Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Fujiko Zaraki

Pages: [1] 2
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Les alentours de la ville / Re : Retour dérengeant [Pv Fujiko]
« le: samedi 27 avril 2019, 21:40:31 »
-En fait... C'est parce que je suis née ici... J'étais une japonaise normale... et j'avais tout juste terminée le lycée, avant de... avant de... de... Avant de me faire capturer, et emmenée là bas, comme tu dis... J'ai perdue connaissance après avoir été assommée et quand je suis revenue à moi, j'étais... comme ça... et dans une cage... Cela n'a pas été une partie de plaisir... Je suis restée sur ce monde durant presque deux mois... C'est un miracle d'être revenue ici... Mais avec cette apparence, je sais vraiment pas ce que... je vais devenir...

   Dans un film, une musique dramatique aurait ponctué ces révélations et le rictus à la fois horrifique et haineux de Fujiko. Au lieux de ça, ce fut juste le hennissement d'un cheval, et le vent qui soufflait dehors qui servit de fond sonore. Elle n'avait pas été la seule à avoir été arrachée de la Terre pour subir les folies de ce monde. Mais Fujiko ne put s’empêcher de penser que sa camarade d'infortune s'en était mieux tiré qu'elle, non pas qu'elle cherchait à montrer qu'elle avait plus souffert, mais elle aurait préférer subit le même sort. Elle n'aurait pas eu ses pulsions néfastes qui lui pourrissent la vie.

   Elle remarqua que Konoka commença à pleurer, ce qui prît Fujiko au dépourvue, qui ne sachant pas quoi faire, resta interdite quelque seconde. Elle se leva finalement et alla la rejoindre, fessant fit de sa nudité, se mit à genoux et après quelque seconde d'hésitation, la prît dans ses bras et lui tapota la tête, regardant de côté pour ne pas voir ses seins. Elle remarqua tout de même que maintenant à quel point ils étaient gros, éprouvant même un pic de déprime et de jalousie en pensant à la sienne, une pleine face à une montage.

-T... t’inquiète pas... Tu... tu es de retour à la maison ! Bredouilla t-elle. C'est finis...

   C'était un peu bateau comme phrase, voir cliché, mais l'intention était là. Ses yeux se baladèrent malgré elle vers la bosse sous la paille cachant tant bien que mal la grosse trique, ce qui lui fit réaliser, en plus d'amener de vieux souvenir, qu'elle n'était plus humaine, comme elle. Comment elle pourrait vivre à nouveau ici ? Elle se releva après un moment et se mit face à elle.

-Tu... tu sais tu n'a pas à te sentir différente ou rejeté ! Clamat t-elle. Je... j'ai... hem... je suis pas vraiment humaine.... dit elle en rougissant.

   Elle leva une jambe, passa son index de sa main gauche sous sa chaussure, attrapa le bout du doigt avec son autre mais et tira dessus en poussant avec sa jambe et en tirant sur sa main gauche. Les articulations de son doigts se tordirent dans l'autre sens et son doigts s'allongea d'au moins 1 mètre. Elle perdit l'équilibre en fessant ça et tomba en arrière, sur ses fesses, ses jambes finissant contre celle de Konoka frôlant la trique au passage. Elle fit un sourire gêné, tandis qu'elle passait une main derrière la tête, l'autre la soutenant.

-Je suis... c... c'est... difficile à dire, mais tout mon corps est... est comme ça... , je suis élastique. Dit elle avec gêne. Je suis née... mu... mutante... je suis insensible à toute forme de coups physique et...  on peut me déformer dans tout les sens. C'est ce qui a fait mon malheur... pendant ma... ma captivité... .

   Ça mine s'assombrit, elle ferma les yeux et refoula un flot de souvenir désagréable, du moins elle l'aurait voulue pour tous. Elle les ouvrit et repris la parole en se relevant pour lui tendre la main... bêtement, pour la forme, sans trop savoir quoi faire après.

-En... en tous cas tu... tu peux compter sur moi ! Ma famille à l'habitude et... et je connais des gens qui t'accepterons... vue... vue qu'il m'accepte en connaissant ma nature. Dit elle en pensant surtout à sa meilleur amie, bien qu'elle ressentit un étrange sentiment.

   Il n'était pas dit que Fujiko Zaraki laisserait une compatriote ayant vécue le même enfer qu'elle dans le besoin ! Même si elle lui rappelait de mauvais souvenir de par son physique, elle était une victime comme elle, une victime de ce monde affreux ! Peut être qu'il y en avait d'autre ! Des gens comme elles, kidnappés dans ce monde, traumatisés, transformés, torturés, violés. D'autre avait peut être besoin d'aide et d'assistance comme Konaka. Elle se devait de l'aider, la laisser tomber serait le pire déshonneur possible.

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Le parc et son sous-bois / Re : La Proie Du Soir [Fujiko Zaraki]
« le: vendredi 04 janvier 2019, 09:50:44 »
   Qu'elle horrible sensation, que d'être consciente, et de ne rien pouvoir faire alors que son corps subissait les affres de la drogues, y répondant naturellement. À moitié tirailler par le plaisir et son désespoir, elle offrait un ahegao mêlant plaisir coupable et tristesse, témoignage qu'une partie d'elle se refusait à cette vie. Un plaisir forcé, lui rappelant de sombre jour et de sombre personnage. Elle avait subit pire que ce rodéo, mais son corps cherchant toujours à redevenir étroit, cette ruade était donc aussi terrible que sa première fois. Attachée et soumisse, Fujiko ne put rien faire, alors qu'on changea son collier pour chien pour un autre, plus coquet, en plus d'un collier de perle plutôt jolie et n'ayant plus que pour vêtement, des collants. Elle n'était plus qu'un jouet, une poupée soumisse à la volonté de ces terribles créatures.

   Entre deux gémissements, Fujiko parvenait à glisser de faible insulte en reprenant son souffle, glissant au mieux une œillade de haine, ressemblant plus à une tentative de résistance face à une drogue trop forte et des pulsions trop envahissante, sans parler du mastard la ravageant, aussi grosse que ça cuisse. Déjà qu'elle était plutôt menue, c'était une bonne idée de la taille de l'engin. La femme, qui lui avait mit son nouveau collier, tourna autour de la pauvre Fujiko, jusqu'à tirer sur un de ses tétons de sa poitrine inexistant, l'allongeant de plusieurs centimètres, comme un chewing-gum.

« Esclave un jour... Pensais-tu vraiment pouvoir reprendre une vie normale, Fujiko-chan, alors que tout ton corps, tout ton être, aspire à cette domination ? Tu as goûté aux joies de la servitude, c’est ton inéluctable destinée... »

   Une lueur apparue dans les yeux de Fujiko, une lueur de colère. Elle connaissait son passif, elle venait de ces monstres de l'autre monde. Fessant preuve d'un effort de volonté, elle reflua ses pulsions et le plaisir forcé de la drogue, reprenant ses esprits. Elle tira su bras pour se pencher vers son interlocutrice, pliant son épaule dans un angle qui aurait due le briser chez une personne normale, du fait qu'elle soit attacher, étendant son bras de quelque centimètre.

-Vas te faire sodomiser par trois trolls grognasses ! Souffla Fujiko, parlant en connaissance de cause. T'a fais que me droguer 'spèce de truite ! J'te jure que j'vais te sodomiser avec un marteau piqueur !

   En repensant à toute ces sévices subits, ces monstres et ces tortures, déformant son corps à l’extrême, par les coups ou la taille démesure des verges, ces litres de foutres et d'eau avaler pour gonfler,ou des jeux sadiques, Fujiko lâcha une larme de rage, parmis celle de tristesse et de désespoir. Elle tira sur son bras, cherchant à se libérer, son bras s'étirant, sa main se déformant de manière inquiétante. Et alors qu'on voulue la remettre en place, son bras se libéra, sa main glissant de son attache, partant comme une fusée, frappant la femme au ventre, avec assez de force pour la plier en deux. Elle avait suffisamment refouler ses pulsions et son corps qui se fessait bourrer, fessant preuve d'une force de volonté impressionnante, pour réfléchir un temps soit peu. Pour le moment son esprit se limitait à « tirer sur l'autre bras », déjà son corps commença à nouveau de céder.

