni froid.


- AHAHAHah ah ah ah ah... ah... aaaaah... Le criminel fou resta un instant figé au fond du gosier féminin. Son sexe gonflait, preuve qu'il était sur le point de jouir. Mais, alors que sa pause pouvait laisser penser qu'il se viderait dans la bouche de sa proie, le clown se retira, pour pointer le mandrin droit sur le visage masqué de Stephanie. Tout en la couvrant de sperme, il sifflait en ricannant : ...aaaah... héhéhé.... J'avais pensé à te retapisser les amygdales, mais finalement j'ai opté pour l'humiliation... au final... huhu...

Une fois qu'il eut bien essoré sa trique sur le masque de la justicière, le Clown Prince du Crime laissa quelque peu le temps à cette dernière de reprendre ses esprits, avant de saisir de la jolie crinière blonde qui dépassait de son costume. Y crispant les doigts, il tira dessus pour la forcer à se redresser. Il aurait pu sans problèmes lui ordonner de bouger, de se mettre sur la table, mais le Joker trouvait bien plus amusant de l'y contraindre physiquement. Après tout, ce n'était pas souvent qu'il pouvait imposer sa volonté à une Batquelquechose à la seule force de ses bras. Bien sûr, la contrainte n'était pas seulement physique, mais c'était moins rigolo d'y penser. Au passage, il tira sur la tignasse lumineuse de la justicière de sorte à ce que le gamin entre à nouveau dans son champ de vision, histoire de lui redonner une petite piqure de rappel, au cas où... Le criminel la contraignit ainsi à se placer sur la table basse, puis à s'y positionner à quatre pattes. Une fois bien en place, il relâcha sa chevelure, avant de se faufiler derrière elle.

Ecartant la cape de Batgirl de sa main armée du détonateur, le clown asséna une claque sonore sur une des jolies fesses moulées dans son costume. Sournois, il faufila ses doigt le long de sa raie, puis contre son intimité, insistant avec ses doigts sur l'endroit où devait probablement se trouver le petit trou, avant de pincer l'intimité, au travers de sa bat-culotte. Ricanant comme lui seul savait le faire, Joker souffla :


- Huhuhuhu... Quel joli spectacle. Ecarte moi bien tes fesses, Batgirl, montre moi à quel point tu as envie que tonton Joker vienne te la mettre profond...

Tout en parlant, le clown sortit une un couteau de sa chaussure.

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Les alentours de la ville / Re : Une simple soirée cosplay [Uma Shura]
« le: mardi 25 septembre 2012, 15:00:58 »
Encore une fois, le Clown Prince du Crime se délectait de la tournure des évènements. Il ne se séparait de son éternel sourire que lorsque la justicière masquée se décida enfin à sauver la pauvre cosplayeuse prise pour cible par le monstre lubrique. Ce Titan pervers s'apprêtait à violenter la jeune femme lorsque la véritable héroïne se décida enfin à agir. Attirant l'attention du bonhomme à l'aide de son corps, de sa sensualité, elle ne tarda pas à le maîtriser en s'aidant de ses gadgets : un filin et assez d'électricité pour illuminer un sapin de noel. Joker ne pouvait s'empêcher de ricaner face au sort de son sbire modifié, ouvrant un peu la bouche lorsque la donzelle se retrouva à califourchon sur la bête, impatient de voir la suite des évènements. Mais la belle n'eut droit à aucune caresse, recevant un crocher à la tempe à la place ce qui, compte tenu du gabaris de son ennemi, envoya Batgirl au sol. N'importe qui aurait été mis KO par cette seule frappe, mais une disciple de la Chauve Souris se devait d'avoir un entrainement particulier, une endurance supérieure à la moyenne. Et, de fait, Stephanie se retrouva bien vite sur ses pieds, sans même avoir pris le temps de souffler, étendue sur le sol. Malgré la résistance de la jeune fille, le filet de sang qui s'échappait de la commissure de ses lèvres trahissait la violence du choc... et la fragilité finalement très humaine de la justicière.