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Le parc et son sous-bois / Re : La Proie Du Soir [Fujiko Zaraki]
« le: vendredi 07 décembre 2018, 18:26:41 »
   Fujiko se débattit comme elle put, avant qu'elle ne ressente un choc et ne s'évanouisse. L'une des femmes lui avait fait une manchette dans la nuque. En temps normale cela n'aurait rien fait, mais elle avait frappée avec assez de force pour plier à l’extrême le cou de Fujiko et couper la circulation sanguine par la même occasion, et Fujiko assez affaiblit pour sombrer dans le noir. Le pire étant que vapeur aphrodisiaque continuèrent à faire effet, fessant gémir doucement Fujiko, alors qu'elle mouillait.
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   Elle commençait lentement à reprendre ses esprits, et sentit vaguement des sensations sur sa peau, avant qu'un bruit de déchirement ce fasse entendre, en même temps qu'une forte sensation sur ses épaules qui la remit pleinement consciente. La lumière agressa ses yeux, ses membres étaient bloqués et l'air frais agressa sa peau dénudé. Fujiko paniqua rapidement en remarquant qu'elle était attacher, toujours sous l'emprise de l'aphrodisiaque et des phéromones, bien que plus faible, et surtout que la femme qui voulait la violer dans le parc, se tenait devant elle, finissant d'arracher ses vêtements. Et elle libérait sa grosse trique, et se mit en position.

-Non... nonnononon NON !!!!

   La femme s'enfonça d'un coup sec, pénétrant lourdement la vagin de Fujiko, bien trop étroit pour le gourdin, écartant brusquement les parois, déformant le vagin et le col de l'utérus, le traversant pour toucher le fond, déformant le corps de Fujiko, le pliant et déformant surtout son ventre, une bosse de plusieurs centimètre et d'un diamètre imposant sortant de ce dernier, où on pouvait sentir l'utérus au toucher, ainsi que la bite, qui former une bosse tout le long, visible et palpable. Et Fujiko respirait par à coup, aucun crie, pas un hurlement, la confusion et le plaisir se lisant sur son visage, aucune trace de douleur. Une femme aurait eu quelque organes touchées et les parois déchirées et le col du fémur brisé, mais Fujiko encaissa le coup sans douleur et blessure, grâce à son corps élastique.

-Pu.. putain... lâcha Fujiko. Aïe !

   Elle sentit une piqûre au niveau du cou, et l'injection d'un liquide. Fujiko blêmit, les larmes au yeux : de la drogue. Elles l'avaient droguées.

-Et merde... esp... espèce DE PETASSE !!! Hurla Fujiko, alors que ses nerfs se mirent à vif, décuplant les sensations reçu, ces zones érogènes ce mettant en ébullition.

   Elle se mit à rougir, à haleter, à respirer fort, à avoir envie, à souffrir, sous les sensations extrémes qu'elle ressentait, ses pulsions se dopant, ses vices commençant à harceler sa vision de fantasme obscène, d'image d'envies refoulées. Elle tombait presque en ahegao, son visage ravagé par ce plaisir forcé, se mettant à mouiller intensément. Et la femme commença à la culbuter, fracassant son bassin contre l'intimité de Fujiko, pilonnant avec une passion dévorante ce corps qui se déformait à l'envie sous ses coups de bélier, accueillant l'entièreté de sa queue, déformant le ventre, le vagin et l'utérus de Fujiko.

   Et cette dernière, ne pouvait que crier de plaisir, perdant prise avec cette drogue, déjà affaiblie par le pouvoir de sa bourreau, mais gardant une conscience de ce qu'elle subissait, mais ne pouvant que céder.

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Le parc et son sous-bois / Re : La Proie Du Soir [Fujiko Zaraki]
« le: samedi 17 novembre 2018, 01:26:13 »
   Affaiblie, rampant de manière pitoyable, Fujiko était dans une très mauvaise posture. Ces deux mutantes l'avaient rapidement acculée, l'une d'elle ayant user de pouvoir étrange pour l'affaiblir, perturbant Fujiko qui ne pouvais s'en protéger, l’empêchant de se concentré d'agir avec l'esprit clair. Sinon elle aurait sûrement réussit à fuir. Là, elle se traînait sur le sol, rapidement rattrapée par la futa au cheveux bleu. Elle s'appuya sur le corps de Fujiko, l’écrasant de son poids, et malgré les coups et insulte de Fujiko et ses veines tentatives de se dérober à sa prise, elle plaça et serra un collier sur le cou de Fujiko, qui chercha à l'enlever, recommença à paniquer, malgré son état. Elle essaya de se téléporté, mais elle sentit comme un vide, comme si on l'avait amputé d'un membre. Elle ne pouvais plus se téléporter.

-Non... nonnonnonnon !!! S'écria Fujiko, en tirant sur le collier. PUTAIN !!!!

   Elle n'arrivait pas à défaire, ni à enlever le collier. La femme l'attrapa par les cheveux, la relevant de forcer et l'agenouillant, alors que Fujiko commençait à pleurer, de sombre souvenir remontant. Elle lança des insultes, des menaces, des ordres, frappant les jambes de sa geolière, alors que l'autre se ramena, son pouvoir encore actif, Fujiko respirant à nouveau ces phéromones, ravivant ces bouffés de chaleurs, rougissants et haletant, alors que de nouveaux des pensés obscènes, titillèrent ses fantasmes, s'imaginant déformer par ces deux futas ou remplir de sperme.

   Les deux femmes échangèrent quelque phrase mais Fujiko ne retint qu'une chose : esclave. Des images lui revint en mémoire, des créatures bipèdes et immenses l'entourant, la déformant de leur triques immenses, sous les regards d'ignoble individue. Le cauchemar allait recommencer ? Le pire étant que le pouvoir de cette femme, l’empêchait de réagir normalement, éprouvant une certaine excitation, et quelque chose coulant dans sa culotte. Cette même femme lui mit une laisse, ce qui eu le mérite de tirer Fujiko de ses souvenirs, qui tenta de l'enlever, mais on l'en empêcha.

« Je sais que tu mouilles comme une petite salope... Et ton coup de pied dans les couilles, ça va se payer, même si ça m’a excité plus qu’autre chose. »
-C... c'est pas.... pitié... bredouilla pitoyablement Fujiko, des larmes coulant, alors qu'elle avait du mal à quitter des yeux, la déformation que causait la verge imposante sur la combinaison.

   La femme, comme pour répondre à une demande inconsciente, entreprit de libéré sa bête, ce qui prit du temps, imposante et coller contre la combinaison, avant de fraper le visage de Fujiko dans un paf sonore, dégageant une bouffé d'aphrodisiaque et une odeur forte, inondant les narines de Fujiko de phéromones, qui trembla et fus comme pris d'une crise d'asthme, respirant fort et avec mal, avant que son souffle ne soit semblable à celui d'un coureur de marathon à bout de force. Ses bras tombèrent le long de son corps, son esprit s'embruma, sa culotte fut peu à peu inondé et Fujiko avait de plus en plus de mal à réfléchir. Il n'y avait plus que cette verge qui lui masquait une partie de sa vision, frottant contre son visage.

   Elle entendait vaguement les deux femmes, ignorant ce qu'elles disaient, Fujiko ayant du mal à ce défaire de son excitation grandissante. D'un suprême effort, elle se décolla de la verge, et la gifla, comme pour chasser un mauvais esprit, mais la verge revint la biffler tout de suite après par vengeance, avec assez de force pour faire pivoté la tête de Fujiko et déformer sa joue. Et une sonnerie de téléphone sonna. Le portable de Fujiko.