Digne représentante du masque de la chauve souris, cette Batgirl là ne tarda pas à trouver une solution. S'aidant de ses gadgets, elle ne tarda pas à mettre le titan pervers hors d'état de nuire, en le vidant de toute sa semence et en tétanisant ses muscles, grâce à la magie de l'électricité. Le criminel dérangé se laissa aller à un rire sourd. Entre ses mimiques et ses éclats de voix, il était difficile de déterminer ce qu'il pensait. D'un autre côté, à quoi bon essayer de deviner les pensées d'un fou ? Cette opacité était à l'avantage du clown. Stephanie, tirant ses informations de l'illustre Barbara Gordon, se trompaient sur un point : Joker était suffisemment fou pour mettre sa propre vie dans la balance, lorsqu'il s'agissait de faire une bonne blague. Autre information qui semblait manquer à la cadette de la Bat-family : le hors la loi tout de violet vêtu était immunisé à sa propre toxine... à vrai dire, les quelques données rassemblées par Oracle trahissaient une résistance globale à la plupart des toxines. Elle n'était pas absolue, mais le Joker avait déjà réussi à entrer en contact avec des venins mortels sans en subir de quelconque handicap. Mais, malgré ces brèches dans le raisonnement de la jeune fille, il était un point sur lequel elle ne se trompait pas :
Sa perversion.
Joker pouvait être pevers, comme il avait déjà pu assumer les rôles et les personnalités de bien des gens. Mais cette lubricité qui se voyait au fond de son regard dérangé, ce désir qui le tenaillait était trop récurant. Le véritable Clown Criminel se serait servit de cette perversion comme d'un énième costume pour draper sa personnalité chaotique, sans en être esclave. Et, lorsque Batgirl proposa un marché : libérer les otages en échange de faveurs sexuelles, le magistral timbré sembla en proie à un doute profond. Cette réaction confirmait les soupçons de la justicière : Quelque chose ne collait pas. Commençant à faire les cents pas, l'individu blafard se mit à faire les cents pas, prisonnier d'une intense réflexion. Finalement, après ce qui parut être une éternité, le clown regagna son sourire, pour se tourner vers la jeune fille. Sa voix avait regagné toute son assurance, lorsqu'il s'exprima :


- Je dois dire que ta proposition est très alléchante, mais je ne suis pas totalement stupide. Devrais-je croire qu'une fois tous les otages libérés, une fois tout risque écarté pour un tiers, tu viendras gentiment te mettre à quatre pattes sur la table, pour que je puisse visiter ta minette de gamine ? Marquant un temps d'arrêt, cesser ses allées et venues devant la dite table, l'individu reprit finalement : Je sais bien que tu n'arrives pas à la cheville de Batounet, mais même là, c'est encore trop pour mes guignols d'hommes de main ! Quelques grommellements retentirent, venant des quelques sbires qui ne semblaient pas trop apprécier la remarque, mais aucun ne se dressa directement contre leur patron cinglé. Non, non... J'ai une meilleure idée... héhé... Hey, machin ! Toi là ! Va chopper le gamin et garde le avec toi. Je vais demander quelque chose à mademoiselle et si elle ne s'exécute pas dans la minute, t'auras droit de lui couper un doigt. Héhéhé... Avec un peu de chance, j'aurais un joli collier avant la fin de la soirée.

Visiblement, la proposition de la jeune Batgirl venait de se retourner contre elle : Après tout, c'était le criminel qui disposait d'otages, de bombe, de drogue transformant les gens en monstres ultraviolents ou ultrapervers... De son côté, le sbire interpelé vint attraper le pauvre enfant, déjà orphelin, dégainant un couteau de combat pour le glisser sous la gorge du petit. Le gamin apeuré n'avait pas bougé. Par Peur ? Non, il ne voulait pas qu'il arrive malheur à Batgirl et, même s'il n'avait pas tout suivit, pas tout compris, le petit garçon savait que la justicière et lui étaient liés, par un ordre de ce méchant clown.