   Elle chercha des yeux et le vit à porter de main. Elle se jeta dessus et réussit presque à le toucher, mais on tira sur sa laisse, la ramenant en arrière, l'étranglant au passage. Mais elle ne se laissa pas et força, au point détendre son cou de quelque centimètre, sa tête se coinçant. La sonnerie finit par ce couper et un pied s’écrasa sur le portable, le brisant, en même temps que l'espoir de Fujiko. Elle fut de nouveau coller à la bite turgescent, l'obligeant à respirer de nouveau les effluves aphrodisiaque. Fujiko posa ses mains sur les cuisses de la futa, frappa et poussa, voulant s'éloigner de cette monstruosité, mais plus elle respirait plus elle avait du mal à ne pas vouloir cette immense trique en elle.

   Mais elle ne voulait pas, malgré tout cette aphrodisiaque, la peur était toujours en elle et l'idée qu'elle de nouveau finir dans une cage à ce faire violer tout les jours, l’empêchant de franchir le pas et la poussant à fuir. Au final elle parvint à hurler.

-A L'AIDE !!! AU SECOURS !!!

5
   Fujiko avalait de force, au point que ça fessait mal, surtout que l’héroïne avait mit la pression un peu plus forte, l'eau s'écoulant plus rapidement, Fujiko ayant du mal à s'adapter. L'eau couler de lèvres en de petit jets. L'héroïne vissait les 7 litres théorique possibles pour un humain avant tout danger, ignorant qu'elle avait beaucoup, beaucoup plus de marge qu'elle ne le pensait. Fujiko tenta d'avaler le tuyau afin de facilité l'écoulement dans son estomac, alors que son ventre prenait des dimensions de plus en plus visible, l'alourdissant de plus en plus. Elle gémit et faillit recracher de l'eau quand sa geôlière eu la bonne idée de mettre son pied sur le ventre de Fujiko, compressant ce dernier, mais qui permit à Fujiko de mieux ressentir le liquide gonfler son ventre, aggravant son cas. Mais tout ne semblait pas convenir à l'héroïne. L'eau arrivait plus vite que Fujiko pouvait avaler, perdant ainsi beaucoup d'eau, au détriment du gonflement du ventre. Elle le fit savoir, mécontente de la performance de sa prisonnière, lui ordonnant d'aller plus vite. Fujiko comprit ce qu'elle allait faire, dé l'instant où elle leva sa main vers son visage.

   Fujiko ne put que gémir, alors que son nez fut boucher, et se forcer à boire plus vite, prenant de plus grosse gorgé pour un peu d'air. Elle réussit même à avaler une énorme gorgée qui doubla, voir plus, la taille de sa gorge, lui donnant l’impression d’avaler un melon entier, et qui tomba comme une masse dans son ventre, l’agrandissant d'un coup et lui donnant des vertiges. Mais elle ne pouvait faiblir, car à peine avaler, sa bouche se remplissait déjà d'eau. Encore et encore, son ventre gonflant à chaque lampé, grossissant presque à vue d’œil, atteignant le garrot d'une femme enceinte de 4 mois, son ventre ayant presque le même volume. Mais elle avalait encore, alors que l'air vint à manqué, devenant rouge, ses yeux se mettant à papillonner et elle à se sentir aller.

   L'héroïne le remarqua et retira le tuyau, libérant Fujiko qui recracha une cascade d'eau, avant de pouvoir respirer, toussant, crachant et haletant fortement, son vente se contractant à chaque inspiration. Il avait perdit un peu de volume, mais toujours aussi gros. Avec autant d'eau Fujiko se sentait mal, mais elle le supportait bien mieux que sur l'autre monde. Et malgré le fait qu'elle avait faillit se noyer, Fujiko était toujours aussi excité par ce qui lui arrivait, remplit par plusieurs litre d'eau, bien qu'elle soit sonné et l'esprit embrumé par ce qu'elle endurait. Sa geôlière la libéra de ses entrave et la poussa hors de la chaise. Fujiko tenta de se rattraper, mais le poids de son ventre l'entraina.

FFLLOOSSSHHH

   Le ventre heurta le sol, remuant tout l'eau contenue, donnant la nausée à Fujiko, qui vomit encore de l'eau, sous la pression, avant de se mettre sur le dos, laissant le poids de l'eau l’écraser. Elle caressa son ventre, tendu sous la quantité d'eau ingurgité, possédant de belle rondeur et encore plus marquant dans cette position. Plus. Elle voulait plus.

   Mais avant de pouvoir faire quoi que ce soit, la justicière se laissa tomber sur le ventre de Fujiko, qui ne put retenir l'eau qui jaillit violemment de sa bouche, alors qu'elle contracta ses membres. L'eau jaillit de sa bouche comme une fontaine, avant que Fujiko ne ferme sa bouche, retenant l'eau, qui continua à s'échapper, avant de faire un effort surhumain de ravaler, contrant la pression sur son ventre et retenant l'eau qui fessait pression. Et pour ne pas l'aider, la femme fit de petit rebond, manquant de refaire vomir Fujiko, avant qu'elle ne sente les mains de l’héroïne glissaient sous sa jupe et sa culotte.

-Aaah qu'es que tu fa... MMMH AAANH !
Lâcha Fujiko en levant le haut de son corps. ANH anh mmmm.
-Par contre on peut continuer par l'autre côté hein ! et Comme ça tu auras la bouche libre pour me répondre !

   Fujiko ne put répondre, encaissant le choc. C'était si soudain et si brute que Fujiko en resta bouche bée, avant que l'eau ne coule à nouveau. Fujiko soupira et se coucha à nouveau sur le sol, haletant à nouveau, se tortillant, alors que l'eau froide investit son fondement, fessant contracter les muscles du bassin, remontant lentement son colon. Fujiko avait de nouveau les joues rouge, les yeux hagard, et caressa son ventre, alors que le poids de l'eau se mit à croître lentement, suivit de son ventre.

-On recommence... Dis moi tous sur tes pouvoirs, et ce que tu voulais faire de cette pompe. Parce que putain tu iras jamais me faire croire qu'ont peut donner un surnom aussi con à un poisson, ça prouve que tu en a pas
-Parce que...mmh... tu crois qu'un aigle avec une fusée dans le cul c'est pas plus con ? Répliqua Fujiko, avec un sourie ravie en coin, comme si elle était... heureuse.

   Du temps. Il lui fallait gagner du temps. Lentement, mais sûrement, son ventre gagna en volume, de manière plus constante qu'avec le tuyau dans la bouche. Elle sentait son ventre se tendre à chaque seconde qui passait, ses vêtements devenir plus serrer, son entre jambe devenir plus chaude. Lentement, son ventre prenait du volume jusqu'à atteindre le stade d'une femme enceinte de 6 mois.

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Le parc et son sous-bois / Re : La Proie Du Soir [Fujiko Zaraki]
« le: lundi 05 novembre 2018, 12:22:52 »
   Fujiko parvint à frapper son adversaire, loupant l'oreille, mais ce fut assez pour lui permettre de se libérer. Elle tentant de se relever, mais glissa, l'obligeant à progresser à moitié en rampant, pour arriver devant les bottes de l'autre femme. Fujiko releva la tête, mais n'avait que dans son champs de vision la verge imposante de la femme, qui cachait son visage de sa positon. Elle se mit à rougir, alors que des visions obscènes commencèrent à parasité ses pensés et ressentant comme, de l'excitation.

   Elle s'arracha de la vue de cette verge et roula sur le côté, s'éloignant de la femme et se releva, bien qu'elle manqua de glisser à nouveau, allant trop vite. Fujiko rougissait toujours et commencer à avoir le souffle court, mais pas pour les bonnes raisons. Comment pouvait elle se sentir ainsi ? Et à nouveau elle fut captivé par cette femme au cheveux rose, alors qu'elle se dirigeait vers elle, de manière obscène, baladant son sexe dans un mouvement hypnotique. Fujiko se mordit la lanque, se remettant les idées en place. Ce n'était pas normale, la dernière qu'elle s'était sentit comme ça ce fut... la première fois qu'elle voulue se remplir à nouveau. Elle masqua la vue, gardant un œil sur l'autre qui tenta de la prendre en tenaille. Elle se téléporta.