Méchant clown qui, pour sa part, était retourné s'assoir sur le canapé, bien au milieu, jambes largement écartées. Le détonateur toujours prisonnier de sa main gauche, Joker lissa un peu les pans de son manteau violet, du bout des doigts, avant de lancer un sourire narquois à la jeune femme :


- Et moi, je vais t'en faire une autre d'offre. Tu retires ta ceinture pleine de gadgets et tu la laisse par terre. T'en fais pas, personne te la prendra... Z'AVEZ ENTENDU LES GARS ?! Oui boss ! Bien, parfait... héhé... De toute façon, je parie qu'elle est pigée... Bref, tu te débarrasses de ta ceinture. Après ça, tu vas t'offrir à moi. A chacun de tes refus, le mioche perd un doigt... et il en a vingt, je te rappelle, huhuhuhu... Réprimant son rire, le clown reprit sur un ton guillerait. Mais pour te récompenser d'avoir ne serait ce que pensé à ouvrir les cuisses pour moi, à chacune de tes prestations, je ferais libérer des esclaves. Le nombre, bien sûr, dépend de la passion que tu mettras.
Compris ?
Hmmm ? Huhuhu... J'en suis sûr.
Maintenant que les choses sont bien mises au point, je veux que tu viennes utiliser ta jolie bouche pour autre chose que de l'arrogance. Viens donc sucer mon beau sucre d'orge.

14
Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« le: mardi 25 septembre 2012, 10:33:09 »
"But not matter what scars you bear,
Whatever uniform you wear...
You can fight like a Krogan, Run like a leopard,
But you'll never be better than Commander Shepard !"


Par ici la musique !

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Ville-Etat de Nexus / Re : Femme Fatale vs Fatale Femme [PV Jessica Rabbit]
« le: lundi 24 septembre 2012, 16:25:32 »
La fausse Jessica ne put s'empêcher de sourire face à la réaction de surprise de l'originale. La déesse ne s'arrêta pas une seconde, même lorsqu'on la menaçait d'une lime. Tout en s'approchant, Uma Shura mimait les dons d'un certain monsieur Xavier, s'appropriant sa puissance télépathique pour s'insinuer dans l'esprit de la toon. Sans aucune considération pour l'intimité de sa vis à vis, l'Infinie prit connaissance de chaque souvenir, s'en imprégnant, affinant son propre personnage. Une fois tout près de sa proie, la réplique laissa glisser son regard sur les courbes parfaitement dessinées de Jessica. Ses lèvres pulpeuses toujours dessinée en un fin sourire, l'imposteur répond finalement :

- Who am I ?

Plus vraie que nature, la clone se pencha doucement vers sa proie, comme pour lui faire une confidance. Mais la pauvre toon sentit rapidement qu'on lui attrapait le poignet. Tordu par sa vis à vis, son bras se retrouva en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire. Avant même d'avoir compris ce qu'il se passait, Jessica se retrouvait la poitrine écrasée sur sa coiffeuse, son visage tout près du miroir. L'intruse la maintenait ainsi, une main appuyée sur sa tête pour être sûre que la belle rousse ne bougerait pas. Avançant d'un pas, l'Infinie colla ses hanches sur celles de la chanteuse de cabaret, se penchant jusqu'à ce que sa poitrine touche le dos féminin. Se penchant sur l'oreille éternellement dégagée de la toon, la copie susurra :

- I'm Jessica Rabbit. Et toi, tu es de l'histoire ancienne... Marquant un temps d'arrêt, l'espace d'une petite morsure à l'oreille et la créature poursuivit : Le dessinateur trouvait que tu manquais de caractère, donc il m'a dessinée. J'ai réussi à le convaincre de ne pas t'effacer... je voulais faire connaissance avant.

Le dessinateur... cette pourriture était capable de cette cruauté, Uma le savait, elle en profitait. Ce n'était d'ailleurs que pure sadisme de la part de la dimension, qui n'avait de toute façon pas vraiment besoin de tourmenter de la sorte une pauvre toon déjà affligée d'un bien vilain maître. La copie de Jessica se redressa un peu, glissant sa longue jambe soyeuse entre celles de la rouquine. Sa cheville remontait délicatement contre le mollet féminin, glissant le genou dans l'ouverture, forçant aini le passage jusqu'à son entre-cuisses, dégageant la robe scintillante du passage. Se cambrant avec un naturel désarmant, la clone prit appui sur le rebord de la coiffeuse, de sa seule rotule. Ses doigts nus relâchèrent le crâne féminin, le caressant doucement, presque affectueusement. Miss Rabbit put sentir les ongles de sa jumelle frôler la peau de son dos, avant de glisser sous l'étincelant vêtement. Y assurant sa prise, la déesse tira en arrière.