   Et se retrouva pile devant la femme en rose. Fujiko lâcha un crie indescriptible et se téléporta à nouveau et elle se retrouva cette fois derrière un arbre, à trois mètre du duo, qui ne semblait ne pas l'avoir vue. Fujiko se cacha derrière, se masquant de leur vue, alors qu'elle haletait, sa culotte humide. Elle avait respirer à plein poumons les phéromones et l'aphrodisiaque que produisait la femme en rose. Son état permit au moins une chose à Fujiko : que ces femmes avaient de pouvoir, et étaient comme elle, des mutantes. Cela devait expliquer leur physiques et son état, la femme en rose devant produire des drogues.

   Elle ne pouvait, et ne devait pas rester là, d'autant plus qui lui sembler entendre les femmes se rapprocher doucement. Elle attrapa son téléphone et bondit de sa cachette, mais elle se loupa et tomba, lâchant son portable. Elle le ramassa et se releva, fessant face à la femme au cheveux bleu. Fujiko parvint à éviter sa main, mais tomba dans celle de l'autre, qui attrapa son bras de sa main et tenta d'arracher son portable de l'autre. Elle ne fit qu'étirer le bras de Fujiko qui donna des coups de poings, avant que son bras ne soit saisit par la première. La panique gagna Fujiko, lisible sur son visage et commençant même à avoir des larmes, chassant ce désir imposé, alors que l'étau ce refermait sur elle. Elle se téléporta... à 1 cm de sa position, toujours sous l'emprise des deux femmes.

   Elle se téléporta encore 5 fois successivement, pouvant paraître en déphasage avec la réalité, vue qu'elle ne changait de position que d'un pauvre centimètre à chaque fois. La sixième fois, elle se retrouva dans le dos de la femme en rose, ses jambes écartées. Mue par ses réflexes acquit en self-défense, elle donna un coup de pied dans l'entrejambe, frappant les couilles de la femme, qui s'effondra devant sa camarade, ses mains sur son sexe. Fujiko rigola en reculant, avant que se vision ne se trouble, le décor penchant d'un côté puis de l'autre, se déformant en même temps. Elle eu des nausées et se mit à sué. Elle n'avait jamais autant fais de téléportation en 1 secondes, son cerveau le supporta mal, fessant un malaise semblable à celui d'un malaise vagal, en plus d'être déjà affaiblie par les pouvoirs de l'autre femme et la panique qu'elle avait ressentit.

   Elle recula encore et se retourna, manquant de vomir, avançant d'un pas hasardeux, penchant d'un côté puis de l'autre, avant de tomber à genoux et de vomir. Elle s'écroula sur le côté, évitant son vomit, se sentant mal. Maiss elle se força, commençant à ramper pour fuir.

7
   Fujiko avait toute les peines du monde pour redevenir pleinement conscience, voyant d'un œil absent l'environnement, peu habituer à être déformer de la sorte, aussi perturbant qu’assommant et glauque, car elle avait put voir son torse d'un autre angle. Mais hélas, à peine qu'elle fut écrouler dans la boue, que son adversaire vint à son niveau. Elle secoua Fujiko, qui entreprit de la réveiller quelque peu, avant de la lâcher, pour écraser son visage dans la boue avec son pied. Bloquant ses voies respiratoire, elle força Fujiko à avaler peu à peu de la boue à chaque inspiration, entamant une chanson malsaine, prenant son pied à malmener la tête de la pauvre lycéenne, la déformant un peu. Le temps que Fujiko puise retrouver un peu d'esprit, elle ne put que sentir l'air lui manquer et la boue contre son visage et dans sa bouche, frappant rapidement les alentours avec ses mains, mais sombre rapidement dans l'inconscience et ne bougea plus.

   Elle sentit l'eau lui ruisseler dessus, alors qu'une voix inaudible vrilla ses tympans. Elle ouvrit les yeux, sa vue floue, un mal de crâne l'assaillant et la bouche pâteuse. Elle sentit qu'on lui tapota le ventre, et ouvrit la bouche, dans l'optique de demander ce qu'il lui arrive, mais ne put que sentir qu'on lui enfonça brusquement quelque chose dans la bouche, ce qui acheva la tirer de son réveiller.

-Guurgll mmppff ?! Émit Fujiko.

   Entre ses dents, elle pouvait sentir du caoutchouc et avec sa langue, un embout métallique creux. Elle fit les gros yeux, en voyant le tuyau s'échappant de sa bouche, et la folle près d'un robinet. Elle voulue bouger, réalisant avec horreur qu'elle était ligoté à une chaise dans un endroit inconnue.

-MMMH MPPFFglorp glorp glurp glup schorpl glup glup glorp. Enchaîna Fujiko.

   L'eau fusa du tuyau brusquement, coupant court aux jérémiades de Fujiko, la forçant à avaler l'eau rapidement, pour ne pas étouffer, alors que ses joues se gonflèrent, et que de l'eau dégoulina de ses lèvres entrouverte. Fujiko pauvait sentir chaque grosse lampée lui déformer sa gorge, dégoulinant jusqu'à son estomac, sentant le poids du liquide augmenter, remplir son ventre, commençant à se sentir mal à l'aise, mais lentement excité. L'eau finit par se couper, après un long moment, où Fujiko avala plus d'un litre d'eau, commençant déjà à avoir quelque rondeur au niveau du ventre, et le tuyau fut retirer de sa bouche, laissant Fujiko tousser à l'envie et recracher de l'eau après un haut de cœur, n'écoutant même pas sa geôlière.

-Espèce de tarée ! Parvint à souffler Fujiko, des larmes commençant à couler. Relmmpphh mmh mmh MMMHglorp glorp glorp glups glurp glup glup glup glorp.

   Et à nouveau, la folle enfonça à nouveau le tuyau dans son bouche, et re mit l'eau, obligeant de nouveau Fujiko à avaler l'eau rapidement pour ne pas étouffer. Plus que la terroriser, plus que l'inquiéter, plus que de paniqué, Fujiko commençait à avoir honte, devant le plaisir qu'elle avait de se faire remplir de la sorte, commençant à rougir, pouvant faire croire que le souffle lui manquait, se dandinant sur place fuyant le regard de la folle, secouant le tête, serrant les cuisses. Elle avala encore et encore, sentant son estomac se remplir plus que raison, le poids de l'eau augmenter au fur et à mesure à chaque lampé, déglutissant bruyament par moment, alors que son ventre pris un peu de volume.

   L'eau fut à nouveau couper et Fujiko recracha de l'eau sous la pression, alors qu'elle sentait ses instincts se tordre, l'eau commençant à forcer le passage dans le reste de ses entrailles. Fujiko avait les joues rouges et haleta, renvoyant un certain érotisme, comme proche du plaisir dans son visage

-Aaah aaah aaah... ar... arrête j'en... j'en peu plus !!

   Mais ce n'était pas au goût de l'héroïne, qui enfonça une nouvelle fois le tuyau dans la bouche de Fujiko, avant que l'eau ne coule à nouveau, démarrant une nouvelle série de déglutition sonore, de soupir et d'inspiration rapide, et de gémissement. Le surplus d'eau gonfla de manière plus marqué le ventre de Fujiko, qui commença à prendre de l'ampleur, mais loin d'être alarmant et d’impressionnant pour le moment. Mais Fujiko pouvait sentir son ventre se tendre lentement sous la quantité, l'eau froide infiltrant ses entrailles, la fessant trembler sous les multiples sensations étranges et agréable la parcourant. Elle aurait put se téléporter, depuis le début, mais quelque chose l’empêcher de le faire. Elle ne pouvait pas paniquer, sa part la plus honteuse et déshonorante fessait surface, frottant ses cuisses, cachant sa culotte qui commençait à être un peu humide, dandinant sur place, sous le plaisir qu'elle ressentait, alors que l'eau continuait de couler. Elle n'avait jamais fais ça, se faire remplir de force par la bouche, et sans qu'elle puisse intervenir, tout ça était... jouissif.
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   Kioi, la meilleur amie de Fujiko, était dans son studio au lycée, écoutant de la musique en lisant un manga. Mais elle fut dérangé par un appel, l'obligeant à se lever pour y répondre. C'était les parents de Fujiko qui l'appelait.

-Bonsoir Kioi.
-Bonsoir madame Zaraki. Il y a un soucie ?
-Oui, nous n'arrivons pas à avoir notre fille, elle est avec vous ?
-Oui oui ! Je vous la passe. Fujiko ! Ta mère au téléphone !

   Kioi attrapa un enregistreur audio et l'actionna près du portable.

-Coucou maman ! Désoler on révisait avec Kioi et je n'ai pas fais attention à l'heure et j'ai couper le sons de mon portable comme tu le sais, j'ai pas penser à vérifier.
-Fais attention ! Je me fais un sang d'encre à chaque fois ! Bon, l'heure est trop avancer, tu reste à ton studio pour ce soir. INTERDICTION DE SORTIR ! D'accord ma chérie ?
-Oui maman, je comptais rester de toute manière.
-Bien on t'aime très fort ma chérie, bonne nuit et dors bien.
-Bonne nuit maman ! Dors bien !

   La mère raccrocha, tombant dans le panneau. Kioi en fit autant. Une scène aussi étrange qu'elle était prématuré par Kioi et Fujiko, quand cette dernière avait envie de soulager ses pulsions. Kioi avait accepter, normale entre amie, et elle enregistrait Fujiko afin de tromper ses parents, ce qui marchait bien sur la mère, plus difficilement sur le père. Pour ce soir, Kioi s'y attendait, car elle avait indiquer à Fujiko l'adresse de cette boutique pour animaux, après l'avoir taquiner avec ses découvertes, et que Fujiko avait la manie de ne jamais la prévenir, et de le faire tout les samedi soirs. La dernière fois Kioi l'avait retrouver avec une pompe à vélo dans le cul, ce qui avait faillit lui donner un arrêt cardiaque tellement qu'elle avait rie. Elle reposa l'enregistreur et repartie dans la lecture de son manga.

8
   Plus ça aller, plus Fujiko s'enfonçait. La réplique sur sa potentielle parenté avec l'un des héros des 4 fantastiques, fit raté un battement de cœur à Fujiko, car elle vit à qui elle fessait référence, sa nature n'étant pas la même, mais leur capacité proche. Folle sans doute, mais doué d'un sacré esprit de déduction, ou le hasard total. En tout cas Fujiko était encore moins en confiance en la présence de cette femme qui été bien plus dangereuse qu'elle laissais paraître. Ses mensonges n'étaient pas la pour l'aider, pire aggravant sa situation et cette femme semblait s'en rendre compte. Mais pourquoi elle s'était obstiné ! Elle aurait due se barrer ! Cette idiotie de vouloir la calmer.

   Et alors que Fujiko envisagea sérieusement de se téléporter après un moment, elle ne réagit pas assez vite, se fessant plaquer contre une palissade de bois, qui céda sous le choc, mais n’empêcha pas Fujiko d'avoir l'arrière du crâne aplatie. Sous le choc, elle lâcha ses affaires, voulant se dégager, alors qu'elles tombaient à la renverse.

*Et merde*
SSPPLOOSSCCHH

   Le duo tomba dans une flaque de boue malodorante et froide,  infiltrant immédiatement les vêtements de Fujiko, qui lâcha un faible crie face à la morsure froide et visqueuse de la boue. A peine qu'elle fut plonger dans le bain de boue improviser, l'héroïne se présenta face à elle, est commença à l'enfoncer plus profondément, la plaquant fortement et appuyant sur ses épaules. Fujiko essaya de repousser la folle, poussa sur les clavicules de la femme, joignant une jambe, mais l'autre l’empêchant d'appuyer sur son ventre, et mettant tout son poids sur ses bras. Fujiko avait aucune chance, étant dans la plus mauvaise posture.

-Ou alors tu es une vilaine menteuse dont l'histoire ne tient pas la route. Mais t'en fais pas ici on aura tout notre temps, je vais commencer par te mettre hors d'état de nuire... puis après... Oh après qui sait ! ♥♥♥
-Mais c'est pas vrai !! Lâcha Fujiko, plus pour elle même. Pourquoi j'ai crue que t'avais comprit !! Lâche moi !!

   Un combat fénimin, entre une femme en latex et une lycéenne, dans de la boue, il y avait de quoi trouver son bonheur et son fétichisme. Fujiko lutta pour se dégager mais elle ne pouvait pas faire grand chose, la femme bloquant ses jambes et appuyant de tout son poids, la lycéenne n'avait pas la force de se libéré. Elle s'enfonça lentement, comprenant que la femme voulait la noyer, parlant de bain de boue et de ses bienfaits pour la peau. Mais alors que la boue monta sur ses joues, Fujiko se rappelant de sa téléportation. À situation désespérer, solution désespérer. Elle disparue sous les yeux de la femme, qui tomba dans la boue, alors que Fujiko réaparue devant elle, toujours allonger, heurtant le sol, offrant une vue plongeant sur sa culotte blanche.

-C'est mieux que rien. Lâcha t-elle.

   Elle releva le haut de son corps, apercevant l'autre se relever, sa belle combinaison tacher, tout autant que celle de Fujiko, qui était imbibé. Fujiko se releva, commençant à avoir froid et voulue courir vers le bâtiments, mais ce fit attraper à la jambe, la fessant chuter de tout son long, sa mâchoire se déformant sous l'impact, ses dents se pliant et sa mâchoire inférieur passant presque par dessus la supérieur. Elle releva sa tête et son buste, et le temps qu'elle remette sa mâchoire normalement, la femme lui sauta à nouveau dessus, pliant sa colonne vertébrale en deux, fessant couiner Fujiko, son pieds déformant la pauvre fille, si bien que son ventre toucha à nouveau le sol, avec la forme du pied.

-Non nonnonnnnononnon !

   Fujiko se téléporta à nouveau. Et elle se retrouva en l'air. À plusieurs mètre du sol, au dessus de la flaque de boue. Elle tomba, et voulue se téléporter, mais se retrouva seulement à 1 mètre sur sa droite de sa position initiale.

-ET MMEERD....
BAAMM

   Fujiko heurta le sol, tête la première, cette dernière s’aplatissant et s'enfonçant dans son cou et dans son torse, déformant son sternum, avant de faire effet ressort, renvoyant Fujiko en l'air, qui s'écrasa sur le dos, dans la flaque de boue, sonnée et désorienté. On ne pouvait pas l’assommer d'un coup à la tête, mais un choc aussi fort pour déformer toute sa tête et son torse, suffisait à la sonné et à la désorienté pour un bon moment, son cerveau ayant été déformer et le sang un peu évacuer. Désormais à moitié consciente, Fujiko avait toute les peines du monde pour s'en remettre.

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Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« le: mercredi 31 octobre 2018, 22:19:21 »
Les choristes
*w* si magnifique

10
   Elle l'avait comprit ? Merde. Pour être honnête Fujiko pensait que ça ne marcherais pas. Elle avait raisonnée une folle, trop fort ! Par contre le coup d'aller au commissariat ensemble la gêna, n'ayant pas vraiment envie de débarquer avec elle, surtout qu'apparemment elle était connue, ce qui la rassurait encore moins. Elle devait être connue pour son excentricité. Bon elle allait sûrement recevoir une leçon de moral pour ce qu'elle avait fait, et encore plus une mise en garde, rien qui puisse jeter la honte sur son nom et sa personne, et la « justicière » allait être raccompagner.... on ne sait où.

-Ou... ouais super!
Bredouilla Fujiko, alors que la justicière l'aida à ce relever.