Une fois les succulentes fesses de Jessica redressées et son buste arrogant face au miroir, son assaillante fit de nouveau glisser sa main libre, sans relâcher le pauvre poignet relevé dans son dos. Du bout des doigts, l'imposteur reprenait sa course vers le bas, flattant sa cambrure, avant de finir en une claque sur la croupe parfaite. La paume de la clone se fit plus affectueuse, après le claquement infligé, se faufilant sous le niveau de son genou. Attrapant l'étoffe brillante. Le postérieur de la toon fut bientôt dénudé, recevant une nouvelle claque sonore.


- Ca me fais plaisir, de m'avoir comme jouet personnel. Je devrais remercier le maître... Et ça confirme ce que je soupçonnais déjà : J'ai un cul magnifique. Mais... Jessica sentit rapidement la main de son bourreau revenir glisser sur son ventre, pour empoigner une de ses mamelles. La pressant avec amour, sa jumelle dominatrice le fit surgir de l'outrageux décolleté, avant de se saisir de son mamelon. Not bad, not bad... I've got a handfull there. Beau fruit. Et l'autre est comment ? Sa main quitta le sein, pour s'attaquer à son voisin, le faisant à son tour sortir de sa cachette. Commençant doucement, se contentant de le palper de sa main une première fois, Uma Shura l'empoigna, remontant jusqu'au mamelon qu'elle pinça entre ses ongles. De ses yeux pourpres, la déesse fixait sa victime dans le miroir, sans jamais se départir de son sourire provocateur. Toi et moi, on va devoir faire connaissance plus approfondie. Je suis sûre qu'on va bien s'amuser...

La copie conforme abandonna finalement cette poitrine si joliement dessinée, pour revenir du côté de la croupe dénudée. De bout de l'index elle retraça la courbe rebondie de la fesse droite, coulant jusque dans le sillon la séparant de sa jumelle, se crochetant à l'unique ficelle présente, la tirant vers le haut. Sur son genou n'avait pas suffit à relever le derrière de Jessica, son sous vêtement - roulé sur lui même comme une cordelette - venait lui irriter l'intimité, disparaissant entre les lèvres inférieures de la magnifique chanteuse pour effectuer son entêtant frottement. Profitant de l'absence de barrière vers la petite porte de la rouquine, sa jumelle maléfique pointa son majeur, l'y vissant sans pitié, avant de l'y enfoncer d'un coup, jusqu'à la dernière phalange. Une fois à l'intérieur, la fausse miss Rabbit le fit pivoter, le tordant, éprouvant ainsi la résistance musculeuse. Au final, les petits mouvements secs effectués par la main féminine stimulaient aussi bien le fondement serré de la toon que son sexe toujours taquiné par ses propres dessous.

Si cette Jessica au regard de feu et à la crinière plus sombre avait pu paraitre similaire au début, les récents semblaient prouver le contraire. Plus méchante, sadique, dominatrice... il semblait même curieux que le maître de la vraie puisse accepter de créer pareille créature et espérer en faire une esclave. Mais peut être qu'en définitive, tourmenter sa création lui plaisait. Uma Shura croisait et recroisait les possibilités dans son esprit, explorant ce qu'elle savait de cet individu méprisable, se nourrissant de ses traits de caractère pour en incorporer quelques uns à la psyché de son nouveau personnage, la Villaine Jessica. Peu importait ce que lui disait l'originale, sa copie poursuivait, implacable, son œuvre... Poussant le vice un peu plus loin, la divine imitatrice joignit l'index au majeur, dans le fondement féminin. Elle laissait ainsi ses lèvres intimes libres de l'irritation causée par ses dessous, mais étirait davantage la délicieuse rosette plissée.

Le temps semblait figé, dans cette pièce. Pendant combien de temps cette infâme créature qui se prétendait être Jessica Rabbit continuerait elle de jouer avec ce cul si beau, si harmonieux ? Pendant combien de temps la véritable Jessica Rabbit continuerait elle à sentir ces doigts s'agiter entre ses fesses ? Et, surtout, qu'est ce que cette folle comptait bien faire subir de plus à la pauvre toon ? Car, malgré son enthousiasme, il paraissait évident que la clone n'en avait pas finit avec l'originale, que cette dilatation anale n'était qu'un avant gout du supplice à venir...

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