   Elle se dépêcha de tout ramasser, récupérer les pièces, les billets envolées malheureusement. Elle remit tout en ordre et rangea rapidement et nerveusement la pompe, l'envie lui étant passer. Pour le moment, et elle remarqua enfin que le ciel commençait à s'assombrir. Si elle n'avait pas prit le temps qu'il fallait pour réfléchir, elles seraient sûrement encore de se battre ou pire. Une fois fais, et avec la femme pour la guider, car RIP le portable, ses parents allaient la tuer sûrement. Son dernier appel remonte à plus d'heure et elle avait encore quelque heures avant de devoir rentré et moins pour que ses parents ne la harcèlent. Et plutôt que d'y aller dans le silence, ou Fujiko priait pour que personne ne la voie avec cette femme, la prétendue héroïne tapa la discussion, avec l'histoire du poisson rouge, ce qui ne manqua pas de mettre Fujiko dans l’embarra.

-Né...némo c'était... euh.. trop... trop commun comme nom. Commença Fujiko. Et... et le mien à un air con et il est froid au toucher, donc j'ai voulue l'appeler confroi, mais... mais mon petit frère dit tout le temps gonfroi, du coup j'ai... j'ai finit par l'appeler aussi.
*Putain mais je raconte quoi, je raconte quoi là*

   Elles continuèrent à avancer, l'air de rien alors que Fujiko voulait se barrer, mais n'osa pas se téléporté, car l'autre pourrait devenir encore plus fou, surtout si elle réparait juste devant elle. En même temps, son interlocutrice lui parlant de son envie d'avoir un aigle comme animal de compagnie.

-Si j'avais un animal de compagnie moi j'aimerais que ce soit une sorte d'aigle.

-Ah ouai c'est classe com...
-Je lui ferait porter des lunettes d'aviation et une fusée sur le dos, tu trouves pas que ce serait un super compagnon pour combattre le crime ?
-Euh...

   Fujiko eu la vision d'un aigle qui explose ne l'air, contre un mur ou sur un méchant, balancer par la folle.

-Un compagnon explosif, oui en effet.

*on entre dans son délire, faut pas les vexer je crois*
-Mais bon si tu me disais plutôt comment tu t'es retrouvée avec le butin des voleurs par erreur ? J'veux aussi savoir ou tu fais tes cours de gym parce que t'es SU-PE-ER souple ! Un vrai élastique !
-Un élastique ahaha oui en effet on... on me le dit souvent. Répondit Fujiko en essayant d'être normale, bien qu'on pouvait voir que ça la gêner énormément. Je... je m’entraîne depuis toute petite, du coup je suis très souple et flexible !
*tuez moi*
-Pour le voleur, ce con m'est rentré dedans. Enchaîna rapidement Fujiko. Au détour d'une rue. On a finit par terre et il est partit sans m'aider ou s'excuser. Et il a tout fait tomber par terre sans le voir.

   Fujiko réalisa que l'homme été partie sans s'en rendre compte et s'en revenir en arrière. Ils auraient du remarquait dé qu'il s'était lever ? Fujiko ne réflichisa pas plus, il devait être coursé par elle et n'importe qui se barrer si il était poursuivit par une femme en combinaison rouge/rose en latex en se fessant passer pour justicière. D'ailleurs c'était quoi son prénom ? Enfin son nom de héroïne.

-Au faite. C'est quoi ton nom d'héroïne ? T'es comme bat-girl dans les comic ?

*plutôt crazy-girl ouais*

   Et elles avancèrent toujours, dans la direction du commissariat, du moins Fujiko s'en était convaincue, ne connaissant pas trop le coin. D'ailleurs elle commençait à se dire si elle lui fessait pas un peu trop confiance à tord alors que les lampadaires s'allumèrent.

11
   Son tour avait marché, bien qu'elle pensait ne pas être assez rapide. Elle put couper la respiration de son adversaire, et s’apprêta à lui donner un coup dans le ventre. Mais la femme qu'elle voulait calmer, mais surtout frapper, encaissa plutôt bien le choc et agrippa même son bras, montra de bon réflexe, et serra son poignet d'une poigne forte, assez pour déformer un peu ses os

- Si tu veux me faire mal chérie faut y mettre plus de punch... ♥ *kof kof*
-Et merde.

   Un direct dans l'estomac, après l'avoir tiré vers elle, Fujiko s'attendant à une attaque à sa tête. Elle a beau être élastique, elle n'est pas moins sensible au attaque au endroit fragile. Elle eu donc le souffle coupé, sans douleur, mais cela permit à l'autre de la mettre à terre et de se jeter sur elle, fesse en première.

-Et remBBBLLOUURGGHFFF. Émit Fujiko.

   Le choc plia son bassin avant de reprendre sa forme, bien qu'encore courbé sous le poids et les assauts de la femme en tenue bdsm, ce qui était désagréable, surtout quand ça presse la vessie ou les boyaux quelque peu remplit, fessant chemin inverser.

- C'est comme ça qu'ont coupe le souffle tu vois !
-Coonnaasssee.... j'ai faillit vomir et t'a faillit me péter le bassin ! Souffla Fujiko.

   La femme attrapa son sac et vida ce qu'elle avait récupérer sur Fujiko, qui empêcha un portefeuille de finir sur son visage, qui lui était le sien. D’ailleurs, par reflex elle le remit dans sa poche. Elle tenta d'attraper la jambe de la dingue en latex, mais cette dernière lui écrasa la main, l’empêchant de faire quoi que ce soit.

-Salo..
- Tu penses que je ne peux pas te faire souffrir parce que je suis une justicière ? Holala ! Non ne vas surtout pas imaginer ça, je n'ai pas peur de me salir les mains ! Tu n'es pas sur la liste des vilains que je dois tuer mais si tu ne veux rien me dire sur ton gang j'hésiterais pas à mettre ton corps à rude épreuves pour que...

   Fujiko perdit sa combativité, qui serait sans doute sujet à mauvaise interprétation. Justicière ? Vilains ? Tuer ? Gang ? Mais dans quel délire cette femme nageait ? Et Fujiko vint se dire qu'elle avait choisit le mauvais comportement et s'était peut être trop emporter. Cette folle était peut être plus dangereuse qu'elle le pensait, si elle parlait de tuer et de méchant. Elle fit tilt, avec la personne qui l'avait percuté juste avant. Elle aurait put évité le quiproquo, mais en y réfléchissant, mais elle aurait put prendre ça pour une ruse. Alors qu'elle réfléchissait, elle remarqua que la « justicière », tenait sa pompe à aquarium. Bien que personne ne puisse imaginer sa réel fonction, sauf connaissant Fujiko, cette dernière eu quand même quelque appréhension.

- Je vois petite coquine... j'ai parfaitement compris à quoi ça va te servir petite vicieuse... Dire que tu vas faire ça... alors... c'est que toi et moi on a les même idées farfelues...

   Fujiko blêmit à chaque mot, sentant son univers s'écrouler. Sa plus grande honte, la dernière chose qu'elle voulait qu'on découvre après sa nature de mutante et son pouvoir de téléportation, était ce fétichisme, que cette folle avait découvert à la simple vue de la pompe, ayant visiblement le même intérêt. Fujiko faillit avoir larme à l’œil devant cette honte, alors que la femme en rose lui caressa le visage et ne rajoute.

- Tu vas t'en servir pour alimenter un aquarium plein de fugu, votre gang projette de remplacer la chaire de tous les poissons de la ville par du poisson globe, vous allez empoisonnés toute la ville avec ça ! J'ai compris hein, j'ai compris votre plan ? C'est machiavélique, c'est génial !

   Fujiko fit les gros yeux, puis elle fit une grimace moqueuse, serrant les lèvres, un sourire moqueur, alors que ses joues ce gonflèrent lentement d'air, ayant du mal à rester sérieuse, des quelque bouffé d'air s'échappant sous la pression, avant de tout lâcher* et de rire.

-AHAHAHAHAH *tousse*.
Ria Fujiko avant de reprendre son souffle. AHAHAHAH !!! Oh mon dieu tu m'a fais peur ! Ahahaha.. aaah aha... Elle prit un ton un plus sérieux, mais toujours avec de la moquerie dans ses paroles. Mais tes vraiment perché ma pauvre ! Je sais pas ce que tu fume mais c'est de la bonne ahahaha. Pffiouu... Et pourquoi pas des poulpes venimeux à la place des poulpes normales !

   Elle s'essuya une larme, et souffla à nouveau.

-J'suis qu'une lycéenne. Repris Fujiko sur un ton vraiment sérieux, voulant tout mettre à plat et calmer le jeu. J'voulais tout ramener à la police. Et la pompe c'est pour me gonf... gonfroie mon poisson rouge. Corrigea t-elle précipitamment, inventant un nom bidon et un poisson banal. Et puis tu as dis qu'on avait les mêmes idées farfelues, donc toi aussi t'a envisager ça, donc t'es pas mieux que moi ! Rajouta Fujiko, voulant montré confronté l’héroïne à ses propres défauts.

   Corriger le tir et apaiser la tension, était ce qui avait de mieux à faire pour Fujiko. Elle aurait put se téléporter, mais ça n'aurait pas été le plan le plus judicieux et s'était courir le risque de ce faire traquer ou de finir dans un endroit mal famé ou qu'elle se retourve juste 1 centimètre plus à droite. Et valait mieux occuper cette personne qui avait visiblement un pète au casque, vue qu'elle pourrait s'attaquer à d'autre passant, en espérant que quelqu'un les remarquent tout de même.

*j'ai pas pus résister ;D

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- Highhhhh kicccccck destruction d'iPhone !!
-Hein? Fit Fujiko en levant la tête de son portable.

   Elle ne put que voir une ombre rouge obscurcie sa vue, un choc sur sa main, qui fut emporter par le coup de pied, agrandissant son avant bras, avant de reprendre sa forme normale dans un bruit mou. Fujiko cligna des yeux, incrédule, essayant de comprendre la situation.

AHHHH Putain, putain putain putain ça fait mal PUTAIN !!! J'aurais pas du faire ça !

-Vous... vous allez bien ? S'enquit bêtement Fujiko, alors que visiblement ça n'allait pas bien.

   Elle voulue appeler les secours, en se disant qu'elle avait du se péter une cheville, mais constata l'absence de portable dans sa main. Elle regarda au sol, et le vit sous le pied de la femme. Cette folle avait sauter d'on ne sait où, et avait exploser son portable. Putain, ces photos de vacances ! Ses mémos de restaurants ! Ses parents vont faire une crise.

-Non mais ça va pas espèce de folle ! Mon portable ! Vous l'avez démolit !
S'emporta Fujiko. J'vais faire comment moi ! Remboursez moi !!

   La femme se leva et Fujiko remarqua enfin l'accoutrement bizarre de la femme. Une tenue en latex rouge, moulant ses formes de manière assez osé avec un décolleté provoquant, des bottes noir montante et un masque de rouge avec des oreilles. Elle s'est évadé d'une fête costumé ou d'un mauvais tournage porno ? Fujiko recula d'un pas, sentant mal la personne en face d'elle, alors qu'elle sortie un fouet et se mit en position de combat.

*sur quoi je suis tomb...*
SSCCHLLAAKK
-AAIIEEUX !!! Mais ça va pas espèce de tarée !!! Fulmina Fujiko.

   La femme lui donna un coup de fouet qui claqua dans l'air et contre son bras gauche, fouettant sa peau, lui fessant mal malgré sa nature, lâchant par réflexe les affaires du voleurs, le sac répandant son contenue. Fujiko n'y fit pas attention, se mettant en position de défense, retirant son sac à dos contenant la pompe pour aquarium, dans l'optique d’affronté cette énergumène, qui commençait à lui taper sur le système alors que ça ne fessait même pas une minute depuis son apparition et qu'il valait mieux ne pas lui tourner le dos ou fuir. Elle pouvait se téléporter, mais sur le moment elle n'y pensait pas, et dieu sait où elle pouvait tomber.

Tu ne m'auras pas avec ta jolie bouille gangster ! Dis moi tout de ton organisation de malfaiteur, qui est votre chef, ou comptais-tu apporter cet argent ? Ou je vais devoir employer d'autre méthode à contrecoeur ♥
-Mais qu'es que tu baragouine ! Lança Fujiko, incrédule. Le choc de ton pied est remonté jusqu'à ton cerveau ou quoi ? Et c'est quoi cette tenue ? Tu sors d'une fête sado-maso ou tu as perdu un parie ?

   Sans attendre de réponse, Fujiko donna un coup de pied dans un des portefeuilles tomber du sac, l'envoyant plus ou moins vers la femme bizarre, afin de faire diversion comme à ses cours de self-défence, pour lui foncer dessus, dans l'optique de la frapper au sternum, pour couper sa respiration.

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Centre-ville de Seikusu / Mais... y a erreur je vous dis ! [PV : Pink ranger]
« le: mercredi 31 octobre 2018, 13:58:52 »
   Fujiko avait encore du mal à réaliser ce qu'elle fessait. Voilà un peu plus d'un ans qu'elle était revenue de ce monde pervertie et horrible et outre un traumatisme et la perte de toute décence et honneur, Fujiko avait développer un fétichisme quand à sa condition de sac à foutre, non pas dans l'état mentale qu'elle finissait ou se faire prendre en gang bang par des minotaures et n'avoir plus aucune perception de réalité. Mais plus le fait de sentir son ventre gonfler, se faire remplir plus que de raison et plus qu'un humain normale qui aurait exploser avant, que ce soit d'eau, d'air ou de foutre, ce dernière allant avec des bites monstrueuse déformant son corps.

   Elle était dans une boutique pour animaux, dans le rayon aquarium, devant des pompes électrique, dans l'idée de s'en servir pour se gonfler. Elle était rouge, hésitante, l'envie trop forte. Par chance il n'y avait pas beaucoup de monde et on était dans l'après midi, le samedi, non loi du centre commercial et des quartiers de la Toussaint. Elle hésita encore, et finit par prendre le moins chère et le plus petit, se calma et fit en sorte de reprendre un teinte normale. Elle alla voir le vendeur, qui ne put s’empêcher de demander pour qu'elle genre d'aquarium et faire étal de son savoir, pour lui vendre quelque chose de mieux, et plus cher.

-Non merci, c'est un... un petit aquarium. C'est... ça convient parfaitement, on.... on avait le même modèle, mais il a lâché donc voilà...

-Bon comme vous voulez, mais pas la peine de rougir comme, ça ! Y a pas de honte à refuser. Lui dit le vendeur en rigolant.
-Ahahaha.... fit Fujiko avec une grimace au lieu d'un sourire avant de partir rapidement.
-Les jeunes de nos jours. Soupira l'homme.
 
   Fujiko sortie assez vite, comme si elle avait peur que l'homme découvre c'est vrai intention. Dire que c'était son amie qui l'avait chauffer après des recherches, curieuse d'en savoir plus si il exister un fétichisme comme celui de Fujiko. Et elle n'avait pas été dessus, en plus d'avoir trouver des conseils et méthode. Et ça avait travailler Fujiko, qui avait de plus en plus découvrir l'expérience avec une pompe d'aquarium. Ça devrait être différent des pompes à vélo.

   Elle s'éloigna en direction des quartiers de la Toussaint, restant en périphérie du centre, le centre craignant trop. Elle savait pas trop quoi faire, n'ayant pas envie de rentré maintenant, et elle se balada au hasard, passant par un parc d'enfant, une galerie marchante, remontant vers le centre commercial. Au détour d'une ruelle, entre deux bâtiments, un homme la heurta, les fessant chuter tout les deux. L'homme se releva précipitamment, partir sans s'excuser ou aider Fujiko.

-CONNARD ! Brailla Fujiko, alors qu'elle se retourna, se mettant sur ses genoux.

   Elle se releva, ayant dans l'idée de le poursuivre. Mais elle remarqua un sac à main et plusieurs porte feuilles par terre.

*Merde un voleur*

   Fujiko ramassa tout, plutôt contente au final, ayant involontairement empêcher l'homme de profité de son larcin. Elle sortie son portable, cherchant le poste de police le plus proche, afin de tout ramener et donner le signalement de l'homme, ce qui était plus simple à ses yeux que d'appeler, au risque que la ligne soit occuper. En usant de google maps sur son portable, le plus proche était à 3-4 kilomètre, tant mieux, un peu de marche ça tue personne, et elle pouvait toujours croiser les victimes sur la routes. Elle se mit en route suivant son gps, sans trop prêté attention au alentour.

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Le parc et son sous-bois / Re : La Proie Du Soir [Fujiko Zaraki]
« le: lundi 29 octobre 2018, 11:34:14 »
   Fujiko finissait son exercice quand la sonnerie retentit, annonça enfin la fin des cours et le début du week-end. Fujiko laissa échapper un profond soupir en s'étalant sur sa table avant de s'étirer. Même si elle avait un studio au lycée, ses parents avaient exiger qu'elle revienne le week-end. Elle suivit le flot d'élève, saluant leur professeure, côte à côté avec des amis, avant de pouvoir rejoindre, dans le hall principale, ses amis du collège, ses senpais d'une année, malgré leur âge équivalent, mais surtout sa meilleur amie, Kioi, la seule connaissant tout les secret de Fujiko, et ayant une certain tendance à la taquiner avec. Demain ils avaient prévue une sortie au parc, la météo annonçant une potentielle chute de neige, prévoyant une bataille de boule de neige et un concours de bonhomme de neige. Elle passa vite fait à son studio, pour prendre une petite valise afin de ramener quelque affaires à la maison. Certains de ses amis rester ici, tandis que d'autre rejoignait leur parents venue les chercher en voiture ou partant pour leur jobs à mi-temps. Quand à Fujiko et sa meilleurs amie, elles prenaient le métro ensemble, après le parc

   Dehors, le temps était grisonnant, les température plutôt bases, avoisinant les 15-16°C obligeant les vêtements chauds. Fujiko salua ses camarades, et partie en direction du parc avec sa meilleur amie. Ne pouvant plus prendre son raccourcie, il leur fallait 10 minutes de plus, mais Fujiko ne pouvais s’empêcher de passer devant en lui fessant un grand doigt d'honneur et en tirant la langue, ce qui avait tendance à faire rire son amie.

-ATCHOUM !!!


   Fujiko éternua brusquement quelque minute après, à l'entré du parc, et renifla un bon coup.

-Charmant. Ironisa Kioi.
-J'ai pas de mouchoir et j'ai froid. Se plaignit Fujiko.
-T'aura qu'a te remplir d'eau chaude. Répondit Kioi du tact au tact, sans prendre soin de baisser la voix.
-Qu... maismais de quoi je me mêle !!! Souffla Fujiko d'une voix tremblante, devenant toute rouge.
-Me dit pas que tu l'avais déjà envisager !

   Le bruit qu'émit Fujiko en s'étranglant avec ses mots, plia en deux Kioi, au point de taper du poing par terre, riant au éclat. Il fallut bien deux bonnes minutes pour que Kioi se calme.

-Ahaha... pfffiioouu... t'a refais ma soirée ! Lacha t-elle en se relevant. Si t'a besoin t'aide fais moi signe !
Susurra Kioi, un éclat moqueur et pervers dans l’œil.
-I..I.. IDIOTE !!! Lâcha Fujiko, rouge comme une tomate.
-Attend je vais.... Commença Kioi en plongeant sa main dans sa poche. Merde, il est où mon portable ?!

   Elle fouilla toute ses poches et ses sacs, mais elle ne le trouva pas.

-Merde ! Je l'ai laissé à charger dans mon studio !
-Bien fait ! Commenta Fujiko, qui perdu sa couleur rouge. Bon bah on y retourne alors !
-T’embête pas, je peux le faire seule ! Lui répondit son amie en reprenant ses affaires.
-T'es sur ?
-Mais oui ! On se retrouve sur facebook ou sur LOL ce soir !

   Elles se saluèrent et Kioi retourna au lycée. Vue que la nuit tomber rapidement, elle allait rester chez elle. Fujiko soupira, grommelant un peu sur le fou rire de Kioi, qui avait vue juste. Mais au moins elle ne la jugait pas et prenait ça à la rigolade, ce qui permettait à Kioi de ce sentir moins coupable, mais c'était tout de même gênant. Elle repris son chemin, tirant sa valise derrière elle, fredonnant un petit air. Elle ne pouvait s’empêcher d'imaginer l'eau chaude remplir son ventre et de le gonfler, lentement. Elle ne l'avait pas fait du reste la semaine, et inévitablement, elle en avait envie maintenant.

   Mais quelque chose coupa court à ses pensés. Un craquement se fit entendre et Fujiko réagit au quart de tour, lâchant ses affaires et sortant d'une poche une bombe au poivre, mais tournant le dos au vraie danger. Elle ne dit rien, mais commença à reprendre ne mains son sac et sa valise, quand elle entendit bouger derrière elle. Elle se retourna, voulant aspergé l'intrus de poivre de son bras droit, mais hélas trop tard. On bloqua son bras et on le lui tordis violemment dans le dos, si bien que son coude atteignit presque son omoplate gauche tandis qu'une autre personne lui fit une balayette, lui fessant perdre l'équilibre, dans l'optique de l'attraper par les jambes pour l’empêcher de bouger. Fujiko glissa, aggravant la prise, son bras maintenant perpendiculaire à sa nuque.

   Mais Fujiko, ne pouvant ressortir de douleur grâce à sa nature de mutante élastique, ne cria pas, et parvint même à garder son calme, elle avait un autre atout dans sa manche. Elle se téléporta, mais se retrouva à 1 mètre du sol et à 3 mètre de sa position initiale, vers la droite. Son bras se remit normalement dans un claquement et elle tomba, avant de rebondir en peu, se retrouvant coucher sur le côté. Elle se releva et fit face à ses agresseurs et fit les yeux ronds. Au lieu de deux hommes comme elle pensait, c'était deux femmes, et pas n'importe quelles femmes.

   Elles dépassaient Fujiko facilement d'une tête, habiller de manière fulgurante, des énormes pastèques en guise de seins et une anomalies entres les jambes : des bites. Même si elles étaient moins grosse que celle des minotaures ou des centaures ou encore des trolls qui l'avaient violé, elles pouvaient se targuer de queue bien plus grosse que n'importe qu'elle homme pour Fujiko. Le temps qu'elle se remette du choc et du corps de celle en rose, bizarrement attirer par elle, les deux femmes étaient sur elle.

-Et merde.


BLAM.

   Fujiko fut plaquer à terre, le souffler couper lâchant sa bombe. Elle tenta de frapper à l'oreille celle la plaquant, dans l'optique de la déstabiliser, comme à l’entraînement pour se dégager, avant que l'autre ne vienne.

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Blabla / Re : Re : [Jeu] Le cadavre exquis
« le: dimanche 28 octobre 2018, 01:49:46 »
Si vous avez des idées révolutionnaires comme la patate, alors je veux bien des frites. Surtout si les soeurs Kardashian ont préalablement trié par ordre inverse décroissant et par l'alphabet une omelette pythagoricienne de beau gosse. Miam, ça a un goût de viking ! S'écria figurant n°2352678491764 de cette histoire. Mais le choixpeau décide que face à la congoleximation des lois du marché, les chipolatas cuite à basse températures valaient au moins 100 kedal comiquesque. Autant dire que c'est comme ma bite !

"Mais c'est dégueulasse !" dit la princesse.

"Surtout avec du chocolat !" répond un gobelin boulimique.

Pour faire bonne mesure, la Willy Wonka Candy Company décida de larguer des quantités de bombes logiques sur les badauds qui passaient par là. Pour compenser la perte tragique de chaussons aux pommes, surmonté d'un délicieux glaçage à l'eucalyptus, le spécialiste des champignons hallucinogènes de Melendil le plus grand héros du monde et de l'Univers tout entier !!

"Et mon cul c'est du poulet !?" s'exclame Charlie le coq

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